Vous êtes sur la page 1sur 10

- Finance d’entreprise -

Notation :
- Examen : 50%
- Examen intermédiaire : 40%
- Participation : 10%

TD en finance d’entreprise (Jouaber et Rigobert)

Objectifs :
- Maitriser les différents volets du diagnostic financier (à travers les docs comptables
- Être capable de déterminer la valeur (part des actionnaires par exemple avec des méthodes
d’évaluation financière -> prévision des flux futurs), la création de valeur (chiffrer la création
de valeur pour prendre des décisions) et les choix d’investissement d’une firme (création
de valeur appliqué à des projets d’invest)
- Comprendre la relation entre le risque et la rentabilité (relation fondamentale)
- Avoir un premier aperçu des produits et des marchés financiers (actions, titres de dettes,
obligation, produits dérivés … + org du marché financier du pts de vue de l’E)

Plan du cours :
 Partie 1 : diagnostic financier
 Partie 2 : la valeur et le choix d’investissement
 Partie 3 : marchés et politique financière
- Partie 1 : Diagnostic financier -

Diagnostic financier = analyser les comptes d’une entreprise (de résultat + bilan) -> on part de
l’information comptable pour procéder au diagnostic
 O diagnostique le passé, réalisation de l’entreprise

Analyse financière = diagnostic financier + évaluation de l’entreprise (basée sur des prévisions du
futur de l’E

Les utilisateurs du diagnostic :


- Les concurrents vont procéder au diagno les uns aux autres pour se comparer entre eux,
voir le leader, faiblesses, forces = benchmarking
- Analystes financiers : ce sont leur activité principales et sont financés pour ca
- Acquéreurs potentiels qui souhaitent acquérir l’entreprise ou des part
- Banquiers : qd ils sont sollicités pour un emprunt, ils doivent diagno l’entreprise pour
s’assurer de sa solvabilité
- Actionnaires et dirigeants : connaitre les performances de l’entreprise (not la rentabilité
- Salariés: comité d’entreprise (s’assurer de la pérennité de l’entreprise

 Il n’y a pas un seul diagno financier : il faut maitriser les outils du diagnostic pour pouvoir
choisir ce qu’on veut diagnostiquer dans l’entreprise

Diagnostic global : si on veut lancer une nouvelle E, on doit présenter un business plan et sa plus
grande partie c’est le diagnostic financier mais aussi …
- Marchés : s’intéresser aux marchés dans une approche marketing et stratégie
- Diagnostique du système de prod et logistique de l’E pour les optimiser
- S’intéresser a la gestion des RH (étude de la pyramide des âges, des départs a la retraite)
- Aspects juridique : statut juridique et la répartition du capital
- Le management et la direction (le meilleur mode de manager et diriger pour maximiser les
chances de réussite de l’entreprise)

 Diagnostic financier est important mais ce n’est qu’une partie du diagnostic global

Les outils de l’analyse financière :


- Le tableau des soldes intermédiaire de gestion (TSIG)
- Les tableaux de financement ou de flux
- Les ratios
Chapitre 1 :
- L’activité : la formation du résultat -

 Comprendre comment le résultat s’est-t-il former ?


 Quels est la composante ou la provenance de ce résultat ? (calcul de résultats
intermédiaires)
 Expliquer et interpréter les chiffres identifiés

I) Les soldes intermédiaires de gestion

Soldes intermédiaire = résultat partiel rapporté au résultat net pour savoir quelle est la
contribution de chaque solde dans l’entreprise (exploitation ? résultat financier ? …)
 Souvent historique de 3 ans pour mesurer l’évolution des postes et des performances dans
l’entreprise
 Comprendre l’évolution d’une année sur l’autre et expliquer cette évolution pour pouvoir
agir dans bon sens si on comprends
 Dans l’espace (en complément) : par rapports aux concurrents (pour situer l’entreprise)

