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A MWRSEÏLLE, .
M IY,
MOTIF DJE PUBLICATION
DE CET OUVRAGE.
Jr Avoir envoyé cette Dissertation au Conseil d»
Santé qui Ta jugée pouvoir être utile ainsi qu'on I«
,
verra par la lettre suivante que je publie, pour donnée
plus de confiance à cet écrit. J'ai tâché de perfectionner
la partie des fausses Phthisies StPiïthisies symptomati-
ques, ainsi que le Conseil l'a demandé; quant au
style je demande grâce, pour lui, à mes lecteurs;
,
8c comme on ae peut jamais faire le bien assez tôt',
je me fuis empressé de faire imprimer à mes frais,'
saas attendre un avenir toujours incertain.
SALUT ET FRATERNITÉ.
SECTION PREMIERE.
CHAPITRE PREMIER. 1
DE LA PHTHISIE P ULMONeAIR.E
Ê N Gáíîí R AL.
§. I
i. i A question que nous allons aborder est une
preuve sensible dés progrès qu'a fait l'art de guérir
dans ces derniats terns, ; battus, comme les autres
membres de la société, par les orages de l'opiniofi,
les Médecins ont beacoup imaginé, ont beaucoup
* écrit' fur la matière qui îes cencërne ils ont dohc
,
dû commettre beaucoup de fautes, en même terris
qu'ils oat dû faire beaucoup de bien; amenésenfin
au port par le goût des sciences: exactes , ils ont
senti "la néceslìtj de soumettre les divers systèmes à
Panalyíç, '-lí'-"iténrM^$p^es-rpMÌ^Í:^^&i^^s
avec rimpartiahte Sc*l|; ícalme de la raifôn ; or ce
moment pour le sage, est celui d'où ^oitdâter
,
Tépoque lá plus glorieuse de la médecine ,'5c la
plus heureuse -pour Thuirianité -surtout dàns des
,
inaladies aiiíE dangereùícs qu« difficiles ^: ;telíès que
la phthisie pulmonaire.
Ici commence lá science, où finissent les élans de
,
l'imagination, où le génie créateur se soumet à l'exámen
froid 'Sí. circonspect du "jugement Ce terme
...
unique sarictuaire de la vérité, oserai-qe croire,ïavoir
,
;
la suppuration que causoient plusieurs cautères „
\ laquelle cessa aussitôt que ces cautères furent fermés (*).
ìJ'ai vu au contraire un ou deux Cas de grande
, ,
£ suppuration , dans lesquels cependant il n'y avoit
\ point de fièvre, mais nous ne pouvons tirer de ce
ï~. "V ""' " --
' —
u i
' -> '' . n i Li ir
(*) Culkn. nosclog. hectics.
»': jecorls, ventris, mesaraei r renuní & eqli, adhàâ
ob diuturnas uteri thoracis pulmonis fepû •
» , , ,
« tranfversi., & aliarum pdrtium instammattones pro\
» ventre solet. (*) » On pourroit même aufii douter
fi les anciens n'ont pas pris pour la fièvre hétique ,
•des fièvres iatermitentes masquées, St d'un type
non décidé; ce qui prête à cette conjecture, c'est la
ananiere avec laquelle certains médecins traitoient
les fieyres lentes,; St quelque fois, heureusement, au
.rapport de Celsé\ ils: employoient une médecine
téméraire St violente, désapprouvée par les successeurs
Sfîippocrate , avec laquelle ils iìxoient la fièvre p
,
St changeoient la maladie ( **-).. Or cette méthode
incendiaire auroit-elle eu successivement des secta-
teurs, 8t h'áurcrit-elle- pas été continuellement meur-
trière s'ils avoient eu à traiter la véritable fièvre
,
hétique? ' - " •
C.H A P I T R E II.
,
pour le malade un état de bien qui dure jusqu'av
prochaia redoublement de midi , St que "même les
aliriiens ne troublent pas. La seconde rémission , celle
de cinq heures du soir, environ, est beaucoup plus
courte, St moins complette.
