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Sommaire
1- Avant-propos
Différence entre éducateur canin et comportementaliste (page 3)
2- L’activité de l’étho-psycho-comportementaliste (Page 4)
3- Le comportementaliste, médiateur ? (Page 5)
4- Un peu d’éthologie canine (Page 5-6)
5- Les trois piliers de la relation Homme / chien (Page 7-8)
6- Méthodes « douces » (Page 9)
7- Comment interagir (Page 10-11)
8- Féliciter/réprimander comment faire ? (Page 9-10)
9- La mémoire du chien (Page 12)
10- Fuite ou soumission (Page 13)
10-Les signaux d’apaisement (Page 14)
11- Les différents rôles du comportementaliste (Page 15-16)
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Avant- propos :
Quelle différence entre l’éducateur canin et le comportementaliste ?
L’éducateur canin : Il vous aide à renforcer votre relation avec votre compagnon. Il vous
apporte son savoir afin de conditionner votre animal à vos attentes. Personnellement je ne
travaille que le chien de famille en le conditionnant aux ordres de bases afin de vous apporter un
confort dans votre quotidien.
Je vous guide dans l’adoption ! Vous bénéficiez de conseils également dans la préparation de l’accueil de
votre compagnon.
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L’étho-psycho-comportementaliste
Son activité
L’amalgame est souvent fait avec le métier de dresseur-éducateur, pourtant ce sont bien deux
métiers distincts et complémentaires.
Éclaircissons!
Un étho-psycho-comportementaliste est une personne formée sur les trois disciplines qui
composent son titre :
La psychologie : (bien entendu celle de l'humain) Discipline qui vise la connaissance des activités
mentales et des comportements en fonction des conditions de l'environnement. Connaissance
empirique, intuitive des sentiments, des idées, des comportements humains
Cette profession est donc une alliance de toutes ces disciplines afin d'aider les propriétaires
d'animaux à rétablir une relation harmonieuse avec leur compagnon. Le professionnel étudiant la
systémie, la génétique, la contextuelle, diagnostique puis solutionne ce qui pour le propriétaire est
devenu gênant chez son animal.
Le métier de dresseur-éducateur est donc bien une complémentarité du métier de "comportementaliste animalier"
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Le comportementaliste médiateur ?
Une médiation? Cela est possible si les deux parties usent des mêmes modes de communication,
possible si les deux parties peuvent négocier.
Mais alors de l’homme à l’animal ? Un leurre ! C’est à l’homme qui a les capacités
d’intellectualiser, de comprendre les codes sociaux canins, de communiquer, de se faire
comprendre de son compagnon à quatre pattes.
Génétique du chien
On dit souvent que le chien est le meilleur ami de l'homme. C'est surtout le plus vieux. Les
archéozoologues s'accordent en effet à dire que cet animal a été domestiqué le premier. C'est bien
l'une des seules choses (avec le fait qu'il descend des anciens loups) sur laquelle ils sont d'accord
au sujet de l'origine de la longue histoire d'amour entre l'homme et le chien.
Mais des chercheurs publient jeudi 2 juin une nouvelle étude dans la revue Science qui devrait au
moins éteindre une des polémiques de ces dernières années. L'équipe, pilotée par des chercheurs
de l'université d'Oxford et à laquelle plusieurs chercheurs français du CNRS ont participé, a fait
une découverte déconcertante. Il semblerait que les anciens loups aient été domestiqués à peu
près en même temps, à quelque 8000 kilomètres de distance.
Extrait de : Le mystère de l'origine du chien s'éclaircit, le loup aurait été domestiqué deux
fois par l'homme
Le 02 juin 2016
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Définissons le mot hiérarchie : c’est la vie en groupe avec des preneurs de décisions. Ces
preneurs de décisions sont là dans un but de sécurité du groupe, de pérennisation ce dans la
bienveillance et l’évolution positive !
Le chien est un animal social et sociable, de ce fait il vit selon les codes sociaux régies par une
structure organisée. Il vit en groupe, ce qui signifie qu’il doit interagir avec vous. Pour cela il doit
intégrer votre quotidien afin de ne pas être désolidarisé du groupe famille.
