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UNIVERSITÉ DE KINSHASA

FACULTÉ POLYTECHNIQUE
DÉPARTEMENT DE GÉNIE ÉLECTRIQUE ET INFORMATIQUE

PROJET DU COURS D’ANALYSE ET CONCEPTION


DES SYSTÈMES DE TÉLÉCOMMUNICATIONS

PLANIFICATION D’UN RÉSEAU


CELLULAIRE 2G DANS UNE VILLE
PAR UN OPÉRATEUR MOBILE

Par les étudiants


▪ MBOMBO KEBELA (2 ICE/EN)
▪ MUTOMBO MUTOMBO (2 ICE/EN)
▪ NGANDA AGAMA (2 ICE/EN)
▪ SEDI NZAKUNA (2 ICE/IN)

Dirigé par
Ass. Ir. Civ. HUGUES BISUTA

Année académique 2020 – 2021


CONTENU DU TRAVAIL

INTRODUCTION .................................................................................................................. 1
I. GÉNÉRALITÉS SUR LE RÉSEAU GSM (2G) ................................................................. 2
I.1. Architecture d’un réseau GSM ............................................................................... 2
I.2. Les bandes de fréquence allouées ......................................................................... 2
I.3. Déroulement des communications ......................................................................... 2
II. GÉNÉRALITÉS SUR LA PROPAGATION RADIO .......................................................... 3
II.1. Les antennes en radiocommunications mobiles (GSM/DSC) ................................. 3
II.2. Étude de la liaison mobile ....................................................................................... 3
II.3. Effet de masque, interférence et brouillage ............................................................ 3
III. ÉTUDE DU TRAFIC ET DIMENSIONNEMENT D’UN RÉSEAU CELLULAIRE ............ 4
III.1. Concepts de base du trafic .................................................................................... 4
III.2. Dimensionnement d’un réseau cellulaire ................................................................ 4
IV. PLANIFICATION D’UN RÉSEAU CELLULAIRE .......................................................... 6
IV.1. Calcul du trafic ....................................................................................................... 6
IV.2. Dimensionnement des cellules ............................................................................... 6
IV.3. Allocation des fréquences ...................................................................................... 6
IV.4. Planification du réseau fixe ..................................................................................... 7
IV.5. Densification du réseau cellulaire ........................................................................... 7
V. SIMULATION D’UN RÉSEAU GSM À L’AIDE DU LOGICIEL ATOLL ............................ 8
CONCLUSION ..................................................................................................................... 9
1

INTRODUCTION

Après avoir suivi le cours d’Analyse et Conception des Systèmes de


Télécommunications dispensé par le Professeur GASTON MABAYA NYABUL en deuxième
épreuve d’Ingénieur Civil, il nous a été demandé de réaliser un projet de planification d’un
réseau cellulaire sous la supervision de l’Assistant Ir. Civ. HUGUES BISUTA. Le présent
travail est l’œuvre des étudiants : NGANDA AGAMA (2 ICE/EN), MBOMBO KEBELA (2
ICE/EN), MUTOMBO MUTOMBO (2 ICE/EN) et SEDI NZAKUNA (2 ICE/IN).

La planification d’un réseau cellulaire consiste à déterminer l’ensemble des


composantes matérielles et logicielles de ce système ; les positionner, les interconnecter
et les utiliser de façon optimale, en respectant, entre autres, une série de contraintes de
qualité de service. Le processus de planification qui peut être à la fois long et couteux à
lieu avant la mise en opération du réseau.

L'objectif de la planification est de déterminer le nombre minimal de sites requis


pour assurer la couverture d’une zone (ville dans le cas sous examen) bien déterminée en
fonction des services offerts et du nombre d’abonnés en tenant compte des contraintes de
qualité de service. Donc il faudrait atteindre le maximum de couverture avec une capacité
optimale tout en maintenant le coût de déploiement le plus faible possible. Un réseau
cellulaire 2G (deuxième génération) est le mieux indiqué pour assurer la couverture en appel
(téléphonique) et SMS voire MMS légers. Connu sous l’acronyme « GSM » (Global System
for Mobile Communications), la 2G utilise les bandes de fréquences comprises entre 900
MHz et 1800 MHz. Le réseau 2G est par ailleurs précurseur dans le transfert de données
par paquets. Avec plus d’un 1.22 milliards d’abonnés dans le monde entier pour 620
opérateurs rien que pour les systèmes GSM 900 et DSC 1800, la norme GSM est désormais
la norme cellulaire la plus répandue dans le monde.

