1) Ecrivez une fin différente du conte "Le maitre chat, ou le
chat botté"
L'ogre avait le pouvoir de transformer en divers animaux le chat
était très rusé, il l'a trompé et quand il est devenu une souris il l'a mangé donc le marquis est devenu le propriétaire du château c'était très beau finalement et il a fait une grande fête pour célébrer son arrivée au château j'invite à toute la ville et le roi et sa fille étaient des invités d'honneur quand ils se sont rencontrés ils sont tombés amoureux, le roi a autorisé que c'était sa fureur inoffensive et dans la journée c'était un chat normal donc le dé but et la princesse vécut heureuse.
2) Ecrivez un final différent du conte " Riquet à la houppe"
Riquete, réclame-lui son mariage pour le marché qu'ils ont conclu.
Elle refuse pour des raisons qu'elle ne peut pas tenir une promesse faite avant d'avoir la sagesse. A cette époque, Riquete avoue à la princesse qu'elle a reçu à la naissance le pouvoir de transformer son amant en une belle personne, cadeau accordé par la même fée qui a béni Riquete. La princesse pense alors à toutes les bonnes qualités du prince et quand elle ouvre les yeux elle est persuadée qu'elle a devant elle le plus beau prince qu'elle ait vu mais elle n'est pas amoureuse alors elle lui demande de rompre le charme mais il le fait n'accepte pas qu'il veut qu'elle soit heureuse. Alors la princesse l'épouse avec la bénédiction de son père. Riquete avait déjà préparé tous les préparatifs du mariage pour épouser la sœur cadette et tout était heureux pour toujours. 3) Cherchez et écrivez les phrases de points grammaticaux que vous apprenez parfois en classe de réponses : "Le maitre chat, ou le chat botté" et "Riquet à la houppe"
C’est à M. le marquis de Carabas
Un meunier ne laissa pour tous biens à trois enfants qu’il avait, que son moulin, son âne et son chat le second eut l’âne, et le plus jeune n’eut que le chat Ce dernier ne pouvait se consoler d’avoir un si pauvre lot Ne vous affligez point, mon maître je vous avoue que je tiens cela tout à fait impossible. La première qui vint au monde était plus belle que le jour et je vous en fais le don autant qu’il est en moi , le mieux fait et le plus aimable qu’elle eût jamais vu. elle ne lui trouva plus qu’un certain air penché qui la charmait que je n’en use pas de même, dans une chose où il y va de tout le bonheur de ma vie ?