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DIMENSIONNEMENT ET BILAN
THERMIQUE D’UNE CHAUDIERE
Directeur de mémoire :
Monsieur RANOARIVONY Andrianjoelimahefa Honoré-Maître De
Conférences Enseignant Chercheur à l’ESPA
PROMOTION 2009-2010
UNIVERSITE D’ANTANANARIVO
ECOLE SUPERIEURE POLYTECHNIQUE
DEPARTEMENT GENIE ELECTRIQUE
DEPARTEMENT DU GENIE MECANIQUE PRODUCTIQUE
FILIERE GENIE INDUSTRIEL
DIMENSIONNEMENT ET BILAN
THERMIQUE D’UNE CHAUDIERE
Président du jury :
Monsieur RAKOTOMANANA Charles Rodin -Maître De
Conférences Enseignant chercheur à l’ESPA
Membres du jury :
Monsieur RAKOTONIRIANA René -Maître De Conférences
Enseignant Chercheur à l’ESPA
Monsieur RANARIJAONA Jean Désiré -Maître De Conférences
Enseignant Chercheur à l’ESPA
Monsieur ANDRIAMANALINA William
Enseignant Chercheur à l’ESPA
PROMOTION 2009-2010
REMERCIEMENTS
- Je tiens à adresser mes vifs à toutes les personnes qui ont apporté leurs précieuses
contributions dans l’aboutissement de ce mémoire et spécialement:
Introduction
La nature ainsi que le monde sauvage ont une très grande influence sur l’évolution de
l’homme. Ces derniers y trouvent les ressources afin de bien se développer. Lorsqu’on parle
de nature, on ne peut que penser à la faune et à la flore.
Madagascar est très riche dans ce qui est de la végétation. Les plantes à vertu
médicinales y abondent mais encore faut-il le rappeler les plantes doivent être exploitées.
Afin d’exploiter cette technologie avec efficience, il est nécessaire d’opérer avec une
chaudière dont l’efficacité est assurée. C’est l’enjeu du dimensionnement d’une chaudière.
Cette chaudière répond aux exigences en termes de production mais aussi et surtout en
matière de normes environnementaux. La chaudière présente un énorme avantage avec
l’abondance des matières première localement. La chaudière est conçue dans un défi
spécifique qui est d’optimiser les ressources naturelles. Le présent ouvrage comporte trois
grandes parties qui sont le dimensionnement de la chaudière, le bilan thermique, et l’étude
des impacts.
PARTIE I : METHODOLOGIE
Chapitre I : GENERALITE
1.1 Contexte économique
Situation géographique
Dans bien des domaines, Madagascar est en retard comparé à d’autres pays dans le
monde. Dans le domaine de la production ce retard s’affiche sur le plan technologique, en
effet une très grande partie de ce qu’est le système productif évolue dans de méthodes
artisanales. Ce problème se répercute sur la quantité du produit fini autant que sur sa qualité.
Mais le plus grand des problèmes auquel les pays en voies de développement font face, dans
le secteur productif, est sans doute la mauvaise gestion des ressources. Par exemple, avec des
foyers incandescents classiques la quantité d’énergie utilisée peut aller jusqu’à cinq fois de
l’énergie nécessaire. L’optimisation de ces ressources constitue l’essence de plusieurs
recherches et le présent ouvrage apporte sa contribution dans cette lutte continue.
Opportunité
Les déchets ainsi que les produits de récupérations présentent des avantages inestimables
susceptibles d’être réduits en carburants combustibles pouvant alimenter la chaudière. Les
copeaux de bois qui sortent des boiseries, souvent en grande quantité et ayant de très bonnes
qualités en tant que combustible solide sont avantageux du fait de leurs bas prix et des
répercutions mois importante sur l’environnement.
Une autre source fiable d’énergie thermique est l’utilisation de l’huile vidange ; cela favorise
et valorise ce produit qui peut être qualifié de déchet industriel et peut être bien plus.
1.2 L’énergie
Les sources d’énergie avec lesquelles les industries opèrent sont de nos jours très
divers. On peut définir une source d’énergie comme un système fournissant de l’énergie en
permanence sans pour autant diminuer en quantité, le soleil, par exemple, la mer, la forêt, le
vent. Les sources d’énergies sont classées en deux selon qu’elle soit renouvelable ou non
renouvelable.
On peut citer en tant que source d’énergie non renouvelable les énergies fossiles
telles que le charbon de terre et les carburants dérivés du pétrole; en prenant comme exemple
le fuel et le gasoil. Ces sources d’énergies ont l’avantage d’être abondantes et souvent très
abordable. Par contre cette source est épuisable dans le temps et est très polluante.
L’énergie renouvelable
Une autre forme d’énergie peut être exploitée, c’est l’énergie renouvelable.
