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Notre verbe, Lettre Missive, avec Valeur manuscrite et Sans limites ni de temps, ni d’espace, ni zone, ni dimension, une infamie,

un crime ou une tentative de crime néfaste, dont vol, viol, servage,


esclavage, servitude, expulsion, extorsion, séquestration, enlèvement, empoisonne-ment, exécution, assassinat, rusé, communiqué forcé… à notre encontre ne trouve aucun délai de prescription pour ses
auteurs, , violeurs, violeurs du libre arbitre éclairé donc déchu(e)(s), terroristes forcent sous la menace et le chantage à mort, menteurs, complices, « con-comitants », collabos.

Sans Préjudice, tous droits réservés et protégés, toutes lois Vi-ables réservées, préservées, et protégées.

Le huitième jour du mois de mois de l’an de grâce deux mille


vingt-deux de votre calendrier falsifié et fallaCieux comme tout le reste
« Jei » : Prénom. de la lignée sanguine Nom
En mon foyer, mon lieu de vie Près de la :
[40] rue de la vérité
[94140] Ville en terre sur sol Libre
Nos réf. : 632823886.docx
Acteur ou Actrice : Prénom 1 , Prénom 2, Nom/NOM
Société TRIBUNAL TGI ou TI
[1 et/ou 5] place André Le Juste
[00000] Ville dans les Département
Envoi par lettre postale recommandée avec avis de réception n° 1A12345678901

Vos réf. :
Rôle : PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE PRES du ou des
Théâtres :
TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE TGI de Ville et/ou
TRIBUNAL D’INSTANCE TI de Ville,
DUN’S number :
Etablissement : VILLE - 123 456 789
Etablissement : VILLE - 123 456 789
Siège social : VILLE - 123 456 789 tous forclos et fermés, redevables endettés tenus de nous indemniser
tous, en date du 25 décembre 2012 pour cause de crimes contre l’humanité via « FRAUDE DU NOM » =
glossa dissimulée/non-divulguée = réductions en esclavage… et dont toute persévérance est sanctionnée
pour leurs auteurs + expéditeurs + incitateurs + instigateurs + titrisant(e)(s) + tous les relais-représentants
de ces ENTITES criminelles contre l’Humanité…
SIRET 12345678912345 sans aucune valeur ni légale, ni licite, ni légitime, même selon vos statuts que vous
nommez « codes »
SIRET 12345678912345 sans aucune valeur légale selon vos statuts que vous nommez « codes »
Tél. : 010000000; 010000000; 010000000
Fax : 010000000; 010000000
Mails : tj1-ville@justice.fr

Objet :
« Je » vous signale et « Je » vous affirme, que « Je » suis Vivant, donc prenez acte pour annulation de votre
enveloppe abandonnée dans ma boîte à lettres et adressée à une ENTITE illisible incompréhensible en
langue étrangère et qui n’existe pas, une prétendue personnalité juridique de « NOM PRENOM »
domiciliée au Delaware intitulé « AVIS DE CONTRAVENTION » « 1234567890 » semble daté au 01/01/22
papier dûment barré annexé à la présente, car partiellement illisible et incompréhensible dans sa totalité,
parfois en langue française mélangée à du baragouinage.

À l’attention unique de Prénom 1, ladite ledit PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE,

Avant-propos :
« Je » m’adresse à vous le/la (les) responsable(s), à l’Être Vivant et Respirant, à votre
for intérieur, votre âme et votre conscience, que vous masquiez ou pas votre véritable Nom dit id-
entité derrière une fiducie ou société ou toute autre appellation/nomination ou innommée quel qu’en
soit le montage juridique ou autre, qui apparaît généralement sous Prénom 1 Nom ou Prénom 1 NOM,
quel qu’en soit l’écriture, le dessin, la graphie, la couleur de l’encre, l’ordre, le sens de l’écriture, c’est
l’Être Vivant et Respirant le responsable, le coupable et en devoir de réparations de par vos paroles,
décisions, écrits, vos faits et gestes directs ou indirects commis par votre, ou en votre, personnalité
juridique ou au travers de fiducie(s) ou société(s) ou toute(s) autre(s) appellation(s) quel qu’en soit le
montage juridique ou autre appellation/nomination ou innommée, ainsi que ceux commis par des
tiers sous vos ordres ou commis par des tiers sous vos conseils, paroles, écrits, et/ou non-actes pour
empêcher des infamies néfastes et fallacieuses, sous ruses et/ou sous contraintes..

