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INTRODUCTION GENERALE

Dans le temps jadis, les évolutions du réseau ont créé nécessairement la


perdition d’emplois, ont provoqué la création d’autres emplois et ont minimisé encore le coût
de transport, de perte de temps et d’effectuer des très longue distance grâce à un déploiement
d’un site Web sur le réseau dans de nouveaux domaines d’activité et à l’exploitation des
nouvelles perspectives en raison de la nécessité de satisfaire des nouvelles demandes des
utilisateurs.

Le fait de chercher à échanger le plus grand nombre d’informations dans un délai


plus court et parfois à des distances plus grandes constitue un grand défi que les inventeurs et les
chercheurs se sont décidés de relever en faisant progresser les techniques de la communication
et de l’information: dès l’invention de l’écriture à la création des réseaux de
télécommunication, le modernisme s’installe depuis plus d’un siècle dans notre vie quotidienne.

De ce fait, l’internet devient un outil de base incontournable que ce soit dans


notre vie privée ou sociale, il offre divers services parmi lesquels la messagerie électronique, le
web, etc.

Ainsi, le web offre une opportunité à toute organisation d’automatiser son


système d’échange d’information et de communication avec ses différents partenaires. Les
possibilités d’accès à distance aux applications de gestion via Internet ont permis à ces
organisations de rendre plus rentables leurs activités principales et plus rapide le traitement des
grandes quantités d’informations.

Pour ce faire, ces organisations sont appelées à observer, analyser, comprendre


leur système afin de concevoir des applications web qui correspondent à leurs préoccupations.

Sachant que chaque organisation a toujours des besoins et problèmes spécifiques


qui lui sont propres, exigeants une étude bien appropriée ; dans le cadre de notre travail, nous
allons faire une étude de mise en place d’une application web pour la près consultation du
Patient chez l’HGR Saint Georges/Kga

PRESENTATION DU SUJET
Etant soudain au soir de notre cycle de graduat, cycle au cours duquel plusieurs
notions ont été acquises dans le domaine informatique, particulièrement en informatique de
gestion. Nous sommes allés mener notre étude dans le domaine de la santé et plus
particulièrement dans « l’administration médicale» ; un domaine comportant des tâches trop
ardues et demandant le traitement automatique.

C’est ainsi que, notre travail de fin de cycle que nous sommes très ravis de
présenter le sujet s’intitule : « Conception d’un site Web pour la pré-consultation du
patient chez l’hôpital Général de Référence Saint Georges/Kananga»
2

PROBLEMATIQUE
L’Hôpital Saint Georges Kananga étant qu’une structure médicale comme toutes
autres de la province ainsi que de toute l’étendue de la république aussi bien que du monde
entier, n’est pas régulièrement fréquentée par les malades surtout ceux qui habitent loin de la
ville, certain restent ignorant que cette dernière existe.

Etant toujours préoccuper à trouver la cause majeur, nous nous sommes donnée
corps et âme à étudier une étape de pré-consultation médical et d’analyser les services qui y sont
affétés ; bien que nous avons mis toutes nos potentialités d’étude en marche mais l’investigation
dans cette structure, relève les problèmes ci-après:

 Comment pourrions-nous faire connaitre aux malades que l’Hôpital Général de


Référence Saint Georges fait les consultations à distant ? Et, quel outils logique de
l’informatique pourra nous aidé à négocier avec les malades même à distance ?
 Comment la population Ouest-Kasaienne peut découvrir nos services ainsi que nos
produits pharmaceutique de qualités sans déploie beaucoup d’effort ?
Ces questions et tant d’autres nous permettront entent qu’informaticien à mettre
en place un système qui aidera à pallier à tous ces problèmes.

HYPOTHESE
Partant des questions soulevées ci-haut, notre réponse anticipée sera la réalisation
d’une application Web pour la pré-consultation du patient qui pourrait être une solution et
aidera l’HGR à :

 Etre visible sur toute l’étendue nationale qu’internationale ;


 Aider certain à expliquer comment ils se sentent à qui de droit ;
 A vanter les services de traitement médicale au grand public ;
 A faire la publicité de produits pharmaceutique disponibles et leurs modes de
traitement.

MÉTHODES ET TECHNIQUES UTILISÉES

Il est difficile d’orienter des recherches scientifiques sans utiliser des méthodes
appropriées et des techniques nécessaires. Pour l’élaboration de notre travail, il nous a été
capital d’utiliser la méthode MERISE pour tout le processus de conception et de réalisation, la
méthode systémique pour étudier le système existant et en dégager les grands ensembles, la
méthode structuro-fonctionnelle qui nous a permis d’étudier et d’analyser le système existant (la
structure et le fonctionnement de l’entreprise).
Les diverses techniques de recherche utilisées sont les suivantes :
- La technique d’interview : en procédant par questions-réponses dans nos
récoltes de données ;
3

- La technique documentaire : pour voir différents documents, leurs rôles,


compositions, informations s’y trouvant, source et destination ;
- La technique d’observation : pour découvrir personnellement des réalités
relevant du système existant.
CHOIX ET INTERET DU SUJET
 Choix du sujet
Le choix de notre sujet dépend du domaine d’étude et rejoint les compétences et
les aptitudes de celui qui l’étudie. La préoccupation majeure étant de mettre en place un site
Web dynamique qui permettra à cette structure médicale d’être visibilité sur le plateau national
qu’international et d’assurer les soins de différents patients qui sont de loin.
 Intérêt du sujet
L’intérêt primordial est une contribution faisant l’objet des deux tendances à la
fois sociale et scientifique : d’une part, notre souci est que l’HGR parvienne à prendre contact
avec les patients ; quelle parvienne à être connue par tous et qu’elle vante la qualité de ces
services au publique via Internet. Scientifiquement, nous sommes heureux d’aborder un sujet
aussi complexe soit-il. Nous voulons bien voir les autres chercheurs poursuivre la même
démarche pour aider d’autres Polyclinique qui traine encore les pas.

