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Léonidas Ier de Sparte 71 langues

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Début « Léonidas » redirige ici. Pour les autres significations, voir Léonidas (homonymie).
Biographie er
Afficher / masquer la sous-section Biographie Léonidas I (en grec ancien : Λεωνίδας / Leônidas), né
Accès au pouvoir vers 540 et mort en 480 av. J.-C., est le roi agiade de Leonidas Ier
Léonidas et la bataille des Sparte de 489 à 480. Il est resté célèbre pour son
Thermopyles opposition héroïque face aux Perses lors de la bataille des
Postérité Thermopyles, durant laquelle il trouve la mort.
Afficher / masquer la sous-section Postérité
Sources, notes et
références Biographie [ modifier | modifier le code ]
Voir aussi
Afficher / masquer la sous-section Voir aussi Accès au pouvoir [ modifier | modifier le code ]
Bibliographie
Membre de la famille des Agiades, Léonidas est le
Musique
troisième fils du roi Anaxandridas II ; ses frères sont
Bandes dessinées et
Dorieus, son aîné, et Cléombrote, son cadet. Cléomène
mangas
Ier, le plus âgé, est quant à lui son demi-frère. Il épouse
Liens externes
d'ailleurs la fille de ce dernier, Gorgô, avec laquelle il a un
fils, son successeur, le roi Pleistarchos. Le règne de
Léonidas débute avec le suicide de Cléomène.

Léonidas et la bataille des


Thermopyles [ modifier | modifier le code ]
Hoplite casqué dit « Léonidas », début du
e
Article détaillé : Bataille des Thermopyles. V  siècle av. J.-C., Musée archéologique de
Sparte.
Dans les années 490 av. J.-C., le roi achéménide Darius
Ier prépare une invasion de la Grèce continentale. Se Titre Roi de Sparte
(489-480 av. J.-C.)
trouve alors à sa cour le roi spartiate en exil Démarate.
Prédécesseur Cléomène Ier
Selon Hérodote, ce dernier prévient ses concitoyens d'une
1 Successeur Pleistarchos
attaque imminente par un message secret , ce qui pousse
2 Biographie
Sparte à demander conseil à l'oracle de Delphes .
Conformément à la tradition, Apollon fournit une réponse Dynastie Agiades

ambiguë : Nom de naissance Λεωνίδας - Leônidas


Naissance vers 540 av. J.-C.
Sparte
« Pour vous, citoyens de la vaste Décès 480 av. J.-C.
Sparte, Thermopyles
Votre grande cité glorieuse ou bien Père Anaxandridas II
sous les coups des Perséides Conjoint Gorgô
Tombe, ou bien elle demeure ; Enfants Pleistarchos
mais sur la race d'Héraclès, modifier  

Sur un roi défunt alors pleurera la


terre de Lacédémon
Son ennemi, la force des taureaux
ne l'arrêtera pas ni celle des lions,
Quand il viendra : sa force est
celle de Zeus.
Non, je te le dis,
II ne s'arrêtera pas avant d'avoir
reçu sa proie, ou l'une ou
3
l'autre » .

En d'autres termes, ou bien Sparte perdra son roi pendant la bataille, ou bien elle sera conquise. Aucun roi
4
spartiate n'étant jamais mort à la guerre, le message est très décourageant pour la cité . Sparte décide
alors d'envoyer deux hérauts choisis parmi l'aristocratie pour se rendre auprès de Xerxès qui a succédé à
Darius. Selon Hérodote, il s'agit d'apaiser la « colère de Talthybios », héraut légendaire de l’Iliade, qui s'abat
5
sur Sparte après que la cité a mis à mort le héraut envoyé par Darius en 492 av. J.-C. . Plus
6
prosaïquement, il s'agit probablement de rechercher une issue diplomatique plutôt que militaire à la crise .
Xerxès refuse tout compromis et ne prend même pas la peine de réclamer la terre et l'eau, symboles de la
suzeraineté achéménide.

