32 Y CJ-

r \ COMPLETE

COMITAIJSTOIS

P CLODOMIK
Divisée- en. 2 parties.eJiaqueparHe lo'

DU MEME AUTEUR.

Op m. M E T H O D E complete pour leSAXHORN Soprano Mit W

Op i e M E T H O D E c o m p l e t e pour leSAXHORN Alto Mi b. . . W
, s

Op 19. M É T H O D E p o u r l e S A X H O R N B a s s e a . 4 c y l i n d r e s . . . 1 5 '

PARÍS.

ALPHONSE LE1HT éditeur.S.RuedeOrammont

 PRINCIPES ÉLÉMENTAIRES DE LA MUSIQUE
La Musique s'écrit sur cinq lignes horizontales appelées Portee, et qui se comptent de bas en haut. Les signes d'intonation sont des points noirs,
nommés Notes, que l'on place sur les lignes et dpns les interligues de la portee, ils indiquent le degré d'élévation ou d'abaissement comparatif de*
sons qu'ils représentent. Figure des notes J J ^
Les cinq lignes de la portee ne suffisaiu pa¿ toujours pour écrire tous le3 sons employés dans certains morceaux do musique, on ajoute alors
au-dessus et au-dessous de la portee de petites lignes additionnelles qui permettent d'écrire autant de sons que l'on dósiro.

an .lessu». —
«otea sur les lignes. Notes dans les interlignea Cié tl'iit jg Cié de sol fy Cié de fa 9 :

Sr. I —| Les Irois sigues ci-dessus que i'on place au uumuien-

a

1 $aligue. ; ; _ ir? iolcrlipie 0 T • cement de la portee servent á déterminer le ñora et

L'gues a joute'eK "~~ ZUZ. - -0 ' l'intonation des notes placees sur les lignes et dans
au des'sous — les interlignes.

La ció de sol indique que la 2« ligne qui passe au milieu de la note, lui donne le nom do sol. On part «lo co Sol pour nommer les
autres notes.
NOM DKS NOTES SUR LES LIGNES NOM DES NOTES ENTRE LES LIGNES
NOM OES NOTES SUR LES LIGNES. NOM DES NOTES ENTRE LES LIGNES. SUPPLÉMENTA1RES. SUPPLÉMENTAIRES

* £*
f- •- f
sol ¡üi S ré vé la la do un sol n
II faut d'abord s'a[pliquer á jbjen connaitre les notes qui sont placees sur les lignes, on pusiera ensuile aux notes placees dans les intorlignes.

NOTES ET SILENGES
Pour exprimer Ja duróe des sons, on emploie sept figures des notes que l'on ncmme : ronde, Manche, noire, croché, double croché, triple croché,
cuádruple troche.
FIGURES DES NOTES. FIGURES DES SILENCES.

Uonde Blanc!» Roirc Croch* DouUe.c. Triple e. Qn.-.drnple c II y a sept signes que Pon nomme ^ Soupir.Pffi OMffi ^ f f i f l * ffijfe
silcnccs, qui ont une valeur corres-
Í pondance a celle des Notes.

Tablean comparatif d e s valeurs d e s Notes et o e s stlenccs.

La conde La équivaut á la o rondo.

vaul La * équivaut a la p blanche.
2. blanche».... x.
on Le équivaut á la f
r noire.
4 noires
od
T.1 — 1I. - !,
f U
Le •» équivaut a la. ^ croché.
8 c
r htíS
- ¿') Q L i L i Le équivaut á la £ double croché.
=)
16 doubles crochés. ^ " ~- ^
í v
^ ^, fv
3 2 triples eroches A /. A A A A A A A A A A A A A Le a équivaut á la p triple croché.
i

64 quadruples crochés. Le 3 équivaut á la K quadruple croehs

D a P e Int. Noire poinlée Crocbí poinlée

Itondp puinli'c Hlauebe poinláa (f>
Le point ( • ) placó aprés une note ou aprés un silence en prolongo la e - r—
.. ou ^ équivaui a

rr4
duróe de la moitió de leur valeur réelle, quand la note est suivie de deux points
successifs ( o - - ) le deuxiéme point vaut la moitió du premier. f - r r t t t T~Tv ( n i

DE LA MESURE
La mesure sert á déterminer la duróe des sons en divisant le temps musical en un certain nomLre de partios «''galo
Les notes comprises entre ees truits perpendiculares forment ce qu'on appelle des mesures de musique.
mesures eontenant des valeurs equivalentes.
Une ronde 2 Manches 4 aoírea 8 croché» pause demi^dUEcElancbe noire soupirs ilc.

La double barre qui termine un morceau de musique, ou qui en marque les división?, se nomme Barre de sépuration.

