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Pré-processeur 2D de LMGC90

Mathieu Renouf Gilles Saussine Frédéric Dubois

19 janvier 2008
Pré-processeur 2D de LMGC90

Table des matières

1 Avant-propos 2
1.0.1 Règles syntaxiques dans les fichiers de données LMGC90 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2
1.0.2 Conseils concernant les fichiers de données LMGC90 . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 2

2 Guide d’utilisation 3
2.1 Introduction . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
2.2 Principe général de fonctionnement . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 3
2.3 Construction d’échantillons . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 4
2.3.1 Définition de la composition d’un échantillon de DISKx ou de POLYG . . . . . . . . . . . . 5
2.3.2 Disposition des particules sur un réseau . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 8
2.3.3 Les boites lisses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 9
2.3.4 Les Boites lisses deviennent rugueuses . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 10
2.3.5 Les Boites fermés composées de DISKx . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 11
2.3.6 Les sacs . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 12
2.3.7 Les Silos . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 13
2.3.8 Les points source . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 14
2.3.9 Les tambours . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 15
2.3.10 Le TEXSOL . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 16
2.3.11 La coupe longitudinale de voie ferrée . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 18
2.3.12 Le modèle mur. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 20
2.3.13 This is the end . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22

3 Quelques exemples 23
Pré-processeur 2D de LMGC90

Chapitre 1

Avant-propos

1.0.1 Règles syntaxiques dans les fichiers de données LMGC90


Il est important de respecter les consignes suivantes pour éviter des problèmes lors de la lecture de vos fichiers :
– Respectez strictement le formattage des fichiers : seuls les 30 premiers caractères sont lus dans les fichiers de
commandes, tous les fichiers de données sont formattés,
– Ne pas mettre de tabulation dans les fichiers de données,

1.0.2 Conseils concernant les fichiers de données LMGC90


Grace aux fonctionnalités d’écriture en sortie vous pouvez :
– Vérifier les mots clés compris en regardant si toutes les commandes ont été bien interprétées.
– Vérifier les données lues en regardant les fichiers de sortie.
Pré-processeur 2D de LMGC90

Chapitre 2

Guide d’utilisation

2.1 Introduction
Le module PREPRO_2D permet la génération automatique d’échantillons, à partir de mots clés et de paramètres asso-
ciés, reprenant en quelque sorte le principe du language de commande CHIC. Toutefois, celui-ci possède des limites
au sens où le module ne permet pas de générer n’importe quel échantillon à géométrie complexe. Enfin il est relative-
ment facile d’y intégrer des mots clefs et des sous programmes permettant l’extention de ses fonctionnalités.

2.2 Principe général de fonctionnement


Vous allez trouver ici less explications concernant le fonctionnement du PREPRO_2D et des mots clès associés.
Comme lors d’un calcul standard, il faut se placer dans le répertoire de travail, où se trouvent les repertoires DATBOX
et OUTBOX. L’utilisation du module PREPRO_2D se déclenche en mettant au début du fichier COMMAND.DAT,
le mot clef :
PREPRO :

La présence de ce mot clef va activer la lecture du fichier SAMPLE.DAT, contenant les informations définissant
votre échantillon. LMGC90 va alors créer, dans le répertoire PREBOX, qu’il faut créer préalablement, les trois fi-
chiers BODIES.DAT, DOF.INI et DRV_DOF.DAT.
L’écriture dans un répertoire temporaire comme PREBOX permet d’éviter d’écraser les fichiers originellement pré-
sents dans DATBOX avec de nouveaux fichiers, par oubli de désactivation du mot clef PREPRO.

Une fois les opérations du PREPRO_2D effectuées il faut déplacer les trois fichiers créés dans le répertoire DATBOX
et y faire des modifications si nécessaire. Ensuite il faut lancer le calcul après avoir commenté dans le fichier COM-
MAND.DAT le mot clef PREPRO et.

Le fichier SAMPLE.DAT contient les directives nécessaires à la création d’un échantillon, celles ci doivent respecter
un certain ordre.

Actuellement, le module PREPRO_2D permet de créer des échantillons comprenant des disques, des chaines de
disques, des joncs, des polygones et des disques creux. Toutes les combinaisons de ces différents types de corps
ne sont pas totalement possibles et dépendent de toute façon des types de contact implémentés dans LMGC90. Le
module permet de jouer avec des paramètres comme la taille, la forme et le nombre des particules, le type de parois ;
les chargements et les conditions initiales.
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2.3 Construction d’échantillons


Dans toute cette partie on suppose qu’un corps rigide (RBDY2 dans le langage LMGC90) ne comporte qu’un type de
contacteur, soit de forme circulaire (DISKx) soit de forme polygonale (POLYG).