Compte de résultat :
- Activité commerciale et de production
- Inscrit en hors taxe
- Produit et charges en 3 catégorie :
o D’exploitation
o Financière
o Exceptionnelle
- Le CA corresponds à la vente de marchandises et la production vendue
- Variation des stocks comptabilisé particulièrement : stock final – stock initial normalement
mais dans la comptabilité on l’inscrit dans le signe opposé (et tjr dans les charges) parce que
on veut faire supporter au compte de résultat seulement ce qui a été consommé et pas que
acheté
- Production stockée = produit fini de l’entreprise stockée
- Dotation aux amortissement, provision et reprise : sans contrepartie monétaire, ce sont des
charges calculées (ni encaissement, ni décaissement) -> maintenir l’équipement
- Participation des salarié et impôts sur les bénéfices ne sont pas classable

 A partir de ces comptes, on va calculer les soldes intermédiaire de gestion

1) La marge commerciale

Valable pour activité de distribution sans aucune transformation (achat, revente)


 Marge commerciale = chiffre d’affaire – coût d’achat des marchandises vendues

Marchandises vendues = achats de marchandises + variation de stock

CAMV = achats de marchandises – augmentation (+diminution) des stocks de marchandises

2) La production de l’exercice
Valable pour activité de production (biens et services)
 Production de l’exercice = production vendue + production stockée + production
immobilisée (immobilisation produite par l’entreprise, pas acheté, pour elle-même et ses
propres besoins)

Analyse à partir de 3 facteurs (pour expliquer hausse ou baisse de la production)


- Le facteur- prix
o Évolution du niveau général des prix : inflation ou déflation
o Évolution du prix d’un produit particulier à l’entreprise
- Le facteur quantité
o Facteurs conjoncturels (plus de demande sur les marchés par exemple) ou
chroniques (qui reviennent de temps en temps)
- Facteur gamme (produit tt une gamme de prod différents -> on cherche la contribution de
chq des gamme qui tire la production vers le haut ou vers le bas)
o Pondération des différents produits dans la gamme vendue

3) La valeur ajoutée

Valeur ajoutée = production de l’exercice + marge commerciale – consommations intermédiaires


/conso en provenance de tiers /charges externes (matières premières conso, achats
d’approvisionnement et autres charges externes)
 Importante de la mesurer car le PIB se calcul à travers les valeurs ajoutée des E
 Qu’est-ce qu’elle apporte à l’économie = on enlève les propres valeurs ajoutée des autres
entreprises = ce qu’elle apporte réellement

3 facteurs d’évolution de la VA :


- Le facteur prix :
o Prix des consommations (on acheté plus cher)
o Prix de vente
- Le facteur quantité
o Quantité produites
o Quantités consommés
 On produit plus et on consomme moins ou inversement ? = productivité des facteurs
(améliorer ou non ?)
- Le facteur gamme
o Impact d’une modification de la composition des ventes

Interprétation de la VA pose quelques problèmes :


 Exemple tableau : 3 entreprises avec le même niveau de production, même résultat
d’exploitation != mais VA différente`

 Consommation intermédiaire différentes


- Crédit-bail = contrat de location d’immo assorti d’une option d’achat en fin de bail
Elle utilisent les mêmes immobilisation pour produire mais l’EA loue une partie de ces
immobilisation au contraire des EBC = conséquence au niveau des conso intermédiaire plus
élevée -> et comme l’EA n’est pas proprio, elle a moins de dotations aux amortissements
EA ne recourt pas au crédit-bail = dotation aux amortissement max + emploi personnel
permanent
EC moins de salarié permanents = moins de frais de personnels -> salariés intérimaires sont
des conso intermédiaires

 EB>EC>EA ? => impact au-delà de la VA -> même résultat d’exploit et donc même
performance
 La VA ne peut pas être utilisé pour déterminer la performance de l’entreprise (choix pas
neutre vis-à-vis de la VA) :
VA != indicateur de performance -> il faudra procéder à des retraitements

Taux de VA :
- VA / Production
- VA / CA
 Mesure la contribution de l’entreprise au processus d’élaboration du produit final
 « Degré d’intégration dans la filière (maitrise tt le processus de production en comptant sur
ces propres moyens) »

Autres ratios :
- VA / effectif ou VA / frais de personnel
- VA / immobilisations corporelles

Déterminer comment est affecter la VA dans l’entreprise ?


