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Le processus subi par les données, du

nœud source au nœud de destination, est


le suivant :
 Les données utilisateur sont
segmentées par la couche transport,
placées dans des paquets par la couche
réseau, puis encapsulées sous forme de
trames par la couche liaison de données.
 La couche physique code les trames et
crée les signaux électriques, optiques ou
ondulatoires (radio) qui représentent les
bits dans chaque trame.
La couche physique du nœud de destination
récupère ces signaux individuels sur les
supports, les convertit en représentations
binaires et transmet les bits à la couche liaison
de données sous forme de trame complète.

Lorsqu'ils sont reçus au niveau de la couche physique d'un hôte, les bits sont
formatés en une trame au niveau de la couche de liaison de données. Un paquet
est l'unité PDU au niveau de la couche réseau. Un segment est l'unité PDU au
niveau de la couche transport. Un fichier est une structure de données qui peut
être utilisée au niveau de la couche application.

régissant la façon dont un serveur Web et un client Web interagissent -> protocole


d'application
prendre les segments du protocole de transport, les encapsuler dans des paquets et
leur attribuer les adresses appropriées -> protocole Internet
préparation des paquets à transmettre sur le support réseau -> protocole d'accès
au réseau
- non marqué -
gestion des conversations individuelles entre serveurs web et clients web ->
protocole de transport

Expliquez: la bande passante est la mesure de la capacité d'un support réseau à


transporter des données. C'est la quantité de données qui peut se déplacer entre
deux points sur le réseau sur une période de temps spécifique, généralement
une seconde.

Trier les éléments


La couche physique code les trames -> Étape 1 *
La couche physique crée les signaux qui représentent les bits dans chaque trame -
> Étape 2 *
Les signaux sont envoyés un par un sur les supports. -> Étape 3
La couche physique récupère les signaux individuels des médias -> Étape 4
La couche physique restaure les signaux individuels dans leurs représentations
binaires -> Étape 5 *
À chaque tronçon le long du chemin, un routeur :

 accepte une trame d'un support ;

 désencapsule la trame ;

 réencapsule le paquet dans une nouvelle trame ;

 achemine la nouvelle trame appropriée jusqu'au support de ce segment du réseau physique.


Les blocs d'adresses IPv4 privées sont les
suivants : 10.0.0.0/8, 172.16.0.0/12 et
192.168.0.0/16.
 dans un environnement de test, l'interface série se connectant à
l'extrémité du câble série étiqueté DCE doit être configurée à l'aide de la
commande clock rate.
Remarque : L'utilisation accidentelle de la commande clock rate sur
une interface DTE génère le message informatif « %Error: This
command applies only to DCE interface ».

L'interface de bouclage est une interface logique interne


au routeur. Elle n'est pas affectée à un port physique et ne
peut donc jamais être connectée à un autre périphérique.
Elle est considérée comme une interface logicielle qui est
automatiquement placée en état « up », tant que le
routeur fonctionne.
 show ip interface brief - Affiche un résumé de toutes les
interfaces, notamment l'adresse IPv4 de l'interface et son état
de fonctionnement actuel.

 show ip route - Affiche le contenu de la table de


routage IPv4 stocké dans la mémoire vive. Dans CISCO IOS
15, les interfaces actives doivent apparaître dans la table de
routage avec deux entrées associées identifiées par le code
« C » (connecté) ou « L » (local). Dans les versions
précédentes, une seule entrée avec le code « C » apparaît.

 show running-config interface id d'interface - Affiche les


commandes configurées sur l'interface spécifiée.

default-information originate (commande permettant de


retracer une route par defaut)
 une table de routage est un fichier de données dans la
mémoire vive qui sert à stocker des informations concernant la
route pour les réseaux connectés directement et les réseaux
distants. La table de routage contient des associations de réseau
ou de tronçon suivant.

 L : identifie l'adresse attribuée à l'interface d'un routeur. Ceci


permet au routeur de déterminer efficacement s'il reçoit un
paquet destiné à l'interface et non à être transféré.

 C : signale un réseau connecté directement.

 S : identifie une route statique créée pour atteindre un


réseau donné.

 D : identifie un réseau découvert de manière dynamique


depuis un autre routeur à l'aide du protocole EIGRP.

 O : identifie un réseau découvert de manière dynamique


depuis un autre routeur à l'aide du protocole de routage
OSPF.

 Origine de la route : indique comment la route a été


apprise.

 Réseau de destination : identifie l'adresse du réseau


distant.

 Distance administrative : identifie la fiabilité de la source


de la route. Des valeurs inférieures indiquent la route source
préférée.
 Métrique : indique la valeur attribuée pour atteindre le
réseau distant. Les valeurs les plus faibles indiquent les routes
préférées.

 Tronçon suivant : indique l'adresse IPv4 du prochain


routeur vers lequel transférer le paquet.

 Horodatage de route : indique la durée écoulée depuis que


la route a été découverte.

 Interface de sortie : identifie l'interface de sortie à utiliser


pour transférer un paquet vers la destination finale.

Les routes statiques sont configurées manuellement. Elles


définissent un chemin explicite entre deux périphériques réseau.
Contrairement à un protocole de routage dynamique, les routes
statiques ne sont pas automatiquement mises à jour : elles
doivent être manuellement reconfigurées si la topologie du réseau
est modifiée. L'utilisation de routes statiques permet notamment
d'améliorer la sécurité et l'efficacité des ressources. Les routes
statiques utilisent moins de bande passante que les protocoles de
routage dynamique. De plus, aucun cycle de processeur n'est
utilisé pour calculer et communiquer des routes. Le principal
inconvénient des routes statiques est l'absence de reconfiguration
automatique en cas de modification de la topologie du réseau.

Pour configurer une route statique par défaut IPv4, utilisez la


commande suivante :
Router(config)# ip route 0.0.0.0 0.0.0.0 { exit-
intf | next-hop-ip }
 Barre verticale (|)
 Commande show interfaces
 Commande show ipv6 interface brief
 Commande show ipv6 route
 Ctrl+N
 Ctrl+P
 show history
 terminal history

 Présentez le dépannage méthodique des routes statiques


avec les commandes ping, Traceroute, show ip route,
show ip interface brief et show cdp neighbors detail.
Les utilisations des routes statiques
 Établir une connexion à un réseau spécifique.
 Fournir une passerelle de dernier recours à un réseau
d'extrémité.
 Réduire le nombre de routes annoncées en récapitulant
plusieurs réseaux contigus en une seule route statique.
 Créer une route de secours en cas de panne d'une route
principale.
 Adresses MAC statiques sécurisées : configurées
et ajoutées manuellement à la configuration en
cours : switchport port-security mac-
address mac-address
 Adresses MAC statiques sécurisées : configurées
et ajoutées manuellement à la configuration en
cours : switchport port-security mac-
address mac-address
 Adresses MAC sécurisées rémanentes : ajoutées
à la configuration en cours et apprises
dynamiquement : commande du mode de
configuration d'interface : switchport port-
security mac-address sticky

Securite des ports :switchport port-security


violation {protect | restrict | shutdown}
La securite des ports: verification

Show port-security interface fastethernet 0/18

Show port-security interface fastethernet 0/19

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