La liste ci-dessous contient pour chaque catégorie d’échantillon le nom des mots clefs à utiliser dans SAMPLE.DAT.
Les mots clefs sont présentés dans leur ordre d’exécution.

Les commandes facultatives sont signalées par un *.

Les valeurs [N] correspondent à des entiers relatifs au format I5, [R] correspondent à des réels au format D14.7 , et
[name] à des chaines de caractères au format A5.

Le principe de construction des échantillons est le suivant :


1. définition de la composition de l’échantillon sans les parois,
2. définition de paramètres suplémentaires propres à l’échantillon,
3. définition de la disposition spatiale des corps (le réseau),
4. définition du type d’échantillon : boite, silo, tambour, texsol
5. fermeture des fichiers
Suivant le type d’échantillon voulu on dispose de plus ou moins de paramètres. Nous vous engageons à consulter les
fichiers d’exemple reprenant les différentes utilisation du PREPRO_2D.
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2.3.1 Définition de la composition d’un échantillon de DISKx ou de POLYG


La définition de la composition se fait de la façon suivante :
1. on spécifie le nombre maximum de corps. Cette valeur est indicative, le nombre réel de corps dépend de la
construction et particulièrement du nombre de colonnes et de lignes.
2. on spécifie le nombre de lignes,
3. on spécifie le nombre de colonnes,
4. on spécifie le nombre “d’espèces” présentes et la composition de chaque espèce,

MAX NUMBER OF (DISKx|POLYG)


Cette commande précise le nombre maximum de particules (hors parois et corps spéciaux).

!23456789012345678901234567890:
MAX NUMBER OF DISKx :
[N] :

BODIES ON THE FIRST LAYER


Cette commande précise le nombre de colonnes de l’échantillon (le nombre maximum dans le cas d’empilements
pyramidaux ou de réseaux triangulaires).

!23456789012345678901234567890:
BODIES ON THE FIRST LAYER :
[N] :

NUMBER OF LAYERS
Cette commande précise le nombre de lignes dans l’échantillon.

!23456789012345678901234567890:
NUMBER OF LAYERS :
[N] :

SCRAMBLE (DISKx|POLYG) VELOCITY


Cette commande précise qu’on souhaite que chaque corps ait une vitesse non nulle tirée aléatoirement. Ceci permet
de brasser un échantillon.

!23456789012345678901234567890:
SCRAMBLE DISKx VELOCITY :

NO (DISKx|POLYG) VELOCITY
Cette commande précise qu’on souhaite que chaque corps portant le DISKx ait une vitesse.

!23456789012345678901234567890:
NO DISKx VELOCITY :

REGULAR POLYG
Cette commande qui concerne uniquement les polygones permet d’avoir un échantillon de polygones réguliers. En
effet par défaut les vertex ne sont pas disposés régulièrement sur le cercle maitre.

!23456789012345678901234567890:
REGULAR POLYGON :
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SORT OF (DISKx|POLYG)
Chaque échantillon peut comporter plusieurs espèces de particules différentes.
La série de commande (**) est alors à répéter dans l’ordre présenté autant de fois qu’il y a d’espèces de particules
différentes.

!23456789012345678901234567890:
SORT OF DISKS :
[N] :

PERCENT (**)
Cette commande précise le pourcentage de chaque espèce au sein de l’échantillon grace à la valeur [R]. C’est un réel
à valeur entre 0. et 100..

!23456789012345678901234567890:
PERCENT :
[R] :

TYPE OF POLYG (**)


Les polygones peuvent avoir des formes géométriques différentes. Pour préciser cette forme, il faut remplacer [name]
par TRIAN pour des triangles, QUAD pour des quadrangles, PENTA pour des pentagones, HEXAG pour des hexa-
gones et enfin HEPTA pour des heptagones.

!23456789012345678901234567890:
TYPE OF POLYG :
[name] :

(DISKx|POLYG) BOUNDARY (**)


Précise la couleur attachée à cette espèce.

!23456789012345678901234567890:
DISKx BOUNDARY :
[name] :

(DISKx|POLYG) BEHAVIOUR (**)


Nom du matériau associé au corps portant cette espèce. On suppose ici qu’un corps rigide ne porte qu’une espèce
mais en pratique un corps rigide peut porter plusieurs contacteurs (clusters).