B. Cette fièvre est souvent accompagnée de quel-
ques frissons , ou d'un sentiment de froid tantôt gé-
néral, tantôt seulement le long du dos. ,
C. Le pouls durant les redoublemens, estpetit,
ferré St précipité ; dans l'intervalle des redouble-
,
mens , il est également petit St tendu , St rarement
fans un peu de fréquence.
D. La peau durant Jia fièvre est sèche St brûlante,
surtout à la peáume des mains St à la plante des
pieds.
E. Le visage est ordinairement pâle , excepté les
pommettes lors du redoublement. La conjonctive est
d'un blanc perlé.
F. Les urines déposent un sédiment briqueté St
furfuracé qui reste toujours suspendu dans le fluide ,
qui le colore fans cesse , St qui ne se précipite qu'en
partie.
G. L'appétit, les facultés de l'ame St celles de la
-.
CHAPITRE III.
-
par plusieurs observations trop longues pour être
détaillées ici. '
. -
f
vigueur, mais avec empâtement St la langueur des
organes secondaires, enfin avec un demi exercice dés
;
fonctions nécessaires ..à son existence active ? fans
doHte il est des cas:,-St nous en parlerons ,
où
l'hommé qui aime.la vie quelle qu'elle soit, :doit se
contenter d'une existence passive, St où quelques-uns
de ces moyens sont seuls indiqués ,• mais je ne crois
;
1 annoncent évidemment
que le traitement doit com-
.
mçncer par les analeptiques dès le principe même
'. ' ,44
de la suppuration 8t qu'on doit y insister opiniâtre-
,
ment jusqu'à la fin. de la maladie.
Ici, le bon vin, le Kina, un air sec, les, fumiga-
tions sèches St. aromatiques les sommeils courts
, ,
la déclamation les frictions, les. alimens légèrement
,
stimulans 8t toutes les substances soit alime.nr
, ,
taires, soit médicamenteuses qui peuvent: par leur
arôme stimuler les nerfs de l'estomac, d'où par
,
Consensus, Tàction des poumons est elle-même augmen-
tée tout cala dis^je 8t autres analogues étant
, ,
sagementcombinés St gradués suivant les circonstances,
font parfaitement indiqués, St conduisent le malade
à' pouvoir ensuite se livrer aux exercices prolongés
de Téquitatìon qui peuvent achever la cure.
-
C'est dans ce cas,..que les vomitifs dont ont tant
parlé les médecins de Téçole de Gnide, §. 17,,St
le Docteur Reìd après eux,. qnt.souve'nt de véritable
succès ; dans quatre cas pareils, chez des phthisiques
à fibre molle j'ai employé la.teinture d'hypécacuana,
,
de trois en tioìs jours St je n'ai pas eu à m'en
repentir. •'':.
,
;
CHAPITRE V.
,
chez ceux à poitrine étroite 8t que la phthisie
,
ulcéreuse puisse également survenir dans l'une ou
l'autre supposition ; en jénéral cependant, les adhé-
rences produisent la phthisie ulcéreuse dans le cas
de poitrine large St de constitution robuste , St la
phthisie tuberculeuse dans le cas contraire consi-
, ,
dération qu'il est très-important de faire dans le
(
CHAPITRE VI.
(**) DeXSed
& Causis. Morb. L,H. Epist. XV. N.°zz.
6í
l'histoire nous a, conservé le aom íî l'on peuï
,
appeller vie cet état où l'on craint toujours, où
tout devient excès, St. où l'excès le plus involontaire
St le plus innocent entraîne rinflammation St l'ulcere, "
.
'
» infirmés vires hábènt, non vulgaris noxa , imo inter-
» dum mors talium potiohe cbmitatur. (*)
72. Dans l'un St l'autre cas , les vomitifs hâtent
ici lá perte "du malade ; il en est de même des
huileux, ides baumes St des remèdes chauds. On en
conçoit a'isémént lá raison •' c'est dé la diététique St
de Tëxércicé qu'il faut attendre le plus grand bien.
