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THÉODORE DE BANVILLE
- SCÈNES DE LA VIE —
CONTES
ÉERIQUES
Avec un dessin de GEORGES ROCHEGROSSE
I
PARIS
G. CHARPENTIER, ÉDITEUR
13, RUE DE GRENELLE-SAINT-GERMAIN, 13
1882
Tous droits réservés.
/222.
A GEORGES ROCHEGROSSE
poète?
Quand tu étais tout petit, sous le regard tutélaire
de ma chère femme, de ta mère bien-aimée, j'impro-
visais, pour te charmer, des histoires où je mêlais
les Fées à de toutes petites personnes; mais je les
mêle maintenant à de grandes personnes, à ce
monde parisien tout plein de raffinements, dont ton
crayon exprime si bien les passions quintessenciées
et subtiles. En feuilletant ces Contes, le lecteur devi-
VI A G l<] ORGES ROCHEGROSSK.
Théodore de Banville.
ENVOI
FÉERIQUES
LA FIGURANTE
1
CONTES FÉERIQUES.
¥ Il
([u'ils
fut convenu entre le directeur et le machiniste
allaient surveiller la fin de la transformation,
et qu'au moment où les femmes seraient débarrassées
des appareils qui les soutenaient, ils auraient le mot
de cette énigme. Mais à ce moment-là môme, on
vint les chercher tous les deux, Jaquerod de la part
d'un actionnaire qui lui apportait de l'argent, et
ïonini parce qu'un accident assez grave venait de
démantibuler un décor du second acte. Quant à
Zameith, debout contre son mât, il s'était endormi
d'un sommeil subit et surprenant, si bien que, des
trois hommes, aucun ne put avoir l'explication de
ce qui avait intrigué si fort leur curiosité. Quand le
directeur put redescendre, le rideau venait de tom-
ber sur la fm de l'acte, et il trouva près de lui la
quatrième Fée, avec laquelle, tant son impatience
était grande, il se mit à causer sur la scène, où on
disposait les décorations qui devaient se succéder,
et tout un monde d'accessoires. Conversation singu-
lière entre toutes^ car, tout homme de théâtre qu'il
fût, Jaquerod gênait ses machinistes, et à chaque
instant était heurté par une ferme, évitait à grand'-
peine une toile de fond qui lui tombait sur la tête,
ou se cognait contre un banc de gazon et mettait le
pied dans un trapillon ouvert, tandis que la figurante,
que rien ne touchait, que rien ne frôlait, semblait
voltiger au milieu de tous ces obstacles, libre,
aérienne, légère comme une brillante libellule.
Jaquerod est un Parisien spirituel jusqu'au bout
des ongles, sceptique, libertin, peu scrupuleux en
affaires d'argent et en affaires d'amour, qui à ce
moment-là, voyant la faillite à droite et à gauche,
dansait sur la corde roide des expédients, tantôt
sans balancier, tantôt avec les premiers balanciers
venus, faisait flèche de tout bois, et aurait transformé
en Gogo le génie du Doute I Très aimable et obligeant
CONTES FÉKBIQUKS.
— « Allons, dit-il, ma
chère dame, laissons là ces
billevesées. J'ai très bien vu que vous volez en l'air,
et que vous êtes une vraie Fée. Est-ce là de l'étoffe,
ajouta-t-il, et au contraire ce vêtement n'est-il pas
uniquement fait de couleur et de lumière ? » En disant
ces mots, il s'efforçait de saisir à pleines mains la
robe de la figurante mais ses mains ne touchaient
;
II
LE POMPIER
reux !
III
GEORGETTE ET ZOZO
3
26 CONTES FÉERIQUES.
— (( La poupée aussi. »
CONTKS FEERIQUES.
IV
LES MUSICIENS
Gymnase. »
Monsieur Joam prit le parti de finir par où il au-
rait dû commencer. Il se décida à retourner chez
lui prendre sa montre, pour la vendre au premier
bijoutier venu. Auparavant, il voulut passer chez
Gésaire, pour voir comment il se trouvait. Mais en
arrivant dans la rue Serpente, il la vit pleine de
monde, encombrée par une foule compacte, qui sans
cesse allait, venait, se renouvelait, paraissait livrée
à une joie délirante et c'est à grand'peine que le
;
4
38 CONTES FÉERIQUES.
— Dieu, dit-il.