Concerne votre siège social et vos « établisse-ments » :

Merci de me fournir en retour de la présente, les extrais Kbis du siège social de votre
société COUR D’APPEL DE VILLE et de vos établisse-ments TRIBUNAL JUDICIAIRE de Ville et
TRIBUNAL D’INSTANCE TI de Ville, dont les références mortifères mortuaires génocidaires
DUNS&BRADSTREET sont indiquées sous « Vos réf. » ci-dessus, faute de quoi, pour la partie
faussement « public » dont vous, au travers de vos +/- 41200 sociétés et leurs employés se
revendiquant, selon les articles 118, 119 et 120 de votre code de procédure civile, en droit et en loi, ils
« stipulent » (ce « mot » n’est pas une erreur de ma part, car ce ne sont que les statuts de vos sociétés
et établissements et nullement la loi en encore moins La Loi) votre incapacité à « ester en justice » de
par l’inexistence de vos personnalités juridiques, vos articles 30, 31 et 32, car la, ou lesdites sociétés
ou/et lesdits établissements, privé(s), preuve et pièce à conviction irréfutable et irrévocable de par
l’absence d’inscription au REGISTRE NATIONAL DU COMMERCE ET DES SOCIETES (RCS).

Avant-propos :
« Je » ne conteste pas la contravention, car « Je » suis au constat de faux et usage de
faux ayant pour finalité des crimes contre l’Humanité, des crimes contre la paix, crimes contre les
droits des gens, crimes de guerre, colonisation et d’occupation que je dénonce par la présente avec
force et honneur !
« Je » vous demande de manière ferme et résolue de m’indiquer quel dommage « Je »
aurais causé, et à qui, quel doute raisonnable, quel règlement lui permet cette opportunité de croire
que je suis défini par le droit pour se permettre de me mettre dans une position d’obligation pour
appliquer un droit de propriété sur mon corps liant la convention de la « REPUBLIQUE FRANCAISE
PRESIDENCE » à des intérêts privés pour le développement de la société « AGENCE NATIONALE
DE TRAITEMENT AUTOMATISE DES INFRACTIONS » dit « ANTAI » D-U-N-S® Number Siège
social : RENNES - 263 029 442, exécuté par l’a-gents verbalisateur immatriculé n° 123456789 (qui ?
Quoi ? un objet immatriculé), code service 123454.
Avec le recul, « je » suis au constat d’un abus de faiblesse, une absence de contrat
synallagmatique et de consentement libre et éclairé, une extorsion avérée de mon consentement
m’entraînant vers une situation financière et coup portés à mon Être de manière fallacieuse,
psychologique, catastrophique engendrée par des manipulations mensongères des faits et des causes
ayant la finalité citée ci-dessus.

Partie de votre ressort sous notre contrôle et directives en tant que Êtres bien vivants et
seule autorité légitime, sinon, vous êtes révoqués et dénoncés :

Celui qui ne vit pas par la Loi, périra par la Loi !

« Je » suis au constat par l’observation de la feuille de papier, trouvée déposée dans ma
boîte à lettres privée sous enveloppe destinée à une personnalité juridique (?) « NOM PRENOM » une
fiction, et non à un Être Vivant et Respirant, en vue de la faire lire et menacer un Être Vivant non
concerné, de ces pseudos sociétés et établissements commerciaux privés et étrangers qui enfreignent
la loi du 6 Fructidor de l’an II (23 août 1794), mais pas, seulement « Je » vous en fais la démonstration
pour mémoire en suivant, car vous, vous le savez très bien ainsi que les « traite-ments » inégaux et
illicites qui sont liés à cette manipulation symbolique codée et encryptée :

Loi du 6 fructidor an II (23 août 1794) portant « qu’aucun citoyen ne pourra porter de nom ni de prénom
autre que ceux exprimés dans son acte de naissance. »
Décret du 20 juillet 1794 du 2 thermidor an II (20-07-1794) portant à compter du jour de sa publication,
nul acte public ne pourra, dans quelque partie que ce soit du territoire français, être écrit qu’en langue française
L’arrêté du 24 prairial an XI (13 juin 1803) précise que « l’emploi de la langue française est obligatoire,
même dans les régions où l’usage de dresser les actes publics dans l’idiome local se serait maintenu. »
L’article 2 alinéa 1er de la Constitution, issu de la loi constitutionnelle n° 92-554 du 25 juin 1992 dispose que « la
langue de la République est le français »
La loi n° 94-665 du 4 août 1994 relative à l’emploi de langue française ne permet pas de déroger à la loi du 2
Thermidor An II.
Décret du 20 juillet 1794 du 2 thermidor an II (20-07-1794) portant à compter du jour de sa publication,
nul acte public ne pourra, dans quelque partie que ce soit du territoire français, être écrit qu’en langue française