L’utilisation de quelques-unes d’entre ces sources ne date pas seulement de notre ère mais
depuis jadis. Les plus classiques des inventions sont les moulins à vent et à eau. Ces
technologies exploitent l’énergie mécanique, notamment l’énergie hydrodynamique du vent et
de l’eau pour fournir du travail. A côté, l’exploration et l’exploitation du soleil, mais encore le
bois en tant que combustible est d’actualité. Ces différentes sources d’énergies ont le grand
avantage d’être inépuisables, moyennant une bonne gestion, et moins polluantes. Toutefois,
l’investissement dans leur exploitation s’avère très couteux. Cependant ce coût est accentué
par la recherche de l’optimum c’est-à-dire la réduction des pertes. Les pertes, pouvant être
sous forme d’énergie mécaniques ou thermiques. Ces investissements sont justifiés par
l’amoindrissement des impacts négatifs sur l’environnement ainsi que les coûts rattachés à la
maintenance des installations. La durée d’un projet utilisant les énergies renouvelables sont
plus longues.
2.1 Historique
La première idée d’un système de ce genre semble appartenir à un sieur Barlow, citoyen des
États-Unis d’Amérique, qui obtint en 1793 un brevet d’importation en France pour des
appareils dits fourneaux à chaudières.
2.2 L’Emploi
Marc Séguin : « L’objet de ces appareils est, dit-il, de présenter à l’action du feu la plus
grande étendue de surface possible. Pour cela, on fait passer l’eau dans des tuyaux ou
cylindres et ceux-ci dans le foyer même ; on le peut encore en faisant passer la flamme du
foyer dans des petits tuyaux répandus dans l’eau à chauffer.
Généralité
Une brique réfractaire est principalement conçue pour résister à la haute température mais
également pour une faible conductivité thermique afin économiser de l’énergie. Des briques
réfractaires denses sont usuellement utilisées pour l’intérieur des fours notamment la paroi
intérieur ainsi que les plaques chauffantes car elles sont sujets à l’abrasion due aux cendres
ainsi qu’aux fumées. Dans les conditions meilleures, l’idéal est l’emploi des briques
réfractaires légères, qui isolent mieux. C’est cette deuxième variante de brique réfractaire qui
va constituer la seconde couche du mur du four.
La Technologie de fabrication
Pour faire des briques réfractaires, l’argile est moulée et cuite à haute température pour
enlever toute trace d’eau dans le matériau. Les briques réfractaires contiennent en général 30 à
50% d’oxyde d’aluminium et 50% d’oxyde de silicium ou silice. Elles peuvent aussi être
faites avec d’autres matériaux par exemple la chamotte. Pour les briques réfractaires à
caractères extrêmes, le taux de l’oxyde d’aluminium peut atteindre 80% et plus ; le taux
d’oxyde de silicium diminue par la suite. La taille standard des briques réfractaires est
228mm×115mm×64mm.
La magnésie (MgO) est utilisée comme matériau réfractaire dans les fours comme la chaux
et l'alumine. Le zircon (ZrSiO4) ou l’olivine ((MgFe)2 SiO4) sont parfois utilisés comme
éléments réfractaires pour des moules dans la fabrication par moulage.
Ce peut aussi être des combinaisons d’oxydes : kaolin (silice-alumine), argiles (silice-
alumine-chaux), qu’on retrouve dans les céramiques, à commencer par les simples briques
jusqu’aux porcelaines. D'autres combinaisons d’oxydes sont aussi réfractaires comme, par
exemple, la chromite (oxyde chromique-oxyde de fer : FeCr2O4)
La paroi du four
La paroi du four a été conçu pour isoler thermiquement l’intérieur c'est-à-dire l’espace de
travail et l’espace de chauffe du milieu extérieur ou milieu ambiant. Mais c’est un concept ;
en réalité la paroi limite le flux sortant du four. Dans sa conception le four n’a pas échappé à
ce principe. Le four est construit avec différents couches de matériaux dont une en briques
réfractaires aptes à subir la haute température dans le four, une couche de briques de très
haute résistivité thermique capables de diminuer considérablement le flux passant à travers et
une couche de brique ordinaire pour assurer sa dureté.
La citerne
La citerne est conçue pour avoir une longue durée de vie. Durant une longue période, la
citerne travaillera sans qu’il y ait d’intervention de maintenance. De ce fait il est impératif que
l’eau de l’alimentation ait une qualité impeccable tant en composition chimique qu’en matière
de débris et d’impuretés. Des filtrages sont faits en amont pour garantir cette qualité de l’eau.
Il est aussi prévu un orifice dans la partie inférieur pour servir de vidange.
Les plaques chauffantes, autant que la citerne, absorbent de l’énergie thermique. Mais à la
différence de cette dernière l’énergie emmagasinée dans la plaque chauffante ne peut etre
disponible qu’une fois la source de chaleur épuisée. La plaque chauffante est dimmensionnée
pour pouvoir stocker une grande partie de l’energie thermique produite dans le four. Elle est
destinée à retenir jusqu’à deux tiers de cette énergie thermique fournie. Le dimensionnement
est alors axé sur le choix du materiau, sa forme geomètrique et sa dimension.
La citerne
La citerne est conçue pour résister à la haute température, la haute pression, en ayant
une longue durée de vie. Durant sa période d’exploitation, la citerne peut travailler isolé du
monde extérieur donc sans activité de maintenance. Des filtrations sont faites en amont ou
bien à l’alimentation en eau pour garantir cette performance de la chaudière. Un orifice
d’évacuation est prévu pour pouvoir vider la citerne le temps voulu.