DELIMITATION DU SUJET
Scientifiquement, tout travail nécessite une délimitation dans le temps et dans
l’espace. Dans notre cas, nos recherches s’étendent à la période allant de 2022 à 2023, période
pendant laquelle nous menons nos recherches.

SUBDIVISION DU TRAVAIL
Il nous est important de signaler bien avant qu’excepter cette introduction et le
point final qui sera la conclusion générale, le présent travail sera réparti en trois grands chapitres
qui sont :

- CHAPITRE 1 : GENERALITES SUR LES ARCHITECTURES CLIENT/SERVEUR


ET LES TECHNOLOGIES WEB ;
- CHAPITRE 2 ETUDE PREALABLE
- ET CHAPITRE 3 : MODELISATION ET REALISATION DU SITE WEB.
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CHAPITRE 1 : GENERALITES SUR LES ARCHITECTURES CLIENT/SERVEUR ET LES


TECHNOLOGIES WEB
Dans ce présent chapitre, comme son nom l’indique nous parlerons que des généralités
il y aurait tellement à dire, à ce qui nous concerne il va falloir que nous restions concentré sur
l’essentiel ;notre objectif n’est pas de tout détailler mais donner des meilleures et grandes lignes.

1.1. ARCHITECTURES CLIENT-SERVEUR1

Avant que n'apparaisse l'environnement client-serveur, les réseaux informatiques


étaient configurés autour d'un ordinateur central (mainframe en anglais) auquel étaient
connectés des terminaux passifs (écran adjoint d'un clavier sans unité centrale). Tous les
utilisateurs étaient alors connectés sur la même unité centrale. L'ordinateur central n’affichait
que du texte à l'écran sans graphisme (pas de bouton, pas de fenêtre). Il était spécialisé dans la
gestion d'informations de masse auquel il pouvait appliquer des instructions simples (addition,
soustraction, etc.) mais avec une grande vélocité. Ainsi, plusieurs milliers de personnes
pouvaient travailler sur cette unité centrale sans ralentissement.

Aujourd'hui, les anciens terminaux passifs ont été remplacés par des émulations
logicielles installées sur des ordinateurs personnels. Pour pallier le manque de graphisme,
différentes solutions existent dont l'intégration de l'ordinateur central dans une architecture à
deux, trois ou N niveaux, en laissant à d'autres la fourniture d'une interface homme-machine.

Avantage :

1. Gestion des données et des traitements centralisée ;


2. Maintenance matériel minime ;
3. Grande vélocité sur des grands volumes de données et de traitements.

L'environnement client-serveur2 désigne un mode de communication à travers un


réseau entre plusieurs programmes : l'un, qualifié de client, envoie des requêtes ; l'autre ou les
autres, qualifiés de serveurs, attendent les requêtes des clients et y répondent. Par extension, le
client désigne également l'ordinateur ou la machine virtuelle sur lequel est exécuté le logiciel
client, et le serveur, l'ordinateur ou la machine virtuelle sur lequel est exécuté le logiciel
serveur. Les serveurs sont des ordinateurs généralement dédiés au logiciel serveur qu'ils
abritent, et dotés de capacités supérieures à celles des ordinateurs personnels en ce qui concerne
la puissance de calcul, les entrées-sorties et les connexions réseau. Les clients sont souvent des
ordinateurs personnels ou des appareils individuels (téléphone, tablette), mais pas
systématiquement. Un serveur peut répondre aux requêtes d'un grand nombre de clients.

Il existe une grande variété de logiciels serveurs et de logiciels clients en fonction des
besoins à servir : un serveur Web publie des pages Web demandées par des navigateurs Web ;
un serveur de messagerie électronique envoie du courriel à des clients de messagerie ; un
1
GARDARIN O. ET GEORGES, Client - Serveur, Edition Eyrolles, Paris, 1996. p.10
2
www.commentçamarche.com/architecture_client_server ; le 10/06/ 2023 ; à 17h22’
5

serveur de fichiers permet de partager des fichiers sur un réseau ; un serveur de base de données
permet de récupérer des données stockées dans une base de données, etc.

Caractéristiques d’un programme serveur :

 il attend une connexion entrante sur un ou plusieurs ports réseaux locaux ;


 à la connexion d'un client sur le port en écoute, il ouvre un socket local au système
d'exploitation ;
 à la suite de la connexion, le processus serveur communique avec le client suivant le
protocole prévu par la couche application du modèle OSI.

Caractéristiques d’un programme client :

 il établit la connexion au serveur à destination d'un ou plusieurs ports réseaux ;


 lorsque la connexion est acceptée par le serveur, il communique comme le prévoit la
couche application du modèle OSI.

Le client et le serveur doivent bien sûr utiliser le même protocole de communication


au niveau de la couche transport du modèle OSI. On parle souvent d'un service pour désigner la
fonctionnalité offerte par un processus serveur.

Exemple d'architecture client-serveur : deux clients font leurs requêtes à un serveur via
Internet. L’organisation d’un environnement client-serveur diffère selon le type d’architecture
du réseau et le type de client.