Pièce(s) annexée(s) : Copie du « Barème d’indemnités or pur au 01-02-2022 » ; Page 2/8


Copie de la feuille de papier comportant des dessins incompréhensibles et illisibles, dûment barrée.
L’arrêté du 24 prairial an XI (13 juin 1803) précise que « l’emploi de la langue française est obligatoire,
même dans les régions où l’usage de dresser les actes publics dans l’idiome local se serait maintenu. »
L’article 2 alinéa 1er de la Constitution, issu de la loi constitutionnelle n° 92-554 du 25 juin 1992 « dispose
(?) » que « la langue de la République est le français »
La loi n° 94-665 du 4 août 1994 relative à l’emploi de langue française ne permet pas de déroger à la loi du 2
Thermidor An II.

Ce sont leurs et vos pratiques dolosives, point les miennes.


C’est donc, vous qui devrez-vous en expliquer tôt ou tard. Celui ou celle qui collabore à l’injustice, aux
crimes et infamies, collabore sans équivoque et sans doute possible, à tuer la vie « Là, où règle
l’Injustice, rien n’est vi-able ».

Vous prouvez par vous-même votre incapacité à interagir avec des Êtres Vivant ce que
vous savez Disparata non debent jungi.

Le droit n’est pas la loi et encore moins La Loi.

Ont un caractère de facto, illicite, illégitime, guerres aux manœuvres irrégulières et dissimulées, tous
papiers, documents, photocopies, mortuaires imprimés émis par vos sociétés commerciales de même
caractère, relais-représentants de ce commerce forcé avec trafics d’Êtres Vivant s et vols de leur
énergie vitale, ci-dessous nommées, mais pas que, toutes n’ont aucune autorité, ni font droit en
aucune sorte, qui plus est sur un Être Vivant et Respirant, une dite âme incarnée !
Petit rappel que vous connaissez « disparata non debent jungi ».

En effet, « Je » vous révèle ne pas saisir, donc ne point « con-prendre », l’ensemble de leurs
productions, actes, et procédures, tant dans les dessins, dans le fond, que dans la forme, viciée et
frauduleux(ses) dès la première ligne et sur l’enveloppe.
Après une étude approfondie dudit papier, « Je » constate qu’il ne m’est pas adressé : Prénom. de la
lignée Nom, Être Vivant et Respirant, mais à la US PERSON, personne (personnalité juridique) créée
par dol, titrisée sur des marchés financiers crapuleux et « TITULARISEE/domiciliée avec vices et
mensonges au Delaware privatisé ». Ce n’est pas à moi d’expliquer les choses et manœuvres faites en
douce, dans le dos de la masse et dont vous savez tout quant à ces dols aggravés.
La vie est en moi et « Je » suis en vie : Prénom. l’unique et le seul représentant, administrateur,
gestionnaire, créditeur et la seule autorité légitime, légale, licite, législative, supérieure, universelle et
naturelle de, et sur la personne physique/morale/(personnalité juridique), même si c’est contraint et
forcé..
La vie est en moi et « Je » suis : Prénom. l’unique et le seul représentant, administrateur,
gestionnaire, créditeur et la seule autorité légitime, légale, licite et naturelle de la personne
(personnalité juridique), même si c’est contraint et forcé.

« Je » vous demande de me fournir la Loi et la preuve irréfutable et irrévocable qui feraient qu’un Être
Vivant de chair et d’os avec une âme incarnée serait une personne ;
La preuve que « Je » suis une « personne » au sens juridique du terme, et non un Être Vivant avec une
âme incarnée doué/doté des droits imprescriptibles et inaliénables, non-violables et non-saisissables ;

La preuve qu’il existe une monnaie en circulation qui serait indexée sur une valeur réelle avec laquelle
payer les prétendues dettes par lesquelles vous tentez de m’avilir, me soumettre, me forcer à
contracter.

