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2bacs. Latrach Abdelkbir
2bacs. Latrach Abdelkbir
2bacs. Latrach Abdelkbir
𝑥 2 −9
𝑓(𝑥) = 𝑥−3 ; 𝑥 ≠ 3
o La fonction définie par { est continue en 3.
𝑓(3) = 6
𝑥 2 −9
En effet : 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚
𝑥→3 𝑥→3 𝑥−3
(𝑥−3)(𝑥+3)
= 𝑙𝑖𝑚
𝑥→3 𝑥−3
= 𝑙𝑖𝑚 𝑥 + 3 = 6 = 𝑓(3).
𝑥→3
1
sin(3𝑥)
𝑓(𝑥) = ; 𝑥≠0
o La fonction définie par { 𝑥 est discontinue en 0.
𝑓(0) = 1
𝑠𝑖𝑛(3𝑥)
En effet : 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚 𝑥
𝑥→0 𝑥→3
𝑠𝑖𝑛(3𝑥)
= 𝑙𝑖𝑚 3 ×
𝑥→3 3𝑥
= 3 ≠ 𝑓(0).
𝑥 2 −1
𝑓(𝑥) = |𝑥−1| ; 𝑥 ≠ 1
La fonction définie par { est continue à droite en 1 est non continue
𝑓(1) = 2
en 1 à gauche.
𝑥 2 −1
En effet : 𝑙𝑖𝑚+ 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚+ |𝑥−1|
𝑥→1 𝑥→1
𝑥 2 −1
= 𝑙𝑖𝑚+ (Du fait que |𝑥 − 1| = 𝑥 − 1 si 𝑥 > 1)
𝑥→1 𝑥−1
= 𝑙𝑖𝑚+ 𝑥 + 1 = 2 = 𝑓(1).
𝑥→1
Ainsi 𝑓 est continue à droite en 1.
𝑥 2 −1
Et : 𝑙𝑖𝑚+ 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑖𝑚− |𝑥−1|
𝑥→1 𝑥→1
𝑥 2 −1
= 𝑙𝑖𝑚− −(𝑥−1) (Du fait que |𝑥 − 1| = −(𝑥 − 1) si 𝑥 < 1)
𝑥→1
= 𝑙𝑖𝑚+ −(𝑥 + 1) = −2 ≠ 𝑓(1).
𝑥→1
Ainsi 𝑓 est discontinue à gauche en 1.
𝑥
𝑓(𝑥) = ;𝑥 > 0
√𝑥+1−1
On considère 𝑓 la fonction définie par 𝑓(𝑥) = 𝑠𝑖𝑛(2𝑥)
; 𝑥 < 0.
𝑥
{ 𝑓(0) = 2
2
1. Etudier la continuité de 𝑓 à droite et à gauche en 0.
2. 𝑓 est-elle continue en 0.
√𝑥+2−2
𝑓(𝑥) = ; 𝑥>2
𝑥−2
1. Soit 𝑓 la fonction définie par :{ 2
𝑥 −4𝑥+3
𝑓(𝑥) = ; 𝑥≤2
𝑥−3
Etudier la continuité de 𝑓 à droite et à gauche en 0.
𝑔(𝑥) = 𝑥 3 + 𝑎𝑥 ; 𝑥 > −1
2. Soit 𝑔 la fonction définie par { .
𝑔(𝑥) = −𝑥 + 1 ; 𝑥 ≤ −1
Déterminer la valeur de 𝑎 pour que 𝑔 soit continue en −1.
• On dit que 𝑓 est continue sur l’intervalle ouvert ]𝑎; 𝑏[ si 𝑓 est continue en tout point de
]𝑎; 𝑏[.
• On dit que 𝑓 est continue sur l’intervalle [𝑎, 𝑏] si 𝑓 est continue en tout point de ]𝑎; 𝑏[
et continue à droite de 𝑎 et à gauche de 𝑏.
On définit de même manière la continuité sur les intervalles [𝑎, 𝑏[, ] 𝑎, 𝑏], [ 𝑎, +∞[ et
]−∞, 𝑏].
o La fonction partie entière est la fonction qui, à tout réel 𝑥, associe l'unique entier relatif 𝑛
tel que 𝑛 ≤ 𝑥 < 𝑛 + 1.On note la partie entière de 𝑥 par 𝐸(𝑥) ou [𝑥].
o Exemples
𝐸(3,2) = 3 parce que 3 ≤ 3,2 < 4 et 𝐸(−1,2) = −2
parce que −2 ≤ −1,2 < −1.
o La courbe de la fonction 𝑥 ⟼ 𝐸(𝑥) sur l’intervalle
[−1; 3[ est :
➢ La fonction 𝑥 ⟼ 𝐸(𝑥) est continue sur
l’intervalle [−1; 0[ du fait qu’elle est continue en
tout point de ] − 1; 0[ et à droite en −1 car
𝑙𝑖𝑚+ 𝐸(𝑥) = −1 = 𝐸(−1).
𝑥→−1
➢ La fonction 𝑥 ⟼ 𝐸(𝑥) n’est pas continue sur
l’intervalle ]1; 3[ du fait qu’elle n’est pas continue en 1 car 𝑙𝑖𝑚+ 𝐸(𝑥) = 1 = 𝐸(1) et
𝑥→1
𝑙𝑖𝑚− 𝐸(𝑥) = 0 ≠ 𝐸(1).
𝑥→1
3
𝑓(𝑥) = −𝑥 + 4 ; 𝑥<3
On considère 𝑓 la fonction définie par { .
6−𝑥
𝑓(𝑥) = 𝑥 ; 𝑥≥3
Montrer que la fonction 𝑓 est continue sur ℝ.
3𝑥+2
Soit 𝑓 une fonction définie par 𝑓(𝑥) = 𝑥−4 .
1. Déterminer 𝐷𝑓 .
2. Etudier la monotone de 𝑓.
3. Déterminer 𝑓([0,1]) ; 𝑓(]4, +∞[ ) et 𝑓(]−∞, 4[ ).
4
Soient 𝑓 𝑒𝑡 𝑔 deux fonctions continues sur un intervalle 𝐼 et 𝜆 ∈ ℝ . On a :
• Les fonction𝑠 𝑓 + 𝑔 ; 𝑓 × 𝑔 ; 𝜆𝑓 et |𝑓| sont continues sur 𝐼.
• Pour tout 𝑛 ∈ N∗ la fonction 𝑓 𝑛 est continue sur 𝐼.
1 𝑓
• Si (∀𝑥 ∈ 𝐼) ∶ 𝑔(𝑥) ≠ 0, alors 𝑔 𝑒𝑡 𝑔 sont continues sur 𝐼.
• Si (∀𝑥 ∈ 𝐼) ∶ 𝑓(𝑥) ≥ 0 , alors √𝑓 est continue sur 𝐼.
√𝑥
On considère la fonction ℎ: 𝑥 ⟼ .
√𝑥+1
𝑥
On a ℎ = 𝑔𝑜𝑓 avec 𝑓: 𝑥 ⟼ √𝑥 et 𝑔: 𝑥 ⟼ 𝑥+1.
Puisque 𝑓 est continue sur [0; +∞[ et 𝑔 est continue sur ] − 1; +∞[ et 𝑓([0; +∞[ ) ⊂
[0; +∞[ , alors ℎ est continue sur [0; +∞[.
5
Montrons que l’équation (𝐸) : 𝑥 2 − √𝑥 + 2 = 2 admet au moins une solution sur [−2; 0].
On considère 𝑓 la fonction définie par 𝑓(𝑥) = 𝑥 2 − √𝑥 + 2.
L’équation (𝐸) est équivalente à l’équation 𝑓(𝑥) = 2.
La fonction 𝑓 est continue sur [−2; 0] comme somme de deux fonctions continues et on a
𝑓(−2) = 4 et 𝑓(0) = −√2.
Puisque 𝑓(0) ≤ 2 ≤ 𝑓(−2), alors d’après le théorème des valeurs intermédiaires
l’équation (𝐸) admet au moins une solution sur [−2; 0].
Si la fonction 𝑓 est continue sur [𝑎, 𝑏] tel que 𝑓(𝑎) × 𝑓(𝑏) < 0, alors l’équation 𝑓(𝑥) = 0
admet au moins une solution dans l’intervalle [𝑎, 𝑏].
Si de plus 𝑓 est strictement monotone, alors cette solution est unique.
Montrons que l’équation (𝐸) : 𝑥 3 + 𝑥2 + 1 = 0 admet une unique solution 𝛼 telle que
−1 < 𝛼 < 0.
On considère 𝑓 la fonction définie par 𝑓(𝑥) = 𝑥 3 + 𝑥2 + 1.
L’équation (𝐸) est équivalente à l’équation 𝑓(𝑥) = 0.
La fonction 𝑓 est continue et strictement croissante sur [−1; 0] et on a 𝑓(−1) × 𝑓(0) < 0.
Donc d’après T.V.I l’équation (𝐸) admet une solution unique 𝛼 tel que −1 < 𝛼 < 0 .
1 1 1
On a −1 < 𝛼 < 0, alors 𝛼 = − 2 ou 𝛼 ∈ ]−1, − 2[ ou α ∈ ]− 2 , 0[.
1 3 1
Or 𝑓 (− 2) = 2, alors 𝛼 ≠ − 2.
1 1
Et puisque 𝑓(−1) × 𝑓(− 2) < 0, alors 𝛼 ∈ ]−1, − 2[ et l’amplitude de cet encadrement
1 1
est − 2 − (−1) = 2 > 0,25. On répète donc le procédé précédent.
1 3 3 1 3 1
On a 𝛼 ∈ ]−1, − 2[, alors 𝛼 = − 4 (− 4 est le centre de 𝛼 ∈ ]−1, − 2[ )ou 𝛼 ∈ ]− 4 , − 2[
3
ou α ∈ ]−1, − 4[.
3 3 1 3 1
Puisque 𝑓 (− 4) ≠ 0 et 𝑓(− 4) × 𝑓(− 2) < 0, alors 𝛼 ∈ ]− 4 , − 2[ et l’amplitude de cet
1 3
encadrement est − 2 + 4 = 0,25.
Ce procédé est appelé .
6
2. Donner un encadrement de 𝛼 d’amplitude 0,25.
3. Donner le signe de 𝑓 sur [1; +∞[.
Si f est continue et strictement monotone sur un intervalle 𝐼, alors 𝑓 admet une fonction
𝑓 −1 (𝑥) = 𝑦 𝑓(𝑦) = 𝑥
réciproque, notée 𝑓 −1, définie de 𝐽 = 𝑓(𝐼) vers 𝐼 telle que : { ⇔{
𝑥∈𝐽 𝑦∈𝐼
La fonction 𝑓: 𝑥 ⟼ √𝑥 + 2 est continue et strictement croissante sur [0, +∞[ , donc 𝑓 admet
une fonction réciproque 𝑓 −1 continue et strictement croissante sur 𝑓([0, +∞[ ) = [2, +∞[.
Déterminons l’expression de 𝑓 −1 :
Soient 𝑦 ∈ [0, +∞[ et 𝑥 ∈ [2, +∞[, on a :
𝑓 −1 (𝑥) = 𝑦 ⟺ 𝑓(𝑦) = 𝑥
⟺ √𝑦 + 2 = 𝑥
⟺ √𝑦 = 𝑥 − 2
⟺ 𝑦 = (𝑥 − 2)2 .
Donc 𝑓 −1 (𝑥) = 𝑦 ⟺ 𝑦 = (𝑥 − 2)2 .
Il en résulte : (∀𝑥 ∈ [2, +∞[ ) 𝑓 −1 (𝑥) = (𝑥 − 2)2 .
2𝑥+3
On considère la fonction 𝑓 définie sur ]−∞, −1[ par 𝑔(𝑥) = .
𝑥+1
1. Montrer que f admet une fonction réciproque 𝑓 −1 définie sur un intervalle 𝐽 à
déterminer.
2. Déterminer l'expression de 𝑓 −1 (𝑥) pour tout 𝑥 de J.
7
rapport à la droite d'équation 𝑦 = 𝑥.
Soit 𝑛 un entier naturelle tel que : 𝑛 ≥ 1 et Soit 𝑓 une fonction définie sur IR+ par 𝑓(𝑥) =
𝑥𝑛.
• 𝑓 est une fonction polynôme donc 𝑓 est continue sur IR par suite sur IR+ .
• 𝑓 est strictement croissante sur IR+ , du fait que (∀𝑥 ∈ IR+ ) : 𝑓 ′ (𝑥) = 𝑛𝑥 𝑛−1 ≥ 0.
Alors 𝑓 admet une fonction réciproque 𝑓 −1 , appelée , définie sur
+) +
𝑓(𝐼𝑅 = 𝐼𝑅 .
𝒏
- l’image du nombre 𝑥 de IR+ par 𝑓 −1 est note √𝒙 et on a :
(∀𝑥 ∈ ℝ+ )(∀𝑦 ∈ ℝ+ ) ∶ 𝑥 𝑛 = 𝑦 ⟺ 𝑥 = 𝑛√𝑦
pour tout 𝑥 ∈ 𝐼𝑅 + on a :
• √𝑥 = 𝑥.
1
• √𝑥 = √𝑥 .
2
5
4
o √16 = √24 = 2
4 5 5
o √5 > √3 parce que 5 > 3 o 𝑙𝑖𝑚 √𝑥 = +∞
𝑥→+∞
5
o (∀𝑥 ∈ ℝ+ ) 𝑥5 = 32 ⟺ 𝑥 = √32 = 2.
8
Soient 𝑎 et 𝑏 deux réels positifs, et 𝑛 et 𝑝 sont deux entiers naturels non nuls.
𝑛 𝑛
• √𝑎 × √𝑏 = √𝑎𝑏 .
𝑛
𝑛
𝑛 𝑎 √𝑎
• Si 𝑏 ≠ 0, alors √𝑏 = 𝑛
√𝑏
𝑛𝑝
•
𝑛
= √𝑎 .
√𝑎 𝑝
𝑝
• ( √𝑎 ) = √𝑎 𝑝 .
𝑛 𝑛
𝑛 𝑝 𝑛𝑝
• √ √𝑎 = √𝑎 .
4 6 4
√32× √27× √108
Simplifions le nombre : 𝐴 = .
√ 4√144
15 3
3
√512 3 √35 × 3√9×( 5√9)
1. Simplifier 𝐴 = 3 ; 𝐵 = √ √√729 et 𝐶 = 5 .
√64 √3
4 3
2. Mettre en ordre croissant les nombres √3; √2 et √5
3
√√256× 4√64 √ 3√3× 3√9× 4√9
Simplifier les nombres suivants : 𝐴 = 5 3 et 𝐵 = .
√24300000× √1024 5
√729×√√√3
3
1. On considère 𝑓 la fonction définie sur ℝ par 𝑓(𝑥) = √3𝑥 2 + 4.
a. Etudier la continuité de 𝑓 sur ℝ.
b. Calculer 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) et 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥).
𝑥⟶+∞ 𝑥⟶−∞
2. Calculer les limites suivantes :
3 3 3
a. 𝑙𝑖𝑚
√𝑥+1−1 b. lim √𝑥 3 + 1 − 2𝑥 c. lim √𝑥 3 + 𝑥 + 1 − 𝑥
𝑥→0 𝑥 𝑥→+∞ 𝑥→+∞
𝑝
Soient 𝑥 ∈ 𝐼𝑅 + et 𝑟 un nombre rationnel tel que : 𝑟 = 𝑞 (𝑝 ∈ ℤ , 𝑞 ∈ 𝐼𝑁 ∗ ).
𝑞
Le nombre 𝑎𝑟 , appelé puissance rationnelle de base a et d'exposant r, est le nombre √𝑎𝑝 .
𝑝
𝑞
Autrement : 𝑎 𝑞 = √𝑎𝑝 .
3 5 3 1 1
2 7 5
5 5
1
o 2− 3 = √2−5 = √ 5 = 3
o 3 = √3²
7 o 3 = √3 2 o √6 = 6 5 2 √25
9
Soient a et b deux réels strictement positifs et 𝑟 𝑒𝑡 𝑟 ′ deux rationnels.
• 𝑎𝑟 × 𝑎𝑟′ = 𝑎𝑟+𝑟′ .
• (𝑎𝑟 )𝑟′ = 𝑎𝑟𝑟′ .
1
• 𝑎𝑟 = 𝑎−𝑟 .
𝑎𝑟
• = 𝑎𝑟−𝑟′.
𝑎𝑟′
• (𝑎𝑏)𝑟 = 𝑎𝑟 × 𝑏 𝑟 .
𝑎 𝑟 𝑎𝑟
• (𝑏 ) = 𝑏 𝑟 .
1 2 1
3 5
√4×82 × √2 (27)7 ×(81)4
Ecrire sous forme d’une puissance rationnelle les nombres 𝐴 = 3 6 et 𝐵 = 17
√2× √4 33
10
Continuité d’une fonction
2BSF 1 et 2 1. Soit 𝑓 la fonction définie
√𝑥+2−2
𝑓(𝑥) = ; 𝑥>2
𝑥−2
par :{ 𝑥 2 −4𝑥+3
𝑓(𝑥) = ; 𝑥≤2
𝑥−3
Calculer les limites suivantes : Etudier la continuité de 𝑓 à droite et à gauche en 0.
2𝑥²+𝑥+3 𝑥|𝑥|−4𝑥+3 𝑥²+5𝑥+6
a. 𝑙𝑖𝑚 b. 𝑙𝑖𝑚 c. 𝑙𝑖𝑚 𝑥+2 2. Soit 𝑔 la fonction définie par
𝑥→+∞ 𝑥−1 𝑥→−∞ 𝑥 5 −7𝑥+2 𝑥→−2
√2𝑥²+1−3√𝑥+3 𝑔(𝑥) = 𝑥 3 + 𝑎𝑥 ; 𝑥 > −1
d. 𝑙𝑖𝑚
2𝑥²+3𝑥−9
e. 𝑙𝑖𝑚
√2𝑥+7−3
f. 𝑙𝑖𝑚 { .
𝑥→−3 𝑥²+𝑥−6 𝑥→1 𝑥−1 𝑥→−2 𝑥+2 𝑔(𝑥) = −𝑥 + 1 ; 𝑥 ≤ −1
𝑥²+5𝑥+6 2𝑥²+𝑥−2 sin(𝜋𝑥) Déterminer la valeur de 𝑎 pour que 𝑔 soit continue en
g. 𝑙𝑖𝑚− h. 𝑙𝑖𝑚 + 2 −𝑥+6 i. 𝑙𝑖𝑚 −1.
𝑥→2 2−𝑥 𝑥→−3 −𝑥 𝑥→1 𝑥−1
Etudier la continuité des fonctions suivantes au point 𝑎. Déterminer l’image des intervalles suivants [−2,3] ,
𝑥 3 −2𝑥+1 [0,1], [1,3] et ]−1,1] par 𝑓.
𝑓(𝑥) = ;𝑥 ≠ 1
1. { 𝑥−1 et 𝑎 = 1.
𝑓(1) = 1 3𝑥+2
𝑥√𝑥+2−4 Soit 𝑓 une fonction définie par 𝑓(𝑥) = .
𝑥−4
𝑔(𝑥) = ; 𝑥 ∈ [−2; 2[∪]2; +∞[
2. { 𝑥−2
et 𝑎 = 2. 1. Déterminer 𝐷𝑓 .
5
𝑔(2) = 2 2. Etudier la monotone de 𝑓.
3. Déterminer 𝑓([0,1]) ; 𝑓(]4, +∞[ ) et 𝑓(]−∞, 4[ ).
sur 𝐼.
2. Déterminer l’intervalle 𝐽 l’image de 𝐼 par f . Résoudre dans 𝐼𝑅 les équations suivantes :
3. Soit 𝑥𝜖𝐽 𝑒𝑡 𝑦𝜖𝐼 ,montrer que : 1. 𝑥7 = 5 2. 𝑥 6 = −2 3. 𝑥 4 = 81
𝑓(𝑦) = 𝑥 ⇔ 𝑦 = 1 + √𝑥 + 1. 4. 𝑥 5 = −32 5.
3
√3𝑥 − 1 = 2 6.
5
√2𝑥 − 3 < 2
4. On considère 𝑔 la fonction définie sur 𝐽 par
𝑔(𝑥) = 1 + √1 + 𝑥.
a. Remplir le tableau suivant : 3
√512 3
• 𝒈(−𝟏) = • 𝒇(𝟏) = 1. Simplifier 𝐴 = 3 ; 𝐵 = √ √√729
√64
3
• 𝒈(𝟎) = • 𝒇(𝟐) = 15
√35 × 3√9×( 5√9)
et 𝐶 = .
• 𝒈(𝟖) = • 𝒇(𝟒) = 5
√3
b. Que remarquez-vous ? 4 3
2. Mettre en ordre croissant les nombres √3; √2 et
c. Montrer que (∀𝑥 ∈ 𝐼) (𝑔𝜊𝑓)(𝑥) = 𝑥
et (∀𝑥 ∈ 𝐽) (𝑓𝜊𝑔)(𝑥) = 𝑥 . √5
𝑥→+∞
2. Déterminer l'expression de 𝑓 −1 (𝑥) pour tout 𝑥 de J. 𝑥→0 𝑥
3
c. lim √𝑥 3 + 𝑥 + 1 − 𝑥
𝑥→+∞
𝑓(𝑥)−𝑓(𝑎)
• Si 𝑙𝑖𝑚 = 0, alors (𝐶𝑓 ) admet une tangente horizontale au point 𝐴(𝑎, 𝑓(𝑎)).
𝑥→𝑎 𝑥−𝑎
𝑓(𝑥)−𝑓(𝑎) 𝑓(𝑥)−𝑓(𝑎)
• Si 𝑓 est continue en 𝑎 et 𝑙𝑖𝑚 = ±∞ ou 𝑙𝑖𝑚 = ±∞, alors (𝐶𝑓 ) admet
𝑥→𝑎 𝑥−𝑎 𝑥→𝑎 𝑥−𝑎
𝑥≻𝑎 𝑥≺𝑎
une demi-tangente verticale au point 𝐴(𝑎, 𝑓(𝑎)).
1
La fonction définie sur ] − ∞; 1] par 𝑓: 𝑥 ↦ 𝑥 + 1 + 2√1 − 𝑥 n’est pas dérivable en 1 a
gauche. En effet :
𝑓(𝑥)−𝑓(1) 𝑥−1+2√1−𝑥
On a 𝑙𝑖𝑚− = 𝑙𝑖𝑚−
𝑥→1 𝑥−1 𝑥→1 𝑥−1
(𝑥−1+2√1−𝑥)(𝑥−1−2√1−𝑥)
= 𝑙𝑖𝑚 (𝑥−1)(𝑥−1−2√1−𝑥)
𝑥→1−
(𝑥+3)(𝑥−1)
= 𝑙𝑖𝑚− (𝑥−1)(𝑥−1−2
𝑥→1 √1−𝑥)
𝑥+3
= 𝑙𝑖𝑚− 𝑥−1−2√1−𝑥 = +∞.
𝑥→1
Parce que 𝑙𝑖𝑚−𝑥 + 3 = 4 et 𝑙𝑖𝑚−𝑥 − 1 − 2√1 − 𝑥 = 0− du fait que 𝑥 − 1 < 0 et
𝑥→1 𝑥→1
−2√1 − 𝑥 < 0 pour tout 𝑥 < 1 .
Donc 𝑓 n’est pas dérivable en 1 à gauche.
𝑓(𝑥)−𝑓(1)
Puisque 𝑓 est continue en 1 à gauche et 𝑙𝑖𝑚− 𝑥−1 = +∞, alors (𝐶𝑓 ) admet une demi-
𝑥→1
tangente verticale au point 𝐴(1,2) dirigée vers le haut.
√𝑥 2 +1−1
On considère 𝑓 la fonction définie par 𝑓(𝑥) = { ; 𝑠𝑖 𝑥 ≠ 0.
𝑥
0 ; 𝑠𝑖 𝑛𝑜𝑛
1. Etudier la continuité de 𝑓 en 𝑥0 = 0.
2. Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 𝑥0 = 0. Interpréter graphiquement le résultat.
Si 𝑓𝑔 ′(𝑎) ≠ 𝑓𝑑 ′(𝑎), alors (𝐶𝑓 ) admet deux demi-tangentes non parallèles au point
𝐴(𝑎, 𝑓(𝑎)). Ce point est appelé point anguleux.
𝑓(𝑥) = √𝑥 − 1 ; 0 ≤ 𝑥 < 1
On considère 𝑓 la fonction définie par { 𝑥 2 −1
𝑓(𝑥) = 4 ;𝑥 ≥ 1
1. Montrer que 𝑓 est continue en 1 .
2. Étudier la dérivabilité de 𝑓 en 1.
Si 𝑓 est dérivable en 𝑎, alors elle est continue en a. la réciproque n’est pas toujours vraie.
2 4
Calculer la dérivée des fonctions 𝑓: 𝑥 ⟼ 𝑠𝑖𝑛 (𝑥 2 − 3 𝑥 + 4) et 𝑔: 𝑥 ⟼ 𝑐𝑜𝑠 (𝑥 2 +4)
IV. :
4
V.
3−2𝑥 2
On considère 𝑓 la fonction définie sur 𝐼𝑅\{−1} par : 𝑓(𝑥) = (1+𝑥)2 .
3−2𝑥 2 3−2𝑥 2
On a lim 𝑓(𝑥) = lim = −2 et lim 𝑓(𝑥) = lim = −2 .
