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1. F = {(x, y, z) ∈ R3 | x + 2y + 3z = 0} 2. F = {(x, y) ∈ R2 | x − y = 2}
3. Sn (K) = {M ∈ Mn (K) | t M = M } 4. GLn (K) = {M ∈ Mn (K) | M inversible}
5. F = {P ∈ R[X] | deg P > 3} 6. F = {P ∈ K[X] | P (X 2 ) = (X 3 + 1)P }.
7. F = {f : R → R | f (1) = 0} 8. F = {f : R → R | f (1) = 1}
Rb
9. F = {f ∈ C([a, b], R) | a f (t) dt = 0} 10. F = {f ∈ ∆1 (R, R) | f ′ + 2f = 0}
6. F = {(x, y, z) ∈ R3 | (x + y + z)(x − y + z) = 0}
7. N l’ensemble des matrices nilpotentes de Mn (K).
1. Le vecteur u = (5, 3, 2) est-il combinaison linéaire des vecteurs (3, 1, 5) et (4, −3, 2) ? Et
le vecteur v = (6, −11, −4) ?
2. La fonction f : x 7→ sin(2x) est-elle une combinaison linéaire de sin et cos ? Et la fonction
g : x 7→ sin(x + 2) ?
1. Vect {u, v} = Vect {u, v, 2u − 3v} où u et v sont deux vecteurs d’un K-espace vectoriel E.
2. K3 = Vect (1, 0, 0); (1, 1, 0); (1, 1, 1)
3. K1 [X] = Vect (X − 1, X + 1).
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3. Montrer que Vect (A ∩ B) ⊂ Vect A ∩ Vect B, l’inclusion étant stricte (prendre A = {x}
et B = {−x}).
1 1
!
2. On pose A = . Calculer A2 , en déduire une base de K[A].
0 0
0 0 1
3. On pose N = 0 0 0
.
0 0 0
Déterminer une base de K[A], puis déterminer une base de C(A).
Exercice 9 Soit (u, v) une famille libre de E un K-espace vectoriel. Parmi les familles suivantes
lesquelles sont libres ?
Exercice 10 Montrer que les suites (1)n , (n2 )n et (2n )n forment une famille libre de RN .
Exercice 11 Soit (P0 , . . . , Pn ) une famille de polynômes de K[X] tels que deg P0 = 0, deg P1 =
1, . . . , deg Pn = n. Démontrer que cette famille est libre.
0).
1. {(2x − y, 3x + y, 4x) | x, y ∈ R}
2. {(x, y, z) ∈ R3 | x + 2y + z = 0 et 2x + y + 3z = 0}
3. {P ∈ K[X] | P (X 2 ) = (X 3 + 1)P }.
Exercice 16 Déterminer une base de A3 (K) l’espace des matrices antisymétriques de M3 (K).
Exercice 17 On se place dans E = R3 . On pose u = (1, 1, −1), v = (−1, 1, 1) et w = (1, −1, 1).
Les calculs montrent que la famille (u, v, w) est une base de R3 . Déterminer les coordonnées du
vecteur (2, 1, 3) dans cette nouvelle base.
1. Justifier que la famille (P0 , P1 , ..., Pn ) est une base de Rn [X]. On l’appellera base de Taylor.
applications linéaires
Exercice 19 Montrer que les applications suivantes sont linéaires :
plus abstrait
Exercice 25 Soit E un K-espace vectoriel et f ∈ L(E). On pose f 2 = f ◦ f .
1. Montrer que Ker f ⊂ Ker f 2 et que Im f 2 ⊂ Im f .
2. Montrer que l’inclusion réciproque des noyaux est fausse à l’aide de f : (x, y, z) 7→ (0, x, y).
3. Soit g un autre endomorphisme de E. Montrer que g ◦ f = 0 ssi Im f ⊂ Ker g.
Exercice 26 Soit E un K-espace vectoriel et f ∈ L(E). Montrer que
1. Ker f 2 = Ker f ⇔ Im f ∩ Ker f = {0}.
2. Im f 2 = Im f ⇔ Im f + Ker f = E.
Exercice 27 Soit E un K-espace vectoriel et f ∈ L(E) tel que f 3 = 0 et f 2 6= 0 et soit x un
vecteur de E tel que f 2 (x) 6= 0. Montrer que (x, f (x), f 2 (x)) est une famille libre.
Exercice 28 Soit f et g deux endomorphismes d’un K-espace vectoriel E qui commutent.
Montrer que f laisse stable Ker g et Im g (un espace F est dit stable par f si f (F ) ⊂ F ).
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1. Montrer que f est une symétrie vectorielle. Préciser ses éléments caractéristiques.
• déterminer leur expression analytique (on pourra parfois s’aider des nombres complexes)
• indiquer celles qui sont linéaires et donner leur matrice dans la base canonique de R2 .
1. Soit A une partie de E. Démontrer que f (Vect (A)) = Vect (f (A)). Que vaut donc
f (Vect {u, v}) pour u et v dans E ?
2. Que peut-on dire de l’image d’un plan vectoriel (resp. affine) par une application linéaire ?
3. En déduire l’image du plan P d’équation 2x − y − z = 0 (resp. d’équation 2x − y + z = 2)
par l’endomorphisme f de R3 définie par :
f (x, y, z) = (3y, 2x + y − z, 4x + 5y − 2z).
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1. F = {(x, y, z) ∈ R3 | 2x − 5y + 3z − 5 = 0}.
2x − 3y − z = −2
x + 2y + 5z = 5
5x + 8y + 3z = 1