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INTRODUCTION GENERALE
De nos jours, la nouvelle technologie de l’information et de la
télécommunication (NTIC), a dominé le globe terrestre en son entièreté, ce qui a
occasionné le développement du monde à chaque seconde qui passe. Cela a favorisé
l’usage des outils informatiques dans presque tous les domaines possibles de la planète.

Pour être très sûr, aujourd’hui aucun domaine ne s’échappe aux services de
l’Internet. Ainsi grâce aux sites web, les entreprises peuvent se promouvoir à travers le
monde en mettant à la portée de tous leurs services.

Notre travail porte sur la mise en place d’un site web dynamique pour
l’abonnement de clients dans une société d’électricité et nous avons pris le cas de la
SNEL Kananga. Ce qui doit nous permettre à persévérer avec nos recherches
scientifiques et approfondir nos connaissances dans la programmation web. Trouvez
dans les pages qui suivent le détaille de notre travail.

0.1 Problématique

D’une manière générale, depuis 1970 jusqu’à nos jours, la SNEL continue à
traiter ses informations de façon archaïque, pendant que le siècle est marqué par la
technologie ; cette même façon de faire les choses n’est pas exclue dans le domaine
d’abonnement (vente). Ce procédé rétrograde face à la technologie, nous a incité à
mettre en place un site web, afin d’aider la SNEL à améliorer sa mode de traiter les
informations et aussi se promouvoir.

Nous partons de questions suivantes, pour relever la problématique de notre


travail :

 Pour quoi la mise en place d’un site web dynamique pour


l’abonnement de clients à la SNEL ?

 Est-ce que ce site pourra résoudre les difficultés liées à l’abonnement


en ligne ?

0.2 Hypothèse

Entant qu’une proposition relative à l’explication de phénomènes naturels,


admise provisoirement avant d’être soumise au contrôle de l’expérience, notre
hypothèse nous conduit à ce qui suit :

En suivant l’allure de l’avancement de la nouvelle technologie, s’abonner en


ligne serait une meilleure façon de se mettre à la hauteur avec le monde d’aujourd’hui.
Ceci, pour répondre à la première question.
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A la deuxième question, nous rassurons les utilisateurs que ce site serait la


solution pour le problème concernant leur abonnement depuis le Cloud. Ainsi nous
optons pour la mise en place de ce site web.

0.3 Choix et intérêt du sujet

Le choix étant libre, nous avons voulu porter le nôtre sur la mise en place
d’un site web dynamique pour l’abonnement de clients dans une société nationale
d’électricité cas de la SNEL Kananga.

Ce sujet a pour intérêt d’aider la SNEL Kananga à s’habituer dans l’allure de


la modernité, en automatisant sont système d’abonnement en ligne d’une part, et
d’autre part nous aider à approfondir nos connaissances dans la programmation du
web, afin d’aider les générations futures.

0.4 Méthodes et techniques utilisées


A. Les méthodes
La méthode est une voie, un procédé, une démarche qu’un chercheur met en
place en vue d’éclairer l’itinéraire de sa réflexion dans l’analyse et la présentation des
données et des résultats de sa recherche. Dans notre étude nous avons fait appel aux
méthodes suivantes :

 La méthode historique

Cette méthode nous a aidé à connaître le commencement la SNEL ainsi que


son avancement jusqu’à nos jours.

 La méthode structuro-fonctionnelle

Celle-ci nous a permis d’étudier la structure de la SNEL et les différentes


fonctions attribuées à chaque poste de l’organigramme de cette société.

 La méthode d’analyse informatique

Elle nous a permis de nous rassurer sur la possibilité de mettre en place ce


site web dynamique en faveur de la SNEL, de ses prétendants clients et en notre
faveur également.

B. Les techniques
Elles sont des outils utilisés dans le processus de collecte de données,
d’informations qui doivent être soumises ensuite à l’interprétation, à l’analyse et à
l’explication grâce aux méthodes. De même pour réaliser ce travail, les techniques ci-
après nous ont aidées :
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 Interview

Cette technique nous a permis à entrer en contact avec quelques agents de la


SNEL, en les posant différentes questions en rapport avec l’objet de notre recherche.
Leurs réponses à ces questions nous ont donné l’accès à la connaissance du
fonctionnement de leur système.

 Observation

Cette technique nous a aidée à regarder les activités se déroulent au sein de


cette société, avec attention soutenue pour en comprendre davantage le
fonctionnement.

0.5 Subdivision du travail

Cette étude est subdivisée en trois chapitres portant respectivement sur les
généralités sur le web et les bases de données, l’analyse préalable et la réalisation du
site.

Le premier chapitre décrit, de manière générale, les notions théoriques de


base sur le web ; Le deuxième se base sur l’Etude de l’existant ; Le troisième et le dernier
sera basé sur la mise en place du site web permettant le service d’abonnement en ligne.
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CHAPITRE PREMIER : GENERALITES SUR LE WEB


INTRODUCTION

Dans ce chapitre nous allons détailler les concepts du web et les technologies
associées, ainsi que la programmation du web et du projet de développement des sites
web.

1.1. LE WEB

Le www, ce que les Anglophones appellent « World Wide Web » et les


Francophones «la toile mondiale » ou plus simplement « le web » n’est rien d’autre
qu’un moyen simple de cliquer pour explorer le volume gigantesque des pages
d’informations situées sur internet. C’est l’un de services internet le plus intéressant et
les plus passionnant, de sorte que certains tendent à le confondre avec internet.1

1.1.1. DEFINITION

Le web, en abrégé (www), est un système hypertexte public fonctionnant


sur internet qui permet de consulter, avec un navigateur, des pages accessibles sur des
sites.
Le www, littéralement « la toile (d’araignée), à l’échelle mondiale »,
communément appelé le web, et parfois la toile. Il est un système hypertexte public
fonctionnant sur internet. Il permet de consulter, avec un navigateur, des pages
accessibles sur des sites.2

1.1.2. PAGE WEB

La page web permet à la fois l’affichage de textes, d’images et de formulaires


de saisie mais peut également appeler et afficher différents autres types de documents
numériques : son, vidéo, application, …
Sa consultation par le client nécessite un logiciel de navigation appelé
navigateur ou browser.

1 S-J. DJUNGU, Outils et langage du web n.0, Kinshasa, Médiaspaul, 1999, p.10
2 https://fr.m.wikipedia.org/wiki/world-wide-web, consulté le 30 déc. 2019 à 03h 20’
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1.1.3. BREF HISTORIQUE DU WEB

Le web trouve ses origines en 1989 au laboratoire des particuliers du CERN


à Genève, en Suisse. Tim Berner-Lee, un diplômé de l’université d’Oxford, vint au
CERN muni d’une formation de traitement de texte et en communication temps réel. Il
proposa de créer une nouvelle forme de systèmes d’informations dans lesquels les
chercheurs pourraient collaborer et échanger des informations pendant le déroulement
d’un projet.
Il détecta le besoin des physiciens de collaborer en temps réel, non seulement
sur un projet, mais plusieurs. Tim utilisa la technologie hypertexte pour relier un
ensemble de documents qui pourraient être parcourus de n’importe quelle manière afin
d’y trouver l’information.
En collaboration avec d’autres chercheurs du CERN, Tim définit une
architecture basée sur l’internet, utilisant des spécifications publiques, ouvertes à tous
et offrant de surcroit des modèles de mise en œuvre gratuits à la fois pour les clients et
les serveurs.3

1.1.4. COCEPTS DU WEB


Le principe repose sur l’exploration d’une myriade des pages web (fichier
HTML) contenant du texte mise en forme, des images, du son, des vidéos, …
l’exploration est rendu possible grâce à un logiciel appelé navigateur (Firefox, internet
explorer, Mozilla, …) qui offre une interface d’accès aux différentes informations
disponibles sur le web.
Les pages web sont liées les unes aux autres par des liens hypertextes (ou
hyper liens). En pratique, un lien HyperText est un simple mot affiché sur un document
permettant de passé d’un autre document lorsqu’on clique dessus. Le document lié peut
être un fichier à transférer, un son, une animation ou une page web4.