𝑥⟶−∞ 𝑥→+∞ (1+𝑥)2 𝑥→−∞ 𝑥→−∞ (1+𝑥)2
Donc la droite d’équation 𝑦 = −2 est une asymptote horizontale à la courbe (𝐶𝑓 ) au
voisinage de +∞ et −∞.
3−2𝑥 2 3−2𝑥 2
Et on a : lim+ 𝑓(𝑥) = lim+ (1+𝑥)2 = +∞ et lim− 𝑓(𝑥) = lim− (1+𝑥)2 = +∞ .
𝑥→2 𝑥→2 𝑥→2 𝑥→2
Donc la droite d’équation 𝑥 = 2 est une asymptote verticale de la courbe (𝐶𝑓 ).
𝑥 2 +𝑥−1
On considère 𝑓 la fonction définie par 𝑓(𝑥) = 𝑥+2 .
1. Donner 𝒟𝑓 l’ensemble de définition de 𝑓.
2. Calculer 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) et 𝑙𝑖𝑚𝑓(𝑥). Interpréter les résultats.
𝑥→2 𝑥→2
𝑥<2 𝑥>2
1
3. a. Vérifier, pour tout 𝑥 de 𝒟𝑓 , que 𝑓(𝑥) = 𝑥 − 1 + 𝑥+2.
b. Montrer que la droite d’équation (𝐷): 𝑦 = 𝑥 − 1 est une asymptote oblique de (𝐶𝑓 ) au
voisinage de +∞ et −∞.
5
c. Etudier les positions relatives entre la courbe (𝐶𝑓 ) et la droite (𝐷).
Soient 𝑓 une fonction deux fois dérivable sur un intervalle 𝐼 et (𝐶𝑓 ) sa courbe
représentative et 𝑎 ∈ 𝐼.
• Si 𝑓′′ est positive sur l'intervalle 𝐼, alors (𝐶𝑓 ) est convexe
• Si 𝑓′′ est négative sur l'intervalle 𝐼, alors (𝐶𝑓 ) est concave.
• Si 𝑓′′ s'annule en 𝑎 en changeant de signe, alors le point 𝐴(𝑎; 𝑓(𝑎)) est un point
d'inflexion de (𝐶𝑓 ).
𝑥 2 +𝑥−1
On considère 𝑓 la fonction définie par 𝑓(𝑥) = .
𝑥+2
Etudier la concavité de (𝐶𝑓 ) en précisant les points d'inflexion s'ils existent.
Soit f une fonction définie sur un ensemble 𝐷 et (𝐶𝑓 ) sa courbe représentative dans un
repère orthonormé.
La droite (𝛥) d'équation 𝑥 = 𝑎 (𝑎 ∈ ℝ) est un axe de symétrie de la courbe (𝐶𝑓 ) si et
(∀𝑥 ∈ 𝐷); (2𝑎 − 𝑥) ∈ 𝐷
seulement si : { .
(∀𝑥 ∈ 𝐷); 𝑓(2𝑎 − 𝑥) = 𝑓(𝑥)
Soit f une fonction définie sur un ensemble 𝐷 et (𝐶𝑓 ) sa courbe représentative dans un
repère orthonormé.
Le point 𝛺(𝑎; 𝑏) tel que (𝑎; 𝑏) ∈ ℝ2 est un centre de symétrie de la courbe (𝐶𝑓 ) si et
(∀𝑥 ∈ 𝐷); (2𝑎 − 𝑥) ∈ 𝐷
seulement si : { .
(∀𝑥 ∈ 𝐷); 𝑓(2𝑎 − 𝑥) + 𝑓(𝑥) = 2𝑏
𝑥 2 +𝑥−1
On considère 𝑓 la fonction définie par 𝑓(𝑥) = 𝑥+2 .
1. Montrer que le point Ω(−2; −3) est un centre de symétrie de la courbe de la fonction 𝑓
𝑥 2 +𝑥−1
définie par 𝑓(𝑥) = 𝑥+2 .
2. En déduire qu’il suffit d’étudier 𝑓 sur ] − 2; +∞[.
𝑥 2 +𝑥−1
On considère 𝑓 la fonction définie par 𝑓(𝑥) = .
𝑥+2
1. Donner les coordonnées des points d’intersection de (𝐶𝑓 ) avec les axes du repère.
2. Etudier les variations de 𝑓 .
3. Soit 𝑔 la restriction de 𝑓 sur [−1; +∞[.
Montrer que 𝑔 admet une fonction réciproque 𝑔−1 définie sur un intervalle 𝐽 à déterminer.
4. Construire (𝐷): 𝑦 = 𝑥 − 1, (𝐶𝑓 ) et (𝐶𝑔−1 ) dans un repère orthonormé (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
𝑥
I. On considère 𝑔 la fonction définie sur ℝ par 𝑔(𝑥) = 1 + √𝑥 2 .
+1
1. Calculer 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) et 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥).
𝑥→+∞ 𝑥→−∞
6
1
2. a. Montrer, pour tout réel 𝑥, que 𝑔′ (𝑥) = .
(𝑥 2 +1)√𝑥 2 +1
b. Donner le tableau des variations de 𝑔 .
c. En déduire, pour tout réel 𝑥, que 𝑔(𝑥) >
0.
II. Soit 𝑓 la fonction qui définie sur ℝ par 𝑓(𝑥) = 𝑥 − 1 + √𝑥 2 + 1, et soit (𝐶𝑓 ) sa
courbe representative dans le plan muni d’un repère orthonormé (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
1. Calculer 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥).
𝑥→+∞
2. Montrer que 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = −1. Interpréter géométriquement le résultat.
𝑥→−∞
3. Montrer que la droite (𝐷): 𝑦 = 2𝑥 − 1 est une asymptote oblique de (𝐶𝑓 ) au voisinage
de +∞.
4. a. Montrer, pour tout réel 𝑥, que 𝑓 ′ (𝑥) = 𝑔(𝑥).
b. Dresser le tableau des variations de 𝑓.
5. Calculer 𝑓(1) puis tracer (𝐶𝑓 ).
6. a. Montrer que 𝑓 admet une fonction réciproque 𝑓 −1 definie sur un intervalle 𝐽 à
déterminer.
b.Montrer que 𝑓 −1 est derivable en √2 puis calculer (𝑓 −1 )′ (√2).
c. Tracer (𝐶𝑓−1 ) dans le même repère.
7
2. Calculer 𝑓 ′ (𝑥) × 𝑔′ (𝑓(𝑥)).
Dérivation-Etude de fonctions 3. Soit ℎ(𝑥) = (𝑔𝑜𝑓)(𝑥) Déterminer ℎ(𝑥) puis calculer
2BSF 1 et 2 ℎ’(𝑥).
4. Comparer ℎ′ (𝑥)𝑒𝑡 𝑓 ′ (𝑥) × 𝑔′ (𝑓(𝑥)).
1. On considère 𝑓 la fonction définie sur ℝ par Calculer la dérivée des fonctions suivantes :
𝑓(𝑥) = 𝑥² − 2𝑥. 2 4
𝑓: 𝑥 ⟼ 𝑠𝑖𝑛 (𝑥 2 − 3 𝑥 + 4) et 𝑔: 𝑥 ⟼ 𝑐𝑜𝑠 (𝑥 2 +4).
Étudier la dérivabilité de 𝑓 en −1 puis interpréter le résultat
graphiquement.
2. On considère 𝑔 la fonction définie sur ℝ par Soit 𝑓 la fonction définie sur 𝐼𝑅 par 𝑓(𝑥) = 𝑥 3 + 𝑥 .
𝑔(𝑥) = |𝑥 − 1|. 1. Montrer que 𝑓 admet une fonction réciproque définie surIR
a. Etudier la dérivabilité de 𝑔 à droite et à gauche en 1 puis 2. Calculer 𝑓(1) puis déterminer (𝑓 −1 )′(2) .
interpréter les résultats graphiquement.
b. 𝑔 est-elle dérivable en 1 ? 1. Calculer la dérivée de chacune des fonctions suivantes :
3 4
a. 𝑓(𝑥) = √𝑥 b. 𝑓(𝑥) = √𝑥 3
3
Etudier la dérivabilité de la fonction 𝑓 en 𝑎 puis interpréter 4
c. 𝑓(𝑥) = √1 + 𝑐𝑜𝑠 2 (𝑥) d. 𝑓(𝑥) = √𝑥 2 + 2𝑥
graphiquement les résultats dans les cas suivants : 2. A l’aide du nombre dérivé, calculer les limites suivantes :
𝑥+1 3 4
a. 𝑓(𝑥) = 𝑥 3 − 𝑥 et 𝑎 = 2 b. 𝑓(𝑥) = et 𝑎 = 1 a. 𝑙𝑖𝑚
√𝑥+1−1 (𝑥 8 +1)( √𝑥 3 +1)−4
𝑥
𝑥→0 𝑥 b. 𝑙𝑖𝑚
1 𝑥→1 𝑥−1
c. 𝑓(𝑥) = √2𝑥 + 1 et 𝑎 = − à droite.
2
Soit 𝑓 la fonction définie sur 𝐼𝑅 par 𝑓(𝑥) = 𝑥 3 − 3𝑥 − 3.
On considère 𝑓 la fonction définie par 1. Etudier les variations de la fonction 𝑓.
√𝑥 2 +1−1 2. Soit 𝑔 la restriction de 𝑓 sur [1 ;+∞[.
𝑓(𝑥) = { ; 𝑠𝑖
𝑥≠0
𝑥 a. Montrer que 𝑔 admet une fonction réciproque définie sur
0 ; 𝑠𝑖 𝑛𝑜𝑛 un intervalle J à déterminer.
1. Etudier la continuité de 𝑓 en 𝑥0 = 0. b. Montrer que l’équation 𝑔(𝑥) = 0 admet une unique
2. Etudier la dérivabilité de 𝑓 en 𝑥0 = 0. Interpréter solution 𝛼 et que 2 < 𝛼 < 3.
graphiquement le résultat. 1
Montrer que : (𝑔−1 )′(0) = 2 .
3(𝛼 −1)
On considère 𝑓 la fonction définie par
𝑥 2 +𝑥−1
𝑓(𝑥) = √𝑥 − 1 ; 0 ≤ 𝑥 < 1 On considère 𝑓 la fonction définie par 𝑓(𝑥) = .
{ 𝑥+2
𝑥 2 −1
𝑓(𝑥) = 4 ;𝑥 ≥ 1 1. Donner 𝒟𝑓 l’ensemble de définition de 𝑓.
Étudier la continuité puis dérivabilité de 𝑓 en 1. 2. Calculer 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) et 𝑙𝑖𝑚− 𝑓(𝑥). Interpréter les résultats.
+
𝑥→2 𝑥→2
1
3. a. Vérifier, pour tout 𝑥 de 𝒟𝑓 , que 𝑓(𝑥) = 𝑥 − 1 + .
𝑥+2
1. Calculer les dérivées des fonctions suivantes : b. Montrer que la droite d’équation (𝐷): 𝑦 = 𝑥 − 1 est une
2𝑥
• 𝑓(𝑥) = 1+𝑥 2 . ℎ(𝑥) = √𝑥 𝑠𝑖𝑛(𝑥) + 𝑐𝑜𝑠(𝑥) asymptote oblique de (𝐶𝑓 ) au voisinage de +∞ et −∞.
• 𝑔(𝑥) = (𝑥 2 + 1)5. c. Etudier les positions relatives entre la courbe (𝐶𝑓 ) et la
2. a. Etudier la monotonie de la fonction 𝑓 ci-dessus. droite (𝐷).
b. Dresser le tableau de variations de 𝑓.
c. En déduire que(∀𝑥 ∈ ℝ): −1 ≤ 𝑓(𝑥) ≤ 1 . Etudier la concavité de la courbe de la fonction 𝑓 définie par
𝑥 2 +𝑥−1
𝑓(𝑥) = en précisant les points d'inflexion s'ils existent.
I. On considère 𝑔 la fonction définie sur [0; +∞[ par 𝑥+2
𝑔(𝑥) = 𝑥 √𝑥 − 1.
1. Etudier la dérivabilité de 𝑓 à droite en 0 . Interpréter Montrer que la droite (∆): 𝑥 = 1 est un axe de symétrie de la
graphiquement le résultat. courbe de la fonction 𝑓 définie par 𝑓(𝑥) = √𝑥² − 2𝑥 + 3.
2. Montrer que 𝑔 est dérivable sur ]0; +∞[ puis calculer sa
dérivée.
3. Dresser le tableau de variations de 𝑔. 1. Montrer que le point Ω(−2; −3) est un centre de symétrie
𝑥 2 +𝑥−1
4. Calculer 𝑔(1) puis déduire le signe de 𝑔 sur [0; +∞[. de la courbe de la fonction 𝑓 définie par 𝑓(𝑥) = .
𝑥+2
II. Soit 𝑓 la fonction définie sur ]0; +∞[ par 2. En déduire qu’il suffit d’étudier 𝑓 sur ] − 2; +∞[.
4
𝑓(𝑥) = 3𝑥 − 4 + .
√𝑥
2𝑔(𝑥) 𝑥 2 +𝑥−1
1. Montrer que (∀𝑥 ∈]0; +∞[): 𝑓 ′ (𝑥) = . On considère 𝑓 la fonction définie par 𝑓(𝑥) = .
𝑥√𝑥 𝑥+2
2. Etudier les variations de 𝑓 . 1. Donner les coordonnées des points d’intersection de
3. Dresser le tableau de variations de 𝑓. (𝐶𝑓 ) avec les axes du repère.
4. En déduire que (∀𝑥 ∈]0; +∞[): 𝑓(𝑥) ≥ 3. 2. Etudier les variations de 𝑓.
3. Soit 𝑔 la restriction de 𝑓 sur [−1; +∞[.
Soient 𝑓 et 𝑔 deux fonctions définies sur IR par : Montrer que 𝑔 admet une fonction réciproque 𝑔−1 définie sur
𝑓(𝑥) = cos(𝑥) ; 𝑔(𝑥) = 𝑥 2 − 2𝑥. un intervalle 𝐽 à déterminer.
1. Calculer 𝑓’(𝑥) et 𝑔’(𝑥) pour tout 𝑥 ∈ 𝐼𝑅. 4. Construire (𝐷): 𝑦 = 𝑥 − 1, (𝐶𝑓 ) et (𝐶𝑔−1 ).
Dérivation- Etude de fonctions c. Écrire une équation de la tangente (𝑇) à la courbe
(𝐶𝑓 ) au point d’abscisse −1.
3. Donner les coordonnées des points d’intersection de
(𝐶𝑓 ) avec les axes du repère.
On donne ci-dessous la courbe représentative d’une 4. Montrer que (𝐶𝑓 ) admet deux points d’inflexion à
fonction définie sur ℝ. déterminer.
5. Construire (𝛥), (𝑇) et (𝐶𝑓 ). (on prend ‖𝑖⃗‖ = ‖𝑗⃗‖ =
√3 √3 √3
1𝑐𝑚, 3 ≃ 0,6, 𝑓 ( 3 ) ≃ 1,8 et 𝑓 (− 3 ) ≃ 0,7).
6. Résoudre graphiquement l’inéquation 𝑓(𝑥) > 0.
1 3
7. Montrer, pour tout 𝑥 ≥ 0, que + √ 𝑥 + 1 ≥ .
𝑥+2 2
8. a. Montrer que 𝑓 admet une fonction réciproque 𝑓 −1
definie sur un intervalle 𝐽 à déterminer.
b. Montrer que 𝑓 −1 est dérivable en 0 puis calculer
(𝑓 −1 )′ (0).
c. Tracer (𝐶𝑓−1 ) dans le même repère.
𝑢0 = 0
On considère la suite numérique (𝑢𝑛 ) définie par { 2𝑢𝑛 +3
𝑢𝑛+1 = 𝑢𝑛 +4
;𝑛 ∈ ℕ
1. Calculer 𝑢1 , 𝑢2 .
2. Montrer par récurrence que (∀𝑛 ∈ ℕ∗ ): 0 < 𝑢𝑛 < 1.
3. Montrer que (𝑢𝑛 ) est croissante.
𝑢𝑛 −1
4. On considère (𝑣𝑛 ) la suite numérique définie par 𝑣𝑛 = .
𝑢 +3 𝑛
a. Montrer que (𝑣𝑛 ) est une suite géométrique en déterminant sa raison.
b. Déterminer 𝑣𝑛 en fonction de 𝑛 et en déduire l’expression de 𝑢𝑛 en fonction 𝑛
c. Calculer la somme 𝑆𝑛 en fonction de 𝑛 où : 𝑆𝑛 = 𝑣0 + 𝑣1 + 𝑣2 + ⋯ + 𝑣𝑛+5 .
Suite géométrique Suite arithmétique
Définition 𝑢𝑛+1 = 𝑞𝑢𝑛 𝑢𝑛+1 = 𝑢𝑛 + 𝑟
𝑢𝑛 = 𝑢𝑝 × 𝑞 (𝑛−𝑝) 𝑢𝑛 = 𝑢𝑝 + (𝑛 − 𝑝)𝑟
Terme général
(𝑝 ≤ 𝑛) (𝑝 ≤ 𝑛)
𝑆𝑛 = 𝑢𝑝 + 𝑢𝑝+1 + ⋯ + 𝑢𝑛 𝑆𝑛 = 𝑢𝑝 + 𝑢𝑝+1 + ⋯ + 𝑢𝑛
Somme des termes
(1 − 𝑞 (𝑛−𝑝+1) ) 𝑛−𝑝+1
consécutifs = 𝑢𝑝 × =( ) (𝑢𝑝 + 𝑢𝑛 )
1−𝑞 2
𝐚، 𝐛 et 𝐜 trois
𝑏² = 𝑎𝑐 2𝑏 = 𝑎 + 𝑐
terme consécutifs
1
si tout intervalle ouvert centré en 𝑙 contient tous les termes de la suite (𝑢𝑛 ) à partir d'un
certain indice.
1
On considère la suite définie par 𝑢𝑛 = 2 + pour tout 𝑛 ∈ ℕ∗ .
𝑛2
𝑢1 𝑢5 𝑢8 𝑢10 𝑢100 𝑢1000
3 2.04 ≈2,016 2,001 2,00001 2,0000001
On remarque que de plus en plus l’indice 𝑛 prend des valeurs très grandes, les termes de la
suite s’approchent de plus en plus à 2.
On peut dire que 𝑙𝑖𝑚 𝑢𝑛 = 2.
𝑛→+∞
𝑛+1 𝑛 1 1
o On a lim = lim + = lim √𝑛 + 𝑛.
𝑛→+∞ √𝑛 𝑛→+∞ √ 𝑛 √𝑛 √𝑛→+∞
1 𝑛+1
Puisque lim √𝑛 = +∞ et lim = 0 , alors lim lim = +∞.
𝑛→+∞ 𝑛→+∞ √ 𝑛 𝑛→+∞ 𝑛→+∞ √𝑛
3 1
o On a lim −2𝑛4 + 3𝑛² + 1 = lim 𝑛4 (−2 + 𝑛2 + 𝑛4 ).
𝑛→+∞ 𝑛→+∞
3 1 3 1
Puisque lim = 0 et lim = 0 , alors lim −2 + 𝑛2 + 𝑛4 = −2.
𝑛→+∞ 𝑛2 𝑛→+∞ 𝑛4 𝑛→+∞
Or lim 𝑛4 = +∞, donc lim −2𝑛4 + 3𝑛² + 1 = −∞.
𝑛→+∞ 𝑛→+∞
𝑛
o La suite (𝑢𝑛 ) telle que (∀𝑛 ∈ ℕ) 𝑢𝑛 = est divergente car lim 𝑢𝑛 = +∞.
√𝑛+1 𝑛→+∞
o La suite (𝑣𝑛 ) telle que (∀𝑛 ∈ ℕ): 𝑉𝑛 = √𝑛 + 1 − √𝑛 est convergente car lim 𝑣𝑛 = 0.
𝑛→+∞
o La suite (𝑤𝑛 )telle que (∀𝑛 ∈ ℕ) ∶ 𝑤𝑛 = (−1)𝑛 est divergente car n’a pas de limite.
Soit 𝑎 un réel, on a :
• Si 𝑎 > 1 alors 𝑙𝑖𝑚 𝑎𝑛 = +∞.
𝑛→+∞
• Si −1 < 𝑎 < 1 alors 𝑙𝑖𝑚 𝑎𝑛 = 0.
𝑛→+∞
• Si 𝑎 ≤ −1 alors la suite (𝑞 𝑛 ) n’a pas de limite.
2
• Si 𝑎 = 1 alors 𝑙𝑖𝑚 𝑎𝑛 = 1.
𝑛→+∞
𝑛 6𝑢
On considère la suite (𝑢𝑛 ) définie par 𝑢0 = 1 𝑒𝑡 (∀𝑛 ∈ ℕ) 𝑢𝑛+1 = 1+15𝑢 .
𝑛
1
1 𝑢𝑛 −
1. a. Vérifier que (∀𝑛 ∈ ℕ): 𝑢𝑛+1 − = 3
.
3 15𝑢 𝑛 +1
1
b. Montrer par récurrence que (∀𝑛 ∈ ℕ): 𝑢𝑛 > .
3
1
2. On considère la suite numérique (𝑣𝑛 )définie par (∀𝑛 ∈ ℕ): 𝑣𝑛 = 1 − 3𝑢 .
𝑛
1
a. Montrer que (𝑣𝑛 ) est une suite géométrique de raison 6.
b. Exprimer 𝑣𝑛 en fonction de 𝑛.
1
3. Montrer que (∀𝑛 ∈ ℕ): 𝑢𝑛 = 1 𝑛
puis déduire lim 𝑢𝑛 .
3−2( ) 𝑛→+∞
6
Soit 𝛼 ∈ ℚ∗ , on a :
• Si 𝑎 > 1 alors 𝑙𝑖𝑚 𝑛𝛼 = +∞.
𝑛→+∞
• Si 𝛼 < 0 alors 𝑙𝑖𝑚 𝑛𝛼 = 0.
𝑛→+∞
5
5
o 𝑙𝑖𝑚 𝑛3 = +∞ parce que > 0.
𝑛→+∞ 3
4
− 4
o 𝑙𝑖𝑚 𝑛 3 = 0 parce que − 3 < 0.
𝑛→+∞
1 1
Soient (𝑢𝑛 ) et (𝑣𝑛 ) deux suites numériques définies par 𝑢𝑛 = 2 + 𝑛 et 𝑣𝑛 = 2 − 𝑛
On a pour tout 𝑛 ∈ ℕ∗ : 𝑢𝑛 > 𝑣𝑛 et lim 𝑢𝑛 = 2 𝑒𝑡 lim 𝑣𝑛 = 2.
𝑛→+∞ 𝑛→+∞
3
• Toute suite croissante, majorée est convergente.
• Toute suite décroissante, minorée est convergente.
𝑢0 = −1
On considère la suite (𝑢𝑛 ) définie par : (∀𝑛 ∈ ℕ) { 1
𝑢𝑛+1 = 2−𝑢
𝑛
1. Montrer, pour tout 𝑛 ∈ ℕ, que 𝑢𝑛 < 1.
2. Etudier la monotonie de la suite (𝑢𝑛 ) puis en déduire qu’elle est convergente.
cos(𝑛)
On considère la suite (𝑢𝑛 ) définie par : 𝑢𝑛 = + 2.
𝑛2 +1
−1 1
1. Montrer que (∀𝑛 ∈ ℕ): 𝑛²+1 + 2 ≤ 𝑢𝑛 ≤ 𝑛2 +1 + 2.
2. En déduire la limite de (𝑢𝑛 ).
(−1)𝑛
On considère la suite (𝑢𝑛 ) définie par : 𝑢𝑛 = + 1. Montrer que lim 𝑢𝑛 = 1.
𝑛 𝑛⟶+∞
1 2𝑢𝑛
Soit (𝑢𝑛 ) la suite numérique définie par 𝑢0 = 3 𝑒𝑡 (∀𝑛 ∈ ℕ) 𝑢𝑛+1 = 𝑢 .
𝑛 +1
1. Montrer que (∀𝑛 ∈ ℕ) ∶ 0 < 𝑢𝑛 < 1.
𝑢𝑛 (𝑢𝑛 −1)
2. a. Vérifier, pour tout 𝑛 ∈ ℕ, que 𝑢𝑛+1 − 𝑢𝑛 = − .
𝑢 +1 𝑛
b. Etudier la monotonie de (𝑢𝑛 ).
1
c. En déduire, pour tout 𝑛 ∈ ℕ, que 𝑢𝑛 ≥ et que la suite (𝑢𝑛 ) est convergente.
3
3
3. 3) a. Montrer que (∀𝑛 ∈ ℕ); 1 − 𝑢𝑛+1 ≤ 4 (1 − 𝑢𝑛 ).
3 𝑛 2
b. En déduire que (∀𝑛 ∈ ℕ); 1 − 𝑢𝑛 ≤ (4) × 3.
c. Déterminer lim 𝑢𝑛 .
𝑛→+∞
𝑢 −4
4. 4) pour tout 𝑛 ∈ ℕ, on pose : 𝑣𝑛 = 𝑢𝑛 −2
𝑛
a. Montrer que la suite (𝑣𝑛 ) est géométrique dont on déterminera la raison et le premier
terme.
b. Exprimer 𝑣𝑛 et 𝑢𝑛 en fonction de 𝑛 .
c. Déterminer au nouveau lim 𝑢𝑛 .
𝑛→+∞
4
Soit 𝑓 une fonction numérique continue en 𝑙 et (𝑢𝑛 ) une suite convergente et sa limite est 𝑙.
La suite (𝑣𝑛 ) tel que 𝑣𝑛 = 𝑓(𝑢𝑛 ) est une suite convergente et sa limite est 𝑓(𝑙).
