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Christianisme I - Villes

Antioche

Géographie : Ville située sur l’Oronte. Fortune due à sa situation géographique : dans une région fertile,
à un carrefour commercial et militaire.
Port : Seleucia. Entrée de la Mésopotamie et placé sur l’axe Nord-Sud : Byzance – Egypte.
Banlieue chic : Daphnée

Mais région sismique (fut plusieurs fois endommagée), et ville placée au bas du Silpius, donc défense
difficile (envahi au 6e par Perses et au 7e s par musulmans)

Histoire :
- Fondée en 300 av.n.è. par Micanor, fils d’Antiochos (un des successeurs d’Alexandre). Ville
fondée pour être capitale (administrative et militaire, + commerciale avec Séleucie) du
royaume Séleucide. But de sécuriser la Syrie.
Réputation d’une beauté rapide.
- 175-163 (av.n.è) Antiochus IV Epiphane : mène une politique antijuive et d’hellénisation
forcée, en faisant une ville grecque. Devient rapidement importante, mais :
- 2e S. : Déclin
- 64 av.n.è -> Pompée -> devient province romaine de Syrie (acquiert alors son plan de ville en
damiers, + dotées de J.O : statut de capitale) Difficilement contrô lable par l’empereur, se
soulève régulièrement.
o A l’époque plan religieux panaché : communauté juive importante, ville grecque
installée dans région sémitique. (Sous Néron, troubles entrainant mesures anti-juifs)
o En 70 et 132 : Guerres juives, rebellions juives -> répercussions importantes sur
communauté juive d’Antioche.
- 4e S. : Période Byzantine
o Retrouve importance militaire et administrative, et religieuse. Devient métropole
important dans l’histoire du christianisme. Constantin y construit une église à coupoles
importante.
o Rivalités religieuses : Ex : Martyr Babylas, sous persécution de Dèce.
 En 351 : translation des reliques pour la première fois -> violation de la paix
des morts (interdit par grec) : Corps de Babylas déplacé à Daphnée à proximité
de l’oracle d’Apollon dans le but de le concurrencer.
 En 362 : Julien dit l’apostat fait faire le chemin inverse à Babylas -> retourne à
Antioche.
 -> comprendre la fonction de ces martyrs dans la polémique religieuse et entre
communautés.
 Temple d’Apollon brû le -> accusation des chrétiens -> puis disculpés, mais
Eglise fermée par Julien (Texte de Julien sur ces épisodes)
 4e S : 8 temples polythéistes à Antioche -> Cohabitation des communautés
grecques, romaines, chrétiennes et autochtones marchaient -> puis flambe en
violence.
+ Au sein même de la communauté chrétienne : nicéen (orthodoxe) vs arien
(monophysite)
Concile de Chalcédoine : Antiochiens monophysites (une seule nature du christ -> reste
encore aujourd’hui.) refusent concile de Chalcédoine qui voulait équilibrer les deux
natures.
- Fin 6e S. : Conquête perse
- 7e S. : Conquête arabe