On appelle la double barre précódée de 2 points Reprise La double barre précédóe et suivie de deux points indi ii —
elle indique qu'il faut répóter la musique precede, que qu'il faut répéter la partie qui préc:d3 et celle qui suit
Oes signes de la Mesure.
La mesure s'indique en tote de chaqué morceau de musique et aprés la cié par les signes suivants (J j j i (á quatre temps), $ ou 2 (á deux
temps), 3 (á trois temps), ou par des chiffres places l'un sur l'autre - i - i - i i - *
_ . « « o o g
II y a des mesures simples, des mesures composées, et des mesures derivéis 8~
/ MESURES SIMPLES
MESURES COMPOSÉtS MESURES DÉRIVÉES
indiquées comrae suit :
conteuaiit plus d'une ronde eontenant moins d'une ronde
Exflmples: \ Q o u ¿ ; ^ o u 2 > 3 ou_3_
2 6 6 3 3 9 9 4 2 2 2 6 6 3 3 3 9 18
i
(a 4 temps) (á 2 temps) (á 3 temps) 4 2 4 1-2 2 4 ~¿ I" i 8 8 16 i 8 J6 16 16
 Manieres de batiré les mesnres :
A QÜATRE TEMPS. A TROIS TEMPS. A DEUX T E M P S .

J. J
Les mesures composées ou dérivées se battent: 1° á trois temps, 4?temps 3?temps J 29 temps
levé" . levé. • levé.
quand le numérateur (chiffre supérieur) est impair; 2 á quatre temps
o
op4«««*,O
í f '*••• I 3 temD8
J adroite.
2P temps
e

quand le numérateur pair e3t divisible par í; 3° á deux temps quand J?,.??."?/!?; •'•'•'.•Ja droile

JlP?-"£emps
le numérateur pair n'est divisible que par 2. . ^er l e m p s
i| <P leinps
r

frappé. 'frappó. 0 frappé.

DU MOÜVEMENT, DES NUANCES ET DIFFÉRENTS SIGNES

On nomme móuvement le degré de vitesse ou de lenteur que l'on donne á la mólodie. II y a cinq mouvements principaux : largo, adagio, andante,
allegro, presto. Chacun de ees cinq mouvements principaux se subdivise en mouvements intermédiaires; ils peuvent encoré se modifier par des indications
qui se rapportent au caractére du morceau de musique.
LES MOUVEMENTS PRINCIPAUX SONT : Largo, L E S MOUVEMENTS INTERMÉDIAIRES SONT : Larghetlo, Moins lent que largo. — Andantino, Moins lent
Lentemen'.. — Adagio, A faire posément. — que l'andaute. — Allegretlo, Gracieux, léger. — Gusto, Presqu'aussi lent que l'andanle : Commodo,
Andante, Moderé avec gráce. — Allegro, Vif sans presser. — BriUant, Brillant: Aguato, avec agitation; Modéralo, moderé. — Aíaesioso, Síajes-
ot gai. — Presto, Trés-vif. tueusement : Mosso, animé; Vivace, vif. •— Prestissimo, Plus vif et rapide que presto, etc.
NUANCES : P- doux. PP. trés-doux. F. fort. FF. trés-fort. Crescendo enfler le son peu a peu. crescendo, diminuer le son. D e

Ritard ou Ritardando, en retardant. Rallenlendo, en rallentissant. Riluendo, retenu. A temps ou Tempo 1° premier mpuvement. Leggiero, léger. Expressivo,
expressif.
SIGNES : La Liaison pour lier deux ou un nombre de notes quelconque on l'emploie aussi
lorsque le point n'a pas la duróe voulue pour reprósenter la prolongation á exprimer.

Poco á Poco, peu á peu. Renvois <g pour indiquer qu'il faut retourner au pareil signe. Da capo al signo ou £). C. al % córame pour les renvois,
POINT D'ARRET POINT D ORGUE
Substitution de la deuxiéme fois aprés pour arréter sur le dernier temps d'une mesure point d'arrét suivi de petites notes que Ton
.«nroit.Sr'.gyFoii. S -
a v o ¡ r r e c o m
et méme sur une barre. exécute á volontó.
1
™
1 1
™ meneé la re-
1 1

pnse.

Tacet, silence absolu d'une partie. Ad libitum, k volonté.

T R I O L E T S 3 .crochés triolets 3 ilouliles crochés .3 triples.crocbes.

triolets pour la triolets pour lu Trois pour deux.
pour la noiru la croché. double croché
Un nomme Triolets trois notes que l'on passe dans le méme
temps que 2 notes de la méme figure.

