Copia de PO + PE L'essor de L'homo Écolo - Candidat

DIPLÔME APPROFONDI
DE LANGUE FRANÇAISE
DALF C2 - Lettres et sciences humaines
Niveau C2 du Cadre européen commun de référence pour les langues
ÉPREUVE INDIVIDUELLE DURÉE NOTE SUR
1 Compréhension et production orales

Épreuve en trois parties :
• compte rendu du contenu d’un document sonore (deux écoutes) passation : 0 h 30
• développement personnel à partir de la problématique exposée dans préparation : 1 h 00 /50
le document après les 2 écoutes
• débat avec le jury.
2 domaines au choix du candidat : lettres et sciences humaines, sciences
ÉPREUVE COLLECTIVE DURÉE NOTE SUR
2 Compréhension et production écrites

Production d’un texte structuré (article, éditorial, rapport, discours…) 3 h 30 /50
à partir d’un dossier de documents d’environ 2 000 mots.
Seuil de réussite pour obtenir le diplôme : 50/100

Note minimale requise par épreuve : 10/50 NOTE TOTALE : /100
Durée totale des épreuves collectives : 3 h 30
TP9208318A
CODE CANDIDAT : –
& Volet à rabattre pour préserver l’anonymat du candidat
Nom : Prénom :
D O C U M E N T R É S E R V É A U C A N D I D AT - É P R E U V E I N D I V I D U E L L E
LETTRES ET SCIENCES HUMAINES
1 Compréhension 50 points
et production orales
Vous allez entendre deux fois un enregistrement sonore de 15 minutes environ.
Vous écouterez une première fois l’enregistrement. Concentrez-vous sur le document.
Vous êtes invité(e)s à prendre des notes.
Vous aurez ensuite 3 minutes de pause.
Vous écouterez une deuxième fois l’enregistrement.
Vous aurez alors 1 h 00 pour préparer votre intervention. Cette intervention se fera en 3 parties :
• présentation du contenu du document sonore ;
• développement personnel à partir de la problématique exposée dans la consigne ;
• débat avec le jury.
L’usage de dictionnaires monolingues français/français est autorisé.
1 MONOLOGUE SUIVI : PRÉSENTATION DU DOCUMENT

Vous devez présenter, en 5 à 10 minutes, le contenu du document.
Reprenez l’ensemble des informations et points de vue exprimés dans un ordre et selon
une structure logique et efficace.
2 MONOLOGUE SUIVI : POINT DE VUE ARGUMENTÉ

Vous faites partie des gens qui ne pensent pas que « l’herbe soit forcément plus verte chez
le voisin ». Pour vous, l’expatriation n’est pas une étape obligatoire, ni pour s’épanouir
professionnellement, ni pour s’ouvrir à d’autres langues et cultures.
Invité à réagir, comme auditeur, à l’émission que vous venez d’écouter, vous évoquez
les difficultés liées à l’expatriation, aux plans personnel et professionnel.
Le jury tient le rôle des journalistes de l’émission que vous venez d’écouter.
3 EXERCICE EN INTERACTION : DÉBAT

Dans cette partie, vous êtes invité à défendre, préciser ou nuancer votre point de vue et à faire
vous-même progresser le débat en questionnant votre interlocuteur ou en réagissant à ses propos.
Cette partie n’est pas à préparer.