À l'automne 481, ce que l'historiographie appelle la Ligue hellénique se réunit sur l'isthme de Corinthe et
7
choisit Sparte à sa tête . Elle décide l'envoi d'une force armée sous le commandement de Léonidas pour
défendre le défilé des Thermopyles, afin de retenir les Perses et laisser à la flotte grecque le temps de se
replier au-delà du détroit que forme l'Eubée avec le continent. Selon Hérodote, les forces grecques
envoyées aux Thermopyles représentent en tout 6 000 soldats : 300 hoplites spartiates, 1 000 Tégéates et
Mantinéens, 600 Orchoméniens, 400 Corinthiens, 200 Phliontiens, 80 Mycéniens, 700 Thespiens et
8
400 Thébains loyalistes . Face à eux se trouveraient 1,7 million de Perses. Ce chiffre est reconnu comme
9
fantaisiste , d'autant qu'Hérodote se trompe dans son calcul des Péloponnésiens présents, mentionnant
10
3 100 hommes alors qu'il cite ailleurs une inscription faisant état de 4 000 soldats . Le même chiffre
11
réapparaît encore ailleurs comme le nombre de morts des Thermopyles . Pour ce qui est des Grecs,
12
d'autres sources montrent que le contingent lacédémonien comprend également 900 ou 1 000 Périèques ,
13
sans oublier les Hilotes qui servent de valets d'armes . S'agissant des Perses, on a supposé qu'Hérodote
confondait les termes « chiliarchie » (10 000) et « myiarchie » (1 000), évaluant ainsi les forces comme étant
dix fois plus importantes qu'elles ne l'étaient. Dès lors, les forces perses présentes à la bataille des
14
Thermopyles seraient plutôt de 210 000 hommes et 75 000 animaux .

Quoi qu'il en soit, le rapport de force numérique est clairement en faveur des Perses. Selon les Spartiates, il
15
s'agit d'une simple avant-garde , le reste des troupes devant arriver dès la fin de la fête des Karneia et des
16
Jeux olympiques . Pour Léonidas, il s'agit clairement d'une mission kamikaze : il ne choisit parmi les
300 hoplites qui constituent sa garde personnelle que des citoyens ayant déjà donné naissance à des fils.
Par conséquent, il ne s'agit pas seulement d’Hippeis, corps d'élite composé parmi les dix premières classes
17
d'âges mobilisables, mais d'un mélange d’Hippeis et de soldats ordinaires .

Après avoir pris position aux Thermopyles, les Grecs repoussent victorieusement plusieurs attaques
18
perses : situés à l'endroit le plus resserré du défilé, ils se battent en rangs très serrés et sont bien
19
protégés par leurs grands boucliers . Après quelques jours, les Grecs sont trahis par un certain Éphialtès :
Léonidas se retrouve encerclé par les troupes du satrape Hydarnès. Hérodote rapporte que pour certains,
les Grecs ne parviennent à se mettre d'accord sur l'attitude à prendre : certains abandonnent leur poste
20
pour rentrer dans leur cité respective, alors que Léonidas décide de rester . Selon Hérodote, Léonidas
renvoie la majorité de ses troupes pour épargner leur vie, mais juge inapproprié pour un Spartiate
2
d'abandonner sa position ; l'oracle rendu par la Pythie ne fait que renforcer sa détermination . Il garde
auprès de lui les Lacédémoniens, les Thébains et les Thespiens volontaires.

La description de la fin de la bataille varie suivant la source. Chez Hérodote, Léonidas et ses hommes se
21
portent à l'endroit le plus large du défilé et combattent jusqu'au dernier . Diodore de Sicile et Justin
abrégeant Trogue Pompée mentionnent une attaque nocturne contre le camp perse : les Grecs, semant le
désordre dans les troupes ennemies, en massacrent un grand nombre avant de tomber, encerclés, sous les
22
flèches et les javelines perses — récit très probablement fantaisiste, le camp de Xerxès étant éloigné de
23
celui des Grecs de près de 8 kilomètres .

Plus tard, la dépouille de Léonidas est transférée à Sparte où un magnifique mausolée lui est consacré
24
tandis que des fêtes, appelées Léonidées, sont instituées. Il fait également l'objet d'un culte héroïque .

Postérité [ modifier | modifier le code ]

Avec Othryadès, héros de la bataille des Champions,


Léonidas est l'un des Spartiates les plus cités par les
Anciens, notamment par les épigrammatistes de
25
l’Anthologie grecque . Aux débuts de l'ère chrétienne,
Origène compare son sacrifice et celui de Socrate à la
26
mort du Christ .