1.1.1. Types d’architecture3


1.1.1.1. Architecture paire à paire

Une architecture pair à pair (peer-to-peer ou P2P en anglais) est un environnement


client-serveur où chaque programme connecté est susceptible de jouer tour à tour le rôle de
client et celui de serveur.

3
LEFEBVRE A., Client-serveur, guide de suivi, Edition Armand Colin, Paris 1994. P.150
6

1.1.1.2. Architecture à deux niveaux

Une architecture à deux niveaux ou une architecture deux tiers (two-tier architecture
en anglais) est un environnement client-serveur où le client demande une ressource au serveur
qui la fournit à partir de ses propres ressources.

1.1.1.3. Architecture à trois niveaux

Une architecture à trois niveaux ou une architecture trois tiers (three-tier architecture
en anglais) ajoute un niveau supplémentaire à l'architecture à 2 niveaux, permettant de
spécialiser les serveurs dans une tâche précise, ce qui donne un avantage de flexibilité, de
sécurité et de performance :

o un client qui demande une ressource via une interface utilisateur (généralement un
navigateur web) chargée de la présentation de la ressource ;
o un serveur d'application (appelé middleware) qui fournit la ressource, mais en faisant
appel aux ressources d'un autre serveur ;
o un serveur de données qui fournit au serveur d'application les ressources requises pour
répondre au client.
1.1.1.4. Architecture à N niveaux

Une architecture à N niveaux ou architecture N tiers (N-tier architecture en anglais)


n'ajoute pas encore des niveaux supplémentaires à l'architecture à 3 niveaux, mais introduit la
notion des objets qui offre la possibilité de distribuer les services entres les 3 niveaux selon N
couches, permettant ainsi de spécialiser les serveurs davantage.

1.1.2. Types de client


1.1.2.1. Client léger

Un client léger est une application où le traitement des requêtes du client (applications
Web n'utilisant pas ou peu de JavaScript côté client, terminaux Terminal Services, Secure Shell,
Apple Remote Desktop, Citrix XenApp, TeamViewer, etc.) est entièrement effectué par le
serveur, le client recevant les réponses « toutes faites ».

1.1.2.2. Client lourd

Un client lourd est une application où le traitement des requêtes du client (applications de
bureau, applications mobile) est partagé entre le serveur et le client.

1.1.2.3. Client riche

Un client riche est une application où le traitement des requêtes du client (applications
Web utilisant beaucoup de JavaScript côté client) est effectué majoritairement par le serveur, le
client recevant les réponses « semi-finies » et les finalisant. C'est un client léger plus évolué
permettant de mettre en œuvre des fonctionnalités comparables à celles d'un client lourd.
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1.2. LES TECHNOLOGIES WEB4


1.2.1. Comment est né le Web ?

Le Web a une longue histoire derrière lui. Faisons un historique express :

 1969 : création de l'ancêtre d'Internet, appelé alors Arpanet. C'est un réseau militaire
qui se veut décentraliser (il n'a pas de lieu de commande central). Le réseau a ensuite
évolué pour devenir un lieu d'échange universitaire avant de devenir progressivement
grand public sous le nom d'Internet.
 1972 : apparition des e-mails pour échanger des messages.
 1991 : apparition du Web, pour afficher des pages d'information.

Comme vous le voyez, Internet est apparu bien avant le Web ! Il était possible de
s'échanger des e-mails avant que l'on puisse consulter des pages web. L'inventeur du Web ? Il
s'agit de Tim Berners-Lee, un britannique. Il est le premier à présenter un concept de "page
web" avec des "liens hypertexte" qui permettent de naviguer d'une page à une autre. Il est aussi
à l'origine des bases du langage HTML qu'on utilise toujours aujourd'hui pour concevoir des
pages web. Tim Berners-Lee était en 1991 chercheur au CERN (un important centre de
recherche scientifique à la frontière franco-suisse). C'est là qu'il a eu l'idée du Web. Il a par la
suite créé un organisme, le W3C (World Wide Web Consortium) qui a pris le relais pour faire
évoluer les technologies du web (HTML, CSS, PNG, XML et autres noms barbares).

1.2.2. Qu’est-ce que le Web ?

Figure 1.2 Image du www

Commençons par nous représenter le Web sous forme d'une image5 . Vous pensez
peut-être un surfeur, puisqu'on dit souvent "surfer sur le Web", ou "naviguer sur le Web". Il
est vrai qu'on saute de page en page en cliquant sur des liens, comme un surfeur qui passerait
d'une vague à une autre. D'ailleurs, le lien (on parle de lien hypertexte) est probablement la plus
grande invention à la base du Web. Le fait d'être sur une page et de cliquer sur un mot pour en
voir une autre vous paraît peut-être basique aujourd'hui, mais c'est la base d'une vraie révolution
!

4
www.Openclassroom.com/technologie web consulté le 10/06/ 2023 ; à 21h15’
5
www.Openclassroom/web.com ; le 15/06/2023 ; à 21h45’
8

Figure 1.3 Image du www

Le Web est plutôt une... toile d’araignée, Le Web devrait plutôt être vu comme une
toile d'araignée : on y voit tous les liens qui relient les pages entre elles (par des liens
hypertexte). C'est comme ça qu'on relie aussi les sites web entre eux. Voilà l'image que
j'aimerais que vous gardiez en tête.

1.2.3. Le Web services et Cloud6

On confond souvent Internet et le Web. Or, Internet a été inventé avant le Web. On
peut voir le Web comme un service à l'intérieur d'Internet.