La personnalité juridique dégradée/déformée employée par l’ensemble des acteurs, de tous les acteurs
participant et collaborant à cette farce-et-attrape ci-dessus nommée ou désignée ou pas nommée ou
pas désignée, qu’elle que soit leur identité, fonction et/ou leur statut n’est pas exacte comparée à celle
inscrite sur le registre original-papier de mon certificat de naissance, déclaration de mon Être en vie
par mes géniteurs (et rien d’autre) et entre en violation de La Loi du 6 fructidor an II (23 août 1794) et
sa contrainte en votre article 433-19 de votre code pénal, avec les conséquences applicables à
l’article 433-22 de votre même code. Et les articles du code pénal concernant le viol et « traite-ments »
commerciaux de ma vie privée surtout via du matériel et « enregistre-ments » informatiques dont
force est de constater qu’ils ont été conçus en tant qu’armes à distance, avec dols aggravés
forcés/contraints et en vue de menacer et piller/appauvrir les êtres Vivant s avec vices, perfidies,
« con-fusion », tromperies, déloyauté(s), usurpations, accusations sans bien-fondé, anonymat des
instigateurs et des « tiers » dont « détenteurs » dissimulés, etc. Une accumulation grave et infâme

Pièce(s) annexée(s) : Copie du « Barème d’indemnités or pur au 01-02-2022 » ; Page 3/8


Copie de la feuille de papier comportant des dessins incompréhensibles et illisibles, dûment barrée.
néfaste voulue, conçue et préméditée à l’avance contre la masse légitime spoliée par actes/ordres
arbitraires dolosifs.

« Je » constate également, dans les cas où un tribunal s’est réuni ou se réunirait à nouveau pour
prononcer une condamnation, elle ne peut l’être à mon encontre.
Vu les dessins et texte qui figurent sur vos et ledit papier, « Je » constate que si la réelle personnalité
juridique avait été correcte, mon droit à me défendre m’a été, me serai
refusé/retiré/bloqué/empêché/violé, en violation de votre article 6.1 de la ConvEDH.
C’est un délit, un viol, un vice, un crime, une infamie supplémentaire à retenir et se révèle un procès
analogue à un procès de l’Inquisition, un marché aux esclaves et actes de terroristes (masques noirs).

Au constat de la non-conformité de la loi du 6 Fructidor de l’an II (23 août 1794) dans les rédactions


des noms ou/et des prénoms, tous orthographiés perfidement, actes viciés, entachés, donc nuls et
sans effets possibles, et toute persévérance valant pour culpabilité avérée de leurs auteurs, punissables
par l’article 433-19 et 433-22 de votre code pénal ;
La « PERSONNE » juridique créée par l’officier d’Etat-Civil privatisé et hors-sol, qui lui-même
appartiendrait au procureur de la « ripouxblique », qui appartient à la société commerciale privée et
étrangère de hors-sol non-divulguée « REPUBLIQUE FRANCAISE PRESIDENCE ».

En d’autres termes, l’utilisation de la glossa, capitis diminutio maxima, du latin de cuisine, qui n’est
pas la langue française, sur tous les actes privés prétendus publics (donc tous les documents
administratifs sont une fiction) constituent une fraude, un dol, donc une extorsion du consentement.
Tous les documents administratifs portant prénom(s) et/ou nom(s) en capitale(s) sont des faux en
écriture publique. L’Accessoire du Nom « M/MR/M./Monsieur » étant des preuves de leurs
expéditeurs/auteurs/signataires/gribouilleurs… comme étant une mise en servitude rusée, une
attaque en vue de porter atteintes avec et sous faux prétexte de « bien-veillance », inversion et fausses
accusations sans victime. Avec en plus, procès dans lequel l’accusé sans preuve, se retrouve à devoir
fournir les preuves de son innocence. « Le monde à l’envers », l’Injustice, ici ainsi prouvée !

TRIBUNAL DE GRANDE INSTANCE TGI au 1 place de la Liberté à Ville dans le Département,


SIRET 17780111500466, D-U-N-S® Number établissement : VILLE– 123 456 789 co-gégionnaire du :
TRIBUNAL D’INSTANCE TI au 5 place de la Liberté à Ville dans les Département,
SIRET 17780111500458, D-U-N-S® Number établissement : VILLE – 123 456 789 et dont le Siège
social : VILLE– 123 456 789 sont des établissements filiales de :

COUR D’APPEL DE VILLEau 5 place André Mignot à Ville dans les Département,
SIRET 12345678912345, DUN’S Number Siège social : VILLE- 579 022 294 est société filiale de :

GOUVERNEMENT PREMIER MINISTRE, 57 rue de varenne Paris 7e, SIRET 11000101300017, D-U-


N-S® Number Siège social : PARIS 07 - 579 004 755…
société filiale de :

REPUBLIQUE FRANCAISE PRESIDENCE 55 rue du faubourg Saint Honore Paris 8e,


SIRET 10000001700010, D-U-N-S® Number Siège social : PARIS 08 - 542 472 212.

