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Introduction :
Le réseau GSM (Global System for Mobile communication) est un réseau de radiotéléphonie
numérique, défini par une norme européenne. C’est un système cellulaire qui a été développé
dans le but de permettre aux utilisateurs, où qu'ils soient, stationnaires ou mobiles, de
communiquer entre eux et avec les abonnés du réseau fixe (RTC, Réseau Téléphonique
Commuté), par l'intermédiaire d'un terminal portatif émettant à faible puissance.
Historique :
L'origine du GSM remonte à l'année 1982. Alors qu'apparaissent les premiers services
commerciaux de radiotéléphone cellulaire un peu partout en Europe et aux Etats-Unis, la
CEPT (Conférence Européenne des Postes et Télécommunications) confie à un groupe de
travail appelé Groupe Spécial Mobiles (GSM) la tâche de rédiger les spécifications d'un
système pan européen de communication basé sur des téléphones mobiles. La bande des 900
MHz, réservée depuis 1978 par la Conférence Administrative Mondiale des
Radiocommunications (WARC) est choisie. Les années 80 voient le développement du
numérique tant au niveau de la transmission qu'au niveau du traitement des signaux, avec
pour dérivés des techniques de transmission fiables, grâce à un encodage particulier des
signaux préalablement à l'envoi dans un canal, et l'obtention de débits de transmission
raisonnables pour les signaux (par exemple 9, 6 kilobits par seconde, noté [kb/s], pour
un signal de parole).
Ainsi, en 1987, le groupe GSM fixe les choix technologiques relatifs à l'usage des
télécommunications mobiles: transmission numérique, multiplexage temporel des canaux
radio, chiffrement des informations ainsi qu'un nouveau codage de la parole.
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1 Réseau GSM (Global System for Mobile communications)
Le réseau GSM est constitué par trois grands sous-systèmes qui sont :
Le BSS (Base Station Subsystem) qui est constitué du BTS, BSC et TC,
Le NSS (Network and Switching Subsystem) qui est constitué du MSC, VLR, HLR,
SMSC, EIR et AUC,
L’OSS (Operation Support System) qui constitue la partie supervision tel que l’OMC.
Les réseaux GSM utilisent le format numérique pour la transmission des informations, qu'elles
soient de type voix, données ou signalisation. Les équipements spécifiques constituant le
squelette matériel d'un réseau GSM (BTS, BSC, MSC, VLR et HLR) dialoguent entre eux en
mettant en œuvre les mêmes principes que ceux utilisés dans le RNIS (Réseau Numérique à
Intégration de Service)
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- Architecture en couche (couches 1 à 3 du modèle OSI),
- Utilisation des liaisons sémaphores (signalisation),
Un réseau GSM se compose de huit éléments distincts jouant chacun un rôle bien défini lors de
la transmission des informations (parole ou données) : une station de base « BTS », un
contrôleur de station « BSC », un commutateur « MSC », un enregistreur de localisation
nominal « HLR», un centre d’authentification « AUC », un enregistreur de localisation des
visiteurs « VLR », l'enregistreur des identités des équipements « EIR » et un centre
d’exploitation et de maintenance « OMC ».
L'opérateur gère ainsi la bande passante qui lui a été alloué par l'état de cellule en cellule. Plus
la taille d'une cellule est petite, plus la quantité d'appels passés sur le réseau pour une surface
donnée est grande.
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La norme GSM fonctionne sur des largeurs de bandes comprises entre 890 et 915 MHz pour
l'émission du mobile 935 et 960 MHz pour la réception, soit une disponibilité en fréquences de
25 MHz. La bande de fréquences utilisée par un portable GSM ‘900 MHz’ ainsi que la
puissance développée par celui-ci ‘2 watts’ permettent à un relais de couvrir une surface plus
importante qu'avec un portable DCS 1800 (Digital Cellular System 1800 : transposition de la
norme GSM dans la bande de fréquence des 1800Mhz) (1800 MHz - 1 watt), la distance
maximale à laquelle un portable peut accrocher un relais est donc moins importante ce qui le
désavantage en milieu rural par rapport au GSM. Et une troisième bande 2100MHz a été
introduite.