Je vous invite à comprendre dans un premier temps la hiérarchie intra spécifique, c’est-à-dire
celle qui codifie les animaux de même espèce entre eux :
Chez les animaux vivant en groupe, il est nécessaire afin d’assurer leur survie qu’une hiérarchie
soit imposée. Dans un groupe hiérarchisé il y a plusieurs catégories d’individus :
- les alphas (couple) dit les dominants, qui ont la lourde tâche d’assurer la survie du groupe par
l’apport de nourriture, de la sécurité du territoire, de la reproduction, etc.
un individu BETA peut tenter de prendre la place du mâle Alpha une fois rabroué par le couple il
peut devenir OMEGA ou être complètement exclu de la meute. C’est un risque pour lui de passer
à l’action. En cas de mort du couple dominant la meute va se recomposée, ce sera de nouveau les
plus forts qui deviendront les ALPHAS.
- les bêtas : que l’on peut qualifier de vigils chargés d’une fonction disciplinaire au sein de la
meute. Généralement un couple reconnaissables car ils sont plus imposants que leurs congénères
omégas. Ils prendront la place du couple Alpha en cas de problème pour la meute (mort).
- les omégas : qui sont en bas de l’échelle sociale, ils ont pour rôles d’apaiser les tensions en
subissant les agressions quotidiennes de leurs supérieurs.
Dans ce type de hiérarchie, l’accès aux ressources se fait dans un ordre respectif. Alphas, bêtas
puis omégas.
La hiérarchie n’est pas figée, elle peut varier selon différents facteur :
Le chien n’étant pas dans la capacité de communiquer humainement, c’est donc à nous
humains dont la capacité d’adaptation est plus large de nous immerger dans son monde
« de communiquer chien »
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La communication inter spécifique ou la hiérarchisation inter spécifique
Respectons-les pour ce qu’ils sont et vivons avec leurs codes en les intégrant au
quotidien ! C’est notre pouvoir d’Homme que de comprendre et s’adapter !
Pour que votre chien vous comprenne, qu’il vive sereinement cette relation qui vous lie, il doit
pouvoir compter sur vous, se reposer sur vous. Vous êtes le leader, le chef, l’alpha, bref, c’est vous
qui décidez !
Pour cela trois piliers sont primordiaux, de la même manière que l’Alpha dans une meute, vous
prenez les décisions, le chien ne prend aucune initiative. Il est votre stagiaire et vous le chef
d’entreprise !
La gestion du territoire :
Tous points culminants, stratégiques, permettant la surveillance du territoire est votre territoire !
Ainsi tous les accès en hauteur, les canapés, les lits, bains de soleil ou autres points lui
permettant d’obtenir une vue dégagée, d’ensemble, permettant la gestion des entrées et sorties ne
sont pas autorisés. Votre chien ne vous passe pas devant pour passer les portes, ne vous bouche
pas le passage, il se pousse, attend.
Le chien qui vous suit ne le fait pas par amour lorsque vous êtes chez vous. Il surveille ce que
vous faites chez lui…
Rappelez-vous que le territoire est également physique : Tous membres physiques du chien se
superposant à un de vos membres physiques vous appartenant, sans que vous ne l’ayez sollicité
signifie pour le chien « Je suis au-dessus de toi » ce dans un esprit hiérarchique !
L’accès aux zones forte en phéromones, Chambre parentale ou d’enfants pubères, toilettes, panier
à linge sont également à proscrire.
La Gestion de la nourriture :
Là où l’Homme à un temps de digestion de 2 heures. Lle chien digère la nourriture sèche dans un
temps de 8 à 14 heures. Le nourrir de friandises en dehors de ses temps de repas, revient pour lui
à ne pas avoir de pause digestive. Cela malmène son transit. Pour nous se serait comme manger
en continu toute la journée.
Procédé :
Les repas sont de deux fois par jour, en respectant la posologie de la marque de croquettes.
Les prises de repas sont à distances des vôtres tant physiquement que dans le temps.
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Il est préférable dans la mesure du possible d’espacer son repas de trente minutes après le vôtre
et de le faire manger dans une pièce différente de la vôtre. (Le temps de la retombée des odeurs de
cuisine)
Le petit plus : votre chien assiste à vos repas, n’en obtient rien, et ne peut être sous la table !
