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Les Misérables 

Texte 1 :
En 1815, il y avait un évêque de 75 ans qui se nommait M.Charles François Myriel, il occupait
ce poste à la ville de Digne depuis 1806.
En 1804, il était curé de Brignolles, vers l’époque du couronnement impérial de Napoléon
Bonaparte, il s’était retrouvé amener à Paris, retrouver par le Cardinal Fesh. Un jour, à la
venue de l’empereur, celui-ci le regarda d’une manière curieuse alors intrigué l’empereur
s’interrogea sur ce petit curé et après en avoir discuté avec le Cardinal, il le nomma évêque
de Digne, une ville de Haute-Provence, près de Marseille.
L’évêque alors arrivé à Digne il fît appeler le Directeur de l’hôpital qui se trouvait à côté de
son palais épiscopal. L’évêque l’interrogea sur les dernières épidémies qu’abritaient l’hôpital
étroit. Alors il n’en fallut pas plus à l’ancien curé pour léguer sonj palais contre l’hôpital
étroit pour laisser plus de place aux malades.

Texte 2 :
En octobre 1815, un voyageur assoiffé et mord de faim du nom de Jean Valjean arrive au
village, il alla à la mairie puis à l’auberge réputée du village qui refusa ce dernier à cause de
son passé de bagnard gravé sur un passeport jaune. Il avait parcouru 10 lieux de Toulon, son
lieu de bagne, jusqu’à Digne où il fu refuser par l’aubergiste et tant d’autres. Quand une
femme lui indiqua la porte de M.Myriel qui l’accueilli comme « un homme » en lui proposant
de la nourriture, à boire, des draps. L’évêque sortit ses 6 couverts d’argent pour son invité.
Le passé de Jean Valjean est plutôt malheureux car cet homme faisait parti d’une famille plus
ou moins pauvre. L’homme perdu ses parents jeune, sa sœur l’éleva alors avec ces 7 autres
enfants mais sa sœur était veuve ce qui lui compliquait la tâche. Pour survivre lui et sa sœur
exercèrent divers métiers pour subsister et nourrir les autres enfants. Cependant avec l’hiver
froid, la famille sans pain à manger dû aller braquer une boulangerie de nuit en 1796 avec
elle, mais le boulanger le rattrapa et alors débuta 20 ans de bagne à Toulon où il tenta de
s’échapper au moins 4 fois et il changea de lieu 1 fois à Grasse cette fois. Malgré cela il en
sortit en 1815 à Grasse pour enfin recommencer sa vie à zéro. Mais avec si peu d’argent
l’ancien bagnard avait décidait de travailler en proposant ses services à des ouvriers d’une
distillerie pour décharger des paquets. Son patron l’aurait payé alors 30 sous mais quand un
gendarme demanda les papiers de l’homme le patron descendit son salaire de 5 sous en lui
disant que ce serait assez pour ce qu’il est. Même scénario à Digne où son passeport procure
de la méfiance aux habitants sauf à l’évêque.

Alors que le bagnard avait soupé au côté de l’évêque qui s’était présenté comme un curé à
Jean, il alla trouver le sommeil dans les draps que lui offrirent l’évêque et ses assistantes. A
3h du matin il fût réveillé par les douceurs des draps qu’il n’avait pas vu depuis 19 ans. Ne
pouvant se rendormir il se mit à penser aux couverts d’argent et à ses chandeliers cachés
dans un placard dans la chambre de l’évêque. Après hésitation il prit l’iniative de les voler et
de s’enfuir !
Le lendemain après avoir constater le vol, des gendarmes frappent à la porte du bâtiment,
une escorte avec Jen Valjean et l’argenterie. L’évêque dit au gendarme qu’il lui avait donné
l’argenterie mais qu’il en avait oublié des chandeliers. Après avoir aidé le bagnard à se
démêler de son vol ignoré par M.Myriel il lui dit un mot qui est de faire le bien avec cette
argent et il laissa partir le voleur librement.