Mais de qui se moque-t-on ? Ces cinq établissements et sociétés, à caractère de facto, irrégulier,
illicite, illégitime criminelle qui pratiquent le crime organisé/l’association de malfaiteurs/de
corrompus/en conflits d’intérêts chacun prenant sa part du butin/sa « p’tite » commission et faisant
sa part de mal contre l’Humanité n’a ni dirigeant ni actionnaire connu et ne rendent aucun compte à
qui que ce soit.
Si elles étaient réellement « public » elles seraient dans l’obligation selon votre Article 15 de votre
Déclaration des droits de l’homme et du citoyen (DDHC) août 1789 La Société a le droit de demander
compte à tout Agent public de son administration.
Merci d’user de votre auctoritas sur eux, pour obtenir des comptes complets, réels et détaillés, et de
me les fournir en retour.

– « Je » suis au constat indéniable que toutes ces sociétés et tous ces établissements, dont celles ci-
dessus nommées, sont des sociétés étrangères ayant un numéro de SIREN et un numéro de SIRET,
non inscrites au REGISTRE DES SOCIÉTÉS ET DU COMMERCE (R.S.C.) mais inscrites au DUNS
AND BRADSTREET ce qui fait de tous les employés et actifs quel que soit leur titre, grade ou fonction,
sont des collabos travaillant pour une puissance étrangère à notre sol dont toutes et tous sont
forclos/fermés/redevables envers nous tous à l’international depuis le 25 décembre 2012 pour crimes
contre l’humanité.

Pièce(s) annexée(s) : Copie du « Barème d’indemnités or pur au 01-02-2022 » ; Page 4/8


Copie de la feuille de papier comportant des dessins incompréhensibles et illisibles, dûment barrée.
Ce sont des entreprises privées qui dépendent « d’unidroit.org » qui gère l’UNION EUROPEENNE,
dont la société privée et étrangère REPUBLIQUE FRANCAISE PRESIDENCE D-U-N-S® Number
Siège social : PARIS 08 - 542 472 212 et de fait un ministère de l’UNION EUROPEENNE « PRES » de
« COUNCIL OF EUROPE DEVELOPEMENT BANK » au COUNCIL OF EUROPE DEVELOPEMENT
BANK (CEB), qui lui-même est enregistré à la SECURITIES AND EXCHANGE COMMISSION (SEC).
Vos sociétés et établissements sont donc de fait des sociétés de USA Corp. de

Washington DC =
loge Statue de La Liberté assise sur des ruines dont elle est fière, sa main-sale-mise sur urne funéraire
« U.S. », toutes avec le même emblème (en marche ! pardon en marge), (et non La Marianne au Bonnet
phrygien et en langue étrangère, pas du Français = illégitimes, illégaux et illicites sur nos sols) - donc,
avec dols aggravés = ruses et contraintes = tout est nul, caduc, non avenu, et non-valide, Illégitime et
Hors-la-Loi appartenant à UNITED STATES GOVERNMENT D-U-N-S® Number 052714196 qui ont un
caractère de facto, illicite, illégitime, privé aux manœuvres par dols bancaires/marchands du Vivant mis
sous fiction(s) non-divulguées, tous ! Ainsi que leurs employés volontaires contre gages et promesses,
avantages et privilèges, succombant à la Tentation et ne vivant que sur le dos de tous les autres et en leur
mentant !

Il vous suffit d’aller sur unidroit.org pour constater que ce n’est que du droit privé.
Elles ont un numéro de SIREN (Établissement) et un numéro de SIRET (Exercice). Elles émettent des
factures et reçoivent de l’argent, encaissent et décaissent, elles ont également des bilans financiers
qu’elles ne divulguent pas ! « Qui n’a rien à cacher ne cache rien ».
Votre adage ? Donc, qui cache comme eux, ont beaucoup à cacher ! Tricher n’est pas jouer !

Vos sociétés ne peuvent émettre la moindre Loi, ce que vous nommez « loi » ou code » et autres ne
sont que les statuts/« règle(s)-ments » intérieurs de vos sociétés privées qui stipulent et en aucun cas
ne peuvent disposer et ne concernent que ceux qui ont pactisé avec de manière volontaire et le
sachant.