Bien entendu, comme vous êtes le leader, vous n’assistez pas à son repas.
La Gestion de la relation :
Bien souvent on les trouve affectueux, craquants, attentionnés, etc. Mais cela n’est pas anodin.
Pourtant c’est tentant, ils savent faire leurs yeux de cockers ! ATTENTION !
Dans un groupe hiérarchisé, seul l’alpha, le leader, le patron, bref le dirigeant décide des
interactions.
C’est vous qui décidez du câlin, de la sortie, de jouer, bref, vous dirigez cette relation, il le sait, et
vous reconnait comme maître fiable, stable, il a confiance en vous !
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Quelques exemples :
Situation 1 :
Votre chien vient pendant que vous êtes installé au salon, passe sa tête sous votre main et
demande à être caressé.
Il vous sollicite, il a décidé…
Solution : Vous le renvoyez à sa place, vous attendez deux minutes au minimum, puis rappelez le.
La donne a changé et pourtant lui comme vous avez votre câlin, mais c’est vous qui avez décidé !
Situation 2 :
Vous êtes au jardin, détendu, une boisson et le soleil vous accompagnant. Votre chien revient de
faire son tour, son jouet à la gueule, il le dépose à vos pieds, il attend que vous le lui jetiez.
Vous pourriez répondre à cette sollicitation en vous disant que lui aussi à le droit à un agréable
moment. Malheureusement cette pensée est humaine et non transposable au chien.
Solution : Vous devez attendre que votre chien lâche prise. Au moment où celui-ci sera passé à
autre chose, c’est là que vous pourrez l’appeler pour partager un moment de jeu.
Dans ces deux situations, on retrouve bien la complicité de l’Homme et du chien. Cela n’enfreint
nullement les codes sociaux du chien et personne n’est frustré puisque vous pouvez répondre à sa
demande en restant maitre de la relation, en dirigeant les interactions.
Si je vous demande si vous payez votre conjoint pour qu’il vous aime, vous trouverez ma question
déplacée, irrespectueuse, insensée… peut être même choquante.
En effet, les sentiments ne s’achètent pas et les vraies relations fonctionnent sur la
base de la confiance. Demandez-vous si votre chien vous aime réellement, s’il vous respecte
quand vous le récompensez à la friandise. Maintenant que vous connaissez une infime partie de
son registre comportemental, que vous savez que l’accès à la nourriture est règlementé pour une
bonne relation… vous savez que ce n’est pas de l’amour !
Les croquettes comme récompenses n’ont pour seul effet que de se faire plaisir à soi, de flatter son
égo en obtenant une réponse rapide. Elles malmènent la flore intestinale du chien, engendrent
surpoids et problèmes gingivales, dérèglent la relation hiérarchique.
Imaginez que vous êtes en extérieur, que votre chien voit un chat sur le trottoir d’en face. Vous
savez qu’il est aux prises de ses instincts de prédation, il le fait continuellement dans le jardin
avec les chats des voisins. Une voiture arrive à grande vitesse. Pourrez-vous arrêter votre
chien lorsqu’il décidera de traverser devant la voiture pour courir après le chat ?
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Pensez-vous que les croquettes auront raison de ses instincts primitifs ? Ou bien une relation de
confiance basée sur le respect des codes sociaux de votre compagnon animal ?
Seule une relation de confiance aura raison de ses instincts ! Ne payez pas votre tranquillité !
Respectez-vous en le respectant pour ce qu’il est et ainsi le gardez en sécurité.
Rappelez-vous les années 50/60, les gens n’avaient pas peur de dire leurs sentiments. Ils se
croisaient à la boulangerie et s’embrassaient, ils exprimaient leur joie de se voir ! De même que
lorsqu’ils avaient une dent contre quelqu’un cela s’entendait !
Nous évoluons dans une société où la pudeur des sentiments et des émotions est de mise. Le chien
ne vit pas comme l’humain, il ne peut pas le comprendre, il ne conceptualise pas notre
fonctionnement.
Nous devons nous rapprocher de lui en communiquant au plus proche de ce que lui a enseigné sa
mère.
