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Juillet 2022
Table des matières
1 Introduction générale 4
2 présentation de L’entreprise 5
2.1 Ericsson . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
2.2 Structure d’accueil . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
2.2.1 équipe implémentation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 5
2.2.2 équipe Initial Tunning . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
2.2.3 équipe D’optimisation . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 6
2
5 Canclusion 30
3
Chapitre 1
Introduction générale
4
Chapitre 2
présentation de L’entreprise
2.1 Ericsson
Ericsson, une société suédoise fondée en 1876 par Lars Magnus, leader mondial sur le mar-
ché des technologies de télécommunications et des services aux opérateurs. Numéro un sur le
marché des technologies mobiles 2G, 3G, 4G et 5G, c’est une entreprise qui accompagne les
opérateurs dans la gestion des réseaux utilisés par plus d’un milliard d’abonnés, tout en étant
à l’avant-garde dans le domaine des services managés. Présent dans plus de 175 pays, Ericsson
fournit à ses clients des solutions technologiques innovantes et durables qui répondent à son
ambition d’être l’acteur numéro un dans un monde « tout communiquant »
5
2.2.2 équipe Initial Tunning
6
Chapitre 3
3.1 Introduction
3.2.1 cellule
Une cellule, c’est la surface sur laquelle le téléphone mobile peut établir une liaison (an-
tenne) avec une station de base déterminée (BTS). Les cellules sont généralement représentées
sous forme d’hexagones mais la réalité du terrain est bien différente de ce modèle théorique,
notamment en zone urbaine (forte densité d’utilisateurs) où de nombreux obstacles empêchent
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une propagation linéaire. Le principe consiste à diviser une région en un certain nombre de
cellules qu’on appelle site désservies par un relais radioélectrique (la BTS) de faible puissance.
Ces cellules doivent être touchés par la surface couverte. La capacité d’une cellule en Mbits/s
ne dépend pas de la taille de la cellule.
3.2.2 Fréquence
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3.2.3 Bande de fréquence
Une bande de fréquence est utilisées en communication GSM, elle représente un en- senmble
continue de fréquences compris entre deux fréquences.
3.2.4 Interférence
3.2.5 Antenne
Une antenne est un émetteur-récepteur de signaux radioélectriques pour les communi- ca-
tions mobiles qui convertit des signaux électriques en ondes électromagnétiques (et réciproque-
ment). Il en existe plusieurs modèles : antennes fixes, antennes à déployer, antennes internes
...ect
3.2.6 handover/handoff
Une des procédures les plus complexes dans un réseau cellulaire est le transfert in- ter-
cellulaire (ou Handoff). En effet, le fait qu’un abonné se déplace peut engendrer le besoin de
changer de canal (fréquence) ou de cellule, le handover permet à un abonné de poursuivre sa
communication sans coupure (Handover inter-cellulaire). Le mobile peut également effectuer
un handover à l’intérieur de la cellule si le signal devient faible par exemple (on parle alors de
handover intra-cellulaire). On retrouve quatre types de handover(Transfert) :
– Transfert de canal dans une même cellule.
– Transfert de cellules contrôlées par la même BSC.
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– Transfert de cellules appartenant au même MSC, mais contrôlées par différents BSC.
– Transfert de cellules contrôlées par des MSC différents.
En 1982, le Groupe Spécial Mobile, appelé GSM est créé par la Conférence Européenne
des administrations des Postes et Télécommunications (CEPT) afin d’élaborer les normes de
communications mobiles.
Le réseau GSM a été conçu pour offrir principalement un service de téléphonie orienté circuit
et permet aussi le transfert des données à un débit limité de 9,6 kbit/s. : il utilise les bandes
de fréquences comprises entre 900 MHz et 1800 MHz.
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SIM (Subscriber Identity Module), ceux sont les deux seuls éléments auxquels un utilisateur
a directement accès. Ces deux éléments suffisent à réaliser l’ensemble des fonctionnalités né-
cessaires à la transmission et à la gestion des déplacements. La carte SIM est une petite carte
dotée d’une mémoire et d’un microprocesseur, qui sert à identifier l’abonné indépendam- ment
du terminal employé, il est donc possible de continuer à recevoir et à émettre des appels et
d’utiliser tous ces services simplement grâce à l’insertion de la carte SIM dans un terminal
quelconque.