DU DIÉZE, BEMOL E T BÉCABRE

Le Diéze 8 élóve l'intonation de la note d'un demi-ton. Le Bemol b baisse l'intonation de la note d'un demi-ton.
i. -¡
Position des diézes et des bémols constitutifs
Les Diézes et bémols constitutifs se placent en tete du morceau de musique aprés la ció. Ils agissent sur les notes 3 * tf_ |i
qu'ils affectent á toutes les octaves pendant la durée du morceau. j , ti u i
a

Les Diézes et les bémols accidentéis n'agissent que dans la seule mesura oü ils sont places. ¿7 ~
On emploie aussi le double diéze * et le double bemol i. tí» dont l'effet est le double de celui produit par les diézes et les bémols simples.
L3 Bécarre b, dótruit l'effet produit soit par le diéze, soit par le bemol, c'est-á-dire qu'il rend á la note son intonation naturelle.

DES TONS MAJEURS E T D E LEURS RELATIFS MINEURS

Tableau des tons majeurs et de l e u r s relatifs mineurs avec des Diézes.
Un ton relatif d'un autre ton est designé á la ció
par le méme nombre de diézes ou de bémols. Lorsqu'il Sol. ^ ^ Ré. La. » Mi. Si. u Fa#.
n'y a ni diézes ni bémols aprés la cié, on est en ut MODE \\$\ o II l V " ll^Vl. \\£%h.ü^
majeur ou en la mineur. MAJEUR.
Avec les diézes, la tonique du ton majeur, pre-
miére et derniére note de la gamme est toujours un M o D E

degró au-dessus du dernier diéze posó \ la ció. Pour - M I N E U R

le ton mineur un degró au-dessous.

Tableau des tons majeurs et de leurs relatifs mineurs avec des Bémols.
Fa Sib Mib Lab Réb Solb Dob
Avec les bémols, la tonique du ton majeur esc MODE

toujours quatre degrés au-dessus du dernier bemol M A , E U I 1

i
ÜU ou ou ou ou ou ou
nosé á la cié, pour le ton mineur six deerés Ré. Sol Do. Fa. Sib. Lab.
v
MODE
au-dessous. MINEUR.

DE LA GAMME DIATONIQUE E T GHROMATIQUE

La Gamme Dialonique procede par tons consécutifs comme : do, re, mi, fa, sol, la, si, do; elle se compose'de cinq tons et de deux demi-tons.
Quelque soit le degré d'ólóvation du son de la gamme, les deux J ,|,, re , mi fa so
^ ^ a S
drmi-i"n°
demi-tons sont toujours entre le troisiéme et le quatriéme degrés, et entre
6l'degT¿.'7- degl'¿u

le septiéme et le huitiéme degrés.

demi-tous..
La Gamme Chromatique est celle qui procede par demi-tons consé- ('} .f^^^
s.
•cutifs, *J fa faf "I soI# la
áo do 5 re reff

P t r t s . — T y p . TurOn el Ad. Juve), 9, c o u r des Sliraclfs

 DIJ C O R N E T A PISTONS 5
Le Cornet en usage aujourd'hui porte trois pistons, au mojen desquels on peut faeilement et sans iuterrup-
liou descendre par demi-tons depuis le son le plus aigu jusqu'au plus grave.
Le Cornet se tient de la main gauche, cette main doit le serrer foríement de maniere á laisser la droite l i b r e
de tous sés mouvemenís, conserver l'agilite des doigts pour abaisser rapidement les pistons.
Le pistón 4 , l e plus prés de l'embouchure, se manceuvré avec l'indexde la main droite.
Le pistón 2 , celui du milieu, se.manceuvre avec le me'dium.
Le pistón 3 , le plus prés du pavillon, se manceuvre avec l'annulaire.
Les notes du Cornet á pistons se divisen! en deux series :
La premiére contient les notes naturelles, se produisant par la vibraiion du tube principal, sans le se-
cours d'aucun doigter.
La deuxiéme, les notes fictives resultan! de l'abaissement successif ou simultane' des pistons.

MANIERE D'ACCORDER L'INSTRUMENT

Pour accorder les notes naturelles, on se sert de la coulisse d'accord-j pour les notes ficfives on a r e -
cours aux coulisses correspondantes aux pistons. Ces coulisses adhérenfes doivent étre tirées proporíiouuelle-
ment, selon le corps de rechange qu'on adapte á l'instrument. Le corps de rechange le plus courí(Síl> pour
la plupart des cornets, Ut pour les autres) exige les coulisses de pistons totaleinent enfoncées.

CORPS DE RECHANGE 4r« COULISSE 2 p e COULISSE 3 m e

COULISSE

Ton de Si\> Tirée de ciuq millim. .