La mère qui lèche son chiot est tendre, elle est protectrice, elle est réconfortante et surtout le
chiot a confiance en elle.
Mais cette mère qui lèche le fait avec sa gueule, lorsqu’elle reprend son chiot c’est également avec
sa gueule qu’elle punit !
La main de l’Homme qui rassure et aussi celle qui est ferme !
Ainsi, vous devez vous calquez sur ce que lui a enseigné sa mère, seule éducatrice canine en
réalité, puisqu’éduquer c’est transmettre un savoir dans sa propre espèce. On ne peut apprendre à
un chien à être un chien. La mère apprend donc à ses chiots la communication sans paradoxes,
sans ambivalences. Une communication basée entre tendresse et fermeté. Le chien avec lequel on
ne communique pas bien montera en tension du fait de son incompréhension. C’est là que
surviennent les comportements indésirables !
Votre compagnon à quatre pattes fait ses besoins dehors, vous êtes satisfait et désireux qu’il
reproduise ce comportement.
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Conduisez-vous comme s’il avait décroché la lune ! Caressez le vigoureusement, félicitez-le,
osez !
Cette situation sera connoté « positive » il aura plaisir à renouveler cette expérience !
Vous agirez de même pour le rappel, et ne le féliciterez à la caresse uniquement que s’il revient
du premier coup, sinon vous prenez le risque de le conditionner à revenir seulement au bout de
plusieurs appels.
Dans le cas où il revient au rappel au bout de plusieurs sommations, vous ne récompensez qu’à la
voix, avec une profonde tendresse. Il faut que cela soit positif, qu’il ait plaisir à revenir.
(Connotation positive)
Matraquer son chien n’est pas la solution, autant que les croquettes. Où se situe la limite et
comment le faire ?
Une mère qui reprend son chiot le fait sournoisement, elle approche « à pas de loups » puis comme
un coup de tonnerre, elle associe différents signes de mécontentement.
Ses muscles faciaux expriment la colère, elle aboie ou grogne et mord généralement la peau du
cou ! Lorsqu’elle interagit avec son chiot et lui enseigne la communication elle utilise :
Les postures, les vocalisations, les micro-signaux des pupilles, et les phéromones.
C’est de façon similaire que vous devez procéder. Vous devez approcher votre chien sans bruit
pendant qu’il est en train de commettre son méfait, le prendre par la peau du cou tout en disant
fermement « NON » vous associez la voix, le regard, et le geste et surtout vous êtes réellement en
phase avec vos émotions. On peut mentir à l’humain mais jamais au chien !
Dans le cas d’une grosse bêtise, on peut aller jusqu’à soulever les deux pattes avant, mais jamais
la totalité des pattes.
Dans le langage canin les deux pattes avant soulevées du sol est un message très fort. Pour le
chien cela signifie « avertissement avant mise à mort »
Soulever le chien du sol entièrement est synonyme de mise à mort, vous vous exposez à
un danger de morsure, car celui-ci défendra sa vie !
Dans ce cas c’est votre vie ou la sienne pour lui, ses comportements seront légitimes !
Observez votre chien ! S’il se met en posture de soumission, cela indique qu’il a saisi, il est inutile
de continuer la remontrance, de vider votre colère en hurlant, il a compris ! Il vous le dit !
Continuer la remontrance le contraindrait à devenir agressif pour se défendre.
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L’Homme est capable d’une grande adaptivité, mais gérer ses émotions est parfois difficile. Une
fois que votre chien vous signale qu’il accepte et comprend, ignorez le, allez-vous détendre ou
mettez-le dans le jardin pour souffler, redescendre en pression.
Reprendre son chien dans les deux minutes qui suivent une bêtise ?
On aurait pourtant tendance à croire qu’il sait ce qu’il a fait, alors pourquoi se
conduit il comme délictueux ?
Lorsque vous pénétrez dans la pièce où celui-ci a commis son délit, il capte votre état émotionnel.
Vous émettez des phéromones, votre regard émet lui aussi des micro-signaux et votre posture est
indicatrice d’une crispation. La mère du chiot lui apprend deux mécanismes de défenses.
Rappelez-vous que ce sont vos signaux qui le conduisent à une réponse adaptative.
