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Ngone221
PLAN
Introduction
I. Présentation et historique des systèmes linux
II. Première partie
1. Architecture et systèmes de fichiers
2. Systèmes en mode texte
a. Le Shell
b. Le terminal
c. Le prompt
3. Syntaxe d’une commande
III. Deuxième partie
1. Les commandes de bases
2. Gestion des comptes utilisateurs
3. Gestion des droits et permissions
4. Gestion des archives

I.
Introduction
Linux ou GNU/Linux est une famille de systèmes d'exploitation open source de type Unix fondé sur
le noyau Linux, créé en 1991 par Linus Torvalds. De nombreuses distributions Linux ont depuis vu le
jour et constituent un important vecteur de popularisation du mouvement du logiciel libre.

I. Présentation et historique des systèmes linux

Le système Unix a été créé par AT&T au début des années 1970 et s'est notamment répandu
dans le monde universitaire. Dès la fin de l'année 1977, des chercheurs de l'université de Californie
apportèrent de nombreuses améliorations au système Unix et le distribuèrent sous le nom
de Berkeley Software Distribution (BSD). Finalement, les distributions BSD furent purgées du code
AT&T, et librement disponibles en 1991. La distribution de BSD a toutefois été l'objet
d'une procédure judiciaire d'AT&T au début des années 1990

En 1983, Richard Stallman annonce son projet de développer un système


d'exploitation libre compatible UNIX appelé GNU, en invitant la communauté hacker à le rejoindre et
participer à son développement. Dès 1985, certaines pièces maîtresses sont opérationnelles, dont le
compilateur GCC. Le projet GNU commence vers 1990 à travailler sur le noyau de système
d'exploitation Hurd, mais son développement prendra plus de dix ans.

En 1991, l’étudiant finlandais Linus Torvalds, indisposé par la faible disponibilité du serveur
informatique UNIX de l’université d'Helsinki, entreprend le développement d’un noyau de système
d'exploitation, qui prendra le nom de « noyau Linux ».

À l'origine, le terme Linux ne désignait que le noyau de système d'exploitation


Linux. Puis, par métonymie, l'usage du terme Linux s'est répandu pour décrire tant le noyau Linux
que l'ensemble du système d'exploitation, qui contenait plus de développements issus du
projet GNU que du projet Linux. Le nom GNU/Linux a été initié par le projet Debian à la demande de
Richard Stallman, pour créditer à la fois les développeurs de GNU (le système) et de Linux (le noyau).
Cependant, ce terme plus long n'a jamais supplanté Linux qui reste le plus répandu.

Depuis les années 2000, le noyau Linux est aussi très largement utilisé sans être accompagné de
logiciels GNU. C'est notamment le cas d'Android, et des images de conteneurs d'application qui
utilisent un système minimaliste comme Alpine Linux.

II. Première partie

1. Architecture et systèmes de fichiers

Dans Linux et Unix, tout est fichier. Les répertoires sont des fichiers, les fichiers sont des fichiers et
les périphériques sont des fichiers. Même si les périphériques sont souvent appelés nœuds, ce sont
quand même des fichiers.

La racine est le sommet de la hiérarchie des répertoires. Il s'agit d'une arborescence logique,
indépendante de l'implantation physique des divers sous-répertoires, qui peut s'étendre sur
plusieurs partitions incluses sur un ou plusieurs disques, et même sur des disques réseaux.
Sa structure est standard, avec des extensions imposées par les distributions.
Toute modification est de la compétence exclusive de l'administrateur, à l'exception des répertoires
personnels situés dans /home.
Il est recommandé de respecter cette architecture standard.
Cependant le système linux dispose plusieurs commandes ayant chacune une rôle particulière

/ le répertoire racine

 /bin les fichiers exécutables (en binaire) (initialisation du système + commandes