1.1.5. LANGAGES DU WEB

A la création d’un site web, on est obligé de manipuler non pas un mais
plusieurs langages. En tant que webmaster, il faut impérativement les connaître et les
distinguer car il y en a qui n’aident que pour construire des sites statiques et d’autres
les complètent pour rendre ces sites dynamiques. Ainsi nous citons quelques-uns :

 HTML ;
 CSS ;
 PHP ;
 JAVA SCRIPT, …

3 S. PECK et S. ARRANTS, Construire son propre site web sous Windows, Paris, O’relly, 1996, p.12
4 Commentcamarceh.net>encyclopédie>webmastering, consulté le 23/12/2019 à 14h15’.
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1.1.5.1. HTML5
Le HTML (HyperText Mark up Langage) est un langage permettant de
décrire la mise en page et la forme du contenu d’un document web et d’y inclure des
hyperliens.
Une page HTML est ainsi un simple texte doté d’une extension .htm ou .html,
et dont l’ensemble de données figure entre les balises (encore appelés marqueur ou
tags).
L’HyperText est un système utilisant le langage HTML qui autorise la
création des liens hypertextes. Un document hypertexte est donc un document qui
contient des hyperliens. Lorsque les documents ne sont pas uniquement textuels, mais
aussi audio-visuels, on peut parler de système et de documents hypermédias.

1.1.5.2. CSS6
Le css (, généralement « feuilles de styles » en français) est un langage
spécifique au Web, fréquemment employé comme complément du langage HTML, et
dont la fonction est de former des feuilles de styles chargée de la mise en forme des
documents web. Il gère l’esthétique (couleurs, typographie) et diverses fonctionnalités.
Son champ d’action ne se limite pas au média screen (écran), mais s’étend également
aux médias print (imprimante), projection (présentations projetées), braille (tablettes à
l’usage des aveugles), embossed (impression en braille), aural/speech (propriétés
auditives), handheld (assistants numériques) et tv (Web-TV) ; Il a pour objectif de rendre
cohérents et homogènes les sites Web et faciliter leur maintenance.

1.1.5.3. PHP7

Le PHP (PHP Hypertext preProcessor) est un langage de programmation. Sa


principale application se situe au niveau de la gestion des sites web dynamiques.
On peut par exemple lui faire créer le contenu de pages HTML suivant
différents paramètres : l’âge d’un visiteur, sa catégorie socioprofessionnelle, des mots-
clés qu’il aura indiqués dans un moteur de recherche, des actualités du jour, etc.
Les capacités de PHP ne s’arrêtent pas à la création de pages web. Il est aussi
possible de manipuler des images, de créer des fichiers PDF, de se connecter à des bases
de données ou des serveurs LDAP, et même d’instancier des objets Java. Un module
annexe lui permet également de fournir des interfaces graphiques classiques (client
lourd, sans navigateur ou serveur web), via GTK. Les fonctionnalités de PHP
permettant de sortir de l’ordinaire des sites web sont très nombreuses. D’où retenons
que PHP est non seulement un langage mais aussi une plate-forme globale.

5
C. PORTENEUVE, Bien développer pour le Web2.0, bonnes pratiques Ajax, Paris, Ed. Eyrolles, 2006, p.25.
6
R. GOETTER, CSS 2 Pratique du design web, Paris, 2è Edition, Eyrolles, 2007 p.39-40.
7
E. DASPET et C. PIERRE DE GEYER, PHP 5 Avancé, Paris, 4è Edition, Eyrolles, p.1-2
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1.1.5.4. JAVA SCRIPT8

Apparu en 1995 dans le navigateur Netscape et créé par Sun et Netscape.


Ce langage permet d’apporter essentiellement de l’interactivité dans les sites.
Attention, interactif ne veut pas dire dynamique. Un site statique peut
comporter du JavaScript, il ne deviendra pas dynamique pour autant. L’un des emplois
les plus courants de ce langage se retrouve dans les roll-over, c’est-à-dire le fait qu’une
image ou un fond de bouton par exemple change d’aspect au survol ou au clic de la
souris. Son extension est .JS et comme pour les CSS, le code JavaScript peut être soit
placé en interne, dans la ou les pages HTML concernées, soit placé dans un fichier
externe, avec un lien dans la page HTML.

1.2. SITE WEB


1.2.1. DEFINITION

Un site est un ensemble de pages HTML reliées entre elles par des liens
nommés aussi hyperliens. La notion de lien est donc primordiale dans l’univers des
sites, et c’est même à la base de la naissance de l’Internet.
Nous pouvons aussi dire qu’un site web est composé de l’ensemble de pages
reliées entre elles et affichées par un navigateur tel qu’internet explorer, Firefox, Opéra
ou Safari pour ne pas citer les plus connus.9

1.2.2. TYPOLOGIES POSSIBLES DE SITES WEB


Les sites web peuvent être distingués selon les différents critères comme suit :

1.2.2.1 Distinction selon le but poursuivi et le contenu


On distingue :

 Les sites catalogue : permettant de présenté les produits d’une entreprise et de


les mettre en valeur ;
 Les sites d’informations : sont ceux fournissant des informations particulières à
des internautes ;
 Les sites personnels (parfois pages perso) : sont des sites réalisés par des
particuliers à titre de loisir, le plus souvent par passion pour un sujet ou une
discipline ;
 Les sites institutionnels : sont ceux destinés à décrire l’activité d’une
organisation et ç donner les informations nécessaires aux clients ou aux
bénéficiaires ;
 Sites communautaires : sont ceux réunissant les internautes autour d’un intérêt
commun ;

8
J-M. COCHETEAU, Concevez des sites internet riches et Ergonomiques, Paris, Dunod, 2008, p. 17.
9 S-J. DJUNGU, Op. Cit, p.10, 13
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 Sites intranet : qui sont accessible de l’intérieur d’une entreprise ou d’une


direction, ayant pour objet, la mise à disposition et le partage d’informations
professionnelles ;
 Sites vitrine (sites plaquettes ou sites identités) : sont ceux dont l’objectif est de
mettre en avant l’image de marque de la société, en présentant par exemple ses
produits ou ses services.

1.2.2.2. Distinction selon les fonctionnalités et les techniques


On distingue :

 Sites statiques : Ils sont constitués des pages HTML dont le contenu est
introuvable dans le temps ;
 Sites dynamiques : sont des web dont les pages HTML se construisent
dynamiquement lors de leurs consultations par un internaute. Les informations
sont changeantes car extraites à partir de BDD particulièrement mis à jour. La
construction des sites dynamiques reposes sur des technologies de Scripts telles
que PHP, ASP ou Cold Fusion, … ;
 Sites collaboratifs : un site collaboratif est un site dynamique dont le contenu est
librement modifiable en ligne par tout visiteur, ce qui rend l’utilisateur
contributeur.

1.2.2.3. Distinction selon le type d’accès


 Sites public : ce sont des sites dont les pages peuvent être visitées par tous ;
 Sites privés : sont ceux qui ne donnent accès à aucune autre que la page d’accueil,
sans une inscription préalable. L’accès à ce type de sites peut être libre (accessible
par tous) ou restreint (accessible par un groupe de personnes spécifique) ;
 Sites gratuits : sont ceux qui offrent des services et outils gratuits ;
 Sites commerciaux : ce sont des sites de vente en ligne.10

1.2.3. ETAPES DE CREATION DE SITES WEB

La création d’un site web est un projet à part entière comprenant un grand
nombre de phases dont :
 La conception ;
 La réalisation ;
 L’association d’un nom de domaine ;
 L’hébergement et la mise en ligne ;
 Le référencement et la promotion.