La'návigatson St í'éq'uifáfio'n prolongées même plus
Idng-tèms que' dans le second degré conviennent
,
particulièrement employées avec les précautions
,
(*) Lib.T.c. XHi. p. 41 et 1. 1. í, iv. de Tussi et medi-
r
camento diacodeion.
propres
propres à chaque cas, pareerqu'en rendant la trahis
piration égale fur toute la surface, St en favorisant
toutes les sécrétions , elles diminuent Tarîluenced'hur -
meurs dans les poumons, St l'ulcere étant déjà formé *
elles n'inspirent plus autant -de-craintes qiie quand,
il faut tout éviter pour en prévenir la formation.
73. Dans le quatrième tems , il s'en faut bien que
nous devions changer de "marché ;lâ nature languis-
sante St presqu.'à son dernier. effort réclame au
, ,
contraire, de nous d'être aidée 8t soutenue par un
,
régime tonique efficace qui puisse s'accommoder aux
circonstances. -..?
,
•N
iv. -JEU
Phthisie' à
:..:!::;:::':
là sûiie
;, :'. :ì!..";; :"
de fhéihopKthifie.
.
'...
.
i:.\ :- ' .
.':
**
76x
CHAPITRE VIIL
CHAPITRE IX.
''"....*
£*) Voyez Rama2iiú, de morb. artificuin.
8$
du mal; la raison ,,.St des observations heureuses
de pratique que j'ai faites fur des meuniers et des
mineurs m'indiquent, au contraire que si Ton est
, ,
appelle dès les commencemens de Jadispnoee occa-
sionnée par ces matières il -faut en tenter la cure
,
radicale, qui consiste dans Tusage des vomitifs répétés,
après les avoir fait précéder des remèdes généraux
appropriés aux circonstances.
Les premières voies sont ordinairement aussi tapis-
sées d'une^croute terreuse qu'il est instant de détacher,
St d'évacuer, parce qu'elle empêche les digestions
f
St absorption du chyle; les vomitifs de tout genre
,
choisis suivant Tindication, remplissent parfaitement
cet objet, en même-tems que par les secousses qu'ils
occasionnent, ils font rendre par Texpectoration
,
les tubercules terreux dont la présence ne tarderait
,
pas à produire l'ulcere, 8t en empêcherait la cica-
trisation, s'il existait déjà, tubercules qu'on ne.pour-
rait détacher ni évacuer par aucun autre moyen.
87. Le régime tempérant ou tonique qui peut
convenir à ce traitement, sera indiqué par le degré
de forces du malade, d'après les règles énoncées,
§. 60, 61 62 St suiv.
,
88. Mais si le mal est déjà au second degré quand
nous sommés appelles , qu'il y ait à présumer que
l'amas terreux se soit déjà endurci, St comme enkisté
dans la í-wbstanee^uln^onaire., ou çu'il soit accom-
G x
pagne de vrais tubercules, St que le malade expectore
déja du pus ou des crachats mêlés de sang , 'nous,
nous garderons de recourir'à la cure radicale, § 58,
nous bornant à prévenir de plus grands maux, par
la méthode des palliatifs, à laquelle nous recourrons
auffi uniquement dans le dernier degré de cette
,
maladie lui combinant alors les analeptiques çornme
,
Tunique ressource qui nous reste.
C H A P IT R E X,
C HAPI T R E XI.
Disposition à là Phthisie.
:
La phthisie étant îoujours dans- ses çommence-
mens une maladie, active il est dans Tordre des
, ;
,
jamais .eu lieu.
'...' ...
99. ' Des forces qui ne répondent pas à la volonté
- f-.