TP9208318A
DALF C2 - Lettres et sciences humaines Page 1 sur 1

D O C U M E N T R É S E R V É A U C A N D I D AT - É P R E U V E C O L L E C T I V E
LETTRES ET SCIENCES HUMAINES
2 Compréhension 50 points
et production écrites
DOSSIER
L’essor de l’homo écolo
Lisez les documents suivants.
DOCUMENT 1
Vivre écolo
La dégradation de l’environnement, liée en particulier au changement climatique, souligne l’ur-
gence de diminuer sérieusement la consommation d’énergie par habitant. Les solutions existent ;
elles concernent l’habitat, les transports, la vie quotidienne… Et ce, pour chacun d’entre nous.
Connaissez-vous votre « empreinte écolo- pas une raison pour se croiser les bras. Des solu-
gique » ? Le « poids » environnemental de votre tions existent, à la portée de chacun. La première
existence terrestre ? Les stigmates que, indirec- se nomme sobriété : la bonne vieille chasse au
tement, vous infligez à la planète ? En évaluant gaspi des années 1970, doublée d’une recherche
les modes de vie et de consommation de chacun, d’efficacité. Alors qu’on saurait parfaitement
un test mis au point par plusieurs ONG1 – dont construire selon des principes, parfois ancestraux,
le WWF France2 – permet d’estimer la quantité qui utilisent les forces et les vertus de la nature,
d’énergie, de terre et d’eau nécessaire pour pro- nos bâtiments sont généralement conçus en
duire ce que l’on consomme et absorber ce que dépit du bon sens. Le secteur du bâtiment, tertiaire
l’on jette. L’empreinte écologique de la France s’est et résidentiel, concentre près de 46 % de la
creusée de 48 % en quarante ans, alors que sa consommation d’énergie et rejette un quart des
population n’augmentait que de 27 %. En clair, émissions totales de CO2, soit 100 millions de
si chaque Terrien vivait comme un Français, il tonnes chaque année. Un chiffre en progression
faudrait trois planètes pour subvenir à nos de 15 % depuis 1990, et qui pourrait s’élever à
besoins. Eloquent . 125 millions d’ici à 2015 si l’on n’intervient pas.
Au premier rang des préoccupations de la […]
Semaine du développement durable, le change- Or la France s’est engagée voici deux ans à
ment climatique. Les scientifiques tiennent diviser par quatre ses émissions de gaz à effet de
désormais pour acquise une hausse des tempé- serre (GES) à l’horizon 2050. Il faudrait, pour ce
ratures de 1,4 à 6 °C à l’horizon 2100, voire 11 °C faire, réhabiliter 400 000 logements chaque
selon les estimations les plus alarmistes. Par année. Et construire en appliquant, notamment,
ailleurs, l’inévitable déplétion des énergies la norme haute qualité environnementale (HQE),
fossiles, débutera vraisemblablement vers 2015. qui fixe 14 objectifs en matière de respect de
Qu’on le veuille ou non, il faudra apprendre à l’environnement. Un bâtiment HQE peut ainsi
s’en passer. Autant s’y préparer sans attendre d’y permettre d’économiser jusqu’à 50 % des émis-
être contraints. […] sions de CO2. […]
Construire en utilisant la nature

1) ONG : Organisation Non Gouvernementale
L’imminence de cette échéance ne semble 2) WWF : World Wide Fund for Nature : Organisation
pourtant pas troubler nos dirigeants. […] Ce n’est mondiale de protection de l’environnement.