!23456789012345678901234567890:
DISKx BEHAVIOUR :
[name] :

(DISKx|POLYG) AVERAGE RADIUS (**)


Cette commande précise le rayon moyen de l’espéce. Pour un polygone on commence par placer les vertex sur un
cercle et c’est après qu’on le déforme.

!23456789012345678901234567890:
DISKx RADIUS :
[R] :
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(DISKx|POLYG) RADIUS VARIATION (**)


Une fois le rayon moyen donné, on peut donner une variation autour de ce rayon.

!23456789012345678901234567890:
DISKx RADIUS VARIATION :
[R] :

ELLIPTIC FACTOR (**)


Cette commande, valable uniquement pour des polygones, permet de donner une forme ovoïde aux particules. Cette
commande doit impérativement être présente dans le fichier SAMPLE.DAT même si le facteur d’ellipticité [R] vaut
1.

!23456789012345678901234567890:
ELLIPTIC FACTOR :
[R] :
M. Renouf, G. Saussine, F. Dubois ... 8

2.3.2 Disposition des particules sur un réseau


on spécifie le “réseau” sur lequel vont être disposées les particules. Par défaut elles sont disposées aléatoirement sur
ce réseau mais on peut désactiver cette option.

STRATES
Cette commande permet de désactiver le brassage automatique des différents types de particules pouvant intervenir
dans un échantillon. Celui-ci sera alors créé en plaçant les particules de la première espèce pour commencer, ceux de
la seconde, etc.

!23456789012345678901234567890:
STRATES :

(SQUARE|TRIANGLE) NETWORK
La repartition des particules peut se faire de différentes façons. En précisant pour name si les mailles du réseau sont
carrées (SQUARE), triangulaires inférieures (DOWN TRIANGLE) ou triangulaires supérieures (UP TRIANGLE),
les particules seront disposées différemment.

!23456789012345678901234567890:
[name] NETWORK :

PYRAMIDAL STACKING
Cette commande permet de faire un empilement de grains.

!23456789012345678901234567890:
PYRAMIDAL STACKING :
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2.3.3 Les boites lisses


JONCx BEHAVIOUR
Cette commande permet de déterminer le comportement des joncs (Si il y en a) en remplaçant [name’] par la loi de
comportement correspondante. [name] est à caractère optionnel, il peut prendre pour valeur UP,DOWN,RIGTH,LEFT.
On peut de cette façon donner à chaque paroi un comportement différent.

!23456789012345678901234567890:
JONCx [name] BEHAVIOUR :
[name’] :

JONCx AVERAGE RADIUS


Cette commande permet de fixer à la place de [R] le rayon moyen des joncs (identique pour tous).

!23456789012345678901234567890:
JONCx AVERAGE RADIUS :
[R] :

JONCx VELOCITY(*)
Cette commande facultative, permet de donner au jonc [name] une vitesse initiale [R].[name] peut prendre pour
valeur UP,DOWN,RIGTH,LEFT.

!23456789012345678901234567890:
JONCx [name] VELOCITY :
[R] :

JONCx LENGTH/DEPTH (*)


Cette option permet de donner au parois une grandeur autre que la grandeur de référence (fixée par le nombre de
particules). Ainsi après avoir spécifié le sens des parois concernées dans [name] par HORIZONTAL ou VERTICAL
et précisé si il s’agit de LENGTH ou DEPTH dans [name’], il suffit de donner à [R] la valeur souhaitée.

!23456789012345678901234567890:
JONCx [name] [name’] :
[R] :

CLOSED BOX
Cette commande permet d’avoir une boite fermée par 4 parois.

!23456789012345678901234567890:
CLOSE BOX :

OPEN BOX
Cette commande permet d’avoir une boite ouverte. La paroi manquante est la paroi du dessus.

!23456789012345678901234567890:
OPEN BOX :
M. Renouf, G. Saussine, F. Dubois ... 10

ETAU
Cette commande créé deux parois qui viennent se placer de part et d’autre de l’échantillon.

!23456789012345678901234567890:
ETAU :

PLAN
Cette commande permet de créer une paroi horizontale soutenant l’échantillon.

!23456789012345678901234567890:
PLAN :

2.3.4 Les Boites lisses deviennent rugueuses


RUGOSITE(*)
Pour un échantillon ( disques ou polygones), cette commande permet de definir le type [name] de polygones consi-
tuant les parois de la boîte ( QUADR par défault).