1.2.3.1. Les services fournis sur Internet

Internet, c’est l’interconnexion de réseaux à l’échelle mondiale. Sur ce réseau, on


trouve plusieurs services :

 Le Web (le plus connu d'entre eux) : vous ouvrez un navigateur web pour utiliser
l’internet comme par exemple : Google Chrome, Firefox, Internet Explorer, Edge,
Safari, etc.
 Les e-mails : pour échanger des messages. Il s'agit tout simplement de courrier
électronique.
 Les newsgroups : moins connus, ils sont l'ancêtre des forums et permettent de discuter
à plusieurs en postant des messages.
 Le FTP : un moyen d'échanger des fichiers entre ordinateurs.
 Etc.

On confond souvent le Web avec le reste car tous ces services convergent vers le Web.
Par exemple auparavant, on utilisait obligatoirement un logiciel dédié pour les e-mails (Mozilla
Thunderbird, Apple Mail, Outlook...). Si ces logiciels existent toujours, aujourd'hui on passe
par le Web pour accéder à ses e-mails !

Le Web sert donc de porte d'entrée à la plupart des services aujourd'hui

1.2.3.2. Le Cloud

On parle souvent de Cloud... qu'est-ce que ça signifie concrètement ? Ce n'est pas


évident, car c'est un terme (très) utilisé en marketing. Il y aurait plusieurs définitions possibles !

6
www.commentçamarche.com/termes_du_web ; le 15/06/2023 ; à 21h56’
9

Pour faire simple, on peut commencer par se dire que ce sont ces fameux services
fournis via une interface web dont je vous parlais juste à l'instant. En clair, on pourrait dire que
Gmail est un service d'e-mail sur le cloud. Le Web sert alors de passerelle à de nombreux
services, sous la dénomination "cloud". Dans la réalité, c'est un peu plus compliqué que cela : il
y a plusieurs types de cloud. On parle de SaaS (Software as a Service) pour désigner le cas le plus
courant pour le grand public, à savoir un logiciel qu'on utilise à travers une interface web.

1.2.4. Terminologie
1.2.4.1. Termes rattachés au Web

L’expression « en ligne » signifie « connecté à un réseau », en l’occurrence le réseau


informatique Internet. Cette expression n’est donc pas propre au web, mais à Internet dans sa
globalité, on la retrouve également à propos des réseaux téléphoniques.

Un hôte est un terme général qui désigne tout ordinateur (ou serveur) connecté à un
réseau informatique. C'est à partir d'un hôte qu'un utilisateur se connecte pour accéder au reste
du réseau. Lorsque le réseau est le World Wide Web, un hôte est un ordinateur en ligne :
Chaque hôte d'Internet est alors identifié par une adresse IP à laquelle correspondent zéro, un
ou plusieurs noms d'hôte.

Une ressource du World Wide Web est une entité informatique (texte, image, forum
Usenet, boîte aux lettres électronique, etc.) accessible indépendamment d’autres ressources.
Une ressource en accès public est librement accessible depuis tout Internet. Lorsqu’une
ressource est présente sur l’hôte de l’utilisateur, elle est dite locale ; par opposition elle est
distante si elle est présente sur un hôte différent. Lorsque celle-ci est connectée et disponible au
réseau, elle est en ligne. On ne peut accéder à une ressource distante qu’en respectant un
protocole de communication. Les fonctionnalités de chaque protocole varient : réception,
envoi, voire échange continu d’informations.

Un hyperlien (ou dans le langage courant, un lien) est un élément dans une ressource
qui est associé à une URL. Les hyperliens du web sont orientés : ils permettent d’aller d’une
source à une destination. Seule la ressource à la source contient les données définissant
l’hyperlien. Ainsi, il est possible d’établir un hyperlien sans la moindre intervention, ni
coopération, de la ressource cible de l’hyperlien. Ce modèle unilatéral adopté par le Web ne se
retrouve pas dans tous les systèmes hypertextes. Il a l’avantage prépondérant, dans un réseau
public mondial, de permettre la création d’innombrables hyperliens entre partenaires
décentralisés et non coordonnés.

HTML (pour HyperText Markup Language) et XHTML (Extensible HyperText


Markup Language) sont les langages informatiques permettant de décrire le contenu d’un
document (titres, paragraphes, disposition des images, etc.) et d’y inclure des hyperliens. Un
document HTML est un document décrit avec le langage HTML.
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Dans un mode de communication client-serveur, un serveur est un hôte sur lequel


fonctionne un logiciel serveur auquel peuvent se connecter des logiciels clients fonctionnant sur
des hôtes clients, un seul hôte peut contenir les deux.

Un serveur web est un hôte sur lequel fonctionne un serveur HTTP (ou service web).
Un serveur web peut héberger les ressources qu’il dessert, peut les récupérer sur des hôtes
distants, délivrer ces ressources telles quelles (on parlera alors de ressources statiques), ou bien
les modifier en fonction de différents critères, on parlera alors de ressources dynamiques. Il est
courant sur les services de grosse taille que les ressources soient réparties sur différents serveurs
web et éventuellement différents types de serveurs HTTP, certains ayant de meilleurs
performances pour les fichiers statiques, d’autre plus de souplesse pour délivrer des fichiers
dynamiques. Un serveur web peut être un hôte spécialisé, une partie d’une infrastructure
spécialisée ou bien encore un hôte plus généraliste. On appelle site web, l’ensemble des
ressources HTTP associées à un nom de domaine et un ou plusieurs noms d’hôtes. Une adresse
web est une URL de page web, généralement écrite sous une forme simplifiée limitée à un nom
d’hôte. Une adresse de site web est en fait l’adresse d’une page du site prévue pour accueillir les
visiteurs.

