Vous êtes sur la page 1sur 2

Les nombres complexes Le module d’un nombre complexe La forme trigonométrique de 𝒁 est :

L’ensemble ℂ • Soit 𝒁 = 𝒙 + 𝒊𝒚 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝒙, 𝒚 ∈ ℝ 𝒁 = 𝒓(𝒄𝒐𝒔(𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽)) = [𝒓; 𝜽]


Le module de 𝒁 est le nombre réel : 𝒔𝒊𝒏(𝜽)
• Il existe un nombre imaginaire noté
𝒊 et viréfié : 𝒊2 = −𝟏 . |𝒁| = √𝒙2 + 𝒚2 .
𝝅−𝜽 𝜽
• L’ensemble des nombres complexes • |𝒁 × 𝒁′ | = |𝒁| × |𝒁′ | 𝒄𝒐𝒔(𝜽)

le milieu de [𝑨𝑩] • ̅ | = |−𝒁|


|𝒁| = |𝒁 𝝅 + 𝜽 −𝜽
est noté ℂ .
L’affixe du point 𝑰 le milieu de [𝑨𝑩] est : • 𝒁 |𝒁|
• Tout nombre complexe s’écrite sous | ′ | = |𝒁′ | ; 𝒁′ ≠ 𝟎
𝒁
𝒁 +𝒁
la forme : 𝒁 = 𝒙 + 𝒊𝒚 𝑎𝑣𝑒𝑐 𝒙, 𝒚 ∈ ℝ 𝒁𝑰 = 𝑨 𝑩 •
𝟏 𝟏
| | = |𝒁| ; 𝒁 ≠ 𝟎
(𝒍′ é𝒄𝒓𝒊𝒕𝒖𝒓𝒆 𝒂𝒍𝒈é𝒃𝒓𝒊𝒒𝒖𝒆 𝒅𝒆 𝒁) 𝟐 𝒁
• 𝒙 est appelé la partie réel de 𝒁 et Points alignés: • |𝒁𝒏 | = |𝒁|𝒏 (𝒏 ∈ ℕ∗ )
noté : 𝑹𝒆(𝒁) = 𝒙 . 𝑨(𝒛𝑨 ), 𝑩(𝒛𝑩 )𝒆𝒕 𝑪(𝒛𝑪 ) trois points Exemples :
• 𝒚 est appelé la partie imaginaire de 𝒁𝑨 −𝒁𝑩 La distance 𝑨𝑩 : • 𝒁 = 𝟐 ⇔ 𝒂𝒓𝒈(𝒁) ≡ 𝟎[𝟐𝝅] .
alignés si : ∈ ℝ (𝒁𝑨 ≠ 𝒁𝑪 ) • 𝒁 = −𝟒 ⇔ 𝒂𝒓𝒈(𝒁) ≡ 𝝅[𝟐𝝅] .
de 𝒁 et noté : 𝑰𝒎(𝒁) = 𝒚 . 𝒁𝑨 −𝒁𝑪 𝑨𝑩 = |𝒁𝑩 − 𝒁𝑨 | 𝝅
• 𝑰𝒎(𝒁) = 𝟎 ⇔ 𝒁 ∈ ℝ . • 𝒁 = 𝒊 ⇔ 𝒂𝒓𝒈(𝒁 = 𝒊) ≡ 𝟐 [𝟐𝝅] .
Points cocycliques : L’argument d’un nombre complexe −𝝅
• 𝑺𝒊 𝑹𝒆(𝒁) = 𝟎 𝒆𝒕 𝑰𝒎(𝒁) ≠ 𝟎 alors 𝒁 • 𝒁 = −𝟐𝒊 ⇔ 𝒂𝒓𝒈(𝒁) ≡ [𝟐𝝅] .
𝑨(𝒛𝑨 ), 𝑩(𝒛𝑩 ), 𝑪(𝒛𝑪 ) 𝒆𝒕 𝑫(𝒛𝑫 ) quatre L’argument de 𝒁 est tout mesure en 𝟐
est un imaginaire pour C-à-d 𝒁 ∈ 𝒊ℝ Propriété de l’argument :
points alignés si : ̅̅̅̅̅̅̅̅̅