Texte 3 :
Après avoir poursuit son chemin il se retrouva à au moins 2 lieux de Digne dans une plaine,
caché dans un buisson avec seulement une petite route. Seul dans sa méditation il entendit
le bruit d’un petit savoyard chantant avec une boîte à Marmotte en son dos. Alors que le
petit joué avec ses pièces gagnées l’une de 40 sous tomba près du buisson de Jean Valjean
qui aussi tôt y mit son pied. L’homme ne bougea pas face au petit garçon qui lui demanda sa
pièce avant se s’enfuir en criant. Le soir Jean Valjean se releva en se rendant compte de
l’horreur qu’il a fait en volant ce garçon, il essaya de le retrouver mais en vain. Il croisa un
prêtre à cheval à qui il tendit des pièces car il culpabilise pour ce qu’il a fait. Alors il se
retrouve seul quand le prêtre prit peur, il s’attristait sur son sort de « misérable ».

Texte 4 :
Une autre histoire intervient qui présente Fantine, en 1817 toujours sous l’époque
Napoléonienne. Cette petite fille de classe sociale très pauvre, sans parents connus, elle est
livrée à elle-même malgré ça beauté incroyable. Cette fille forte commence à travailler pour
des fermiers assez tôt pour vivre ce qui lui permet juste de subsister. Elle tombe amoureuse
de Tholomyès (un riche étudiant parisien) qui après avoir eu un enfant l’abandonne avec
leur enfant née de cette liaison amoureuse, la petite Cosette. Elle repart alors dans sa ville
natale connu : Montreuil-sur-Mer dans le Pas-de-Calais. A Montfermeil, près de Paris se
trouvait une sorte d’auberge bon marché qui se situait dans la ruelle d’un Boulanger. Cette
auberge était tenue par des Thénardier. La mère d’un aspect froid et peu aimable se trouvait
avec ses deux enfants sur le seuil de la porte. Une mère s’arrêta avec son enfant charmante
et divine devant la mère Thénardier. Mais la mère de la petite fille semblait d’un aspect
pauvre et triste, c’était Fantine ! Après voir fais connaissance Fantine demanda à la mère qui
tient l’auberge de garder sa fille en échange d’argent le temps de gagner sa vie pour pouvoir
la nourrir, l’habiller correctement. Les Thénardier acceptèrent en échange de 57 francs
qu’elle paya et donna un trousseau (ensemble de vêtement) pour sa fille. C’est 50 francs
servirent à payer le loyer de leur logement et ainsi éviter d’être à la rue.
Texte 5 :
Après le départ de Fantine, les Thénardier faisaient de Cosette une fille à la base coquette et
divinement belle, une fille qui mange avec le chien et le chat. Elle supporte les moqueries
incessantes de ses « sœurs » : Eponine et Azelma. Tous en subissant tout l’agressivité des ses
parents qui la rouent de coups, elle porte le fardeau de ce que devrais subir les filles des
Thénardier. La pauvre petite âgé de 5 ans sert de servante dans la maison en ce levant tôt à
balayer la ruelle avec un énorme balai pour ces pauvres mains rouge sans que sa mère
(Fantine) ce doute du malheur de celle-ci. Entre temps les Thénardier demandent plus
d’argent pour diverses raisons : le fait de la menacer de mettre sa fille à la rue, qu’elle se
porte bien donc avoir plus d’argent…
Dans la ville de Montreuil-sur-mer en 1818 (là où travaille Fantine), la ville évolue pendant le
début de la révolution industrielle grâce à une idée « prodigieuse » qui consistait à fabriquer
de la gomme à la laque qui avait révolutionné la ville et qui avait fait prendre un tournant
aux pauvres, les quartiers s’enrichissait. Cet homme s’appelait le père Madeleine. Il serait
arrivé en ville avec peu d’argent, un language et une tournure d’ouvrier. C’est de ce mince
capital qu’il avait mis au service d’une idée ingénieuse fécondé par l’ordre et la pensée, qu’il
avait tiré sa fortune et la fortune de la ville. Il parait qu’en arrivant, il aurait sauvé les deux
filles du chef de la gendarmerie ce qui ne lui valut aucun contrôle d’identité.
Le père Madeleine était un pivot majeur de la pauvreté de la ville vers la richesse, il eut bâti
des écoles, des pharmacies, un asile, des lits supplémentaires pour les hôpitaux… Il fût
l’homme qui « sauva » cette ville pauvre.