Le four
Le four est le lieu de la combustion du combustible, autrement dit la réaction est contenu dans
le four. Il joue donc aussi un grand rôle dans la transmission de la quantité de chaleur vers la
citerne. Les éléments constituant le four sont :
La paroi ou revêtement
La cheminée
A la différence des autres systèmes de production de vapeur chaude, il n’y a pas de perte
d’énergie thermique au niveau de la paroi de la citerne mais plutôt au niveau de la paroi du
four. Dans un premier temps, la température dans l’espace de travail étant toujours gardé
inférieur ou égal à 150°C, le flux d’énergie thermique tend toujours vers l’espace de travail à
l’intérieur de la citerne. De ce fait, une grande partie de la chaleur contenue dans la fumée est
transféré à l’espace de travail. Une partie de cette chaleur traverse la paroi du four et une
partie est stockée au niveau de la plaque chauffante.
Dans un second temps, l’énergie de la source étant nulle étant donné que le combustible est
épuisé, l’énergie thermique conservée dans la plaque chauffante va être déstockée. En
d’autres thermes la plaque chauffante va prendre le relai dans le chauffage de l’eau donc la
production de la vapeur surchauffée. Le flux d’énergie sortant de la plaque chauffante
remplacera celui produit par la source désormais épuisée.
La paroi du four
La paroi du four sera donc une balise pour la chaleur puisque c’est elle qui dirige le flux
thermique à se concentrer sur l’espace de travail.
2.6 Le bois
Le bois est un combustible très économique, facile de manipulation, abondant et beaucoup
moins polluant que d’autres combustibles.
La combustion incomplète
Et la combustion complète
Une combustion complète produit de la vapeur d’eau et du gaz carbonique dans les gaz
d’échappement et des résidus d’environ 0,5% sous forme de cendre. Les principales réactions
chimiques d’une combustion complète se résument comme suit :
2𝐻2 + 𝑂2 → 2𝐻2 𝑂 + 𝐷é𝑔𝑎𝑔𝑒𝑚𝑒𝑛𝑡 𝑑𝑒 𝑐ℎ𝑎𝑙𝑒𝑢𝑟
Phases de la combustion :
Le procédé de combustion se présente sous trois (3) phases distinctes, la première phase
consiste dans l’évaporation de l’eau contenue dans le bois sous forme de vapeur. En général,
plus les particules de bois sont petites, plus courte est la durée de cette phase.
Au cours de la deuxième phase, par suite d’une augmentation de température du bois, et les
gaz volatiles sont vaporisés. Ces vapeurs contiennent entre 50 et 60% de la valeur calorifique
du bois. Une température minimum d’environ 800°C doit être maintenue à ce stage pour
obtenir le maximum d’efficacité de la combustion.
1
𝐶+ 𝑂 → 𝐶𝑂2
2 2
2𝐶𝑂 + 𝑂2 → 2𝐶𝑂2
Le transfert thermique
Le flux thermique (ou flux de chaleur), souvent noté , entre deux milieux de températures
Ti différentes correspond au transfert thermique Q qui s'écoule par unité de temps t entre les
deux milieux :
Ce transfert d'énergie interne est réalisé du corps plus chaud vers le corps le plus froid, ce qui
produit une égalisation des températures des deux corps en contact. Le flux thermique
s'exprime en J/s ou — c'est équivalent — en W. Le flux thermique est gouverné par les
principes de la thermodynamique et l'équation de la chaleur.
Lorsque ce flux thermique traverse une surface S, on obtient une densité de flux de chaleur
notée telle que
Avec :
𝐸: 𝑝𝑜𝑢𝑣𝑜𝑖𝑟 é𝑚𝑖𝑠𝑠𝑖𝑓 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠
∝: 𝑓𝑎𝑐𝑡𝑒𝑢𝑟 𝑑 ′ 𝑎𝑏𝑠𝑜𝑟𝑝𝑡𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑢 𝑐𝑜𝑟𝑝𝑠
D’après cette loi de KIRCHOFF, en équilibre, le rapport du pouvoir émissif d’une surface à
son facteur d’absorption est le meme pour tous les corps.
∝ +𝜌 + 𝜏 = 1
2.7 L’éjecteur
Définition
L’éjecteur est formé par quatre pièces principales assemblées, devenant solidaire et immobiles
les unes par rapport aux autres. L’éjecteur comporte trois orifices principales dont l’une pour
l’entrée du comburant, l’une pour l’aspiration du combustible et enfin l’une pour la sortie du
mélange combustible.
L’éjecteur est très répandu dans les grandes usines. Il est réputé pour la facilité d’exploitation,
et est avantageux dans ce domaine puisqu’il ne nécessite pas de maintenance comme les
pièces mobiles à l’image du graissage ou autres méthodes.
Principe de fonctionnement
L'effet venturi crée une dépression au niveau du port d'aspiration de l'éjecteur. Cet effet
apparaît lorsqu’une différence de pression suffisante existe entre l'entrée et la sortie de
l'injecteur. La majorité des modèles d'éjecteurs commence à aspirer dès que la pression de
sortie est inférieure d'environ 20% à 25% à la pression d'entrée.