𝜋𝑛+2
Déterminons la limite de la suite (𝑣𝑛 ) définie par : (∀𝑛 ∈ ℕ): 𝑣𝑛 = 𝑐𝑜𝑠 (3𝑛−1).
1−𝑛2 𝜋 16𝑛²−3𝑛+1
Calculer les limites des suites (𝑢𝑛 ) et (𝑣𝑛 ) suivantes 𝑢𝑛 = sin (𝑛+6𝑛2 ) et 𝑣𝑛 = √ 2𝑛²+1
Soit 𝑓 une fonction numérique et 𝐼 un intervalle de 𝐷𝑓 et soit (𝑢𝑛 )𝑛 une suite telle
𝑢 ∈𝐼
que :{ 0 . Si les conditions suivantes sont vérifiées :
𝑢𝑛+1 = 𝑓(𝑢𝑛 ); 𝑛 ∈ 𝐼𝑁
• 𝑓 est continue sur 𝐼.
• 𝑓(𝐼) ⊂ 𝐼.
• la suite (𝑢𝑛 )𝑛 converge vers 𝑙.
Alors 𝑓(𝑙) = 𝑙.
5
5 4
Limite d’une suite numérique 𝑈𝑛 = 𝑛2 − 𝑛3 𝑈𝑛 = √𝑛 − 4√𝑛
2BSF 1 et 2
Montrer que la fonction 𝑥 ↦ 𝑥√𝑥 + 1 + 𝑐𝑜𝑠(𝑥) sur admet une primitive sur 𝐼 = [−1, +∞[.
Fonction Primitives
𝑥↦0 𝑥↦𝑐
𝑥 ↦ 𝑎 (𝑎 ∈ ℝ ) 𝑥 ↦ a𝑥 + 𝑐
1
𝑥 ↦ 𝑥 𝑛 (𝑛 ∈ ℕ∗ ) 𝑥↦ 𝑥 𝑛+1 + 𝑐
𝑛+1
1
𝑥 ↦ 𝑥 𝑟 (𝑟 ∈ ℚ∗ ∖ {−1} ) 𝑥↦ 𝑥 𝑟+1 + 𝑐
𝑟+1
1
𝑥↦ 𝑥 ↦ 2√𝑥 + 𝑐
√𝑥
1 1
𝑥↦ 𝑥 ↦− +𝑐
𝑥² 𝑥
𝑥 ↦ 𝑐𝑜𝑠𝑥 𝑥 ↦ 𝑠𝑖𝑛𝑥 + 𝑐
𝑥 ↦ 𝑠𝑖𝑛𝑥 𝑥 ↦ −𝑐𝑜𝑠𝑥 + 𝑐
1
𝑥 ↦ 1 + (𝑡𝑎𝑛𝑥)2 𝑥 ↦ 𝑡𝑎𝑛𝑥 + 𝑐
1
𝑥 ↦ cos(𝑎𝑥 + 𝑏) , (𝑎 ≠ 0 ) 𝑥 ↦ sin(𝑎𝑥 + 𝑏) + 𝑐
𝑎
1
𝑥 ↦ sin(𝑎𝑥 + 𝑏) , (𝑎 ≠ 0 ) 𝑥 ↦ − cos(𝑎𝑥 + 𝑏) + 𝑐
𝑎
1
𝑈′ × 𝑈 𝑟 (𝑟 ∈ ℚ∗ ∖ {−1} ) 𝑈 𝑟+1 + 𝑐
𝑟+1
𝑈′𝑉 + 𝑈𝑉′ 𝑈×𝑉+𝑐
𝑈 ′ 𝑉 − 𝑈𝑉′ 𝑈
+𝑐
𝑉² 𝑉
𝑈′ 1
− +𝑐
𝑈² 𝑈
𝑈′
2√𝑈 + 𝑐
√𝑈
2
Primitives Primitives
2BSF 1 et 2 2BSF 1 et 2
1
La fonction est la primitive de la fonction 𝑥 ↦ 𝑥 sur ]0, +∞[ qui
s’annule en 1 , et se note par ln ou Log.
1 1 3
o 𝑙 𝑛(√8) = 2 𝑙 𝑛(8) = 2 𝑙 𝑛(23 ) = 2 𝑙𝑛 (2) .
3 4
o 𝑙 𝑛 (4) + 𝑙 𝑛 (3) = 𝑙𝑛(3) − 𝑙𝑛(4) + 𝑙𝑛(4) − 𝑙𝑛(3) = 0 .
3
Simplifier les expressions suivantes 𝐴 = 𝑙𝑛(9) + 𝑙𝑛 √3 − 𝑙𝑛(81) et 𝐵 =
𝑙𝑛 (√2 + √2) + 𝑙𝑛 (√2 − √2).
Résoudre dans ℝ l’équation suivante (𝐸): 𝑙𝑛(𝑥 2 − 1) + 2 𝑙𝑛(2) = 𝑙𝑛 (4𝑥 − 1).
• L’équation 𝑙𝑛(𝑥) = 1 admet une solution unique sur ]0, +∞[ qui se note par 𝑒 (𝑒 ⋍
2,71).
• Pour tout 𝑟 ∈ ℚ on a : 𝑙𝑛(𝑒 𝑟 ) = 𝑟.
𝑙𝑛 (𝑥)
𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛𝑥 = +∞ 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛𝑥 = −∞ 𝑙𝑖𝑚 =1
𝑥→+∞ 𝑥→0+ 𝑥→1 𝑥−1
𝑙𝑛𝑥 𝑙𝑛𝑥 𝑙𝑛 (𝑥+1)
𝑙𝑖𝑚 =0 𝑙𝑖𝑚 = 0 (𝑛𝜖𝐼𝑁 ∗ ) 𝑙𝑖𝑚 =1
𝑥→+∞ 𝑥 𝑥→+∞ 𝑥 𝑛 𝑥→0 𝑥
𝑙𝑖𝑚 𝑥𝑙𝑛𝑥 = 0. 𝑙𝑖𝑚 𝑥 𝑛 𝑙𝑛𝑥 = 0 (𝑛𝜖𝐼𝑁 ∗ )
𝑥→0+ 𝑥→0+
➢ Tableau de variations :
2
➢ Les branches infinies :
o On a 𝑙𝑖𝑚+ 𝑙𝑛𝑥 = −∞ , alors l’axe des ordonnés est une asymptote verticale de (𝐶𝑙𝑛 ).
𝑥→0
𝑙𝑛𝑥
o On a 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛𝑥 = +∞ et 𝑙𝑖𝑚 = 0, alors la courbe (𝐶𝑙𝑛 )admet une branche
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 𝑥
parabolique direction l’axe des abscisses .
➢ Concavité de la courbe de 𝒙 ↦ 𝒍𝒏(𝒙) :
−1
Pour tout 𝑥 > 0, on a (𝑙𝑛(𝑥))′′ = 𝑥 2 < 0 , alors la courbe (𝐶𝑙𝑛 ) est concave.
➢ Représentation graphique de 𝒙 ↦ 𝒍𝒏(𝒙) :
𝑥 1
Déterminons les primitives de la fonction 𝑓: 𝑥 ⟼ 𝑥 2+4 − 4𝑥+3 sur l’intervalle 𝐼 =
3
]− 4 , +∞[.
1 (𝑥²+4)′ 1 (4𝑥+3)′
On a 𝑓(𝑥) = 2 × −4× .
𝑥 2 +4 4𝑥+3
3 1
Donc les primitives de la fonction 𝑓 sur 𝐼 = ]− 4 , +∞[ sont 𝑥 ⟼ 2 𝑙𝑛(|𝑥 2 + 4|) −
3
1
𝑙𝑛(|4𝑥 + 3|) + 𝑐 .
4
1 1
C’est-à-dire 𝑥 ⟼ 2 𝑙𝑛(𝑥 2 + 4) − 4 𝑙𝑛(4𝑥 + 3) + 𝑐 où c ϵℝ .
𝑙𝑜𝑔𝑒 (𝑥) = 𝑙𝑛(𝑥) 𝑙𝑜𝑔𝑎 (𝑎) = 1 𝑙𝑜𝑔𝑎 (1) = 0 𝑙𝑜𝑔𝑎 (𝑎𝑟 ) = 𝑟(𝑟 ∈ 𝑄)
1
Simplifier le nombre suivant : 𝐴 = 𝑙𝑜𝑔2 (8) − 𝑙𝑜𝑔3 (27) + 𝑙𝑜𝑔5 (125).
Soit 𝑎 ∈ 𝐼𝑅 ∗ \{1} .
• Si 𝑎 > 1, alors la fonction 𝑙𝑜𝑔𝑎 est strictement croissante sur ]0, +∞[.
• Si 0 < 𝑎 < 1, alors la fonction 𝑙𝑜𝑔𝑎 est strictement décroissante sur ]0, +∞[.
1
La fonction 𝑙𝑜𝑔𝑎 est dérivable sur ]0, +∞[ et on a (∀𝑥 ∈]0, +∞[) ∶ 𝑙𝑜𝑔′𝑎 (𝑥) = 𝑥𝑙𝑛(𝑎).
Donc le signe de 𝑙𝑜𝑔′𝑎 (𝑥) dépend du signe de 𝑙𝑛𝑎, ce qui nous amène à discuter deux cas :
• 𝑎 > 1 ( c.-à-d. 𝑙𝑛𝑎 > 0) • 0 < 𝑎 < 1( c.-à-d. 𝑙𝑛𝑎 < 0)
4
La fonction est la fonction logarithme de base 10. Elle est notée log et
ln(𝑥)
On a (∀𝑥 ∈]0, +∞[) ∶ log(𝑥) = ln(10).
1
Simplifier le nombre suivant : 𝐴 = 𝑙𝑜𝑔(1000) − 𝑙𝑜𝑔(0,0001) + 𝑙𝑜𝑔 (10000).
Le ph d’une solution aqueuse est 𝑝ℎ = −𝑙𝑜𝑔 ([𝐻3 𝑂+ ]). Ainsi : [𝐻3 𝑂+ ] = 10−𝑝ℎ .
5
Fonctions logarithmes
2BSF 1 et 2 Calculer les limites suivantes :
𝑙𝑛𝑥
1. 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛𝑥 − √𝑥 2. 𝑙𝑖𝑚
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ √𝑥
𝑙𝑛𝑥+4 𝑥
1 3. 𝑙𝑖𝑚 4. 𝑙𝑖𝑚+ 𝑙𝑛 (𝑥+1)
𝑥2
Montrer que la fonction 𝑓: 𝑥 ↦ 𝑥 admet une primitive 𝑥→+∞ 𝑥→0
𝑙𝑛 (𝑥 2 +1) 𝑙𝑛 (𝑥 2 +1)
sur ]0, +∞[. 5. 𝑙𝑖𝑚 6. 𝑙𝑖𝑚
𝑥→+∞ 𝑥 𝑥→+∞ 𝑥3
La primitive de 𝑓 sur ]0, +∞[ qui s’annule en 1 est 7. 𝑙𝑖𝑚 2𝑙𝑛2 𝑥 − 𝑙𝑛𝑥 + 1 8. 𝑙𝑖𝑚− 𝑙𝑛 (2 − 𝑥)
𝑥→+∞ 𝑥→2
appelée fonction logarithme népérien et se note par 𝑙𝑛. 𝑥
ln ( )
3
Étudier les variations de la fonction 𝑙𝑛 sur ]0, +∞[ . 9. 𝑙𝑖𝑚
𝑥→3 𝑥−3
Déduire que :
2
∀(𝑥, 𝑦) ∈ ℝ+ ∗ ∶ 𝑙𝑛 (𝑥) > 𝑙𝑛 (𝑦) ⇔ 𝑥 > 𝑦. Calculer les limites suivantes :
Étudier le signe de la fonction ln sur ]0, +∞[ . 1. 𝑙𝑖𝑚 2𝑥 − 𝑙𝑛𝑥 2. 𝑙𝑖𝑚 𝑥 2 − 5𝑙𝑛𝑥
𝑥→+∞ 𝑥→+∞
3. 𝑙𝑖𝑚+ 𝑥 4 (𝑙𝑛𝑥)3 4. 𝑙𝑖𝑚
𝑙𝑛2 𝑥
Déterminer l’ensemble de définition de la fonction 𝑓 𝑥→0
𝑥→+∞ 𝑥
dans les cas suivants : 𝑙𝑛3 𝑥 1
5. 𝑙𝑖𝑚 6. 𝑙𝑖𝑚 ( + 𝑙𝑛𝑥)
𝑓(𝑥) = 𝑙𝑛(3𝑥 + 9). 𝑥→+∞ 𝑥 2 𝑥→0+ 𝑥
𝑙𝑛𝑥 ln(2𝑥+3)
𝑥+1 7. 𝑙𝑖𝑚 8. 𝑙𝑖𝑚
𝑓(𝑥) = 𝑙 𝑛 (𝑥−2) . 𝑥→+∞ 𝑥+𝑙𝑛𝑥 𝑥→+∞ 𝑥 2 +1
𝑥 2 +𝑥+1 𝑙𝑛𝑥−1
𝑓(𝑥) = 𝑙𝑛(𝑥² − 2𝑥) . 9. 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑛 ( 3+2𝑥 2 ) 10. 𝑙𝑖𝑚
𝑥→−∞ 𝑥→𝑒 𝑥−𝑒
𝑓(𝑥) = 𝑙𝑛(|2𝑥 − 1|). 2𝑙𝑛2 𝑥−𝑙𝑛𝑥 𝑙𝑛(1+2𝑥 2 −𝑥)
11. 𝑙𝑖𝑚 12. 𝑙𝑖𝑚
𝑥→+∞ 1+𝑙𝑛𝑥 𝑥→0 2𝑥
Soient 𝑧 = 𝑎 + 𝑖𝑏 et 𝑧 ′ = 𝑎′ + 𝑖𝑏 ′ . On a :
• 𝑧 + 𝑧 ′ = (𝑎 + 𝑖𝑏) + (𝑎′ + 𝑖𝑏 ′ ) = 𝑎 + 𝑏 + 𝑖(𝑏 + 𝑏′).
• 𝑧 × 𝑧 ′ = (𝑎 + 𝑖𝑏) × (𝑎′ + 𝑖𝑏 ′ ) = 𝑎𝑎′ − 𝑏𝑏 ′ + 𝑖(𝑎𝑏 ′ + 𝑎′ 𝑏).
1 1 𝑎−𝑖𝑏 𝑎−𝑖𝑏
• 𝑧 = 𝑎+𝑖𝑏 = (𝑎+𝑖𝑏)×(𝑎−𝑖𝑏) = 𝑎²+𝑏² (z ≠ 0)
𝑧+1
Soit 𝑀 un point du plan complexe d’affixe 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦, 𝑀′ le point d’affixe 𝑧 ′ = 𝑧−1.
1) Ecrire 𝑧 ′ sous la forme algébrique.
2) Déterminer l’ensemble des points 𝑀 du plan tels que 𝑧 ′ est un nombre réel.
3) Déterminer l’ensemble des points 𝑀 du plan tels que 𝑧 ′ est un nombre imaginaire pur.
• Tout nombre complexe 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 tels que 𝑥 et 𝑦 deux réels associé à un unique point 𝑀,
appelé de 𝑧, des coordonnées (𝑥, 𝑦) et on écrit 𝑀(𝑧).
• Tout point 𝑀(𝑥; 𝑦), le nombre complexe 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 s’appelle M et on
écrit 𝑧 = 𝑎𝑓𝑓(𝑀).
• Le vecteur 𝑢
⃗ (𝑥; 𝑦) s’appelle du nombre 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 et le nombre 𝑧
s’appelle du vecteur 𝑢⃗ et on écrit 𝑧 = 𝑎𝑓𝑓(𝑢
⃗ ).
Construire dans le plan complexe rapporté au repère orthonormé (𝑂; ⃗⃗⃗ 𝑒2 ) les points
𝑒1 ; ⃗⃗⃗
1
𝐴(−1 + 𝑖) ; 𝐵(2 − 2𝑖) ;𝐶 (2 𝑖)et 𝐷(2 + 2𝑖).
2
Les points 𝐴,𝐵 et 𝐶 sont alignés si et seulement il existe un réel 𝑘 tel que ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ .
𝐴𝐵 = 𝑘𝐴𝐶
𝑧𝐵 −𝑧𝐴
Et on a : ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⟺ 𝑧𝐵 − 𝑧𝐴 = 𝑘(𝑧𝐶 − 𝑧𝐴 ) ⟺
𝐴𝐵 = 𝑘𝐴𝐶 = 𝑘 ∈ ℝ.
𝑧 −𝑧
𝐶 𝐴
3
On considère dans le plan complexe les points 𝐴(4 ; −6),𝐵(−2 ; 3) et 𝐶 (−1 ; 2). Montrer
que les points 𝐴,𝐵 et 𝐶 sont alignés.
Soient 𝐴(𝑧𝐴 ),𝐵(𝑧𝐵 ) , 𝑐(𝑧𝐶 ) et 𝐷(𝑧𝐷 ) quatre points non alignés et deux à deux distincts du
plan complexe.
Les points 𝐴, 𝐵 , 𝐶 et 𝐷 sont (appartiennent au même cercle) si et seulement
𝑧𝐴−𝑧𝐵 𝑧𝐶−𝑧𝐷
si : 𝑧 ×𝑧 ∈ ℝ.
𝐶−𝑧𝐵 𝐴−𝑧𝐷
On considère dans le plan complexe les points 𝐴(1 + 𝑖), 𝐵(3 + 𝑖),𝐶(2 + 2𝑖) et 𝐷(2).
Montrer que les points 𝐴,𝐵,𝐶 et 𝐷 sont cocycliques.
𝑖𝑧 3+𝑧
Soit 𝑧 un nombre complexe différent de −2𝑖. Simplifier l’expression 𝑧+2𝑖 + 𝑖 (𝑧−2𝑖).
3
• 𝑧 + 𝑧 = 2𝑅𝑒(𝑧) et 𝑧 − 𝑧 = 2𝑖 𝐼𝑚( 𝑧).
• 𝑧 ∈ 𝐼𝑅 ⇔ 𝑧 = 𝑧.
• 𝑧 ∈ 𝑖𝐼𝑅 ⇔ 𝑧 = −𝑧.
2+3𝑖 2−3𝑖
On pose : 𝑢 = 3+2𝑖 et 𝑣 = 3−2𝑖. Sans calculer 𝑢 + 𝑣 et 𝑢 − 𝑣 , Montrer que 𝑢 + 𝑣 est réel
et que 𝑢 − 𝑣 est imaginaire pur.
Dans le plan complexe, on considère les points 𝐴(−1 + 6𝑖),𝐵(1 + 9𝑖) et 𝐶(2 + 4𝑖).
Montrer que le triangle 𝐴𝐵𝐶 est isocèle.
Déterminer dans le plan complexe l’ensemble (𝐸) des points 𝑀(𝑧) dans les cas suivants :
a. |𝑧 − 2 + 𝑖| = |𝑧 − 4𝑖| ;
b. |𝑧 + 𝑖| = |𝑧 − 1 + 𝑖| ;
c. |𝑧 − 2 + 𝑖| = 4 ;
d. |𝑖𝑧 − 2| = |𝑧 + 1 − 𝑖| ;
e. |𝑖𝑧| = |𝑧 + 1 − 𝑖|.
4
On muni le plan (𝒫) par un repère orthonormé direct (𝑂, ⃗⃗⃗ 𝑒2 ).
𝑒1 , ⃗⃗⃗
Soit 𝑀(𝑧) un point du plan complexe (𝒫) différent de 𝑂. M
y
On appelle du nombre complexe 𝑧, la mesure de
l’angle orienté (𝑒⃗⃗⃗̂
, ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑂𝑀) qu’on note par le symbole 𝑎𝑟𝑔(𝑧).
1 O x
Et on a 𝑎𝑟𝑔(𝑧) ≡ 𝜃[2𝜋] ( c-à-d 𝑎𝑟𝑔(𝑧) = 𝜃 + 2𝑘𝜋/𝑘 ∈ ℤ).
𝜋
o 𝑎𝑟𝑔 (2𝑖) ≡ 2 [2𝜋] o 𝑎𝑟𝑔 (√5 − √7) ≡ 𝜋[2𝜋]
𝜋
o 𝑎𝑟𝑔 (1 + √3) ≡ 0[2𝜋] o 𝑎𝑟𝑔(−2𝑖) ≡ − 2 [2𝜋]
𝜋
On considère z1 , z2 et z3 trois nombres complexes non nuls tels que 𝑎𝑟𝑔(𝑧1 ) ≡ 2 [2𝜋] et
𝜋
𝑎𝑟𝑔(𝑧2 ) ≡ 4 [2𝜋].
Déterminer l’argument du nombre z3 dans les cas suivants :
𝑧3
a. = 𝑧1 ².
𝑧 2
b. 𝑧3 × 𝑧2 = 4𝑧1.
On pose 𝑧1 = 1 + 𝑖√3 et 𝑧2 = 1 + 𝑖.
1) Ecrire z1 et z2 sous la forme trigonométrique puis en déduire la forme trigonométrique
5
𝑧12
du nombre 𝑍 = .
𝑧2
2) Ecrire Z sous la forme algébrique.
5𝜋 5𝜋
3) En déduire la valeur de cos ( ) et sin ( ).
12 12
4) Montrer que 𝑧12 ∈ ℝ.
• ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
𝑧 −𝑧
⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗
(𝐴𝐵 𝐷𝐶 ) ≡ arg (𝑧𝐶 −𝑧𝐷 ) [2𝜋].
𝐵 𝐴
On considère dans le plan complexe les points A(2; 2),B(2; −1),C(4; 2) et D(6; 2).
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗
1) Calculer (𝐴𝐷 𝐴𝐶 ) , que peut-on déduire ?
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗
2) Calculer (𝐴𝐶 𝐴𝐵 ). Que peut-on dire de la position des deux droites (AB) et (AC) ?
Soit 𝑡𝑢⃗ une translation de vecteur 𝑢⃗ (𝑧𝑢⃗ ) et soit 𝑀′ (𝑧𝑀′ ) l'image du point 𝑀(𝑧𝑀 ) par la
translation 𝑡𝑢⃗ . On a : 𝑡𝑢⃗ (𝑀) = 𝑀′ ⟺ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝑀′ = 𝑢 ⃗
⟺ 𝑧⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝑀′
= 𝑧𝑢⃗
⟺ 𝑧𝑀′ − 𝑧𝑀 = 𝑧𝑢⃗
⟺ 𝑧𝑀′ = 𝑧𝑀 + 𝑧𝑢⃗
Cette écriture s’appelle 𝑡𝑢⃗ .
π
1) On considère le nombre complexe z = 2√2 + 2i√6. Montrer que z = [4√2; ].
3
π
i
On écrit z sous la forme z = 4√2e . Cette écriture s’appelle
3 du
nombre complexe z.
2) Donner une forme exponentielle des nombres complexes suivants : 𝑧1 = 1 − 𝑖, z2 =
2i, 𝑧3 = 3 + 3𝑖√3 et 𝑧4 = −3.
o 𝑒 𝑖𝜋 = −1.
3𝜋
3𝜋 3𝜋 𝜋 𝜋
o 2𝑒 𝑖 4 = 2 (𝑐𝑜𝑠 + 𝑖𝑠𝑖𝑛 ) = 2 (𝑐𝑜𝑠 (𝜋 − 4 ) + 𝑖𝑠𝑖𝑛 (𝜋 − 4 )) = −√2 + 𝑖√2.
4 4
𝜋 5𝜋
1) Ecrire sous la forme algébrique les nombres complexes : 𝑧1 = 4𝑒 −𝑖 3 et 𝑧2 = 𝑒 𝑖 4 .
𝜋 𝜋
2) Ecrire sous la forme exponentielle le nombre complexe 𝑧 = −3 (𝑐𝑜𝑠 + 𝑖 𝑠𝑖𝑛 ).
12 12
𝑛
On a : (∀𝑛 ∈ ℤ)(∀𝜃 ∈ ℝ) ∶ (𝑒 𝑖𝜃 ) = 𝑒 𝑖𝑛𝜃 .
𝑛
Ainsi : (∀𝑛 ∈ ℤ)(∀𝜃 ∈ ℝ) ∶ (cos(𝜃) + 𝑖𝑠𝑖𝑛(𝜃)) = cos(𝑛𝜃) + 𝑖𝑠𝑖𝑛(𝑛𝜃).
Cette égalité s’appelle .
7
𝑛
(∀𝑛 ∈ ℤ)(∀𝜃 ∈ ℝ) ∶ (cos(𝜃) + 𝑖𝑠𝑖𝑛(𝜃)) = cos(𝑛𝜃) + 𝑖𝑠𝑖𝑛(𝑛𝜃).
1) Ecrire par deux méthodes différentes (𝑐𝑜𝑠(𝑥) + 𝑖 𝑠𝑖𝑛(𝑥))2 sous la forme algébrique.
2) En déduire la valeur de 𝑐𝑜𝑠(2𝑥) et 𝑠𝑖𝑛(2𝑥)en fonction de 𝑐𝑜𝑠(𝑥) et 𝑠𝑖𝑛(𝑥).
𝑒 𝑖𝜃 +𝑒 −𝑖𝜃 𝑒 𝑖𝜃 −𝑒 −𝑖𝜃
( ∀𝜃 ∈ ℝ) cos(𝜃) = et s𝑖𝑛(𝜃) = .
2 2𝑖
1 1
1) En utilisant les formules d’Euler, montrer que ( ∀𝑥 ∈ ℝ) :(𝑐𝑜𝑠(𝑥))2 = 2 𝑐𝑜𝑠(2𝑥) + 2.
