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Financementdespme 171003140215 PDF
Financementdespme 171003140215 PDF
Rapport de
Dossier d’Entreprise
Réalisé par :
- M BAKMOU Yassine
- Mlle EL GHARBI Khadija
- Mlle HAJHOUJ Chaïbia
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Introduction
Bien que l’importance des PME tant au niveau social qu’au niveau économique soit
indéniable, ce type ne recevait pas toute l’attention qu’il mériterait de la part des chercheurs en
management.
La plupart des études et recherches économiques mettent l’accent sur l’importance des
petites et moyennes entreprises et le fait qu’elles constituent un facteur de croissance
économique très important. En effet, ces entreprises forment l’armature de toutes les économies
aussi bien dans les pays industrialisés que dans les pays émergents.
Les PME constituent le centre névralgique de notre économie avec 95% du tissu
économique marocain, 40% des investissements privés et 31% des exportations. Les PME sont
également essentielles au développement des territoires du fait que les PME y jouent un rôle
important dans la dynamique économique et sont de véritables facteurs de promotion de
l’emploi et de partage de richesses.
L’importance stratégique des PME pour l’économie d’un pays que ce soit en termes
d’emploi, d’innovation ou de contribution aux exportations, amène à porter une attention
particulière aux conditions dans lesquelles s’opère le financement de leur création, et de leur
développement. La spécificité de ces entreprises (taille, actionnariat …) limite en effet a priori
leur succès, leur accès aux marchés financiers et les rend plus dépendantes du financement que
les grandes entreprises.
Dans le projet entre vos mains, nous présenterons dans une première partie une
approche théorique sur les PME et leur financement, pour passer dans une deuxième partie à
une étude empirique où nous avons essayé de travailler sur et avec des PME marocaines dans le
cadre général d’une enquête pour présenter une analyse des résultats et des recommandations.
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Sommaire
Introduction 1
Conclusion 20
Annexes 21
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Chapitre I : Approche théorique sur le financement des PME
Section 1 : PME, des définitions différentes
Il n’existe pas un consensus entre les chercheurs dans ce domaine, l’une des études les
plus connues a été réalisée dans le rapport de Bolton dans les années 1970 qui avait pour
objectif de trouver une explication à la diminution du nombre des PME en Grande Bretagne.
Selon ce rapport il existe 3 critères pour déterminer une PME :
Direction personnalisée par les propriétaires de l’entreprise : un organigramme plat
qui manque d’hiérarchie, ceci fait que les décisions de gestion sont prises par les
propriétaires et qu’il y a rarement une délégation du pouvoir.
Une part de marché restreinte : La PME a une part de marché réduite et insuffisante
pour influencer les prix, ceci implique que toute entreprise occupant une position
dominante sur une niche n’est pas considérée comme PME.
L’indépendance de la PME : l’entreprise ne doit pas appartenir à aucun groupe plus
important même si sa taille est très réduite.
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Section 2 : Les modalités de financement des PME
Le choix parmi ces modalités commence par une détermination de la nature du besoin
de financement, qui est fonction des orientations stratégiques de l’entreprise, des capacités de
sa structure financière à l’endettement ainsi que par l’environnement financier où nouent les
contrats avec les apporteurs des fonds. Donc d’une part les besoins de financement des PME
sont différents, nous trouvons ceux liés à l’investissement, à l’exploitation et à l’innovation et
en d’autre part le caractère familial des PME accentue la relation de dépendance entre la
famille et l’entreprise, le dirigent propriétaire cherche à sauvegarder sa souveraineté sur
l’entreprise et ceci limite l’utilisation de certaines politiques des grandes firmes comme
l’augmentation du capital et le recours à la bourse.
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Généralement les PME préfèrent le mode de financement interne afin de combler au
moins une partie de leurs besoins en fonds de roulement ou en équipement. Ce genre de
financement protège l’entreprise de la dépendance pouvant résulter de l’engagement avec
d’autres organismes financiers. Mais il est constaté que le financement interne est rarement
suffisant à financer la croissance de l’entreprise, qui est amenée à se tourner vers le
financement externe ou d’autres moyens de financement.
Que se soit sous forme (CT, LMT), l’intérêt c’est d’atténuer les effets du phénomène de
l’insuffisance des capitaux propres et gardes l’équilibre financier de la PME.
Crédit trésorerie dits objectifs : s’appuie sur l’existence d’une créance commerciale qui
assure la garantie du crédit octroyé (ex : Escompte…)
Ces crédits sont risqués pour les banques en raison de l’absence de garantie
hypothécaire et leur caractère très court terme dans ce contexte on distingue une autre
clarification.