Pour un opérateur mobile voulant couvrir une ville en 2G, la planification du


réseau cellulaire consistera en l’établissement d’un cahier des charges, délimitation et
étude de la zone géographique, simulation des différents designs et enfin de compte le
déploiement du réseau. Dans les pages qui suivent, nous présentons avec détails, tour à
tour les étapes évoquées ci-haut pour une planification d’un réseau cellulaire 2G dans une
ville pour un opérateur mobile.

Notre travail s’appuie sur une étude théorique du réseau GSM, il décrit
l’architecture du réseau GSM et de ses différents composants ainsi que leurs
fonctionnalités en se basant sur l’étude du trafic et le concept cellulaire en vue de la
conception du réseau GSM. Nous en souhaitons une lecture agréable au lecteur, au fil des
pages du présent travail.
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I. GÉNÉRALITÉS SUR LE RÉSEAU GSM (2G)

I.1. Architecture d’un réseau GSM

Sans tenir compte des extensions GPRS, le réseau GSM a 4 grandes entités :
− Une station mobile (MS) : C’est un équipement terminal muni d’une carte SIM.
− Le sous-système radio (BSS) : Partie radio du système, composée d’un maillage
de stations de base (BTS) et de leurs stations de contrôle (BSC). À cela se rajoute le
transcodeur (TRAU) qui se charge de la compression/décompression de la voix.
− Le sous-système réseau (NSS) : Interface entre le réseau téléphonique public
commuté et les BSCs. Il est constitué de commutateurs et de bases de données
utilisateurs. Il est composé des entités fonctionnelles suivantes :
− Le commutateur de service mobile (MSC).
− L’enregistreur de localisation nominal (HLR).
− L’enregistreur de localisation d’accueil (VLR).
− Le centre d’authentification (AUC).
− L’enregistreur d’identité des équipements.
− Le sous-système opération et maintenance (OSS) : Contrôle les performances et
l’utilisation des ressources pour offrir un niveau de qualité convenables aux usagers.

I.2. Les bandes de fréquence allouées

Normes GSM 900 DSC 1800


Fréquence d’émission du terminal vers la BTS 890 – 915 Mhz 1710 – 1785 Mhz
Fréquence de la BTS vers le terminal 935 – 960 Mhz 1805 – 1880 Mhz
Nombre de porteuses 124 374
Écart duplex 45 Mhz 95 Mhz
Rayon des cellules 0,3 à 30 km 0,1 à 4 km

I.3. Déroulement des communications

❖ Le Handover : C’est une caractéristique de la téléphonie mobile, celle de pouvoir


continuer l’appel tout en se déplaçant d’une BTS à une autre ou d’une BSC à une autre.
Types de Handover : intercellulaire (hard-handover) et intracellulaire (soft-hadover).

❖ La localisation : Du fait de sa mobilité, la station mobile n’a pas de localisation fixe.


Pour être joint, quatre types de localisation sont générés :
− Normal LU : lorsque l’abonné allume son poste mobile.
− Periodic LU : pour permettre au système de savoir que le MS est toujours en veille.
− IMSI ATTACH : lorsque l’abonné mis sous tension son mobile.
− IMSI DETTACH : lorsque l’abonné éteint son poste mobile.

❖ Le Roaming « d’itinérance » : Un abonné mobile peut utiliser sa ligne GSM dans un


autre réseau mobile d’un autre opérateur à l’extérieur du pays, cette possibilité étant
assurée après un commun accord entre les opérateurs.