(2) Le sous système radio BSS
Le sous-système radio est l’ensemble des constituants du réseau qui gère l’échange et la trans-
mission des voix par mobile. Il est constitué de plusieurs entités dont le mobile, la station de
base, et un contrôleur de station de base.
a- la station de base BTS
Le BTS utilisé dans un réseau GSM comprend les récepteurs émetteurs radio et leurs antennes
associées qui émettent et reçoivent pour communiquer directement avec les mobiles. Le BTS est
l’élément déterminant pour chaque cellule. Le BTS communique avec les mobiles et l’interface
entre les deux est connue sous le nom d’interface Um avec ses protocoles associés.
i. Le rôle de BTS
elle est chargée de la gestion physique du lien radio, Elle a pour fonction :
- la gestion de la liaison radio avec les stations mobiles.
- l’activation et la désactivation d’un canal radio. (elle ne prend pas la décision,
elle applique la décision BSC).
-le chiffrement du contenu à transmettre (pour la confidentialité de la communi-
cation sans fil).
-les codages canal, chiffrement des trames, modulation, démodulation et décodage
du signal radio (protection contre les erreurs de transmission, interférences,
bruits....).
- le contrôle de la couche liaison de données pour l’échange de signalisation entre
les mobiles et l’infrastructure réseau de l’opérateur et de la liaison de données avec
le BSC.
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-la surveillance des niveaux de champ reçu et de la qualité des signaux (nécessaire
pour Hanover).
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inter BTS) ou, sur la même BTS d’un canal radio vers un autre (handover intra BTS). On parle
de transfert automatique inter/intra cellule.
Le commutateur est un noeud important du réseau, il donne un accès vers les bases de données
du réseau et vers le centre d’authentification qui vérifie les droits des abonnés. En connexion
avec le VLR, le MSC contribue à la gestion de la mobilité des abonnés (à la localisation des
abonnés sur le réseau) mais aussi à la fourniture de tous les télé services offerts par le réseau :
voix, données, messageries ... Il peut également posséder une fonction de passerelle, GMSC
(Gateway MSC), qui est activée au début de chaque appel d’un abonné fixe vers un abonné
mobile.
Un couple MSC / VLR gère généralement une centaine de milliers d’abonnés. Les commutateurs
MSC sont souvent des commutateurs de transit des réseaux téléphoniques fixes sur lesquels ont
été implantés des fonctionnalités spécifiques au réseau GSM.
b- Registre de localisation d’accueil (HLR)
Cette base de données contient toutes les informations administratives sur chaque abonné ainsi
que son dernier emplacement connu. De cette façon, le réseau GSM est en mesure d’acheminer
les appels vers la station de base concernée pour le MS. Lorsqu’un utilisateur allume son télé-
phone, le téléphone s’enregistre sur le réseau et à partir de là, il est possible de déterminer avec
quel BTS il communique afin que les appels entrants puissent être acheminés de manière appro-
priée. Même lorsque le téléphone n’est pas actif (mais allumé), il se réenregistre périodiquement
pour s’assurer que le réseau (HLR) est au courant de sa dernière position. Il y a un HLR par
réseau, bien qu’il puisse être réparti entre divers sous-centres pour des raisons opérationnelles.
c- Registre de localisation des visiteurs (VLR)
Il contient des informations sélectionnées du HLR qui permettent de fournir les services sélec-
tionnés pour l’abonné individuel. Le VLR peut être mis en œuvre en tant qu’entité distincte,
mais il est généralement réalisé en tant que partie intégrante du MSC, plutôt qu’en tant qu’en-
tité distincte. De cette façon, l’accès est rendu plus rapide et plus pratique.
d- Registre d’identité de l’équipement (EIR)
L’EIR est l’entité qui décide si un équipement mobile donné peut être autorisé sur le réseau.