!23456789012345678901234567890:
RUGOSITE :
[name] :

commentaire :
M. Renouf, G. Saussine, F. Dubois ... 11

2.3.5 Les Boites fermés composées de DISKx


Cette commande permet de transformer les parois de la boite en collection de particules, permettant ainsi de définir
une certaine rugosité. Tous les DISKx formant la parois sont bloqués

SPECIAL BOX
syntaxe :

!23456789012345678901234567890:
SPECIAL BOX :
M. Renouf, G. Saussine, F. Dubois ... 12

2.3.6 Les sacs


Avec ces commandes il ne faut pas définir de réseau il est nécessairement carré. Les chaines de DISKx formant les
parois ne sont bloqués qu”a leur extrémité.

OPEN BOX DISKx THREAD


Cette commande permet d’avoir une chainette qui constitue les parois latérale et inférieure.

!23456789012345678901234567890:
OPEN BOX DISKS THREAD :

HORIZONTAL DISKx THREAD


Cette commande permet d’avoir une chainette qui constitue la paroi inférieure de l’échantillon.

!23456789012345678901234567890:
HORIZONTAL DISKS THREAD :
M. Renouf, G. Saussine, F. Dubois ... 13

2.3.7 Les Silos


BOTTOM ANGLE
Cette commande permet pour la création de silo de donner une inclinaison à la paroi du bas, consituée alors de deux
parties. L’angle de la trémis est donné par [R].

!23456789012345678901234567890:
BOTTOM ANGLE :
[R] :

SILO
Cette commande génère une boite en forme de silo. C’est une boite ouverte avec deux parois inférieure pour socle
pouvant être inclinées.

!23456789012345678901234567890:
SILO :
M. Renouf, G. Saussine, F. Dubois ... 14

2.3.8 Les points source


M. Renouf, G. Saussine, F. Dubois ... 15

2.3.9 Les tambours


Il est possible de créer des échantillons compris dans des tambours tournants.

DRUM BEHAVIOUR
Cette commande permet de fixer le comportement du tambour en remplaçant [name] par un des mots clés du fichier
BULK_BEHAV.DAT.

!23456789012345678901234567890:
DRUM BEHAVIOUR :
[name] :

DRUM BOUNDARY
Cette commande permet de fixer la couleur associée à la paroi du tambour en remplaçant [name] par une couleur, que
l’on retrouvera lors de la déclaration des contacts dans le fichier BULK_BEHAV.DAT.

!23456789012345678901234567890:
DRUM BOUNDARY :
[name] :

DRUM ROTATION
Si les particules sont des polygones, la paroi du tambour est composée de plusieurs polygones. cette commande
permet alors de calculer le fichier DRV_DOF.DAT pour les polygones rattachés à la paroi. Une fois la future vitesse
de rotation exprimée à la place de [R],va être crée PREBOX/DRV_DOF.DAT.ROT. Il suffira alors de renommer le
fichier lorsque la rotation devra être effectuée.

!23456789012345678901234567890:
DRUM ROTATION :
[R] :

DRUM SAMPLE
Cette commande permet d’activer les commandes liées au tambour.

!23456789012345678901234567890:
DRUM SAMPLE :
M. Renouf, G. Saussine, F. Dubois ... 16

2.3.10 Le TEXSOL
Les commandes suivantes permettent de créer un échantillon comportant des billes ainsi que des chainettes de billes.
La disposition des billes se fait suivant un réseau carré. Pour la création d’un tel échantillon il faut donc utiliser les
commandes suivantes puis passer à la création des billes dans l’échantillon.

TEXSOL BEHAVIOUR
texsol behaviour détermine le comportement de chaines de billes modélisant des fibres de TEXSOL. La ligne [name]
doit être remplacée par un des différents noms de comportement se trouvant dans le fichier BULH_BEHAV.DAT.

!23456789012345678901234567890:
TEXSOL BEHAVIOUR :
[name] :

TEXSOL BOUNDARY(*)
texsol boundary permet de fixer la couleur des particules, à l’emplacement des [name].

!23456789012345678901234567890:
TEXSOL BOUNDARY :
[name] :

TEXSOL PERIOD
Lors de la construction de l’échantillon, il est possible de déterminer le nombre de rangées de billes ne comportant
pas de chainettes. C’est grace à la commande texsol period que l’on peut fixer l’entier [N] correspondant au nombre
de lignes.

!23456789012345678901234567890:
TEXSOL PERIODICITE :
[N] :

TEXSOL AVERAGE LENGTH


Cette commande permet de fixer la longueur moyenne des chaines de TEXSOL comprisent dans l’échantillon.