• Les opérations sur l’ensemble ℝ ⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
radians de l’angle orienté (𝑼 𝑶𝑴 )
𝒁𝑫 −𝒁𝑨 𝒁𝑩 −𝒁𝑪
Soit 𝒁 et 𝒁′ deux nombres complexes .
reste valable pour l’ensemble ℂ . 𝒁𝑩 −𝒁𝑨
×
𝒁𝑫 −𝒁𝑪
∈ℝ (𝒁𝑨 ≠ 𝒁𝑩 𝒆𝒕 𝒁𝑫 ≠ 𝒁𝑪 ) (𝑴 𝒆𝒔𝒕 𝒍′ 𝒊𝒎𝒂𝒈𝒆 𝒅𝒆 𝒁 ) et noté 𝒂𝒓𝒈(𝒁)
• 𝒂𝒓𝒈(𝒁 × 𝒁′ ) ≡ 𝒂𝒓𝒈(𝒁) + 𝒂𝒓𝒈(𝒁′ )[𝟐𝝅]
L’égalité de deux nombres complexes
𝒂𝒓𝒈(𝒁) ≡ 𝜽[𝟐𝝅]
𝑹𝒆(𝒁) = 𝑹𝒆(𝒁′ ) Le conjugué d’un nombre complexe 𝑴(𝒁) •
𝒁
𝒂𝒓𝒈 (𝒁′ ) ≡ 𝒂𝒓𝒈(𝒁) − 𝒂𝒓𝒈(𝒁)[𝟐𝝅]
• 𝒁 = 𝒁′ ⇔ { • Soit 𝒁 = 𝒙 + 𝒊𝒚 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝒙, 𝒚 ∈ ℝ
𝑰𝒎(𝒁) = 𝑰𝒎(𝒁′ )
Le conjugué de 𝒁 est le nombre ⃗
𝑽 𝜽 𝟏
La représentation géométrique d’un • 𝒂𝒓𝒈 ( ) ≡ −𝒂𝒓𝒈(𝒁)[𝟐𝝅]
complexe : 𝒁̅ = 𝒙 − 𝒊𝒚 . 𝒐 ⃗𝑼⃗ 𝒁
nombre complexe .
• ̅̅̅̅̅̅̅̅
𝒁 + 𝒁′ = 𝒁 ̅ + 𝒁̅′
Le plan est rapporté au repère Cas particulier : • 𝒂𝒓𝒈(𝒁𝒏 ) ≡ 𝒏 𝒂𝒓𝒈(𝒁)[𝟐𝝅] (𝒏 ∈ ℕ∗ )
• ̅̅̅̅̅̅̅̅
𝒁 × 𝒁′ = 𝒁̅ × 𝒁̅′
• 𝒁 ∈ ℝ∗ + ⇔ 𝒂𝒓𝒈(𝒁) ≡ 𝟎[𝟐𝝅] .
orthonormé (𝑶; ⃗𝑼⃗ ; ⃗𝑽
⃗)
• ̅̅̅̅ = 𝒁
𝒁 𝒏 ̅ (𝒏 ∈ ℕ∗ )
𝒏
• 𝒁 ∈ ℝ∗ − ⇔ 𝒂𝒓𝒈(𝒁) ≡ 𝝅[𝟐𝝅] . • ̅ ) ≡ −𝒂𝒓𝒈(𝒁)[𝟐𝝅]
𝒂𝒓𝒈(𝒁
Soit 𝒁 = 𝒙 + 𝒊𝒚 𝒂𝒗𝒆𝒄 𝒙, 𝒚 ∈ ℝ . ̅̅̅̅̅
𝒁 ̅
𝒁
• ( ′ ) = ̅̅̅′
𝝅
, 𝒁′ ≠ 𝟎 • 𝒁 ∈ 𝒊ℝ∗ + ⇔ 𝒂𝒓𝒈(𝒁) ≡ 𝟐 [𝟐𝝅] .
• 𝒂𝒓𝒈(−𝒁) ≡ 𝝅 + 𝒂𝒓𝒈(𝒁)[𝟐𝝅]
• Le point 𝑴(𝒙; 𝒚) est appelé l’image 𝒁 𝒁
−𝝅
̅̅̅̅̅
𝟏 𝟏 • 𝒁 ∈ 𝒊ℝ∗ − ⇔ 𝒂𝒓𝒈(𝒁) ≡ [𝟐𝝅] .
de 𝒁 et noté : 𝑴(𝒁) . • ( )=̅ ,𝒁 ≠ 𝟎 𝟐 Formule de Moivre :
𝒁 𝒁
• Le nombre 𝒁 est appelé l’affixe de 𝑴 La forme trigonométrique d’un Soit 𝒁 un nombre complexe non nul
• 𝒁 un nombre réel ⇔ 𝒁̅ =𝒁.