10 L. Floride, internet, Paris, Flammarion, 1998 ; p.125


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Les principales étapes de la création d’un site web sont définies dans les sous
points qui suivent :

1.2.3.1. La conception

La conception d’un site permet de mettre en place un modèle sur lequel on


va s’appuyer lors de l’implémentation. Cette étape doit donner lieu à l’élaboration d’un
cahier de charge décrivant l’ensemble des fonctionnalités prévenues pour la réalisation
du site web. La conception d’un site internet découle ainsi directement de la définition
de besoins.
L’analyse des besoins du site concerne alors les points suivants :
 Le choix du type de site à réaliser (vitrine, marchand, …) : cela dépend du but
du site ;
 Le type de contenu qu’il faut intégrer dans le site : un site web se construit en
fonction de son contenu. Il faut savoir de quels types de documents le concepteur
dispose-t-il pour alimenter le site. Cela peut être du texte, de la vidéo, ou du son ;
 La forme de données : CD_ROM, disquette, papier, photos, … ce qui permet
d’estimer le temps éventuel de numérisation de données ;
 Déterminer le public du site : savoir à qui le concepteur s’adresse est primordial
pour définir un certain d’éléments liés à l’aspect graphique au ton rédactionnel
qu’il convient d’employer ;
 Définir la structure du site : il s’agit d’organiser le contenu du site de manière
logique pour que les internautes puissent accéder à l’information le plus
rapidement et le plus simplement possible, sans être perdus au bout de quelques
clics.
La structure la plus souvent adaptée comprend :
 Une page d’accueil : qui est la première page du site. Cette page renvoie
sur les différentes rubriques contenues dans le site.
 La page présentation : servant à présenter le site et son contenu
 Les pages rubriques : ce sont les autres rubriques du site. Soit par voie
postale classique, offertes aux internautes.
A cette structure du site est associée une présentation adéquate. La
présentation la plus classique est bandeau de titre en haut, un menu de
navigation comprenant les liens de contact.

 Définir la charte graphique : c’est l’élaboration et la description de différents


éléments graphiques qui composent l’aspect du site web. L’ensemble de
comprend le logo, une bannière, les boutons, les en-têtes, les images, les
couleurs, les polices de caractères utilisées, le système de navigation, …
Le graphisme est un élément important pour la fréquentation du site et la
compréhension de son contenu. Quand on recherche une information sur
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internet, on obtient une multitude de réponse. Le graphisme peut être un élément


décisif dans le choix de l’internaute.
Le contenu à disposer sur le site doit être complet et prêt à être exploité dans
la phase de réalisation.

1.2.3.2. Réalisation

Après la conception web vient la réalisation, l’étape de concrétisation


technique du projet client. C’est la phase de développement pur, celle où il faut produire
le code nécessaire aux besoin du site. C’est à ce moment que les maquettes graphiques
sont transformées en pages HTML.

La réalisation d’un site web s’appuie sur un ensemble d’outils et de


technologies de développement web. On distingue :


Les technologies côté client : il s’agit de l’ensemble des outils pris en
charge par le navigateur.
 Les technologies côté serveur : il s’agit de l’ensemble des outils
exécutés sur le serveur web. Ces technologies sont définies dans ce qui
suit :
a. Technologies côté client :
Ces technologies permettent de gérer l’interface utilisateur de chaque page.
Lorsqu’une page est consultée par un visiteur, le serveur http se contente de transmettre
au client le code source de celle-ci. C’est en suite au navigateur du client d’interpréter le
code reçu. Parmi les technologies coté client on cite :
1. XSL (Extensible stylsheet Language)
XSL est considéré comme l’équivalent du CSS pour XML. C’est un langage
qui permet de décrire dont les documents XML doivent être présentés. Ainsi, là où XML
structure le fond d’un document, XLS structure sa forme.11

2. JAVA SCRIPT
Apparu en 1995 dans le navigateur Netscape et créé par Sun et Netscape.
Ce langage permet d’apporter essentiellement de l’interactivité dans les sites.
Attention, interactif ne veut pas dire dynamique. Un site statique peut comporter du
JavaScript, il ne deviendra pas dynamique pour autant. L’un des emplois les plus
courants de ce langage se retrouve dans les roll-over, c’est-à-dire le fait qu’une image
ou un fond de bouton par exemple change d’aspect au survol ou au clic de la souris.
Son extension est .JS et comme pour les CSS, le code JavaScript peut être soit placé en

11 R. GOETTER, CSS 2 Pratique du design web, Paris, 2è Edition, Eyrolles, 2007, p.39-40.
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interne, dans la ou les pages HTML concernées, soit placé dans un fichier externe, avec
un lien dans la page HTML.12

3. APPLETS JAVA
Une est un petit programme java pouvant être intégré dans une page web et
qui réside sur le serveur. Les applets servent à défiler du texte, présenter des menus,
créer des animations, des formulaires capables de réagir à des informations entrées par
l’utilisateur, ou tout autre type d’effets interactifs sur une même page web.

b. Technologies côté serveur

Ces technologies permettent de gérer des pages en langage client : le serveur


http fait interpréter le code puis encapsule le résultat dans une page html qui va être
envoyée par internet au navigateur, qui va pouvoir le lire. La génération de la page peut
se faire en fonction de paramètres connus du serveur uniquement. Parmi les
technologies coté serveur on cite :

 ASP (active server pages) est une technologie web initiée par Microsoft en
1996permettant d’exécuter des scripts coté serveur et développer des
applications web dynamiques en fournissant un accès simple à des bases de
données.

Une page ASP est en fait une page HTML à laquelle une partie de code de
programmation a été ajoutée. Ce code peut être programmé en divers langages
de scripts, tel VB Script, perl Script ou python.

 Script CGI (Common Gateway Interface ou interface de personnelle commune)


est un programme exécuté du coté serveur, permettant de cette façon l’affichage
de données traitées par le serveur (provenant d’une autre application, comme
un système de gestion de base de données, d’où le nom de passerelle). C’est
l’usage le plus courant des programmes CGI.

 Cold fusion : Langage payant, proche de la syntaxe de l’HTML et désormais


propriété d’Adobe system, après avoir été créé par les frères Allaire et racheté
par Macromedia. Cold Fusion est moins présent sur le marché de la génération
de sites dynamiques, sans doute parce qu’il est payant. Néanmoins, il est capable
de travailler naturellement avec les SGBD rencontrées précédemment, Microsoft
SQL Server ou MySQL pour le PHP. L’extension des pages écrites en Cold
Fusion est CFM.
 JSP (Java Server Page) est une technologie basée sur JAV permettant la
génération de pages web dynamiques. JPS consiste en une page HTML incluant
du code JAVA (appelées script java) qui s’exécutera sur le serveur.

12 J.M. COCHETEAU, Concevez des sites internet riches et ergonomiques, Paris, Dunod, 2008 ; p.17
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 Servlet java : est une technologie introduite par Sun jouant un rôle symétrique à
celui des applets, mais coté serveur. Cette technologie serveur permet de générer
des pages web dynamiques dont le contenu, issu de programme d’applications
sur le serveur, est adapté aux spécifications et aux requêtes d’utilisateurs
particuliers. Tout comme pour les scripts CGI, les servlets java réalisent la liaison
entre des requêtes clientes et des données ou applications liées à un serveur.