CONTKS FÉERIQUES. 39
SEANCE DE PORTRAIT
44 CONTES FÉERIQUES.
VI
LE PETIT ACTEUR
VII
LA CHIFFONNIERE
VIII
VOLEUR DU FEU
1
CONTES FÉERIQUES. 73
abîme de maux.
— Vous m'étonnez! dit Chapri. Dans une société
aussi fortement organisée que la nôtre, que peut
rindividu isolé, et sans le secours des autres plus
faible qu'un passereau?
— Il peut, dit Tourrier avec animation, ce que
7
74 CONTES FÉERIQUES.
—
Mais, reprit Tourrier, ceci n'est rien encore !
ment, ni de la ville !
—
Une chandelle s'écria Ghapri éperdu. Yoilî\
!
IX
LA BONNE JOURNEE
LES HUBERTIXES
XI
LE DERNIER BAL
XII
LA LYDIENNE
10.
11* CONTES FÉERIQUES.
XIII
INTERMEDE
LE BON DIEU
A
quoi allons-nous passer la soirée? Sainte Cécile !
SAINTE CÉCILE
LE BOX DIEU
XIV
—
« Tu les aimeras tous » !
— « Edgard, m'aimes-tu » I
XV
UN MEISSONIER
— Gomment
« te nommes-tu?
— Myr », dit la petite Fée, qu'il avait ensuite ap-
prochée de son oreille.
La conversation entre eux deux était bien difficile,
tant la voix de Myr mais l'écolier et la
était faible;
Fée lisaient dans les yeux l'un de l'autre, et ils
avaient vu tout de suite qu'ils se comprendraient
sans parler. Cependant Alek demanda à la petite
Myr si elle consentirait à rester toujours avec lui, et
elle répondit qu'elle le voulait bien. Interrogée sur
sa nourriture, elle apprit à son ami qu'elle mangeait
de petits morceaux de que, lorsqu'elle avait
fleurs, et
soif, elle buvait une ou deux gouttes de rosée.
Puis ils se promenèrent dans le jardin! la fée Myr
voltigeait sur l'habit de Pierre ou sur son cou, ou
dans ses cheveux, et parfois venait se poser sur sa
main; il la regardait alors et contemplait ses petits
yeux amis, plus vifs que de clairs diamants.
Mais l'heure du dîner allait sonner craignant ;
frayante fureur.
Une heure après, le notaire Estieu, averti sans
retard venait chercher Alek à la pension dès le
, ;
12.
138 CONTES FÉERIQUES.
XVI
LE DIAMANT BLEU
XYII
UN VIEUX VAUDEVILLE
l'éternelle joie.
Farette sauta dans un cabriolet et se fit conduire
13.
150 CONTES FÉERIQUES.
— Les Dieux !
CONTES FEERIQUES. 155
XVlll
UNE BELLE-MERE
14
158 CONTES FÉERIQUES.
—
Une fée! je m'en doutais! » hurla monsieur
Chamrion, qui bondit comme un tigre, arracha les
ailes et les foula, les brisasous ses pieds. Dès lors,
la pauvre Hada perdit la conscience de son existence
antérieure, et dans ses longues rêveries, triste,
accablée, oppressée, elle s'efforçait de ressaisir sa
pensée et tâchait de se souvenir. Mais le temps ar-
range tout. Monsieur Chamrion est mort; les ailes
brillantes de la fée ont repoussé; maintenant, avec
ses compagnes, elle voltige comme autrefois sur les
gazons étoiles de fleurs au bord des eaux dormantes,
et parfois, la nuit, elle vient baiser tendrement le
front d'Élise endormie dans sa blonde chevelure.
164 CONTES FÉERIQUES.
XIX
rait vivre une heure, s'il avait gardé dans son sein
une âme humaine! C'est pourquoi une mesure de
haute raison politique nous force à leur prendre
leurs âmes, que d'ailleurs nous leur rendons plus
tard fidèlement, comme vous l'avez vu, et que nous
leur remplaçons par des âmes de directeurs, impéné-
trables à la poésie, appropriées pour l'usage auquel
elles doivent servir, et dont la fabrication première
appartient au célèbre Vaucanson Autrement, ne
!