Chaque équipement mobile a un numéro connu sous le nom d’identité internationale de l’équi-
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pement mobile. Ce numéro, comme mentionné ci-dessus, est installé dans l’équipement et est
vérifié par le réseau lors de l’enregistrement. En fonction des informations contenues dans l’EIR,
le mobile peut se voir attribuer l’un des trois états suivants : autorisé sur le réseau, interdit
d’accès ou surveillé en cas de problème.
e- Centre d’authentification (AuC)
L’AuC est une base de données protégée qui contient la clé secrète également contenue dans
la carte SIM de l’utilisateur. Il est utilisé pour l’authentification et le chiffrement sur le canal
radio.
f- Centre de commutation mobile gateway (GMSC)
Le GMSC est le point où un appel de terminaison ME est initialement acheminé, sans aucune
connaissance de l’emplacement du MS. Le GMSC est ainsi chargé d’obtenir le MSRN (Mobile
Station Roaming Number) du HLR basé sur le MSISDN (Mobile Station ISDN number, le
« numéro d’annuaire » d’un MS) et d’acheminer l’appel vers le MSC visité correctement. La
partie « MSC » du terme GMSC est trompeuse, car l’opération de passerelle ne nécessite aucun
lien vers un MSC.
(4) Sous-système d’exploitation et de support (OSS)
L’OSS ou sous-système de soutien à l’exploitation est un élément de l’architecture globale du
réseau de communications mobiles GSM qui est connecté aux composants du NSS et du BSC.
Il est utilisé pour contrôler et surveiller l’ensemble du réseau GSM et il est également utilisé
pour contrôler la charge de trafic du BSS. Il convient de noter qu’à mesure que le nombre
de BS augmente avec la mise à l’échelle de la population d’abonnés, certaines des tâches de
maintenance sont transférées au BTS, ce qui permet de réaliser des économies sur le coût de
possession du système.
Afin de s’assurer que les réseaux puissent être assemblés à partir d’éléments de différents
fabricants, des interfaces standard ont été définies. De cette façon, il pourrait être garanti que
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la façon dont ils communiquaient serait la même quel que soit le fabricant.
Cette approche a permis à un grand nombre de fabricants d’équipements d’entrer sur le marché
et d’augmenter le nombre global de fournisseurs et le niveau de concurrence.
Les interfaces variaient en fonction de la connexion, c’est-à-dire des éléments de réseau ou des
entités connectés.
L’interface Um :C’est l’interface entre les deux sous systèmes MS et la BTS. On la
nomme couramment interface radio ou interface air.
L’interface Abis :C’est l’interface entre les deux composants du sous système BSS : la
BTS (BaseStation Transceiver) et le BSC (Base Station Controler).
L’interface A : C’est l’interface entre les deux sous systèmes BSS (Base Station Sub
System) et le NSS (NetworkSub System).
Le réseau UMTS vient se combiner au réseaux déjà existant (GSM et GPRS). La mise en
place de ce réseau va permètre a un opérateur de compléter son offre existant (Voix et Data)
par l’apport de nouveaux services en mode paquet (les fonctionnalitées multimédia).
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3.4.1 Architecture du réseau UMTS
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récepteur CDMA et un transmetteur CDMA. Il existe trois types de Node B :
- Node B UTRA-FDD et Node B UTRA-TDD : correspondant aux deux modes
UTRA.
- Node B mode dual : il est utilise pour les deux modes. simultanément.
LTE était le successeur 4G du système UMTS 3G qui a été développé pour fournir une
évolution supplémentaire du système de télécommunications mobiles disponible.
Offrant des vitesses de données beaucoup plus élevées et des performances considérablement
améliorées ainsi que des coûts d’exploitation réduits, le système a commencé à être déployé
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sous sa forme de base vers 2008.
Les déploiements initiaux ont donné peu d’amélioration par rapport à la 3G HSPA et ont par-
fois été surnommés 3.5G ou 3.99G, mais bientôt la pleine capacité de LTE a été réalisée, il a
fourni un niveau de performance 4G complet.
Le réseau est constitué de deux parties : une partie radio (eUTRAN) et un cœur de réseau
« EPC » (Evolved Packet Core).
