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Victor Hugo est l'un des plus grands poètes, écrivains et dramaturges du XIXème siècle.

Il est l'illustre auteur des


Misérables, de Notre-Dame de Paris, d'Hernani et des Contemplations. Passant de la poésie, aux romans, aux
pièces de théâtre, il est la grande figure du courant romantique. Déjà de son vivant, il est reconnu par ses pairs
ainsi que par le peuple français. Ses actions, tant au niveau littéraire et théâtral (rupture avec les règles du théâtre
classique, avènement du romantisme...) qu'au niveau politique et social (lutte contre la peine de mort, pour la paix,
en faveur de la condition des femmes, dénonciation du clergé...), ont joué un rôle considérable à son époque. A
l'image de La Fontaine ou de Molière, les œuvres de Victor Hugo enrichissent le patrimoine culturel français.

L'un des personnages principaux de l'histoire, nommé Jean Valjean, est condamné pour le vol d'un pain. Il trouve
refuge chez Monseigneur Myriel, le seul à bien vouloir l'héberger. Mais trop obsédé par l'argent, Jean Valjean vole
des couverts en argent et s'enfuit. Retrouvé par les gendarmes puis amené face à l'évêque Myriel, Jean Valjean se
trouve dans une délicate position. Mais c'est sans compter la bonté de l'homme d'église qui affirme avoir donné les
couverts à Jean Valjean. Sauvé par Myriel, Jean Valjean a un déclic : à partir de maintenant, il ne fera plus que le
bien autour de lui. Quelques années plus tard, Jean Valjean se fait appeler M. Madeleine et est devenu maire de
Montreuil. Au sein de ses ateliers, une certaine Fantine travaille d'arrache pied pour payer la pension de sa fille,
Cosette. Cette dernière est gardée par les Thénardier, mais sa mère se rend vite compte que la famille exploite son
enfant. Malgré tous ses efforts, Fantine perd son travail et décide de se prostituer pour survivre. M. Madeleine
alias Jean Valjean décide de l'aider et de sauver sa fille... Avant d'être démasqué par Javert et emprisonné.

A la naissance de l'enfant, Félix disparaît avec les concubin des amies de Cosette, et plus jamais personne ne le
reverra. Fantine s'occupe alors seule de sa fille à Paris. Trois ans plus tard, Cosette a grandie, et, Fantine doit
trouver un travail pour vivre. Elle est alors contrainte de se séparer de sa fille.
A Montfermeil, Fantine rencontre une famille possédant une auberge, les Thénardier. La ravissante jeune fille
demande à la famille de garder sa fille, et celle-ci accepte de s'occuper de Cosette pendant l'absence de sa mère.
Pour cela les Thénardier demandent une somme importante pour bien s'occuper de sa fille.
Une fois arrivée à Montreuil-Sur-Mer, elle est enrôlée comme ouvrière et paie tous les mois les Thénardier.
Les Thénardier demandent alors de plus en plus d'argent, et font croire à Fantine que sa fille est malade, pour que
la jeune femme donne encore plus d'argent.
Un jour, une mouchard découvre que Fantine à une fille et décide de l'annoncer à tous, pour que la jeune mère soit
renvoyée. Pour se protéger, Fantine se bat avec la mouchard, mais toute deux sont renvoyées sur le champ, par le
gérant de l'usine et maire de la ville, M. Madeleine.
Pour trouver de l'argent à envoyer aux Thénardier, Fantine se coupe les cheveux, pour financer des vêtements
à Cosette, qui n'en à pas besoin.
Plus tard, les Thénardier annoncent à Fantine que sa fille va mourir d'une maladie, et qu'il leur faut beaucoup
d'argent. Pour financer les médicaments, Fantine s'arrache les deux dents de devant, contre deux napoléons d'or.
Fantine tombe alors malade gravement. Sous l'aile de M. Madeleine, le maire (qui n'est autre que Jean
Valjean), Fantine est placée dans un hôpital, et elle attend Cosette, Jean lui ayant promis de la ramener.
Javert, qui avait découvert la véritable identité de M. Madeleine, les rejoins dans la chambre d'hôpital. Fantine
demande alors au policier la raison de sa venue, et celui-ci lui apprend que M. Madeleine est en réalité un ancien
forçat sous une fausse identité.
Prise de stupeur, la jeune mère est soudainement prise de convulsion, se frappe le crâne sur le chevet de son lit, et
décède sur le coup.
Plus tard, son décès sera considéré comme étant de la faute de Javert.

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