Un navigateur web est un type de logiciel client HTTP à interface homme machine et
conçu pour accéder aux ressources du web. Sa fonction de base est de permettre la consultation
des documents HTML disponibles sur les serveurs HTTP. Le support d’autres types de
ressources et d’autres protocoles de communication dépend du type de navigateur.

Un robot d’indexation est, dans le domaine du web, un type de logiciel client HTTP,
utilisé pour indexer les différentes ressources de sites web.

Un agrégateur est, dans le domaine du web, un type de logiciel client HTTP,


permettant de regrouper les fils de syndication de différents sites web.

Un aspirateur de site web est un client HTTP permettant de récupérer l’intégralité


d’un site web, pour le consulter ensuite hors-ligne ou en conserver une archive.

Une page web (ou page) est un document destiné à être consulté avec un navigateur
web. Une page web est toujours constituée d’une ressource centrale (généralement un
document HTML ou XHTML) et d’éventuelles ressources liées, automatiquement accessibles
(par exemple, des images, des feuilles de style, des scripts JavaScript ou des fontes de
caractères). Il n’est pas exceptionnel qu’un seul document HTML fasse appel à entre quelques
dizaines et une centaine de ressources annexes.

Un éditeur HTML (ou éditeur web) est un logiciel conçu pour faciliter l’écriture de
documents HTML et de pages web en général.

Un site web (ou site) est un ensemble de pages web et d’éventuelles autres ressources,
liées dans une structure cohérente, publiées par un propriétaire (une entreprise, une
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administration, une association, un particulier, etc.) et hébergées sur un ou plusieurs serveurs


web.

Un système de gestion de contenu (Content Management System, abrégé CMS) est un


logiciel permettant de gérer le contenu d'un site.

Visiter un site web signifie « consulter ses pages ». Le terme visite vient du fait que l’on
consulte généralement plusieurs pages d’un site, comme on visite les pièces d’un bâtiment. La
visite est menée par un utilisateur (visiteur ou internaute). L’expression « surfer sur le web »
signifie « consulté le web ». Elle a été inventée pour mettre l’accent sur le fait que consulter le
web consiste à suivre de nombreux hyperliens de page en page. Elle est principalement utilisée
par les médias ; elle n’appartient pas au vocabulaire technique.

On appelle journal d’accès, la liste des accès effectués par les différents utilisateurs sur
un serveur HTTP.

On appelle référent, la ressource ayant conduit un visiteur à une ressource servie. Elles
sont données par défaut par la majorité des clients HTTP, mais peuvent être bloquées. Le
référent est généralement également conservé dans le journal du serveur HTTP en association
avec la ressource consultée

On appelle User-Agent, la référence donnée par le client HTTP au serveur HTTP pour
indiquer sa nature. Parmi les informations données, il peut y avoir le nom du client HTTP et sa
version, le nom du moteur de rendu HTML utilisé, les langues préférées par l’utilisateur ou
l’outil client, ainsi que différents autres critères comme les modules d’extension installés sur le
client. Ces critères permettent au serveur HTTP d’évaluer quelles ressources seront plus
adaptées à celui-ci. Différentes technologies dynamiques comme JavaScript ou les CSS,
permettent également aux pages de supporter des clients hétérogènes et de s’adapter
dynamiquement en utilisant ses ressources plutôt que celles du serveur.

La mesure de l’audience est l’étude des consultations effectuées sur un site, elle vise à
comprendre les désirs des utilisateurs, en fonction des ressources les plus utilisées et du fil
d’Ariane de ceux-ci.

La mesure d’audience peut se faire de différentes manières :

 Analyse des journaux du serveur. Les calculs de mesure de l’audience peuvent alors être
effectués en temps réel au moment de la visite, ou bien en différé.
 Utilisation de scripts sur le serveur web lui-même.
 Utilisation d’images invisibles déportées sur un serveur web tiers (mesure d’audience
simple).
 Utilisation de script en langage JavaScript et envoi des informations au serveur web ou a
un serveur tiers (mesure d’audience plus complète).
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On appelle hébergeur web une personne physique ou morale hébergeant (rendant


accessible en ligne) sur son ou ses serveurs, les ressources constituant les sites web de ses clients.
Cela peut aller du simple auto-hébergement d’un particulier à celui d’une association, d’une
entreprise ou d’un industriel. L’hébergement peut alors être fait à domicile sur un modem,
assurant un minimum de fiabilité, dans pièce climatisée dédiée aux serveurs, dans un local
généraliste au centre de données spécialisé, assurant la redondance énergétique et réseau
nécessaire au fonctionnement sans interruptions 24/7.

Une agence web est une entreprise de services informatiques réalisant des sites web
pour ses clients.

1.2.5. Description du fonctionnement

Le web permet le partage des informations disséminées à travers le monde et leur


échange en utilisant le protocole http. La forme conventionnelle des informations échangées
sont des documents du format html. Http : (abrégé de HyperText Transfer Protocol) est le
protocole sous-jacent du web. Cette convention définit comment les messages sont formatés et
transmis et comment le serveur http ainsi que le navigateur web doivent réagir aux messages. La
convention prévoit par un exemple la transmission de l’URL entre le navigateur et le serveur
http. C’est une des principaux standards du web, le second étant le html qui concerne la
manière dont les documents sont codés et affichés.