(1) La partie radio eUTRAN
La partie radio du réseau, appelée « eUTRAN », est simplifiée comparée à celles des réseaux
2G ou 3G (UTRAN), par l’intégration dans les stations de base « eNode B » des fonctions de
contrôle qui étaient auparavant localisées dans les RNC (Radio Network Controller) des réseaux
3G UMTS.
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La partie radio d’un réseau LTE se compose donc des eNode B, d’antennes locales ou dis-
tantes, de liaisons en fibres optiques vers les antennes locales ou distantes (liaisons CPRI) et
des liaisons IP reliant les eNodeB entre eux (liens X2) et avec le cœur de réseau (liens S1) via
un réseau de backhaul.
(2) Le cœur de réseau EPC
Le cœur de réseau appelé « EPC » (Evolved Packet Core) utilise des technologies « full IP »,
c’est-à-dire basées sur les protocoles Internet pour la signalisation, le transport de la voix et des
données. Ce cœur de réseau permet l’interconnexion via des routeurs avec les eNodeB distants,
les réseaux des autres opérateurs mobiles, les réseaux de téléphonie fixe et le réseau Internet.
L’EPC d’un opérateur LTE est principalement constitué de passerelles de services, Serving
Gateways (SGW) qui transportent le trafic de données (plan utilisateur) et concentrent le trafic
de plusieurs eNodeB, de MMEs qui gèrent la signalisation (plan de contrôle) et donnent l’accès
aux bases de données (HSS / HLR) contenant les identifiants et les droits des abonnés. Un
(ou plusieurs) PGW servent de passerelles vers le réseau Internet ; le PGW a aussi pour rôle
d’attribuer les adresses IP aux terminaux LTE.
L’EPC permet aussi, via d’autres passerelles, l’accès des terminaux au cœur de réseau LTE,
en utilisant d’autres types d’accès radio : des points d’accès Wi-Fi ou des femtocells générale-
ment connectés via des box ADSL ou FTTH.
L’utilisation du protocole IP de bout-en bout dans le cœur de réseau permet, par rapport
aux réseaux 3G, des temps de latence réduits pour l’accès internet et les appels vocaux LTE.
19
Chapitre 4
4.1 Introduction
Après la phase de réglage (tuning) vient celle de l’optimisation qui identifie et résout les
problèmes du réseau on-Air principalement liés à l’augmentation du nombre d’abonnés.
Le processus d’optimisation aboutit généralement à des changements de paramètres pour les
différentes fonctionnalités telles le contrôle de puissance, la gestion de la capacité et le Hando-
ver.
Pour assurer une gestion efficace des performances d’un réseau cellulaire, il faut être capable
de naviguer dans les données rassemblées dans le réseau et déterminer les secteurs nécessitants
des améliorations.
En raison de la quantité énorme des données statistiques de performance qui sont rassemblées
par le réseau LTE, il s’avère judicieux d’extraire et de calculer des indicateurs clés de perfor-
mance lié directement à la qualité que de corréler toutes les données pour l’ensemble du réseau
pour construire une image cohérente de l’état du réseau. Les indicateurs clés de performance
sont des métriques formulées sur la base de mesures assez précises, connues sous le nom de
compteurs, récupérées à partir des différents composants du réseau.
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4.2 L’objectif de l’optimisation
La QOS est définit comme étant l’effet global produit par la qualité de fonctionnement d’un
service qui détermine le degré de satisfaction de l’utilisateur du service.
Selon les types du service à fournir, on peut lister les paramètres suivants pour définir la QoS :
- Le débit : principalement important dans le cas de téléchargement ou diffusion.
- Le délai de transit ou latence : C’est le délai de traversée du réseau, d’un bout à l’autre,
par un paquet.
- La disponibilité : ce critère reste important surtout pour les accès aux services service
partagé.
- Le taux de pertes de paquets.
Les KPI sont formulés pour mesurer les performances du réseau en termes d’accessibilité,
d’intégrité, de mobilité, de conservation et de qualité perçue par l’abonnée. Ils peuvent être
définis comme ensemble de résultats qui mesurent les performances durant les heures chargées
ou les heures normales sur le réseau entier
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4.4.1 La hiérarchie des KPI
Ce schema illustre l approche structure descendante des KPIs et montre comment plusieurs
mesures ou metriques de bas niveau peuvent etre consolidees en un KPI de niveau supperieur qui
reflete avec precision l’experience utilisateur. Ce sont les KPI de haut de niveau qui sont ensuite
utilises pour definer des objectifs de performance , ce qui garanti que l’effort est concentre la ou
il aura le maximum d’impact sur l’experience utilisateur, et que le client ou l’operateur tirera
le Meilleur parti des ameliorations.