et noté : 𝒂𝒇𝒇(𝑴) = 𝒁 . nombre complexe tel que : 𝒁 = |𝒁|(𝒄𝒐𝒔(𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝜽))
• ̅ = −𝒁 .
𝒁 un imaginaire pur ⇔ 𝒁
• Le nombre 𝒁 est appelé aussi l’affixe alors pour tout 𝒏 ∈ ℕ∗ on a :
• 𝒁+𝒁 ̅ = 𝟐𝑹𝒆(𝒁) Soit 𝒁 un nombre complexe non nul .
de ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑶𝑴 et noté : 𝒂𝒇𝒇(𝑶𝑴 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ) = 𝒁 .
• 𝒁−𝒁 ̅ = 𝟐𝒊𝑰𝒎(𝒁) 𝒂𝒓𝒈(𝒁) ≡ 𝜽[𝟐𝝅] et |𝒁| = 𝒓 . 𝒁𝒏 = |𝒁|𝒏 (𝒄𝒐𝒔(𝒏𝜽) + 𝒊𝒔𝒊𝒏(𝒏𝜽))
• 𝒂𝒇𝒇(𝑨𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ) = 𝒁⃗⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝒁𝑩 − 𝒁𝑨
𝑨𝑩 • 𝒁𝒁̅ = 𝒙2 + 𝒚2
Prof Monsif Benabdesalam Prof Monsif Benabdesalam
Propriétés de la forme Trigo • 𝑨𝑩𝑪 triangle rectangle en 𝑨 si : 𝒆𝒊𝜽 +𝒆−𝒊𝜽 L’ensemble des points 𝑴(𝒁)
❖ 𝒄𝒐𝒔(𝜽) =
𝟐
Soient 𝒁 𝒆𝒕 𝒁′ deux nombres complexes ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗ ) ≡ ± 𝝅 [𝟐𝝅]
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; 𝑨𝑪
(𝑨𝑩 Soient 𝑨(𝒁𝑨 ) , 𝑩(𝒁𝑩 ) et 𝑴(𝒁) trois
𝒆𝒊𝜽 −𝒆−𝒊𝜽
tels que : 𝒁 = [𝒓; 𝜽] et 𝒁′ = [𝒓′ ; 𝜽′ ] 𝟐
❖ 𝒔𝒊𝒏(𝜽) = points et 𝒓 > 𝟎
𝟐𝒊
𝒁𝑪 −𝒁𝑨 𝝅
• 𝒁𝒁 = ′ [𝒓𝒓′ ;𝜽 +𝜽 ′] C-à-d = [𝒓; ± ] Formule d’angle moitié L’ensemble des points 𝑴(𝒛) qui
𝒁𝑩 −𝒁𝑨 𝟐
• 𝑨𝑩𝑪 triangle rectangle et isocèle en 𝒊(𝜶+𝜷) 𝒊(𝜶−𝜷) −𝒊(𝜶−𝜷) vérifient :
𝒁 𝒓 𝒊𝜶 𝒊𝜷
• ′
= [𝒓′ ; 𝜽 − 𝜽 ] avec 𝒁 ≠ 𝟎 ′
𝑨 si : 𝒆 + 𝒆 = 𝒆 𝟐 (𝒆 𝟐 + 𝒆 𝟐 )
𝒁′ ❖ |𝒁 − 𝒁𝑨 | = 𝒓 ⟺ 𝑨𝑴 = 𝒓
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗ 𝝅
𝑨𝑪 = 𝑨𝑩 et (𝑨𝑩 𝑨𝑪 ) ≡ ± [𝟐𝝅] Est le cercle (𝓒) de centre 𝑨 et
𝟐