1.2.5.1. IP et noms d’hôtes

Comment faire pour retrouver un ordinateur à travers toute la planète ? Par exemple,
si vous voulez aller sur Google, comment votre ordinateur fait-il pour retrouver le bon serveur
parmi tous ceux qui existent ? Il y a plusieurs mécanismes pour que la magie opère... Chaque
ordinateur possède une adresse. On parle d'adresse IP. Il s'agit d'une suite de nombres comme
205.89.177.26. Vous pouvez voir ça comme une sorte de numéro de téléphone. En théorie
donc, vous pouvez aller sur un site web en tapant directement l'adresse du serveur dans votre
barre d'adresse. D'accord, mais comment je connais l'adresse IP du serveur de Google moi ?
C'est vrai, est-ce que vous connaissez les numéros de téléphone de tous vos contacts vous ? Moi
pas !(en plus, Google a des milliers de serveurs...)

1.2.5.2. Les noms d’hôtes et DNS

On a donc créé des noms d'hôte, comme "google.com", pour pouvoir se souvenir plus
facilement du nom du service qu'on veut contacter. Et on a ensuite créé un service d'annuaire,
les DNS, pour faire le lien entre le nom d'hôte et l'adresse IP :

Figure 1.4 Image DNS


13

Le DNS permet de traduire le nom d'hôte en adresse IP, Tout ceci fonctionne
heureusement sans qu'on ait besoin d'y penser. On tape juste "google.com" dans notre
navigateur, et le site web s'affiche ! Ceci dit, ça ne peut pas faire de mal de savoir que tous ces
services sont à l'œuvre derrière.

Figure 1.5 : Image du web

1.2.5.3. Les serveurs

Dans cette nouvelle partie, nous allons nous intéresser plus précisément au réseau lui-
même. Le réseau est ce qui permet aux ordinateurs de communiquer entre eux. Nous allons
creuser plus profond dans les entrailles du fonctionnement d'Internet !

1.2.5.3.1. Serveurs et Datacenters

Pour commencer, je vous rappelle qu'on se représente souvent une toile d'araignée
pour désigner le Web. En effet, les ordinateurs communiquent entre eux via des nœuds :

Figure 1.6 : Image du server

Le Web est une toile d'araignée au sein de laquelle les machines communiquent. Les
serveurs sont les machines qui possèdent les sites web et qui les distribuent aux clients. Vous
savez à quoi ressemble la machine du client (c'est la vôtre !), mais à quoi ressemble la machine
du serveur ?

Un Datacenter, où sont stockés les serveurs, Il existe des Datacenter comme ceci un
peu partout dans le monde. Ce sont des bâtiments très sécurisés

Vous remarquerez que les serveurs sont souvent des machines "plates" comme ici,
pour pouvoir les entasser plus facilement. Il n'y a pas d'écran, car personne ne les utilise
directement en général. Ils se content de transmettre les sites web sur le réseau.

1.2.5.4. Communication entre serveurs et clients

Il faut bien que les serveurs puissent communiquer avec les clients. Comment ça se
passe ? Comme vous le voyez, à l'arrière des serveurs, il y a des câbles réseau qui partent. Ils
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sont reliés à un câble de fibre optique permettant un échange ultrarapide. On retrouve cette
fibre souvent enterrée sous terre mais aussi... au fond de la mer ! En fait, la plupart du trafic
d'Internet passe par des câbles sous-marins comme celui-ci :

1.2.5.5. Les protocoles

Rentrons encore plus dans le détail : comment les ordinateurs communiquent entre
eux ? Je veux dire, vraiment, au fond, quelle langue parlent-ils entre eux ? Ils n'utilisent pas les
langages dont je vous ai parlés (HTML, CSS...) car ceux-ci servent à représenter les sites web. Il
nous manque en fait une langue permettant aux ordinateurs de communiquer, pour dire par
exemple "Eh, peux-tu me donner cette page web ? Merci ! ". Si on n'avait pas des "langues
communes", les ordinateurs parleraient à coup sûr un dialogue impossible :

Figure 1.7 : Image protocole

Sans langue commune, ce serait du chaud dans la culotte dans la communication entre
machines ! C'est donc pour ça qu'on a invité des langages de communication pour que les
machines se parlent entre elles. On les appelle les protocoles.

1.2.5.5.1. Protocoles bas niveau

A la base d'Internet, on a des protocoles de bas niveau. On les retrouve dans toutes les
communications :

 TCP
 UDP

TCP en particulier est très important. Il a été inventé par Vint Cerf, considéré
aujourd'hui grâce à cela comme le père d'Internet. Sans TCP, pas de communication réseau... et
Tim Berners-Lee n'aurait jamais pu inventer le Web. TCP est utilisé pour un peu tout : faire
transiter des pages web, des e-mails, des vidéos...

1.2.5.5.2. Protocoles haut niveau

Les protocoles dits "haut niveau" sont généralement basés sur TCP (ou UDP). Ils
forment une surcouche qui englobe TCP.

Les noms des protocoles haut niveau devraient vous être un peu plus familiers pour
certains :

 HTTP : le protocole qui permet d'échanger des pages web entre le client et le serveur.
En plus du langage HTML, Tim Berners-Lee a inventé les bases du protocole HTTP qui
15

permet d'échanger les pages. C'est ce que signifie le "http://" que vous voyez au début
des adresses web !
 HTTPS : identique à HTTP, avec le "S" en plus qui signifie "Secure". Les pages sont
chiffrées, pour garantir que personne ne peut les lire (par exemple quelqu'un qui
espionnerait les données qui transitent dans les câbles sous-marins !).
 FTP : permet d'échanger des fichiers.
 SMTP : permet d'envoyer des e-mails.
 Etc.
1.2.5.5.3. Un Exemple de protocole : une requête http

Voici comment un client demande une page web à un serveur :

GET /page.html HTTP/1.0 Host:GET /page.html HTTP/1.0 Host: example.com Referer:


http://example.com/ User-Agent: CERN-LineMode/2.15 libwww/2.17b3 example.com
Referer: http://example.com/ User-Agent: CERN-LineMode/2.15 libwww/2.17b3 On peut
traduire ça par : "Hé, toi, le serveur de example.com, peux-tu m'envoyer page.html ?... S'il te
plaît ?"