❖ Le paging : message de recherche pour un éventuel établissement d’appel envoyé par


le BSC aux BTS situées dans une zone de localisation. La recherche du mobile
s’effectue en utilisant le numéro IMSI ou TMSI.
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II. GÉNÉRALITÉS SUR LA PROPAGATION RADIO

II.1. Les antennes en radiocommunications mobiles (GSM/DSC)

En dehors des aspects mécaniques, les principales caractéristiques d’une


antenne sont : la bande de fréquence de fonctionnement, l’impédance (en général 50 Ω),
le gain, le diagramme de rayonnement. Les deux dernières définissent la façon dont
l’antenne rayonne dans les différentes directions ; elles sont particulièrement importantes.

Les antennes des portatifs et des mobiles sont généralement des dipôles de
longueur d’onde λ/4 appelés « antennes quart d’onde ».

II.2. Étude de la liaison mobile

Soit une liaison radio, permettant à un mobile de recevoir un signal émis par la
BTS. Cette liaison est caractérisée par les éléments représentés sur la figure suivante : un
des émetteurs de la BTS, un coupleur, un duplexeur, une antenne, l’espace comme milieu
de propagation, le signal.

Figure 1 : Schéma bloc général d’une liaison radio mobile

II.3. Effet de masque, interférence et brouillage

L’atténuation la plus forte que peut subir la puissance du signal est due aux
obstacles naturels ou artificiels. Comme la longueur d’onde est de l’ordre de 30 cm pour
le GSM900 et de 15 cm pour le GSM1800, il est évident que des objets tels que les
bâtiments, les véhicules, les arbres, le corps humain et même les animaux peuvent affecter
l’onde lors de sa propagation d’une manière ou d’une autre. C’est l’« effet de Masque ». Il
se produit, en plus, des détériorations dues aux signaux brouilleurs. On distingue deux
types de signaux brouilleurs : les bruits (à l’espace libre et internes au système) et les
interférences (co-canal ou sur canal adjacent).
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III. ÉTUDE DU TRAFIC ET DIMENSIONNEMENT


D’UN RÉSEAU CELLULAIRE

III.1. Concepts de base du trafic

Les variables suivantes décrivent le comportement du système :


• N = Nombre de sources.
• R = Nombre de serveurs.
• T = Temps moyen de services.
• C = Taux d’arrivées : c’est le nombre moyen d’appels se présentant dans l’unité de
temps.
• On appelle Pi les probabilités d’état d’occupation de j serveurs (i = 0, 1, …, R)

❖ Trafic offert : C’est le nombre moyen d’appels arrivant pendant le temps moyen de
service. On le note A et il est égal à C*T. il est mesuré en Erlang (E).

❖ Trafic écoulé : C’est le nombre moyen de serveurs (de circuits) occupés


simultanément. Il est égal A*C. On interprète le trafic écoulé comme le nombre moyen
de clients admis pendant la durée de service. Il est aussi mesuré en Erlang (E).

❖ Trafic rejeté : C’est le nombre moyen de serveurs (circuits) qu’il aurait fallu pour
prendre en compte tous les appels (pris et perdus). Il est égal A*R, en Erlang (E).

❖ Blocage dans le temps (BT) : C’est la proportion de temps pendant laquelle tous les
serveurs sont occupés. Avec P(R) la probabilité d’occupation totale des serveurs R,
−1
𝐴𝑅 𝑅 𝐴𝑖
𝐵𝑇 = 𝑃(𝑅) = (∑ )
𝑅! 𝑖=0 𝐼!
La probabilité pour qu’un appel arrive au hasard, trouve les R serveurs du système
occupés et subisse l’attente est :
𝑅
𝑃′ (𝑅) = 𝑃(𝑅) ×
𝑅 − 𝐴 × (1 − 𝑃(𝑅))

III.2. Dimensionnement d’un réseau cellulaire

❖ Critères de dimensionnement

Les critères de dimensionnement d’un réseau cellulaire sont :


• Qualité de couverture : Garantir un lien radio en tout point de la zone à couvrir.
• Absorption de la charge : Le réseau doit être capable de fournir un nombre de
canaux de communication adapté à la densité de trafic associée à chaque cellule.
• Mobilité : Faciliter le handover lors des changements de cellules. Chaque BTS doit
connaître ses voisines pour permettre à un utilisateur de se déplacer sans perte de
communication.
• Évolutivité : Un réseau cellulaire de type GSM est en perpétuelle évolution, intégrant
de nouvelles BTS, ou simplement de nouveaux TRX associés à chaque BTS.
• Déploiement du réseau fixe via un ensemble de faisceaux hertziens : Afin
d’interconnecter les BTS.
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❖ Contraintes radio

• Rapport signal à bruit C/N : C’est le rapport entre la puissance du signal et la


densité de puissance du bruit en réception. Comme le montre la figure 2, dans la
gamme de fréquences utilisées en GSM, le bruit en réception est majoritairement un
bruit thermique lié à l’échauffement du des électrons dans le système de réception.