Texte 6 :
On nous présente un personnage froid, autoritaire, hautain qu’est Javert, un inspecteur de
police envoyé à Montreuil, son passé d’enfant de tsigane est une honte pour lui qui n’hésite
pas dénoncer. On le décrit comme un homme qui a l’œil partout en particulier sur M.
Madeleine dont il ne connaissait pas le passé.
Malgré cela M. Madeleine le considérait comme tout le monde.
Un matin dans une rue pavée alors que M. Madeleine accouru alors qu’il entendu un cri
atroce, en arrivant il vit un ancien concurrent, le père Fauchelevent coincé à terre avec une
charrette s’appuyant sur ses côtes et s’enlisant dans la boue. Ont couru chercher un cric, M.
Madeleine voulut trouver une solution plus risquée mais rapide : se glisser sous la charrette
et la relever avec son dos. Javert septique essaye de dissuader M. Madeleine de demander à
quelqu’un de le faire. M. Madeleine se rendant compte que personne ne se porte volontaire
même pour de l’argent, il se jette sous le chariot et le relève, il sauva M. Fauchelevent
malgré ces vêtements déchirés et vêtu de boue.
Texte 7 :
Fantine qui travaille alors pour M. Madeleine fut virer après la découverte de sa fille Cosette
par l’une de ses rivales de travaille. Mais la pauvre Fantine endettée pour son loyer, les sous
que les Thénardier réclament pour sa fille. En allant sur une place elle entend un dentiste qui
vend des dentiers avec du dentifrice, quand il aperçoit la jeune fille il lui demande alors si
elle voulait donner ses palettes pour 2 Napoléons d’or. Au début elle refuse puis dans le
chagrin accepte car dans une dernière lettre les Thénardier expliquent que sa fille est
atteinte d’une maladie mortelle et qu’il lui faut des médicaments chers ! Fantine en arrive à
un point où elle n’a plus le choix de se prostituer pour subsister encore un peu.

Texte 8 :
On apprend que les 2 histoires sont liées alors M. Madeleine est en fait Jean Valjean qui à
exécuter ce que l’évêque lui avait dit « fait le bien » ce qu’il fut mais Javert cru reconnaitre
quelqu’un qu’il confondu avec lui, heureusement il fut innocenté mais laisserait-il un
innocent se faire accuser à tort et il perdrait tout ce qu’il possède ou bien ne rien dire mais
ne pas tenir sa promesse.
M. Madeleine assista au procès à Arras de M. Champmathieu un ancien bagnard, quand il
cria les noms de ses anciens camarades du bagne qui ne le reconnurent pas
immédiatement ! Mais après des anecdotes tous se souvenaient alors de ce bagnard, il se
dénonça et alors un silence s’imposa. M. Madeleine s’en alla en disant qu’il avait des choses
à faire et que l’avocat savait où le trouvait pour l’arrêter.
Texte 9 :
Fantine toujours sous l’emprise des Thénardier doit payer 100 francs, alors elle se prostitue.
Un coup elle se fait frapper par un bourgeois, elle se défend et Javert arrête la femme mais
M. Madeleine la prend sous son aile lui paye ses dettes car il n’était pas au courant qu’elle
fût virée de l’entreprise. Il promit d’aller chercher Cosette sa fille. Mais quand elle espérait
qu’il revenait de Montfermeil alors qu’il revenait du procès de Arras. M. Madeleine lui ment
en disant que ça fille est bien traité alors qu’en réalité Cosette et maigre, mal habillé…Alors
que Fantine écoutée M. Madeleine elle aperçut Javert celui qui l’avait trouvé agressant un
bourgeois est dont elle avait été sauvée par Jean Valjean. Qui venait chercher Jean Valjean
pour son acte « criminel », alors il le suivit mais demanda à Javert de lui laisser 3 jours pour
aller chercher la fille de la femme, tout en entendant les hurlements de Fantine. Celui-ci
refusa, alors Fantine s’éteint et ne respire plus alors Jean ouvrit la main de Javert et s’en alla
fermer les yeux de cette femme puis fit un deuil toujours sous l’œil de Javert.