Le serveur7 va ensuite travailler (en utilisant un langage serveur) puis renvoyer la page
HTML avec une réponse comme ceci : HTTP/1.0 200 OK Date: Fri, 31 Dec 1999 23:59:59
GMT Server: Apache/0.8.4 Content-Type: text/html Content-Length: 59 Expires: Sat, 01 Jan
2000 00:59:59 GMT Last-modified: Fri, 09 Aug 1996 14:21:40 GMT ... qu'on pourrait
traduire par : "Ho ho ho, j'ai bien la page que tu veux, elle fait cette taille et elle a été modifiée
pour la dernière fois à cette date". Le serveur transmet ensuite le code HTML de la page. Cette
réponse indique que tout s'est bien passé : le code "200 OK" signifie que la page existe et que le
serveur peut la renvoyer. Il existe de nombreux codes, mais il y en a un autre au moins que vous
connaissez déjà probablement : 404. Il signifie que la page n'a pas pu être trouvée sur le serveur.

1.2.5.6. Les langages client

Avant toute chose, il faut savoir qu'il y a 2 types d'ordinateurs connectés au Web :

 Des clients : c'est vous, votre ordinateur qui sert à aller consulter des sites Web.
 Des serveurs : ce sont des ordinateurs spéciaux (souvent très puissants) qui envoient les
sites web aux clients. Les serveurs "possèdent" les sites web et les distribuent à ceux qui
veulent les visiter

Les langages

Pour construire un site web, on a recours à des langages. Ils servent en quelque sorte à
établir les plans d'architecte dont on a besoin pour construire les sites. Ces langages sont
principalement :

7
Peck susan et Ermant Stephen, construire son propre site web, éd ^pec, paris 1997.p10
16

 HTML
 CSS
 JavaScript

Tous ces langages sont désormais indispensables à la réalisation de tous les sites web.
On dit que ce sont des langages client ou encore des langages frontend, car ils sont lus par les
machines des clients. Nous n'apprendrons pas à nous en servir dans ce cours, mais vous pourrez
enchaîner avec d'autres cours accessibles aux débutants si vous voulez vous entraîner à les utiliser
!

Les navigateurs

Pour accéder aux sites web, on a besoin de navigateurs web. Il existe notamment :

 Google Chrome
 Mozilla Firefox
 Internet Explorer, et son successeur appelé Edge
 Opéra
 Safari

Le rôle des navigateurs est de traduire les langages HTML, CSS et JavaScript sous la
forme de sites web utilisables par tout le monde.

Figure 1.8 Image navigateur

1.2.5.7. Les langages serveur

En plus des langages client que nous venons d'évoquer (HTML, CSS et JavaScript), il y
a une quantité importante de langages serveur. Quelle est la différence ? Pourquoi faut-il encore
plus de langages ? Les langages serveur sont, comme leur nom l'indique, gérés par les serveurs.
Les clients n'y touchent pas. Leur rôle est un peu différent :

 Les langages client décrivent comment le site web doit s'afficher


 Les langages serveur décrivent comment le site web doit se comporter Subtil, mais
important !
17

 Avec un langage client, je peux dire "Un menu doit s'afficher à gauche de mon site
web".
 Avec un langage serveur, je peux dire "Le menu ne doit s'afficher que si cette personne a
créé un compte sur mon site".
1.2.5.7.1. Quelques langages serveur

Les langages serveur sont nombreux. En voici quelques exemples

 PHP
 Java
 Python
 Ruby
 C#
 …

Il n'y a pas de meilleur langage. On me pose souvent la question et je réponds toujours


la même chose : prenez le langage que vous voulez, celui sur lequel un ami peut vous aider peut-
être. On trouve tous ces langages parmi les sites web les plus connus. On trouve par exemple du
PHP chez Facebook et OpenClassrooms, du Java sur le site de votre banque, du Python et du
Java chez Google, etc.

Inutile de tous les connaître ! Un seul langage serveur suffit pour faire tout ce que vous
voulez. Ils sont tous suffisamment puissants mais ont un "style" différent.

Par exemple, on dit que l'italien est "une langue qui chante", et certains développeurs
pourraient dire de la même façon que Ruby est "un langage qui chante" (parce qu'ils aiment la
façon dont le langage est conçu). Oui je sais, ça paraît fou !

1.2.5.7.2. Les Framework

En plus de ces langages, on a inventé des Frameworks pour faciliter la création de sites
web dans ces langages. Les Frameworks sont des boîtes à outils qui se révèlent de plus en plus
indispensables aujourd'hui. De la même façon qu'on n'envisage plus de creuser un trou "à la
main" (on préfère utiliser une pelleteuse !), on n'envisage plus trop de construire un site web à
la main. On se fait aider un peu par un Framework ! Les Frameworks se rapportent à des
langages. On peut citer :

 Pour PHP : Symfort, Zed…


 Pour Java : Java EE (ou JSEE)
 Pour Python : Django
 Pour Ruby : Ruby on Rails
 Pour C# : ASP.NET
18

Inutile de les retenir ! Je souhaite juste que vous connaissiez le concept de Framework à
ce stade. On confond souvent Frameworks et les CMS (Content Management System) tels que
WordPress. WordPress n'est pas un Framework : c'est un CMS, c'est-à-dire un site prêt à
l'emploi. Il est plus facile à utiliser qu'un Framework car il n'est pas nécessaire de coder, mais il
est aussi plus limité (même si pour beaucoup de personnes, il suffit largement !).