25 MHz 25 MHz
Le mobile est toujours à l’écoute du canal de paging, attendant qu'un message lui soit
envoyé ;
Lorsqu’un MSC doit diriger un appel vers sa destination, il demande au MSC d’attache
du téléphone appelé qui l’informe de la position de celui-ci ;
Il achemine l’appel au MSC responsable de la zone de l’appelé, qui peut transmettre sur
le canal de paging la requête d’appel ;
Le téléphone qui se reconnaît répond et reçoit alors le canal à utiliser pour la
communication, il se met alors à sonner.
L'emploi d’un canal radio rend les communications vulnérables aux écoutes et aux utilisations
frauduleuses, le système GSM a donc recours aux procédés suivants :
3.1 Architecture
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Sur la figure ci-dessous nous présentons l’architecture de la partie sous-système radio (BSS).
Et dans la section suivante (équipement radio) nous détaillons l’ensemble du matériel.
Canaux physiques
En GSM on utilise comme techniques d’accès au réseau le TDMA (Time Division Multiple
Acces) et le FDMA (Frequency Division Multiple Acces). Le multiplexage temporel partage
l’usage d’une voie de transmission entre 8 communications différentes. Un canal de
transmission radio offre un débit D par unité de temps, ce débit est divisé en huit pour
transmettre successivement les huit communications avec pour chacune un débit d = D/8.
Chaque communication occupe un intervalle temporel IT d’une durée de 577 ms. La somme
des 8 IT constitue une trame, qui est l’unité temporelle de base. Une trame dure 4.615 ms dans
le GSM. Le multiplexage temporel optimise l’utilisation de la capacité de transmission d’une
voie. Sur la figure 5 on observe l’organisation d’une trame TDMA.
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Figure 5 : Trame TDMA
Ainsi la norme GSM fixe une organisation précise pour les multiples1 des trames que
sont la multi-trame, la super-trame et l’hyper-trame. La hiérarchie des trames est présentée ci-
contre. Une trame se divise en 8 intervalles temporels de 577 s.
Une multi-trame à 26= 26 trames TDMA (pour le transport de la parole)
Une multi-trame à 51= 51 trames TDMA (pour le transport des donnés de contrôle)
Une super-trame= 26 trames TDMA à 51 / 51 trames TDMA à 26 = 1326 trames TDM***A
Une hyper-trames= 2048 super-trames= 2 715 648 trames TDMA
Handover :
Principe :
Les mesures effectuées par le terminal mobile et transmises au BSC courant.
plusieurs cellules utilisables. Si plusieurs cellules sont éligibles, le MSC détermine, en fonction
des charges de trafic, la cellule la plus judicieuse à affecter à la communication.
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Un basculement effectué par le mobile sur réception d'une commande émise par le BSC.
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La carte SIM permet ainsi d'identifier chaque utilisateur, indépendamment du terminal utilisé
lors de la communication avec une station de base. Une carte SIM contient les informations
suivantes:
Numéro de téléphone de l'abonné (MSISDN)
Numéro d'abonné international (IMSI, international mobile subscriber identity)
Etat de la carte SIM
Code de service (opérateur)
Clé d'authentification
Code PIN (Personal Identification Code)
Code PUK (Personal Unlock Code)
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Type de BTS
On distingue deux grandes familles du BTS, les stations de base indoor et les stations de
base outdoor.
Une BTS indoor est installé au sein d’un local ainsi que sa climatisation, la figure ci-dessous
représente une BTS indoor.
Une BTS outdoor est installée à l’extérieure et elle contient des climatiseurs intégrés,
dans la figure ci-dessous on présente une BTS outdoor.
on peut aussi parler des BTS macro et micro c’est une classification selon la taille
du BTS, dans la figure ci dessous, respectivement, on présente une BTS macro et
une micro.