Texte 10 :
On dresse le portrait des Thénardier, d’un côté la femme massive, rude, froide de l’autre son
mari : maigrichon, chétif. Tout l’opposé et au milieu Cosette rouée de coup par la femme, les
pieds nu l’hiver de son mari. Des voyageurs arrivés ordonnèrent à Cosette d’aller chercher de
l’eau à la source, ils lui donnèrent 15 sous pour du pain sur le chemin du retour. Cosette s’en
alla chercher l’eau, au début elle hésita à entrer dans le bois sombre mais quand elle imagina
Mme. Thénardier elle ne put s’empêcher d’y aller mais si elle était hantée à l’idée de croisée
des revenants ou des bêtes. Après avoir été à la source elle ne se rendit pas compte que la
pièce était tombée dans l’eau. Effrayée par l’idée de rester plus dans la forêt, elle s’en alla.
Mais épuisée elle fît une halte sous un châtaignier s’apercevant que le sceau ne pesait rien,
alors elle vit une ombre d’un homme dans le noir porté l’anse. Mais elle ne prit pas peur,
l’homme l’aida à porter le sceau lourd pour la petite. Il la questionna sur sa vie et porta le
sceau jusqu’à l’auberge pour y loger. Arriver là-haut le voyageur fit mine d’avoir trouvé la
pièce perdue de Cosette et paya le boulot de Cosette afin qu’elle puisse jouer.
Mais Cosette eu le malheur de toucher à la poupée d’une des filles des aubergistes, Mme.
Thénardier s’énerva après la fillette qui éclate en sanglot, alors le voyageur lui acheta l’une
des poupées que Cosette convoitait dans une vitrine.
Texte 11 :
Dans la nuit, l’étranger s’avère être Jean Valjean qui s’était évadé du bagne de Toulon et qui
tinet sa promesse faite à Fantine « rendre heureuse Cosette et la prendre en charge ». Tous
deux arrivent à Paris ils trouvent refuges dans une maison isolée, la masure Gorbeau, afin de
pas attirer l’attention.
Un soir alors qu’il jouer avec Cosette, ils entendirent des bruits de pas d’hommes, il s’avère
que Jean Valjean pu y voir une silhouette ressemblant à Javert mais la vieille femme le
lendemain lui dit que c’est un colocataire du nom de Daumont ou Dumont. Un soir après
avoir tout préparer Cosette et Jean Valjean s’en allèrent. Alors commence une course
poursuite avec Javert et ses hommes à travers les rues sombres, ils se cachèrent sans qu’ils
ne puissent les retrouver. Planquer dans un cul de sac ils passèrent au-dessus de la muraille
grâce à une corde que Jean Valjean avait prit d’un réverbère et tous deux montèrent en haut
du mur pour échapper à la patrouille. Ils atterrirent dans le jardin de Fauchelevent qu’il avait
aidé alors il se fit passer pour un aide-jardinier et elle pour une élève. Puis les jours se
passent Cosette rie et cela rend heureux Jean Valjean.

Texte 12 et autres :
On y fait la découverte de Gavroche, vrai titi parisien d’une douzaine d’année et qui est un
fils Thénardier que ces derniers ont jeté à la rue. Les aubergistes ont changé de nom et
habitent aujourd’hui là où vécut Valjean, dans la masure Gorbeau. Ils ont pour voisin un
jeune homme pauvre du nom de Marius.

On y fait la découverte de monsieur Gillenormand, grand-père maternel de Marius et


bourgeois royaliste.

Livre troisième

On découvre l’enfance de Marius. Il est notamment l’enfant d’un certain baron de Pont
Mercy, celui-là même que Thénardier a sauvé alors qu’il faisait les poches de cadavres à
Waterloo en 1815. Marius n’a que très peu connu son père et ne le découvre qu’au travers
du récit qu’en fit un veux bouquiniste de sa connaissance, le père Mabeuf.
Livre quatrième

Le personnage de Marius, le plus ressemblant à celui de Victor Hugo, quitte alors son grand
père chez qui il a vécu pour fréquenter les groupes d’étudiants et les ouvriers
révolutionnaires.