On dit dans ce cas-là qu’on a linéarisé le polynôme trigonométrique (𝑐𝑜𝑠(𝑥))2.
2) Linéariser les expressions suivantes 𝑠𝑖𝑛2 (𝑥) et cos 3 (x).
Soit 𝑅 une rotation de centre Ω(𝑧Ω ) et de mesure d’angle 𝜃, et soit 𝑀′ (𝑧𝑀′ ) l'image de
′
ΩM ′ = ΩM
𝑀(𝑧𝑀 ) par la rotation 𝑅. On a : 𝑅(𝑀) = 𝑀 ⟺ {̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
(ΩM ΩM′) ≡ 𝜃[2𝜋]
|𝑧𝑀′ − zΩ | = |𝑧𝑀 − zΩ |
⟺{ 𝑧 −z
arg ( 𝑧𝑀′−z Ω ) ≡ 𝜃[2𝜋]
𝑀 Ω
|𝑧𝑀′ −zΩ |
|𝑧𝑀 −zΩ |
=1
⟺{ 𝑧 −z
arg ( 𝑧𝑀′−z Ω ) ≡ 𝜃[2𝜋]
𝑀 Ω
𝑧𝑀′ −zΩ
| 𝑧 −z | = 1
𝑀 Ω
⟺{ 𝑧𝑀′ −zΩ
arg ( 𝑧 −z ) ≡ 𝜃[2𝜋]
𝑀 Ω
𝑧𝑀′ −zΩ 𝑖𝜃
⟺ =𝑒
𝑧𝑀 −zΩ
8
⟺ 𝑧𝑀′ = (𝑧𝑀 − zΩ )𝑒 𝑖𝜃 + zΩ .
Cette écriture s’appelle 𝑅.
Soit 𝑅 une rotation de centre Ω(𝑧Ω ) et de mesure d’angle 𝜃, et soit 𝑀′ (𝑧𝑀′ ) l'image de
𝑀(𝑧𝑀 ) par la rotation 𝑅. On a : 𝑧𝑀′ = (𝑧𝑀 − zΩ )𝑒 𝑖𝜃 + zΩ .
𝜋
1) On considère la rotation 𝑅 de centre Ω(2 + 3𝑖) et de mesure d’angle 2 .
a. Déterminer la représentation complexe de la rotation 𝑅.
b. Déterminer l’affixe du point 𝐴′ l'image 𝐴(2 − 𝑖) par la rotation 𝑅.
c. Déterminer l’affixe du point 𝐵 avec 𝑅(𝐵) = 𝐵 ′ et 𝐵 ′ (−2 − 4𝑖).
5𝜋
2) Déterminer l’image du point 𝑀(4𝑖) par la rotation de centre 𝑂 et de mesure d’angle .
6
9
1) a) Déterminer la forme algébrique du nombre complexe
Nombres complexes
3𝑖𝑧 − 𝑧.
2BSF 1 et 2 b) Résoudre dans ℂ l’équation 3𝑖𝑧 − 𝑧 = 8𝑖.
c) Déterminer les nombres complexes 𝑧 pour que 3𝑖𝑧 −
𝑧soit un nombre imaginaire pur.
4𝑧−2
Ecrire sous la forme algébrique les nombres suivants : 2) Résoudre l’équation = −3 + 𝑖.
𝑧+1
𝑧1 = 4𝑖 − (2 + 5𝑖) et 𝑧2 = 3(1 + 𝑖) + 𝑖(𝑖 + 1).
2+3𝑖 2−3𝑖
On pose : 𝑢 = 3+2𝑖 et 𝑣 = 3−2𝑖. Sans calculer 𝑢 + 𝑣 et 𝑢 − 𝑣 ,
Déterminer la valeur des nombres réels 𝑎 𝑒𝑡 𝑏 dans les cas
suivants : Montrer que 𝑢 + 𝑣 est réel et que 𝑢 − 𝑣 est imaginaire pur.
▪ (1 + 2𝑖)𝑎 + 𝑏 = 5 − 4𝑖
▪ (2 + 𝑖)𝑎 + (3 − 2𝑖)𝑏 = 1 + 4𝑖 On pose :𝑧1 = 1 + 𝑖 et 𝑧2 = 1 − 𝑖√3.
1) Calculer |𝑧1 | et |𝑧2 |.
Ecrire sous la forme algébrique les nombres suivants : 2) En déduire le module des nombres suivants :𝑧1 × 𝑧2 ,𝑧16 et
2
• 𝑧1 = (2 + 3𝑖)(−1 + 𝑖) • 𝑧2 = (1 + √3𝑖)(1 − √3𝑖) 𝑧
(𝑧1 ) .
1 1
• 𝑧3 = 2+3𝑖 + (2 + 𝑖)² • 𝑧4 = − 4𝑖 2
1+𝑖
• 𝑧5 = 1−𝑖 1+𝑖 14
• 𝑧6 = ( ) Dans le plan complexe, on considère les points 𝐴(−1 +
1−𝑖
6𝑖),𝐵(1 + 9𝑖) et 𝐶(2 + 4𝑖). Montrer que le triangle 𝐴𝐵𝐶 est
isocèle.
1. Soit 𝑧 = (𝑥 + 𝑖)[(𝑥 + 5) − 𝑖(𝑥 − 7)] tel que 𝑥 est réel.
Déterminer le réel x dans chacun des cas :
a. z ∈ ℝ. Déterminer dans le plan complexe l’ensemble (𝐸) des points
b. z ∈ iℝ. 𝑀(𝑧) dans les cas suivants :
c. ℐ𝓂(z) = 2ℛℯ(z). a. |𝑧 − 2 + 𝑖| = |𝑧 − 4𝑖| ;
2. Résoudre dans ℂ les équations suivantes (𝐸1 ) : 𝑖𝑍 − b. |𝑧 + 𝑖| = |𝑧 − 1 + 𝑖| ;
𝑍+𝑖 c. |𝑧 − 2 + 𝑖| = 4 ;
1 = 𝑍 + 3𝑖 𝑒𝑡 (𝐸2 ): = 𝑖.
𝑍−𝑖 d. |𝑖𝑧 − 2| = |𝑧 + 1 − 𝑖| ;
e. |𝑖𝑧| = |𝑧 + 1 − 𝑖|.
Soit 𝑀 un point du plan complexe d’affixe 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦, 𝑀′ le
𝑧+1
point d’affixe 𝑧 ′ = 𝑧−1. Ecrire sous la forme trigonométrique les nombres complexes
1) Ecrire 𝑧 ′ sous la forme algébrique. suivants :
2) Déterminer l’ensemble des points 𝑀 du plan tels que 𝑧 ′ est • 𝑧1 = 1 + 𝑖√3 • 𝑧2 = 1 − 𝑖√3
un nombre réel. • 𝑧3 = −1 − 𝑖√3 • 𝑧4 = −2√3 + 2𝑖
3) Déterminer l’ensemble des points 𝑀 du plan tels que 𝑧 ′ est • 𝑧5 = 4 • 𝑧6 = −7
un nombre imaginaire pur.
On considère z1 , z2 et z3 trois nombres complexes non nuls
Construire dans le plan complexe rapporté au repère 𝜋 𝜋
tels que 𝑎𝑟𝑔(𝑧1 ) ≡ 2 [2𝜋] et 𝑎𝑟𝑔(𝑧2 ) ≡ 4 [2𝜋].
orthonormé (𝑂; 𝑒⃗⃗⃗1 ; 𝑒⃗⃗⃗2 ) les points 𝐴(−1 + 𝑖) ; 𝐵(2 − 2𝑖)
1 Déterminer l’argument du nombre z3 dans les cas suivants :
;𝐶 (2 𝑖)et 𝐷(2 + 2𝑖). 𝑧
a. 3 = 𝑧1 ².
𝑧 2
b. 𝑧3 × 𝑧2 = 4𝑧1.
On considère dans le plan complexe les
points : 𝐴(2𝑖); 𝐵(1 − 𝑖) 𝑒𝑡 𝐶(3)
1) Déterminer l’affixe des vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ et 3𝐴𝐵
𝐴𝐵 , AC ⃗⃗⃗⃗⃗ − ⃗⃗⃗⃗⃗
𝐵𝐶 . On pose 𝑧1 = 1 + 𝑖√3 et 𝑧2 = 1 + 𝑖.
1) Ecrire z1 et z2 sous la forme trigonométrique puis en
2) Déterminer l’affixe du point 𝐷 sachant que 𝐴𝐵𝐶𝐷 est un
𝑧12
parallélogramme. déduire la forme trigonométrique du nombre 𝑍 = 𝑧2
.
3) Déterminer l’affixe du point 𝐼 le centre du parallélogramme 2) Ecrire Z sous la forme algébrique.
𝐴𝐵𝐶𝐷. 5𝜋 5𝜋
3) En déduire la valeur de cos ( ) et sin ( ).
12 12
On considère dans le plan complexe les points 4) Montrer que 𝑧12 ∈ ℝ.
3
𝐴(4 ; −6),𝐵(−2 ; 3) et 𝐶 (−1 ; 2). Montrer que les points 𝐴,𝐵
On considère dans le plan complexe les points
et 𝐶 sont alignés. A(2; 2),B(2; −1),C(4; 2) et D(6; 2).
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
⃗⃗⃗⃗⃗ , 𝐴𝐶
1) Calculer (𝐴𝐷 ⃗⃗⃗⃗⃗ ) , que peut-on déduire ?
On considère dans le plan complexe les points 𝐴(1 + 𝑖), ̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
𝐵(3 + 𝑖),𝐶(2 + 2𝑖) et 𝐷(2). Montrer que les points 𝐴,𝐵,𝐶 et 𝐷 ⃗⃗⃗⃗⃗ , ⃗⃗⃗⃗⃗
2) Calculer (𝐴𝐶 𝐴𝐵 ). Que peut-on dire de la position des
sont cocycliques. deux droites (AB) et (AC) ?
Soit 𝑧 un nombre complexe différent de −2𝑖. Simplifier Dans le plan complexe on considère les points A,B et C
𝑖𝑧 3+𝑧 d’affixes respectivement 𝑧𝐴 = √3 − 𝑖,𝑧𝐵 = −𝑧𝐴 et 𝑧𝐶 = √3 +
l’expression + 𝑖 (𝑧−2𝑖).
𝑧+2𝑖 3𝑖 et soit 𝐷 le point symétrique de 𝐶 par rapport à l’axe réel.
𝑧𝐴 −𝑧𝐷
1) Calculer puis déduire que les points A,D et C sont
𝑧 −𝑧𝐴 𝐶
On pose 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 où 𝑥 et 𝑦 sont deux réels.
alignés. • (𝐸2 ): 𝑧² + 2√3𝑧 + 4 = 0.
2) Vérifier que
𝑧𝐶 −𝑧𝐴
=
1−𝑖√3
. • (𝐸3 ): 2𝑧² − 3𝑧 + 2 = 0.
𝑧𝐵 −𝑧𝐴 2
2) On pose 𝑝(𝑧) = 𝑧 3 − 6𝑧 2 + 12𝑧 − 16.
3) Montrer que le triangle ABC est équilatéral.
a. Déterminer les réels 𝑎 et 𝑏 tels que :
( ∀𝑧 ∈ ℂ) 𝑝(𝑧) = (𝑧 − 4)(𝑧 2 + 𝑎𝑧 + 𝑏).
On considère les points A, B, C et D d’affixes b. Résoudre dans ℂ : 𝑝(𝑧) = 0.
respectives𝑎 = √3; 𝑏 = 2 + 𝑖√3; 𝑐 = 2 − √3 + 2𝑖 et
𝑑 = (2 − √3)𝑖. 1) On considère la rotation 𝑅 de centre Ω(2 + 3𝑖) et de mesure
Montrer que ABCD est un carré. 𝜋
d’angle 2 .
a. Déterminer la représentation complexe de la rotation 𝑅.
On considère la translation t de vecteur 𝑢
⃗ (−1 + 2i). b. Déterminer l’affixe du point 𝐴′ l'image 𝐴(2 − 𝑖) par la
1) Déterminer la représentation complexe de la translation t. rotation 𝑅.
2) Déterminer l’affixe du point 𝐴′ l'image de 𝐴(2𝑖) par la c. Déterminer l’affixe du point 𝐵 avec 𝑅(𝐵) = 𝐵′ et
translation t 𝐵′ (−2 − 4𝑖).
3) Déterminer l’affixe de 𝐵 tels que 𝑡(𝐵) = 𝐵′ et 𝐵′ (2 − 3𝑖). 2) Déterminer l’image du point 𝑀(4𝑖) par la rotation de centre
5𝜋
𝑂 et de mesure d’angle 6 .
On considère l’homothétie de centre 𝛺(2 − 𝑖) et de rapport 4.
1) Déterminer la représentation complexe de l’homothétie h.
2) Déterminer l’affixe du point 𝐴′ l'image de 𝐴(1 + 𝑖) par On considère la transformation 𝐹 représentée par : 𝑧 ′ = −𝑖𝑧 +
l’homothétie ℎ. 𝑖 − 1.
3) Déterminer l’affixe de 𝐵 où ℎ(𝐵) = 𝐵′ et 𝐵′ (2𝑖). 1) Montrer qu’il existe un point unique 𝑀 du plan complexe
(𝒫) invariant par la transformation 𝐹. Notons ce point par
Ω et son affixe par 𝜔.
Connaitre la nature des transformations usuelles suivantes dont 2) Vérifier, pour tout 𝑀(𝑧) et 𝑀′ (𝑧 ′ ) du plan (𝒫), que :
la représentation complexe est comme suit :
𝐹(𝑀) = 𝑀′ ⇔ 𝑧 ′ − 𝜔 = −𝑖(𝑧 − 𝜔).
a. 𝑧′ = 𝑧 − 3𝑖.
3) En déduire la nature de la transformation 𝐹.
b. 𝑧′ + 2𝑖 = −5(𝑧 + 2𝑖).
c. 𝑧′ = 1 − 𝑧.
d. 𝑧′ = 4𝑧 − 3𝑖. 1) On considère dans l’ensemble des nombres complexes ℂ
l’équation
(𝐸): 𝑧 2 − 2(√2 + √6)𝑧 + 16 = 0
1) On considère le nombre complexe z = 2√2 + 2i√6. 2
Montrer que z = [4√2; 3 ].
π a. Vérifier que Δ = −4(√6 − √2) .
π b. En déduire les solutions de l’équation (𝐸).
On écrit z sous la forme z = 4√2ei 3 . Cette écriture s’appelle 2) 2) On considère les nombres complexes
du nombre complexe z. 𝑎 = (√6 + √2) + 𝑖(√6 − √2) ; 𝑏 = 1 + 𝑖√3 et
2) Donner une forme exponentielle des nombres complexes 𝑐 = √2 + 𝑖√2.
suivants : 𝑧1 = 1 − 𝑖, z2 = 2i, 𝑧3 = 3 + 3𝑖√3 et 𝑧4 = −3. a. Vérifier que 𝑏𝑐̅ = 𝑎 puis déduire que 𝑎𝑐 = 4𝑏.
b. Écrire les deux nombres complexes 𝑎 et 𝑏 sous forme
1) Ecrire sous la forme algébrique les nombres complexes : trigonométrique.
𝜋 5𝜋 𝜋 𝜋
𝑧1 = 4𝑒 −𝑖 3 et 𝑧2 = 𝑒 𝑖 4 . c. En déduire que 𝑎 = 4 (cos (12) + 𝑖 sin (12)).
2) Ecrire sous la forme exponentielle le nombre complexe 3) Dans le plan complexe est rapport à un repère orthonormé
𝜋
𝑧 = −3 (𝑐𝑜𝑠 12 + 𝑖 𝑠𝑖𝑛 12).
𝜋 direct (𝑂; 𝑢
⃗ ; 𝑣 ).On considére les points 𝐵; 𝐶 et 𝐷 d’affixes
respectives 𝑏 ; 𝑐 et 𝑑 tel que 𝑑 = 𝑎4 .
Soit 𝑧 l’affixe du point 𝑀 du plan et 𝑧 ′ l’affixe du point 𝑀′
On pose : 𝑧1 = 1 − 𝑖, z2 = 2i et 𝑧3 = 3 + 3𝑖√3. Ecrire sous la 𝜋
𝑧
image de 𝑀 par la rotation 𝑅 de centre O et d’angle 12.
forme exponentielle les nombres suivants : 𝑎 = 𝑧3 , 𝑏 = 𝑧18 et 1
1 a. Vérifier que 𝑧 ′ = 𝑎𝑧.
𝑧1 4
𝑐= 𝑧2 𝑧3
. b. Déterminer l’image du point 𝐶 par la rotation 𝑅.
c. Déterminer la nature du triangle 𝑂𝐵𝐶.
1) Ecrire par deux méthodes différentes d. Montrer que 𝑎4 = 128𝑏 et en déduire que les points 𝑂; 𝐵
(𝑐𝑜𝑠(𝑥) + 𝑖 𝑠𝑖𝑛(𝑥))2 sous la forme algébrique. et 𝐷 sont alignés.
2) En déduire la valeur de 𝑐𝑜𝑠(2𝑥) et 𝑠𝑖𝑛(2𝑥)en fonction de
𝑐𝑜𝑠(𝑥) et 𝑠𝑖𝑛(𝑥).
• Tout élément 𝑧 de ℂ s’écrit de façon unique sous la forme 𝑧 = 𝑎 + 𝑖𝑏 où 𝑎 𝑒𝑡 𝑏 sont deux nombres réels et
𝑎 = ℛℯ(z) et 𝑏 = ℐ𝓂(𝑧).
• Tout nombre qui s’écrit sous la forme 𝑖𝑏 est dit nombre imaginaire pur, et l’ensemble des nombres
imaginaires purs est noté iℝ.
• 𝑎′ + 𝑖𝑏 ′ = 𝑎 + 𝑖𝑏 ⟺ 𝑎 = 𝑎′ et 𝑏 = 𝑏 ′ .
• 𝑎 + 𝑖𝑏 = 0 ⟺ 𝑎 = 0 et 𝑏 = 0 .
• 𝑧 ∈ 𝐼𝑅 ⇔ ℐ𝓂( 𝑧) = 0 et 𝑧 ∈ 𝑖𝐼𝑅 ⇔ ℛℯ( 𝑧) = 0.
• Soit 𝑧 = 𝑎 + 𝑖𝑏, où 𝑎 et 𝑏 sont deux réels. Le nombre 𝑎 − 𝑖𝑏 est appelé le conjugué du nombre complexe 𝑧,
et on le note par 𝑧̅.
• Soient 𝑧 et 𝑧 ′ deux nombres complexes et 𝑛 un nombre relatif.
̅̅̅̅̅
𝑧 𝑧̅
✓ ̅̅̅̅̅̅̅̅
𝑧 + 𝑧 ′ = 𝑧̅ + 𝑧̅′ ✓ ̅̅̅̅̅̅̅̅
𝑧 × 𝑧 ′ = 𝑧̅ × 𝑧̅′ ✓ (𝑧′ ≠ 0): ( ) = ̅̅̅ ✓ (𝑧 ≠ 0): ̅̅̅̅̅̅
(𝑧 𝑛 ) = (𝑧̅)𝑛
𝑧′ 𝑧′
• 𝑧 + 𝑧 = 2𝑅𝑒(𝑧) et 𝑧 − 𝑧 = 2𝑖 𝐼𝑚( 𝑧).
• 𝑧 ∈ 𝐼𝑅 ⇔ 𝑧 = 𝑧.
• 𝑧 ∈ 𝑖𝐼𝑅 ⇔ 𝑧 = −𝑧.
• Le module du nombre complexe 𝑧, est le nombre réel positif noté |𝑧| et qui est défini par : |𝑧| = √𝑧𝑧.
• Si 𝑧 = 𝑎 + 𝑖𝑏 où 𝑎 𝑒𝑡 𝑏 sont deux nombres réels, alors |𝑧| = √𝑎² + 𝑏².
• |𝑧| = |−𝑧| = |𝑧̅|.
• Soient 𝑧 et 𝑧 ′ deux nombres complexes et 𝑛 un nombre relatif.
✓ |𝑧 + 𝑧 ′ | ≤ |𝑧| + |𝑧 ′ | ✓ |𝑧 × 𝑧 ′ | = |𝑧| × |𝑧 ′ | 𝑧 |𝑧|
✓ (𝑧′ ≠ 0): |𝑧 ′ | = |𝑧 ′ | ✓ ∣ 𝑧 𝑛 ∣=∣ 𝑧 ∣𝑛 , (z ≠ 0)
• Tout nombre complexe 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦, le point 𝑀(𝑥, 𝑦) appelé image de 𝑧,et on écrit 𝑀(𝑧).
• Tout point 𝑀(𝑥; 𝑦), le nombre complexe 𝑧 = 𝑥 + 𝑖𝑦 s’appelle l’affixe
du point M et on écrit 𝑧 = 𝑎𝑓𝑓(𝑀).
• 𝐴𝑓𝑓(𝐴𝐵⃗⃗⃗⃗⃗ ) = 𝑧𝐴𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗ = 𝑧𝐵 − 𝑧𝐴 et 𝐴𝐵 = |𝑧𝐵 − 𝑧𝐴 |.
𝑧 +𝑧
• L’affixe du point 𝐼 le milieu du segment [𝐴𝐵] est 𝐴 𝐵.
2
𝑧 −𝑧
• Les points 𝐴,𝐵 et 𝐶 sont alignés si et seulement si 𝑧𝐵−𝑧 𝐴 ∈ ℝ.
𝐶 𝐴
• Les points 𝐴, 𝐵 , 𝐶 et 𝐷 sont cocycliques ou alignés si et seulement
𝑧𝐴−𝑧 𝑧𝐶−𝑧
si : 𝑧 𝐵 × 𝑧 𝐷 ∈ ℝ.
𝐶−𝑧𝐵 𝐴−𝑧𝐷
• Tout nombre complexe 𝑧 de module 𝑟 et d’argument 𝜃 s’écrit sous la forme 𝑧 = 𝑟𝑒 𝑖𝜃 . Cette écriture
s’appelle forme exponentielle du nombre 𝑧.
|𝑒 𝑖𝜃 | = 1
′)
𝑎𝑟𝑔 (𝑒 𝑖𝜃 ) ≡ 𝜃[2𝜋] 𝑟𝑒 𝑖𝜃 × 𝑟′𝑒 𝑖𝜃′ = 𝑟𝑟′𝑒 𝑖(𝜃+𝜃
𝑟𝑒 𝑖𝜃 1 1 1 𝑖𝜃 𝑛
𝑟
= 𝑒 −𝑖𝜃 = ̅̅̅̅
′
= 𝑟′ 𝑒 𝑖(𝜃−𝜃 ) 𝑟𝑒 𝑖𝜃 𝑟
𝑒 𝑟
(∀𝑛 ∈ ℤ) (𝑟𝑒 𝑖𝜃 ) = 𝑟 𝑛 𝑒 𝑖𝑛𝜃
𝑟𝑒 𝑖𝜃′
𝑛
• (∀𝑛 ∈ ℤ)(∀𝜃 ∈ ℝ) ∶ (cos(𝜃) + 𝑖𝑠𝑖𝑛(𝜃)) = cos(𝑛𝜃) + 𝑖𝑠𝑖𝑛(𝑛𝜃). (Formule de Moivre)
𝑒 𝑖𝜃 +𝑒 −𝑖𝜃
cos(𝜃) =
• ( ∀𝜃 ∈ ℝ) { 2
. (Formule d’Euler)
𝑒 𝑖𝜃 −𝑒 −𝑖𝜃
s𝑖𝑛(𝜃) = 2𝑖
Soit 𝑡𝑢⃗ une translation de Soit ℎ une homothétie de centre Ω Soit 𝑅 une rotation de centre 𝛺(𝑧𝛺 )
vecteur 𝑢⃗ et de rapport 𝑘 (non nul) et d’angle 𝜃 ona :
𝑡𝑢⃗ (𝑀) = 𝑀′ ⟺ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝑀𝑀′ = 𝑢 ⃗ ℎ(𝑀) = 𝑀′ ⟺ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
Ω𝑀′ = 𝑘Ω𝑀 𝑅(𝑀) = 𝑀′ ⟺
⟺ 𝑧𝑀′ = 𝑧𝑀 + 𝑧𝑢⃗ ⟺ 𝑧𝑀′ = 𝑘(𝑧 𝑀 − 𝑧Ω ) + zΩ 𝑧𝑀′ = (𝑧𝑀 − zΩ )𝑒 𝑖𝜃 + zΩ
• 𝐴𝑀 = 𝑟 𝑧𝐵 − 𝑧𝐴
= 𝑒 𝑖𝜃 • Le triangle ABC est
|𝑧 − 𝑧𝐴 | = 𝑟 • 𝑀 appartient au cercle 𝑧𝐶 − 𝑧𝐴 isocèle en A
𝐶(𝐴, 𝑟)
• 𝐴𝑀 = 𝐵𝑀
• 𝑀 appartient à la 𝑧𝐵 − 𝑧𝐴 𝜋
• Le triangle ABC est
|𝑧 − 𝑧𝐴 | = |𝑧 − 𝑧𝐵 | = 𝑒 ∓𝑖 2
médiatrice du segment 𝑧𝐶 − 𝑧𝐴 isocèle et rectangle en A
[ 𝐴𝐵]
𝑧𝐵 − 𝑧𝐴 𝜋
• Le triangle ABC est 𝑧𝐵 − 𝑧𝐴 𝜋
• Le triangle ABC est
= 𝑒 ∓𝑖 3 = 𝑟𝑒 ∓𝑖 2
𝑧𝐶 − 𝑧𝐴 équilatéral 𝑧𝐶 − 𝑧𝐴 rectangle en A
𝑧 − 𝑧𝐵 𝑧𝐵 − 𝑧𝐴 = 𝑧𝐶 − 𝑧𝐷
• 𝑀 appartient à la droite
{ 𝑧𝐵 − 𝑧𝐴 = 𝑒∓𝑖2
𝜋
∈ℝ • 𝐴𝐵𝐶𝐷 est un carré
𝑧 − 𝑧𝐴 (AB) privé du point A 𝑧𝐶 − 𝑧𝐴
milieu du segment [𝐴𝐶].