"essentielles")
 /boot le noyau vmlinuz et les fichiers de démarrage
 /dev répertoire de fichiers spéciaux, qui servent de canaux de communication avec les
périphériques (disques, adaptateur réseau, cartes son etc...)
 /etc les fichiers de configuration du système et les principaux scripts de paramétrage
o /etc/rc.d scripts de démarrage du système
o /etc/X11 scripts de configuration du serveur X
o /etc/sysconfig configuration des périphériques
o /etc/cron description des tâches périodiques à effectuer
o /etc/skel fichiers recopiés dans le rép. personnel d'un nouvel utilisateur
 /home la racine des répertoires personnels des utilisateurs
 /lib les bibliothèques et les modules du noyau
 /mnt la racine des points de montage des systèmes de fichiers périphériques ou extérieurs
(cd, disquette, nfs ..).
 /opt lieu d'installation d'applications supplémentaires (comme starOffice, java ..)
 /root répertoire personnel du super-utilisateur root
 /sbin les fichiers exécutables pour l'administration du système
 /tmp stockage des fichiers temporaires
 /usr programmes accessibles à tout utilisateur; sa structure reproduit celle de la racine /
 /var données variables liées à la machine (fichiers d'impression, traces de connexions
http, smb .. dans /var/log)
 /proc ce pseudo-répertoire contient une "image" du système ( /proc/kcore est l'image de
la RAM

2. Systèmes en mode texte

a. Le Shell

Le shell (ou interface système en français) est un programme qui reçoit des commandes informatiques
données par un utilisateur à partir de son clavier pour les envoyer au système d’exploitation qui se chargera
de les exécuter. Le shell présente l'invite de commandes dès la connexion du compte de l'utilisateur
en mode texte (run level 3 du fichier "/etc/inittab"). Ce programme tourne dans une fenêtre ou sur
une console en mode texte appelé terminal (ou émulateur de terminal)

Il existe plusieurs shells , les plus courants sont : – sh : fait initialement référence au premier shell
d’unix conçu par Steve Bourne, utilisé notamment pour les scripts système ; – ksh : le Korn shell ; –
csh : le C shell (dont la syntaxe rappelle vaguement celle du C pour ce qui est des structures de
contrôle) ; – bash : « Bourne Again Shell » , le shell de gnu-1 qui est, comme mentionné dans la page
de manuel, « trop gros et trop lent ». C’est malgré tout celui sur lequel nous nous attarderons dans
ce manuel ; – tcsh : le Tenex C shell contient tout ce qu’apporte csh avec des fonctionnalités
supplémentaires notamment une édition plus aisée de la ligne de commande ; – zsh : le Zorn shell
contenant un langage de programmation plus évolué que bash Pour indiquer que le shell est prêt à
recevoir les commandes, il affiche un prompt. Un prompt est composé de trois partie :
[krist@ordikrist: / ] $
sh (appelé «Bourne shell»), : fait initialement référence au premier shell d’unix conçu par Steve
Bourne, utilisé notamment pour les scripts système

bash («Bourne again shell»), C’est malgré tout celui sur lequel nous nous attarderons dans ce manuel

csh («C Shell»), C pour ce qui est des structures de contrôle

Tcsh («Tenex C shell»), shell contient tout ce qu’apporte csh avec des fonctionnalités
supplémentaires notamment une édition plus aisée de la ligne de commande

ksh («Korn shell»)

zsh («Zero shell»). contenant un langage de programmation plus évolué que bash Pour indiquer que
le shell est prêt à recevoir les commandes

Leur nom correspond généralement au nom de l'exécutable.

b. Le terminal

Un terminal est un programme qui émule une console dans une interface graphique, il permet de
lancer des commandes. L’invite de commande ou interpréteur de commandes (CLI pour command-
line interpreter en anglais) est un logiciel système faisant partie des composants de base d’un
système d’exploitation. Sa fonction est d’interpréter les commandes qu’un utilisateur tape au clavier
dans l’interface en ligne de commande ou terminal. Sous linux, vous pouvez trouver l’outil
directement en tapant “terminal” dans la barre de recherche des applications. Vous pouvez
également lancer le terminal via le raccourci clavier “ctrl+alt+t” sous ubuntu par exemple.

c. Le prompt

-Il désigne l'invite de commande (caractère indiquant que l'ordinateur est prêt à recevoir une saisie
au clavier).

-Il désigne par extension le message (qui peut être complexe) qui s'affiche en bas de l'écran avant
l'entrée d'une commande

On remarque le “prompt”, “l’invite de commande” composée de :

 francois l’utilisateur connecté


 @ séparateur
 ordifrancois nom de l’ordinateur
 : / ] qui indique le dossier utilisateur comme dossier courant
 $ qui indique le type de connexion ( il nous montre si c’est un utilisateur simple $ ou un super
utilisateur # )
[francois@ordifrancois: / ] $

3. Syntaxe d’une commande

Une commande de base est composée de trois parties :


 Cmd
 (-)options
 arguments

 Le premier mot tapé est une commande.