Celui qui peut et n’empêche, pêche. Antoine Loysel

Compte tenu des vices de forme, vices de procédures, tentatives de violation de mon Être et de mes
droits (au sens donné par le public/la masse) de : Prénom.
En violation de La Loi, et même de vos lois et codes, aggravés/empirés blocages/viols,
diminution/dégradation/rabaissement/humiliation des Êtres Vivants, Libres et Respirant de pleine
Loi « naturale », supérieure « Je » veux l’annulation immédiate comme il se doit, et le classement
sans suite/« aux oubliettes », de toutes ces « réclam-a-Sions » ainsi qu’à tout autre « ACTE », actes
nuls et non avenus, car irrégulier, en vice de forme, vices, « par-jures » et langage codé et dégradant,
déformant/encryptant l’Être Vivant en une personne morte-inerte à notre insu, et selon votre religion
imposée et dissimulée « possédée par un esprit errant », « NOM Prénom », en vice de fond et
entachée d’irrégularités, mais aussi du fait que « Disparata non debent jungi » (re-rappel).

S’il vous venait l’idée saugrenue de m’inviter dans l’une des salles de théâtre, société portant dans son
appellation le mot de « TRIBUNAL » à la moindre demande du port d’un masque de qui que ce soit,
dans l’enceinte d’un des bâtiments occupés par des relais-représentants de vos sociétés me conduira à
vous facturer de suite la valeur de l’astreinte selon item 6 (menace illégitime) et 7 (blessure-injure-
insulte à la dignité humaine et intégrité morale, physiques et psychique illégitime guerrière
criminelle) du « Barème d’indemnités or pur au 01-02-2022 » et ce, pour chaque demande et
réitération de demande qu’elle que soit le ou les demandeurs, et ceci en votre for intérieur, car en
votre responsabilité.
Vous collaborez en le sachant, vous êtes responsables.
Vous pouvez le multiplier par cent pour chaque autre demande, fois un million pour toute(s)
demande(s) de collabo de « mesures nazies-Taire » uniformisée.

Lors de votre invitation en tant que victime, pour tentative de mise en esclave par une mafia criminelle en
bandes organisées, j’exige que vous prévoyiez un moyen de transport confortable et approprié pour un Être
vivant, dit Humain Souverain, de mon foyer, mon lieu de vie au lieu du de la salle de théâtre
« TRIBUNAL » et de ce lieu à mon foyer, mon lieu de vie.
Pièce(s) annexée(s) : Copie du « Barème d’indemnités or pur au 01-02-2022 » ; Page 5/8
Copie de la feuille de papier comportant des dessins incompréhensibles et illisibles, dûment barrée.
Les informations complètes et détaillées concernant le moyen de transport devront me parvenir de manière
antérieure raisonnable sur votre honneur, votre âme et votre conscience, de vingt-huit jours à votre
invitation à citation, hors de ce cadre confortable et propre et sûr, ainsi que le respect de ce laps de temps,
je la considérerais nulle et non avenue, sans valeur, sans aucun effet possible, car abusive.

Sachez dès à présent que je n’accorderai qu’un laps de temps de quinze minutes entre mon arrivée et mon
départ comme je serai venu, de votre salle de théâtre « TRIBUNAL ». Je vous rappelle que ma voix est
audible sinon, votre inquisition vaudra pour votre mauvaise foi.

Hors de ses petites exigences naturelles et légitimes de base, je vous fais savoir qu’il vous sera demandé en
compensation, à vous, Prénom 1 et au TRIBUNAL (quel qu’en soit le SIRET), l’indemnité définit dans
l’Item « 15 » du « Barème d’indemnités or pur au 01-02-2022 » « Arrestation ou détention illégitime du
Proposant, par jour calendaire ou par portion de jour » soit « 1000 grammes d’or pur à 999,9 ‰ par jour
calendaire et par unité ».

La date de livraison en mon foyer, mon lieu de vie de la compensation de 1000 grammes d’or pur à
999,9 ‰, selon chaque item et unité devra être antérieure de vingt-huit jours à votre invitation à citation. Il
en est de même concernant le règlement de votre Note De Compensation qui est à votre charge de la
composer et la fournir.
Les écrits contenus sur la citation devront correspondre à mon statut d’Être Humain créditeur, Vivant et
Respirant, sur tous les plans et les formes. En effet si votre citation, création machiavélique de ceux que
vous servez servilement, porte référence en seulement un seul point de la « personne » factice (personnalité
juridique), et/ou fait référence à une adresse de quai (d’une marchandise), en lieu et place du lieu de mon
foyer, mon lieu de vie, je la considérerais nulle et non avenue comme il se doit, comme ce qu’elle est en
vérité.

