Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
« Exporter » Ed Foucher
Les achats et les ventes se font hors taxe. L’importation est taxée dans le pays de
destination finale, sauf pour le commerce interne à l’UE depuis 1993 en théorie. En
pratique, on va utiliser une règle d’exception en travaillant avec une exonération de TVA
selon l’article 262 du C.G.I (code général des impô ts).
UBIFRANCE est représenté à l’étranger dans plus de 130 pays par des missions
économiques. Ils peuvent proposer des conseils sur la façon de procéder, des
informations, et une aide à la prospection.
Le conseil régional dispose d’un service qui consiste à aider et à orienter les
exportateurs.
Le BFI (banque française d’investissement) qui peut aider lorsque l’entreprise est
innovante (quelqu’un qui créé de nouveaux produits a besoin d’être aidé).
- Matrice BCG (vedette : produit qui va bien marché qui va bien ce produit
rapporte de la marge , vache à lait : déjà investit sur ce produit mais ramène
toujours de la marge c’est sur produit qu’on à bâ ti la réputation de l’entreprise ,
point mort : ils ne rapportent plus grand chose produit qui va mal sur un marché
en déclin mais on le garde parce qu’il rapporte encore quelque chose , dilemme:
mauvais résultat pas de bonne part de marché mais le marché est encore
dynamique, votre offre n’est pas adapté comme il faut il ne faut pas faire de
l’export )
- Méthode ABC :
1ère stratégie : culture intensive : elle consiste à obtenir plus de résultats de la part
de la clientèle actuelle et on met la pression sur les commerciaux pour qu’ils
ramènent plus de chiffres que les années précédentes. ( pas d’exportation)
2ème stratégie : lutte concurrentielle : mettre la pression sur les commerciaux on
cherche en permanence à piquer des clients aux concurrents (bon comportement
pour l’exportation)
3ème stratégie : culture extensive : il s’agit d’atteindre les non consommateurs
relatifs pas conseillé convaincre d’autre pays a acheter des produits dans votre
pays alors qu’il ne les achètent même pas dans leur propre pays.
- Matrice Igor Ansoff : basée sur le couple produit marché, il y’a 4 cas possible :
1er cas : marché actuel avec produit actuel stratégie de pénétration du marché qui
revient à la stratégie de culture intensive
2ème cas : marché actuel avec produit nouveaux, stratégie de développement du
produit (diversification ou innovation du produit), même marché avec même
client mais nouveaux produit => succès à l’export
3ème cas : marché nouveau avec produits actuels : stratégie d’extension de marché,
diversification du marché
4ème : diversification : attaquer un marché nouveau avec des produits nouveaux
(stratégie la plus risquée) il faut environ 60 idées nouvelles avant d’arriver à un
produit nouveau sur un marché.
- Diagnostic interne :
Force et faiblesse
Un diagnostic interne n’a de sens que si il est fait avec le concurrent le plus
proche, si on ne peut pas le faire on le fait sur une situation commerciale précise.
On le fait si on veut exporter. C’est un répertoire des ressources et des moyens de
l’entreprise. On va communiquer d’une manière globale sur nos forces par
rapport à nos concurrents, pour les faiblesses on va s’améliorer pour que sa
devienne acceptable pour contenter les clients.
Le diagnostic interne va porter sur la production, sur le produit, sur notre savoir-
faire commercial, diagnostic FINANCIER (toute analyse commerciale qui n’aurait
pas de voler financier ne serait pas cohérente, et sur « autre » tout ce qui
concerne les ressources humaines, organisation…
Concernant les faiblesses ont recherches des solutions internes mais aussi
externe pour s’améliorer sois même (on va sous traiter notre problème)
- Diagnostic de production :
Outils de production :
1er point à voir la capacité de production disponible : il peut y avoir des
problèmes de retard, cela peut provoquer un litige commercial sérieux avec le
client et ça peut avoir des conséquences sur l’image de l’entreprise, on peut
perdre la clientèle. On peut trouver des solutions interne : en augmentant notre
outil de production mais c’est un investissement lourd avec des coups élevés.