XX
16
182 CONTES FÉERIQUES.
XXI
LE PARODISTE
XXII
LA BAGUE D'AMETHYSTE
jambe droite. »
A ce moment entrèrent dans le cabinet des ou-
vriers portant d'innombrables clichés qu'ils dépo-
sèrent sur une grande table.
« Ah venez, monsieur, approchez-vous, dit
! mon-
sieur Grocker; voilà des dessins dont vous admirerez
j'espère, la composition, la grandeur, l'exécution
hardie et spirituelle. Voyez quel tumulte, quelle
!
ditM. Groker.
— Gomme prophétesse, dit miss Ellénore, je pense
que le Tros-Haut viendra nous aider à dompter
les Amorrhéens et les Amalécites. La colère sera la
roue de son chariot, les regards de ses yeux seront
des aigles irrités, et sa justice sera comme une faux
aiguisée pour couper l'herbe. En tant que docto-
resse, j'estime que nous ne devons admettre aucun
principe surnaturel échappant à nos moyens d'in-
CONTES FÉERIQUES. l'>7
XXIII
LE RENEGAT
56", 57°, 58c édition. Faut-il dire que devant ces triom-
phales pancartes, Claude Justel éprouva comme un
sentiment de colère jalouse?
Mais près de lui passèrent accompagnées de
,
lettres Bibliographie.
: —
Poèmes médiocres^ par Eu-
gène Bertina. 59'' édition!
Comment le poète se trouva-t-il assis à la môme
table que monsieur Ulric Lagès, le célèbre rédacteur
de la Revue continentale, doni il avait fait très impar-
faitement la connaissance dans une de ses visites
inutiles à l'éditeur Vigor, et comment la conversa-
tion setrouva-t-elle engagée entre eux? Claude ne se
CONTES FÉEKIQUES. 205
XXIV
— Où sont
(( les papiers que j'avais laissés sur
cette table ?
— Monseigneur, dit le chef du cabinet, ils sont
maintenant classés, étiquetés par lettres, chiffres et
séries, et rangés avec les autres papiers dans les car-
tons verts! »
Ottocar ouvrit un de ces cartons littéralement
,
au roi Borizivoï.
— Allons, mon pauvre ami, dit le roi après avoir
<(
XXV
LE CYGNE
XXVI
LE CONVIE STUPEFAIT
I
232 CONTKS FEERIQUES.
plus pervers! »
Le pauvre être voulut protester, mais, sur un signe
20.
,
XXVIl
FEUILLETON DE THEATRE
à tête noire, ou la
la brise, le rossignol, la fauvette
grande et mystérieuse Lyre qui frissonne dans les
bois.
Le rideau ne se leva pas", mais se dissipa, car
c'étaitun rideau de vraies et pâles nuées, et je pus
admirer le décor, qui n'était ni une toile peinte, ni,
comme Georges Sand le suppose grossièrement dans
Le Château des Désertes, un assemblage incohérent
d'objets réels, mais bien au contraire une vague et
flottante illusion, qui surtout montrait au spectateur
ce qu'il voulait voir, et permettait que ce qui était
pour l'un un palais aux nobles architectures fût pour
l'autre une clairière déserte ou un jardin de délices.
L'éclairage de la scène était varié, divers et chan-
geant comme la musique. Tantôt c'étaient des
,
XXVIÏI
PARFAIT AMOUR
XXIX
CHRONIQUE PARISIENNE.
un chat.
Les amis de madame Glaraz l'ont souvent pressée
de revenir à Paris mais quand il s'agit d'accomplir
;
— Madame,
« lui dit-il, puisse votre maison deve-
nir ce soir l'asile de la vraie Comédie!
— Ainsi soit-il ! » dit madame Glaraz.
Parole dangereuse! car lorsqu'on s'adresse à un
magicien, chaque mot prend une importance im-
CONTES FÉERIQUES. .
265
puis Adèle » I
XXX
CHEZ- BREBANT
24.
2S2 CONTES FÉERIQUES.
XXXÏ
LES FEES
XXXÏI
BRELOQUE
23.
294 CONTES FÉERIQUES.
— a Détache-moi »!
— « Détache ma chaise î»
Jeanne détacha aussi la chaise, sur laquelle s'assit
la petite demoiselle. Aussitôt elle grandit, grandit,
devint aussi grande que Jeanne elle-même, et se je-
tant à son cou, elle lui fit mille caresses.
