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Année 2020-2021

CHILDHOOD’S STORY OF MOSES MAKOSSO

La douleur en action de grâce

La vie est un obstacle que tout le monde veut surpasser afin de réussir avec succès. L’homme dispose trois
grandes périodes qui construisent sa vie telles : le passé, le présent, et le futur. Le passé est une expérience, le
présent une expérimentation et le futur l’attente. La plupart pense que nous devrons utiliser l’expérience dans
l’expérimentation afin de réaliser les attentes. Pour accomplir cette mission il faut que : la solitude, l’espoir, la
confiance et la foi règnent. Quels sont les passés sombres que l’on a eu à rencontrer et quelle lumière qui a eu
à éclairer sa vie ? Nous allons expliquer chaque période pour que l’histoire soit bien comprise.

Des moments douloureux

Pourquoi cette expression de vivre l’envahit ?

Etre seul et pourtant toujours entouré, une enfance difficile à décrire parfois qui peut comprendre ce que cela
dire ? Ressentir une douleur qui songe en silence, cette blessure qui augmente au fur et à mesure.

A peine commence-t-elle à cicatriser que souvent sans le vouloir ses pensées vagabondaient une fois qu’il se
pensait libre. Il se retrouvait enchainé et lentement elles remontaient là où ça faisait le plus en plus mal.
Essayer de les évacuer ou alors l’envie de les enfermer mais à bout de souffle, il se laissait submerger les larmes
remontaient alors à la surface sans crier gare, elles finissaient par se nettoyer. Existe-t-il seulement un remède
pour ces maux ? Le traversèrent. Il espérait juste un jour réussir à tuer la révérence de ces souffrances qui le
transpercèrent. Il a vécu une solitude terrible…. la solution ce n’est pas être seul la solitude est plus profonde.
C’est regarder les gens qui l’entouraient et se dire qui s’intéressait à lui vraiment  ? Qui passe du temps avec lui,
qui l’aimait sincèrement ? Qui aurait peur de le perdre ? Alors on se rendait compte que la réponse était
toujours la même : Personne, c’est ça la solitude. Se sentir seul dans le cœur et l’âme perdre l’envie de sourire,
l’envie de vivre car la solitude le rongeait et le laissait pantelant de douleur.

Malgré toutes ces étapes il gardait toujours sa générosité, sa sagesse, sa justesse, politesse son intelligence et
son éducation changeront sa vie.

Ce fut une nuit une voix apparente, parla à haute voix « concentres-toi sur le chemin que tu as à parcourir, ne
regrettes pas ce que tu as vécu, toutes les expériences et les cicatrices ont fait de toi la personne que tu es ».
Après cette révolution une lueur d’espoir y apparut comme un éclat. Le lendemain le alla raconter ce rêve à sa
mère MOUANDA ZITA. En outre, sa mère lui eut posé une question «  N’est-il pas miraculeux après avoir
dormir et se réveillera vivant  ? Cette vie est plus fragile qu’une bulle sur l’eau. » La portée de cette question a
complètement changé sa vie en se demandant qui lui a donné le souffle de vie.

A suivre L’ESPOIR…..
Apparition de l’espoir

Sa mère ne lui avait peut-être pas donné ce qu’il voulait (être dans une famille riche, être heureux,
victoire face à la solitude,…). Mais elle lui avait donné ce qu’elle pouvait l’espoir. «  La vie est un
chemin à long terme où vous êtes le maitre et l’élève  : parfois vous devez enseigner, mais tous les
jours vous devez apprendre.» Disait sa mère MOUANDA.

Le garçon sourit et se rendre qu’il était son maitre. Son avenir ne dépendait que de lui, personne
d’autre ne pouvait prendre sa vie future en main, de même que seules ses épaules pouvaient le poids
de sa vie actuelle. Malgré ses peurs et ses doutes, il continua à suivre cette route qui menait à la
lumière, qui irradiait la paix et la joie. Ajouta sa mère «  mon garçon, tout le monde veut le bonheur,
personne ne veut la douleur, mais tu ne peux pas voir l’arc-en-ciel sans un peu de pluie. Fiston ne te
décourage jamais où la chenille pensait que le monde était fini et se transforma en papillon  ».

Il alla, au hasard du soir et du chemin comme les meurtriers et comme les infâmes, veuves,
orphelins, sans toi, ni fils, ni lendemain à la lueur de forêt familière en flamme. Ah puisque son sort
était complet, qui en fin un peu abolit la solitude. Redresser le feuillage de bois et les fleurs du gazon.
A mi-chemin d’espoir et leurre qui le tua. Qu’est-ce qu’il s’inmiçiait partout ? La quête d’un désir non
voulu. De retrouver le paradis perdu. Quand on aime à en être fou.

Qu’est-ce que cette froide longueur qui le pénètre quand son retour.

A mi-chemin de ce ci doux parcours que les êtres se cherchent un « lui ». Il caressa l’espoir, il se figea
à ses peurs. Comment imaginer un possible retour, l’inertie à la vie cala ses insomnies.

A l’épicentre de ses froides envies, un peut-être, il retard à le jour et pour s’apercevoir qu’il était à
léthargie.

L’espoir est important, car il peut rendre l’instant présent moins difficile moins difficile à supporter.
Si nous pensons que sera meilleur, nous pouvons supporter les difficultés d’aujourd’hui.

Deux ans plus tard, le garçon affronta son brevet d’étude du premier cycle(B.E.P.C) grâce au soutien
de sa magnifique MOUANDA ZITA. Sa mère vivait dans la prière et dans la foi en Dieu. Le garçon
réussissait son examen avec une moyenne de 15. Le Tout puissant toucha le cœur de grand père qui
vivait à L’AEROPORT. Quelques mois après la délibération le garçon rejoint son Papy BAKA
DONATIEN. IL continua ses études secondaires mais en se demandant ses objectifs de s’en sortir de
cette solitude, mais ce qu’il savait. Ce que rien, ni personne ne l’enverra l’espoir qu’un jour qu’i
arrivera.

A suivre La confiance….

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