L'air sous pression qui entre dans l'éjecteur s'écoule dans une conduite dont la section est
progressivement étranglée. Il en résulte une augmentation de la vitesse d'écoulement et donc
une diminution de la pression statique. Cette diminution de pression permet d'aspirer un
liquide ou un gaz dans l’éjecteur, à travers le port d'aspiration. Au niveau du port d'aspiration,
l'écoulement est turbulent, ce qui permet un mélange immédiat des deux fluides. En aval du
port d'aspiration, la section augmente, ce qui fait que la vitesse diminue et la pression
augmente à nouveau
𝑑02 × 𝑣0 = 𝑑12 × 𝑣1
𝑣12 𝑣02 𝑑0 2
= ×( )
2𝑔 2𝑔 𝑑1
𝑄𝑒 + 𝑄𝑐 = 𝑄𝑠
𝛿𝑖 = 𝑠𝑖 𝑣𝑖 [𝑚3 . 𝑠 −1 ]
𝑄𝑖 = 𝜌𝑖 𝑠𝑖 𝑣𝑖 = 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒[𝑘𝑔. 𝑠 −1 ]
Avec
𝑄1 : 𝑑é𝑏𝑖𝑡 𝑚𝑎𝑠𝑠𝑖𝑞𝑢𝑒
𝑝1 𝑣12 𝑝2 𝑣22
𝑔ℎ1 + + = 𝑔ℎ2 + +
𝜌 2 𝜌 2
𝑝𝑖 : 𝑝𝑟é𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑡𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒
𝑝1 𝑣12 𝑝2 𝑣22
ℎ1 + + = ℎ2 + + = 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒
𝜌𝑔 2𝑔 𝜌𝑔 2𝑔
𝑝1
[𝑚]: 𝑝𝑟é𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑′ℎ𝑎𝑢𝑡𝑒𝑢𝑟
𝜌𝑔
𝑣12
[𝑚]: 𝑣𝑖𝑡𝑒𝑠𝑠𝑒 𝑑′ℎ𝑎𝑢𝑡𝑒𝑢𝑟
2𝑔
On peut dire que toutes les vitesses d’hauteur et de pressions d’hauteur sont constantes pour
toutes les sections. Pour tout écoulement de gaz avec pression normale de 1bar, par exemple,
elles peuvent être négligées et on obtient une équation de la forme :
𝑣12 𝑣22
𝑝1 + 𝜌 × = 𝑝2 + 𝜌 = 𝑝𝑐 = 𝑐𝑜𝑛𝑠𝑡𝑎𝑛𝑡𝑒
2 2
Avec
𝑝𝑖 : 𝑝𝑟é𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑠𝑡𝑎𝑡𝑖𝑞𝑢𝑒
𝑣𝑖2
𝜌 : 𝑝𝑟é𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑑𝑦𝑛𝑎𝑚𝑖𝑞𝑢𝑒
2
𝑝𝑐 : 𝑝𝑟é𝑠𝑠𝑖𝑜𝑛 𝑡𝑜𝑡𝑎𝑙𝑒
2.7.3.5 Remarque
La somme des pressions statiques et dynamiques, sur toutes les sections, sont égales à la
pression totale pc.
Pour le cas des gaz, il faut tenir compte du changement ou variation d’énergie interne ou de la
variation de densité, de pression ou de température si et seulement si la vitesse d’écoulement
est plus grande que la moitié de la vitesse du son sur les gaz.
La plaque chauffante :
L’espace de travail :
Paroi :
Accumulation
Qa,k
d’énergie
thermique Wa,k Espace de travail
QW,SO
Le système fonctionne en régime permanent lorsque la température de travail est atteinte dans
l’espace de travail.
Plaque chauffante
Accumulation
d’énergie QW1 QM1
Qa,k
thermique Wa,k
Espace
Espacede
detravail
travail
Eie thermique QA,KS Accumulation
Accumulationdede
Eie thermique QA,KS
masse
masseM Makaketet
d’énergie
d’énergie
Paroi
Paroi thermique
thermiqueQW A,KS
A,KS
L’air aspiré par le four entre en contact avec la plaque chauffante. Cette dernière, par
convection, transmet la chaleur qu’elle a emmagasinée à l’air qui la transmet à nouveau à
l’espace de travail. Cette aspiration d’air s’explique par le phénomène de tirage
Espace de travail
Accumulation de
QA,KS
masse Mak et
d’énergie
Plaque chauffante thermique QA,KS
QM2
Accumulation Paroi
QW2 QM2
d’énergie
thermique Wa,k Transfert
d’énergie
thermique vers
QW,SO
l’extérieur
QW,SO
Bilan massique
𝑄𝑚1 = 𝑄𝑚2
Bilan d’énergie
𝑑𝑊𝑎,𝑘 𝑑𝑊𝑎,𝑘𝑠
𝑄𝑡ℎ = + + 𝑄𝑤,𝑠𝑜
𝑑𝑡 𝑑𝑡
𝑑𝑊𝑎,𝑘𝑠
= 𝑄𝑎,𝑘𝑠 + 𝑄𝑤1 − 𝑄𝑤2 = 0
𝑑𝑡
𝑄𝑊1 (𝑄𝑀 , 𝜃1 )
𝑄𝑊2 (𝑄𝑀 , 𝜃1 )
𝑄𝑀1 = 𝐶. 𝑄𝑀 . 𝜃1
𝑊𝑎,𝑘𝑠 = 𝐶. 𝜌. 𝑣. 𝜃
En régime interne :
𝑄𝑡ℎ = 0
𝑑𝑊𝑎,𝑘
− = 𝑄𝑎,𝑘𝑠 + 𝑄𝑤,𝑠𝑜
𝑑𝑡
fluxgéneré
Flux stocké
(S) est un système thermodynamique à travers lequel il y a une circulation d’énergie. Durant
l’étude de ce bilan thermique, trois systèmes sont considérés à savoir le four, la plaque
chauffante, et l’espace de travail.