— « Chère enfant, lui dit-elle, je suis la petite fée
— « Détache-moi I »
CONTES FÉERIQUES. 303
XXXÏII
XXXIV
LES AMES
XXXV
UN AMATEUR
XXXYI
L'ALIBI
Horwath Saroth ;
je suis née au village de Kisilova
en Esclavonie, d'un père et d'un grand-père égale-
ment vampires, et je bois le sang des jeunes hommes
comme les amis de Gargantua buvaient le vin à la
Saulsaie, pour la soif présente et future L'autre
!
20
338 CONTES FÉERIQUES.
XXXVII
RIQUETTE A LA HOUPPE
XXXVIII
CARABOSSE
gence, sans doute, elle avait fait la fête avec des sei-
gneurs lutins et des abbés sylphes. Emeric la voyait
à ces soupers, riante, provocante, élevant son verre
où le vin écume, et la gorge nue sous une écharpe
de fleurs! Et alors c'était lui-même qui, vêtu d'un
I
CONTES FÉ1]RIQUES. 353
I
CONTES FÉERIQUES. 3R5
XXXIX
SCENARIO
'
tiller; leurs morceaux coupés se rejoignirent, se rat-
tachèrent les uns aux autres enfin, après avoir bouilli
;
31
362 CONTES FÉERIQUES.
31.
366 CONTES FÉERIQUES.
XL
L'ENFANT BOSSUE
XLI
PROMENADE GALANTE
32.
378 CONTES FÉERIQUES.
— C'est bien
« vous, dit-elle, qui êtes Roland et
Suzette?
— C'est nous, fit Roland.
— Alors, ditSilvia, en ôtant sa chaîne d'or qu'elle
passa au cou de Suzette, c'est pour avoir l'honneur
de vous remercier! »
Le peintre et sa petite amie remontèrent dans
leur bateau, et longtemps s'enchantèrent à regarder
frémir les feuillages des arbres bleus et lilas, et
frissonner les flots roses, dont les rougissantes moires
ressemblaient à de grandes fleurs voltigeant, se mê-
lant et se poursuivant sur la trame de l'eau, baignée
d'ombre et glacée de lumière. Mais enfin, attirés
par un bruit de clairons^, de cymbales et de tam-
bours, ils mirent pied à terre, et arrivèrent bientôt
en pleine forêt, au milieu d'une vaste clairière où il
y avaitune foire.
Ce n'était pas une foire ordinaire, car au lieu des
bourgeois, des bonnes d'enfants, des militaires et
des autres flâneurs qui habituellement forment le
public de ces réjouissances, on voyait là une foule
composée de jeunes dames parées à souhait pour le
plaisir des yeux, et de seigneurs vêtus de soie et de
dentelles, dont les panaches s'envolaient dans le
vent avec l'air le plus triomphant du monde.
De riches étoffes brodées d'argent et d'or ser-
vaient de tentes et couvraient les boutiques des
marchands, qui dans ces échoppes vendaient des
porcelaines de Saxe et de vieux Sèvres, des joyaux
antiques, des bonbons fabriqués par des confiseurs
sublimes, et des bonshommes en pain d'épice mo-
delés par les plus habiles statuaires. Suzette voulut
tout d'abord monter sur les chevaux de bois; c'é-
taient des chevaux de bois qui étaient vivants, et
qui bien que sculptés en plein cœur de châtaignier
et attachés à des tringles de fer, secouaient leurs
382 CONTES FÉERIQUES.
XLII
LE PHILTRE
33.
390 CONTES FÉERIQUES.
XLIII
— Monsieur
« est-il satisfait?
— Ah çà! mais, Roderic à son bizarre voisin,
dit
je monsieur, que vous êtes un eachanteur
crois, !
XLIV
LE JUIF
il ne consentit pas.
35.
414 CONTES FÉERIQUES.
XLV
LA FEMME
36
422 CONTES FÉERIQUES.
XLVI
LE BON MINISTRE
36.
426 CONTES FÉERIQUES.
vin délicieux !
CONTES FÉERIQUES. *35
XLVII
RÔLE A TIROIRS
*
Ceci se passait ily a quelques jours à peine. Satan
vieillissant faisait encore très bonne figure avec ses
moustaches hérissées, ses bouts de favoris et ses
cheveux de cuivre rose plaqués sur son front en
accent circonflexe. Son élégant veston était d'autant
plus couleur de feu qu'il avait été taillé en effet dans
une nappe de flamme. Tout en fumant son cigare de
braise écarlate, le Roi ressentait la petite impression
de froid dont il souffre toujours à cette époque do
l'année, et cependant ses fins souliers de fer rougi
dans la fournaise le réchauffaient peu à peu et com-
muniquaient à son corps leur douce température.