 Provenance (ce qu’on a utilisé pour la calculer
 Servir à payer le personnel, payer des charges financières …

La partage de la VA (tableau) :
- Charges de personnels (salaires, cotisations)
- EBE (frais financiers, impôts, dividendes, autofinancement)
 Sert a rémunérer le facteur travail et le facteur capital et contribution à l’État
- Impôts et taxe + subvention d’exp : faussent l’analysent puisqu’ils ne peuvent pas être
classé dans le facteur travail ou capital = retraitement à faire pour arriver à un partage claire

4) Excèdent brut d’exploitation

EBE = valeur ajoutée + subventions d’exploitation – impôts et taxes (diff de impôts sur les benef) –
charges de personnel
 Avant résultat d’exploitation

Ressemblance entre EBE et résultat d’exploitation :


- Seulement et niveau d’exploitation (que des produits et charges d’exploitation)
- N’est pas affecté par la structure financière de l’entreprise (avant paiement des charges
financière)
- Donc représentatif des performances économiques de l’entreprise

Différence :
- EBE ne prend en considération que des encaissements et décaissement -> EBE = résultat
encaissable issu de l’exploitation (ne tiens compte que de produits encaissable et de charges
décaissables) !!! tt ce qui a été vendu n’a pas été forcement encaissé
- EBE est le dernier solde avant amortissement (pas affecter par la politique fin de l’E =
meilleure mesure de la performance de l’entreprise

Approche financière de l’EBE :


 Résultat d’exploitation encaissable
- Pour le trésorier de l’entreprise : sert a quantifier les encaissements et les décaissements ->
a la base des prévisions de trésorerie
- Pour l’investisseur : sert au calcul de la rentabilité économique de l’entreprise + suffisant
pour rémunérer le taux requis ?
 EBE = solde comptable le plus opérationnelle dans une approche financière

Répartition de l’EBE :
- Rémunérer les pourvoyeurs de fonds
- Les créanciers (intérêts sur dettes)
- Actionnaires
- Maintenir équipement économique de l’E
- Palier a des évènements exceptionnels (payer les charges exceptionnels par ex)
- S’acquitter de l’impôt sur les bénéfices

Calculer la réparation avec les ratio de repartissement :


- Dotation au amort / EBE
- Frais financier / EBE

5) Le résultat d’exploitation

REX = EBE + autres produits d’exploitation – autres charges exp + (reprises – dotations) sur
amortissement et provision d’exp
Ou = produits d’exp – charges d’exp

Résultat financier = produits financiers (revenus de placements et de participations) – charges


financière (intérêts sur emprunts, comptes courants d’associés …)

Niveau d’endettement :
- Moins d’intérêt = remboursement d’emprunt
- Plus d’intérêt = cout des dettes qui a augmenter (taux d’intérêt en hausse)
 Poids des intérêts
Si l’explication de retrouve au niv de la dette, il faut chercher l’origine : deux raison pour contracter
un emprunt
- Dette contractée comme un palliatif à de mauvaises performances (ebe et rex ne sont pas
suff pour couvrir les charges -> s’endette pour payer ses factures et ses salaires) = mauvais
endettement
- Combler une insuff de fonds propres (complété le financement d’un projet d’investissement
= bon endettement
 Donner un sens selon les situations
Cout de la dette = intérêts / dettes financières
 Ratio utile mais fiable que si la dette financière inscrite sur le bilan de l’entreprise est
représentative du niveau d’endettement sur toute la durée de l’exercice
 Par exemple : une société contracte son premier et unique emprunt de 1mio d’euro au taux
annuel de 12%, un mois avant la clôture des comptes
- Le cout moyen de sa dette est de 12% l’an
- Si on calcule le ration on va trouver un cout de 1% sachant qu’on le calcul pour seulement 1
mois : ratio nous induit en erreur si on utilise ce ratio, il est non représentatif du cout de la
dette