 Les lettres tapées après un tiret (tiret du 6, c'est à dire -), et les mots tapés après 2 tirets, sont
des options.
 Le reste constitue les paramètres.
 Notez qu'il existe des commandes sans paramètres, d'autres sans options, et même certaines
qui prennent une commande en paramètre.

III. Deuxième partie


1. Les commandes de bases

La commande cp (abréviation de copy) permet de copier un fichier. La commande est de la


forme:
Syntaxe : cp répertoire_source/nom_fichier_à_copier répertoire_destination/nom_fichier

Elle a d’autres options comme


-d Copier des liens symboliques sous forme de liaisons symboliques plutôt que de copier les
fichiers qu’ils indiquent et préservent des liens durs entre les fichiers source des copies
-f Cette option force la copie même si le dossier de destination n’est pas disponible pour
l’écriture.
-i Afficher un message chaque fois qu’un fichier doit être écrasé.
-l Faites des liens difficiles au lieu de copies des non-répertoires.

La commande mv (abréviation de move) permet de déplacer un fichier ou un répertoire.


Syntaxe : mv chemin_du_fichier_a_deplacer/nom_fichier nouveau_chemin

Elle permet aussi de renommer un fichier ou un repertoire


Syntaxe : mv_ancien nom_nouveau nom

La commande touch permet de créer un fichier vide. La commande est de la forme


Syntaxe : touch nom_du_fichier_à_créer

La commande pwd (raccourci de print working directory) renvoie le chemin absolu du


répertoire courant.
La commande cd (raccourci de change directory) permet de changer le répertoire courant. Il suffit
d'indiquer le chemin (relatif ou absolu) qui permet d'atteindre le nouveau répertoire.

La commande ls (raccourci pour listing) permet de lister le contenu du répertoire courant.

 ls -l affiche les informations avec plus de détails.


 ls -a affiche les fichiers cachés.

On peut cumuler les options. Par exemple:

 ls -la affiche les informations des fichiers y compris les fichiers cachés.
La commande mkdir permet de créer un répertoire dans le répertoire courant. La commande est de
la forme

Syntaxe : mkdir nom_du_répertoire


La commande rm permet de supprimer un fichier ou un répertoire. La commande est de la
forme
Syntaxe : rm nom_du_répertoire_ou_nom_du_fichier

Pour supprimer un répertoire non vide, rm est l'abréviation de remove.

il est nécessaire d'utiliser la commande rm avec l'option

-r pour effacer le répertoire et son contenu.


Syntaxe : rm -r nom_du_répertoire

La commande ln permet de créer des liens entre fichiers


Syntaxe : Ln_ficher origine_fichier lien

La commande Clear permet d’effacer le terminal


La commande Nano est un éditeur de texte, pas un traitement de texte
- Ctrl + X : quitter Nano.

Les paramètres de la commande

Nano -m : autorise l'utilisation de la souris

Nano -i : indentation automatique.

La commande Vi est un éditeur de texte capable de sauvegarder votre travail dans un fichier
texte au format ASCII.
:wq sauvegarde le tampon dans le fichier avant de sortir

La commande less Permet d’afficher un fichier page par page avec défilement arrière avec les
flèches de direction . Il affiche l'aide contextuelle si l’on appuie "h"
Less est plus puissant que more #less /etc/passwd

La commande Sudo permet devenir root un instant


la commande Exit permet de changer de shell.

2. Gestion des comptes utilisateurs


La gestion des utilisateurs et des groupes est une activité très sensible pour la sécurité et la
stabilité de votre système.
Assurez-vous de savoir ce que vous faites avant de commencer.
o Le fichier /etc/shadow: contient les caracteristiques des comptes utilisateurs

Il contient plusieurs lignes et chaque ligne caracterise un utilisateur

o Le fichier /etc/group :
o Le fichier /etc/passwd : contient les caracteristiques des comptes utilisateurs
Il contient plusieurs lignes et chaque ligne caracterise un utilisateur
Les lignes sont subdivises en 7 colonne
Krist :x :1001 :1001 :commentaire:/home/krist:/bin /bash
1 2 3 4 5 6 7
La colonne 1 indique le nom de la personne
La colonne 2 indique si le compte doit fournir un mot de passe ou non
Si elle est renseigné par X : le mot de passe est obligatoire sinon le mot de passe n’est pas
nécessaire
La colonne 3 indique l’identifiant numerique du compte : UID
La colonne 4 indiaue l’identifiant numerique du groupe : GID
La colonne 5 indique le commentaire sur le compte
La colonne 6 indique le repertoire de base du compte
La colonne 7 indique le Shell utilisé par le compte
La commande adduser permet de créer un compte utilisateur
Syntaxe : adduser_nom du compte
La commande userdel permet de supprimer le compte utilisateur
La commande userdel –r permet de supprimer un compte et son repertoire
de base