Population :
Grande ville : environ 600 000 / 800000
Cosmopolite ethniquement, linguistiquement, socialement.
Langue officielle : grecque, mais population parle syriaque
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Ville tenue par colons grecs et passera aux mains des romains. Ces populations dirigent la ville mais
sont minoritaires par rapport au peuple autochtone syriaque : ont deux mentalités différents ->
parfois conflits.
- Communauté juive : origine +/- inconnue. Vie en « autonomie », reconnue comme une entité
politique, avec ses droits religieux, juridiques et politiques.
o Perd ses droits sous Epiphane
o Politheia : communauté reconnue, entité politique dirigée par conseil d’ancien
(Gerousia) et un archonte (Président du conseil)
- Communauté chrétienne : ancienne : témoignage datant de l’â ge apostolique (Gal 2)(1er S.) de
querelles entre Pierre et Paul par rapport aux pratiques notamment alimentaires (suivre les
juives ou pas)
o Pour Pierre, quand on est chrétien on n’est plus juif -> on peut manger avec tout le
monde.
o Act 15 : solution du pb posé à Antioche entre Pierre et Paul : 2 versions de la décision :
la plus probable qui porte que exigences rituelles :
 Pas de sacrifices de viandes aux dieux polythéistes : pb car toute la viande de
boucherie provient de sacrifices
 Donc chrétiens décident de marquer frontières par rapport aux pratiques
ambiantes des cultes gréco-romains.
 Viande Kacher ok : Régime alimentaire pas par végétarisme mais par pureté
alimentaire -> pas végétariens mais exclusivistes. L’interdit du sang vaut aussi
sur l’abatage « animaux étouffés » et immoralité : vaut pour 10
commandements
o Chrétiens alors mis en porte à faux vis-à-vis civilisation gréco-romaine.
o Act 11, 25-26 : nom de chrétien : pas non que chrétiens se donnaient eux-mêmes, nom
imputé, dépréciatif -> construit sur christos (moins) et terminaison anos plutô t
dépréciative. Chrétiens eux-mêmes s’appelaient « disciple de la foi ».
o Après, Paul ne retournera plus à Antioche.
 A Antioche, chrétiens de tendance judaïsante, région sémitique où religion est d’abord affaire
de pratiques.
 Act 13, 1 : montre diversité d’origine des différentes personnes + structure de
la communauté : prophètes et enseignant (différents ministères)
o Début 2e S. : Ignace d’Antioche : connu pour avoir développer la fonction épiscopale.
Personne définie dans élévation du titre d’évêque : au départ administrateur des biens
de la communauté puis va prendre le dessus sur le prophètes.
 Dans l’épitres aux Magnésiens d’Ignace d’Antioche : rapport entre communauté
chrétienne et juive à Antioche : Chrétiens d’Antioche attirés par rites pratiqués
par judaïsme : Evêque : se lève contre chrétiens qui vont aussi à la synagogue.
e
o 4 S. : Jean Chrysostome : discours contre les juifs ; Un des grands prédicateurs
d’Antioche, ayant proféré paroles les plus virulentes et polémiques contre la
communauté juive.
o confronté au même souci : que les chrétiens ne voyaient pas de difficultés à
fréquenter et l’église et la synagogue : Pourquoi ? -> car bains rituels. p
Chrétiens une fois -> mais pas sur que ça marche donc ablution à la synagogue
(rites plus anciens donc plus efficaces, et l’efficacité rituelle des fêtes judaïques
attire les chrétiens.)
o D’un point de vue social, dans région sémitique comme Antioche, mélange
normal pour la population.
o Discussion porte sur ce qu’est la nature même d’une religion : seul rite du
christianisme répété : ste cène.
 pb car le christianisme se caractérise par une doctrine, alors que dans l’antiquité la religion se
définissait par des pratiques et des rites (comme le faisait le judaïsme).

Antioche deviendra un patriarcat : grande métropole chrétienne de l’antiquité.


Orient : Antioche, Alexandrie, Constantinople, Jérusalem
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Occident : Rome.
Alexandrie

Géographie : Presqu’île du détroit du Nil, 25km2 (5km de long – 1,25 de large). Crée par Alexandre le
grand durant hiver 332-332 av.n.è. Plan quadrillé avec grande voie canopique et voie transversale. 5
quartiers.
Lieu de résidence de la cours des Lagides : successeurs d’Alexandre en Egypte.
= fondation grecque en Egypte (même problème qu’à Antioche)
Centre culturel plus que militaire. (Phare, Bibliothèque, musée) : Haut lieu des sciences et de la culture.
- Phare d’Alexandrie sur îlot du Pharos.
- Bibliothèque recèle un exemplaire de chaque livre existant dans l’antiquité (jusqu’à 700 000
volumes), philologue comparaient les versions des textes. -> Romains y mettent le feu en 47
av.n.è. -> Reconstituée en partie avec temple de Séparions -> détruit en 351.
- Musée : y logeaient savants d’Alexandrie : Eratosthène (circonférence terre), Euclide,
Aristarque (système héliocentrique), Archimède (Pompe avec vis sans fin)

Economie : grenier à blé de l’empire : approvisionnement de Rome en Blé depuis l’Egypte, par bateau
(environ 1 semaine). Revêt donc une importance stratégique : pouvait affamer Rome en stoppant les
bateaux.