Réalisé par une avance en compte courant, plus risqué à celui du crédit de mobilisation
tel que l’escompte commercial.
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facilité de caisse : destinée à donner à la trésorerie une élasticité de
fonctionnement, faire face aux décalages très courts (ex : règlement TVA, payé
du personnel)
le découvert : appelé également crédit blanc, fortement risqué pour le banquier
qui l’octroi car il s’agit d’un concours bancaire à court terme subjectif qui n’est
adossé à aucune opération commerciale.
-Générateur de dépôt : les fonds crédités au compte non entièrement utilisés forment des
ressources.
-Mobilise peu les fonds de la banque : sa courte durée n’excède pas 90 jours en règle
générale.
Valable pour les entreprises industrielles, commerciales et agricoles qui ont obtenu
l’autorisation de la banque centrale.
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L’affacturage ou Factoring :
Très proche de la loi dailly, une technique dont les modalités sont fixés par un contrat et
non pas une loi ; Un contrat par lequel un établissement de crédit spécialisé, appelé achète
ferme les créances commerciales qui peut être pratiqué dans les opérations de commerce
intérieur et extérieur qui permet de Simplifier la gestion administrative et dégager des
liquidités.
*un intérêt calculé à partir d’un taux appliqué au montant et à la date de mise à
disposition des fonds majorée de jours de banque éventuel et auquel viennent se rajouter les
commissions facturés.
Répond aux besoins pour des montants souvent important et sur des périodes très
courtes, l’E/se souscrit en billet d’ordre de son banquier par lequel elle s’engage à rembourser
celui-ci à une échéance fixée, lorsque l’E/se mobilise cet effet, la banque crédite le compte
courant du montant de l’effet escompté puis le délite à l’échéance en prélevant également les
agios dus, le billet reste renouvelable, le montant et la durée sont aussi modifiables.
Sont définis comme des titres de créances négociables d’une durée déterminée émis au
gré de l’émetteur en représentation d’un droit de créance et qui portent intérêt, l’E/se fait appel
dans ce cas directement au marché elle émit du papier financier « non causé » pour une durée
de l’ordre de 10 jours à quelques mois, elle l’escompte soit directement soit auprès d’une E/se,
soit en passant par l’intermédiaire d’une banque.
Utilisés par les grandes E/ses qui détiennent des m/ses ou des titres qui permettent
d’anticiper la mobilisation de leurs créances en percevant immédiatement leurs montants, ces
créanciers cèdent les créances aux mobilisateurs choisis ou les mettent temporairement en
garantie au profit de ces derniers.
Crédit relais :
Une facilité de caisse d’une durée plus longue, il s’agit d’une avance destinée à financer
exceptionnellement les mobilisations dans l’attente d’une rentrée prochaine et certaine.
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Crédit de compagne :
A pour objectif de financer les E/ses dont l’activité est saisonnière qui supportent des
décaissements à l’entrée du cycle puis réalisent des ventes échelonnées dans le temps ou bien
elles décaissent très progressivement puis vendent d’un coup sur le marché leurs produits en
fermant le cycle.
D’une grande simplicité pour l’E/se puis qu’elle revient à mettre à disposition de l’E/se
un découvert dans lequel le client peut piocher en fonction de ses besoins quotidiens sous
contraire de ne dépasser le plafond.
Seules diffèrent les modalités d’utilisation du concours c'est-à-dire au lieu de rendre son
compte débiteur, l’E/se escompte auprès de sa banque des billets financières dans la limite de
l’autorisation qui lui est accordé.
-Les avances sur marchandises : ont pour but de procurer à certaines E/ses industrielles
ou commerciales les capitaux nécessaires au financement de leurs besoins en stockages,
consiste au bénéficiaire à émettre un billet à l’ordre de son banquier, ce billet financer est alors
escomptable et garanti par le nantissement des marchandises.
Les cautionnements :
Ont pour objectif à l’entreprise d’éviter d’immobiliser des sommes importantes sous
forme de cautionnements en espèces soit lui permettre d’obtenir des délais de règlements de sa
date à l’égard de fisc.
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4-Crédits à l’exportation :
Se sont des crédits d’une période allant jusqu’à 7ans pour les emprunts à moyen terme
et jusqu’à 15 ans, voire 20 ans pour les emprunts à long terme. On distingue trois sortes de
remboursement :
1. La définition du crédit bail : Une opération par laquelle une entreprise demande
à une société financière spécialisée d’acheter, à sa place un bien immobilier ou
mobilier et de lui louer ce dernier. Trois solutions s’offrent généralement à
l’entreprise : Relouer le bien considéré contre une redevance modeste, le
racheter à une résiduelle, Le restituer purement et simplement.