L’espace de travail
(S)
Flux entrant Flux sortant
Flux stocké
𝜑 (∆𝜃)×𝑆
𝑠,𝑓= 𝑒
𝛴 𝑖
𝜆𝑖
Avec
∆𝜃 × 𝑆
𝜑𝑠,𝑓 = 𝑒 𝑒 𝑒
𝑏𝑟
+ 𝑏𝑖 + 𝑏𝑜
𝜆𝑏𝑟 𝜆𝑏𝑖 𝜆𝑏𝑜
La paroi latérale du four est divisée en trois parties, donc on distingue trois sortes de flux.
Celui passant par la partie inférieure de la paroi, puis celui passant par la partie supérieure, et
celui passant à travers l’ouverture.
∆𝑇1 × 𝑆1
𝐹1 = 𝑒 𝑒 𝑒
𝑏𝑟
+ 𝑏𝑖 + 𝑏𝑜
𝜆𝑏𝑟 𝜆𝑏𝑖 𝜆𝑏𝑜
PARTIE II : APPLICATIONS
4. Chapitre IV : DIMENSIONNEMENT DE LA
CITERNE
4.1 Les conditions de travail
Température
La limite d’élasticité des matériaux diminue régulièrement au fur et à mesure ou il s’éxpose à
la haute température. Connaissant cette propriété des matériaux, la contrainte maximale doit
etre inférieure à la contrainte admissible qui est calculé à partir de la limite d’élasticité.
Corosion
La corosion des parois métaliques peut subvenir lors d’une exposition de celle-ci à la flamme
et à l’eau. La paroi doit par la suite ètre résistant à la corosion.
La préssion
La citerne travail à haute préssion dans le but d’atteindre plus facilement la température de
travail. De ce fait la préssion est pris en compte dans les dimensionnement ainsi que dans le
choix des matériaux.
le matériau
les toles constituant la paroi, les tuyauteries ainsi que les poutres supportant la citerne qui
sont choisis sont des aciers de la nuance A42 C dans la catégorie de norme NFA35-501
connu aussi sous la désignation S335JO ou encore EN10025 dans la norme européenne.
L’équivalent de cette nuance est la E26 . cette nuance est spéciale pour l’usage à haute
température notamment pour les chaudières. Lors de l’assemblage par soudage, la baguette la
mieux adaptée est l’électrode de type E70 18.
Figure 8: La citerne
Figure 9: Raccords
7 1 A42C
6 1 Pied A42C
5 1 Orifice manomètre A42C
4 1 Orifice de sortie gaz A42C
3 1 Vidange A42C
2 1 Orifice d’alimentation A42C
1 1 Espace de travail A42C
REP. NB. DESIGNATION MATIERE OBS
Le 22-03-11
CITERNE
Diamètre intérieur
3 4 × 0,9𝑉
𝐷=√
𝜋 × 1,5
3
𝐷 = 0,9√𝑉
AN:
𝐷 = 900[𝑚𝑚]
𝐿 = 1,5 × 𝐷
AN:
𝐿 = 1300[𝑚𝑚]
𝐷2
𝑉𝑐 = ×𝜋×𝐿
4