À l'époque moderne, Léonidas reste une figure


héroïque, glorifiée pour son combat pour la liberté.
Fénelon en fait le monarque parfait dans ses
Dialogues des morts. Il inspire à Jacques-Louis David,
en 1814, son tableau Léonidas aux Thermopyles. Le Léonidas aux Thermopyles par Jacques-Louis
peintre écrit : « Je veux peindre un général et ses David, 1814, musée du Louvre.
soldats se préparant au combat comme de véritables
Lacédémoniens, sachant bien qu'ils ne s'échapperont
pas. […] Je veux caractériser ce sentiment profond, grand et
27
religieux qu'inspire l'amour de la patrie  ».

Quelques années plus tard, Léonidas devient l'emblème du


philhellénisme. Ainsi, le siège de Missolonghi, pendant la guerre
d'indépendance grecque, est comparé à une nouvelle bataille des
Thermopyles. En 1826, le journal français Le Constitutionnel clame
28
que « tous sont morts comme Léonidas  » tandis que le Journal
des débats souligne que « les Hellènes sont les dignes Monument en hommage à Léonidas
29 aux Thermopyles.
descendants de Léonidas  ».

Au début de 1943, la propagande allemande ayant comparé à


Léonidas le maréchal Paulus assiégé à Stalingrad, Marie-Joseph Bopp écrit dans son journal : « Léonidas
30
n'est pas mort à Stalingrad. Il a simplement hissé un drapeau blanc et a capitulé  ».

En 1955, une statue en bronze de Léonidas est érigée aux Thermopyles. Un signe, sous la statue, se lit
simplement : Μολὼν λαβέ (« Viens (les) prendre »), ce qui fut la réponse laconique de Léonidas lorsque
Xerxès proposa d'épargner la vie des Spartiates s'ils abandonnaient leurs armes. Une autre statue,
également avec l'inscription Μολὼν λαβέ, est érigée à Sparte en 1968.

En 1962 au cinéma, Léonidas apparaît notamment dans La Bataille des Thermopyles de Rudolph Maté, film
dans lequel il est incarné par Richard Egan. En 2007, puis en 2014, le personnage est mis en scène dans
300 de Zack Snyder, fondé sur la bande dessinée du même nom de Frank Miller, et sa suite 300 : La
Naissance d'un empire, films dans lesquels il est incarné par Gerard Butler.

Sorti le 5 octobre 2018 dans un jeu d'action-RPG développé par Ubisoft Montréal, Léonidas apparaît dans
Assassin's Creed Odyssey. Une séquence jouable en début de jeu lui est consacrée, durant la bataille des
Thermopyles. Le personnage principal du jeu est le petit-fils ou la petite fille de Léonidas.

En 2018, d'après une analyse sur la toponymie des rues de la ville de Paris publiée par le quotidien Le
Figaro. Il apparaît que la « rue Léonidas » située dans le quartier de Plaisance (14e) est dédiée au
31
personnage le plus ancien de la capitale, pour être né en 540 av. J.-C. .

En 2019, Léonidas apparaît dans Fate/Grand Order Absolute Demonic Front: Babylonia comme personnage
secondaire en tant que l'un des servants invoqués par Gilgamesh.

Sources, notes et références [ modifier | modifier le code ]