Quant aux techniques, elles sont simples et 440 kilos de déchets annuels par personne
connues : « Jusqu’à présent, les efforts se sont concen- Sans attendre de lointains sauts technolo-
trés sur les problèmes d’isolation thermique, explique giques, le bon sens commande de prendre le train
Benoît Lebot. Il est temps d’aller plus loin, de plutôt que l’avion, le métro plutôt que l’auto et
construire des bâtiments à énergie positive, selon les ses pieds plutôt que la moto. Notre empreinte éco-
principes de la bioclimatologie. Encore faut-il former logique pâtit également d’un autre symptôme de
des architectes à ces techniques. » […] nos sociétés de consommation : nos poubelles.
30 millions de véhicules Nous croulons sous les ordures. Chaque année,
un Français « produit » en moyenne 440 kilos de
Autre secteur fortement générateur de GES : déchets ménagers, soit 1,200 kilo par jour. Si la
les transports, qui pèsent 26 % des émissions fran- moitié des emballages sont aujourd’hui recyclés,
çaises. En tête des coupables, l’automobile indi- grâce au succès du tri sélectif, il n’en reste pas
viduelle. La voiture assure 84 % des déplacements moins que le tonnage des ordures ménagères s’est
de personnes au kilomètre. De son côté, le trans- alourdi de 30 % en quinze ans et continue de
port routier représente les trois quarts des croître de 1 % par an. Solutions : privilégier les
échanges de marchandises. Des chiffres croissant produits à la coupe ou en vrac, limiter l’usage des
aux rythmes respectifs de 2 et 3 % par an. En lingettes au profit du bon vieux duo serpillière-
Europe, les déplacements de personnes ont dou- éponge, privilégier les produits concentrés, pré-
blé en vingt-cinq ans, et le transport de mar- férer les cabas et autres sacs réutilisables aux sacs
chandises a crû de 80 %. Le secteur aérien n’est de caisse à usage unique. Surtout, ne pas jeter à
pas en reste : il contribue pour 4,2 % aux émis- la poubelle les déchets toxiques comme les piles
sions totales de CO2 imputables aux activités ou les batteries […]
humaines. En progression constante, il est pour-
tant le mode de transport le plus polluant au kilo- Vivre écolo n’est plus une lubie de baba cool
mètre parcouru. Si le trafic continue d’augmen- attardé : c’est devenu une nécessité. Un tout petit
ter de 5 % par an, l’aérien, dopé notamment par prix à payer, en regard des enjeux – rien de moins
les vols low cost3, émettra 2,4 fois plus de carbone que notre survie.
dans trente ans. En attendant l’avènement de la Marion Festraëts, L’Express, 30 juin 2005
pile à hydrogène, que les scientifiques les plus
optimistes n’espèrent pas avant 2020, les 3) vols low cost : vols à bas prix
constructeurs commencent timidement à lancer 4) GPL : Gaz de pétrole liquéfié (mélange d’hydrocarbures
des véhicules alternatifs. Mais, pour l’heure, les légers stocké à l’état liquide) surtout utilisé comme com-
bustible – cuisine, production d’eau chaude ou chauf-
véhicules GPL4 ou électriques restent majoritai- fage –, et dans une moindre proportion comme car-
rement le fait des flottes captives, comme celle de burant utilisé par les véhicules (5 % de volumes
La Poste ou des régies de transport urbain. commercialisés en France).
DOCUMENT 2
La décroissance soutenable
La contestation de la croissance économique est un fondement de l’écologie politique. Il n’est
pas de croissance infinie possible sur une planète finie. Trop dérangeante, car en rupture
radicale avec notre développement actuel, cette critique fut vite abandonnée au profit de
concepts plus souples, comme le « développement durable ». Pourtant, rationnellement, il
n’existe guère d’autres voies pour les pays riches (20 % de la population planétaire et 80 % de
la consommation des ressources naturelles) que de réduire leur production et leur consomma-
tion afin de « décroître ».
Il n’est pas besoin d’être économiste pour occidentales, puisqu’elles puisent dans les res-
comprendre qu’un individu, ou une collectivité, sources naturelles de la planète, un patrimoine
tirant la majeure partie de ses ressources de son commun, sans tenir compte du temps nécessaire
capital, et non de ses revenus, est destiné à la à leur renouvellement. Non content de piller ce
faillite. Tel est pourtant bien le cas des sociétés capital, notre modèle économique, fondé sur la