Nombres complexes 1
2. Soit ℎ l’homothétie de centre 𝐴 et de rapport 2.
Déterminer le nombre complexe 𝑍𝐸 affixe du point 𝐸
l’image de 𝐵 par ℎ.
1. Résoudre dans ℂ l’équation 𝑧 2 − 2√2𝑧 + 4 = 0. 3. On considère la rotation 𝑅 de centre 𝐶 et d’angle
𝜋
2. Dans le plan complexe est rapport à un repère (− 2 ), déterminer l’image de 𝐵 par 𝑅.
orthonormé direct (𝑂; 𝑢 ⃗ ; 𝑣), on considère le point 𝐴 4. Soit 𝐹 le point d’affixe 𝑍𝐹 = −1 + 𝑖.
d’affixe 𝑎 = √2(1 − 𝑖) et la rotation 𝑅 de centre 𝑂 et 𝑍 −𝑍 𝑍 −𝑍
a. Vérifier que 𝑍𝐷−𝑍 𝐴 × 𝑍 𝐹 −𝑍𝐸 = −1.
𝜋
d’angle 3 . 𝐹 𝐴
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
𝐷 𝐸
̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅̅
b. En déduire (𝐴𝐹 ; 𝐴𝐷) + (𝐸𝐷 ; ⃗⃗⃗⃗⃗
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ 𝐸𝐹 ) ≡ 𝜋[2𝜋].
a. Écrire 𝑎 sous forme trigonométrique.
b. Vérifier que l’affixe du point 𝐵 l’image du point 𝐴 par c. Déterminer la forme trigonométrique du nombre
𝑍𝐸 −𝑍𝐹
𝜋 𝜋 et déduire la nature triangle 𝐴𝐸𝐹.
la rotation 𝑅 est : 𝑏 = 2 (cos (12) + 𝑖 sin (12)). 𝑍 𝐴 −𝑍𝐹
3𝑒 𝑥
On considère la fonction 𝑓 définie par : 𝑓(𝑥) = 2𝑒 𝑥 +4.
1. Déterminer 𝐷𝑓 puis montrer que 𝑓 est continue sur 𝐷𝑓 .
2. Calculer 𝑓(0) et 𝑓(𝑙𝑛(2)).
Résoudre dans ℝ ∶
a. 𝑒 1−𝑥 = 𝑒 𝑥−𝑥² b. 𝑒 𝑥²−𝑥 = 1 c. (𝑒 𝑥 )2 − 3𝑒 𝑥 + 2 = 0
𝑒 𝑥 +1
d. (𝑒 𝑥 )2 − 3𝑒 𝑥 + 2 < 0 e. (𝑒 𝑥 + 2)(𝑒 −𝑥+1 − 4) ≥ 0 f. ≤0
𝑒 −𝑥 −𝑒
𝑒 𝑥 −1
𝑙𝑖𝑚 𝑒 𝑥 = +∞ 𝑙𝑖𝑚 𝑒 𝑥 = 0 𝑙𝑖𝑚 =1
𝑥→+∞ 𝑥→−∞ 𝑥→0 𝑥
𝑒𝑥 𝑒𝑥
𝑙𝑖𝑚 = +∞ 𝑙𝑖𝑚 = +∞ (𝑛𝜖𝐼𝑁 ∗ )
𝑥→+∞ 𝑥 𝑥→+∞ 𝑥 𝑛
Calculons 𝑙𝑖𝑚 𝑒 𝑥 − 𝑥 = +∞
𝑥→+∞
𝑥 𝑒𝑥 𝑒𝑥
On a 𝑙𝑖𝑚 𝑒 − 𝑥 = 𝑙𝑖𝑚 𝑥 ( 𝑥 − 1) = +∞ car 𝑙𝑖𝑚 = +∞.
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 𝑥
3
𝑒 2𝑥 −1 𝑒 2𝑥 −1 𝑒𝑥 −1 𝑒 𝑥 +3𝑥
𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑖𝑚 2𝑥 𝑒3𝑥 𝑙𝑖𝑚
𝑥→0 𝑥 𝑥→0 𝑒 3𝑥 −1 𝑥→+∞ 𝑒𝑥 +1 𝑥→−∞ 𝑥→+∞ 𝑥 3 −1
𝑒 𝑥 −1
On considère la fonction 𝑓 définie sur ℝ par 𝑓(𝑥) = 𝑥 − 𝑒 𝑥 +1 , et soit (𝐶𝑓 ) sa
représentation graphique sur le repère(𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
2𝑒 𝑥
Montrer que (∀𝑥 ∈ ℝ): 𝑓(𝑥) = 𝑥 + 1 − 𝑥 et déduire 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥).
𝑒 +1 𝑥→−∞
2
Montrer que (∀𝑥 ∈ ℝ): 𝑓(𝑥) = 𝑥 − 1 − 𝑒 𝑥 +1 et déduire 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥).
𝑥→+∞
Étudier les branches infinies de (𝐶𝑓 ) au voisinage de +∞ et −∞ .
Montrer de 𝑓 est impaire.
Montrer que f est dérivable sur ℝ et déterminer sa dérivée.
Donner le tableau des variations de 𝑓.
Tracer (𝐶𝑓 ).
Si u est une fonction dérivable sur I, alors la fonction 𝑥 ⟼ 𝑒 𝑢(𝑥) est dérivable sur I et on a :
(∀ 𝑥 ∈ 𝐼): (𝑒 𝑢(𝑥) )′ = 𝑢′ (𝑥)𝑒 𝑢(𝑥).
2
Déterminer l’ensemble des primitives de 𝑓 dans les cas suivants :
3 2𝑥+1
𝑓(𝑥) = 2𝑒 2𝑥 − 𝑒 −𝑥 𝑓(𝑥) = 𝑒 5𝑥+4 (𝑥 2 + 1)𝑒 𝑥 +3𝑥 𝑓(𝑥) = 2
𝑒 𝑥 +𝑥+1
𝑥 𝑥
2𝑥 = 𝑒 𝑥𝑙𝑛(2) 4√2 = 𝑒 √2𝑙𝑛(4) = 𝑒 2√2𝑙𝑛(2) √3 = 𝑒 𝑥𝑙𝑛(√3) = 𝑒 2
𝑙𝑛(3)
(∀𝑥 ∈ ℝ): 1𝑥 = 1.
2 3
9𝑙𝑛 (3) × 8𝑙𝑛 (4)
Montrer que : 4 = √𝑒.
25𝑙𝑛 (5)
1. Résoudre dans ℝ :
1 𝑥 1 b. 3𝑥 > 9𝑥 c. 102𝑥 + 2 × 10𝑥 − 3 > 0
a. (2) ≤ 4
2. Calculer la dérivée des fonctions 𝑓 et 𝑔 telles que 𝑓(𝑥) = 2𝑥²+2𝑥+2 et 𝑔(𝑥) = 𝑥 𝑥 .
3. Calculer les limites suivantes :
1 𝑥 4𝑥 −2𝑥 4𝑥 −2𝑥 1 𝑥
a. 𝑙𝑖𝑚 (3) b. 𝑙𝑖𝑚 c. 𝑙𝑖𝑚 d. 𝑙𝑖𝑚 (1 + 𝑥)
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 3𝑥 𝑥→0 𝑥 𝑥→+∞
3
c. Montrer que la droite d’équation (𝐷): 𝑦 = 2𝑥 est une asymptote oblique de (𝐶𝑓 ) au
voisinage de +∞ .
d. Montrer que (∀𝑥 ≥ 0): 𝑓(𝑥) − 2𝑥 ≤ 0 puis déduire la position relative de (𝐶𝑓 ) et
(𝐷) sur [0, +∞[.
2(𝑒 2𝑥 −1)
3. a. Montrer que (∀𝑥 ∈ ℝ): 𝑓 ′ (𝑥) = .
𝑔(𝑥)
b.Donner le tableau des variations de 𝑓 .
4. Tracer (𝐶𝑓 ) et (𝐷) sur le repère (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
4
Fonction exponentielle et −∞ .
2BSF 1 et 2 Montrer de 𝑓 est impaire.
Montrer que f est dérivable sur ℝ et déterminer sa dérivée.
Donner le tableau des variations de 𝑓.
Tracer (𝐶𝑓 ).
1. Montrer que la fonction 𝑓 définie par 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑛𝑥
admet une fonction réciproque définie sur l’intervalle Déterminer 𝑓’ dans les cas suivants :
2
𝐽 à déterminer. 𝑓(𝑥) = 𝑒 𝑥 +3𝑥 𝑓(𝑥) = 𝑒 𝑥−2𝑙𝑛 (𝑥+1)
3
La fonction réciproque de 𝑥 ↦ 𝑙𝑛𝑥 est appelée fonction 𝑓(𝑥) = (𝑒 2𝑥 − 𝑒 −𝑥 )2 𝑓(𝑥) = 𝑒 √𝑥
et se note par 𝑒𝑥𝑝.
2. Montrer que (∀𝑥 ∈ ℝ), exp (𝑥) > 0. Déterminer l’ensemble des primitives de 𝑓 dans les cas
1
3. a. Calculer 𝑙𝑛(𝑒 2 ) ، 𝑙𝑛(𝑒) ، 𝑙𝑛(1) et 𝑙𝑛 ( 2 ) . suivants :
𝑒
b. En déduire 𝑒𝑥𝑝(2) ، 𝑒𝑥𝑝(1) , 𝑒𝑥𝑝 (0) et exp(−2). 𝑓(𝑥) = 2𝑒 2𝑥 − 𝑒 −𝑥 𝑓(𝑥) = 𝑒 5𝑥+4
3 +3𝑥 2𝑥+1
4. a. Tracer (𝒞𝑙𝑛 ) et (𝒞𝑒𝑥𝑝 ) sur le repère (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗) . (𝑥 2 + 1)𝑒 𝑥 𝑓(𝑥) = 2
𝑒 𝑥 +𝑥+1
b. En déduire 𝑙𝑖𝑚 exp(𝑥) et 𝑙𝑖𝑚 exp(𝑥).
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
2 3
3𝑒 𝑥 9𝑙𝑛 (3) × 8𝑙𝑛 (4)
On considère la fonction 𝑓 définie par : 𝑓(𝑥) = . Montrer que : 4 = √𝑒.
2𝑒 𝑥 +4
25𝑙𝑛 (5)
1. Déterminer 𝐷𝑓 puis montrer que 𝑓 est continue sur 𝐷𝑓 .
2. Calculer 𝑓(0) et 𝑓(𝑙𝑛(2)).
1. Résoudre dans ℝ :
1 𝑥 1
Résoudre dans ℝ ∶ a. ( ) ≤ b. 3𝑥 > 9𝑥
2 4
2𝑥
a. 𝑒 1−𝑥 = 𝑒 𝑥−𝑥² b. 𝑒 𝑥²−𝑥 = 1 c. 10 + 2 × 10𝑥 − 3 > 0
𝑥 2 𝑥
c. (𝑒 ) − 3𝑒 + 2 = 0 d. (𝑒 𝑥 )2 − 3𝑒 𝑥 +2<0 2. Calculer la dérivée des fonctions 𝑓 et 𝑔 telles que
𝑥
e. (𝑒 𝑥 + 2)(𝑒 −𝑥+1 − 4) ≥ 0 f. 𝑒 +1 ≤ 0 𝑓(𝑥) = 2𝑥²+2𝑥+2 et 𝑔(𝑥) = 𝑥 𝑥 .
−𝑥 𝑒 −𝑒 3. Calculer les limites suivantes :
1 𝑥 4𝑥 −2𝑥
a. 𝑙𝑖𝑚 ( ) b. 𝑙𝑖𝑚
1. Simplifier les expressions suivantes : 𝑥→+∞ 3 𝑥→+∞ 3𝑥
𝑒 2𝑥 ×𝑒 3𝑥 4𝑥 −2𝑥 1 𝑥
• 𝐴= • 𝐵 = (𝑒 2−𝑥 )2 × 𝑒 3𝑥−4 c. 𝑙𝑖𝑚 𝑥 d. 𝑙𝑖𝑚 (1 + )
(𝑒 𝑥 )4 𝑥→0 𝑥→+∞ 𝑥
• 𝐶=𝑒 2𝑥 ((𝑒 𝑥
+𝑒 −𝑥 )2
+ (𝑒 𝑥 −𝑒 −𝑥 )2 )
𝑒 𝑥 −1 1−𝑒 −𝑥 I. On considère la fonction 𝑔 définie sur ℝ par :
2. Montrer que : (∀𝑥 ∈ ℝ): =
𝑒 𝑥 +1 1+𝑒 −𝑥 𝑔(𝑥) = 𝑒 2𝑥 − 2𝑥 .
1. Déterminer 𝑔’(𝑥) pour tout x de ℝ puis donner le tableau
1. Résoudre dans ℝ : des variations de 𝑔.
𝑒 5𝑥
2. En déduire que pour tout 𝑥 de ℝ , 𝑔(𝑥) > 0 .
a. 𝑒 𝑥 + 6𝑒 −𝑥 − 5 = 0 b. (𝑒 𝑥 )15 × 𝑒 𝑥²+5 = II. Soit la fonction 𝑓 qui définie sur ℝ par
𝑒4
𝑒 2𝑥+1 𝑓(𝑥) = 𝑙𝑛(𝑒 2𝑥 − 2𝑥) et soit (𝐶𝑓 ) sa représentation
c. > 𝑒 −𝑥+2 graphique sur le repère (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
𝑒 𝑥−3
2𝑥+1 −𝑦 1. a. Montrer que 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = +∞.
2. Résoudre dans ℝ² le système {5𝑒 2𝑥+1 + 3𝑒 −𝑦 = 3 𝑥→−∞
7𝑒 − 4𝑒 = 2 𝑓(𝑥) 𝑒 2𝑥 𝑙𝑛(𝑒 2𝑥 −2𝑥)
b. Vérifier que : 𝑥
= ( 𝑥
− 2) 𝑒 2𝑥 −2𝑥
.
𝑓(𝑥)
Calculer les limites suivantes : c. Montrer que 𝑙𝑖𝑚 =0 puis interpréter
𝑥→−∞ 𝑥
𝑙𝑖𝑚 𝑒𝑥 − √𝑥 𝑙𝑖𝑚 (2𝑥 − 1)𝑒 −𝑥 𝑙𝑖𝑚 √𝑥𝑒 −𝑥
géométriquement le résultat obtenu.
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 𝑥→+∞
2𝑥
2. a.Vérifier que (∀𝑥 ≥ 0): 1 − 2𝑥 > 0 et que 2𝑥 +
𝑥+4 2
𝑒𝑥 𝑒 2𝑥 −1 𝑒 2𝑥 −1
𝑙𝑖𝑚 𝑒 𝑥 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑖𝑚 𝑒 3𝑥 −1 𝑒
𝑥→+∞ 𝑥→+∞ 𝑥 3 +𝑥+1 𝑥→0 𝑥 𝑥→0 2𝑥
3 𝑙𝑛 (1 − 𝑒 2𝑥 ) = 𝑓(𝑥).
𝑒𝑥 −1 𝑒 𝑥 +3𝑥
𝑙𝑖𝑚 𝑙𝑖𝑚 2𝑥 𝑒3𝑥 𝑙𝑖𝑚 a. En déduire que 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = +∞ .
𝑥→+∞ 𝑒𝑥 +1 𝑥→−∞ 𝑥→+∞ 𝑥 3 −1 𝑥→+∞
b. Montrer que la droite d’équation (𝐷): 𝑦 = 2𝑥 est une
𝑒 𝑥 −1 asymptote oblique de (𝐶𝑓 ) au voisinage de +∞ .
On considère la fonction 𝑓 définie sur ℝ par 𝑓(𝑥) = 𝑥 − 𝑒 𝑥 +1
c. Montrer que (∀𝑥 ≥ 0): 𝑓(𝑥) − 2𝑥 ≤ 0 puis déduire la
et soit (𝐶𝑓 ) sa représentation graphique sur le repère(𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
2𝑒 𝑥
position relative de (𝐶𝑓 ) et (𝐷) sur [0, +∞[.
Montrer que (∀𝑥 ∈ ℝ): 𝑓(𝑥) = 𝑥 + 1 − 𝑒 𝑥 +1 et 2(𝑒 2𝑥 −1)
3. a. Montrer que (∀𝑥 ∈ ℝ): 𝑓 ′ (𝑥) = .
déduire 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥). 𝑔(𝑥)
𝑥→−∞
2 b. Donner le tableau des variations de 𝑓 .
Montrer que (∀𝑥 ∈ ℝ): 𝑓(𝑥) = 𝑥 − 1 − 𝑒 𝑥 +1 et Tracer (𝐶𝑓 ) et (𝐷) sur le repère (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗).
déduire 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥).
𝑥→+∞
Étudier les branches infinies de (𝐶𝑓 ) au voisinage de +∞
Fonctions exponentielles On considère la fonction numérique 𝑓 définie sur ℝ par
5 1
𝑓(𝑥) = −𝑥 + − 𝑒 𝑥−2 (𝑒 𝑥−2 − 4) et (𝐶) sa courbe
2 2
représentative dans un repère orthonormé (𝑂, 𝑖⃗; 𝑗⃗)
(unité :2cm).
On considère la fonction numérique 𝑓 définie sur ℝ par : Montrer que 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = +∞ et 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) = −∞.
𝑥→−∞ 𝑥→+∞
𝑥 2
a. Démontrer que la droite (∆) d’équation
𝑓(𝑥) = 𝑥 (𝑒 − 1) et (𝐶) sa courbe représentative dans
2
5
𝑦 = −𝑥 + 2 est une asymptote à la courbe (𝐶) au
un repère orthonormé (𝑂, 𝑖⃗; 𝑗⃗) (unité :1cm).
1. Calculer 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥) et 𝑙𝑖𝑚 𝑓(𝑥).
voisinage de −∞.
𝑥→+∞ 𝑥→−∞ b. Résoudre l’équation 𝑒 𝑥−2 − 4 = 0 puis montrer
𝑓(𝑥)
2. Calculer 𝑙𝑖𝑚 et interpréter géométriquement le que la courbe (𝐶) est au-dessus de (∆) sur l’intervalle
𝑥→+∞ 𝑥
résultat. ] − ∞; 2 + 𝑙𝑛4[ et en dessous de (∆) sur l’intervalle
3. a. Montrer que la droite (∆) d’équation 𝑦 = 𝑥 est ]2 + 𝑙𝑛4; +∞[.
𝑓(𝑥)
asymptote à la courbe au voisinage de −∞. Montrer que 𝑙𝑖𝑚 𝑥 = −∞ puis interpréter
𝑥→+∞
b. Etudier le signe (𝑓(𝑥) − 𝑥) pour tout 𝑥 de ℝ et en géométriquement le résultat.
déduire la position relative de la courbe (𝐶) et la a. Montrer que (∀𝑥 ∈ ℝ) : 𝑓 ′ (𝑥) = −(𝑒 𝑥−2 − 1)2 .
droite (∆). b. dresser le tableau de variations de la fonction 𝑓.
𝑥 2 𝑥 𝑥
4. a. Montrer que 𝑓 ′ (𝑥) = (𝑒 2 − 1) + 𝑥𝑒 2 (𝑒 2 − 1) Calculer 𝑓"(𝑥) pour tout 𝑥 de ℝ puis montrer que
𝐴(2; 2) est un point d’inflexion de (𝐶).
pour tout 𝑥 de ℝ.
𝑥 Montrer que l’équation 𝑓(𝑥) = 0 admet une solution
b. Vérifier que 𝑥 (𝑒 2 − 1) ≥ 0 pour tout 𝑥 de ℝ puis en unique 𝛼 telle que 2 + 𝑙𝑛3 < 𝛼 < 2 + 𝑙𝑛4.
déduire le signe de la fonction dérivée 𝑓′ sur ℝ. Construire (∆) et (𝐶) (On prend 𝑙𝑛2 ≈ 0.7 et
c. Dresser le tableau des variations de la fonction 𝑓 sur 𝑙𝑛3 ≈ 1.1)
ℝ. a. Montrer que la fonction 𝑓 admet une fonction
1 𝑥 réciproque 𝑓 −1 définie sur ℝ.
5. a. Montrer que 𝑓 ′′ (𝑥) = 2 𝑒 2 𝑔(𝑥) ; où b. Construire dans le même repère (𝑂, 𝑖⃗; 𝑗⃗) la courbe
𝑥
𝑔(𝑥) = (2𝑥 + 4)𝑒 2 − 𝑥 − 4 pour tout 𝑥 de ℝ. représentative de la fonction 𝑓 −1 (Remarquer que la
b. A partir de la courbe ci-contre de la fonction 𝑔, déterminer droite (∆)est perpendiculaire à la première bissectrice
le signe de 𝑔(𝑥) sur ℝ (Remarque : 𝑔(𝛼) = 0) du repère)
c. Calculer (𝑓 −1 )′ (2 − 𝑙𝑛3) (Remarquer que
𝑓 −1 (2 − 𝑙𝑛3) = 2 + 𝑙𝑛3.
𝑟2 𝑥
+ 𝛽e
Si Δ
-----------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
𝑟1 𝑥
-----------------------------------------------------------------------
𝑦(𝑥) = 𝛼e
-----------------------------------------------------------------------
Soit Δ = 𝒂𝟐 − 𝟒𝒃 le discriminant l’équation caractéristique (𝐸) ∶ 𝑟 2 + 𝑎𝑟 + 𝑏 = 0
-----------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
Les solutions de l’équation 𝑦 ′′ + 𝑎 𝑦 ′ + 𝑏𝑦 = 0
-----------------------------------------------------------------------
(𝐸) admet une solution 𝑟0
-----------------------------------------------------------------------
𝑟0 𝑥
𝑦(𝑥) = (𝛼 + 𝛽𝑥)e
-----------------------------------------------------------------------
Si Δ = 0
-----------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
(𝐸) admet deux solutions 𝑟1 = 𝑝 + 𝑖𝑞 et 𝑟2 =
-----------------------------------------------------------------------
𝑦(𝑥) = e𝑝𝑥 (α cos(𝑞𝑥) + 𝛽 sin(q𝑥))
-----------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
Si Δ
-----------------------------------------------------------------------
𝑟ഥ1
-----------------------------------------------------------------------
-----------------------------------------------------------------------
1. Résoudre les équations différentielles suivantes : -----------------------------------------------------------------------
′′ ′ ′′ ′
(𝐸1 ): 𝑦 − 3 y + 2y = 0. (𝐸2 ): 𝑦 + 4 𝑦 + 4𝑦 = 0 -----------------------------------------------------------------------
(𝐸3 ): 𝑦 ′′ − 4 y ′ + 13y = 0. -----------------------------------------------------------------------
2. a. Résoudre l’équation différentielle :
(𝐸′): 𝑦 ′′ − 5 𝑦 ′ + 6𝑦 = 0 -----------------------------------------------------------------------
b. Déterminer la solution 𝑔 de l’équation (𝐸 ′ ) -----------------------------------------------------------------------
vérifiant les conditions initiales : 𝑔(0) = 1 et 𝑔′ (0) = 2
-----------------------------------------------------------------------
3. a. Résoudre l’équation (𝐸′′): 𝑦 ′′ + 4𝑦 = 0
b. Déterminer la solution 𝑔 de l’équation (𝐸 ′′ ) -----------------------------------------------------------------------
𝜋
vérifiant les conditions initiales : 𝑔 ( 2 ) = 1 et -----------------------------------------------------------------------
𝜋
𝑔′ ( 2 ) = 2.
Soit 𝑓 la fonction numérique d’une variable réelle définie par 𝑓(𝑥) = 3𝑥 2 − 1.
1. Déterminer deux primitives 𝐹 𝑒𝑡 𝐺 de la fonction 𝑓 sur ℝ.
2. Calculer 𝐹(2) − 𝐹(0), 𝐺(2) − 𝐺(0) . Que remarquez-vous ?
Le nombre 𝐹(𝑏) − 𝐹(𝑎) ne dépend pas du choix d’une primitive de la fonction 𝑓 .
Le nombre 𝐹(𝑏) − 𝐹(𝑎) s’appelle intégrale de la fonction 𝑓 de 𝑎 à 𝑏 elle est notée
𝑏
∫𝑎 𝑓(𝑥)𝑑𝑥.
Soit 𝑓 une fonction continue sur un segment [𝑎, 𝑏] et 𝐹 une primitive de 𝑓 sur [𝑎, 𝑏].
𝑏
Le nombre 𝐹(𝑏) − 𝐹(𝑎) et appelé de 𝑓 de 𝑎 à 𝑏 et on écrit : ∫𝑎 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 =
[𝐹(𝑥)]𝑏𝑎 = 𝐹(𝑏) − 𝐹(𝑎).
1
Calculons l’intégrale suivante ∫0 √𝑥 + 1𝑑𝑥.
La fonction 𝑥 ↦ √𝑥 + 1 est continue sur [0; 1].