!23456789012345678901234567890:
TEXSOL AVERAGE LENGTH :
[R] :

TEXSOL LENGTH VARIATION(*)


Complémentaire de la commande précédente la commande texsol length variation permet d’avoir des chaines de
longueur variable en entrant en paramètre la variation [R]. Toutefois cette commande reste optionnelle et possède la
valeur 0 par défaut.

!23456789012345678901234567890:
TEXSOL AVERAGE VARIATION :
[R] :
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TEXSOL SAMPLE(*)
Cette commande doit être utilisée si l’échantillon est créé grâce aux directives du modèle TEXSOL.

!23456789012345678901234567890:
TEXSOL SAMPLE :
M. Renouf, G. Saussine, F. Dubois ... 18

2.3.11 La coupe longitudinale de voie ferrée


Le groupe de commandes suivant permet de réaliser la coupe d’une voie de chemin de fer. Comme pour le groupe de
commandes précédent, après l’insertion des commandes dans le fichier SAMPLE.DAT, il faut écrire les commandes
nécessaires à la création des polygones correspondant au modèle désiré.

INTERVAL NUMBER
Cette commande permet de préciser le nombre d’intervalles (inter blochet) [N]. La valeur I + 1 correspond au nombre
de blochet se trouvant sur la voie.

!23456789012345678901234567890:
INTERVAL NUMBER :
[N] :

INTERVAL LENGTH
Connaissant le nombre de blochets, il faut déterminer la longueur des intervalles entre chaque blochet en remplaçant
la valeur [R].

!23456789012345678901234567890:
INTERVAl LENGTH :
[R] :

BLOCHET WIDTH
Il faut maintenant déterminer les dimensions du blochet. La commande blochet width permet de déterminer la largeur
du blochet. La largeur à la base est égale au double de la largeur en tête. La valeur [R] désigne la largeur de tête.

!23456789012345678901234567890:
BLOCHET WIDTH :
[R] :

BLOCHET HEIGTH
Cette commande permet de déterminer la hauteur [R] du blochet.

!23456789012345678901234567890:
BLOCHET HEIGTH :
[R] :

SAMPLE DEPTH
Cette commande permet de définir l’épaisseur de l’échantillon [R] qui se trouve sous les blochets.

!23456789012345678901234567890:
SAMPLE DEPTH :
[R] :

BLOCHET BEHAVIOUR
cette commande fournit le comportement du blochet, comportement choisit parmi les mots clés du fichier BULK_BEHAV.DAT.
Une fois celui-ci choisit il faut l’inscrire à la place des [name].

!23456789012345678901234567890:
BLOCHET BEHAVIOUR :
[name] :
M. Renouf, G. Saussine, F. Dubois ... 19

RAIL BEHAVIOUR
cette commande fournit le comportement du rail, comportement choisit parmi les mots clés du fichier BULK_BEHAV.DAT.
Une fois celui-ci choisit il faut l’inscrire à la place des [name].

!23456789012345678901234567890:
RAIL BEHAVIOUR :
[name] :

MAX RADIUS PARTICLES


Pour des raisons informatiques, il faut introduire le rayon maximum que peuvent prendre les particules ( rayon moyen×
variation ). C’est l’optique de cette commande, où [R] désigne cette valeur.

!23456789012345678901234567890:
MAX RADIUS PARTICLES :
[R] :

RAILWAY SAMPLE
cette commande est à activer lorque les directives sur la voie transversale ont été utilisées.

!23456789012345678901234567890:
RAILWAY SAMPLE : :
M. Renouf, G. Saussine, F. Dubois ... 20

2.3.12 Le modèle mur.


les commandes qui suivent permettent de créer un mur régulier, avec une alternance des briques d’une couche à
l’autre. Les commandes qui suivent suffisent à définir l’échantillon.

BRICK ON THE FIRST LAYER


Cette commande permet de donner le nombre de briques, [N], qui forment la première couche du mur.

!23456789012345678901234567890:
BRICK ON THE FIRST LAYER :
[N] :

LAYERS OF BRICKS
Cette commande permet de donner le nombre [N] de couches de briques constituant le mur.

!23456789012345678901234567890:
LAYERS OF BRICKS :
[N] :

BRICK WIDTH
Cette commande permet de déterminer la largeur des briques qui constituent le mur.

!23456789012345678901234567890:
BRICK WIDTH :
[R] :

BRICK HEIGTH
Cette commande permet de déterminer la hauteur [R] des briques.