Ton de La Tirée de quatre millim. Tirée de huit millim.
Ton dé La b Th'ée de huit millim.... Tirée dequúize millim.
T o n de Sol Tirée de quiuze millim. Tirée de quatre millim. Tirée detreute millim.
Ton de Fa Tire'e de Líente millim. Tirée de huit millim... Tirée de soixante millim.

Malgre'l'exactitude qu'on mettra a re'gler ainsi chaqué coulisse,il adviendra quelquefo>s que la justesse ob-
tenue ne sera pas satisfaisante, plusieurs raisons pourront en étre cause: la pince des levres,la dimensión des
embouchures, leur forme , l'instrument mal proportionne'; I'oreille alors sera juge des modificalions a faire
subir aux longueurs indiquees.

DE L'EMBOUCHURE
L'embouchure dont l'e'léve doit faire choix est une embouchure de moyenne grandeur; les embouchures
<rop petites ou trop grandes font naitre des difficulles qui rendent les sons pe'nibles a obtenir et. les p r e -
mieres lecons fatigantes.
La maniere de poser l'embouchure surtes levres, est une chose tres importante. C'est de la place qu'elle oc-
cupe que dependía facilite' d'exe'cution et la sonorite'. L'embouchure doit occuper le milieu de la bouche, serrer
fortement la lévre supe'rieure, qui lui sert de poiuf d'appui,et laisser l'infe'rieure libre,vibrer a volonté. Le go-
sier ne doit servir qu'alaisser passer l'air neces*aire. Pour obtenir un son aigu il faut exercer une légere pres-
sion de l'embouchure sur la lévre superieure et rapprocher les lévres l'une de l'autre; Pour un son grave au
contraire il faut diminuer la pression de l'embouchure et disjoindre les lévres.

MÉCANISME DU CORNET
Prendre pour point de de'part une note du tube principal et descendre au moyen des pistons a une note in-
fe'rieure,tel est l'effet que produit l'emploi des pistons. 'Chaqué pistón est pourvu d'une coulisse adhérente qui
ne communique avec le corps de l'instrument que lorsque le pistón est enfoncé; dan» cette posiiion le tube
principal est allonge' de toute la longueur de la coulisse.
La coulisse de chacun des trois pistons est de longueur différente.
La coulisse du f? piston,un ton.
r
Le *¿f et le 3?piston, deux tous.
La coulisse du pistón, un demi-ton. Le l ? e i l e 3?piston, deux tous et demi.
r

La coulisse. du 3 ? p i s t ó n , un ton et démi. Le i l e 2 e t l e 3 ? p i s t ó n , trois tous.

er e

Le 1 et le 2 -pistons produisent la me me longueur que le 3? un ton et demi.

e r e

A.L.2415
 Le 2? pisten enfonce',allonge l'instrument d'un demi-ton et baisse les notes du tube principal d'un demi-ton.

Ex.
p p ^
Le l? piston enfoitce.allonge l'instrument d'un ton et baisse les notes du tube principal d'un ton.
r

Ex.^S

Le 3? pistón enfonce',alIonge l'instrument d'un ton etd'un demi-ton' et baisse les notes du tube principal d'un
ton et d'un demi-ton.
5 3 s s
p 3

Ex JJ- ,»
77 " - i

1
—s
—d- —o-
1 1 2
2 2 2
2 1
2

Les 2? et o? pistoas enfoncés.allongent l'instrument de deuxtons et baissent les notes du tube principal de
deuxtons
2 2 2 2 2 2
a Í2Z 51

Les 1 et 3?pistons enfonce's,allongent l'instrument de deuxtons et d'un demi-ton et baissent les notes du
er

tube principal de deuxtons et d'un demi-ton.

Ex. 1 -i I ] - 1 P=2=Tf
-é- " 1

Les trois pistons entonces,allongent l'instrument de trois tons et baissent les notes du tube principal de trois tons.

A P L , P 3 ¡S . 3 . 3 8
Ex.

ACCORDS PRODCItS PAR I/ABAISSEMENT DES PISTONS

Toneffeotif. { frj ] | J j |i r t ~ g i T
1

2? pistón.
En Si. i

?h9- -
4? piston
r
—p— -Ó—r i I
EnSib R

= F = t = F —ra— C —H
ti
g 4.'- J =H
Tons fictifs
rar r f bp f=j=
2? et 3 pistons . ¿Jay i
e
3
rf=¥ a —F~
En La ¡>.
r " * j •• 1
6— 1
-1
4= —Ü—

-p—•
En Sol.
¡y * i 1
j
—¿— 1 . -
—(sU
—I—
—.