AN:
1
𝑉𝑐 = 9002 × 3,14 × 1300 ×
4
𝑉𝑐 = 826605000[𝑚𝑚3 ]
𝑉𝑐 = 826,6[𝑑𝑚3 ]
Hauteur h1
ℎ1
= 0,185
𝐷
ℎ1 = 0,185 × 𝐷
AN:
ℎ1 = 0,185 × 900
ℎ1 = 166,5[𝑚𝑚]
Hauteur h
𝑂𝐴 × 𝐴𝐶
𝐴𝐸 =
𝐴𝐷
4.3.4.2 Calcul de AC
𝐴𝐶 = √𝐶𝐷2 + 𝐴𝐷2
AN:
𝐴𝐶 = 480
240 × 480
𝐴𝐸 =
166,5
𝑅𝑐 = 𝐴𝐸 = 692[𝑚𝑚]
𝑉 = 𝑉𝑝𝑠 − 𝑉𝑡𝑟
Dans le plan ces volumes sont traduits en surface
𝑆 = 𝑆𝑝 𝑐 + 𝑆𝑡𝑟
1 𝐵𝐶 × 𝐴𝐷
𝑆 = 𝑅𝑐2 × 𝜋 × −
9 2
RC : rayon de courbure
AN:
1 900 × 166,5
𝑆 = 6922 × 3,14 × −
9 2
𝑆 = 92125[𝑚𝑚2 ]
𝑆×𝜋×𝑅
𝑉=
2
AN:
𝑉 = 65086312,5[𝑚𝑚3 ]
𝑉 = 65,09[𝑑𝑚3 ]
AN:
𝑣 = 2 × 21,6[𝑑𝑚3 ]
Hauteur h2
𝑉
ℎ1 = 𝜋×𝑅2
AN:
𝑉
ℎ1 =
3,14 × 4502
ℎ1 = 34[𝑚𝑚]
𝑑1 = 0,065√𝑉𝑐
𝑑1 = 0,059[𝑚]
Soit
𝑑1 = 60[𝑚𝑚]
𝑑2 = 2 × 𝑑1
𝑑2 = 2 × 60
𝑑2 = 120[𝑚𝑚]
4.3.6.3 Manomètre:
𝑑3 = 7[𝑚𝑚]
Vidange :
𝑑4 = 15[𝑚𝑚]
L’équivalent de la nuance A42C ici est la nuance P265S qui à une haute température est le
plus résistant à la pression
𝑆0 = 𝑆0′ + 𝑐
S0:épaisseur réel
C : coefficient
𝑝(𝐷 − 𝑆0′ )
𝛿𝑡 = = 𝛿𝐷 × 𝑣
2𝑆0′
p: sous-pression
𝑣 : Coefficient de sécurité
𝑝×𝐷
𝑆0′ =
2 × 𝛿𝐷 × 𝑣 + 𝑝
AN:
0,55 × 900
𝑆0′ =
2 × 93,5 × 𝑂, 7 + 0,55
𝑆0′ = 3,75[𝑚𝑚]
𝑆0 = 3,75 + 1 = 4,75
𝑆0 = 5[𝑚𝑚]
𝑆0 = 𝑆0′ + 𝑐
𝑝×𝐷
𝛿𝑚 = ×𝛽
4 × 𝑆0′
𝛽 : Coefficient adimensionnel
𝛿𝑚 :Contrainte méridienne
𝑝×𝐷
𝑆0′ = ×𝛽
4 × 𝛿𝑚
AN:
0,55 × 900
𝑆0′ = × 3,3
4 × 93,5
𝑆0′ = 4,37[𝑚𝑚]
𝑆0 = 4,37 + 1 = 5,37
𝑆0 = 6[𝑚𝑚]
𝑠0 = 𝑠0′ + 𝑐
𝑝×𝑑
𝑠0′ =
2 × 𝛿𝐷 × 𝑣 + 𝑝
AN:
′
0,55 × 15
𝑠3,4 = = 0,0625[𝑚𝑚]
2 × 93,5 × 0,7 + 0,55
𝑠3,4 = 1,1[𝑚𝑚]
′
0,55 × 120
𝑠1,2 = = 0,50[𝑚𝑚]
2 × 93,5 × 0,7 + 0,55
𝑠1,2 = 1,5[𝑚𝑚]
Calcul de Va
𝑝×𝐷
𝑉𝑎 =
2𝛿(𝑠𝑣 − 𝑐)
AN:
0,55 × 900
𝑉𝑎 = = 0,7059
2 × 93,5 × 3,75
𝑉𝑎 ≈ 0,7
𝑆1 − 𝑐 0,0625
= = 0,015
𝑆𝑣 − 𝑐 3,75
𝑑
=1
√𝐷(𝑆𝑣 − 𝑐)
𝑑 = √𝐷(𝑆𝑣 − 𝑐)
𝑑 = √900 × 3,75 = 60
𝑑 = 60[𝑚𝑚]
𝜋𝑑2
𝑝 4
𝑎=
𝜋 × 𝑑 × 𝑣 × 𝛿𝐷
AN:
3,14 × 1202
5,5 × 4 62203,5
𝑎= = = 2,94
3,14 × 120 × 0,6 × 93,5 21149,2
𝑎 = 3[𝑚𝑚]
𝑠𝑘 = 2𝑎
𝑠𝑘 = 6[𝑚𝑚]
La longueur de chaque cordon de soudure est 50[mm] et son épaisseur est de 3[mm]
𝐹
𝜏=
𝑆
𝐹 =𝑆×𝜏
𝑎𝑣𝑒𝑐 𝜏 = 𝜏𝑎𝑑𝑚
AN:
On a: 𝜏=93, 4N.mm-2
l= 50mm
a=3mm
𝐹 = 𝑙 × 6𝑎 × 𝜏
𝐹 = 50 × 6 × 3 × 93,4
𝐹 = 84060[𝑁]
La conclusion est que les pieds de la citerne peuvent supporter jusqu’à plus de 5fois son poids
une fois plein.