Population : 400 à 500 milles habitants. (plus grande ville d’Orient – Seule Rome plus grande)
Grecs (avec statut civique), et Egyptien (dépourvus de droits)
Epoque romaine : Citoyens romains (pas d’impô ts), pérégrins (hommes libres mais non latin), non
citoyens (Egyptiens, paient taxes)
- Communauté juive importante, depuis 300 (occupait 3 quartiers sur 5). Jugés selon leur loi
(pentateuque), depuis Ptolémée II (3e S. av.n.è) (qui a fait traduire en grec leur loi pour savoir
comment juger les juifs.)
o Philon d’Alexandrie (environ -12 - +54), philosophe de tendance platonicienne, juif
hellénisé, va tenter de concilier révélation juive avec philosophie grecque. (Rédige une
vie de Moïse à comprendre comme un itinéraire biblique = exégèse figurée,
métaphorique de la vie de l’â me.)
- Communauté chrétienne d’Alexandrie : origine inconnue.
o 1er trace : Chrétiens gnostiques. Supposition de leur origine :
 1ers chrétiens d’Alexandrie historiquement gnostiques, mais orthodoxes ont
effacé/caché ces traces par la suite.
 1 christianisme d’origine palestinienne, et orthodoxes ultérieurs ont caché cette
origine.
 S’est d’abord développée au sein du judaïsme de la communauté d’Alexandrie,
hors cette dernière détruite au 2e S., donc possible que communauté chrétienne
ait disparu en même temps.
o D’emblée apparition d’auteurs de grande qualité avec école catéchétique :
 Clément d’Alexandrie : Fin 2e S – Début 3e S. – Païen converti. Dans ligne de
Philon, cherche à concilier doctrine chrétienne avec valeurs grecques : voit dieu
chrétien comme pas très différent du logos (raison divine) et Christ comme
représentation de ce logos. + Fait traité catéchétique où explique aux païens ce
que c’est que devenir chrétien -> Cherche à acculturer christianisme.
 Origène (185 -251) (chronologie sur fiche annexe)

Origène :
Appartient a une famille chrétienne. Son père a subi martyr sous Septime sévère, et il doit très tô t entretenir sa
famille.
Ouvre une école de grammaire et est pris en charge par une riche chrétienne. Ajoute un enseignement
catéchétique avec un certain nombre de disciples qui vont subir le martyr. Doit fuir, puis à la mort de Septime
sévère, rouvre son école.
-> Passe par une crise religieuse, spirituelle et mystique -> ferme son école et sa bibliothèque : se mutile,
angoisse -> puis commencer activité littéraire après séjour à Rome : produit commentaires bibliques : psaumes,
Jérémie, puis la Genèse : texte le plus difficile à commenter car y sont traités problèmes philosophiques très
important : cosmogonie, permanence de la matière ?...
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Fait paraître un premier volume de commentaires sur la Genèse -> réprobations -> doit s’expliquer sur ses
principes herméneutiques : fait exégèse allégorique.
Interrompt son commentaire et s’en explique : dans Traité des principes : justifie son interprétation de
l’Ecriture par elle-même.
Sa méthode : il la trouve dans l’Ecriture. Il interprète allégoriquement un passage dans la Bible pour justifier sa
méthode allégorique :
« 3 fois » -> lui indique 3sens de l’écriture en lien avec anthropologie tripartite : corps-âme-esprit
 Donc 3 niveaux de lecture : en 2 divisions :
- 1er niveau : sens littéral, obvie = le corps (Antioche, plus concret)
- 2e : sens allégorique qui correspond à l’â me, l’esprit : (Alexandrie plus spéculatif)
o sens moral : â me
o Sens spirituel : esprit
Important de fonder cette herméneutique dans l’écriture elle-même.