p— p p
4 1 -"-o
el H— 1
o
_

Ces sept accords parfaits re'unissent toules les notes du Cornet. Pour former unegamme on choisit celles.
qui sont nécessaires.
A. L. 2415
GAMME NATVRELLE n 1— ~l e
1
4 >
l 1 11
Diatonique 11 KJ
1
'—r%—'
1—e—1
1 oí 1 2 0 3 8
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I
Ia 0 2 1 2 0
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v0 a8 3a 2 1 2 0, 3
• • I
GAMME CHROMATIQVE j
parDiezes

o , , , 5 « 4
3 3 0 8 °.
GAMME CHROMATIQVE.
parBémols » R R R
R |T r t r r t rr r r r
I I

EFENDVE DV CORmTmS: —i m

JVOTES D U CORNET AVEC LEVRS DIFFEREISTS DOIGTERS

i 1 1
2 .2 1 2 1 2 1 2 *
3 3 2 3 1 2 0 3 3 , 3 2 3 1 2 3, 0 3

11 2
1 . 1 „ ,. X í 3 2 11
1
, O 4 Q 1 * *
11
, 1 Q . O 1 0, 3 3 8 2 3 0 1 3

o 1 2 3
1 1 1 2 , 1 AUI i o
3
te
j a » v » « a i ¿ S ¿ ° 1 * ^ 1
Chaqué mesure représenle un son; ce son est souvent de'signe' par une note diésée ou une note be'molisée
on emploie Tune ou l'auíre forme selon la tonalité:
Les chiffres qui surmontent les mesures indiquent les différents doigters pour obtenir le méme son.

CONSEJLS
I L'éleve commencera par filer des sons avec égalite'; il augmentera peu á peu leur volume, pour le dimi-
o

nuer easuiíe et revenir graduellement au degré de forcé qui lui aura servi de point de départ.
2.° Chaqué note sera atíaquee avec un coup de langue, elle devra sortir avec justesse et p u r e t é . -
3 Les exercices du commencement serviront a medre en pratiqué la tenue de l'instrumeut, le doigfer, le
o

coup de langue, la justesse, et la mesure. L'éleve ne passera á une nouvelle lecon, qu'aprés avoir exe'cute
convenablement la precedente.
4.° 11 ne devra pas étudier de la musique trop difficile.
5 ? Ses exercices seront de peu de durée; il les renouvellera souvent; en agissant de la sprte il se fortifiera
les lévres, qu'un travail trop prolonge'finirait-par affaiblir..
6? II étudiera de préférence les morceaux d'un caractére oppose'a ses dispositions naturelles; si sa langue
est (ourde,il choisira des passages rapides e t l é g e r s , si au contraire son coup de langue est vif et facile, iLs'exer-
cera sur les sons souténus et les mouvements lents.
7? II évitera avec soin de souffler au point de se fatiguer la poitrine.
8? Aprés ses exercices, il se rendra compte de sa lassitude: l'engourdissement des muscles desjoues,
denote un travail profitable et bien dirige; la poitrine oppressée et la respiration génée sont.des signescer-
tains qui feront reconnaitre une mauvaise étude; car le son son sera plutót provenu du. souffle puret simple,
que d'un coup de langue.

É M I S S I O N d ü s o n

Pour produire un son, il faut rapprocher 1'embouchure des lévres et faire mouvoir la langue eomme si on
voulait lanuer un morceau de papier daos l'insfniment,' en ayant soin de pronomcer la syllabe tu ou ta, a chaqué
nouvelle note. Ce móuvement s'appelle coup de langue, on ne peut tirer correctement un son sans l'employer.
Le Sol du médium étant tres facile a faire parler, c'est par lui qu'il faut commencer» il doit servir de point de de'-
part pour e'tudier les notes qui lui sont inférieures ou supe'rieures.
A. L . 2 4 1 5
 EXERCICES PREPARATOIRES
Les jouer lentemenf et plusieurs fois.

2 zfi: 3T 3:

4 -tfr
-9 O -9 ' ¡g

—n—'———
=%===
*-zs
5 1 e —(9 1 <s —c -m —0 1 O e
o —
<k*=3

i.
2

6 zfi:

1 1
3 2
7
1 22

8
"3"
1
2
9
d -I-
2

ÍO 1 i r •o R r :

^ ~ 5 ^ — ^

EXERCICES SIU LES II\T ERIAL LES

Donner uu coup de langue sur chaqué note, ne respirer que sur les virgules.
1 1 1 1 1
9 1 9 1 , 9 . , 2, 9 2| 2 »
1 3 9 2 2 2i » 2i 2 9 2

SECONDES J r IJ # r | p . R
1 1
2 9 a » 2 2 * 2 3 í

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3 í 3 2 3 2 3 2 5 2 1 2 1 2 1 i
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A.L.2415.
 11
GAJUMES MA«TEURES ET M I N E 11IIES
DANS LES TONS LES PLUS USITE's SUR L'INSTRUMENT