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Figure 10 : BTS macro et micro
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La carte SUMA
C’est la carte intelligente de la BTS qui permet d’accomplir les fonctions suivantes :
• Supervision de l’état de fonctionnement des équipements de la BTS et détection des alarmes
intérieures et extérieures de la BTS.
• Collection des canaux de trafic et de signalisation ainsi que l’état de fonctionnement du
système pour former la trame PCM à 2 Mbits/s.
• Gestion de l’interface Abis et supervision de la liaison MIC.
• La synchronisation entre la BTS et la BSC à travers un système d’horloge mètre-esclave
En plus de ces cartes on trouve l’équipement qui se charge de la transmission qui soit un
modem HDSL ou une liaison FH.
Sur la figure, nous présentons une composition d’une BTS type Alcatel.
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contrôle de la puissance d'émission (limiter la puissance à ce qui est suffisant pour ne pas
trop perturber les cellules voisines)
Le domaine de la BTS reste néanmoins la liaison physique radio, l'essentiel des fonctions de
contrôle et de surveillance est réalisé par la BSC.
Dans cette partie on présente un autre constituant de la partie radio (BSS) qui est le contrôleur
de la station de base (BSC).
Dans la figure ci-dessous on présente un schéma d’un BSC Contrôleur de stations de base.
La BSC sera la partie intelligente concernant ce lien : c'est lui qui décide de
l'activation/désactivation d'un canal vers une station mobile, qui décide de la puissance
d'émission des BTS et des MS et qui gère les changements de cellules (handover). Si ce
handover s'effectue entre deux BTS qui sont reliées au même BSC, ce dernier effectue le
handover tout seul (handover intra-BSC), sinon il s'agit d'un handover inter-BSC ou handover
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inter-MSC qui fait appel au(x) Mobile service Switching Center(s) (MSC) supérieur(s). Pour
effectuer le contrôle de puissance et les changements de cellule, le BSC collecte et analyse les
mesures de performance et de qualité envoyées par les BTS et les MS. Un autre rôle primordial
du BSC est de concentrer les flux de données en provenance des BTS. Mis à part en milieu
urbain dense, une BTS est rarement surchargée en permanence, l'Abis est donc peu saturé. En
concentrant ensemble les Abis sur un nombre plus réduit de liens A en direction du MSC, cela
permet une meilleure utilisation des ressources.
- Le Transcodeur (TC)
C’est l’intermédiaire entre la partie radio (BSS) et la partie réseau (NSS). Il adapte le format de
codage bas débit du GSM (13 kbits/s) utilisé sur les canaux radio à celui du réseau filaire
(64kbits/s). Pour exploiter de façon optimale les possibilités offertes par le codage bas débit de
la parole du GSM, le transcodeur est le plus souvent placé sur les sites de commutation, mais il
peut l’être sur les sites du BSC.
Dans la figure ci-dessous on présente l’emplacement du transcodeur dans l’architecture du
réseau GSM.
16kb/s
64kb/s
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o L’interface radio (UM) : L’interface Um appelée aussi Air ou radio, entre BTS et MS
s'appuie sur le protocole LAPD (Link Access Protocol on the D mobile channel). Il est
utilisé pour le transport du trafic et des données de signalisation. Le téléphone portable
et le sous système radio communiquent par l'intermédiaire de l'interface Um, qui est une
liaison radio.
o L’interface A bis :
C’est l’interface entre les deux composants du sous système BSS : la BTS (Base Station
Transceiver) et le BSC (Base Station Controler). L'interface Abis se situe entre la BTS et le
BSC. La transmission s'effectue sur des liens MIC (Modulation par Impulsion et Codage) à 2
Mbit/s. Sur l’interface Abis, la signalisation peut avoir plusieurs origines et plusieurs
destinations, il y a donc nécessité de distinguer les messages échangés entre la BTS et le BSC
et la signalisation directement échangée entre la station mobile et le BSC. L’interface Abis
supporte des messages de différents types : → Messages de supervision et de maintenance de la
BTS. → Messages internes de liaison de données BTS – BSC.
o L’interface Ater : C’est l’interface entre BSC et TC, elle assure le multiplexage de
plusieurs interfaces A bis.
o L’interface A : Interface A entre BSC, plus précisément TC, et MSC, s'appuie sur le
protocole sémaphore N·7 du CCITT. Il est utilisé pour le transport du trafic et des
données de signalisation. Le sous système radio et le sous système réseau
communiquent par l'intermédiaire de l'interface A.