Nul besoin de vous communiquer une note de compensation. Il fait partie intégrante de
votre charge et de la charge des rédacteurs, l’a-gents verbalisateur et « L’OFFICIER DU MINISTERE
(faussement) PUBLIC (car privé) PRES LE TRIBUNAL DE POLICE » de Ville qui lui, vous porte main
forte (complicité de crime contre l’Humanité) de produire le calcul de votre dette envers moi :
Prénom. de tous les intervenants, sachant que la moindre erreur en mon désavantage la dette sera due
au centuple, et de me livrer le montant de votre dû sur le champ, créance qui n’est qu’une
compensation.
COUR EUROPÉENNE DES DROITS DE L’HOMME
Affaire MEDVEDYEV et autres c. France (Requête no 3394/03) page 23
Force est cependant de constater que le procureur de la République n’est pas une « autorité judiciaire » au sens que
la jurisprudence de la Cour donne à cette notion : comme le soulignent les requérants, il lui manque en particulier
l’indépendance à l’égard du pouvoir exécutif pour pouvoir être ainsi qualifié (voir Schiesser c. Suisse, arrêt du
4 décembre 1979, série A no 34, §§ 29-30).
Affaire MOULIN c. France (Requête no 37104/06)
Dans ce cadre, la Cour considère que, du fait de leur statut ainsi rappelé, les membres du ministère public, en
France, ne remplissent pas l’exigence d’indépendance à l’égard de l’exécutif, qui, selon une jurisprudence constante,
compte, au même titre que l’impartialité, parmi les garanties inhérentes à la notion autonome de « magistrat » au
sens de l’article 5 § 3

Au-delà de tout préjugé, « Je » » protège, sauve-garde et laisse vivre le Vivant, et vous le savez.
Et vous en faites partie jusqu’à votre preuve du contraire, du moins « Je » vous le souhaite, à moins
que vous croyiez « être mort » et cherchiez à l’imposer à tous.

Dans le souhait et la volonté forte que vous, vous rectifierez, corrigerez et réparerez, fassiez
cesser/stopper/empêcher tous les actes fallacieux illégitimes, pervers, avec vices, avec malices et
surtout illicites, hors-la-loi, aux causes, conséquences et effets néfastes, et de mœurs dépravées,
perverties, voire corrompues. Rappel :

Pour la sauvegarde de ce qui doit être et est indispensable à la vie, Prénom 1, dite « SUBSTITUTE DU
PROCUREUR DE LA RÉPUBLIQUE PRES de la supposée société TRIBUNAL D’INSTANCE de
Ville », recevez mes salutations pour ce qui doit être et pour vivre « à la bon heur ».

: Prénom. de la lignée sanguine Nom

Pièce(s) annexée(s) : Copie du « Barème d’indemnités or pur au 01-02-2022 » ; Page 6/8


Copie de la feuille de papier comportant des dessins incompréhensibles et illisibles, dûment barrée.
: Prénom. Être Vivant et Respirant, créditeur, doué et doté de l’esprit, de vie, et bénéficiaire, seul et unique
administrateur, même si c’est contraint et forcé, de la personnalité juridique innocente que « Je » récupère et qui n’a
aucune « dette/aucune obligation/sur laquelle nul n’a créance », autre langage, de « NOM PRÉNOM » que « Je »
possède et capitaine de mon Bateau.