*crédit bail mobilier : le choix du bien est effectué par l’utilisation qui détermine avec le
vendeur les conditions de vente appliqués au bailleur les obligations sont sembles pour le
locataire et le propriétaire.
*crédit bail mobilier : sa nature est de longue durée, les loyers et valeur de rachat sont
indexés.
Les PME ont toujours eu du mal à s’insérer dans le système financier classique ce qui
les conduit à souffrir d’une sous-capitalisation de nouvelles formes de financement ont été
mises en place à savoir le capital risque qui se voudrait une réponse aux besoins de financement
en fonds propres des PME.
Caractéristiques :
S’adresse à des PME qui ne sont pas cotées en bource mais qui ont de fortes
perspectives pour l’être ;
L’investissement peut être en quasi-fonds propres ou par des apports en compte
courant des associés ;
Absence de garantie ;
L’allégement de la charge.
La bourse est un lieu de rencontre et d’échange entre une offre et une demande de
capitaux à long terme dont le support est représenté par une valeur mobilière ce qui permet
d’avoir des fonds propres plus importants sans intérêts ni contraintes de remboursement
(financement gratuit), ce qui réduit leur dépendance vis-à-vis des banques et en même temps,
diminue leur vulnérabilité aux cycles économiques, ainsi il leur permet aussi d’acquérir une
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image saine, transparente et moderne, qu’elles pourraient utiliser pour se valoriser sur le
marché national et international. Il faut noter que la préparation d’une introduction en bourse
comporte trois grandes étapes :
L’analyse financière et l’évaluation : Réalise par les analyses financiers des banques
d’affaires.
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Chapitre II : Étude empirique sur le financement des PME
Section 1 : Méthodologie de travail
En dépit de cette multitude de source de financement, les PME marocaines recourir le
plus souvent au secteur bancaire, ce qui a permis la naissance et le développement de certaines
relations entre les banques et les PME. Donc quelle nature pour cette relation ? Et quelles sont
les difficultés que les PME trouvent en matière de financement ?
Toutefois, l’échantillon sur lequel s’est basée cette étude est un échantillon qui ne
respecte pas la rigueur académique requise par telles études, il permet néanmoins par sa taille
de 25 entreprises de conceptualiser une idée de la tendance générale des PME marocaines et
leurs relations avec les banques. Un travail en profondeur demande des moyens plus importants
et des facilités de la part des dirigeants des PME.
À ce propos nous voulons signaler que notre attention était d’enquêter à travers un
contact direct avec les dirigeants, mais nous nous sommes heurtés à des problèmes énormes,
parfois il nous a été difficile, voir impossible de pénétrer certaines entreprises, le questionnaire
est déposé auprès d’un responsable qui nous demande de revenir ultérieurement ce qui rend le
dialogue direct presque presque impossible.
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Section 2 : Dépouillement et Analyse des résultats de l’enquête
Cette section sera consacrée à la présentation des résultats de l’enquête, le premier
paragraphe sera réservé à l’analyse des résultats du questionnaire adressé aux PME et le
deuxième pour celui adressé aux banques.
18 des PME enquêté refusent l’ouverture du capital aux nouveaux actionnaires en cas
de difficultés financières, cela peut s’explique comme nous avons déjà cité à la particularité de
la vision des dirigents qui veulent garder le contrôle de leurs propres sociétés.
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Le financement bancaire, le moyen le plus répondu pour combler l’insuffisance de
l’autofinancement, notre échantillon confirme avec 85% des entreprises qui affirment recourir
aux crédits bancaires (sous divers formes) dont seulement 20% trouvent les conditions faciles,
contre 65% qui les trouvent difficiles pour plusieurs raisons comme déclare l’un de nos
enquêté : « vue le taux d’intérêt réel trop élevé et du manque de transparence d’information ».
Nous remarquons une concentration du recours aux banques avec une part cumulé de
78% chez trois BMCE, BMCI et banque populaire. Le taux d’intérêt reste le 1er critère pour le
choix de la banque suivis par la qualité de service d’accueille et de transparence en matière
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d’information. À partir de certaine taille, l’entreprise a besoin de plusieurs banques pour bien
mener sa structure financière, 85% des entreprises qui recourent au financement bancaire
choisissent plusieurs banques afin de pouvoir obtenir plus de facilité de caisse et donc
augmenter le niveau de leur activité, avoir la possibilité de cumuler un certain montant de crédit
supérieur à celui de qu’elles pouvaient obtenir auprès d’une seule banque, ainsi que pour
bénéficier d’une qualité de service variable et pour avoir une force de négociation.