— « Mon cher enfant, disait-il au démon Sadaï,
je suis on ne peut plus satisfait des travaux que tu
as exécutés pour moi ; tu as fait des merveilles,
comme architecte et comme décorateur. A notre
vieux décor tragique, orné de colonnades ridicules,
tu as substitué un enfer amusant, original et d'une
réjouissante modernité. Je ne saurais te dire à quel
point j'aime cet arbre de corail dont les rameaux
embrassent tout mon cabinet de travail, et ce pla-
fond brillant fait d'un seul rubis évidemment faux,
(mais nous savons qu'il n'y a rien de vrai!) et ces
lacs miroitants et ces squares uniquement ornés de
436 CONTES FÉERIQUK S.
satrice.
Bientôt attirée par l'éclat de cette dorure, une
foule de parents et d'enfants s'attroupa devant le
magasin, et se mit à lire les grands prospectus
imprimés en vermillon et collés sur les glaces de
la devanture. Ces factums expliquaient nettement
comme quoi le temps est venu d'amuser les enfants,
442 CONTES FÉERIQUES.
XLVIIl
UN DEBUT LITTERAIRE
S8
•i4t) CONTES FI':ERI0UES.
cela à la gendarmerie!
— N'importe! fit Sesmé. Où sont vos œuvres com-
plètes?
— Dans ma poche, répondit Eugène.
— Eh bien! à son tour
dit Tiô,
la folle lisez-nous
un poème quelconque. »
A ce moment, en même temps femmes, visions et
rayons, lumineuses ligures portant dans leurs mains
des luths et des lyres de formes antiques et ou-
bliées, une innombrable troupe de Fées étaient en-
38.
450 CONTES FEERIQUES.
La Duchesse Antonie.
— Par Hercule! dit Sesmé, celui-là est tout à
((
XLIX
MADEMOISELLE AGATHE
39
458 CONTES FÉERIQUES.
39.
462 CONTES FÉERIQUES.
RUE DE L'EPERON
TABLE
Pages.
I. — La Figurante 1
II. — Le Pompier iO
III. — Georgette et Zozo 20
lY. — Les Musiciens 29
V. — Séance de Portrait 39
VI. — Le petit Acteur 49
VII. - La Chiffonnière 59
VIII. — Voleur du Feu 69
IX. — La Bonne Journée 78
X. — Les Hubertines 86
XL — Le dernier Bal •
96
XII. — La Lydienne 105
XIII. - Intermède 114
XIV. — Jamais trop tard. 123
XV. — Un Messonnier 131
XVI. — Le Diamant bleu 138
XVII. - Un vieux Vaudeville 147
XVIII. — Une Belle-Mère 155
XIX. — Les Papillons gris 164
XX. — Les Huit Sous de Pierrot 173
XXI. — Le Parodiste 182
XXII. — La Bague d'améthyste 191
XXIII. - Le Renégat 199
XXIV. —
Les Cartons verts 209
XXV. —
Le Cygne 219
XXVI. -
Le Convié stupéfait 229
XXVII. - Feuilleton de Théâtre 239
476 TABLE.
Pages.
XXVIH. Parfait Amour 250
XXIX. Chronique Parisienne 260
XXX. ChezBrébant 271
XXXL Les Fées 282
XXXII. Breloque 293
XXXIII. Les Buveurs d'eau 303
XXXIV. Les Ames 312
XXXV. Un Amateur 321
XXXVI. L'Alibi 329
XXXVII. Riquette à la Houppe 338
xxxvni. Carabosse 347
XXXIX. Scénario .... 357
XL. L'Enfant bossue 366
XLI. Promenade galante 376
XLH. Le Philtre 385
XLIII. Histoire d'un Règne 395
XLIV. Le Juif 405
XLV. La Femme 415
XLVI. Le bon Ministre . . 425
XLVII. Rôle à tiroirs 435
XLvni. Un Début littéraire 445
XLIX. Mademoiselle Agathe 455
L. Rue de l'Éperon 465