Il se traduit de la manière suivante :

 d : c'est un répertoire.

 rwx pour le 1er groupe de 3 symboles : son propriétaire peut lire, écrire et exécuter.

 r-x pour le 2e groupe de 3 symboles : le groupe peut uniquement lire et exécuter le fichier,
sans pouvoir le modifier.

 r-x pour le 3ème groupe de 3 symboles : le reste du monde peut uniquement lire et exécuter
le fichier, sans pouvoir le modifier.

Les permissions constituent un système simple de définition des droits d'accès aux fichiers.
Elles restent le moyen le plus utilisé pour définir les droits des utilisateurs.

Cet article présente simplement leur lecture, et leur attribution.

Quelques notions

Avant tout, quelques termes qui seront rencontrés dans la suite de la lecture :

Utilisateur :Utilisateur connecté au système. La liste des utilisateurs est disponible dans le
fichier /etc/passwd
Groupe :Groupe appartenant au système. La liste des groupes est disponible dans le fichier
/etc/group
Utilisateur Propriétaire (noté u comme user) :Utilisateur qui est en possession du fichier
Groupe Propriétaire (noté g comme group):Groupe d'utilisateurs qui est en possession du
fichier
Autres Utilisateurs (noté o comme other):Utilisateurs qui ne sont ni propriétaire du fichier, ni
faisant partie du groupe propriétaire.
Tous (noté a comme all):Utilisateur propriétaire + Groupe propriétaire + Autres utilisateurs.

Fonctionnement des permissions

Quels sont les droits

Les différents droits disponibles sont les suivants :

Lecture (noté r comme read).


Écriture (noté w comme write).
Exécution (noté x comme eXecution).

Pour les fichiers

 Utilisateur :Utilisateur connecté au système. La liste des utilisateurs est disponible dans le
fichier /etc/passwd
 Groupe :Groupe appartenant au système. La liste des groupes est disponible dans le
fichier /etc/group
 Utilisateur Propriétaire (noté u comme user) :Utilisateur qui est en possession du fichier
 Groupe Propriétaire (noté g comme group):Groupe d'utilisateurs qui est en possession du
fichier
 Autres Utilisateurs (noté o comme other):Utilisateurs qui ne sont ni propriétaire du fichier,
ni faisant partie du groupe propriétaire.
 Tous (noté a comme all):Utilisateur propriétaire + Groupe propriétaire + Autres utilisateurs.

Il existe
La commande chmod permet de modifier le droit d’une ressource
Le mode caractere
Il permet d’utiliser les symboles UGO pour les utilisateurs et RWX pour les permissions
Si on veut enlever les droits des proprietaires dans le repertoire on fait
Chmod_u-x_repertoire
Si on veut enlever les droits du groupe dans le fichier on fait
Chmod_g-r_fichier

Le mode decimal
Les droits peuvenu etre aussi attribuer en utilisant le mode decimal . pour cela on utilise le
tableau de correspondance suivant
Lecture=4
Ecriture=2
Excecuter=1
Pas le droits=0
Exemple rwx = 7 rwx :mode caractere et 7 :mode decimal
Chmod permet aussi de changer le droits en mode decimal
Si on veut que seulement le proprietaire aie tout les droits par exemple on fait
Chmod_700_rep/
Si on veut que UGO aient tous les droits on fait
Chmod_777_rep/

Les logiciels en version tar .gz sont gères par la commande tar

Elle comporte plusieurs options :

-c permet de créer l’archive

-v permet d’afficher ce que fait la commande

-f indique le nom que va porter l’archive

-x permet de restaurer l’archive

-z permet de compresser et décompresser l’archive

-t permet de lister le contenu de l’archive

-C permet d’indiquer le chemin du répertoire de destination

Conclusion

Lunix est un système d’exploitation libre qui permet de reprendre le contrôle sur son ordinateur

Conclusion

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