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PV
Composition cellule PV
•
Composition cellule PV
• une grille conductrice avant " collectrice des électrons " qui doit également être liée
au silicium et ne pas être sensible à la corrosion;
• une couche "anti-reflet" sur la face avant dont le but est de faciliter au maximum la
pénétration d’un maximum de photons à travers la surface et de réduire les pertes
par réflexion ;
• une surface de contact conductrice en métal " collectrice des électrons ", ayant une
bonne conductivité ainsi qu'un bon accrochage sur le silicium ;
Caractéristiques électriques d’une cellule PV
• en parallèle se trouve le générateur de courant ICC qui correspond au flux d’électrons généré par le flux
de photons de la lumière (solaire ou autre) au sein de la jonction de la diode.
• En parallèle à la diode, se trouve la résistance Rsh (Résistance shunt) qui correspond aux pertes directes
à travers la jonction et en série vers l’utilisation Vp et Ip , se trouve la résistance Rs (Résistance série)
correspondant entre autre aux pertes joules dans les conducteurs.
• Aux deux bornes de la photopile PV, l’énergie électrique se récupère sous forme d’une tension Vp et
d’un courant Ip.
• T = température en K
7/ cellule PV.
Ip
Vp
Cellule :
Photo diode de grande surface
Sur cette courbe, on peut reconnaître la courbe de la diode (vers le bas du fait du signe –
(en convention
dans l’équation) générateur).
et décalé vers le haut de la valeur ICC du courant généré par l’irradiance
lumineuse.
Mise en série , la tension augmente, le courant
est fixé par la cellule la moins éclairée.
courbe caractéristique et conditions de
fonctionnement
Le soleil est un
immense réacteur de
fusion thermo-
nucléaire.
La quantité d’énergie libérée par le soleil et captée par la planète terre pendant une
heure pourrait suffire à couvrir les besoins énergétiques mondiaux pendant un an.
ECLAIREMENT
• On définit :
Spectre AM
par le nombre de masse d'air AM.
Le rayonnement qui atteint le niveau de la mer à midi (zénith)
dans un ciel clair est de l’ordre de 1000 W/m2
• La part d'énergie reçue sur
Puisque lelasoleil
surface de laau
n'est terre dépendque
zénith de
l'épaisseur de l’atmosphère à traverser. Celle-ci est caractérisée
par le nombre dedurant
massepeu d'air de
AM.temps,
la masse d'air
est donc plus grande en permanence
• Le rayonnement qui atteint le niveau de la mer à midi (zénith)
et est
dans un ciel clair l'énergie
de l’ordredisponible
de 1000 W/m2 est
donc
inférieure à 1000 W/m2
• Puisque le soleil n'est au zénith que durant peu de temps, la
masse d'air estAM1 = 1 grande en permanence et l'énergie
donc plus
disponible est donc inférieure à 1000 W/m2
AM2 = 1,5
• L’épaisseur d’atmosphère traversée influence donc le spectre lumineux
reçu. Les normes internationales définissent différents types de spectre :
AM3
AM1 (pour air mass = 2 le rayonnement a traversé une épaisseur
1, lorsque
d’atmosphère),
• AM0 (spectre à la surface externe de l’atmosphère),
• AM1.5 (spectre utilisé pour les tests standardisés des panneaux solaires
correspondant à la traversée d'une atmosphère et demie)
Spectre AM
• L’épaisseur d’atmosphère traversée influence donc le spectre lumineux
reçu. Les normes internationales définissent différents types de spectre :
• AM1.5 (spectre utilisé pour les tests standardisés des panneaux solaires
correspondant à la traversée d'une atmosphère et demie)
distance traversée par le rayonnement
• Au milieu du jour, le Soleil est au-dessus de nos têtes, et ses rayons ont à traverser une épaisseur
d'air moindre avant d'arriver sur Terre.
• Mais au début et à la fin de la journée, le Soleil est bas sur l'horizon ; la traversée de l'atmosphère se
fait alors plus longue.
• L'atmosphère absorbe et diffuse d'autant plus de particules de lumière qu'elle est plus épaisse et plus
dense.
• Ainsi, au coucher du Soleil, les rayons sont suffisamment affaiblis pour permettre à l'œil humain de
fixer le Soleil sans trop d'éblouissement.
• Par contre, lorsque l'altitude augmente, la couche d'atmosphère à traverser est plus réduite : dans
les sites de montagnes, l'intensité du rayonnement augmente sensiblement.
Composantes du rayonnement solaire: extraterrestre,
global = direct + diffus + albédo
• Le rayonnement direct est reçu directement du soleil, sans diffusion par l’atmosphère. Ses
rayons sont parallèles entre eux, il forme donc des ombres et peut être concentré par des
miroirs.