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La fuite ou la soumission
Il peut également se coucher sur le dos ou le côté, laissant apparaitre les zones génitales, les
parties molles et vitales.
Les oreilles sont basses, la queue est entre les postérieures ou posée au sol, il peut émettre des
mictions lors de fortes émotions.
La fuite est une façon de vous apaiser, pour lui, dans le même temps il se met à l’abri de l’orage
qui le guette.
Quoi qu’il en soit, il ne fait que répondre aux enseignements de son espèce. Il ne cherche pas à
vous agacer, soyez réceptif aux signaux qu’il communique afin de préserver votre relation.
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Les signaux d’apaisement
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Les différents rôles du comportementaliste
Le choix de la race
Le choix de l’élevage
L’acquisition d’un second animal (chien, chat, …)
Préparer l’arrivée d’un enfant
Préparer votre environnement (acquisition de l’animal, déménagement)
Rétablir ensemble une relation harmonieuse avec votre compagnon animal (agressivité,
propreté, destruction, …)
Répondre à toutes questions sur des comportements adaptatifs dérangeants
Tout d’abord cet article concerne ma vision du métier, il n’est pas un dogme, de ce fait chacun
pratique selon sa conception de la profession!
Je possède les deux casquettes professionnelles, mais ce sont bien deux métiers distincts et
complémentaires. (Voir article “qu’est-ce que qu’un étho-psycho-comportementaliste et son rôle”)
Pour débuter, je vous demande de venir avec tous les membres de la famille vivant au quotidien
avec l’animal, les enfants sont les bienvenus!!!
Sur vous : Vos professions (permet d’évaluer le temps pouvant être consacré à l’animal, votre
motivation à l’acquisition de l’animal, nombre de personnes et animaux composant votre foyer, ...
Sur le contexte quotidien : Votre habitat, lieu de vie de votre compagnon à quatre pattes,
l’alimentation, les sorties dont bénéficie votre animal, ...
- Première heure : Il s’agit de vous questionner sur votre contexte au quotidien, les difficultés
rencontrées, et de vous transmettre le trousseau vous permettant de mieux communiquer avec
votre compagnon. (Casquette EPC)
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- Seconde heure : après avoir passé une heure en intérieur, je change de casquette et vous invite à
partager un temps avec votre compagnon à l’extérieur, nous pouvons faire une promenade afin de
travailler si nécessaire la marche en laisse. Il est possible de travailler avec mes chiens Jelsee
(Berger Australien issue d’élevage professionnel) et Grimm (Border Collie X Berger Belge issu de
l’adoption) de manières à vous mettre en confiance, de voir qu’il n’y a pas de conséquences sur la
provenance du chien, mais cela à votre demande. (Casquette Dresseur éducateur)
- Troisième heure : Il s’agit de l’affinement, (on retourne à l’intérieur) des questions peuvent après
la seconde heure se soulever. Des éclaircissements peuvent être nécessaires, mais vous pouvez
aussi tout simplement me demander conseils sur des points comme le type de laisse,
l’alimentation, les vermifuges, les produits antipuce, ou tous autres points qui vous poseraient
questions... (Casquette EPC)
Le trousseau de clefs est entre vos mains dès le premier rendez-vous, mais il peut arriver qu’avec
l’important flux d’informations reçu on puisse avoir besoin d’une piqûre de rappel.
Lors de cet entretien plus court, vous décidez de la tournure de celui-ci. Il peut s’agir d’une simple
promenade, de besoins face à une situation nouvelle, ou toutes demandes que vous jugerez
nécessaires de me faire partager.
Cet article est une vue d’ensemble, chaque cas est unique, chaque trousseau remis également.
Suivi personnalisé
Sachez que je propose un suivi sur une à deux semaines où vous m’appelez afin de me
faire un point sur les changements.
TEMOIGNEZ !
On se fie toujours aux avis des personnes expérimentées, cela permet de savoir où l’on met
les pieds ! Communiquez celle-ci sur la page Facebook
NATUR ’ ANIMAL CONSEIL
Merci de prendre ce temps ;)
L’URSAAF des Pays de la Loire sous le numéro de SIRET : 833 950 777 000 15
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