𝟏 𝟏
= [𝒓 ; −𝜽] avec 𝒁 ≠ 𝟎 𝒁𝑪 −𝒁𝑨 𝝅
Ecriture complexe des de rayon 𝒓 .
𝒁 C-à-d = [𝟏; ± ] transformation géométrique
𝒁𝑩 −𝒁𝑨 𝟐
𝑨≠𝑩
• 𝒁𝒏 = [𝒓𝒏 ; 𝒏𝜽] , 𝒏 ∈ ℕ∗ (𝑴𝒐𝒊𝒗𝒓𝒆) Résolution d’équation : 𝒂 ≠ 𝟎 ❖ |𝒁 − 𝒁𝑨 | = |𝒁 − 𝒁𝑩 | ⟺ 𝑨𝑴 = 𝑩𝑴
❖ La translation 𝑻(𝒖
⃗)
Est la médiatrice du segment
𝒂𝒛2 + 𝒃𝒛 + 𝒄 = 𝟎 , 𝒂, 𝒃, 𝒄 ∈ ℝ L’écriture complexe de la translation [𝑨𝑩]
• ̅ = [𝒓; −𝜽]
𝒁
On calcule : 𝚫 = 𝒃2 − 𝟒𝒂𝒄 𝑻 de vecteur 𝒖⃗ (𝒛𝒖⃗ ) qui transforme
𝒁−𝒁𝑨
le point 𝑴(𝒛) au point 𝑴′ (𝒛′ ) est : ❖ ∈ℝ
• −𝒁 = [𝒓; 𝝅 + 𝜽] −𝒃+√𝚫 𝒁−𝒁𝑩
𝒁𝟏 =
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
𝑪𝑫 ) ❖ 𝚫 > 𝟎 alors : {
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Mesure de l’angle orienté(𝑨𝑩
𝟐𝒂 𝑻𝒖⃗ (𝑴) = 𝑴′ ⟺ 𝒁′ = 𝒁 + 𝒁𝒖⃗ Est la droite (𝑨𝑩) privée du
−𝒃−√𝚫
𝒁𝟐 = point 𝑩 .
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(𝑨𝑩 𝑪𝑫 ) ≡ 𝒂𝒓𝒈 (
𝒁𝑫 − 𝒁𝑪
) [𝟐𝝅] 𝒃
𝟐𝒂 ❖ La Rotation 𝑹(𝛀(𝝎); 𝜽)
𝒁𝑩 − 𝒁𝑨 ❖ 𝚫 = 𝟎 alors : 𝒁 = − 𝟐𝒂
L’écriture complexe de la rotation 𝑹 𝒁−𝒁𝑨
−𝒃+𝒊√−𝚫 ❖ ∈ 𝒊ℝ
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅ 𝒁 − 𝒁𝑨 𝒁𝟏 = 𝟐𝒂 de centre 𝛀(𝝎) et d’angle 𝜽 et qui 𝒁−𝒁𝑩
(𝑨𝑩 ⃗⃗⃗⃗⃗ ) ≡ 𝒂𝒓𝒈 ( 𝑪
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; 𝑨𝑪 ) [𝟐𝝅]
𝒁𝑩 − 𝒁𝑨 ❖ 𝚫 < 𝟎 alors : { Est le cercle (𝓒) de diamètre
𝑨≠𝑩
−𝒃−𝒊√−𝚫
𝒁𝟐 = 𝟐𝒂 = ̅𝒁̅̅𝟏̅ transforme le point 𝑴(𝒛) au point
𝑴′ (𝒛′ ) est : [𝑨𝑩] privée du point 𝑩 .
Nature du triangle 𝑨𝑩𝑪 La forme exponentielle d’un 𝑹(𝑴) = 𝑴′ ⟺ 𝒁′ − 𝝎 = 𝒆𝒊𝜽 (𝒁 − 𝝎)
• 𝑨𝑩𝑪 triangle isocèle en 𝑨 si : nombre complexe
Remarque :
𝒁𝑪 −𝒁𝑨 Soit 𝒁 un nombre complexe non nul .
𝑨𝑪 = 𝑨𝑩 C-à-d = [𝟏; 𝜽] 𝒂𝒓𝒈(𝒁) ≡ 𝜽[𝟐𝝅] et |𝒁| = 𝒓 . 𝛀𝐌 = 𝛀𝐌 ′
𝒁𝑩 −𝒁𝑨
Si ′
𝑹(𝑴) = 𝑴 ⟺ { ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗′ ) ≡ 𝜽[𝟐𝝅]
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; 𝛀𝑴
(𝛀𝐌
La forme exponentielle de 𝒁 est :
• 𝑨𝑩𝑪 triangle équilatéral si :
❖ 𝑨𝑪 = 𝑨𝑩 = 𝑩𝑪 𝒁 = 𝒓𝒆𝒊𝜽 ❖ L’homothétie 𝒉(𝛀(𝝎); 𝒌)
L’écriture complexe de l’homothétie
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
❖ 𝑨𝑪 = 𝑨𝑩 et (𝑨𝑩
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ; ⃗⃗⃗⃗⃗
𝝅
𝑨𝑪 ) ≡ ± [𝟐𝝅] Les formules d’Euler
𝟑 𝒉 de centre 𝛀(𝝎) et de rapport 𝒌 et
Soit 𝒁 un nombre complexe non nul. qui transforme le point 𝑴(𝒛) au point
𝒁𝑪 −𝒁𝑨 𝝅
𝑴′ (𝒛′ ) est :
C-à-d = [𝟏; ± ] 𝒂𝒓𝒈(𝒁) ≡ 𝜽[𝟐𝝅] et |𝒁| = 𝟏 .
𝒁𝑩 −𝒁𝑨 𝟑

Prof Monsif Benabdesalam 𝑨≠𝑩 Prof Monsif Benabdesalam 𝒉(𝑴) = 𝑴′ ⟺ 𝒁′ − 𝝎 = 𝒌(𝒁 − 𝝎) Prof Monsif Benabdesalam

Vous aimerez peut-être aussi