1.2.3.3. Association du nom de domaine

Un site web est identifié sur internet grâce à une adresse web. L’adresse web
est généralement composée de trois parties :
 Le service ;
 La racine : c’est-à-dire le nom correspondant au nom de domaine proprement ;
 Le suffixe : communément appelé extension ou nom de domaine.
Exemple : www.google.com

Les domaines sont repartis en deux grandes catégories :


 Les domaines de premier niveau (TLDs pour Top Level Domaines) caractérisant
une zone géographique (.fr : France, .eu : Europe, .dz : Algérie, .cd : R. D. Congo,
…) ;
 Les domaines de second niveau (SLDs) caractérisant la nature de l’organisation
(.com : commercial, .gov : gouvernemental, ed : éducation, …)

Avant d’attribuer un nom de domaine à un site donné, il est conseillé de


vérifier si ce dernier est réellement disponible. Pour cela, il existe des organismes à
même de fournir des informations sur les noms de domaines disponibles ou noms.

Exemple :
- Aazed : base de données de noms de domaine à vendre
- AFNIC : pour trouver les noms de domaines en .fr,
- internic : moteur de recherche mondial pour les noms de domaines. Très utile,
notamment pour les noms de domaines génériques,
- networksolutions : permet de vérifier les noms en .com, .org et .net, dépôt
possible, mais il faut posséder un IP primaire et secondaire
- namdroppers : très bon moteur de noms de domaines. A partir d’un terme donné,
namedroppers : propose tous les noms de domaines contenant ce mot,
- RIPE : recherche parmi les noms de domaines attribués au niveau européen,
- whois.net : le plus pratique, il permet de vérifier la disponibilité d’un nom de
domaine, voire d’en connaitre le propriétaire.
Une fois le nom de domaine choisi, il s’agit de l’enregistrer auprès d’un
organisme compètent, à l’issue de quoi ce nom de domaine peut ensuite être utilisé.
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1.2.3.4. Hébergement

Afin de rendre un site web disponible sur internet, il est nécessaire de le faire
héberger sur un serveur web. L’hébergement est un service assuré par un fournisseur
spécialisé appelé hébergeur internet qui met à disposition du site, un espace disque
dédié sur un serveur web connecté en permanence à internet.
L’hébergement peut être gratuit ou payant, dédié ou mutualisé.

 Hébergement gratuit

L’hébergement de site web est le plus souvent offert en échange de la


diffusion de messages publicitaires. Des messages intégrés au site internet, sous la
forme des bannières disposées généralement en haut ou sur les côtés de pages web. Les
hébergeurs tirent leur revenu exclusivement de publicités placées sur les sites.

 Hébergement payant

Il se décompose en deux catégories :


a. Hébergement partagé ou mutualisé : on parle de l’hébergement mutualisé,
lorsque plusieurs sites internet sont hébergés sur un seul et même
serveur. La notion « mutualisé » signifie « partagé ».
Ce type de formule propose donc un serveur avec une configuration
donnée et une offre logicielle (serveur, base de données, comptes de
messageries, serveur de listes, de diffusion, …) ainsi qu’un espace de
stockage bien défini. Ce type d’hébergement est utilisé par tous les
hébergeurs gratuits et des nombreux hébergeurs payants. Il présente
l’avantage d’être relativement peu cher. De plus, aucune connaissance
d’administration n’est nécessaire et des nombreux services sont inclus.
Cependant, les performances ne sont pas forcément très bonnes et le client
n’a pas accès au serveur en tant qu’administrateurs.

b. Hébergement dédié : il s’oppose à l’hébergement mutualisé. Par


conséquent, chaque client possède son propre serveur, ce qui lui permet
un accès directe en tant qu’administrateur : il est le responsable des
logiciels et des sites qu’il installe, ce qui est le principal avantage de ce
type d’offre.
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Ce type d’hébergement est utile pour les sites ayant un important trafic et un
fort contenu dynamique. Cependant, cela demande beaucoup de temps et des
nombreuses connaissances au niveau de l’administration. Cet inconvénient est
cependant levé dans les hébergements dédiés dits « ménages » ou « clés en main ». Dans
ce cas, le client dispose de son propre serveur mais c’est les techniciens de l’hébergeur
qui s’occupe de sa gestion système.
Une fois l’hébergeur trouvé, il est essentiel de le mettre en ligne, c’est-à-dire
de transférer (copier) les fichiers depuis le serveur du développeur vers le serveur de
l’hébergeur internet. Pour ce faire, il est alors essentiel de se connecter à l’internet, puis
d’envoyer les pages sur le serveur à l’aide de logiciels de transfert FTP.

1.2.3.5. Référencement du site et promotion


Le référencement est l’ensemble des activités qui permettent à un site web
d’apparaitre dans les premières pages des moteurs de recherche lorsqu’un internaute
effectue une recherche à partir de quelques mots clés. Ce service a l’avantage de faire
connaitre le site aux internautes, d’en accroitre la visibilité et d’en augmenter ainsi le
nombre de prospects.

CONCLUSION

Dans ce chapitre nous avons détaillé les concepts du web et des technologies
associées ainsi que la programmation du web et du projet de développement des sites
web. Bien arrivé à la fin de ce premier chapitre, nous verrons dans le chapitre suivant
l’étude ou l’analyse préalable.
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CHAPITRE DEUXIEME : ANALYSE PREALABLE

INTRODUCTION
Le premier chapitre de notre travail intitulé « généralités sur le web », était
tellement théorique, et ses théories nous ont permis d’avoir une idée sur notre matière
qui porte sur le site web. Arriver au terme de ce précèdent chapitre, nous abordons ainsi,
ce deuxième qui est consacré à l’étude de l’entreprise pour laquelle nous voulons faire
la conception de ce site ; il s’agit de la Société Nationale d’Electricité Kananga (SNEL).
Dans ce chapitre nous commencerons d’abord par parler de l’historique, de la situation
géographique et parler de l’objectif social, voir en suite l’organigramme et faire la
description des postes ; enfin, décrire et critiquer le système communicationnel existant
et proposer la solution.

2.1. PRESENTATION DU CADRE D’ETUDE

2.1.1. Situation géographique


La SNEL Kananga est située au numéro 615 de l’avenue Kambala, dans la
commune de kananga, quartier Malandi, localité SNEL.

Elle est bornée au nord par le bureau de l’UNICEF, au sud par la rivière
Nganza, à l’Est par l’eglise sainteté tabernacle et à l’Ouest par le bureau de l’accélère

2.1.2. Aperçu historique


Crée par l'ordonnance loi n°73/033 du 16 Mai 19170, à l’origine l'entreprise
n'avait essentiellement qu'un rôle de maitre d'ouvrage dans les travaux d'aménagement
du site d'Inga.

En effet, soucieux de répondre aux besoins énergique du pays, le


gouvernement, par l'ordonnance présidentielle n°67-391 du 23 Septembre 1967, Institue
le comité de contrôle technique et financier pour les travaux d'Inga, comit qui sera
remplacé en 1970 par la SNEL, et ce n'est qu'à la suite de la mise en service d'Inga, le 24
novembre 1972 que l'objet social de SNEL sera complété.

SNEL devenait producteur, transporteur et distributeur d'énergie électrique


à l'instar d'une autre société d'Etat, REGIDESO, et des sociétés commerciales privées
préexistantes ayant le même objet social, soit :

 COMETRICK

 FORCES DE L'EST

 FORCE DU BAS

 SOCIETE GENERALES AFRICAINE D'ELECTRICITE(SOGLES)

 COLEGIN
P a g e | 16

 SOCIETE GENERALE ZAIROISE DES FORCES HYDRO-


ELECTRIQUE (SOGEFOR).