1 1
Donc :∫0 √𝑥 + 1𝑑𝑥 = ∫0 (𝑥 + 1)′√𝑥 + 1𝑑𝑥
1
1
= ∫0 (𝑥 + 1)′(𝑥 + 1)2 𝑑𝑥
2 1 2
= [3 √(𝑥 + 1)3 ] = 3 (√8 − 1).
0
𝑏
Dans l’écriture ∫𝑎 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 , on peut remplacer la variable 𝑥 par n’importe quelle autre
𝑏 𝑏 𝑏
lettre. ∫𝑎 𝑓(𝑥)𝑑𝑥 = ∫𝑎 𝑓(𝑦)𝑑𝑦 = ∫𝑎 𝑓(𝑡)𝑑𝑡 = ⋯
0 2
2 0 2 0 2 𝑥2 𝑥2 13
∫−3 ∣ 𝑥 ∣ 𝑑𝑥 = ∫−3 ∣ 𝑥 ∣ 𝑑𝑥 + ∫0 ∣ 𝑥 ∣ 𝑑𝑥 = ∫−3 −𝑥𝑑𝑥 + ∫0 𝑥𝑑𝑥 = [− 2 ] + [− 2 ] = 2
−3 0
𝜋 𝜋
On considère les intégrales 𝐼 = ∫04 cos (3𝑥)cos (𝑥)𝑑𝑥 et 𝐽 = ∫04 sin (3𝑥)sin (𝑥)𝑑𝑥.
1. Vérifier que 𝑐𝑜𝑠(3𝑥) 𝑐𝑜𝑠(𝑥) + 𝑠𝑖𝑛(3𝑥) 𝑠𝑖𝑛(𝑥) = cos(2𝑥) pour tout 𝑥 ∈ ℝ.
2. Vérifier que 𝑐𝑜𝑠(3𝑥) 𝑐𝑜𝑠(𝑥) − 𝑠𝑖𝑛(3𝑥) 𝑠𝑖𝑛(𝑥) = cos (4𝑥) pour tout 𝑥 ∈ ℝ.
3. Calculer 𝐼 + 𝐽 et 𝐼 − 𝐽 puis en déduire 𝐼 et 𝐽.
𝑙𝑛 (2) 𝑒 𝑡 −1 𝑙𝑛 (2) 1
On pose : 𝐾 = ∫0 𝑑𝑡 𝑒𝑡 𝐿 = ∫0 𝑑𝑡
𝑒 𝑡 +1 𝑒 𝑡 +1
Calculer 𝐾 + 𝐿 𝑒𝑡 𝐾 + 2𝐿 puis en déduire les valeurs de 𝐾 𝑒𝑡 𝐿.
2
1. Montrer que : ∫1 𝑙𝑛(𝑥² + 1)𝑑𝑥 ≥ 0.
1 2 sin (𝑥) 1
2. Montrer que : − 2 ≤ ∫1 𝑑𝑥 ≤ 2.
𝑥2
2𝑥 1 3 2𝑥
La valeur moyenne de la fonction 𝑥 ↦ 1+𝑥 2 sur l’intervalle [1,3] est 2 ∫1 𝑑𝑥
1+𝑥 2
1 𝑙𝑛(5)
C’est-à-dire : 2 [𝑙𝑛 (𝑥 2 + 1)]13 = .
2
𝑙𝑛2 (𝑥)+𝑥
Calculer la valeur moyenne de la fonction 𝑥 ↦ sur l’intervalle [1, 𝑒].
𝑥
𝜋
1
1. Calculer l’integrale ∫ (𝑐𝑜𝑠2 (𝑥) − 4 cos(2𝑥)) 𝑑𝑥.
𝜋
3
4
𝑥 ′ 1−𝑥 2 √3 1−𝑥 2
2. Montrer que (𝑥 2 +1) = (𝑥 2+1)2 pour tout réel 𝑥 puis calculer ∫1 (𝑥 2 +1)2
𝑑𝑥 .
2.
2
𝑥 2 −6𝑥+4
Soit 𝑓 la fonction définie sur ℝ\{1} par : 𝑓(𝑥) = 𝑥−1 .
1. Déterminer les nombres réels 𝑎, 𝑏, 𝑒𝑡 𝑐 pour que l’on ait pour tout 𝑥 𝑑𝑒 ℝ\{1} ∶
𝑐
𝑓(𝑥) = 𝑎𝑥 + 𝑏 + 𝑥−1.
3
2. En déduire la valeur de l’intégrale : ∫2 𝑓(𝑥)𝑑𝑥.
𝜋
Linéariser le polynôme trigonométrique 𝑐𝑜𝑠 3 𝑥 puis calculer ∫04 𝑐𝑜𝑠 3 𝑥 𝑑𝑥.
Vérifier, pour tout réel 𝑥, que : 𝑠𝑖𝑛2 𝑥. 𝑐𝑜𝑠 3 𝑥 = 𝑐𝑜𝑠 𝑥 . 𝑠𝑖𝑛2 𝑥 − 𝑐𝑜𝑠 𝑥 . 𝑠𝑖𝑛4 𝑥.
𝜋
Calculer l’integrale 𝐼 = ∫02 𝑠𝑖𝑛2 𝑥. 𝑐𝑜𝑠 3 𝑥 𝑑𝑥 .
Soit 𝑢 𝑒𝑡 𝑣 deux fonctions dérivables sur un intervalle [𝑎, 𝑏] telles que 𝑢′ 𝑒𝑡 𝑣′ continues
sur [a, b].
′
On a : (∀𝑥 ∈ [𝑎, 𝑏]); (𝑢(𝑥)𝑣(𝑥)) = 𝑢′ (𝑥)𝑣(𝑥) + 𝑢(𝑥)𝑣′(𝑥).
𝑏 ′ 𝑏 𝑏
Alors : ∫𝑎 (𝑢(𝑥)𝑣(𝑥)) 𝑑𝑥 = ∫𝑎 𝑢′ (𝑥)𝑣(𝑥)𝑑𝑥 + ∫𝑎 𝑢 (𝑥)𝑣 ′(𝑥) 𝑑𝑥
𝑏 𝑏
D’où ∫𝑎 𝑢′ (𝑥)𝑣(𝑥)𝑑𝑥 = [𝑢(𝑥)𝑣(𝑥)]𝑏𝑎 − ∫𝑎 𝑢 (𝑥)𝑣′(𝑥)𝑑𝑥.
Soient 𝑢 𝑒𝑡 𝑣 deux fonctions dérivables sur un intervalle 𝐼 telles que ses dérivées 𝑢′ 𝑒𝑡 𝑣′
sont continues sur 𝐼.
𝑏 𝑏
Pour tout (𝑎, 𝑏) ∈ 𝐼 2 on a : ∫𝑎 𝑢′ (𝑥)𝑣(𝑥)𝑑𝑥 = [𝑢(𝑥)𝑣(𝑥)]𝑏𝑎 − ∫𝑎 𝑢 (𝑥)𝑣′(𝑥)𝑑𝑥.
1
Calculons l’intégrale 𝐼 = ∫0 𝑥𝑒 𝑥 𝑑𝑥.
𝑢′(𝑥) = 𝑒 𝑥 𝑢(𝑥) = 𝑒 𝑥
Posons { , alors { .
𝑣(𝑥) = 𝑥 𝑣′(𝑥) = 1
1
Il s’ensuit 𝐼 = [𝑥𝑒 𝑥 ]10 − ∫0 𝑒 𝑥 𝑑𝑥 = [𝑥𝑒 𝑥 ]10 − [𝑒 𝑥 ]10 = 𝑒 − 𝑒 + 1 = 1.
Le choix des fonctions 𝑢′ et 𝑣 n'est pas arbitraire. Leur bonne sélection joue un rôle clé dans
cette technique.
1
𝑢′ (𝑥) = 𝑥 𝑢(𝑥) = 2 𝑥²
Dans l’exemple précédent si notre choix est { , alors { .
𝑣(𝑥) = 𝑒 𝑥 𝑣′(𝑥) = 𝑒 𝑥
1 1 1 𝑏1
On obtient donc ∫0 𝑥𝑒 𝑥 𝑑𝑥 = [2 𝑥²𝑒 𝑥 ] − ∫𝑎 2 𝑥²𝑒 𝑥 𝑑𝑥 ce qui rend le calcul de l’intégrale
0
voulue est très compliqué.
𝑥 3 +𝑥 2
1. Vérifier, pour tout 𝑥 ∈ [0; 1], que : 𝑥+1 = 𝑥 2 − 𝑥 + 2 − 𝑥+1.
2. En utilisant la formule d’intégration par parties, Calculer l’integrale
1
𝐼 = ∫0 (3𝑥 2 + 1) ln(𝑥 + 1) 𝑑𝑥.
3
On considéra la fonction définie par : 𝑓(𝑥) = −𝑥 + 2 et (𝐶𝑓 ) la courbe représentative de 𝑓
dans le plan rapporté à un repère orthonormé (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗) unité (1cm)
1. Tracer (𝐶𝑓 ) et colorier le domaine délimité par l'axe des abscisses, la courbe et les
droites d'équations 𝑥 = −1 et 𝑥 = 3, puis donner une valeur de son aire en unités
d’aires.
3
2. Calculer ∫ |𝑓(𝑥)|𝑑𝑥 × ‖𝑖⃗‖ × ‖𝑗⃗‖ . Qu'est-ce qu'on peut déduire ?
−1
Soit 𝑓 une fonction continue sur un segment [𝑎, 𝑏] (𝑎 < 𝑏). et (𝐶𝑓 ) sa courbe
représentative dans un repère orthogonal.
L’aire du domaine délimité par (𝐶𝑓 ) , l’axe des abscisses et les droites d’équations 𝑥 =
𝑏
𝑎 𝑒𝑡 𝑥 = 𝑏 est égale à ∫𝑎 ∣ 𝑓(𝑥) ∣ 𝑑𝑥 ( 𝑒𝑛 𝑢𝑛𝑖𝑡é 𝑑′ 𝑎𝑖𝑟𝑒)
Le plan est apporté à un repère orthonormé (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗) avec ‖𝑖⃗‖ = 1𝑐𝑚 et ‖𝑗⃗‖ = √2𝑐𝑚
Soit 𝑓 la fonction définie par : 𝑓(𝑥) = sin(𝑥)
Calculer l’aire du domaine délimité par la courbe de 𝑓 et les droites d’équations : 𝑥 =
𝜋 𝜋
𝑒𝑡 𝑥 = − 2 .
2
1
Soit 𝑓 la fonction définie sur ]0; 𝑒[ ∪ ]𝑒; +∞[ par: 𝑓(𝑥) = 𝑥(1−𝑙𝑛𝑥) et (𝐶𝑓 ) la courbe de la
fonction 𝑓 dans un repère orthonormé (𝑂; 𝑖⃗; 𝑗⃗) tel que ‖𝑖⃗‖ = 2𝑐𝑚.
1
√𝑒 1 1
1. Montrer que ∫1 𝑑𝑥 = 𝑙𝑛2 . (Remarquer que 𝑥(1−𝑙𝑛𝑥) = 𝑥
(1−𝑙𝑛𝑥)
)
𝑥(1−𝑙𝑛𝑥)
2. Calculer, en 𝑐𝑚2 , l’aire du domaine plan délimité par (𝐶𝑓 ), l’axe des abscisses et les
droites d’équations : 𝑥 = 1 et 𝑥 = √𝑒.
Soient 𝑓 et 𝑔 deux fonctions continues sur un segment [𝑎, 𝑏], (𝐶𝑓 )𝑒𝑡 (𝐶𝑔 ) les courbes
représentatives de 𝑓 et 𝑔 dans un repère orthogonal.
Soit (𝛥) le domaine délimité par les courbes (𝐶𝑓 )𝑒𝑡 (𝐶𝑔 ) et les droites d’équations 𝑥 =
𝑎 𝑒𝑡 𝑥 = 𝑏.
𝑏
L’aire du domaine (Δ) en unités d’aire est donnée par : 𝐴(𝛥) = ∫𝑎 |𝑓(𝑥) − 𝑔(𝑥)|𝑑𝑥.
4
Le plan est rapporté à un repère orthogonal (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗) avec ‖𝑖⃗‖ = 2𝑐𝑚 et ‖𝑗⃗‖ = 2𝑐𝑚
On considère les fonctions 𝑓 𝑒𝑡 𝑔 définie par : 𝑓(𝑥) = 2𝑥² + 1 et 𝑔(𝑥) = 𝑥² + 𝑥 + 1
Calculer l’aire du domaine délimité par les courbes des fonctions 𝑓 𝑒𝑡 𝑔 et l’axe des
abscisses et les droites d’équations 𝑥 = 0 𝑒𝑡 𝑥 = 2 .
Soit 𝑓 une fonction continue sur un segment [𝑎, 𝑏] (𝑎 < 𝑏) , et (𝐶𝑓 ) sa courbe
représentative . Le volume du solide engendré par la rotation de la courbe (𝐶𝑓 )autour de
𝑏
l’axe des abscisses un tour complet est donné par la formule : 𝑉 = 𝜋 ∫𝑎 (𝑓(𝑥))2 𝑑𝑥 (en
unités de volume).
1
Soit 𝑔 la fonction numérique définie sur [0,1] par : 𝑓(𝑥) = 𝑥𝑒 2𝑥 .
Calculer Le volume du solide engendré par la rotation de la courbe de la fonction 𝑔 𝑎utour
de l’axe des abscisses un tour complet.
√𝑥 π
Répondre à la même question pour la fonction 𝑓(𝑥) = 𝑐𝑜𝑠(𝑥) sur l’intervalle [0, 4 ].
5
Calcul intégral
2BSF 1 et 2 𝑙𝑛 (2) 𝑒 𝑡 −1 𝑙𝑛 (2) 1
On pose : 𝐾 = ∫0 𝑑𝑡 𝑒𝑡 𝐿 = ∫0 𝑑𝑡
𝑒 𝑡 +1 𝑒 𝑡 +1
Calculer 𝐾 + 𝐿 𝑒𝑡 𝐾 + 2𝐿 puis en déduire les valeurs de
𝐾 𝑒𝑡 𝐿.
Soit 𝑓 la fonction numérique d’une variable réelle définie
par 𝑓(𝑥) = 3𝑥 2 − 1. 1.
2
Montrer que : ∫1 𝑙𝑛(𝑥² + 1)𝑑𝑥 ≥ 0.
1. Déterminer deux primitives 𝐹 𝑒𝑡 𝐺 de la fonction 𝑓 1 2 sin (𝑥) 1
sur ℝ. 2. Montrer que : − 2 ≤ ∫1 𝑑𝑥 ≤ 2.
𝑥2
2. Calculer 𝐹(2) − 𝐹(0), 𝐺(2) − 𝐺(0) . Que
remarquez-vous ? Calculer la valeur moyenne de la fonction 𝑥 ↦
𝑙𝑛2 (𝑥)+𝑥
Le nombre 𝐹(𝑏) − 𝐹(𝑎) ne dépend pas du choix d’une 𝑥
primitive de la fonction 𝑓 . sur l’intervalle [1, 𝑒].
Le nombre 𝐹(𝑏) − 𝐹(𝑎) s’appelle intégrale de la
𝑏 1. Calculer les intégrales suivantes :
fonction 𝑓 de 𝑎 à 𝑏 elle est notée ∫𝑎 𝑓(𝑥)𝑑𝑥. 𝑒 1
• 𝐼 = ∫2 𝑥(𝑙𝑛(𝑥)+1) 𝑑𝑥
1 2
Calculer les intégrales suivantes : • 𝐽 = ∫0 𝑥𝑒 𝑥 𝑑𝑥
2 𝜋
• 𝐼1 = ∫0 (𝑥 + 4)𝑑𝑥 • 𝐾 = ∫0 tan (𝑥) 𝑑𝑥
3
𝑒1
• 𝐼2 = ∫1 𝑥 𝑑𝑥 • 𝐿 = ∫0
1 2𝑥+2
𝑑𝑥.
𝑒4 𝑙𝑛(𝑥) (𝑥 2 +2𝑥+1)²
• 𝐼3 = ∫𝑒 2 𝑑𝑥 𝑒 2𝑥 −1 𝑒 𝑥 −𝑒 −𝑥
𝑥 2. a- Vérifier que : (∀𝑥 ∈ ℝ) = 𝑒 𝑥 +𝑒 −𝑥 .
1 𝑒𝑥 𝑒 2𝑥 +1
• 𝐼4 = ∫0 𝑑𝑥 1 𝑒 2𝑥 −1
𝜋
𝑒 𝑥 +1 b- En déduire la valeur de l’intégrale ∫0 𝑑𝑥.
𝑒 2𝑥 +1
• 𝐼5 = ∫0 𝑐𝑜𝑠 (2𝑥)𝑑𝑥
4
−1 2 𝜋
• 5 = ∫−2 𝑥2−𝑥 𝑑𝑥 1
1. Calculer l’integrale ∫𝜋3 (𝑐𝑜𝑠2 (𝑥) − 4 cos(2𝑥)) 𝑑𝑥.
4
𝑥 ′ 1−𝑥 2
Calculer les intégrales suivantes : 2. Montrer que (𝑥 2 +1) = (𝑥 2+1)2 pour tout réel 𝑥 puis
1
• 𝐼1 = ∫−1(2𝑥 3 − 5𝑥 2 + 2)𝑑𝑥 √3 1−𝑥 2
2 1 2
calculer ∫1 (𝑥 2 +1)2
𝑑𝑥.
• 𝐼2 = ∫1 (𝑥 2 − 𝑥 3 ) 𝑑𝑥
1 1
• 𝐼3 = ∫0 (1 − 𝑥+1) 𝑑𝑥 Soit 𝑓 la fonction définie sur ℝ\{1} par :
4 𝑥 2 −6𝑥+4
• 𝐼4 = ∫0 𝑥√1 + 𝑥²𝑑𝑥 𝑓(𝑥) = 𝑥−1 .
𝑙𝑛3
• 𝐼5 = ∫0 𝑒 𝑥 √𝑒 𝑥 + 1𝑑𝑥 1. Déterminer les nombres réels 𝑎, 𝑏, 𝑒𝑡 𝑐 pour que l’on
𝑐
𝜋 ait pour tout 𝑥 𝑑𝑒 ℝ\{1} ∶ 𝑓(𝑥) = 𝑎𝑥 + 𝑏 + 𝑥−1.
• 𝐼6 = ∫0 𝑐𝑜𝑠𝑥. 𝑠𝑖𝑛5 𝑥 𝑑𝑥
6
3
2 𝑥−1 2. En déduire la valeur de l’intégrale : ∫2 𝑓(𝑥)𝑑𝑥.
• 𝐼7 = ∫1 𝑥 2−2𝑥+2 𝑑𝑥
1 2
• 𝐼8 = ∫0 (1 − 𝑥)𝑒 𝑥 −2𝑥+3 𝑑𝑥 Linéariser le polynôme trigonométrique 𝑐𝑜𝑠 3 𝑥 puis
𝑒2 1 𝜋
• 𝐼9 = ∫1 𝑥√1+𝑙𝑛𝑥 𝑑𝑥 calculer ∫04 𝑐𝑜𝑠 3 𝑥 𝑑𝑥 .
2
• 𝐼3 = ∫0 ∣ 𝑒 −𝑥+1 − 1 ∣ 𝑑𝑥
En utilisant la formule d’intégration par parties, Calculer
𝜋 les intégrales suivantes :
𝑒
On considère les intégrales 𝐼 = ∫04 cos (3𝑥)cos (𝑥)𝑑𝑥 et • 𝐼1 = ∫1 𝑥²𝑙𝑛𝑥𝑑𝑥
𝜋 𝑥
1
𝐽 = ∫04 sin (3𝑥)sin (𝑥)𝑑𝑥. • 𝐼2 = ∫1 (2𝑥 − 1)𝑒 −2 𝑑𝑥
2
1. Vérifier, pour tout 𝑥 ∈ ℝ, que 𝑒
• 𝐼3 = ∫2 𝑙𝑛 (𝑥 + 2)𝑑𝑥
𝑐𝑜𝑠(3𝑥) 𝑐𝑜𝑠(𝑥) + 𝑠𝑖𝑛(3𝑥) 𝑠𝑖𝑛(𝑥) = cos(2𝑥) 𝜋
2. Vérifier, pour tout 𝑥 ∈ ℝ, que • 𝐼4 = ∫0 𝑥²𝑐𝑜𝑠𝑥𝑑𝑥 .
𝑐𝑜𝑠(3𝑥) 𝑐𝑜𝑠(𝑥) − 𝑠𝑖𝑛(3𝑥) 𝑠𝑖𝑛(𝑥) = cos (4𝑥).
3. Calculer 𝐼 + 𝐽 et 𝐼 − 𝐽 puis en déduire 𝐼 et 𝐽. 1. Vérifier, pour tout 𝑥 ∈ [0; 1], que :
𝑥 3 +𝑥 2
= 𝑥 2 − 𝑥 + 2 − 𝑥+1.
𝑥+1
2. En utilisant la formule d’intégration par parties, Soit 𝑓 la fonction numérique définie sur ℝ par: 𝑓(𝑥) =
1 𝑥 + 1 − (𝑥 2 + 1)𝑒 𝑥 .
Calculer l’integrale 𝐼 = ∫0 (3𝑥 2 + 1) ln(𝑥 + 1) 𝑑𝑥.
Et (𝐶𝑓 ) la courbe de la fonction 𝑓 dans un repère
orthonormé (𝑂; 𝑖⃗; 𝑗⃗) tel que ‖𝑖⃗‖ = 2𝑐𝑚
En utilisant la formule d’intégration par parties, Calculer 1. Montrer que 𝐻: 𝑥 ↦ (𝑥 − 1)𝑒 𝑥 est une fonction
les integrales suivantes : primitive de la fonction ℎ: 𝑥 ↦ 𝑥𝑒 𝑥 sur ℝ,puis en
𝑒2 0 2
• 𝐼1 = ∫1 𝑥(𝑙𝑛𝑥)2 𝑑𝑥 déduire que: ∫−1 𝑥𝑒 𝑥 𝑑𝑥 = 𝑒 − 1.
2
• 𝐼2 = ∫1 𝑥√3 − 𝑥𝑑𝑥 2. En utilisant une intégration par parties, Montrer
0 2
•
𝑒 𝑥 𝑙𝑛 𝑥
𝐼3 = ∫√𝑒 (𝑥 2+1)2 𝑑𝑥 que:∫−1(𝑥 2 + 1)𝑒 𝑥 𝑑𝑥 = 3 (1 − 𝑒).
2 𝑙𝑛(1+𝑡) 3. 3) Calculer en 𝑐𝑚 2 ,l’aire du Domaine plan délimité
• 𝐼4 = ∫1 𝑑𝑡
𝜋
𝑡2 par(𝐶𝑓 ), la droite (𝐷) d’équation 𝑦 = 𝑥 + 1 et les
𝑥
• 𝐼5 = ∫0 4 𝑑𝑥 droites d’équations : 𝑥 = −1 et 𝑥 = 0.
𝑐𝑜𝑠𝑥 2
2
• 𝐼6 = ∫1 𝑥2𝑥 𝑑𝑥
1 𝑥+1 Soit 𝑔 la fonction numérique définie s ur [0,1] par :
• 𝐼7 = ∫0 𝑙 𝑛 (𝑥+2) 𝑑𝑥 1
1
𝑓(𝑥) = 𝑥𝑒 2𝑥 .
• 𝐼8 = ∫0 𝑥 2 𝑒 𝑥 𝑑𝑥 Calculer Le volume du solide engendré par la rotation de
𝜋
• 𝐼9 = ∫𝜋 𝑠𝑖𝑛𝑥𝑒 𝑑𝑥 𝑥 la courbe de la fonction 𝑔 𝑎utour de l’axe des abscisses
2 un tour complet.
Répondre à la même question pour la fonction
On considéra la fonction définie par : 𝑓(𝑥) = −𝑥 + 2 et √𝑥 π
𝑓(𝑥) = 𝑐𝑜𝑠(𝑥) sur l’intervalle [0, 4 ].
(𝐶𝑓 ) la courbe représentative de 𝑓 dans le plan rapporté à
un repère orthonormé (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗) unité (1cm)
1. Tracer (𝐶𝑓 ) et colorier le domaine délimité par l'axe Soit 𝑓 la fonction numérique définie sur ℝ par:
des abscisses, la courbe et les droites d'équations 𝑓(𝑥) = (2𝑥 − 1)𝑒 2𝑥 + 𝑥 + 1
𝑥 = −1 et 𝑥 = 3, puis donner une valeur de son Et (𝐶𝑓 ) la courbe de la fonction 𝑓 dans un repère
aire en unités d’aires. orthonormé (𝑂; 𝑖⃗; 𝑗⃗) tel que ‖𝑖⃗‖ = 2𝑐𝑚
3 1. Montrer, en utilisant une integration par Partie que:
2. Calculer ∫ |𝑓(𝑥)|𝑑𝑥 × ‖𝑖⃗‖ × ‖𝑗⃗‖ . Qu'est-ce qu'on
−1 1
𝑒
peut déduire ? ∫02(2𝑥 − 1)𝑒 2𝑥 𝑑𝑥 = 1 − 2
2. Montrer que l’aire du Domaine plan limite par (𝐶𝑓 ),
Le plan est apporté à un repère orthonormé (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗) la droite (𝑇): 𝑦 = 𝑥 el les droites d’équations : 𝑥 =
avec ‖𝑖⃗‖ = 1𝑐𝑚 et ‖𝑗⃗‖ = √2𝑐𝑚 1
0 et 𝑥 = 2 est: (6 − 2𝑒)𝑐𝑚2.