• Le rayonnement diffus est constitué des photons diffusés par l’atmosphère (air, nébulosité,
aérosols). Sa structure varie avec les conditions météorologiques. Par temps couvert, on admet
qu’il est isotrope, c’est-à-dire qu’on reçoit un rayonnement identique de toutes les directions de
la voûte céleste. Par temps clair ou voilé, outre le ciel bleu relativement isotrope (diffusion sur
l’air), on a une couronne plus brillante autour du soleil (composante appelée circumsolaire) et
souvent un renforcement sur l’horizon, la bande horizon.
• L’albédo est la partie réfléchie par le sol. Il dépend de l’environnement du site, il faudra en tenir
compte pour évaluer le rayonnement sur plans inclinés.
Composantes du rayonnement solaire: extraterrestre,
global = direct + diffus + albédo
• Représentation de la course la course du soleil par rapport a des coordonné terrestre fix
•
Variabilité de la source solaire
Courbe caractéristique et conditions de fonctionnement
Variation de la température de la cellule PV
Influence de la température ( conditions de fonctionnement)
sur les caractéristiques des cellules PV: Icc et Vco
• E n re v a n c h e l e c o u r a n t a u g m e n t e
légèrement avec la température de l'ordre
de 0,07% du Isc par degré Celsius. La
résistance série des modules évoluant
aussi avec la température, la puissance
résultante diminue donc avec
l'augmentation de la température de l'ordre
de 0,40 %/°C.
courbe caractéristique et conditions de fonctionnement
Influence de la technologie de cellules photovoltaïques
125,5 mm
ou
155,5 mm
Pour une cellule donnée, elle ne varie presque pas avec l'intensité lumineuse, au
moins pour des éclairements supérieurs à 100 W / m2 (ce qui correspond au
rayonnement solaire sur terre d’une journée très couverte).
• Pour une cellule solaire idéale, la puissance maximum Pmax idéale correspondrait
donc à la tension de circuit ouvert VCO multipliée par le courant de court-circuit
ICC
Au point de fonctionnement
•
Influence de la technologie de cellules
photovoltaïques sur le rendement
les rendements de conversion sont différents pour chaque technologie :
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Le facteur de forme d’une cellule PV
• On défini aussi un facteur de forme (ou fill factor), noté FF, représentant la qualité d’une cellule
photovoltaïque :
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Influence de la technologie de cellules
photovoltaïques sur le rendement
m Si monocristallin 24,7 % 13 à 17 %
p Si polycristallin 19,8 % 9 à 15 %
a Si amorphe 13 % 4à9%
RENDEMENT DE LA CONVERSION
Monocristallin 17 %
Cellules PV
Monocristallin
Composites 25 %
Polycristallin
Rendement faible !!
Cellule(s)
photo-voltaïque E = q.V
E = I.V.Δt
E = h.ν
INTERACTION
RAYONNEMENT / MATIERE
Photons
incidents
1,1 ev
E en ev 2,65 1014 Hz
f en Hz λ
λmax
Photons
incidents 1,1 ev
E en ev 2,65 1014 Hz
f en Hz λ
λmax
1,12 µm
Effet photovoltaïque Pas d’effet photovoltaïque
Pas d’effet possible
photovoltaïque
Photons utilisables
donc d’énergie suffisante
Transmission
Le rendement quantique rapport du nombre
de porteurs disponibles sur le nombre de
photons incidents est mauvais. Le rendement « énergétique »
est encore beaucoup plus faible.
RENDEMENT DE LA CONVERSION (5)
Photons Photons
Photons transmis absorbés
réfléchis λ trop faible dissipation thermique
3à5% 18 à 22 %
PHOTONS 28 à 32 %
Porteurs
D’ENERGIE libres
SUFFISANTE Cellules photovoltaïques disponible
s
15 à 18 %
8 à 17 % pour le
8 à 10 % Courant de silicium !
fuite et
Recombinaisons des résistances de
paires électrons- jonction métal-
trous SC
Comparaison cristallin / amorphe
(pour une même surface)
ÉVOLUTION DES RENDEMENTS DES DIFFERENTS TYPES DE CELLULES
Figure 13: diagramme montrant les différentes technologies et l'évolution des rendements des cellules au niveau de laboratoire
Evolution des rendements des différents types de cellules
Ces résultats illustrent les efficacités atteintes pour les meilleures cellules en
laboratoire. Les différentes familles de technologies(que nous
développerons plus loin) sont indiquées par des couleurs différentes.
Les rendements sont évidement plus hauts qu’au niveau commercial car les
conditions de fabrication ne sont pas standardisées ni industrialisées au
niveau de laboratoire.
Efficacité/ couts des différentes technologies
Efficacité/ couts des différentes technologies
Les abréviations SPWR, ESLR et FSLR appartiennent aux noms de différents fabricants
respectivement : Sunpower, Evergreen Solar et First Solar inc.
Par contre CIGS signifie Cuivre Indium Gallium Sélénium, un alliage utilisé par le fabriquant
Nanosolar (voir graph) principalement pour la fabrication d’une cellule solaire sous forme
d’une couche mince polycristalline. Les chiffres entre chaque cercle de couleur
représentent la puissance produite (approximativement) de chaque technologie.