...
censurer les écrits, me; pardonne:-ces expressions : Le
vice de leurs préceptes nair de la confusion ; içi.j
çpmme ailleurs,, ils n'ont pas-assez distingué les cas ;'
ils ,ont posé des principes généraux, fans faire usage
de^ Méthode.j,.dont le.défaut^est b,ien plus -nuisible r
en médecine, que dans les agtres sciences. Les se-
cours dont je .viens, de parler, ont une époque OÙ
ils font infiniment utiles, St .une autre,, ipù ils,son,t
pon-feulement. inutiles,, mais .qncpre dangereux
,
|
parce qu'ils'font négliger les moyens qui peuvent
jêjre r:rée^lement effiçaees. Leurs auteurs _eussent dory:
.dû:pjpser, ave.ç;clarî.é;;ces difféjens cas-|.\
105. Etant donc, consultés pour un íbjet dont
les parens étpjent phthisiques, .8t pour .qui Ton craint
,1e. même fort »:;nous ferons une-grande attention s'il
S E C T ION I I.
C H A P ìTRE XII.
C H A P I T R E X IXI.
Scorbut, avec apparence de Phthisie.
c'--'
-
'
---: '• - •- '
|r r-1-"•••-'-••' ''
qui, jugeant à la hâte en pareil cas d'après les
,
•' "" -----
~K*)'' Voyes-nton Afâa. &r les affections scorb., imprimé \
Jìfobruo aa ut.
j
apparences
'apparences, dé pléthore craindroit finflammatton $
,
St prescriroit, pour la prévenir la saignée St, lés
,
autres remèdes antiphïogistiques , commettroit une
faute irréparable ; car il est évident, que dans un
•íi grand abandon des forces naturelles, il faut insister
beneficium est
.
» ,
•» &.ne quid deterius experiatur. » (*) ;
"11:5.-. Lës.auteurs conviennent que- Thémòphthisie •
C H A P I T R E XI V.
120.
J'AI été autrefois dans í'opinion ", fur le' té*
tnoignâge de Boerrhave St de Vansvietten (*), tjue la
(*) Comment. In Aphorism. §. i'44í» Bennet. Theat,
.
JTabiA. p. 3j.
ínaládîe vénérienne pouvoit décider ùnë véritable
phthisie pulmonaire eh attaquant les organes de
,
la respiration ,• ayant eu depuis lors occasion dé
traiter plusieurs vénériens qui étoient, en même rems ,
phthisiques 8t qui croyoient eux - mêmes qu'ils
,
dévoient leur maladie à une vérole ánciénne j'ai
,
commencé à douter si le virus'vénérien peut attâ-
•qùer immédiatement les poumons ; car si la phthisie
dont ils étoient atteints eût dépendu de ce virus,
«Ile auròit disparu avec lui à la suite du traitement
approprié ainsi qu'on lê prétend aussi ; mais après
,
%voir eu â combattre là vérole, j'aT encore eu à
traiter la phthisie , qui n'avok diminué en riea
par les remèdes qu'on avoit employés pour la
^emieré maladie. Si une vérole réelle St manifeste
:B« produit pas la phthisie encore moins pourra-
,
%-on l'attribuer à ce virus, quand ne s'étánt jamais
manifesté par des signes extérieurs, on le soupçonne
«epeadant héréditaire, ou quand le malade ne fait
que soupçonner le virus, parce qu'il cîaint de s'être
exposé à la contagion quoiqu'il n'en ait eu aucun
,
Jymptômé local, ou-que, s'il en a jamais eu, ce$-
symptômes se sont dissipés depuis longues années.
ni. Voici cependant quelques circonstances qui
ont pu raire croire à la phthisie vénérienne. "
*'"'' '
i°. Dans la vérole proprement dite Ton fait
, ,
çue
ífj. - •
CHAPITRE XVI.
. * . .n i.».,
Prit.'f.''jíi.' '"'" ^
1
! (*) Med.
"*
Ç H A P I T R EX V I I.