Notez Bien :
Chaque individu, ainsi que tous ceux qui participent de près ou de loin en conscience, qui sollicite, incite un tiers à
me faire du mal, me fourvoyer, me voler, me spolier, me mettre en esclavage, moi ou l’un des miens, le payera au
minimum au centuple et aura un devoir de réparation qui ne s’arrêtera pas avec la mort/transformation de son corps
physique actuel.
Merci de nous faire parvenir avec toutes réponses un extrait Kbis de vos sociétés sièges et établissements
secondaires ;
À défaut les certificats négatifs d’immatriculation au Registre du commerce et des sociétés de chacun des
établissements ci-dessus dénommés.
Vous êtes, dès à présent, tenu au dédommagement de par les items et redevables d’une dette selon le « Barème
d’indemnités or pur au 01-02-2022 » annexé au présent, créance qui ne s’arrête pas avec la mort de votre corps
physique actuel. Vous engagez de manière conjointe et solitaire vos ascendants et vos descendants !
Sur ce document « je » » ai reproduit les écrits et les dessins, des identités, noms propres et noms, sigles des sociétés
ou enseignes, peu importe, les mots dolosifs tels qu’elles apparaissent dans les documents fournis pour mettre en
évidence les fraudes, nul ne pourra m’en tenir grief.
« Je » me réserve le droit de ne pas être contraint d’agir en vertu d’un contrat commercial ou une faillite que surtout
en plus, « Je » n’ai pas conclus
Sans préjudice, pour nous et les nôtres, espèce libre, tous droits viables (au sens et selon la voix populaire) réservés et protégés, toutes Lois « Vi-ables »
réservées, préservées, et protégées aux vues de vos actes/ordres vocabulaires et mots pour des maux, codés, encodés et secrets pour « initiés » à la perfidie,
perversion, et se croire ainsi au-dessus des Lois Supérieures, et pouvoir « avoir » des Êtres Vivants, pire chercher à les tromper et les fourvoyer, rien ne peut
en rien, être utilisé/retenu contre moi et/ou les miens, mes pairs, aucune faille, encore moins selon vous, vos propos, affirmations, représentations, vos
symboles, à vous et à vos complices volontaires contre gages et promesses, avantages et privilèges.

Pièce(s) annexée(s) : Copie du « Barème d’indemnités or pur au 01-02-2022 » ; Page 7/8


Copie de la feuille de papier comportant des dessins incompréhensibles et illisibles, dûment barrée.
i Prenez note que « Je » suis l’Être Vivant avec une âme incarnée : Prénom. de la ligné Nom, créditeur « Roi en son Royaume » « Roi en
son Royaume » et non une entité fictive, US PERSON ou PERSONNE/PERSONNALITÉ juridique/JURIDIQUE « VOTRE
PRISONNIER » ! Non ! « NOM PRÉNON » induite par la graphie en noire et/ou en capitales, capitis diminutis maxima, dite la
convention linguistique la glossa, ou pas, que les institutions de la ripouxblique des faussaires falsifiée, que de ces fausses/fosses sacrées
dites « couronnes », noblesse/clergé/Mecque/ONU/19/ autres faux parallèles toutes aussi fallacieuses dissimulées et leur prétendue
constitution cachée à la masse, et certaines entreprises, sociétés, filiales et/ou établissements , établissements secondaires, quels que
soient leur/les Noms commerciaux, et associations emploient pour créer une et même des « entités et identité(s) fictive(s),
« PERSONNE/PERSONNALITÉ juridique » sous fiducie/tutelle/curatelle fallacieuse de l’ETAT ou prétendant le faire au Nom de
« l’État/ETAT/NATION/PEUPLE FRANCAIS/Nous/Autres, ce qui est donc ainsi de fait et de vérité par dol et escroquerie, d’une
dénomination ou raison sociale à laquelle « Je » ne consens pas de par, entre autres, vous est rappelé : l’Ordonnance de la Cour
mondiale, La Haye, Numéro d’enregistrement : RA 876 270 415 US Numéro de commande : République 49 Alaska 5272016-
000101 « Je » ne consens pas et n’ai jamais consenti à une fiducie, une mise sous tutelle et/ou curatelle sur mon Être non-consentie et à
ce titre « Je » vous oblige au respect de la forme selon les dispositions de la Loi du six Fructidor de l’an II, que vous utilisez pour vous et
vous croire « en mesures et/ou pouvoirs/nos pouvoirs, en reportant l’identité de la personne physique que « Je » administre et gère et
dirige commande si « Je » le veux et quand « Je » veux et avec qui ou ce que « Je » veux, donc telle qui apparaît dans mon acte de
naissance en marge et/ou comme en première ligne du présent ainsi que celle de mon domicile (qui n’est pas votre banque ni à votre
banque et/ou banque de données ni mon domicile !), lieu de vie, mon foyer, mon chez-moi près de la rue Victor Hugo sur sol libre à
Alfortville en terre sur sol Libre.
« Je » vous rappelle qu’une boîte postale et/ou un « numéro de quai sur voie fluviale imaginaire en magie noire vaudou, est en rien
« ma/notre demeure »/« résidence » / « habitation »/ « domicile »/autre cachotterie linguistique (non, merci!) et vous le savez.

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