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4.4.2 KPI Hierarchical Structure
Cette figure donne un exemple spécifique, montrant comment un seul KPI (Session Setup
Success Rate) est créé à partir de plusieurs PI d’ordre inférieur. SSSR est un bon moyen de
mesurer l’expérience utilisateur lorsqu’il s’agit d’établir une session. Les utilisateurs ne seraient
conscients des événements de niveau inférieur que dans la mesure où ils ont un impact sur le
KPI de niveau supérieur. Ainsi, la définition de l’objectif de performance ( Performance Target)
sur le KPI de niveau supérieur (SSSR) donne le meilleur contrôle de l’expérience utilisateur.
Les statistiques de performance pour le niveau inférieur d’PI (Performance Indicator) peuvent
toujours être enregistrées, mais elles seraient utilisées pour des activités d’investigation ou de
dépannage et n’auraient pas d’objectifs associés.
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4.4.3 Example KPI Structure (LTE)
Lorsque cette méthodologie est appliquée à LTE dans son ensemble, elle aboutit à cette
structure de KPI recommandée. Au niveau supérieur, nous avons les catégories QOS de haut
niveau d’accessibilité, de rétention, d’intégrité et de mobilité.
L’intégrité peut être décomposée en KPI de latence, de débit et de performance des paquets.
La mobilité peut être décomposée en Intra-LTE et Inter-RAT.
Sous chacune de ces catégories QOS de haut niveau, nous pouvons définir un certain nombre
de KPI, comme indiqué ici.
- Accessibilité : la capacite d’un service a être obtenu dans des tolérances spécifiées et d’autres
conditions données, lorsqu’il est demande par l’utilisateur.
- Maintenabilité ( Retainability) : l’aptitude d’un service une fois obtenu a continuer a
être fourni dans des conditions donnes pendant une durée demandée.
- Intégrité : la mesure dans laquelle un service une fois obtenu est fourni sans déficiences
excessives.
- Mobilité : Exécution de tous les types de transfert.
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- Disponibilité : la disponibilité des cellules.
La qualité du service dans les réseaux des télécommunications reflète le niveau de la renta-
bilité et la fiabilité d39 ;un réseau et de ses services. La métrique est directement produite par le
vrai trafic des abonnés. Chaque événement qui se produit dans le réseau (initiation/terminaison
d’appel, l’échec de Handover, etc.) est rapporté à l’ingénieur radio. Ainsi les statistiques sont
la manière la plus efficace pour surveiller les performances du réseau. La surveillance du réseau
est un élément principal pour atteindre la meilleure qualité du service. La surveillance de QoS
comporte l’observation, la qualification et l’ajustement permanent de divers paramètres du ré-
seau.
L’objectif de cette partie est de présenter et détailler tous les aspects liés à l’extraction, à la
manipulation et à l’exploitation des statistiques.
Les statistiques dans les réseaux mobiles (se rapporte à un ensemble général de métrique qui)
aide l’opérateur dans trois directions principales :
- D’abord, évaluer les performances du réseau.
- Ensuite, analyser les défauts et vérifier les améliorations.
- En fin, dimensionner l’extension du réseau.
les KPI considérées sont celles dus au déclenchement des compteurs de performances liées
au fonctionnement du réseau lui-même. À titre d’exemple, on peut trouver le taux de réussite
de connexion et le taux de réussite de Handover. Généralement, ces KPI proviennent statisti-
quement des eNodeB
En utilisant les statistiques, deux éléments devraient être distingués :
- Des compteurs purs (indicateurs élémentaires de performance, ou PIs), qui sont des valeurs
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incrémentales des événements, généralement sans pertinence significative si elles sont manipu-
lées individuellement. Ils fournissent des données sur un aspect spécifique (nombre d’appels,
par exemple) mais, pratiquement, il est difficile d’interpréter leurs valeurs.