La même année, le gouvernement mit en marche le processus d'absorption


progressive de ces sociétés privées par SNEL, l'issue de ce processus se traduira par
l'instauration d'une situation de monopole au profit de SNEL conforte en suite par la loi
n° 74/012 du 14 juillet 1974 portant reprise par SNEL de leurs droits, obligations et
activités. Celui-ci traduit la volonté de l'Etat de s'assurer le contrôle direct de la
production, du transport et de la distribution de l'électricité, MATIERE STRATEGIQUE
dans le développement économique et sociale du pays.

Cependant, en ce qui concerne la REGIDESO, la reprise totale par la SNEL


de ses activités électriques, y compris ses centrales, n'interviendra qu'en 1979. Depuis
lors, SNEL contrôle en réalité toutes les grandes centrales hydroélectriques et
thermiques du pays. Seules quelques microcentrales hydroélectriques du secteur minier
et de petites centrales isolées demeurant indépendantes.

A ce jour, le service public de l'électricité est confié à SNEL énergie sous


forme de société d'état, régie par la loi cadre sur les entreprises publiques et
l'ordonnance n°78/196 du 5 Mai 1978 approuvant ses statuts, sous la tutelle du Ministère
des Mines et Energie.

Ainsi, après sa création administrative et sa définition statutaire par les


pouvoirs publics, il incomberait à la s en société de sa s'assurer matérialisant ses
structures fonctionnelles et ses activités sur le terrain.

Accomplissement au mieux ces deux objectif, SNEL poursuit sa mission de


maitre d'ouvrage pour les travaux d'aménagement du site d'Inga dont la première
phase, INGA 1(Puissance installée : 350MW), officiellement site démarrée le premier
janvier 1968, fut inaugurée le 24 novembre 1972.

La deuxième phase, Inga II (Puissance installée : 1.400MW) a vu ses


installations entrer en service en 1982. Cette période de grands travaux a été couronnées
par la construction de la ligne 500 KUTHTCC Inga-Shaba 1.740 KM, la plus long du
monde entre en service en 1983 pour approvisionner en énergie mines et usines
couvrant l'aire du « scandale géologique » méridional du continent.

Parlementa, de 1980 à 1986, sur le plan de ses structures, SNEL créa


progressivement sa propre culture à la place de celles héritées de ses prédécesseurs ;
fusionnant et structurant, avec une mise en place d'hommes jeunes et ambitieux en
position de faire leurs preuves : motivant ce dernier par une politique sociale et de
promotion attrayante, privilégiant la compétence et les qualités démontrées de
gestionnaire.
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2.1.3. Objectifs de la SNEL


A la suite de la mise en service de cet établissement de l’Etat, ce dernier devait
donc au moindre coût assurer la production, le transport et la distribution de l’énergie
électrique, à l’instar de régideso et de six autres sociétés commerciales privées existant
et pour suivant le même objet social ; puis s’assurer du contrôle direct des ressources
stratégiques en matière de développement économique et social du pays.

2.1.4. Statut juridique


La SNEL comme prédit, est un établissement de droit public à caractère
industriel et commercial, créée par l’ordonnance n°73/033 du 16 mai 1970.

En effet, soucieux de répondre aux besoins énergétiques du pays, les


pourvoir publics, par ordonnance présidentielle n°67-391 du 23 septembre 1967,
instituèrent le comité de contrôle technique et financier pour les travaux d’Inga lequel
comité sera remplacé en 1970 par la SNEL.

Toutefois, ce service public d’électricité est confié à la SNEL, érigée sous


forme de société d’Etat, et régie par la loi cadre sur les entreprises publiques et
l’ordonnance n°78/196 du 05 mai 1978 approuvant ses statuts, sous futile technique du
ministère d’énergie et la futile administrative et financière étant assurée par le ministère
du portefeuille.

2.1.5. Structures Organisationnelles et Fonctionnelles


Parallèlement au plan de ses structures, la SNEL crée progressivement de
1980 à 1986 sa propre culture en lieu et place de celles hérités de ses prédécesseurs.
En effet, la nécessaire restructuration de celle-ci étant devenue aujourd’hui
un acquis, était un préalable à la conception et à la définition d’un plan de
développement à long terme de la société.
Outre, ce processus de réforme, accompagné d’une nationalisation
progressive des cadres de direction et de commandement en remplacement du
personnel expatrié, a abouti à la situation du fait depuis 1989, la SNEL ne comporte plus
que des nationaux dans ses effectifs.
Ce faisant, la SNEL étant une entreprise issue de la fusion de plusieurs
sociétés, ayant chacune une organisation et surtout une structuration propre, il fallait
donner à cet ensemble hétéroclite la forme d’une entreprise homogène moderne. C’est
ainsi qu’il est donc né un département d’organisation dénommé « département
organisation et management » DOM en sigle afin de mettre en place un système
managérial unique pour l’entreprise, puis un système de gestion et d’information, en
suite disposer d’un système de codification des points alimentés pouvant permettre de
bien situer un abonné dans l’espace en ayant une structure très complexe comprenant :

 Un conseil d’administration
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 Un comité de gestion

2.1.3.1 Le conseil d’administration


A l’issu de cette réorganisation, celle-ci s’accompagne d’une réflexion interne
sur la réforme institutionnelle. Le conseil d’administration siège en effet au comité de
gestion et est chargé de la gestion active de l’entreprise, et comprenant en son sein neuf
administrateurs nommés par le président de la République dont :

 Un président du conseil d’administration (PCA) ;

 Quatre administrateurs (ADG, ADGA, ADT, ADF) choisis au sein de


l’entreprise, soit en dehors de celle-ci ;

 Quatre administrateurs venant de l’extérieur ou de différentes


organisations de l’Etat sont non actifs bien que la terminologie n’est pas
constitutionnelle.

2.1.3.2 Le comité de gestion


Dans son Object, l’organisation régie dans ce département a pour rôle de :

 Définir les orientations et objectifs de l’entreprise ;


 Mettre en place des processus manuels ou automatiques de
traitement des informations relatives à ces orientations nécessaires
pour atteindre les objectifs définis ;
 Contrôler la mise en œuvre et le respect des dits orientations et
processus ainsi que l’accomplissement de ces objectifs.

A la suite de cette étape où les besoins de disposer de véritables systèmes de


gestion et d’information c’est-à-dite BOM en sigle, de définir pour l’ensemble des
activités de gestion de l’entreprise cinq systèmes de gestion et d’information
développées :

 La gestion technique ;

 La gestion commerciale ;

 La gestion financière et comptable ;

 La gestion du personnel ;

 La gestion des approvisionnements.

En effet, pour mieux cerner à ces objectifs, le comité de gestion doit pour le
développement de ses systèmes, s’employer à examiner une nouvelle structure
organisationnelle lui proposée par une commission ad hoc en :

 Regroupant les fonctions opérationnelles tout en plaçant chacune d’elles


sous une seule unité de commandement ;
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 Unifiant, sous l’autorité hiérarchique du responsable provincial, toutes les


fonctions de sa juridiction ;
 Revalorisation des fonctions opérationnelles, d’appui province ;
 Etablissant l’adéquation de la structure avec le niveau de l’activité ;
 Optimisant la gestion ;
 Supprimant tout empêchement dans la structure à mettre en place.
 Outre, ce département est composé :
 D’un administrateur délégué général ;
 D’un administrateur délégué général adjoint ;
 Des administrateurs directeurs techniques et financiers ;
 D’une délégation syndicale ;
 De chef de département par nécessité.

2.1.3.3 La direction générale


Elle est assumée par l’administrateur délégué général qui est le responsable
dans le maiche de l’entreprise, contrôle et assume la coordination de toutes les activités
de celle-ci.