Le véritable cout de la dette, c’est le taux d’intérêt si l’entreprise devait renouveler sa dette à
l’identique au moment où je fais l’analyse

Les produits financiers :


- Intérêts
- Dividendes
- Plus-value
 Origine = actifs de trésorerie + immobilisation financière
Excédents de trésorerie peut être utilisé en placement de trésorerie (VMP, BT, prêts intragroupe pr
d’autre filiales …) -> intérêts, dividendes, plus-values
 Origine immo financière
Choix portefeuille financier à MT ou LT + remontées de dividendes des filiales = dividendes

6) Résultat courant avant impôt

RCAI = résultat d’exploitation + résultat finance +/- quote-parts de résultats en commun (quand une
filiale encaisse la totalité d’un produit réaliser avec d’autres filiales)

Double intérêts :
- Résultat cours : ne prends pas en considération les éléments exceptionnels = résultat
normalement dégagé compte tenu de la structure financière
- Résultat avant impôt : neutralise l’influence fiscale (ne dep pas du régime fiscale a laquelle
est soumise l’entreprise)

7) Résultat exceptionnel

RXL = produis exceptionnel – charges exceptionnelles


 Opérations de gestion
- Abandons de créances, … ?
 Les opérations de capital
- Cessions d’immobilisations (terraisn, constructions, machines, titres)
- Flux liés aux subvention d’investissement (recu en une seule fois et censé couvrir une
période liée à celle de l’investissement -> même si la subvention arrive par les caisses,
trésorerie, chq année l’entreprise doit étaler la subvention sur la période concernée
Pas do condition particulières pour avoir une subvention d’invest mais pr benef d’une subvention
d’exploitation, cela implique que l’entreprise est soumise a des contraintes imposé par l’etat ou les
collectivités locales pour compenser cet emprunt (impose de s’installer dans une zone industrielle
par exemple)

Cession d’immobilisation 

Résultat de cession : deux dimensions à prendre en compte


- Contribution de la cession à la trésorerie
 Prix de cessions va affecter la trésorerie en cas de revente
 Éventuellement, impôts sur plus-value
- Contribution de la cession à la formation du résultat net
 Résultat de cession = plus ou moins-value = prix – VNC

Exemple : immobilisation acquise pour 1000, amortie de 600 et à été cédée pour 300
 Flux de trésorerie est de +300
 VNC = 1000-600 = 400
 Moins-value = 300-400 = -100
 Le flux comptable est de -100
Pour une même opération le trésorier n’a pas la même vision que le comptable

8) Résultat net comptable

RNC = résultat courant avant impôt + résultat exceptionnel – participation et intéressement des
salariés – impôts sur les bénéfices

II) Retraitement utiles

 Ajuster les différents soldes par rapports aux problèmes que l’on pourra rencontrer

2 raisons principales pour le retraitement :


- Pas la même logique que le comptable (qui est juridique) = faire prévaloir une logique
économique sur la logique juridico-comptable
 Exemple : crédit-bail (juridiquement c’est une location avec la redevance mais le bien
n’appartient pas à l’entreprise et n’apparait pas dans sa compta – mais c’est un actif que l’E
utilise dans son processus de production et le risque est de sous-estimer les actifs
d’exploitation + surestimer sa performance et sa rentabilité
- Faire ressortir le cout des grands facteurs de production
 Exemple : soucis dans l’estimation du cout du facteur travail (seulement charge du perso
d’un point de vue comptable et ne prends pas en compte les intérimaires ) : prendre en
compte tt ce qui rémunère le facteur travail
- = retraitement + reclassement de certains postes du résultat