2e partie : sur nécessité d’interpréter :


Ecriture pas facile à comprendre car passages « obscures » : Dieu a fait exprès car veut nous obliger à réfléchir.
Ces passages obligent à interprètes à réfléchir, à trouver méthodes d’interprétations, à être éveillé, à aller
chercher au-delà d’une simple compréhension, d’une simple rationalité.

Cette méthode vaut non seulement pour Torah mais aussi pour NT.

Genres littéraires et Gnose

Textes annexe : Introduction au Nouveau Testament – Marguerat


Histoire de la littérature chrétienne ancienne grecque et latine - Moreschini – Norelli (-> débordent
cadre du NT, classement par genre littéraire.)

Dans NT : cinq genre littéraire :


- Apocryphe : textes pseudépigraphiques (placé sous le patronage d’un personnage biblique
mais pas écrit par lui.)
o Comportent des Evangiles, lettres, actes, apocalypses -> reprennent genre littéraire du
NT mais aussi :
o Poésie (Odes de Salomon),
o Roman pseudo-Clémentin,
o 1er homélie, prédications (discours prononcé dans le cadre d’un culte),
o Récits de Martyr (Pergame),
o Apologie (Justin) : défense du christianisme adressé à l’empereur / Aristide
o Dialogues fictifs (Justin –Tryphon)

 Répertoire qui illustre diversité des genres littéraires pratiqués par les premiers chrétiens.
Pour la plupart des textes sont anonymes, ou souvent déduit à partir du contenu.
A Antioche : bcp de textes judéo-chrétiens,
Pour Jérusalem, quasi rien
Christianisme plutô t développé en Syrie, Asie mineure, Egypte.
Pour Occident : + Rome ;
Attendre fin 2e -3e s pour avoir auteurs à Carthage, puis 4e pour Constantinople

(Edition la Pléiade : Ecrits gnostiques)

Textes de Nag Hammadi : Bibliothèque copte, gnostique.


Gnosticisme – Gnose : série de définitions différentes : courant historique, manifeste du 2 e au 5e s,
combattu par Pères de l’Eglise
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- gnostique : ce qui a trait à théorie de la connaissance (gnose en grec) -> on parle aujourd’hui de
gnoséologie pour éviter confusion.
- Dans l’hérésiologie : gnostique = étiquette reçue par leurs adversaires
- Esotérique : 16e s : désigne doc ancien, un pue obscure, gnostique rapproché de magique
- Syncrétisme : Tous les mouvements dualistes sont nommés gnostiques.
- Psychologique : proche de mystique : gnostique = étrangeté de l’être humain.

Courant qui s’affirmait comme chrétien, courant DANS la grande Eglise -> d’où problème pour les
dépister. Et ce courant faisait dépendre le salut d’une connaissance : découvrir que l’âme est
d’origine divine : âme aurait chuté dans le monde, et s’est incarnée dans un corps humain, y est
emprisonnée et appelée à réintégrer le divin dont elle est issue.
Mettre à l’œuvre ce qu’il faut pour libérer l’â me, pour réintégrer le plérome et gouter au repos éternel :
éternité de l’â me, donc après plérome retombe dabs un corps = métempsychose (idée de
réincarnation, idée pythagoricienne)

Mythe du Salut :
Définition de ce courant en reprenant série de questions dans extraits de Théodote.

Sources : (pour connaître ces textes)


Réfutations qu’en avaient fait les théologiens et auteurs de la grande Eglise (Irénée de Lyon –
Tertullien) -> soit indirectement jusqu’à découverte de la bibliothèque de Nag Hammadi :

Découverte de 13 codex permettant la connaissance directe de ce courant.

Depuis le 18e S : 1 texte : Pistis Sophia, Codex de Berlin -> connaissance rudimentaire, rare.
 permettait comparaison entre texte de la gnose et hérésiologique : mauvaise foi, font exprès de
ne pas comprendre.