En effet, il est donc secondé par un administrateur directeurs technique et un


administrateur directeur financier. Outres, les quatre membres du comité des gestions
sont donc responsables dudit département dont d’épandant directement des divisions
et directions par ordre de présence.

Par ailleurs, la SNEL du point de vue de son fonctionnement regroupe ses


activités en trois types de fonctions à savoir :

 Les fonctions stratégiques : qui sont dédis activités qui dépendent de


l’ADG qui définit les orientations et les objectifs ainsi qu’elle contrôle
leurs strictes applications et assure la planification, le contrôle général,
la standardisation et l’information ;
 Les fonctions d’exploitation : qui sont des fonctions dépendantes de l’ADT
et constituant l’activité principale de la société parce qu’elles assurent la
production, la distribution, le transport et la commercialisation de l’énergie
électrique ;
 Les fonctions d’appui : elles dépendent de l’ADF et fournissent aux
recrutés des moyens nécessaires pour leurs bons fonctionnements ; il
s’agit donc de :
 Département financier ;

 Département des ressources humaines ;

 Coordination des activités commerciales.


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2.1.6. Organigramme de la SNEL

CONSEIL D’ADMINISTRATION

COMITE DE GESTION

BUREAU DE PDG PRESIDENT-DIRECTEUR


GENERAL
BUREAU CONSEIL

DIVISION JURIDIQUE ADMINISTRATEUR DG ADJOINT

SECRETARIAT GENERAL

DPT DE RECHERCHE ET
DEVELOPPEMENT
DIRECTION DES ETUDES ET
STANDARDS

DPT DE RECHERCHE ET
DIRECTION DE LA PREVENTION ET DEVELOPPEMENT
SECURITE

ADMINISTRATEUR DIRECTEUR ADMINISTRATEUR DIRECTEUR

DPT DE DPT DE DPT APPRO ET DPT DES


DPT FINANCIER
PRODUCTION DISTRIBUTION MARCHES RESSOURCES
ET TRANPORT HUMAINES

DPT DE DIRECTION DE COORDINAT DES


DISTRIBUTION DE L’EQUIPEMENT ACTIVITES
KINSHASA COMMERCIALES
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2.2. ANNALYSE DE L’EXISTANT

2.2.1. Narration
A l’arrivé du client à la SNEL pour un nouveau raccordement, il est reçu
par un agent disponible au service d’accueil commercial. Muni de son dossier
(contenant une lettre de demande de raccordement, un certificat d’enregistrement, un
extrait cadastral de la parcelle, un avis et considération de raccordement, une
attestation de raccordement, un schéma unifilaire des installations), dans une farde à
tringle, ainsi que ses $75 pour le dépôt du dossier, le client est conduit vers l’agence
commerciale où il sera reçu par un chef d’agence commerciale qui doit contrôler son
dossier, au cas où ce dossier est incomplet, il sera remis au client pour remplissage. Au
contraire, le client sera conduit à la caisse, afin de payer les frais de dépôt du dossier.
L’agent disponible à la caisse lui fournira une preuve de paiement (reçu) établit en
trois exemplaires. L’original de ce dossier sera remis au client, l’exemplaire sera
envoyé au chef d’agence commerciale, et la souche sera archivée.

Le chef d’agence rédigera un document intitulé Ordre de Travail (OT)


ayant pour libellé « étude de faisabilité » pour le nouvel abonné. Ce document
ensemble avec l’exemplaire du reçu seront placés dans la farde contenant le dossier du
client et l’envoyer à la direction. Le directeur après vérification de la preuve de
paiement et le contrôle du dossier, signe cet OT et renvoi le tout à l’agence
commerciale. A son tour, le chef d’agence envoi cette farde contenant le dossier du
client, l’exemplaire de la preuve de paiement et l’OT, au bureau technique pour
l’exécution.

Le chef du bureau technique fait l’étude de faisabilité, et décide sur la


possibilité d’alimenter le client. Il établira un devis qu’il introduira dans la même farde
et l’envoyer à la direction.

Le directeur rédigera une lettre en s’adressant au client compte tenu du


devis. La lettre et le devis seront envoyés au client. Ce dernier passera de nouveau à la
caisse, cette fois-ci pour payer son devis selon les frais précisés dans la lettre (et sur ce
devis).

La caisse lui établira un reçu en lui remettant l’original, envoyer


l’exemplaire à l’agence commerciale, et archiver la souche. Le chef d’agence établira à
nouveau un OT, cette fois-ci, avec libellé « exécution » nouveau raccordement. Ce
document et le reçu seront envoyés à la direction. Après apposition de la signature sur
ce document, le directeur fera un renvoie au chef d’agence, celui-ci qui enverra l’OT
au service de distribution de réseau. Le chef de ce service, ensemble avec son équipe,
se rendront au domicile de ce client avec tous les matériels possibles, dans la finalité
de placer le compteur.

Ainsi fait, à la fin de chaque mois, l’abonné sera dans l’obligation de régler
sa facture avec la SNEL.
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2.2.2. Fiche descriptive de postes de travail

FICHE DESCRIPTIVE DES POSTES DE TRAVAIL

Application : site web dynamique pour


Analyste : Mardochée KALALA
l’abonnement des clients.
Domaine : Vente.
Date : le 1er mai 2020

N° POSTE CODE TRAVAUX EFFECTUES MOYEN DE OBSERVATION


TRAITEMENT
1 Service AC -Recevoir le client, Oral Bien
d’accueil -le conduire à l’agence
commerciale.
2 Agence AG -contrôler le dossier, - Manuel Traitement lent
commerciale établir l’ordre de travail.
3 Caisse CA -Recevoir l’argent du Manuel Traitement lent
client,
-Etablir le reçu.
4 Direction DI -contrôler le dossier, -se Manuel Traitement lent
rassurer de la preuve de
paiement,
-signer l’ordre de travail
et rédiger la lettre de
devis.
5 Bureau BT -faire l’étude de Manuel Traitement lent
technique faisabilité,
-et établir le devis.
6 Service de DIS Préparer les matériels, et Manuel bien
distribution se rendre au domicile
du client.
Tableau 2.1 : Fiche descriptive des postes de travail

2.2.3. Analyse de flux d’information

Cette partie présente l’ensemble des informations qui circulent entre les
différents acteurs internes et externes de la société. Nous utiliserons à ce niveau le
tableau de flux, le schéma de flux, et la matrice de flux.
P a g e | 23

A. Le tableau de flux

TABLEAU DE FLUX

Application : site web dynamique pour Analyste : Mardochée KALALA


L’abonnement des clients.
Date : le 03 mai 2020

Domaine : Vente.
N° NOM DU CODE INFORMATION ORIGINE DESTINATION
DOCUMENT VEHICULEES
1 Dossier DOS -lettre de demande de client Agence
raccordement, commerciale
-certificat
d’enregistrement,
-extrait cadastral de la
parcelle,
-avis et considération de
raccordement,
-attestation de
raccordement, -schéma
unifilaire des
installations.
2 Reçu REC -nom complet du client, Caisse -client
-montant payé -agence
commerciale
3 Devis DEV -Les matériels à payer, -Bureau -direction
-le montant équivalent. technique -client
4 Ordre de OT1 Etude de faisabilité Agence -direction
travail 1 commerciale -bureau
technique
5 Lettre + devis LTR+DEV -Etat de besoin direction Client

6 Ordre de OT 2 Exécution Agence -direction


travail 2 commerciale -service de
distribution
-bureau
technique

Tableau 2.2 : Tableau de flux


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B. Schéma de flux
DEV+LTR

DEV
Service d’accueil Direction
client REC
OT1+OT2 OT2
REC
Caisse
DOS
Agence commerciale OT1
Bureau technique
OT2

Service de distribution

Figure 2.1 : Schéma de flux

C. Matrice de fluxe

MATRICE DE FLUX

VERS SERVICE
AGENCE BUREAU
CLIEN SERVICE DIRECTIO DE
COMMER CAISSE TECHNIQ
T D’ACC. N DISTRIBU
CIALE UE
DE TION

CLIENT DOSSIER

SERVICE
D’ACCUEIL
AGENCE
COMMERCI -OT1 OT1 OT2
ALE -OT2

CAISSE RECU RECU

-
DEVIS
DIRECTION -
LETTR
E
BUREAU
DEVIS
TECHNIQUE
SERVICE DE
DISTRIBUTI
ON

Tableau 2.3 : Matrice de flux


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2.4. ANALYSE DES MOYENS DE TRAITEMENT

a. Analyse de moyens de traitement matériels

FICHE D’ANALYSE DE MOYENS DE TRAITEMENT MATERIELS

Application : site web dynamique


Analyste : Mardochée KALALA
pour
L’abonnement des clients.