1) Subventions et impôts et taxes

Subvention d’exploitation -> d’après le PCG on obtient une VA sans subvention d’exploitation
+ compense une contrainte imposée à l’entreprise qui voit ses capacité de prod, de ventes réduites
et ça affecte son niv d’activité et son CA = un complément de ca SUITE a cette contrainte -> replacer
au niveau du CA
 Viens compléter la prod ou le CA de l’entreprise

Impôts et taxes (pas impôt sur les bénéfice qui est direct !!) en contrepartie d’un service des
collectivités ou de l’état (ex : taxe pro en contrepartie de formations)
 Dans une logique économique on inscrit ces charges en provenance de tiers au niveau des
consommations intermédiaires (ou charges externes ou en provenance de tiers) = service
extérieur
 Ex : les charges a caractères sociales qui arrivent chez le salariés au bout doivent être classés
au niveau des charges du personnel = cout du facteur travail
 Impôts locaux couvrant des services collectifs = consommations intermédiaires privées

2) Le crédit-bail

= location d’immobilisation en « leasing » assortie d’une option d’achat en fin de contrat


 Le comptable est tenu par cette définition juridique (immo n’appartient pas à l’entreprise,
et le loyer qui est la redevance annuelle est enregistrée en charge externe)

Mais la VA a partir des éléments comptable sera biaisée : dépends au fait ue l’e recourt ou pas au
crédit-bail = problème de surestimation de la performance de l’entreprise
 Il faut retraiter ce crédit = requalifier comme étant une opération d’investissement financée
par endettement auprès du bailleur (endettement auprès du fournisseur et pas de la
banque)
- Opération d’invest = comme si l’immo appartenait à l’entreprise
- Financé par endettement = inscription d’une dette dans le bilan même si il n’y a pas de dette
(au passif)

Redevance (loyer) sera reclasser :


- une partie en dotation aux amortissements (3/4 de la redevance)
- une autre en charge financière = redevance – dotation (1/4 de la redevance)

Exemple (tableau) :
Dans le retraitement je répartis le montant du crédit-bail entre le résultat financier et la dot sur
amortissement avec la clé de répartition donnée (1/4 et ¾)
 Rf : négatif parce que l’on rajoute des charges et non un produits
 Le résultat net ne doit pas être modifié

Retraitement est fait d’office


- pour les entreprises côtés : obligés de retraités dans le crédit bail
- Pour irfs

3) Le coût du facteur travail

Faire apparaitre la totalité du cout du facteur travail et pas que la rémunération du personnel
 On regroupe tt dans les charges du personnel et on va reclasser à cote toutes les formes de
rémunération dans le compte de résultat de l’entreprise :
- Salaires et traitements
- Coûts des intérimaires (charges externes)
- « personnel détaché ou prêté à l’entreprise
 Conséquence : fait baisser mécaniquement les conso intermédiaire = VA ajoutée retraitée >
VA comptable
- Participation et intéressement des salariés (distribuer une part du bénéfices aux salariés)

 Faire baisser EBE de l’e

Bonne indication du cout du facteur travail mnt

Le partage de la VA sera bcp plus simple mnt : parfaitement partagé entre coût du travail et coût du
capital (EBE)
A partir de ces retraitement on obtient une VA retraitée qui peut être utilisée comme un bon
indicateur de performances : solde pertinent d’analyse des performances (ne dépends plus de
l’organisation de la production dans l’entreprise)
 Ne pas se laisser piéger par ce retraitement du crédit-bail :
- Une partie de la redevance (totalement payé) placé en dotation au amortissement (qqc qui
n’est pas décaissable)

Vous aimerez peut-être aussi