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Il y’avait deux chiens accompagné chacun du gendarme qui était son maitre et 

, en plus , deux autres


gendarmes et un policier en civil , Julien Hervé , de la brigade Criminelle du SRPJ du MANS. Lui se
préoccupait surtout de retrouver, mort ou vivant son collègue Grégory maillon. De toute façon, il
savait que des menottes le liaient a Ivan Roscoff. Mais Grégory avait la clé de ces menottes, alors
s’était- il passé ? Julien Hervé pouvait difficilement l’imaginer.

Dans le brouillard, les chiens s’étaient à peine approchés du portail. Tout de suite, une piste fraiche
les avait attirés vers la route, en direction de la foret de pin. Les cinq hommes les suivaient, ceux qui
les tenaient en laisse et les trois autres.

_il y a de la lumière dans la maison, avait dit un des gendarmes ; il aura préféré e tailler plus loin !

Cela paraissait logique. Mais julien Hervé se demandait si Ivan était seul ou avec Grégory. Les chiens,
en tout cas, suivaient bien la piste du bandit, car on leur avait fait flaire longuement un écharpe qui
entouré le coup d’Ivan pendant qu’il fuyait a travers la campagne et qu’il avait retiré quand on l’avait
cerné et repris. Cette écharpe lui tenait trop chaud. on avait aussi fait flaire aux chiens des objet
ayant appartenu à Ivan pendant qu’il était en prison, des chaussure en particulier. Et maintenant, les
berger allemands savaient ce qu’ils faisaient en courant le nez au sol, sous les pins , avec des petit
jappement surexcité. D’un seul coup, ils s’arrêtèrent au bord d’un ruisseau et se mirent a reniflé le
long de la berge. Les gendarmes, a mis voix leur ordonné de se taire. Le vent commencé a souffler ,
chassant le brouillard devant lui. Les gendarmes et les policiers se regardaient :

C’est notre veine …Il a surement pris le ruisseau ! il sait bien que les chiens ne peuvent plus flaire son
odeur dans l’eau, c’est trop classique, même les nerfs le savent !

Et alors ? Bougonna Julien Hervé. De quel côté il est allé ?

- Si vous pouvez le deviner … aussi bien qu’un coté que de l’autre ! par-là, je ne sais pas ou
retourne vers la route et par là. Je ne sais pas où ça va , à travers la foret ou les près
- Alors , conclut Julien , je pense qu’il est plutôt parti vers la campagne que vers la route !
- De toute façpn , fit un autre gendarme , il faut longer les deux bergers , on ne sait pas de quel
coté il ressortira ! seul les chiens peuvent retrouver sa trace !
- Le brouillard s’effilochait progréssivement et la lune faisait scintiller l’eau courant du petit
ruisseau . Les fomme hésitaient a plonger les pieds dans l’eau profonde que l’un d’eux
éclairait avec une lampe de poche . les chiens s’apprétaient d’eux meme a y sauter.
- Faut y aller ! dit Julien avec agacement.Il sauta au milieu du ruisseau , puis d’un seul élan, se
retrouva sur le berger opposée. Un des gendarmes tiré par son chien , l’imita. les berger
allemands flairaient frénétiquement les berges vaguement herbues par endroits avec des
pins qui poussaient jusqu’au bord de l’eau. Ils atteignirent anisi l’endroit ou le ruisseau
décrivait un courbe et longeait ensuite de tout prés de la grillage enfermant la propriété . On
ne pouvait pas passer ente la berger et le grillage et l’autre chien au son maitre durent
joindre Julien sur la rive opposé. Les chiens paraissaient complétement perdus. Il ne flairaient
plus le sol, mais l’air, autour d’eux , à la recherche d’effluves d’eux seule pouvaient percevoir.
Les hommes retinrent et l’un d’eux lacha tout bas :
- C’est vache,les chiens sont paumé qu’est- ce qu’on fait
- Julien haussas les épaules
- Il faut continuer a suivre le ruisseau ! bon Dieu, ce mec a bien finir par en sortir, non ? Il droit
avoir les pieds gelés dans cette flotte ! Les gendarmes rendirent la main au chiens. Personne
ne faisait beaucoup de bruit en marchant. Sous les pied , la terre du sous-bois était
spongieuse, molle et couverte d’aiguille seche qui ne craqué pas comme les feuilles mortes.
Le brouillard avait complétement disparu comme attiré ver le ciel comme un aspirateur
géant.

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