Livre cinquième

Marius continue ses études de droit jusqu’à ses 20 ans.

Livre sixième

Vers 1832, Marius fait la connaissance d’un certain monsieur Leblanc d’une soixantaine
d’année et de sa jeune fille qui a 13 ou 14 ans. En moins d’un an, celle-ci passe du stade
d’enfant à celui de jeune femme et Marius n’y reste pas insensible.

Livre septième

Présentation de Patron-Minette, un groupe de 4 malfaiteurs.

Livre huitième

Marius met à jour un guet-apens de la part de Jondrette envers monsieur Leblanc et sa fille
dont il s’est épris. Or, Jondrette n’est autre que Thénardier et monsieur Leblanc est Jean
Valjean. Découvrant cela, Marius s’en va voir la police pour dénoncer Jondrette et tombe sur
Javert. En revenant sur place, il découvre que Jondrette n’est autre Thénardier qui est le
sauveur de son père. Javert arrive pour arrêter tout le monde mais Valjean et Cosette se
sont déjà enfuis.

Quatrième partie : L’idylle rue Plumet et l’épopée rue Saint-Denis


Livre premier

Victor Hugo consacre ce chapitre à faire un rappel sur la révolution de juillet 1830. Il explique
aussi en détail la situation politique insurrectionnelle de l’année 1832. C’est durant cette
période que les prochains chapitres vont prendre place.

Livre deuxième

Eponine, la fille aînée des Thénardier sous le nom de Jondrette, s’est prise de Marius qui ne
lui rends pas son affection. Elle parvient tout de même à lui confier l’adresse de Cosette.

Livre troisième

Jean Valjean et Cosette, qui se languit de revoir Marius, quitte définitivement le couvent à la
mort du père Fauchelevent.

Livre quatrième

Gavroche fait une bonne action envers le père Mabeuf, celui qui est en relation avec Marius.
Il a volé une bourse qui elle-même avait été volé par un de ces amis à un vieil homme. Ce
vieil homme n’était en fait que Jean Valjean qui avait laissé le voleur repartir avec sa bourse
non sans l’avoir au début terrassé puis fait la morale.
Livre cinquième

Marius, qui connaît maintenant l’adresse de Cosette, arrive à entrer en contact avec elle au
moyen d’un petit cahier qu’il cache dans son jardin. Elle en est toute bouleversée. lls
s’avouent mutuellement leur amour un jour où ils arrivent à se voir en cachette.

Livre sixième

On découvre que les Thénardier ont eu deux enfants après Gavroche. Ces deux enfants ont
été loués à un certaine Magnon qui s’en servait pour toucher une pension de la part de
monsieur Gillenormand qui n’est autre que le grand père de Marius. Lorsque la police
découvre ce petit jeu, les enfants se retrouvent à la rue et c’est Gavroche qui les recueille et
les héberge dans une sorte de squat dans une construction vide au cœur de Paris. Il ne sait
pas que ces deux petits sont en fait ses deux frères.

Livre septième

Un nouveau chapitre où Victor Hugo ne fait pas avancer l’action principale. Il expose ici ses
théories sur les différentes sortes d’argot qu’il considère comme la langue des marginaux.

Livre huitième

Cosette et Marius continuent de vivre leur amour en se voyant dans les jardins de la rue
Plumet. Cosette informe Marius que son père, Valjean, va l’emmener en Angleterre. Marius
s’épanche auprès de son grand père de la situation qui laisse ce dernier assez froid.

Livre neuvième

Eponine envoie Marius rejoindre les barricades de la rue de la Chanvrerie.

Livre dixième

Victor Hugo fait un exposé historique sur la situation politique avant l’insurrection du 5 juin
1832.

Livre onzième

Jour de l’insurrection, le 5 juin, les protagonistes se retrouvent vers les barricades. Il y a


Marius et ses amis le père Mabeuf ainsi que Gavroche.

Livre douzième

Le chapitre commence par une explication précise de la disposition de la barricade de la rue


de la Chanvrerie. Passage important pour situer les protagonistes pour le reste de l’intrigue.
Gavroche reconnaît Javert comme un espion infiltré parmi le groupe et le fait prisonnier.