Soit 𝑓 la fonction définie par : 𝑓(𝑥) = sin(𝑥)
Calculer l’aire du domaine délimité par la courbe de 𝑓 et
𝜋 𝜋
les droites d’équations : 𝑥 = 2 𝑒𝑡 𝑥 = − 2 . Soit 𝑓 la fonction numérique définie sur ]0; +∞[par
1
𝑓(𝑥) = (1 + 𝑙𝑛𝑥)2 + 𝑥 2 et (𝐶𝑓 ) la courbe de la fonction
Soit 𝑓 la fonction définie sur ]0; 𝑒[ ∪ ]𝑒; +∞[ par: 𝑓 dans un repère orthonormé (𝑂; 𝑖⃗; 𝑗⃗) tel que ‖𝑖⃗‖ = 1𝑐𝑚
1
𝑓(𝑥) = 𝑥(1−𝑙𝑛𝑥) et (𝐶𝑓 ) la courbe de la fonction 𝑓 dans On considère les intégrales 𝐼 et 𝐽 définies par:
𝑒 𝑒
un repère orthonormé (𝑂; 𝑖⃗; 𝑗⃗) tel que ‖𝑖⃗‖ = 2𝑐𝑚. 𝐼 = ∫ (1 + 𝑙𝑛𝑥) 𝑑𝑥 𝑒𝑡 𝐽 = ∫ (1 + 𝑙𝑛𝑥)2 𝑑𝑥
√𝑒 1 1 1
1. Montrer que ∫1 𝑑𝑥 = 𝑙𝑛2 . 1. Montrer que 𝐻: 𝑥 ↦ 𝑥𝑙𝑛𝑥 est une fonction primitive
𝑥(1−𝑙𝑛𝑥)
1
1 de la fonction ℎ: 𝑥 ↦ 1 + 𝑙𝑛𝑥 sur ]0; +∞[,puis en
(Remarquer que 𝑥(1−𝑙𝑛𝑥) = 𝑥
(1−𝑙𝑛𝑥)
) déduire que 𝐼 = 𝑒 .
2. Calculer, en 𝑐𝑚2 , l’aire du domaine plan délimité par 2. En utilisant une integration par parties, Montrer que:
(𝐶𝑓 ), l’axe des abscisses et les droites d’équations: 𝐽 = 2𝑒 − 1 .
3. Calculer en 𝑐𝑚 2 , l’aire du Domaine plan limite par
𝑥 = 1 et 𝑥 = √𝑒.
(𝐶𝑓 ),L’axe des abscisses et les droites d’équations:
𝑥 = 1 et 𝑥 = 𝑒 .
Le plan est rapporté à un repère orthogonal (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗)
avec ‖𝑖⃗‖ = 2𝑐𝑚 et ‖𝑗⃗‖ = 2𝑐𝑚
On considère les fonctions 𝑓 𝑒𝑡 𝑔 définie par :
𝑓(𝑥) = 2𝑥² + 1 et 𝑔(𝑥) = 𝑥² + 𝑥 + 1
Calculer l’aire du domaine délimité par les courbes des
fonctions 𝑓 𝑒𝑡 𝑔 et l’axe des abscisses et les droites
d’équations 𝑥 = 0 𝑒𝑡 𝑥 = 2 .
⃗⃗ ).
Dans tout ce qui suit l’espace est rapporté au repère orthonormé (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗, 𝑘
On considère dans l’espace les points 𝐴(2; 1; 3), 𝐵(1; 1; −2) et 𝐶(2; −1; 0).
1. a. Déterminer les coordonnées des vecteurs 𝐴𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ .
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ et 𝐴𝐶
b. Etudier l’alignement des points 𝐴, 𝐵 et 𝐶.
2. a. Donner une représentation paramétrique de la droite (𝐴𝐵).
b. Est-ce que le point 𝐷(4, −3,2) appartient à (𝐴𝐵) ?
c- Donner deux équations cartésiennes de la droite (𝐴𝐵).
3. Donner une équation cartésienne du plan (𝐴𝐵𝐶).
1.
Soient 𝑢 ⃗⃗ et 𝑣⃗ deux vecteurs de l’espace, 𝐴, 𝐵 et 𝐶 trois points de l’espace tels que 𝑢 ⃗⃗ = ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗
et 𝑣⃗ = 𝐴𝐶 .
Il existe au moins un plan (𝑃) contenant les points 𝐴, 𝐵 et 𝐶 .
Le produit scalaire des vecteurs 𝑢 ⃗⃗ et 𝑣⃗, noté 𝑢 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ . 𝐴𝐶
⃗⃗. 𝑣⃗, est le produit scalaire 𝐴𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ dans le
plan (𝒫) .
Toutes les propriétés du produit scalaire dans le plan s’étendent dans l’espace.
Si 𝑢 ⃗⃗ et 𝑣⃗ = 𝑥 ′ 𝑖⃗ + 𝑦 ′ 𝑗⃗ + 𝑧 ′ 𝑘
⃗⃗ = 𝑥𝑖⃗ + 𝑦𝑗⃗ + 𝑧𝑘 ⃗⃗ deux vecteurs de l’espace, alors :
′ ′ ′
𝑢⃗⃗. 𝑣⃗ = 𝑥𝑥 + 𝑦𝑦 + 𝑧𝑧 .
• Si 𝑢
⃗⃗ = 𝑥𝑖⃗ + 𝑦𝑗⃗ + 𝑧𝑘 ⃗⃗ , ‖𝑢
⃗⃗‖ = √𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑧 2 .
• Si 𝐴(𝑥𝐴 , 𝑦𝐴 , 𝑧𝐴 ) et 𝐵(𝑥𝐵 , 𝑦𝐵 , 𝑧𝐵 ) deux points de l’espace, alors
𝐴𝐵 = √(𝑥𝐵 − 𝑥𝐴 )2 + (𝑦𝐵 − 𝑦𝐴 )2 + (𝑧𝐵 − 𝑧𝐴 )2.
1
Soient (𝐷1 ) et (𝐷2 ) deux droites de l’espace dirigées respectivement par 𝑢
⃗⃗1 et 𝑢
⃗⃗2 .
(𝐷1 ) et (𝐷2 ) sont perpendiculaire si et seulement si 𝑢
⃗⃗1 . 𝑢
⃗⃗2 = 0.
Soient 𝑢
⃗⃗(𝑎, 𝑏, 𝑐) un vecteur non nul et 𝐴 un point de l’espace et 𝑘 ∈ ℝ.
L’ensemble des points 𝑀 de l’espace tels que 𝑢 ⃗⃗. ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝑀 = 𝑘 est un plan d’équation
𝑎𝑥 + 𝑏𝑦 + 𝑐𝑦 + 𝑑 = 0 (𝑑 ∈ ℝ).
Déterminons une équation cartésienne du plan (𝒫) passant par 𝐴(1, −2,3) et de vecteur
normal 𝑛⃗⃗(1, −3, −2).
Soit 𝑀(𝑥, 𝑦, 𝑧) un point de (𝒫). On a 𝐴𝑀⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗(𝑥 − 1, 𝑦 + 2, 𝑧 − 3).
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗. 𝑛⃗⃗ = 0 ⟺ (𝑥 − 1) − 3(𝑦 + 2) − 2(𝑧 − 3) = 0
On a 𝐴𝑀
⟺ 𝑥 − 3𝑦 − 2𝑧 − 1 = 0.
Puisque (𝒫) est de vecteur normal 𝑛⃗⃗(1, −3, −2), alors (𝒫): 𝑥 − 3𝑦 − 2𝑧 + 𝑑 = 0.
Or 𝐴 ∈ (𝑃), alors 1 − 3(−2) − 2(3) + 𝑑 = 0 et 𝑑 = −1.
D’où (𝑃): 𝑥 − 3𝑦 − 2𝑧 − 1 = 0.
1. Déterminer une équation cartésienne du plan (𝒫) passant par 𝐴 et de vecteur normal 𝑛⃗⃗
dans les cas suivants :
a. 𝐴(1,0,5) et 𝑛 ⃗⃗(−1,1,0).
b. 𝐴(√2, −2,5) et 𝑛 ⃗⃗(−1,1,0).
2. Déterminer une équation cartésienne du plan (𝒫) passant par 𝐴 et orthogonal à la droite
𝑥 = 2 − 3𝑡
(𝐷): {𝑦 = −3 + t /𝑡 ∈ ℝ .
𝑧 = 4 − 2𝑡
3. Donner une équation cartésienne du plan médiateur (𝒫) du segment [𝑀𝑁] tel que
𝑀(0, 5, −1) et 𝑁(2,1,1).
2
⃗⃗ .
On considère dans l’espace les points 𝐴(1; 1; 2), 𝐵(0; 1; 1) et le vecteur 𝑛⃗⃗ = 𝑖⃗ + 𝑗⃗ − 𝑘
1. Vérifier que les points 𝑂, 𝐴 et 𝐵 ne sont pas alignés.
2. Montrer que le vecteur ⃗𝑛⃗ est orthogonal aux vecteurs ⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗.
𝑂𝐴 et 𝑂𝐵
3. En déduire une équation cartésienne du plan (𝑂𝐴𝐵).
4. Donner une représentation paramétrique de la droite passant par le point 𝐴 est
orthogonale au plan (𝑂𝐴𝐵).
Soient (𝑃) et (𝑄) deux plans de l’espace et 𝑛⃗⃗( 𝑃) et 𝑛⃗⃗(𝑄) sont respectivement deux
vecteurs normaux de (𝑃) et (𝑄).
• (𝑃) et (𝑄) sont orthogonales si et seulement si 𝑛⃗⃗(𝑄) . 𝑛⃗⃗(𝑃) = 0.
• (𝑃) et (𝑄) sont parallèles si et seulement si 𝑛⃗⃗(𝑄) et . 𝑛⃗⃗(𝑃) sont parallèles.
On considère les points 𝐴(−1,0,1), 𝐵(1,2, −1) et 𝐶(1, −1,2) et soit (𝑃) le plan d’équation
𝑥 + 𝑦 − 𝑧 = 0.
1. a. Donner une représentation paramétrique de la droite (𝐴𝐵).
b. Vérifier que la droite (𝐴𝐵) est orthogonale à (𝑃).
c. Déterminer les coordonnés du point d’intersection de (𝐴𝐵) et (𝑃) .
2. Montrer que la droite (𝐴𝐶) est parallèle à (𝑃).
3. Donner une équation cartésienne du plan (𝑄) passant par 𝐵 et parallèle à (𝑃).
La sphère (𝑆) de centre 𝛺(𝑎, 𝑏, 𝑐) et de rayon 𝑅 est l’ensemble des points 𝑀 de l’espace
tels que 𝛺𝑀 = 𝑅 et on la note par 𝑆(𝛺, 𝑅).
On a 𝑀(𝑥, 𝑦, 𝑧) ∈ (𝑆) ⇔ 𝛺𝑀 = 𝑅
⇔ 𝛺𝑀2 = 𝑅 2
⇔ (𝑥 − 𝑎)2 + (𝑦 − 𝑏)2 + (𝑧 − 𝑐)2 = 𝑅 2
3
⇔ 𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑧 2 − 2𝑎𝑥 − 2𝑏𝑦 − 2𝑐𝑧 + 𝑎2 + 𝑏 2 + 𝑐 2 = 𝑅 2 .
Cette équation est appelée de la sphère (𝑆).
Donner, par deux méthodes, une équation cartésienne de la sphère de diamètre [𝐴𝐵] telle
que 𝐴(−1,3,2) et 𝐵(−3,1; 0).
Soient 𝑎, 𝑏 et 𝑐 et 𝑑 des réels tels que (𝑎, 𝑏, 𝑐) ≠ (0,0,0) et (𝑆) l’ensemble des points
𝑀(𝑥, 𝑦, 𝑧) de l’espace tels que 𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑧 2 + 𝑎𝑥 + 𝑏𝑦 + 𝑐𝑧 + 𝑎2 + 𝑏 2 + 𝑐 2 + 𝑑 = 0.
𝑎 𝑏 𝑐
• Si 𝑎2 + 𝑏 2 + 𝑐 2 − 4𝑑 > 0, (𝑆) est une sphère de centre 𝛺 (− , − , − ) et de rayon
2 2 2
√𝑎2 +𝑏2 +𝑐 2 −4𝑑
𝑅= .
2
𝑎 𝑏 𝑐
• Si 𝑎2 + 𝑏 2 + 𝑐 2 − 4𝑑 = 0, (𝑆) est le point 𝛺 (− 2 , − 2 , − 2).
• Si 𝑎2 + 𝑏 2 + 𝑐 2 − 4𝑑 < 0, (𝑆) est l’ensemble vide.
Déterminer (𝑆) l’ensemble des points 𝑀(𝑥, 𝑦, 𝑧) dans les cas suivants :
a. 𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑧 2 − 4𝑥 − 6𝑦 = 0.
b. 𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑧 2 − 4𝑥 + 2𝑦 + 2𝑧 + 19 = 0.
c. 𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑧 2 + 4𝑦 − 2𝑧 + 5 = 0.
L’intersection d’une sphère et d’une droite est soit un deux-points, un point ou l’ensemble
vide.
Soit (𝑃) le plan d’équation 2𝑥 − 2𝑦 − 5 = 0 et soit (𝑆) l’ensemble des points 𝑀(𝑥; 𝑦; 𝑧)
tels que : 𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑧 2 − 2𝑥 + 4𝑦 + 6𝑧 + 11 = 0.
Montrer que (𝑆) est une sphère don’t on déterminera le centre Ω et le rayon 𝑅.
Montrer que le plan (𝑃) coupe la sphère (𝑆) selon un cercle (𝐶) dont on déterminera le
centre 𝐻 et le rayon 𝑟.
Déterminer une équation cartésienne de chacun des deux plans tangents à (𝑆) et
paralléle à (𝑃).
a. Soit (𝑄) le plan d’équation 𝑥 + 𝑦 + 𝑧 + 1 = 0.
a. Vérifier que le plan (𝑃) est tangent à la sphère (𝑆) puis déterminer leur point de
contact.
a. Vérifier que (𝑃) ⊥ (𝑄).
b. Donner une représentation paramétrique de la droite (∆) intersection de (𝑃) et (𝑄).
a. vérifier que le point 𝐴(2; −1; −2) est un point de la sphère (𝑆).
b. Déterminer une équation cartésienne du plan (𝑄) tangente à la sphère (𝑆) au point 𝐴.
1.
Trois demi-droites non coplanaires de l’espace [𝑂𝐼), [𝑂𝐽) et [𝑂𝐾) constituent dans cette
ordre un noté ([𝑂𝐼), [𝑂𝐽), [𝑂𝐾)).
Le est une personne virtuelle placé le long de [𝑂𝐾), les pieds en 𝑂 et
qui regarde dans la direction de [𝑂𝐼). Si la cote [𝑂𝐽) est à sa gauche, on dit que le trièdre
([𝑂𝐼), [𝑂𝐽), [𝑂𝐾)) est .
⃗⃗
Soient 𝑖⃗, 𝑗⃗ et 𝑘 des vecteurs définis par : 𝑖⃗ = 𝑂𝐼⃗⃗⃗⃗⃗ et 𝑗⃗ = 𝑂𝐽 ⃗⃗ = 𝑂𝐾
⃗⃗⃗⃗⃗ et 𝑘 ⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗.
Si que le trièdre ([𝑂𝐼), [𝑂𝐽), [𝑂𝐾)) est direct on dit que le repère (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗, 𝑘 ⃗⃗ ) est direct.
⃗⃗ ) est dit directe si le repère (𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗, 𝑘
La base (𝑖⃗, 𝑗⃗, 𝑘 ⃗⃗ ) est direct.
5
⃗⃗ ) est indirect
(𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗, 𝑘 ⃗⃗ ) est direct
(𝑂, 𝑖⃗, 𝑗⃗, 𝑘
• 𝑢
⃗⃗ ∧ 𝑣⃗ = −𝑣⃗ ∧ 𝑢
⃗⃗.
• ⃗⃗ ∧ ⃗0⃗ = ⃗0⃗ ∧ 𝑢
𝑢 ⃗⃗ = ⃗0⃗.
• ⃗⃗ ∧ (𝑣⃗ + 𝑤
𝑢 ⃗⃗⃗) = 𝑢 ⃗⃗ ∧ 𝑣⃗ + 𝑣⃗ ∧ 𝑤⃗⃗⃗.
• (𝛼 ∈ ℝ) (𝛼 𝑢 ⃗⃗) ∧ 𝑣⃗ = 𝛼(𝑢 ⃗⃗ ∧ 𝑣⃗).
Si ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 ≠ ⃗0⃗, alors les point 𝐴, 𝐵 et 𝐶 ne sont pas alignés, par suite le vecteur ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐵 ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶
est normal au plan (𝐴𝐵𝐶).
6
1. Vérifier que les point 𝐴, 𝐵 et 𝐶 ne sont pas alignés.
2. Donner une équation du plan (𝐴𝐵𝐶).
1
• Soit 𝐴𝐵𝐶 est un triangle. L’aire de 𝐴𝐵𝐶 est 𝑆𝐴𝐵𝐶 = 2 ‖𝐴𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 ‖.
• Soit 𝐴𝐵𝐶𝐷 est un parallélogramme. L’aire de 𝐴𝐵𝐶𝐷 est 𝑆𝐴𝐵𝐶𝐷 = ‖𝐴𝐵
⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ ⃗⃗⃗⃗⃗⃗
𝐴𝐶 ‖.
⃗⃗⃗⃗⃗⃗⃗∧𝑢
‖𝐴𝑀 ⃗⃗‖
𝑑(𝑀, 𝐷(𝐴, 𝑢
⃗⃗)) = ‖𝑢
⃗⃗‖
𝑥 =1+𝑡
1. Calculer la distance du point 𝑀(3,2,1) à la droite (𝐷): {𝑦 = 1 /𝑡 ∈ ℝ.
𝑧 = −𝑡
𝑥−𝑦 =1
2. a. Calculer la distance du point 𝑁(−1,2,0) à la droite (∆): { .
𝑦+𝑧 =2
b. Déterminer les coordonnées de 𝐻 projeté orthogonal de 𝑁 sur (∆).
Soient (𝑃) et (𝑄) deux plans de l’espace et 𝑛⃗⃗( 𝑃) et 𝑛⃗⃗(𝑄) sont respectivement deux
vecteurs normaux de (𝑃) et (𝑄).
Si 𝑛⃗⃗(𝑃) ∧ 𝑛⃗⃗(𝑄) ≠ ⃗0⃗, alors (𝑃) et (𝑄) sont sécantes suivant une droite (𝐷) dirigée par le
vecteur 𝑛⃗⃗(𝑃) ∧ 𝑛⃗⃗(𝑄) .
Dans l’espace rapporté à un repère orthonormé direct (𝑂; 𝑖⃗; 𝑗⃗; 𝑘⃗⃗ ) ,on considère la sphère (𝑆)
2 2 2
dont une équation cartésienne 𝑥 + 𝑦 + 𝑧 − 2𝑥 − 2𝑦 − 2𝑧 − 1 = 0.
Et le plan (𝑃) d’équation 𝑦 − 𝑧 = 0.
1)a- Montrer que le centre de (𝑆) est Ω(1; 1; 1) et que son rayon 𝑅 = 2.
b- Calculer 𝑑(Ω; (𝑃)) et en déduire le plan (𝑃) coupe la sphère (𝑆) selon un cercle (𝐶).
c-Déterminer le centre et le rayon du cercle (𝐶).
2) Soit (∆) la droite passant par le point 𝐴(1; −2; 2) et orthogonal au plan (𝑃).
a-Montrer que 𝑢 ⃗⃗(0; 1; −1) est un vecteur directeur de la droite (∆).
b-Montrer que: ‖Ω𝐴⃗⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ 𝑢 ⃗⃗‖ et en déduire que la droite (∆) coupe la sphère (𝑆)
⃗⃗‖ = √2‖𝑢
en deux points.
c-Déterminer le triple des coordonnées de chacun des points d’intersection de la droite
(∆) et la sphère (𝑆).
8
Géométrie de l’espace Etudier l’orthogonalité des plans (𝑃) et (𝑄).
2BSF 1 et 2 • (𝑃): 2𝑥 + 𝑧 − 1 = 0 et
(Q): 𝑥 − 2𝑦 − 2𝑧 + 1 = 0.
• (𝑃): 𝑥 − 𝑦 − 4𝑧 + 1 = 0 et
(Q): 4𝑥 − 𝑦 − 2𝑧 − 3 = 0.
On considère dans l’espace les points 𝐴(2; 1; 3),
𝐵(1; 1; −2) et 𝐶(2; −1; 0).
⃗⃗⃗⃗⃗ et On considère (𝒫) le plan d’équation 𝑥 + 𝑦 + 𝑧 + 1 = 0
1. a. Déterminer les coordonnées des vecteurs 𝐴𝐵
et 𝐴(1,2,0) est point de l’espace.
𝐴𝐶 .
⃗⃗⃗⃗⃗
1. Calculer 𝑑(𝐴, (𝑃)).
b. Etudier l’alignement des points 𝐴, 𝐵 et 𝐶.
2. Déterminer une représentation paramétrique de la
2. a. Donner une représentation paramétrique de la
droite (𝐷) passant par 𝐴 est orthogonal à (𝒫).
droite (𝐴𝐵).
3. Déterminer les coordonnées du point 𝐻 le projeté
b. Est-ce que le point 𝐷(4, −3,2) appartient à (𝐴𝐵) ?
c- Donner deux équations cartésiennes de la droite orthogonal de 𝐴 sur (𝒫).
(𝐴𝐵).
3. Donner une équation cartésienne du plan (𝐴𝐵𝐶). On considère les points 𝐴(−1,0,1), 𝐵(1,2, −1) et
𝐶(1, −1,2) et soit (𝑃) le plan d’équation 𝑥 + 𝑦 − 𝑧 = 0.
Soient 𝐴(2, −1,1), 𝐵(5,3,1) et 𝐶(6, −4,1) trois points 1. a. Donner une représentation paramétrique de la
de l’espace. droite (𝐴𝐵).
⃗⃗⃗⃗⃗ . 𝐴𝐶
Calculer 𝐴𝐵 , 𝐴𝐶 et 𝐴𝐵 ⃗⃗⃗⃗⃗ puis en déduire la nature du b. Vérifier que la droite (𝐴𝐵) est orthogonale à (𝑃).
triangle 𝐴𝐵𝐶. c. Déterminer les coordonnés du point d’intersection
de (𝐴𝐵) et (𝑃) .
2. Montrer que la droite (𝐴𝐶) est parallèle à (𝑃).
Montrer que (𝐷1 ) ⊥ (𝐷2 ) dans les cas suivants : 3. Donner une équation cartésienne du plan (𝑄)
a. (𝐷1 ) est dirigée par 𝑢
⃗ (1,2,3) et passant par 𝐵 et parallèle à (𝑃).
𝑥 = 1 + 4𝑡
(𝐷2 ): { 𝑦 = 2 − 2t /𝑡 ∈ ℝ.
𝑧=5 1. Donner une équation cartésienne du sphère (𝑆1 ) de
b. (𝐷1 ) est définie par les équations 𝑥 − 2 =
𝑦+1
=
5−𝑧 centre 𝛺(2,0,1) et de rayon 𝑅 = √2.
2 2
2. a. Donner une équation cartésienne du sphère (𝑆2 ) de
𝑥 = 3 + 2𝑡
et (𝐷2 ): { 𝑦 = 5 − 3t /𝑡 ∈ ℝ centre 𝛺(1, −1,2) et passant par le point 𝐴(−1,4,5).
𝑧 = −2 − 2𝑡 b. Est-ce que le point 𝐵(1,2, −2) appartient à (𝑆2 ) ?
1. Déterminer une équation cartésienne du plan (𝒫) Donner, par deux méthodes, une équation cartésienne de
passant par 𝐴 et de vecteur normal 𝑛⃗ dans les cas la sphère de diamètre [𝐴𝐵] telle que 𝐴(−1,3,2) et
suivants : 𝐵(−3,1; 0).
a. 𝐴(1,0,5) et 𝑛 ⃗ (−1,1,0).
b. 𝐴(√2, −2,5) et 𝑛 ⃗ (−1,1,0). Déterminer (𝑆) l’ensemble des points 𝑀(𝑥, 𝑦, 𝑧) dans les
2. Déterminer une équation cartésienne du plan (𝒫) cas suivants :
passant par 𝐴 et orthogonal à la droite a. 𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑧 2 − 4𝑥 − 6𝑦 = 0.
𝑥 = 2 − 3𝑡
b. 𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑧 2 − 4𝑥 + 2𝑦 + 2𝑧 + 19 = 0.
(𝐷): {𝑦 = −3 + t /𝑡 ∈ ℝ .
c. 𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑧 2 + 4𝑦 − 2𝑧 + 5 = 0.
𝑧 = 4 − 2𝑡
3. Donner une équation cartésienne du plan médiateur
(𝒫) du segment [𝑀𝑁] tel que 𝑀(0, 5, −1) et 𝑁(2,1,1). Déterminer une représentation paramétrique la sphère
(S) d'équation 𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑧 2 = 1.
On considère dans l’espace les points 𝐴(1; 1; 2),
⃗.
𝐵(0; 1; 1) et le vecteur 𝑛⃗ = 𝑖 + 𝑗 − 𝑘 On considère l’ensemble (𝑆) des points 𝑀(𝑥, 𝑦, 𝑧) de
1. Vérifier que les points 𝑂, 𝐴 et 𝐵 ne sont pas alignés. l’espace tels que𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑧 2 + 2𝑥 − 2𝑦 + 2𝑧 − 1 = 0.
2. Montrer que le vecteur ⃗𝑛 est orthogonal aux vecteurs 1. Montrer que (𝑆) est une sphère en déterminant son
⃗⃗⃗⃗⃗ ⃗⃗⃗⃗⃗ .