Pouvoirs calorifiques
𝑜 𝐾𝑐𝑎𝑙
𝐼 = 8100𝑐 + 2900 (ℎ − ) + 2500𝑠 − 600𝑤 [ ]
8 𝐾𝑔
AN:
0,43
𝐼 = 0,5 × 8000 + 2900 (0,05 − ) + 2500 × 0 − 600 × 0,40
8
𝐾𝑐𝑎𝑙
𝐼 = 3800 [ ]
𝐾𝑔
Pouvoir comburivore
AN:
𝑚3
𝑉𝑎 = 4,3466 [ ]
𝐾𝑔
AN:
𝑚3
𝑉𝑓 = 4,9356 [ ]
𝐾𝑔
AN:
𝑚3
𝑉𝑠 = 4,3756 [ ]
𝐾𝑔
𝜕𝑠𝑡 = 𝑉 × 𝑐 × 𝜌 × 𝜃
Avec
𝜌: Densité de l’eau
𝜃: Température de l’eau
AN:
5.1.5.2 La quantité d’énergie nécessaire pour élever la température de l’eau jusqu’à 150℃
𝛿𝑒 = 𝑉 × 𝑐 × 𝝆 × ∆𝜽
AN:
𝜕𝑒
𝑄𝑡é =
𝛿𝑏𝑜𝑖𝑠
AN:
104000
𝑄𝑡é = = 26,84[𝐾𝑔]
3875
𝜕𝑠𝑡,𝑝 = 𝑚𝑎𝑐𝑖𝑒𝑟 × 𝑐 × 𝜽𝒑
𝜕𝑠𝑡 = 2 × 𝜕𝑒
AN:
𝜕𝑠𝑡 = 208000[𝐾𝑐𝑎𝑙]
𝜕𝑠𝑡
𝑉=
𝜌×𝑐×𝜃
AN:
208000 × 4,185
𝑉=
2000 × 0,840 × 800
𝑉 =0,64767[m3]
Soit 647,67[dm3]
Le 22-03-11
PLAQUES CHAUFFANTES
Le 22-03-11
PLAQUES CHAUFFANTES
Il en existe deux formes distinguées en fonction de leur diamètre respectives dont il est conçu
4 pièces chacune.
R1=525[mm]
L1=100[mm]
h=100[mm]
𝑉1 = 𝐿1 × ℎ × 2𝜋𝑅1
AN:
𝑉1 = 32,97[𝑑𝑚3 ]
L2=200[mm]
R2=575[mm]
𝑉2 = 𝐿2 × ℎ × 2𝜋𝑅2
𝑉2 = 72,22[𝑑𝑚3 ]
R=450[mm]
r=50[mm]
h=100[mm]
𝑉 = 𝜋𝑅 2 ℎ − 𝜋𝑟 2 ℎ
AN:
𝑉 = 62,8[𝑑𝑚3 ]
R=400[mm]
𝑉 = 𝜋𝑅 2 ℎ
AN:
𝑉 = 25,12[𝑑𝑚3 ]
𝑉 = 139[𝑑𝑚3 ]
𝑉 = 𝐿 × 𝑒 × 2𝜋𝑅
𝑉
𝑒=
2𝐿𝜋𝑅
AN:
139
𝑒= = 0,75[𝑑𝑚]
2 × 6,5 × 3,14 × 4,50
On prend
𝑒 = 75[𝑚𝑚]
La citerne est fixée au mur avec trois barres horizontal soudées à elle. La citerne est
suspendue au-dessus du réservoir de combustible.
Dimension du mur
𝑠 = 𝑐2
𝑠 = 0,65 × 0,65
𝑠 = 0,42[𝑚2 ]
𝑆 = 𝑆1 + 𝑆2
𝑆1 = 𝑆1′ + 𝑠
𝑆1 = 2𝜋𝑅1 ℎ1
AN:
𝑆1′ = 3,65[𝑚2 ]
𝑆2 = 2𝜋𝑅2 ℎ2
AN:
𝑆2 = 5,75[𝑚2 ]
𝑆1′ = 𝑐 2
𝑆1′ = 0,652
𝑆1′ = 0,42[𝑚2 ]
𝑆 = 𝜋𝑅 2
AN:
𝜑 (∆𝜃)×𝑆
𝑠,𝑓= 𝑒
𝛴 𝑖
𝜆𝑖
S : surface de la paroi
e: épaisseur de paroi
𝜆𝑖 : Conductivité thermique
∆𝜃 × 𝑆
𝜑𝑠,𝑓 = 𝑒 𝑒 𝑒
𝑏𝑟
+ 𝑏𝑖 + 𝑏𝑜
𝜆𝑏𝑟 𝜆𝑏𝑖 𝜆𝑏𝑜
La paroi latérale du four est divisée en trois parties, donc on distingue trois sortes de flux.