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A.L.2415.
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( AÜCUN SIGNE A LA CLÉ )
MESURE Á QVATRE TEMPS: C
Les gammes et exercices qui précédeut les re'cre'ations ne poríent aucune indicafiori de mouveraeut ni de
nuanee. II faut les exécuter plusieurs fois; (entement d'abord, puis accélérer chaqué fois davaníagele móuve-
ment. La djfficulte augmente avec ia vifesse. II est e'gatement indispensable de commencer parlesjouer piano,
mezzo forte aprés-, enfin fortissimo.
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( R E L A T I F DE SOL MAJEUR, UN D I E S E Á LA CLE )

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SIMLE HISTOIRE

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Allegro (J --^460 )
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PROMENADE, GALOP
5

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A.L.2415
 22
SYNCOPES
On appelle syncope, le prolengement d'un son cominencant sur un temps faible, ou sur la partie faible d'un
temps et finissant sur un temps fort ou sur ía partie forte d'un autre temps, ou du rueme temps. L'effet de
la syncope consiste a accentuer fortement le temps faible et diminuer le temps fort; il faut doneTexeeuter a-
vec ce sentiment. La syncope est indique'e par une note dont la valeur est plus grande que celle des deux
autres notes qui la pre'cédent oíi la suivent.

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Lorsque la syncope agit sur deux mesures diffe'rentes,les deux notes syncopees sont sur montees d'une liaison.

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SOWS COUPES
Cn appelle ainsi les notes" coule'es deux a deux et se'parees de celles qüi suivent par un silence d'une
valeur moindre.
II faut attaquer avec forcé la premiéra note^et diminuer le son á Pextre'mite' dutemps;_ cette maniere f a i t .
ressortir les notes et donne de lV'égance au trait.

Exemple
±ú m
p

A P P O G a i A T I R E
L'appoggiature estune petite note d'agrement place'e au dessüs ou áü dessous de la grande noté. Au des-
sus,elle peut étre a u n ton oü á un demi-ton de distance; au dessoüs elle tié peut étre qu'a un demi-ton.
Elle prend pour,valeur, la moitié de la duree de la note qui la suit>

77—9

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A.L.241«
 23

EXERCICE
ir |Jl
r 1
P. u - |j J 1
-n r j i r i ^ f - ^ p ^
fe —'— =1
GRUPPETTO
On nomme Gruppetto, la re'union de petites.notes lie'es, et qui pre'cedect uue grande note. La valeur du
gruppetto est prise, non sur celle dé la note qui en est aflecte'e, mais sur le temps qui pre'céde cette note. Le
gruppetto se fait en montant ou en déscendant.

Exemple
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3rJfi 1 J^rmTi
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¥0regj — 1* ü x
N 1
—'ti
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Quand le Gruppetto est compose' de quatre notes, il s'articule «pres la grande note. On peut l'indiquer par
ce signe co en avant soin de placer au dessous un diéze ou un be'carre, selon l'alte'ration qu'oa faif subir á.
sa note inférieure.
Andante ( J = 4 3 2 ) _
Exemple
P
^ 5 •m—é-

Effet

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j

22? R E C R E A T I 0 5 a ft
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A. L . 2 4 4 5
24
SI \> HIAtfEUR
( D E U X BÉMOLS A LA CLÉ )

GAMME

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A.L.2415
 25
Modéralo ( J = 432 )
9.3 RECREATION
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Andantino ( J = 442 )
24 REGREAT10N
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STRANIEKA

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Andante ( J = 96 )
0 0 0.0
25 e
RECREATION
P
SI J ' E T A I S ROÍ

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A.L.2415
•26
Allegretto ( J = 432 )

26?RECREATION zAz \'if r •f J J «J

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L'ELISIKE D'AMORE
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Allegrettq ( J = 4 0 4 )
27. RECREAT10N
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SI J ' É T A I S ROÍ

f t r T ri-M h I J'TNI L n - s i
1»

SOL, MINEVR
R E L A T I F DE SI b MAJETR, DEUX BÉMOLS A LA CLÉ
MESURE AS IX EVIT §

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1 L i- i. , 1 h —rl'
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GAMME 1
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A.L.2445
 27

2 ? EXERCICE

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4? EXERCICE

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Andantino ( J = 120 )
28? RECREATION
LA GHANSON SU P A T R E
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J jl Jl J

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A.L.2445
28
Lento ( J == 8 0 ) ^ — | N

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Moderato ( J = 4 0 8 ' rail.

