Contrôle continu : ECONOMIE DU MAROC

ZOUBIR NIDALE SEMESTRE : 2 SECTION : B

1. L’économie mondiale subit un choc d’offre et un choc de demande.

On ne remarque les conséquences de la mondialisation que ça soit dans le sens large ou le

sens économique qu'en cas de crise financière ou sanitaire comme celle du coronavirus qui
s'est propagé dans le monde entier depuis décembre 2019.
La mondialisation est un mouvement d'échanges : d’êtres humains, de biens et de services,
de capitaux, de technologies ou de pratiques culturelles, qui contribue en l'accroissement du
niveau d'interaction entre les pays et les mets en relation, le terme mondialisation a
plusieurs dimensions, dans cet article on va s'en intéresser économiquement.
En développant les échanges commerciaux internationaux et l'ensemble des flux de
marchandises et des biens, le monde est devenu un marché commun entre les différents
centres de production, tels que la chine, les états unis, l'Allemagne…Ces relations
économiques étroites engendre l'accélération de la propagation d'une crise peu importe son
type, une fois l'une de ces puissances économiques est touchée, le monde est en danger , et
c'est le cas que le globe vit en ce moment avec la pandémie du COVID19.
En décembre 2019, le premier cas de ce virus a été testé positif en chine, l'économie
chinoise a connu une chute, dû à la fermeture de plusieurs usines et centres de production,
la diminution des taux d'investissement, l'arrêt de toute activité touristique et la
perturbation des chaines d'approvisionnement. Ces modifications que les conditions de
production ont connues, provoque un choc d'offre négatif : la production est suspendue ce
qui veut dire diminution des quantités offertes sur le marché ou exportés vers d'autres pays.
Sachant que Plusieurs économies sont dépendantes des importations venant de la chine
-connu étant être l'usine du monde- comme le textile, l'électroménager, les ordinateurs et
les télécommunications, ce choc d'offre devient mondial et plusieurs pays s'y touchent.

Qui dit choque d'offre, dit forcement choc de demande qui fait référence à la diminution de
quantité demandées par les consommateurs,, à la suite de la fermeture des hôtels,
restaurants, l'annulation des voyages, la fermeture des frontières aériennes et maritimes, les
consommations jugées non indispensables sont reportées, celles qui sont rendues
impossibles par le confinement, les gens ne peuvent pas dépenser, car les lieux d'offre sont
fermés et par peur d'être infecté, non pas parce que leur revenu a baissé.
Cela fait un double choc pour toutes les parties du monde, qui vont devoir faire face à la fois
à une crise sanitaire et une autre économique, afin d'assurer une reprise d'activité normale
et paisible comme avant.
 Contrôle continu : ECONOMIE DU MAROC

ZOUBIR NIDALE SEMESTRE : 2 SECTION : B

2.

Selon la FMI, et à cause de la pandémie du COVID-19, la situation économique mondiale

connait une crise qui s'ajoute à l'histoire, les chocs d'offre et de demande négatif qui ont été
détectés sont des signes qui montre que l'économie du globe est entrée en récession, cette
dernière est une phase de contraction économique qui s'étend sur plus de 6 mois, à cause
d'un recul économique basé sur le PIB, la FMI a estimé un recul de croissance de 3% en
2020, et prévoit une reprise d'activité en 2021 dans le cas où, les différentes parties du
monde réussiront à mettre le virus sous contrôle, et lever les mesures de confinement mises
en place pour la protection des peuples. Cette reprise nécessite une prudence énorme et des
études plus profondes de la situation afin d'éviter des dégâts plus graves et inattendus.
Rappelons qu'une reprise d'activité économique au niveau mondial, ne pourra réussir que si
on empêche les problèmes liés à la liquidité et la solvabilité, comme on a pu comprendre de
l'énoncé proposé. une crise de liquidité ou l'illiquidité correspond à la situation où un État ou
une entreprise ne possède pas assez de liquidité pour honorer ses engagements, ses dettes,
autrement dit, c'est le fait de ne pas avoir suffisamment d'argent liquide pour faire des
différents règlements, et ce dans ce cas que l'entreprise tombe dans un problème de
solvabilité ou l'insolvabilité : qui est la mesure de la capacité d'une entreprise de payer ses
dettes et faire face à ses engagements en cas de cessation d'activité.
Aujourd'hui, les banques centrales sont dans première ligne de défense, depuis le
décroissement de l'activité économique mondiale, elles ont sensiblement assoupli leur
politique monétaire en abaissant leurs taux d'intérêt, Cette baisse des taux se propage dans
toute l’économie via les banques, ce qui soutient les agents économiques endettés (ménages,
entreprises, État…). Cela apporte plus de liquidités aux systèmes financiers qui par exemple
exercent une activité commerciale.
Sachant qu'une baisse des taux stimule les crédits, et une économie en coma artificiel ne peut
rembourser ses dettes qui s'affolent jour après jour, les états tomberont dans l'insolvabilité -
précédemment définit-, les banques vont devoir faire face à des non-remboursement et des
pertes gigantesques mais également si ce n'est pas surtout tomber dans une crise financière
pareille ou plus grave que celle de 2008.
La situation économique au monde devient de plus en plus inquiétante, une crise sanitaire à
engendré des conséquences économiques et financières néfastes, la reprise nécessite une
coordination étroite et une aide précieuse entre les pays, afin de limiter les risques qui
menacent la stabilité financière au niveau mondial.