Sources antiques

Hérodote, Histoires [détail des éditions] [lire en ligne  [archive]], VII, 204–224.
Plutarque, Vies parallèles [détail des éditions] [lire en ligne  [archive]], Lycurgue, XIV, 8 ; XX, 1 ; Thémistocle,
IX, 1 ; Pélopidas, XXI, 3 ; Agis, XIV, 5 ; Cléomène, II, 4 ; Artaxerxès, XXII, 3.
Références
1. ↑ Hérodote, Histoires [détail des éditions] [lire en ligne  [archive]], VII, 239. Le passage est parfois considéré
interpolé.
2. ↑ a et b Hérodote, VII, 220.
3. ↑ Voir aussi Justin, Abrégé des Histoires philippiques de Trogue Pompée [détail des éditions] [lire en ligne  [archive]],
II, 11, 8.
4. ↑ Cartledge, p. 173.
5. ↑ Hérodote, VII, 134.
6. ↑ Cartledge, p. 174.
7. ↑ Hérodote, VII, 205, 3.
8. ↑ Hérodote, VII, 102.
9. ↑ Cartledge, p. 175.
10. ↑ Hérodote, VII, 228.
11. ↑ Hérodote, VIII, 25, 2.
12. ↑ Diodore de Sicile, Bibliothèque historique [détail des éditions] [lire en ligne  [archive]], XI, IV, 2 et Isocrate, IV, 90.
13. ↑ Cartledge, p. 177.
14. ↑ (en) F. Maurice, « The size of the army of Xerxes in the invasion of Greece 480 B.C. », Journal of Hellenic Studies
no 50 (1930), p. 210–235.
15. ↑ Hérodote, VII, 203.
16. ↑ Hérodote, VII, 206.
17. ↑ Cartledge, p. 176.
18. ↑ Hérodote, VII, 223 ; Diodore, XI, 7, 2 et 8, 2.
19. ↑ Diodore, XI, 7, 3.
20. ↑ Hérodote, VII, 219.
21. ↑ Hérodote, VII, 223.
22. ↑ Diodore, XI, 9, 2-10, 4 et Justin, II, 11, 11-19.
23. ↑ (de) N.G.L. Hammond, « Sparta at Thermopylae », Historia: Zeitschrift für Alte Geschichte, vol. 45, no 1 (1er
trimestre 1996), p. 8.
24. ↑ Pausanias, Description de la Grèce [détail des éditions] [lire en ligne  [archive]], III, 14, 1 ; IG 5.1, 18, 19 et 658.
25. ↑ (en) E. Rawson, The Spartan Tradition in the European Thought, Clarendon Press, 1969, no 1, p. 88-89.
26. ↑ Contre Celse, VIII, 6, 747 et 35, 768 ; II, 17, 404.
27. ↑ Cité par Rawson, p. 291.
28. ↑ Le Constitutionnel, 15-16 mai 1826.
29. ↑ Journal des débats, 17 mai 1826.
30. ↑ Marie-Joseph Bopp, Ma ville à l'heure nazie : Colmar, 1940-1945, La Nuée bleue, 2004 — 1er février 1943.
31. ↑ William Plummer, « Ce que révèlent les noms des rues de Paris »  [archive], sur Le Figaro, 27 juillet 2018
(consulté le 2 décembre 2022).

Voir aussi [ modifier | modifier le code ]

Bibliographie [ modifier | modifier le code ]

(en) Paul Cartledge, Sparta and Lakonia. A Regional History 1300 to 362 BC, New York, Routledge,
2002 (1re édition 1979) (ISBN 0-415-26276-3).
(en) D. M. Lewis, Sparta and Persia, Brill, Leyde, 1977 (ASIN 9004054278).
O. Picard, Les Grecs devant la menace perse, SEDES, coll. « Histoire », 1995 (ISBN 2-7181-9232-1).
Jacqueline Christien et Yohann Le Tallec, Léonidas. Histoire et mémoire d'un sacrifice, Ellipses, 2013,
(ISBN 9782729876548), [PDF] [lire un extrait  [archive]].

Musique [ modifier | modifier le code ]

Peplum par Médine (2008).


Sparta de Sabaton (2016).
Leonidas de Belik Boom (2016) — « Biographie de Belik Boom »  [archive], sur Last.fm (consulté le
27 décembre 2021).

Bandes dessinées et mangas [ modifier | modifier le code ]

Dans le manga Valkyrie Apocalypse (Record of ragnarok, 2017), scénarisé par Fukui Takumi et
Umemura Shinya et dessiné par Ajichika, il fait partie des combattants pour l'humanité.
Cf. « Valkyrie Apocalypse »  [archive], sur nautiljon.com (consulté le 13 juillet 2022) et (en)
« Shuumatsu no Walküre »  [archive], sur MyAnimeList.net (consulté le 13 juillet 2022).

Liens externes [ modifier | modifier le code ]

Ressources relatives aux beaux-arts  :


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« La bataille des Thermopyles »  [archive] [« Rudolf Maté, Three Hundred Spartans, 1961 »], sur
peplums.info  [archive], 25 mars 2015 (consulté le 2 décembre 2022).
« Léonidas aux Thermopyles : Hérodote, VII, 219-220 »  [archive], sur cliohist.net, 15 décembre 1998
(consulté le 2 décembre 2022).
(en) John Trikeriotis, « The 300 Spartans at the Battle of Thermopylae » , sur 300spartanwarriors.com,
9 mai 2006 (version du 3 mars 2016 sur l'Internet Archive) (consulté le 2 décembre 2022).

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