3 0 ? RECREATION
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RA.PPELLE-TOI
de G.Rupétj. 8 ¿ . f
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T R I L L E
Le Trille ( iiupropreineat appele' cadenee ) est un agTe'ment qui consiste dans le battement successif et
precipite' de LA note sur laquelle il est marque' avec C E L L E qui est placee á un degre supe'rieur.
II se termine par une note au dessoús ET par une note semblable a la noté principal-e.
I I y a deúx espéces de Trille; celui d ' U N d e m i - T O N et celui d'un ton.

Exemple W ^ 1 Jp2
3X
Trille mineur (uu demi-ton) Trilla majeur ( uu ton)

Effet C 0 0 0 0 0 ^ 0 0 0 ^ ^ ^

Grazioso ( ¿ = 9 6 )
51?RECRÉATI0N Í7
E MI L I E JL 7, \ r l tm r^-fn ff I» m i* -
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Valse e l u d e . @ A * ' J -• ~ 1 1—»—1 4
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Allegretto ( J = 444)
32?RECREATIOi\
R O B Í N DES B O I S

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U — — —
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DE LA RE SPIRATION
La respiration est le re'sultat de deux actes des poumons; l'aspiration et l'expiration.
L'aspiration fait entrer i'air dans les poumons; I'expirafion chasse au dehors l'air aspire'.
II est utile de calculer sur la longueur de la phrase ou de la note qu'on doit soutenir, la quautite' d ' a i r
ne'cessaire; aprés l'avoir aspire'e, la ménager soigneusement.
La musique a sa ponctuation comme le discour. 11 faut y avoir e'gard pour respirer.
On respire completement a l a fin des phrases* sur un silence; sur un point d'orgue.
ü n prend une demi respiration áu milieu d'une phrase; sur une note (ongue, en abrégeant sa valeur. La demi
respiration est d'une grande utiliíe'; mal placee, elle peut de'truire l'unite' d'un trait.
Allegretto moderato (J=444)

0 ^-v (•V'N
33?RECREATION : M MZ F M

LA. SOMNAMBÜLE

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A.L.2445
30 SIX PETITES ÉTIDES
EN DIFFÉREJSTS TONS

Staccato ( J = 1 7 0 )

EN DO MAJEÜR ^¡Hr
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AUegreito ( J = 160 )

EN LA MINEUR
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Andante legato ( é = 132 )

3
EN SOL MAJEÜR

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TiirniJTTiií^f *f!TJ i JTn j \ t±JK m
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A.i.2415
 31
Allegro ( J = 152 > _
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EN MI MUN EUR
TS/t! RJ3-j*Yi n3J**i
A 6

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Anc lantino í J = 1 2 0 )
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EN FA MAJEUR

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A.L.2415
 Allegro ( J = 1 2 0 )
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n.c.

Allegretto ( J = 1 0 0 )
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j r ^ ¡ H # f f i r i | Ñ . [ i J ejrj-J ¿ d ^ y 22

A.L.2415
 33
RE MAJEUR
( DEUX D I E Z E S A LA CLE )

MESURE A TROIS HUIT g

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GAMME r i ii r * n ~ i i m p i r" i r p »

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A.L.2415
34
Allegretto (J = 1 0 4 )
3B?RÉCRÉATION ñ ,} ~~
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CÉEPP H
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F, 1 1 r^H

Giüop de L.Dessaux- -pp ^ ~L ^

FIN.

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Allegretto ( «i = 9 6 )
zaz
37?RECREATI()N

LE B A B B I E R B E SÉVILLE
53 I* j } iJñ

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5 +-0-0-0 w-f-Pf-f- m ffff -0-0-0-0 -9 0 0

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a. L. 2 4 1 5
 35
SI M I \ E l H
R E L A T I F DE R E MAJEUR, DEUX D I E Z E S A LA C L E
2 ,

GAMME
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2 ? EXERCICE
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Allegretto ( J = 96 )
-38?RÉ(RÉATIOK'r|t£|=j£
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LHANSQNNETTE

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Andantino ( J = 1 2 0 )
5 3 ? R É C R É A T í O N - f t - f | 7,
FABLIA.Ü P
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leggiero.

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A.L.2415
36
DU P O R T DE lOIX (PORTAMENTO)

II ne faut pas confondre le port de voix avec le coule'. Le coule' est une simple liaison qui unit deux notes.
Le port de voix attache pour ainsi diré ensemJble, deux scns dil'ferents, pour n'en faire qu'un.

COULE ffr) CJ
I

PORT DE VOIX i -6 d I -6l

K~ff ff
Effet.
Si
Allegro ( J = 432 )

4ü?REGREATlO?í
SE -f-ir fe
«ra! te

NORMA.
fe 5
te

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3=» l i i l

Sí m

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J r Jd
—:
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K
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accetenendo.

