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11 Novembre 1916,

Mon très cher Jimmy,

Lorsque je suis arrivé au front, il y avait, devant moi, une énorme plaine. Les plaines qui étaient toutes verte
sont maintenant marron, pleine de terre. Les arbres avec du feuillage, n’ont désormais plus de feuilles. Les fleurs, qui
était présentent, n’existent plus, de immenses tas de terre sont présent sur toute l’ancienne plaine.

Depuis le début de la guerre, les conditions inhumaines ne cessent de s’aggraver. Les soldats dans les
tranchées sont couverts de boues, les rats qui sont morts dégagent une odeur épouvantable. Les éclats d’obus, qui
explosent, projettent de la terre. Heureusement, il y a un soldat pour nous redonner le sourire.

Il y a chaque jour des soldats qui partent à l’assaut, mais ils reviennent malheureusement morts ou blessés.
Dans les tranchées, il y a beaucoup de soldats qui sont blessés à la tête et d’autre aux jambes, ou encore au bras.
Quelques soldats fatigués pouvaient allés se reposer, les soldats, qui sont blessés, vont à l’infirmerie. Les soldats
avec un plâtre, peuvent aller se reposer. Les hommes qui partent à l’assaut reviennent blessés de la tête aux pieds.

Tous les hommes, qui ont peurs de mourir, ne cessent de paniquer. Les soldats traumatisés, ont également
peur de perdre leur famille. Les poilus qui pleurent devant les cadavres de leurs copains veulent mourir. Les soldats
avec une famille veulent la retrouver au plus vites. Les soldats, qui sont touchés à la tête, deviennent un peu fous.

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