Figure 2 : Niveau de bruit électromagnétique relativement au bruit thermique minimal des


systèmes de réception

• Rapport signal à interférences C/I : Les interférences sont de 3 types : les


interférences inter-symboles (IIS), les interférences inter fréquences (IIF, encore
appelées interférences canaux-adjacents), et les interférences cocanal (ICC).

❖ Contraintes de trafic

Dans un réseau GSM, il ne s’agit pas seulement de garantir un lien radio, mais
également de garantir un certain trafic. Les lois d’Erlang permettent alors de déterminer le
nombre de canaux nécessaires pour absorber ce trafic statistique avec un taux d’échec
donné ; la loi d’Erlang B est donnée par la formule suivante :
1
𝐴𝑁𝑐
𝑡𝑜𝑡 × 𝑁𝑐!
𝑃𝐶 =
1
∑𝑁𝑐 𝑛
𝑛=0 𝐴 × 𝑛!
Où Nc est le nombre de canaux voix.
Ainsi, à partir de la connaissance de la densité de trafic et de la surface couverte par un
émetteur, il est possible de prédire le nombre de canaux à affecter à une cellule pour
garantir un taux de blocage inférieur à un certain pourcentage (par exemple 1%).

❖ Définition des zones de service

Le tableau ci-dessous donne le nombre de canaux voix en fonction du nombre de


porteuses attribuées à une cellule :
Nb fréq 1 2 3 4 5 6 7 8
Canaux 8 16 24 32 40 48 56 64
physiques
Nb TCH 7 14 21 28 35 42 49 56
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IV. PLANIFICATION D’UN RÉSEAU CELLULAIRE

Les principales étapes dans la procédure de planification d’un réseau mobile comportent :
• La détermination du modèle de trafic et la mobilité.
• La couverture de la partie radio.
• Le dimensionnement des cellules.
• La planification des fréquences.
• La définition du réseau de commutation.

IV.1. Calcul du trafic

Le trafic par abonnés se calcule au moyen de la formule d’Erlang comme suit :


𝑛×𝑇
𝐴= [𝐸𝑟𝑙𝑎𝑛𝑔]
3600
Où n est le nombre d’appels par heure et T la durée moyenne des conversations.

IV.2. Dimensionnement des cellules

Arrivé à ce stade du processus de planification des cellules, il faut à présent


élaborer le plan nominal des cellules. Ceci est un premier plan théorique, réalisé sans l’aide
d’outils avancés de planification ou informatiques. Le plan nominal des cellules présente
l’aspect d’un schéma de cellules superposé à une carte mais de nombreuses tâches ont
dû être effectuées pour en arriver là. Un plan nominal des cellules, avec un ou deux
exemples de prévisions de couverture, est souvent compris dans les propositions remises
en réponse à des appels d’offres.

IV.3. Allocation des fréquences

Les modèles de réutilisation de fréquence les plus utilisés sont : 3/9, 4/12 et
7/21. Le modèle de cellule 3/9 utilise 9 groupes de fréquences selon un schéma de
réutilisation réparti entre 3 sites. Le modèle de cellules 4/12 utilise 12 groupes de
fréquences selon un schéma de réutilisation réparti entre 4 sites.

Figure 3 : Schémas de cellules 3/9 Figure 4 : Schéma de cellules 4/12


7

IV.4. Planification du réseau fixe

❖ Structure en étoile : les BTS sont connectées au BSC de façon directe.

Figure 5 : Structure en étoile.

❖ Structure en anneau : les BTS sont connectées à des boucles.

Figure 6 : Structure en anneau.