Fausses Phthisies Pulmonaires.
x 29.
Ji 'Entends par fausses phthisies pulmonaires,, cet
état dans lequel le malade crache du pus, ou une
matière qui lui ressemble, tantôt fans autre., symp»;
tome de phthisie que la toux, tantôt avec quelqués-
uns'd'e ses^autressymptômes, & fans aucunindice4ece?,
diathêfeS: morbifiques générales dont j'ai parlé dans,
les chapitres précédens fous le nom dé phthisies
,
symptômatiques. L'on fait que les plus habiles mé-
decins peuvent souvent se tromper sur le diagnostique
de la phthisie pulmonaire ; Touyrage De caufis &
sedibus morborum de Timmortel Morgagni, estrenw
pli de, traits , où nous voyons que Touyerture dw
cadavre, a démontré Texistence de la phthisie puí-
..~i :..'í i,-, .j':r. ''•-,/. " .".~X '' / ' 'J-
monaire là, où Ton ne Tauroit pas cru, St fa non- :
'. ' '.. ;"? ':
. „ >
,
G H A P I T R E XVII. :
Maladies Catarrales.
AL
ï 3 3- ma toujours paru qu'il convenoit de distingues
tTôis tems dans TafFéctiori catarraîé ; le premier qui est
communément inflammatoire, le second qui ëstcelui de
l'expectoratiòn du mucus visqueux qui s'est ramassé
dans les cellules des poumons 6c du tissu cellulairequi
environne les bronches 5c la trachée, Sc le troisième
ehfîn, qui paroit n'être plus qu'une habitude de
sécrétion de ce même mucus.
Sur la fin du second tems, il arrive souvent que
l'expectoratiòn semble fournir du vrai pus, grisâtre,'
pesant, 8c se divisant facilement; quand le malade
ne repose pas pendant la nuit, cet état est accom-
pagné d'un peu de fíevre Sc de chaleur, ce qui joint
à la toux 5c à ramaigrissemént, peut faire croire à
ia phthisie; mais en observant, i°. "Que la fíevre n'a
f as le caractère de la fíevre hgtiqu'é ,:-§. z z, compagn?
'\ Ma
Indivisible tfèîa-phthisie ; z°. Que les maladies catafc*
raies font ordinairement des maladies de la saison^
& quelquefois même: épicrémiques , enfin , en ayant;,
égard à la constitution du sujet, aux causes antécé-;
dentés, à. la durée de la maladie, aux maladies,
intercurrentes, à la saison, aux variations de l'atmoC
phère/ï St a la nature, du sol qu'on habite, U fera
pioins -facile de se tromper que íí on ne faisoit
attention qu'à 1'expectoratioa qui est fort sujette à,
induire en erreur.
134." II convient cependant de ne jamais se .fíer à
la^.bénignité de la maladie car dans-certaines dispo^
,
íìtionsí.§ 98 ou quand l'on a employé un mauvais
,
traitement dans le premier terns le plus simple,
,
çatarre peut produire des adhérences, §. 40 , ou la
Phthisie tuberculeuse, §. 53,
•
13 5. La cause prochaine de toute affection catar-*
?ale ('h©rs celles dont nous parlerons, §.139) étant
manifestement dans un spasme qui se fait sentir par
des frissons Ì d'où l'action artérielle est augmentée, il;
est difficile de concevoir le premier tems fans être*
accompagné de plus ou de moins de diathêse
inflammatoire ; parçonsequent,- ici, le régime doux *>
tempérant &. très-délayant est particulièrement
,
indiqué, approprié au degré de violence de la maladie»
&• à l'état de forces du sujet ; tant qu'il a chaleurs
^çherejûTej te'ofion à lapeau& insortìnie;, U faut êtrig
«o "garde contre un régime contraire; ;le vuí^îfe^»
<
CHAPITRE XVII I.
Phthi/ìe Stomacale & Phthisie par
,
épuisement*