- Les indicateurs de performance (KPI’s) : qui sont des formules calculées en se basant
sur les PI’s, traduisent mieux l’expérience de l’abonné.
Single site verification (SSV) / MSV cluster Certains KPI doivent être atteints par un
test sur site, tel que les KPI de la latence, attache detache, fast return, CSFB, Ping...etc. Les
résultats de mesure proviennent d’outils de test tels que Probes et Assistant , Teams
Le mécanisme de collection des statistiques est décrit sur la figure ci-dessous. On commence
d’abord par le recueil des statistiques, Les tableaux sont organisés par des catégories pour
permettre de réduire la charge et de télécharger seulement les mesures voulues (le trafic, dis-
ponibilité de ressource,Handover, etc.). Les abonnés mobiles envoient les mesures à l’eNodeB
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lors de la communication, les compteurs purs sont calculés dans des formules prédéfinies. Les
KPIs calculés sont alors groupés dans des rapports génériques qui peuvent être lu sur des outils
qui sont généralement développés pour l’usage interne à savoir pour archiver et visualiser les
statistiques comme le « Business Object » Les statistiques sont quotidiennement rapportées
afin de permettre à l’opérateur de surveiller le réseau d’une manière très réactive.
Compteurs
Un compteur peut être défini comme une valeur incrémentale d’un événement spécifique
répétitif. Dans la norme LTE, un événement peut correspondre à un message de signalisation.
Par exemple lors d’une communication téléphonique des milliers de messages et de signalisations
sont échangés entre le UE et le S-GW MME respectivement. La mise à jour des compteurs à un
certain point se fait via les messages échangés. Ce point est appelé le « point de déclenchement
».Et comme des milliers de messages de signalisation existent, de nombreux compteurs peuvent
également exister. Cependant, le nombre de compteurs utilisables dépend de la stratégie des
fournisseurs des équipements.
Formule de calcule
Une formule signifie une combinaison mathématique des compteurs qui a comme consé-
quence un indicateur significatif. Définir une formule en utilisant plusieurs PIs aide pour iden-
tifier un KPI. Comme susdit ; le KPI donne plus de flexibilité et de clarté à l’opérateur dans
l’interprétation du comportement du réseau. Les formules, une fois choisies, devraient rester
sans changement afin d’observer l’évolution des performances du réseau dans le temps. Ainsi,
on distingue principalement classes de mesure des KPIs : Accessibilité, Retenabilité, Mobilité,
Latence et Intégrité. Le tableau ci-après résume les spécificités de chaque KPI.
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Accessibilite : c’est la capacité de joindre le réseau et l’opérateur doit surveiller le taux de
succès d’établissement d’appel, la probabilité de blocage . . .etc. Elle se calcule dans le réseau
sur deux étapes : RRC et E-RAB, et par rapport à différents services.
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L’accessibilité RRC : se calcule par le taux de succès d’établissement de connexions des
ressources de contrôle radio RRC qui est définie par rapport à deux type de service CS (Circuit
Switch) et PS (paquet switch). (Le protocole RRC a pour but est de transférer les informations
de signalisation entre l’UE et la station de base) : diffusion des information du system ex : info
pour les deux etats Idle et Connected , control la connexion RRC , control tout le HO
L’accessibilité E-RAB : se calcule par le taux de succès d’établissement de E-RAB (pour
chaque E-RAB CS et PS et pour chaque débit de données UL et DL).
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Chapitre 5
Canclusion
Le stage que nous avons effectué chez Ericsson Algérie, nous a permit de nous initier au
monde du travail et acquérir une certaine experience dans le domaine de la télécommunication.
nous avons vue les notion principale de la télécomunication on suite Nous avons étudié la
technologie GSM et UMTS et LTE en présentant leurs différentes architectures, puis on a fait
une introduction sur les KPI .
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Bibliographie
[2] B., BENMAMMAR, AND A., AMRAOUI. Allocation des ressources radio et accés dyna-
mique au spectre.
[5] GSM Network Architecture : GSM System Architecture » Electronics Notes (electronics-
notes.com)
31