∆𝑇1 × 𝑆1
𝐹1 = 𝑒 𝑒 𝑒
𝑏𝑟
+ 𝑏𝑖 + 𝑏𝑜
𝜆𝑏𝑟 𝜆𝑏𝑖 𝜆𝑏𝑜
AN:
3,65∆𝑇1
𝐹1 =
0,11 0,11 0,22
0,67 + 0,23 + 1,1
𝐹1 = 4,33∆𝑇2 [𝑊]
∆𝑇2 × 𝑆2
𝐹2 = 𝑒 𝑒 𝑒
𝑏𝑟
+ 𝑏𝑖 + 𝑏𝑜
𝜆𝑏𝑟 𝜆𝑏𝑖 𝜆𝑏𝑜
AN:
5,75∆𝑇2
𝐹2 =
0,11 0,11 0,11
0,67 + 0,23 + 1,1
𝐹2 = 7,75∆𝑇2 [𝑊]
AN:
∆𝑇1′ × 𝑆1′
𝐹1′ =
0,11 0,05
0,67 + 45
0,42∆𝑇1′
𝐹1′ =
0,165
AN:
2,83∆𝑇4′
𝐹4′ = = 1925∆𝑇4′
0,064
0,23
𝐹4′ = 1925∆𝑇4′
7 1 Diffuseur
6 1 Mélangeur
5 1 Col
4 1 Tuyère fluide moteur XC32
3 1 Tuyère aspirateur XC32
2 1 Moyeu XC32
1 1 Tuyère diffuseur XC32
REP. NB. DESIGNATION MATIERE OBS
ECHELLE : 2 TOJO
Le 22-03-11
EJECTEUR VENTURI
L'étude de l'impact environnemental est un outil utilisé par la norme ISO 14001 et pour faire
une analyse du cycle de vie.
Des études d'impacts environnementales sur les milieux biophysique et humain sont requises
pour une majorité de projets. Elles sont nécessaires et obligatoires pour les projets
d'envergures et sont habituellement assorties de mesures d'atténuation et/ou de mitigation
et/ou de mise en valeur et/ou de formules compensatoires et/ou de mesures de conservation ou
de restauration.
Les perturbations
Les effets
Critères de l'impact
l'étendue de l'impact :
o consommation d’eau près de 5m3 par jour pour la totalité des opérations de
l’exploitation.
o Pour l’alimentation en bois combustible, une unité d’exploitation nécessite
près de 300kg de bois par jour de travail (8 heures).
Qualification de l'impact
Impact direct :
o abattage d’arbres
o consommation d’eau
o détérioration de la qualité de l’air
Impact indirect
Impact résiduel : après la mise en place des mesures d’atténuations, les impacts
seront minimisés et seront acceptables pour l’environnement.
Les huiles essentielles sont des remèdes très efficaces, ce qui aura une répercussion à
long et à court termes positive sur le taux de mortalité.
Les huiles essentielles sont très utilisées dans le domaine de la santé et l’esthétique
comme différents produits de soin et de bien-être.
Conclusion
L’optimisation des différentes sources d’énergie est d’actualité et faire l’objet de
recherches comme celui-ci. Non seulement l’énergie est gérée de façon à préserver le bon
équilibre de l’environnement, mais aussi et surtout la contribution de ce recherche à la
valorisation des déchets en les transformant en une source d’énergie fiable et exploitable à
long terme fait sa particularité. L’utilisation de résidus et de produits de récupération est très
économique et à la fois moins polluant et présente moins de risque de détérioration de
l’environnement.
Les perspectives d’avenir se présentent déjà en s’ouvrant dans bien des domaines. Le
concept d’emploi de l’énergie renouvelable comme source d’énergie thermique peut être
exploité comme la plantation des terres pour en obtenir du bois combustible ; mais mieux
encore, pourquoi pas l’exploration et l’exploitation de l’éthanol.
MgO : Magnesie
ZrSiO4 : Zirsill
SiO4 : Silicate
MgFe : Ferromagnesium
C: carbone
O: oxygène
H: hydrogène
UNITES
W: watt
J: joules
s: seconde
m: mètre
SYMBOLES
Φ : flux thermique
Q : quantité de chaleur
Δt : unité de temps
Ρ : densité de flux
S : surface
V : vitesse
G : accélération de la pesanteur
P : pression
Le présent ouvrage est un outil de valeur inestimable pour le projet d’exploitation. Il traite les
différentes étapes de construction d’une chaudière et les composants principaux notamment le
four, la citerne, et la plaque chauffante. Le travail a consisté en l’élaboration d’une chaudière
économique en énergie et soucieux de l’environnement. La première partie traite la généralité
sur les chaudières et les technologies actuellement disponible. La seconde partie a été consacrée
à la réalisation de ce projet ambitieux en dimensionnant pièce par pièce cette chaudière, et en
mettant sur pied un bilan thermique, indispensable à la mise en place d’un système
d’exploitation asservi et automatisé. L’innovation réside sans doute dans la construction de
l’éjecteur, pièce qui est prévu alimenter la chaudière en carburant. Bref la chaudière étudiée
dans cet ouvrage est un système innovant et efficient.
ABSTRACT
This book is an invaluable tool for the mining project. It addresses the different stages of
construction of a boiler and the main components including oven, cistern, and the hotplate. The
work consisted in developing an economic boiler for energy and environmentally conscious.
The first part deals with the generality of boilers and currently available technologies. The
second part was devoted to the realization of this ambitious project by dimensioning the boiler
part by part, and by establishing a thermal balance, essential to the development of a controlled
and automated operating system. The innovation lies probably in the construction of the ejector
part which is scheduled feeding fuel inside the boiler. In short Boiler studied in this work is an
innovative and efficient system.