!23456789012345678901234567890:
BLOCHET HEIGTH :
[R] :

BRICK BEHAVIOUR
Cette commande permet de déterminer le comportement des briques. Il faut alors donner à [name] une des valeurs de
comportement actives dans le fichiers BULK_BEHAV.DAT.

!23456789012345678901234567890:
BRICK BEHAVIOUR :
[name] :

FLOOR BEHAVIOUR
Cette commande permet de déterminer le comportement du sol. Il faut alors donner à [name] une des valeurs de
comportement active dans le fichiers BULK_BEHAV.DAT.

!23456789012345678901234567890:
FLOOR BEHAVIOUR :
[name] :
M. Renouf, G. Saussine, F. Dubois ... 21

WALL BUILDING
Cette commande active la construction du mur et est indispensable à la création de l’échantillon.

!23456789012345678901234567890:
WALL BUILDING :
M. Renouf, G. Saussine, F. Dubois ... 22

2.3.13 This is the end


END
syntaxe :

!23456789012345678901234567890:
END :

commentaire : comme toutes les bonnes choses ont une fin, il faut bien leurs dire de s’arréter. C’est cette commande
qui sonne le glas et qui permet de stopper la création des fichiers.
Pré-processeur 2D de LMGC90

Chapitre 3

Quelques exemples

Voici un exemple de fichier commenter permettant de créer un échantillon de 500 polygones poly-disperses, de type
et de proportion différentes.

#SAMPLE.DAT
#23456789012345678901234567890:
#-----------------------------:
MAX NUMBER OF POLYGONS :On trouve ici le nombre de polygones maximal
500 : de notre échantillon, produit des deux lignes
BODIES ON THE FIRST LAYER :suivantes. Ces 3 commandes sont indisociables.
20 :Rque: il se peut que le nombre de corps interne
NUMBER OF LAYERS :à la boite soit inférieur à 500, notamment dans
25 :les empilements triangulaires où il a pour vrai valeu
# Nmax-E(Nb_layer/2)
SORT OF POLYGONS :Précise le nombre d’espèces de polygones dans l’échan
3 :
#POLYGONS SPECIES : Première espèce
PERCENT :20%
20. :
TYPE OF POLYGON :pentagone
PENTA :
POLYGON BOUNDARY :de frontière bleux (voir DATBOX/BEHAVIOURS.DAT)
BLEUx :
POLYGON BEHAVIOUR :de comportement PLEXx (voir DATBOX/BEHAVIOURS.DAT)
PLEXx :
POLYGON AVERAGE RADIUS :de rayon moyen du cercle contenant le polygone.
0.05 :
POLYGON GYRATION RADIUS :
0.0043033 :
POLYGON RADIUS VARIATION :la variation du rayon moyen est nulle
0. :
ELLIPTIC FACTOR :facteur d’ellipticité. Indispensable, même si égale à
1.3D0 :
#
PERCENT :Deuxième espèce
30. :
TYPE OF POLYGON :
PENTA :
POLYGON BOUNDARY :
BLEUx :
M. Renouf, G. Saussine, F. Dubois ... 24

POLYGON BEHAVIOUR :
PLEXx :
POLYGON AVERAGE RADIUS :
0.04 :
POLYGON GYRATION RADIUS :
0.003033 :
POLYGON RADIUS VARIATION :
0. :
ELLIPTIC FACTOR :
1.3D0 :
#
PERCENT :Troisième espèce.
30. :
TYPE OF POLYGON :
HEXAG :
POLYGON BOUNDARY :
BLEUx :
POLYGON BEHAVIOUR :
PLEXx :
POLYGON AVERAGE RADIUS :
0.025 :
POLYGON GYRATION RADIUS :
0.002033 :
POLYGON RADIUS VARIATION :
0. :
ELLIPTIC FACTOR :
1.3D0 :
#
NO POLYGONS VELOCITY :vitesse initiale nulle.
#
JONCx BEHAVIOUR :comportement des parois: tdurx (voir DATBOX/BEHAVIOU
TDURx :
JONCx AVERAGE RADIUS :
0.3D0 :
JONCx GYRATION RADIUS :
0.01414212D0 :
#
UP TRIANGLE NETWORK :disposition sur les noeuds d’un réseau triangulaire
RUGOSITE :parois rugeuses faites d’hexagones.
HEXAG :
OPEN BOX :boite ouverte.
#
END :On déclare la fin du fichier.

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