❖ Structure chaînée : transmission du trafic venant de plusieurs BTS sur le même lien.

Figure 7 : Structure chaînée.

IV.5. Densification du réseau cellulaire

Pour comparer les différentes techniques de densification, on définit la capacité


du réseau cellulaire par :
𝐴0 𝑁0
𝐶0 = [𝐸𝑟𝑙𝑎𝑛𝑔/𝐻𝑧/𝐾𝑚]
𝐵0
Où A0 : capacité maximale écoulée, N0 : nombre de sites/km², B0 : largeur de bande utilisée.

Les techniques de densification les plus utilisées sont : l’adjonction de nouveaux


canaux, l’emprunt de canaux, la division de cellules et la sectorisation.
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V. SIMULATION D’UN RÉSEAU GSM À L’AIDE DU


LOGICIEL ATOLL

Atoll est un logiciel de dimensionnement et de planification de réseaux cellulaires


développé par la compagnie FORSK. Atoll peut être utilisé sur tout le cycle de vie des
réseaux (du design à l’expansion et l’optimisation). Le logiciel exploite différentes données
en entrée car il permet de choisir le type de projet à réaliser GSM 900, DCS 1800, ou alors
UMTS qui paramètre différemment le logiciel en fonction de la technologie. On peut définir
le modèle de propagation, le type d’antenne, les caractéristiques du site...

Atoll est aussi un système d’informations techniques ouvert qui s’intègre


facilement avec d’autres applications et qui augmente la productivité. Il dispose d’outils de
développement avancés et d’interfaces ouvertes qui permettent l’intégration des mesures,
ou des modules complémentaires disponibles commercialement.

Atoll a était conçue afin de fonctionner dans un large éventail de scénarios de


mise en œuvre, à partir d’autonome pour les entreprises basées sur le serveur en utilisant
une configuration distribuée et un calcul parallèle. Atoll fournit également d’autres outils,
comme un outil de recherche pour trouver soit un site, un point sur la carte, ou un vecteur.

Figure 8 : Simulation d’un réseau cellulaire sur l’interface du logiciel Atoll.


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CONCLUSION

Le présent projet que nous avons réalisé, nous a permis d’acquérir une certaine
connaissance des réseaux GSM et plus précisément une maîtrise des règles d’ingénierie
cellulaire, surtout celles qui concernent la propagation en environnement radio mobile, ainsi
que les règles de la planification d’un réseau cellulaire et ses étapes. En plus de cela, nous
une prise en main d’un logiciel de planification a constitué le point culminant de notre
travail.

La mobilité des usagers est due à l’utilisation des ondes électromagnétiques


comme moyens de liaison dont la nature permet aussi la réutilisation des fréquences
(l’architecture cellulaire), ce qui implique l’optimisation de la capacité des réseaux
cellulaires.

Le dimensionnement des réseaux radios mobiles est un problème complexe qui


met en jeux à la fois des aspects théoriques et pratiques, il s’agit de trouver la meilleure
architecture cellulaire au regard de plusieurs critères. La planification d’un réseau a pour
but d’atteindre un trafic de haute capacité, elle constitue l’une des tâches primordiales de
l’opérateur du réseau.

Dans la planification d’un réseau cellulaire on utilise l’outil informatique


(planificateur) au vu de la complexité des sites à planifier et de la variance des données.
L’utilisation d’outil informatique permet une réduction considérable en temps et en frais.

Somme toute faite, nous pouvons dire que la réalisation du présent travail nous
a permis d’avoir des idées plus claires et plus précises sur le déroulement de l’implantation
d’un réseau cellulaire dans une ville. Nous sommes convaincus que les précieuses
connaissances acquises tout au long de ce travail de recherche scientifique, nous seront
d’une utilité pertinente au cours de notre carrière d’ingénieurs civils.

Nous tenons donc, par ces quelques mots, à remercier sincèrement le


Professeur GASTON MABAYA NYABUL ainsi que l’Assistant Ir. Civ. HUGUES BISUTA pour
le dévouement dont ils ont fait montre pour notre bonne assimilation des concepts du cours
d’Analyse et Conception des Systèmes de Télécommunications.

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