Autre solution augmenter l’utilisation de l’outil existant (augmenter la masse
salarial) inconvénient de cette solution le coup. La sous-traitance aussi mais
sélectionner le bon car c’est un concurrent donc il ne faut pas lui confier les
secrets de fabrication il faudra trouver un accord équilibré entre les deux
(solution externe).
2ème point la flexibilité de l’outil de production : sa souplesse, la capacité à
fabriquer des produits différents techniquement (ex : vente de voiture en France
on veut vendre en Angleterre il va falloir changer le volant de cô té est ce qu’on
à la volonté de le faire ? est ce qu’on veut vraiment le faire ? est ce qu’on a les
bonnes machines pour ca ? est ce qu’on a le savoir-faire ?)
Les méthodes de production : ce qui peut être problématique c’est la gestion de la
production (mise en fabrication qui va vous obliger à faire des arbitrages entre
les clients, on ne peut pas satisfaire tout le monde il va falloir privilégier un client
au détriment d’un autre) un autre point qui peut être un problème : la qualité (un
produit qui répond aux besoins de la clientèle) il ne faut pas qu’il est de défaut
dans le produit et dans le traitement de commande parce que le client va
renvoyer le produit ce qui est coû teux et l’entreprise devra lui renvoyer un
nouveau produit ce qui coû tera aussi à l’entreprise.
La gamme export et les produits que l’on vend à l’export :
On propose aux clients les produits les plus faciles à vendre ce qui sont connus et qui
permettent de gagner de l’argent ; se sont les produits vedettes, vache à lait…
On propose également des produits adaptés à notre cible. De ce fait on augmente notre
gamme de produit soit en largeur soit en profondeur. Largeur : le nombre de (catégorie)
ligne de produit : Profondeur : nombre moyen d’article par ligne : les déclinaisons de
produit. Les entreprises vont proposer une gamme suffisamment vaste pour que le
client ait l’impression de tout trouver chez eux. La performance des produits : avantage
concurrentiel, on va communiquer avec de la pub, on l’engage juridiquement.
L’innovation : toucher de nouveaux clients et garder les clients qu’on avait déjà ,
maintenir le chiffre d’affaire. Pour qu’un nouveau produit connaisse un succès
commercial il lui faut 60 idées avant celui ci. Ca peut être une innovation superficielle
(en changeant le packaging, le produit, ou l’utilisation du produit) juste un petite
modification.
FINANCE
Commercial
Canal de distribution : c’est le chemin emprunté par le produit pour aller du producteur
jusqu'au consommateur final avec plusieurs étapes.
Circuit de distribution : l’ensemble des canaux.
Les réseaux (les canaux) peuvent poser des problèmes : Dans les pays étrangers ils
peuvent être différents de ce qu’on trouve en France. Il y a donc d’autres façons de
vendre le produit. Il peut y avoir des problèmes de compétence au niveau des réseaux à
l’étranger lorsque l’on se lance à l’export.
La concurrence :
La concurrence locale : ils ont de l’expérience du marché et de la clientèle, ils ont la
même langue, la même monnaie ils peuvent se déplacer rapidement.
La concurrence internationale : expérience des marchés étrangers, ils sont féroce
commercialement, ils vont réagir vivement à votre entrée sur le marché, ils ne vont pas
se laisser faire.
Diagnostic Autre :
Mais ces critères doivent être adaptés à la cible, au type de produit que l’on vend c’est à
dire qu’ils doivent être PERTINENT (ils doivent être utile).
Caractéristiques commerciales :
Caractéristiques techniques :
Après avoir identifié les normes il faut se procurer le texte qui décrit les normes, qui se
trouve à la NOREX le problème c’est qu’elle va vous transmettre un texte qui sera dans la
langue du pays en version originale, le problème va être la lecture de celui-ci, il faudra
trouver des gens qui connaissent la langue et qui connaissent notre langage professionnel
aussi. Il va falloir une aide financière pour mettre notre produit aux normes du pays : ANVAR
(Agence national pour la valorisation de la recherche) qui s’appelle maintenant BPI : Banque
publique d’investissement pourra nous aider.
Une fois qu’on a adapté notre produit au niveau commercial et technique il faut le tester sur
place.