croissance, induit en plus une augmentation Le théoricien de la décroissance

constante de ces prélèvements. Les économistes L’économiste roumain Nicholas Georgescu-
ultra-libéraux comme les néo-marxistes ont éli- Roegen est le père de la décroissance (4). Nicholas
miné de leurs raisonnements le paramètre Georgescu-Roegen distingue la « haute entropie »,
« nature », car trop contrariant. […] Les écono- énergie non disponible pour l’humanité, de la
mistes vivent en fait dans le monde religieux du « basse entropie », énergie disponible. Il démontre
XIXe siècle où la nature était considérée comme simplement que chaque fois que nous entamons
inépuisable. Nier la réalité au profit d’une notre capital naturel, comme les énergies de stock,
construction intellectuelle est le propre d’une nous hypothéquons les chances de survie de nos
idéologie. Nous pouvons donc considérer que descendants. […]
l’économie actuelle est avant tout de nature Il met en évidence les impasses de la « crois-
idéologique, fût-ce par défaut. La réalité est sance zéro » ou de « l’état stable » que prônent
plus complexe, car le système économique est en des écologistes. En effet, même si nous stabilisions
fait largement livré à lui-même, sans contrôle notre économie, nous continuerons à puiser
politique. dans notre capital.
L’objectif d’une économie saine La décroissance soutenable
Nous nommerons économie saine un modèle Tout le problème consiste à passer d’un
économique qui, au minimum, ne toucherait pas modèle économique et social fondé sur l’expan-
au capital naturel. L’idéal serait de reconstituer sion permanente à une civilisation « sobre » dont
le capital naturel déjà détruit. Mais le premier le modèle économique a intégré la finitude de la
objectif d’une humanité vivant sur les revenus de planète. Pour passer de notre civilisation à l’éco-
la nature constitue déjà un défi extraordinaire. nomie saine, les pays riches devraient s’engager
[…] Cet objectif est le seul envisageable pour dans une réduction drastique de leur production
l’humanité, tant d’un point de vue moral que et de leur consommation. En termes écono-
scientifique. Moral, car il est du devoir, de la miques, cela signifie entrer dans la décroissance.
responsabilité de chaque individu et de l’huma- Le problème est que nos civilisations modernes,
nité de préserver son environnement et de le pour ne pas générer de conflits sociaux, ont besoin
restituer à ses descendants, au minimum, dans de cette croissance perpétuelle. Le fondateur de
l’état où il lui a été confié. Scientifique, car ima- la revue The Ecologist, l’écologiste millionnaire et
giner que l’humanité a les moyens de coloniser conservateur Edward Goldsmith avance qu’en
d’autres planètes relève du délire. Les distances réduisant de 4 % par an et pendant 30 ans la pro-
dans l’espace sont hors de portée de nos techno- duction et la consommation, nous aurions une
logies. […] chance d’échapper à la crise climatique « avec un
Ne pas puiser du tout dans notre capital natu- minimum de volonté politique » (5). […] Ce n’est pas
rel semble difficile, ne serait-ce que pour produire « un minimum de volonté politique » qui serait
des objets de première nécessité comme une cas- nécessaire si un groupe désirait conduire cette
serole ou une aiguille. Mais nous avons déjà pré- politique d’en haut, mais bien un pouvoir tota-
levé et transformé une quantité de minerais consi- litaire. Celui-ci aurait toutes les peines pour
dérable. La masse d’objets produits constitue déjà contrer une soif sans fin de consommation atti-
un formidable potentiel de matière à recycler. sée par des années de conditionnement à l’idéo-
L’objectif de l’économie saine peut nous logie publicitaire. A moins de rentrer dans une
sembler un horizon utopique. En fait, nous économie de guerre, l’appel à la responsabilité
avons au maximum 50 ans pour y parvenir si des individus est la priorité. Les mécanismes
nous voulons sauvegarder l’écosystème. La bio- économiques conduits par le politique auront un
sphère ne négocie pas de délais supplémentaires. rôle fondamental à jouer, mais demeureront
Il reste, au rythme de consommation actuel,
41 années de réserves prouvées de pétrole (1),
(1) Statistical Review of World Energy.
70 années de gaz (2), 55 années d’uranium (3).
(2) Gaz de France
Même si ces chiffres peuvent être contestés, nous
(3) Commission des communautés européennes, 2000.
nous dirigeons vers le terme de la plus grande par-
(4) La décroissance, Nicholas Georgescu-Roegen. Éditions
tie des ressources planétaires à brèves échéances Sang de la Terre.
si nous ne changeons pas radicalement de cap. (5) L’écologiste, n° 2, Hiver 2000, éditorial d’Edward Gold-
[…] smith.