- ] " ^ l r f r f fí
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35 ¡ f e ff >#

0 J *
ff • 0

A.L.244o
 COÜPS DE LA\(¿IE 37

Coup de langue simple

g) 'i J"J «TJ I r r f f 1f f T H * " ^ ^
Ta ta la la ••••• M B H H LHH
ta ta ta la la ta ta ta la. /7s
fa
Le méme precipité
Ta ta la la

ta ga da ta ga da ta ga da ta ga da la. • z<7\
fa
Coup de langue double 0 0 0
Ta ga da la ga da

ta da ga da ta da gada ta da ga da ta da ga da ta.
Coup de langue triple -0-0
A 0 4 4 0- f-f—w
i—- —
Ta da ga da ta da ga da
3
a .
da ga da ga da ga da ga da ga da ga da ga da ga ta. r?\
f=Éz

Ta ga da ga da ga da ga
Roulement-
3 3 ^ 3
da da ga dada ga da da ga da da ga dada gada da gada da gada daga ta.
fa 9-0-0-0-
0 0 00
Ta daga dada gada da gada daga „ o
3 3 J
3 3 3 3

Allegro ( J = 4 9 2 ) '
41?RECREAT10N
GALOP
P

n 1 **

' F 0 p

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tj • ; 5
~

A. L . 2445
38
SIX EXERCICE8 PROGRESSIFS

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5-U 1»
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• •
f ' =fi=F
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M

m J j J mHj fj! 1 0
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>^ ^ • >• /
^é—J
j r n
>- >- ^

ra
C!f l t c r
J

Allegro ( J = 476)
0 r 0 k 1 0
r 0
2 fflg
sempre forte e staccato

$ m
0§0 F 0-
' 0 0 <_J_ : ' . 0 * 0 M • T

» J J J * 1 ¿SI • «i. • * • *

Moderato ( J = 4 6 8 )

o. y—t—^ rrT"

Allegreüo (i = 4 5 2 )
i • ••
3 ^ r * 3 * L^>^^ MSB :
£¡¡¡SH~tS¡s* —

3 3 3 ^3

f-; ; ; J T T l l
. 3^ :

• • • V A - l i l i uh hh mi
• F~F~F~ 9
\ w

¿J 3 • . . . . . - 1

A.L.2415
 Modéralo ( J = 1 2 6 )

6 W=W
mi

FFFF FFTTf

MI b M A J E I R
( TROIS BEMOLS A LA CLÉ )

2 »•
GAMME # P =0=P-
-0

1?'EXERCICE (k\ b li>Á~' 0* 0 m-

Jdd'dJIJJJJd :hJj|J3,nT|%riJ3J3rlJj%
\Jé-* *m\J^J
9

¡a

2?EXERC1CE

>-
A.L.2415
40

Andante («J = 108 )

«
42?RÉCRÉAT10N J.U (j T*) J. m i , "*—f —r-J-
L'OISEAUBLED .W . »
f J* ¡ •

9 rciM.
P ' 1», • ¿ i* * i"
•
i * P J '•'rii 1
— f — f —~5¿~ L 0 1»
rail'.

DO MIMEIIR
R E L A T I F DE MI b MAJEÜR, T R 0 1 S BEMOLS A LA CLÉ

me-(¿¿iió
GAMME i n JXPi r j - j 11 f ^ J I j j i i r f^i

I? ' EXERCICE
1 # P *nrfr» i f« :~ir-^~rd=:~~rg
5
— r • ¿ —é— é—«-
J J J I 1
T é T _^-P-?—
17, írPp^pPp;
•* >*• * 0 ó 0 . * 0 ¿ - 0 ¿
Se

r rf
b
r rf r 07*0) 0 f * 0

Je
2? EXERCICE W ) H C"

\ •

f/f-|»bJj ^ — T 1 -' —
3

(.0 ft H -
#
-
0-
V
D.C.
Xk), l i 1H l jr
(^) 1. — 3 * ,
17

^ ? 4I - i -
"
Andante ( J = 1 6 0 )
43?RÉCRÉATIOIN 0,1* » I ~-~
MELODIE phPHP r

—p-f- 1 4B
rf-r * p > -< 5
(a) !>
«1—
>- >-
• • «¿ce.
•i-f- •
ffrfTf •Tr~ r. . - i
J_. - 1f¿P-f 1
L 44=
^ P
A.L.« i 4 1 5
 41

Allegretto ( J = 144:

44? R E C R E A T I O N
* • J * • *= a

LA RETRAITE

•J----#-

J1—»-

do.

tes é
-i -iJ-1
v é

SE J. h 3L
JE

fe «i #
5 J J J «J 3E J ,^
crescendo

Z3C -^—J-m í

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1-0-.
•—f— I J \ n L "i r
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P = * é m
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