𝑂𝐴 et 𝑂𝐵 centre et son rayon 𝑅.
3. En déduire une équation cartésienne du plan(𝑂𝐴𝐵). 2. Etudier la position relative de (𝑆) et les plans
On considère les points 𝐴(−1,2,0), 𝐵(3,0,4) et 𝐶(−2,1,2). Dans l’espace rapporté à un repère orthonormé direct
1. Vérifier que les point 𝐴, 𝐵 et 𝐶 ne sont pas alignés. ⃗ ) ,on considère la sphère (𝑆) dont une equation
(𝑂; 𝑖; 𝑗; 𝑘
2. Déterminer l’aire du triangle 𝐴𝐵𝐶.
cartésienne 𝑥 2 + 𝑦 2 + 𝑧 2 − 2𝑥 − 2𝑦 − 2𝑧 − 1 = 0.
Et le plan (𝑃) d’équation 𝑦 − 𝑧 = 0.
1. Calculer la distance du point 𝑀(3,2,1) à la droite
1. a- Montrer que le centre de (𝑆) est Ω(1; 1; 1) et que
𝑥 = 1+𝑡
(𝐷): {𝑦 = 1 /𝑡 ∈ ℝ. son rayon 𝑅 = 2.
𝑧 = −𝑡 b- Calculer 𝑑(Ω; (𝑃)) et en déduire le plan (𝑃) coupe
2. a. Calculer la distance du point 𝑁(−1,2,0) à la la sphère (𝑆) selon un cercle (𝐶).
𝑥−𝑦 =1 c-Déterminer le centre et le rayon du cercle (𝐶).
droite (∆): { .
𝑦+𝑧=2 2. Soit (∆) la droite passant par le point 𝐴(1; −2; 2) et
b. Déterminer les coordonnées de 𝐻 projeté orthogonal au plan (𝑃).
orthogonal de 𝑁 sur (∆). a-Montrer que 𝑢 ⃗ (0; 1; −1) est un vecteur directeur de
la droite (∆).
Soit (𝑆) la sphère de centre Ω(1; −1; 0) et de rayon 𝑅 = √3. b-Montrer que: ‖Ω𝐴 ⃗⃗⃗⃗⃗ ∧ 𝑢
⃗ ‖ = √2‖𝑢
⃗ ‖ et en déduire que
1. Donner l’équation cartésienne de (𝑆). la droite (∆) coupe la sphère (𝑆) en deux points.
𝑥=2 c-Déterminer le triple des coordonnées de chacun des
2. On considère les droites (𝐷1 ): { 𝑦 = 2 + 4𝑡 (𝑡 ∈ ℝ) , points d’intersection de la droite (∆) et la sphère (𝑆).
𝑧 = 5 + 4𝑡
Pr. LATRACH
Nom : -------------------------------
Abdelkbir
précédents.
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
Une personne veut atteindre le point Y à partir du point
---------------------------------------------------------------------
X par le passage de trois vallées comme le montre la
figure ci-dessous : Donc d’après le principe général de dénombrement le
nombre de codes possibles est : ------------------------------
• Déterminons le nombres codes pairs de 4 chiffres
qu’on peut former à partir les chiffres précédents.
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
L'écriture 𝐴𝐶𝐹 signifie que cette personne est passée par
le pont A, le pont C puis le pont F. ---------------------------------------------------------------------
1) Compléter l'arbre suivant, puis déduire l'ensemble des ---------------------------------------------------------------------
chemins menant au point Y.
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
• Déterminons le nombres codes pairs de 3 chiffres
distincts deux à deux qu’on peut former à partir les
chiffres précédents.
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
2) Calculer le nombre de chemins que cette personne ---------------------------------------------------------------------
pourrait emprunter pour atteindre le point 𝑌.
Une urne contient cinq boules • Chaque ordre de 𝑝 parmi 𝑛 éléments (sans possibilité
noires et 12 boules blanches de répéter le même élément) est appelé un
indiscernables au toucher. arrangement de 𝑝 parmi 𝑛 éléments, on note le
On tire successivement et sans nombre des arrangements de 𝑝 éléments parmi 𝑛
remise (sans remettre la boule après par 𝐴𝑝𝑛 et 𝐴𝑝𝑛 = 𝑛(𝑛 − 1)(𝑛 − 2). . . (𝑛 − 𝑝 + 1).
l'avoir tirée dans l’urne) deux • Tout arrangement de 𝑛 éléments parmi 𝑛 éléments est
boules de l’urne. appelé une permutation.
1) Construire l’arbre des choix.
On note le nombre de permutations de 𝑛 par : 𝑛! .
2) Quel est le nombre de tirages comportant 2 boules de
Et on a : 𝑛! = 𝐴𝑛𝑛 = 𝑛 × (𝑛 − 1) × (𝑛 − 2) ×. . .× 2 × 1.
mêmes couleurs ?
3) Quel est le nombre de tirages comportant 2 boules de
couleurs différentes ? Par convention : 𝐴0𝑛 = 1 et 0! = 1.
4) Répéter les mêmes questions précédentes au cas où le 𝑛! se lit ‘factorielle 𝑛’ .
tirage est successif et avec remise. L’ordre est important dans tout arrangement.
---------------------------------------------------------------------
--------------------------------------------------------------------- On veut former des mots à trois lettres distinctes, avec
les lettres 𝐴, 𝐵, 𝐶, 𝐷, 𝐸 𝑒𝑡 𝐹.
--------------------------------------------------------------------- Déterminer le nombre de mots possibles.
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
Un parking comporte sept places libres repérées par les
--------------------------------------------------------------------- numéros 1 à 7.
--------------------------------------------------------------------- De combien de façons peut-on garer :
1) Une voiture ?
2) Trois voitures ? ---------------------------------------------------------------------
3) Sept voitures ?
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
Un groupe se compose de quatre personnes {𝑎 ; 𝑏; 𝑐; 𝑑}.
--------------------------------------------------------------------- Nous voulons former un comité de trois personnes pour
--------------------------------------------------------------------- effectuer une tâche.
1) Déterminer les comités qu’on peut former.
--------------------------------------------------------------------- 𝐴34
2) Calculer . Conclure.
3!
---------------------------------------------------------------------
--------------------------------------------------------------------- ---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
1) De combien de façons ---------------------------------------------------------------------
peut-on faire asseoir six
personnes sur une table ---------------------------------------------------------------------
douze chaises ? ---------------------------------------------------------------------
2) De combien de façons
peut-on faire asseoir douze personnes sur table de ---------------------------------------------------------------------
douze chaises ? ---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
Soient 𝑛 ∈ ℕ et 𝐸 un ensemble fini de 𝑛 éléments et 𝑝
--------------------------------------------------------------------- un entier vérifiant : 1 ≤ 𝑝 ≤ 𝑛
--------------------------------------------------------------------- On appelle combinaison de 𝑝 éléments parmi 𝑛
éléments de 𝐸 toute partie de 𝐸 possédant 𝑝 éléments.
--------------------------------------------------------------------- Le nombre de combinaisons de 𝑝 éléments parmi 𝑛 est
𝑝
𝐴𝑛 𝑛!
égal à 𝐶𝑛𝑝 et on a : 𝐶𝑛𝑝 = = .
𝑝! 𝑝!×(𝑛−𝑝)!
Une urne contient quatre boules blanches, trois boules
Jaunes et une boule noire indiscernables au toucher. On
tire successivement et sans remise trois boules de l’urne. • 𝐶𝑛0 = 1.
Donner le nombre de tirages possibles. • 𝐶𝑛𝑝 = 𝐶𝑛𝑛−𝑝 , 𝐶𝑛1 = 𝑛 et 𝐶𝑛𝑛 = 1.
• 𝐶𝑛𝑝 = 𝐶𝑛−1
𝑝−1 𝑝
+ 𝐶𝑛−1 .
--------------------------------------------------------------------- 𝐶𝑛𝑝 représente le nombre de façons de choisir 𝑝 objets
parmi 𝑛 (L’ordre n’est pas important et il n’y a pas de
---------------------------------------------------------------------
répétition)
---------------------------------------------------------------------
--------------------------------------------------------------------- ✓ 𝐶53 = -----------------------------------------------------
b. ✓ 𝐶43 = 𝐶4… = ----------------------------------------------
✓ 𝐶77 = -----------------------------------------------------
Pour tout entier 𝑛 et tout entier 𝑝 tel que : 1 ≤ 𝑝 ≤ 𝑛.
Le nombre des arrangements avec répétition 𝑝 éléments
parmi 𝑛 est : 𝑛𝑝 . Dans une classe est composée de 4 filles et 6 garçons.
Le professeur voulait choisir 3 élèves pour faire un
exposé.
Une urne contient quatre boules blanches, trois boules 1) Déterminer le nombre de groupes que le professeur
Jaunes et une boule noire indiscernables au toucher. On peut créer.
tire successivement et avec remise trois boules de l’urne. 2) Déterminer le nombre de groupes composés par les
Donner le nombre de tirages possibles. garçons uniquement.
3) Déterminer le nombre de groupes qui contiennent
--------------------------------------------------------------------- deux filles exactement.
4) Déterminer le nombre de groupes qui contiennent au
---------------------------------------------------------------------
moins un garçon. 1) Déterminer le nombre de tirages possibles.
5) Déterminer le nombre de groupes qui contiennent aux 2) Déterminer le nombre de tirages où les trois premiers
plus trois filles. jetons sont verts.
3) Déterminer le nombre de tirages où le premier jeton
--------------------------------------------------------------------- est vert.
4) Déterminer le nombre de tirages comportant
--------------------------------------------------------------------- exactement un jeton vert.
--------------------------------------------------------------------- 5) Déterminer le nombre de tirages comportant au moins
un jeton vert.
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
---------------------------------------------------------------------
Une expérience aléatoire est une expérience dont les
--------------------------------------------------------------------- résultats possibles sont connus sans que l'on puisse
--------------------------------------------------------------------- déterminer lequel sera réalisé.
• Une issue est un des résultats possibles d'une
--------------------------------------------------------------------- expérience aléatoire.
• Un événement est un ensemble des issues.
---------------------------------------------------------------------
• Tout événement formé d’une seule issue est appelé un
--------------------------------------------------------------------- événement élémentaire.
• L'univers associé à une expérience aléatoire est
---------------------------------------------------------------------
l'ensemble de toutes ses issues possibles. On le note
--------------------------------------------------------------------- souvent par Ω.
---------------------------------------------------------------------
On lance un dé cubique dont les faces sont
numérotées de 1 à 6 et on observe le nombre
Une urne contient quatre boules rouges et trois boules obtenu.
vertes. On tire simultanément trois boules de l’urne. Cette expérience a 6 issues possibles et l'univers associé
1. Déterminer le nombre de tirages possibles. est Ω = {1; 2; 3; 4; 5; 6}.
2. Déterminer le nombre de tirages comportant • A : « Obtenir un nombre impair » est un événement.
exactement une boule rouge. Il regroupe les issues {1; 3; 5} on écrit A = {1; 3; 5}.
3. Déterminer le nombre de tirages comportant au moins • B : « Obtenir un nombre multiple de 5 » est un
une boule verte. événement élémentaire et 𝐵 = {5}.
Une personne veut atteindre le point Y à partir du point X par Un parking comporte sept places libres repérées par les
le passage de trois vallées comme le montre la figure ci- numéros 1 à 7.
dessous : De combien de façons peut-on garer :
1) Une voiture ?
2) Trois voitures ?
3) Sept voitures ?
2) Calculer le nombre de chemins que cette personne pourrait Un groupe se compose de quatre personnes {𝑎 ; 𝑏; 𝑐; 𝑑}.
emprunter pour atteindre le point 𝑌. Nous voulons former un comité de trois personnes pour
effectuer une tâche.
Dans un restaurant d’entreprise, le repas comporte un plat et 1) Déterminer les comités qu’on peut former.
un dessert. 𝐴34
2) Calculer 3!
. Conclure.
Le menu propose au choix deux plats et trois desserts.
De combien de manière peut -on composer un repas ?
Dans une classe est composée de 4 filles et 6 garçons.
Une urne contient cinq boules noires et 12 boules blanches Le professeur voulait choisir 3 élèves pour faire un exposé.
indiscernables au toucher. 1) Déterminer le nombre de groupes que le professeur peut
On tire successivement et sans remise (sans remettre la boule créer.
après l'avoir tirée dans l’urne) deux boules de l’urne. 2) Déterminer le nombre de groupes composés par les
1) Construire l’arbre des choix. garçons uniquement.
2) Quel est le nombre de tirages comportant 2 boules de 3) Déterminer le nombre de groupes qui contiennent deux
mêmes couleurs ? filles exactement.
4) Déterminer le nombre de groupes qui contiennent au moins
3) Quel est le nombre de tirages comportant 2 boules de
couleurs différentes ? un garçon.
5) Déterminer le nombre de groupes qui contiennent aux plus
4) Répéter les mêmes questions précédentes au cas où le
tirage est successif et avec remise. trois filles.
On veut ranger, Trois vases parmi cinq notés 1, 2, 3, 4 𝑒𝑡 5 Une urne contient quatre boules rouges et trois boules vertes.
dans un placard contenant trois tiroirs notés 𝐴 , 𝐵 𝑒𝑡 𝐶. On tire simultanément trois boules de l’urne.
1) Combien de rangements différents peut-on réaliser ?
1. Déterminer le nombre de tirages possibles.
2) Combien de rangements où le vase 1 est placé dans le tiroir
2. Déterminer le nombre de tirages comportant exactement
A? une boule rouge.
3) Combien de rangements sont effectués dans deux tiroirs ?
3. Déterminer le nombre de tirages comportant au moins une
4) Combien de rangements différents peut-on réaliser si on
boule verte.
dispose de 5 tiroirs 𝐴, 𝐵, 𝐶, 𝐷 𝑒𝑡 𝐸 ?
Une urne contient six jetons verts et cinq jetons rouges et trois
jetons bleus indiscernables au toucher.
1. Calculer les nombres 𝐴35 , 𝐴49 , 𝐴17 et 5!.
7!
On tire successivement et sans remise quatre jetons de l’urne.
2. Comparer et 𝐴57 .
(7−5)! 1) Déterminer le nombre de tirages possibles.
2) Déterminer le nombre de tirages où les trois premiers
jetons sont verts.
On veut former des mots à trois lettres distinctes, avec les
3) Déterminer le nombre de tirages où le premier jeton est
lettres 𝐴, 𝐵, 𝐶, 𝐷, 𝐸 𝑒𝑡 𝐹.
vert.
Déterminer le nombre de mots possibles.
4) Déterminer le nombre de tirages comportant exactement un 2. a. Sachant que l’élève choisi est un garçon. Quelle est la
jeton vert. probabilité qu'il soit un redoublant ? notons cette
5) Déterminer le nombre de tirages comportant au moins un probabilité par 𝑃𝐺 (𝐼) .
jeton vert. b. Vérifier que : 𝑃𝐺 (𝐼) =
𝑃(𝐺∩𝐼)
.
𝑃(𝐺)
c. Que représentent les probabilités suivantes : 𝑃𝐹 (𝐼),
On lance un dé cubique non truqué deux fois successives. On 𝑃𝐼 (𝐹) et 𝑃𝐼 (𝐺)? Calculer ces probabilités.
note les résultats de cette expérience aléatoire par le couple
(𝑎; 𝑏), où 𝑎 est le résultat du premier lancer et 𝑏 est le résultat Un sac contient cinq jetons blancs avec les numéros 1,1,1,0,0,
du second lancer. quatre jetons rouges avec les numéros 1,1,0,0 et deux jetons
1) Déterminer Ω l’univers de cette expérience. verts avec les numéros 0,1.
2) Déterminer les événements suivants : On tire successivement et avec remise trois jetons du sac.
• A : « Obtenir deux nombres égaux ». 1. Sachant que les jetons sont jetons indiscernables au
• B : « Obtenir deux nombres pairs». toucher, calculer les probabilités des événements suivants :
• C : « Obtenir deux nombres dont le produit est 12 ». • A : "Obtenir trois jetons de la même couleur".
• 𝐴 ∩ 𝐵 , 𝐴 ∪ 𝐵, 𝐴 ∩ 𝐶 et 𝐴 ∪ 𝐶. • B : « Obtenir trois jetons de même numéro ».
• C : "Obtenir trois jetons de couleurs différentes, deux à
deux."
On lance un dé tétraédrique dont les faces sont numérotées
2. Sachant que les boules ont la même couleur, quelle est la
de 1 à 4 tel que 𝑃({1}) = 0,3 ; 𝑃({2}) = 0,1 ; 𝑃({3}) = 0,4 et
probabilité qu'elles aient le même numéro ?
𝑃({4}) = 0,2.
3. Sachant que les boules tirées portent le même numéro,
Calculer la probabilité des événements suivants A=
quelle est la probabilité qu'elles soient de couleurs
{2,4} ; 𝐵 = {1,2,4} et 𝐶 = {1,2,3,4}.
différentes, deux à deux ?
Un sac contient 4 boules rouges, 3 boules vertes et 2 boules Une personne lave des gobelets dans un café.
blanches indiscernables au toucher. On tire simultanément et 2
La probabilité qu'il casse la première tasse qu'il lave est de 7.
au hasard 3 boules du sac.
1. Combien y' a-t-il de résultats possibles ? Lorsqu'il casse le premier gobelet, son attention augmente de
1
2. Calculer la probabilité de chaque événement : sorte que la probabilité de casser le deuxième est de 5 .
• 𝐴:" Obtenir 3 boules rouges ". S'il ne casse pas le premier gobelet, la probabilité de casser le
• 𝐵:" Obtenir 3 boules de même couleur ". deuxième est de 7.
3
• 𝐶 :" Obtenir 3 boules de couleurs distinctes deux à
On considère les événements suivants :
deux "
A : « casser le premier gobelet » ;
• 𝐷 :" Obtenir exactement une boule rouge "
B : « Casser le second gobelet ».
• 𝐸 :" Obtenir au moins une boule blanche " 1. Construire un arbre de probabilité.
• 𝐸 ∩ D et 𝐸 ∪ D. 2. Calculer la probabilité de casser le premier et le second
gobelet.
Un sac contient trois jetons blancs portant les numéros 1, 1, 2 3. Calculer la probabilité de casser le second gobelet.
et quatre jetons noirs portant les numéros 1, 2, 2, 2. On tire 4. Calculer la probabilité que le second gobelet reste intact
successivement et sans remise trois jetons du sac. étant donné que le premier gobelet reste intact.
Sachant que les jetons sont jetons indiscernables au toucher,
calculer les probabilités des événements suivants : Un sac 𝑢1 contient quatre boules blanches et une boule noire,
• A : "Obtenir trois jetons de la même couleur". et un autre sac 𝑢2 contient deux boules blanches et trois boules
• B : "Obtenir au moins un jeton blanc". noires.
• C : "Obtenir trois jetons du même nombre". On choisit au hasard l'un des deux sacs puis on y tire une
• D : "Obtenir trois jetons dont la somme est paire". boule.
• E "Obtenir trois jetons dont la somme est un nombre 1. Construire un arbre de probabilité.
impair". 2. Calculer la probabilité de choisir le sac 𝑢1 et d'obtenir une
boule noire.
Une classe est composée de 23 élevés répartis selon le tableau 3. Calculer la probabilité d'obtenir une boule noire.
suivant : 4. En déduire la probabilité d'obtenir une boule blanche.
5. La boule tirée est noire, quelle est la probabilité qu'elle soit
8 3 11 tirée du sac 𝑢1 ?
7 5 12
15 8 23 Un sac contient neuf boules indiscernables au toucher :
1. On sélectionne au hasard un élève de la classe, on suppose Deux boules blanches portant le numéro 1, trois boules
que tous les élèves ont la même probabilité d'être rouges portant les numéros 1, 1 et 2 et quatre boules noires
sélectionnés. portant les numéros 1, 1, 2 et 2.
a. Calculer la probabilité de chacun des événements suivants : On tire simultanément et au hasard 3 boules du sac.
G : "Sélection d'un garçon " 1. Calculer la probabilité des événements suivants :
F : "Sélection d'une fille ". A : "Obtenir trois boules de couleurs différentes, deux à
I : "Sélection d’un élève redoublant ". deux."
b. Calculer 𝑃(𝐺 ∩ 𝐼) et 𝑃(𝐹 ∩ 𝐼). B : "Obtenir trois boules portant le même numéro "
2. Les événements A et B sont-ils indépendants ? b. Le tableau ci-contre
concerne la loi de
2 probabilité de la variable
La probabilité qu'un tireur d’arc touche la cible est de .
3 aléatoire 𝑋.
Ce tireur a fait dix tentatives. Recopier sur votre copie et
Quelle est la probabilité d'atteindre la cible exactement six compléter le tableau en justifiant chaque réponse. (1 pt )
fois ?
On lance un dé cubique équilibré numéroté de 1 à 6 une seule
Un sac contient six boules blanches et quatre boules noires. fois. On considère l’événement :
On considère le jeu suivant : A : « obtenir un diviseur de 3 »
Le joueur tire 3 boules simultanément du sac, et le joueur est 1. Calculer 𝑃(𝐴).
considéré comme gagnant si les trois boules tirées sont 2. On répète cette épreuve 3 fois de suite. Soit 𝑋 la variable
blanches. aléatoire qui égale au nombre de fois de la réalisation de
Ahmed a joué ce jeu 4 fois. Quelle est la probabilité de gagner l’événement 𝐴.
exactement 3 fois ? Déterminer la loi de probabilité de 𝑋.
On lance une pièce de monnaie trois fois successives. On Une urne contient trois boules blanches, quatre boules rouges
note 𝑋 le nombre de fois que la face 𝐹 apparaît. et cinq boules vertes, indiscernables au toucher. On tire au
1. Déterminer l'univers puis en déduire les valeurs que peut hasard et simultanément trois boules de l’urne.
prendre la variable 𝑋. 1. On considère les événements suivants :
2. Que signifient les événements (𝑋 = 1) et (𝑋 = 2) ?
A: ‘’ Obtenir exactement deux boules rouges ‘’.
3 B: ‘’ Obtenir exactement une boule verte ‘’.
3. a. Vérifier que 𝑃(𝑋 = 1) = . 12 21
8 a. Montrer que 𝑝(𝐴) = et 𝑝(𝐵) = 44. (0.75 pt)
b. Remplir le tableau suivant : 55
b. Calculer 𝑝(𝐴/𝐵) : la probabilité de l’événement A sachant
𝑥𝑖 0 1 2 3 que l’événement B est réalisé. Les événements 𝐴 et 𝐵 sont-
𝑃(𝑋 = 𝑥𝑖 ) ils indépendants ? (0.75 pt)
2. Soit la variable aléatoire 𝑋 qui associe à chaque tirage le
nombre de boules vertes tirées.
Un sachet contient 6 boules blanches et 2 boules noires. On c. Déterminer la loi de probabilité de 𝑋. (1 pt)
tire successivement et sans remise deux boules du sac. d. Calculer la probabilité d’obtenir au moins deux boules
Soit 𝑋 la variable aléatoire qui relie chaque tirage au nombre vertes. (0. 5 pt)
de boules blanches tirées.
1. Déterminer 𝑋(𝛺). Une urne contient 9 boules indiscernables au toucher : cinq
2. Donner la loi de probabilité 𝑋. boules rouges portant les nombres 1 ;1 ;2 ;2 ;2 et quatre
boules blanches portant les nombres 1 ;2 ;2 ;2.
On considère le jeu suivant : On considère l’experience suivante : on tire au hasard et
"Un sac contient quatre boules blanches et deux boules noires simultanément trois boules de l’urne.
indiscernables au toucher. Soient les événements :
Le joueur doit tirer simultanément trois boules. A : ‘’les trois boules tirées sont de meme couleur’’.
A chaque tirage, le joueur gagne un dirham (+1) pour chaque B : ‘’les trois boules tirées portent le meme nombre’’.
boule blanche et perd un dirham pour chaque boule noire." C : ‘’les trois boules tirées sont de meme couleur et portent le
Soit 𝑋 la variable aléatoire qui relie chaque tirage au gain du meme nombre’’.
1 1 1
joueur. 1. Montrer que 𝑝(𝐴) = , 𝑝(𝐵) = et 𝑝(𝐶) = (1.5 pt)
6 4 42
1. Déterminer 𝑋(𝛺).
2. On répète l’experience précédente trois avec remise dans
2. Donner la loi de probabilité 𝑋.
l’urne des trois boules tirées après chaque tirage, et on
considère la variable aléatoire 𝑋 qui est égale au nombre de
Une urne contient huit boules indiscernables au toucher fois de réalisation de l’événement 𝐴.
portant chacune un nombre comme a. Déterminer les paramètres de la variable alétoire binomiale
indiqué sur la figure ci-contre 𝑋. (0.5 pt)
On tire au hasard, simultanément, trois b. Montrer que 𝑝(𝑋 = 1) =
25
et calculer 𝑝(𝑋 = 2)(1 pt)
boules de l’urne. 72
1. Soit 𝐴 l’événement :
« Parmi les trois boules tirées, aucune ne porte le nombre 0 »
et 𝐵 l’événement :
« Le produit des nombres portés par les trois boules tirées est
égale à 8»
5 1
Montrer que 𝑝(𝐴) = 14 et que 𝑝(𝐵) = 7. (1,5 pt )
2. Soit 𝑋 la variable aléatoire qui à chaque tirage associe le
produit des nombres portés par les trois boules tirées.
3
a. Montrer que 𝑝(𝑋 = 16) = . (0,5 pt )
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