Date : le 06 mai 2020


Domaine : Vente.
N° Nom nature capacité Ram Quantité observation
équipement
1 Ordinateur Desktop 500Gb 4Gb 3 En bon état
HP
2 Ordinateur Desktop 500Gb 4Gb 1 En bon état
DELL
3 Imprimante Deskjet 2 En bon état
HP
4 Imprimante Laserjet 1 En bon état
canon
Tableau 2.4 : Fiche d’analyse des moyens de traitement matériels

b. Analyse de moyens de traitement humains

Nota : le chef du personnel de la SNEL c’était déclaré incapable de me fournir les


informations concernant ce sous points pour des raisons de sécurité.

2.5. CRITIQUE DE L’EXISTANT

2.5.1. Points positifs

 Un nombre consistant des agents travaillent au sein de l’entreprise ;

 Une bonne collaboration entre les agents ;

 La mise à disposition des engins pour le transport des matériels ainsi que
des agents concernés.

2.5.2. Points négatifs

 Manque d’équipements informatiques dans d’autres services important qui


occasionne la lenteur dans le traitement et circulation des informations ;

 La durée d’étude du dossier du client est assez longue (12 jours).

2.6. PROPOSITION DE SOLUTIONS


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Cette proposition introduit des avantages promotionnels et ergonomiques


à la SNEL Kananga, grâce à la connexion au www. Elle consistera à mettre sur pied un
site web afin de faciliter la promotion de l’activité de ladite société, en lui permettant
de se faire connaitre localement et aussi internationalement, et communiquer
rapidement et surement avec le monde extérieur.

a. Solutions manuelles

La conservation des documents à utiliser n'est pas toujours parfaite. Avec


un nombre élevé des abonnés, le système manuel présente de limite considérable. Il y
a une lenteur qui s'installe dans le traitement pour chaque abonné.
Le risque de commettre des erreurs dues à la fatigue est considérablement
élevé. Du coup, la fiabilité des résultats n'est toujours pas garantie.

b. Solution informatique

L'informatisation, comme solution présente plusieurs avantages à savoir : Il


y a une bonne conservation des documents à utiliser, une rapidité dans le traitement
des informations, la fiabilité de résultat est garantie car les risques des erreurs sont
moindres. Pour ce faire, après notre étude, nous avons proposé une solution
informatique à la SNEL, celle de mettre en place un site web pour l’abonnement de ses
prétendants clients. Cette solution présente un désavantage, c'est celui de coupure
intempestive du courant qui pourrait tout bloquer, car l'ordinateur ne fonctionne
qu'avec de l'énergie électrique. De toutes les façons, la difficulté peut être surmontée.

CONCLUSION

Arriver au terme de ce chapitre, nous avons eu à décrire la SNEL, ce qui


nous a permis d’avoir des renseignements sur son fonctionnement ainsi que sa
constitution. Ce chapitre nous a également permis de faire des diagnostiques sur son
système existant, ce qui nous a conduit à proposer une solution informatique : Mise en
place d’un site web pour l’abonnement des clients. Le chapitre suivant abordera les notions
de modélisation qui nous permettrons à implanter notre site web.
P a g e | 27

TROISIEME CHAPITRE : MODELISATION ET REALISATION DU SITE

INTRODUCTION

Le précèdent chapitre nous a permis à connaitre le fonctionnement de la


Société Nationale d’Electricité. Fait comme prévu, le présent chapitre doit aborder les
notions de modélisation qui nous permettrons à implanter notre site web.

3.1. CONCEPTION

La méthode merise, celle utilisée dans notre travail, nous a aidé à faire
l’étude préalable. Dans ce point, nous présenterons les différents modèles de données
et de traitement, qui nous offrirons les détails de notre base de données.

A. Modèle conceptuel de données


Le MCD est une représentation des besoins en matière de données pour
un système d’information. Il met en évidence les entités, leurs attributs, les associations
et contraintes entre ces entités pour un domaine donné.
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B. Modèle logique de données

C’est un modèle qui a pour but d’organiser les données en fonction du


Système de Gestion de Base de Données choisi.
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3.2. DESCRIPTION DU SITE

Comme ce titre l’indique, le présent point sera consacré à la présentation de


notre site web, cela en démontrant ses différentes interfaces. Nous donnerons
également quelques codes qui ont participés à la conception de certaines pages web.

a. Interfaces

1. Page d’accueil
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2. Page d’inscription du client

3. Page d’authentification du client


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4. Page d’abonnement

5. Page d’authentification de l’administrateur

b. Codes source
 Entête

<div id="entete" style="position: relative; /*border: 1px solid black;*/ height: 180px;
width: 100%; top: 1px; margin: auto; ">
<div style="position: relative; /*border: 1px solid black; */ height: 120px; width:
100%;" id="entete1">
<div style="height: 120px;"><img src="images/logo1.jpg" style="height: 120px;
position: relative;">
<span style="position: absolute; border-bottom: 6px dotted blue;"><span style="font-
family: Bodoni MT Black; font-size: 80px; color: red; border-bottom: 2px blue;
">S</span><span style="font-family: Bodoni MT Black; font-size: 50px; color: gold;
"><i>ociété</i> </span> <span style="font-family: Bodoni MT Black; font-size: 80px;
color: red; ">N</span><span style="font-family: Bodoni MT Black; font-size: 50px;
P a g e | 32

color: gold;"><i>ationale d'</i> </span><span style="font-family: Bodoni MT Black;


font-size: 80px; color: red; ">E</span><span style="font-family: Bodoni MT Black;
font-size: 80px; color: red; "><i>l</i></span><span style="font-family: Bodoni MT
Black; font-size: 50px; color: gold;"><i>éctricité</i></span></span>
</div>
</div>
<!-- le menu de la page -->
<div style="position: relative; /*border: 1px solid black;*/ height: 55px; width: 100%;"
id="entete2">
<div id="me">
<div id="me1"><a href="index.php" id="m1" style="">Accueil</a></div>
<div id="me2"><a href="contact.php">Contact</a></div>
<div id="me3"><a href="notresite.php">Notre site</a></div>
<div id="me4"><a href="abonne1.php">Abonnement</a></div>
<div id="me5"><a href="sommenous.php">Qui sommes-nous</a></div>
</div>
</div>
</div>
 Pied