Origine :
Inconnue, débat si préchrétien ou né environ au 2e S avec christianisme.
Aujourd’hui on pense plutô t chrétien, synthèse avec courant ésotérique grec.

Les hérésiologues tentent de montrer filiation entre personnages mauvais de la Bible et gnostique (Ex :
Simon)

Premier auteur gnostique connu : Valentin (Alexandrin). Vit longtemps à Rome, puis retourne en
Orient. Philosophe, exégète, poète.
Reste des fragments de son œuvre :
- évangile de vérité, mais ap. difficile : car souvent textes anonymes.

Ecole : valentinisme :
- Occidental : Ptolémée, Héraklion
- Oriental : Théodore

Héraklion : Commentaire sur l’Evangile de Jean


Gnostique, érudit, capable de maitriser l’art de l’exégèse, interprétation allégorique (-> tradition
alexandrine)
Bcp d’écrits à ce jour sur ce sujet.
Le but des textes ésotériques : que le non initié ne comprenne pas :
Ex : ev de judas : 1ere interprétation : témoin privilégié, inversement de sa figure -> mais peu
convaincant.

Texte : 1er codex de Nag hammadi : Prière de l’apô tre Paul.


Pas de doute sur la prière : alternance d’invocations et de demandes -> discernement de toutes les
étapes : du Salut à l’intégration du plérome. Placé sous l’autorité de Paul.
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 dans 1 Co 12, 2 : vision de Paul, enlevé au 3e ciel, hors ou dans son corps « Entendit parole
inexprimable, qu’il n’est pas permis aux hommes d’entendre. »

11 – figure salvatrice JC
14 – éons : être métaphysique qui peuplent l’espace entre le plérome et le monde matériel.
Etres déchus du plérome qui viennent troubler les âmes et sèment l’oubli -> principale ennemi de
l’â me -> donc gnostique doit vaincre cet oubli. (-> reprise de la philo de Platon de manière
christianisée, car connaissance en JC permet d’arriver au Salut. Il est le médiateur = Roi des éons, il a
autorité sur eux.)
Invoquer son nom = déjà manière de vaincre ces puissances adverses.
15 – Recevoir puissance de JC. Paraclet : désignation du X (ds Ev de Jean 14= esprit) (GR : avocat)
20-23 : Anthropologie tripartite : corps-â me-esprit (Chez Paul : 4e dimension : chair). Vision plus
grecque que biblique.
Reproche souvent faite aux gnostiques : juste esprit -> alors qu’on voit là que le corps est intégré dans
le processus du Salut (santé) -> toute la personne.
Evangéliste : JC, celui porteur d’une bonne nouvelle.
24-25 : 1er né = JC
(Accumulation des titres christologiques -> étendre son pouvoir sur les éons)
26-34 : Personnages intermédiaires : éons, anges (maléfiques, hostiles dans ce modèle), archonte
(prince des éons), dieu psychique.
Dieu psychique : désignation du dieu créateur, demiurge (Gen I)
 gnostique distingue 2 dieux :
- dieu créateur : du monde matériel, et des êtres intermédiaires : anges et archontes.
- dieu sauveur
et sont différents. Herméneutique biblique contre laquelle Irénée de Lyon va combattre : 1 personne
pour lui.

Ame en remontant dans le plérome doit traverser cette zone dangereuse -> pour gnostique il faut
réussir à traverser cette zone sans en être perturbé.
Ne montera pas au cœur de l’homme : passion de l’â me dont le Salut doit permettre de ‘s’affranchir
 réalité existentielle pour ceux qui priaient cette prière.
30-35 : vertu cardinale (foi, espérance, charité,
Titre christo
Maison = maison de la sagesse = temple

Remémoration du salut de son âme pour le gnostique.


Mouvement syncrétique : combine éléments qui faisaient partis de la culture alexandrine.

Père de l’Eglise critiquent le dualisme divin.

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