90% des PME enquêtées affirment ne pas bénéficier d’assistance ou conseil à leur projet
auprès de leurs banques, un chiffre qui signal l’absence de relation de coopération des
banques avec leurs clients afin de développer leur activité. Ainsi, 85% des PME enquêtées qui
recourent au financement bancaires trouvent que les garanties exigées par leur banque sont trop
lourd « ils sont des fois pas raisonnables » dit l’un de nos enquêtés. Pour les autres moyens de
financement, 68% de nos enquêtés confirme avoir opté au moins une fois pour le leasing
lorsqu’il s’agit d’un besoin en actif immobilisé.
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Les PME semblent désintéressées à l’introduction boursière avec un taux de 80%, dont
69% l’expliquent par leur volonté de garder le contrôle de l’affaire et rester à l’abri des
fluctuations de marché boursier, suivis par le capital minimum exigé pour l’introduction à 19%
et le coût de l’introduction estimé élevé par 12% des opposants. Nous voulons signaler le
manque de connaissance de quelques dirigeants du marché boursier soit en raison de l’absence
de communication auprès des banques ou de la nature de formation de ces dirigeants.
D’autre part les 20% qui ont pensé à introduire leur entreprise en bourse, 75% d’entre
eux l’explique par le fait de vouloir bénéficier d’une diversification de l’offre financière et de
vouloir s’échapper du monopole des banque, tant que pour 25% il s’agit d’une opportunité de
croissance externe de leurs activités.
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Toutes les banques exigent des garanties
pour octroyer des crédits aux PME, la BMCE
demande des cautions solidaires, de l’hypothèque et
des nantissements sur fond de commerce.
Les banques ont exprimé leur crainte d’octroyer des crédits à long terme parce qu’ils
présentent un risque plus élevé surtout avec les PME, et expliquent que c’est la raison pour
laquelle elles exigent plusieurs formes de garanties afin d’échapper aux risques de non
remboursement de la part des PME en plus d’une étude précise de leur dossier. Les banques
expliquent également qu’elles peuvent accorder un financement des projets des PME à hauteur
de 80% à condition qu’elles répandent à ses critères.
Les banques enquêtées confirment que les lignes nationales sont les plus utilisées par les
PME, par exemple la ligne d’escompte des effets de commerce, les facilitées de caisses, les
découverts et les lignes de crédit documentaire en cas d’export.
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Section 3 : Recommandations pour optimiser le financement des PME
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Quatrième recommandation : Améliorer la transparence des PME :
Garantir et améliorer la transparence comptable et financière des PME marocaine est
primordial car sans comptes lisibles et conformes à la réalité, il n’y a pas de financement sain.
En liaison avec la recommandation précédant, le responsable Etude PME à Inforisk
M. DIOURI Amine explique que l’une des explications de la faible volonté des PME à
s’introduire en bourse par le faite que la cotation implique une transparence totale des comptes
de l’entreprise. Et de nombreuses sociétés ne sont pas encore dans cet état d’esprit. Et quelle
ont encore d’énormes progrès à réaliser en matière de gouvernance notamment.
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Conclusion
Donc il faut encourager les PME qui subissent des impératifs macro-économiques,
technico-économiques et sociopolitiques imposées par son environnement national et
international, cependant le principal obstacle qui entrave son développement reste le problème
de financement (bien sur à coté d’autres économiques et managériales), soit par faiblesse des
moyens de financement propres ou par complexité des procédures à suivre pour les atteindre.
Au Maroc, l’expérience de promotion des PME est récente, dans la dernière décennie
que les autorités marocaines l’ont optée pour résoudre les problèmes socioéconomiques.
Pour finir sur une note personnelle, nous ajoutons que, tout en nous faisant expérimenter
les difficultés du travail en équipe, et le plaisir de les surmonter en parvenant à des accords
essentiels pour la progression de tout travail commun, ce projet d’études a été une véritable
occasion de nous initier à la recherche et à l’analyse d’informations.
Nous nous sommes rendu compte qu’il ne suffit pas de connaître la technique pour
réussir professionnellement, il faut encore développer un savoir-être permettant d’intégrer
facilement l’équipe du travail. Nous avons apprécié d’avoir la possibilité d’être facilement en
contacte avec les professionnels, d’exercer l’esprit d’écoute, et apprendre être à l’aise dans les
relations avec eux ainsi qu’avec les collègues de travail pour surmonter les obstacles et réussir
notre mission.
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Annexes 1 : questionnaire adressé aux PME
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Annexes 2 : questionnaire adressé aux banques
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