<center> <table style= "font-weight: bold; border: 2px; color: white; font-size: 15px;
padding-left: 7px;">
<tr align="center">
<td width="30%">
<div style="text-align: center; padding-right: 25px">
<a href="contact.php"> Nous contacter </a>
</div>
</td>
<td width="45%"><div style="text-align: center; magin : auto; padding-bottom: 5%">
© copy right Société Nationale d'ELectricité/Kananga <br>abonnement de clients en
ligne <br>edition 2020</div></td>
<td width="35%"><div style="text-align: right; padding-left:100px">
<p style="padding-left: 14px; color: #ff8723; font-size: 14px; ">
<a href="admin1.php"> Administrateur</a>
</div></td>
</tr>
</table>
</center>
P a g e | 33

CONCLUSION GENERALE
C’est par ce point que nous mettons fin à notre travail scientifique qui
portait sur la mise en place d’un site web dynamique pour l’abonnement de clients
à la Société Nationale d’électricité/Kananga, et c’est fait. Notre souci majeur n’était
pas celui de mettre en place un site web généralisant tous les services de la SNEL,
plutôt celui de favoriser l’abonnement en ligne.
Au cours de ce travail, nous avons présenté les différentes étapes de la
conception et de la réalisation de notre application web. Afin de satisfaire les besoins
des utilisateurs, nous avons commencé la conception en utilisant le formalisme
MERISE et la mise en œuvre de base de données avec le gestionnaire de bases de
données MySQL, ensuite, l’implémentation des requêtes SQL pour la manipulation
des données et enfin, la concrétisation de l’application sous l’environnement de
programmation PHP.

Ainsi nous sommes partis de l’approche théorique, l’analyse du système


existant en vue d’avoir l’idée sur le système d’information et le fonctionnement même
du système de cette société. Nous avons fini par proposer une solution informatique,
qui est la mise en place d’un site web pour l’abonnement de clients à la SNEL.

Ce projet a fait l’objet d’une expérience intéressante, qui nous a permis


d’améliorer nos connaissances et nos compétences dans le domaine de la
programmation du web.

Ainsi, avec ce site web, nous pourrons gérer ces activités par le monde et
offrir à cette société une chance de s’imposer et d’entrer en mode compétitif de la
communication en mettant en ligne le site web sur un hébergeur pour matérialiser sa
consultation par des milliers d’internautes.

En effet, ce travail était une œuvre humaine, et non un modèle unique et


parfait. C’est pourquoi nous restons ouverts à toutes les critiques et nous sommes prêts
à recevoir toutes les suggestions et remarques tendant à améliorer d’avantage cette
étude. Etant donné que tout travail informatique a été toujours l’œuvre d’une équipe.

Nous n’avons pas la prétention d’avoir abattu une œuvre sans reproche à
l’abri de toute critique en dépit des soins apportés à la rédaction, ce travail contient
des imperfections sans mille doute insérées involontaires. A notre niveau, nous avons
fait l’essentiel, nous sollicitons l’indulgence de nos lecteurs.
P a g e | 34

BIBLIOGRAPHIE

A. Ouvrages

C. PORTENEUVE, Bien développer pour le Web2.0, bonnes pratiques Ajax,

Paris, Ed. Eyrolles, 2006.

E. DASPET et C. PIERRE DE GEYER, PHP 5 Avancé, Paris, 4è Edition,

Eyrolles.

J.M. COCHETEAU, Concevez des sites internet riches et ergonomiques, Paris,

Dunod, 2008.

L. Floride, internet, Paris, Flammarion, 1998.

R. GOETTER, CSS 2 Pratique du design web, Paris, 2è Edition, Eyrolles,

2007.

S-J. DJUNGU, Outils et langage du web n.0, Kinshasa, Médiaspaul, 1999.

S. PECK et S. ARRANTS, Construire son propre site web sous Windows, Paris,

O’relly, 1996.

B. Webographie

1. https://fr.m.wikipedia.org/wiki/world-wide-web

2. Commentcamarceh.net-encyclopédie-webmastering.
P a g e | 35

TABLE DES MATIERES


EPIGRAPHE……………………………………………..…………………………….……………..…………………………….……………………………I

DEDICACE………………………………………………..…………………………….……………..…………………………………………………………II

REMERCIEMENTS……………………………………………………………....…………………………….……………..……………………………III

LISTE DES ABREVIATIONS ………………………………………………..…….……………………….……………..……………………………IV

INTRODUCTION GENERALE ........................................................................................................ 1


0.1 Problématique ...................................................................................................................... 1
0.2 Hypothèse ............................................................................................................................. 1
0.3 Choix et intérêt du sujet ..................................................................................................... 2
0.4 Méthodes et techniques utilisées ..................................................................................... 2
A. Les méthodes ......................................................................................................................... 2
B. Les techniques ....................................................................................................................... 2
0.5 Subdivision du travail ........................................................................................................ 3
CHAPITRE PREMIER : GENERALITES SUR LE WEB ............................................................... 4
INTRODUCTION ............................................................................................................................. 4
1.1. LE WEB .................................................................................................................................. 4
1.1.1. DEFINITION ................................................................................................................. 4
1.1.2. PAGE WEB .................................................................................................................... 4
1.1.3. BREF HISTORIQUE DU WEB .................................................................................... 5
1.1.4. COCEPTS DU WEB ...................................................................................................... 5
1.1.5. LANGAGES DU WEB ................................................................................................. 5
1.2. SITE WEB ............................................................................................................................... 7
1.2.1. DEFINITION ............................................................................................................. 7
1.2.2. TYPOLOGIES POSSIBLES DE SITES WEB............................................................... 7
1.2.3. ETAPES DE CREATION DE SITES WEB ................................................................. 8
CHAPITRE DEUXIEME : ANALYSE PREALABLE.................................................................... 15
INTRODUCTION ........................................................................................................................... 15
2.1. PRESENTATION DU CADRE D’ETUDE ............................................................................ 15
2.1.1. Situation géographique .................................................................................................. 15
2.1.2. Aperçu historique ............................................................................................................ 15
2.1.3. Objectifs de la SNEL ....................................................................................................... 17
2.1.4. Statut juridique ................................................................................................................ 17
2.1.5. Structures Organisationnelles et Fonctionnelles...................................................... 17
2.1.6. Organigramme de la SNEL ............................................................................................ 20
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2.2. ANNALYSE DE L’EXISTANT............................................................................................... 21


2.2.1. Narration ........................................................................................................................... 21
2.2.2. Fiche descriptive de postes de travail .......................................................................... 22
2.2.3. Analyse de flux d’information ................................................................................ 22
MATRICE DE FLUX .......................................................................................................................... 24
2.4. ANALYSE DES MOYENS DE TRAITEMENT ............................................................... 25
a. Analyse de moyens de traitement matériels ................................................................ 25
b. Analyse de moyens de traitement humains ................................................................. 25
2.5. CRITIQUE DE L’EXISTANT ............................................................................................. 25
2.5.1. Points positifs ............................................................................................................. 25
2.5.2. Points négatifs ............................................................................................................ 25
2.6. PROPOSITION DE SOLUTIONS ................................................................................. 25
a. Solutions manuelles.......................................................................................................... 26
b. Solution informatique ...................................................................................................... 26
TROISIEME CHAPITRE : MODELISATION ET REALISATION DU SITE .............................. 27
INTRODUCTION ........................................................................................................................... 27
3.1. CONCEPTION ......................................................................................................................... 27
A. Modèle Conceptuel de données ................................................. Erreur ! Signet non défini.
B. Modèle Logique de données ..................................................... Erreur ! Signet non défini.8
3.2. DESCRIPTION DU SITE ........................................................................................................ 29
CONCLUSION GENERALE ........................................................................................................... 33
BIBLIOGRAPHIE .............................................................................................................................. 34
A. Ouvrages ............................................................................................................................. 34
B. Webographie .......................................................................................................................... 34
TABLE DES MATIERES ................................................................................................................ 345
TABLE DES MATIERES ................................................................................................................ 346
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