secondaires. Le tournant devra donc s’opérer nos concitoyens restera incrédule. La réalité est
« par le bas », pour rester dans la sphère démo- trop crue pour être admise d’emblée par la
cratique. […] majeure partie de l’opinion. Elle suscite dans la
Cette décroissance devra être « soutenable ». plupart des cas une réaction d’animosité. […] Il
C’est-à-dire qu’elle ne devra pas générer de crise est difficile pour les Occidentaux d’envisager un
sociale remettant en cause la démocratie et autre mode de vie. Mais, nous ne devons pas
l’humanisme. Rien ne servirait de vouloir oublier que le problème ne se pose pas dans ces
préserver l’écosystème global si le prix est pour termes pour l’immense majorité des habitants du
l’humanité un effondrement humain. Mais plus globe. 80 % des humains vivent sans automobile,
nous attendrons pour nous engager dans la sans réfrigérateur ou encore sans téléphone.
« décroissance soutenable », plus le choc contre 94 % des humains n’ont jamais pris l’avion. Nous
la fin des ressources sera rude, et plus le risque devons donc nous extraire de notre cadre
d’engendrer un régime éco-totalitaire ou de d’habitant des pays riches pour raisonner à
s’enfoncer dans la barbarie sera élevé. […] l’échelle planétaire et envisager l’humanité
comme une et indivisible. […]
Un modèle économique alternatif
Si la décroissance nous semble impossible, la
A l’échelle de l’Etat, une économie saine
barrière se situe plus dans nos têtes que dans les
gérée démocratiquement ne peut être que le fruit
réelles difficultés à la mettre en place. Sortir
d’une recherche d’équilibre constante entre les
l’opinion d’un conditionnement idéologique
choix collectifs et individuels. Elle nécessite un
fondé sur la croyance en la science, le nouveau,
contrôle démocratique de l’économie par le
le progrès, la consommation, la croissance condi-
politique et par les choix de consommation des
tionne cette évolution. La priorité est donc
individus. Une économie de marché contrôlée par
de s’engager à l’échelle individuelle dans la
le politique et le consommateur. L’un ne pouvant
simplicité volontaire. C’est en changeant nous-
se passer de l’autre. Ce modèle exige une res-
mêmes que nous transformerons le monde.
ponsabilisation accrue du politique comme du
Bruno Clémentin et Vincent Cheynet.
consommateur. […]
Institut d’études économiques et sociales
La mise en place d’un tel modèle entraînerait pour la décroissance soutenable
le commerce équitable pour tous : appliquant là http://www.decroissance.org
où l’on produit les critères humains de là où l’on
vend. Cette règle simple à énoncer apporterait la
fin de l’esclavage et du néo-colonialisme.
Bruno Clémentin est membre du collectif Casseurs de pub et
cofondateur de l’Institut d’études économiques et sociales pour
Un défi pour les « riches » la décroissance soutenable (IEESDS).
A l’énoncé des mesures à prendre pour entrer Vincent Cheynet est fondateur et co-rédacteur de la revue « Cas-
dans la décroissance soutenable, la majorité de seurs de pub » et collabore à d’autres revues dont Silence.

DOCUMENTS COMPLÉMENTAIRES
Les HQE, maisons à haute qualité environnementale
Source : Le nouvel Observateur, N°2185, du 21 au 27 septembre 2006
Ce que les Français sont prêts à faire

http://www.rrhbn.org/documents/groupes/dechets/
images/im2.gif
http://www.futura-sciences.com/communiquer/g/data/
550/antar_delucq.jpg
http://antivoitures.free.fr/cyclotoon.jpg

ÉPREUVE ÉCRITE
Vous êtes délégué à l’environnement à la mairie d’une petite ville francophone.
Vous rédigez un article pour le bulletin mensuel, dans lequel vous exposez votre choix écologique
et essayez de rallier la population à l’indispensable défense de l’environnement.
Vous appuyez votre propos sur des éléments du dossier joint et des arguments personnels.
Le ton et le style traduisent votre engagement.
700 mots minimum
L’usage de dictionnaires monolingues français/français est autorisé.
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LETTRES ET SCIENCES HUMAINES

Lisez les documents suivants.

Construire en utilisant la nature

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croissance, induit en plus une augmentation Le théoricien de la décroissance

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Les HQE, maisons à haute qualité environnementale

Source : Le nouvel Observateur, N°2185, du 21 au 27 septembre 2006

Ce que les Français sont prêts à faire

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700 mots minimum

L’usage de dictionnaires monolingues français/français est autorisé.

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