Livre treizième

Marius, qui considère n’avoir plus rien à perdre à cause du départ de Cosette, se dirige vers
la barricade. Il est assez armé et déterminé pour faire peur aux gardes.
Livre quatorzième

Le chapitre s’ouvre sur la mort du père Maboeuf qui voulait replanter le drapeau en haut de
la barricade. Son habit sanglant devient le drapeau des insurgés. A son tour Marius joue son
va-tout e menace de tout faire sauter. Mais on tire sur lui et c’est Eponine qui reçoit la balle
qui lui était destinée. Elle meurt devant la barricade non sans remettre une lettre de Cosette
qu’elle avait volontairement cachée. La lettre contient la dernière adresse de Cosette avant
son départ pour l’Angletterre. A la hâte, Marius lui écrit une lettre d’adieu qu’il confie à
Gavroche.

Livre quinzième

Jan Valjean y découvre l’amour que Cosette portait à Marius. Gavroche arrive à l’adresse
mais remet pour gagner du temps la lettre à Jean Valjean car ce dernier lui inspire confiance.
Il retourne ensuite à la barricade. Jean Valjean prend les armes et fait de même.

Cinquième partie : Jean Valjean


Livre premier

Le soulèvement du 5 juin rue de la Chanvrerie s’est calmé après les morts de la veille. Jean
Valjean arrive accompagné de Gavroche près de la barricade. Valjean, malgré son âge, y fait
preuve de ses capacités en arrivant à couper les cordes d’un matelas avec son arme puis de
le ramener sous le feu ennemi. Gavroche s’en va en chantant chercher les balles des morts
mais il est lui-même touché par le feu nourri des gardes et meurt. Jean Valjean prend vite la
figure du protecteur et il se propose même pour exécuter Javert qui est toujours prisonnier.
Mais c’est pour mieux lui permettre de s’enfuir, n’étant pas rancunier. Alors que la barricade
est sur le point de céder, Valjean enlève Marius qui est blessé.

Livre deuxième

Victor Hugo fait une description précise et détaillé des égouts de Paris. Là aussi cela sert la
suite de l’intrigue car c’est là que Valjean va passer pour se sauver.

Livre troisième

Jean Valjean se sauve en utilisant les égouts de Paris. Il s’en sort grâce à Thénardier. Ce
dernier arrache au passage un morceau du vêtement de Marius. Pendant la fuite, il croise
aussi Javert qui traquait Thénardier. Javert, reconnaissant qu’il lui ait laissé la vie sauve,
laisse ce dernier emporté Marius chez son grand père puis repasser par son domicile.
Valjean ne croit plus pouvoir échapper à Javert mais ce dernier disparaît.

Livre quatrième

Javert, l’ennemi de toujours de Valjean, ne supporte pas d’avoir été sauvé par lui. Javert voit
à ce moment l’effondrement de ses valeurs. Il ne s’en remet pas et se suicide en se jetant à
la Seine.
Livre cinquième

Marius, dès qu’il reprend des forces, demande la possibilité à son grand père d’épouser
Cosette. Jean Valjean, sous couvert d’anonymat, lui lègue toute sa fortune et la fait passer
pour la fille légitime du père Fauchelevent. Marius pendant ce temps cherche toujours son
sauveur. Il s’en explique auprès de Jean Valjean qui reste mutique devant son acte héroïque.

Livre sixième

Marius et Cosette finissent par se marier mais sans la présence de Jean Valjean qui leur laisse
ce moment pour eux.

Livre septième

Jean Valjean avoue sa véritable identité à Marius. Ce dernier garde son jugement pour lui
par égard pour Valjean mais ne le méprise pas moins pour son passé.

Livre huitième.

Jean Valjean se retire peu à peu de la vie du couple formé par Marius et Cosette.

Livre neuvième

Jean Valjean se meurt. Marius apprend de Thénardier que la fortune de Valjean est tout à
fait légitime, qu’il est son sauveur et qu’il a épargné Javert. Chamboulé par ses erreurs,
Marius accompagne Cosette dans les derniers instants de la vie de Jean Valjean.

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