Autres interfaces :
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B entre MSC et VLR,
C entre MSC et HLR,
E entre MSC et MSC,
F entre MSC et EIR,
G entre VLR et VLR,
Nous savons que le trajet des ondes radio n’est pas de tout repos, surtout aux fréquences
utilisées par les services GSM. Intéressons nous plus particulièrement au 900 MHz. La
longueur d’onde est de 35 cm environ. D’autre part, comme nous le verrons un peu plus loin, le
débit binaire utilisé étant assez élevé, l’interférence inter symbole sera importante.
Les ondes émises par la BTS vont atteindre le mobile par des chemins différents, un trajet
direct d’une part, et via des réflexions sur des obstacles d’autre part. Les trajets étant différents,
les ondes parviendront à l’antenne de réception à des moments différents comme représenté sur
la figure 2. On voit que le signal reçu n’a plus les caractéristiques de celui qui a été émis. Cette
distorsion s’appelle interférence inter symbole.
L’enregistreur de localisation des visiteurs VLR (Visitor Location Register) est une base de
données associée à un commutateur MSC. Le VLR a pour mission d’enregistrer des
informations dynamiques relatives aux abonnés de passage dans le réseau, ainsi l’opérateur
peut avoir à tout instant dans quelle cellule se trouve chacun de ses abonnés. Les données
mémorisées par le VLR sont similaires aux données du HLR mais concernent les abonnés
présents dans la zone concernée.
A chaque déplacement d’un abonné le réseau doit mettre à jour le VLR du réseau visité et le
HLR de l’abonné afin d’être en mesure d’acheminer un appel vers l’abonné concerné ou
d’établir une communication demandée par un abonné visiteur.
L’AUC (Authentification Center) est une base de données qui contient une copie de la clé
secrète inscrite sur la carte SIM de chaque abonné. Toutes les données y sont enregistrées sur
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un support physique. C'est le centre qui contrôle tous les droits d'usage des abonnés du réseau.
Une vérification est faite dans cette base à chaque utilisation du réseau par un abonné. Tous ces
contrôles servent à éviter une utilisation frauduleuse des comptes des abonnés. Les abonnés
sont sûrs donc de payer pour des services forcément utilisés. L'identification est faite en deux
étapes :
une première locale : lors de la mise en service du terminal, l'abonné tape sur son
terminal son code confidentiel, vérifié par sa carte SIM.
la seconde lors de l'usage d'un service par l'abonné.
L’EIR (Equipement Identity Register) est une base de données contenant le numéro
international de l'équipement IMEI (International Mobile Equipement Identity) permettant
ainsi son identification.
L’OMS est constitué d’un ou plusieurs OMC (Operation & Maintenance Center), il permet à
l’opérateur d’accéder aux éléments du sous-réseau NSS et aux BSC pour l’administration et la
maintenance. Un OMC regroupe la gestion administrative des abonnés et la gestion technique
des équipements.
Quality of service
Equipement
→ Principaux alarmes possibles:
coupure de transmission
coupure courant
alarme VSWR: taux d'interférence dépasse un certain seuil.
Réception technique
Maintenance
Pendant cette étape il y aura lieu de mise en place des équipements tels qu’il est
mentionné par la figure :
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Pendant l’installation du matériel, des mesures physiques (VSWR sur les feeders: ondes
stationnaires) sont prises pour assurer le bon fonctionnement du matériel comme il est montré
par la figure ci-dessous
Au plus des mesures du VSWR et la qualité des feeders d’autre contrôle et vérification
sont effectués ces tests consistent à vérifier :
La sécurité du personnel
Les infrastructures
La galvanisation
La conformité
Dans cette étape nous se chargeons à installer le soft de la BTS pour la faire fonctionner
en utilisant l’outil « BTS-Terminal »cas de BTS ALACATEL , et pour le faire :
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Lancer l’application BTS-Terminal (Alcatel)
Après avoir vérifié la configuration des cartes on commence par le chargement des
fichiers *.dll et *.msf. Sur la figure nous présentons la procédure de chargement de ces
fichiers.
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Après installation des fichiers *.dll et *.msf nous passons à la lecture de bande de
fréquences, comme il est présenté par la figure ci-dessous.
Et en dernière étape de l’installation du soft nous mettons à jours les différents modules
pour faire fonctionner les équipements comme il est présenté par la figure ci-dessous.
après la fin de la mise en marche nous branchons le câble d’A bis qu’on a débranché
dès le début de la mise en marche.
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4.3 Réception technique
Données du site,
Test de fonctionnement,
Dans ce qui suit nous détaillons à chaque phase les tâches à faires d’une façon générale.
Données du site
Dans cette phase nous présentons les informations générales du site tel que son nom,
adresse, configuration… ainsi l’infrastructure du local contenant le site, support des antennes,
support de transmission et l’alimentation.
Vérification des installations intérieures telles que l’éclairage, énergie primaire, fixation
des équipements, chemins de câbles, répartiteur, feeders et bretelles, climatisation,
trémie, câblage des alarmes externes, baies d’énergie et la propreté.
Vérification des installations externes telles que le câblage externe, support d’antennes,
feeders et bretelles, antennes, équipement câble coaxiale (TMA/Duplexeur)
Test de fonctionnement
A cette étape nous faisons des tests de fonctionnement du site radio tels que :
Test du handover,
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Test des times slot en communication ,
4.4 Maintenance
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5-APPLICATION :
Conception des tables : table audit site, table sites, table transmissions, table secteurs, table
audit secteurs
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Fenêtre principale pour la création d’un nouveau site ou la modification et la mise à jour d’un
site déjà existant avec tous ses caracteristiques.
Figure 22 : écran de saisie d’une nouvelle BTS de l’application base de données sites
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RECOMMANDATIONS
Tunisie télécoms a entrepris depuis des années une opération de réorganisation tant
dans sa structure technique ( NOC ,ROC ,GNOC, backhauling, backbone,SOP,..) ; que
Dans sa structure administrative organigramme de structure confiée aux plus grandes
Sociétés du monde avec son partenaire stratégique afin de mettre toute
L’infrastructure dans les normes ISO.
Comme il est suggéré d’apporter des changements au niveau non seulement infra
structural mais aussi au niveau du personnel et de les former et adapter avec les
changements VIA les plateformes et bases de données de communications intra
entreprises ( exchange, workflows,HPSM,intranet entreprise, KPI..)
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CONCLUSION GENERALE
Ce stage m’a été une occasion extraordinaire pour s’informer de près du métier d’opérateur
télécom. En effet, la télécommunication est un secteur de pointe utilisant les technologies UP
to Date les plus pointues.
Ce secteur est caractérisé par une concurrence continue. L’entreprise ou l’opérateur actif
dans ce secteur est par conséquent tenu d’être proactif, aussi bien sur les plans techniques,
financiers mais aussi, en termes de gestion de ressources humaines et de communication.
L’individu est une variante déterminante dans cette activité. En effet bien que la
communication est un outil que peut se procurer l’opérateur mais reste à savoir optimiser ces
outils, les promouvoir, préserver et les exploiter pour assurer sa pérennité et se développer sur
son marché et conquérir de nouveaux espaces.
A noter également que ce stage m’a été une occasion pour montrer l’écart entre la théorie
et le volet pratique de terrain.
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ANNEXE
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