1.2.5.7.3. Comment un langage serveur génère une page

Le rôle d'un langage serveur est de générer une page web. On peut résumer l'interaction entre le
client et le serveur comme ceci :

Figure 1.9 : générateur d’une page

Un client et un serveur communiquent

1. Le client demande une page au serveur


2. Le serveur génère la page (à l'aide du langage serveur).
3. Le serveur envoie la page (sous forme de code HTML et CSS).

Par exemple, si vous utilisez PHP comme langage serveur, et HTML et CSS comme langages
client, voici à quoi ressemblera le schéma :

Figure 1.10 : génération des pages

Utilisation des langages

Comme vous le voyez, PHP (le langage serveur) est du côté du serveur. Son rôle est de
générer une page HTML et CSS, qui sera ensuite envoyée au client. Un client ne sait lire que du
HTML et du CSS (ainsi que du JavaScript). Il ne sait pas lire un langage serveur comme PHP.

1.2.5.7.4. A quoi ressemble un langage serveur

Prenons un langage serveur comme PHP. Voici un exemple de code en PHP qui vérifie
que le fichier envoyé via un formulaire est bien une image et que celle-ci n'est pas trop grosse :
19

<?php
if (isset($_FILES['monfichier']) AND $_FILES['monfichier']['error'] == 0)
{
if ($_FILES['monfichier']['size'] <= 1000000)
{
$infosfichier = pathinfo($_FILES['monfichier']['name']);
$extension_upload = $infosfichier['extension'];
$extensions_autorisees = array('jpg', 'jpeg', 'gif', 'png');
if (in_array($extension_upload, $extensions_autorisees))
{
// Afficher le message ici
}
}
}
?>
Là encore, ne paniquez pas si vous ne comprenez pas, c'est normal ! Un code en
langage serveur est souvent plus compliqué à comprendre pour un débutant qu'un code en
langage client.

1.3. BASE DE DONNEES


1.3.1. Qu’est-ce qu’une Base de Données ?

Une base de données (son abréviation BD, en anglais DB, data base) est une entité dans
laquelle il est possible de stocker des données de façon structurée et avec moins de redondance
possible8 . Les données doivent pouvoir être utilisées par des programmes, par des utilisateurs
différents. Ainsi, la notion de base de données est généralement couplée à celle de réseau, afin
de pouvoir mettre en commun ces informations, d’où le nom de base. On parle généralement
de système d’information pour designer toute la structure regroupant les moyens mis en place
pour pouvoir partager des données.

Figure 1.11 : utilisation d’une Base de Données

8
RENE J. CHEVANCE, Bases de données réparties et fédérées. Conservatoire National des Arts et Métiers, Mars
2001
20

1.3.2. Utilité d’une Base de données

Une base de données9 permet de mettre des données à la disposition des utilisateurs
pour une consultation, une saisie ou bien une mise à jour, tout en s’assurant des droits accordés
à ces derniers. Cela est d’autant plus utile que les données que les données informatiques sont de
plus en plus nombreuses. Une base de données peut être locale, c’est-à-dire utilisable sur une
machine par un utilisateur ou bien repartie, c’est-à-dire que les informations sont stockées sur
des machines distantes et accessibles à travers le réseau. L’avantage majeur de l’utilisation de
base de données est la possibilité de pouvoir être accédées par plusieurs utilisateurs au même
moment.

1.3.3. La gestion de base de données

Afin de pouvoir contrôler les données ainsi que les utilisateurs, le besoin d’un système
de gestion s’est vite fait ressentir. La gestion de la base de données se fait grâce à un système
appelé SGBD (Système de gestion de base de données) ou en anglais DBMS (data base
Management System)

Le SGBD est un ensemble des services (applications logicielles applicatifs) permettant


de gérer les bases de données c’est-à-dire :

 Permettre l’accès aux données de façon simple ;


 Autoriser un accès aux informations à de multiples utilisateurs ;
 Manipuler les données présentes dans la base de données (insertion, suppression,
modification) bref faire une mise à jour.

Le SGBD peut se décomposer en trois sous-systèmes

 Le Système de Gestion de fichiers : il permet le stockage des informations sur un support


physique
 SGBD interne : il gère l’ordonnance des informations
 Le SGBD externe : il représente l’interface avec l’utilisateur.

Parmi les logiciels de base de données les plus célèbres, on peut citer :

 MySQL
 postgreSQL
 Sql Server
 Oracle
 SQlite
 Etc.

9
Geeoges GARDARIN, Base de données, les systèmes et leurs langages, éd Eryrolles, paris 1986. P.102
21

Pour communiquer avec ces logiciels, on utilise un langage : SQL. Oui, je sais, encore un
langage. On dit qu'on fait des requêtes SQL. Par exemple : "Je veux la liste des derniers
utilisateurs inscrits sur mon site" ou "Je veux stocker ce message". Voici à quoi ressemble une
requête SQL pour vous donner une idée : SELECT id, Name, login FROM Users ORDER BY id
DESC. Bien sûr, c'est une requête simple, et on peut faire beaucoup plus compliqué si on veut.
Mais là, on débute, donc on ne veut pas. C'est généralement le serveur qui communique à la
base de données, par le biais du langage serveur. Résumons dans un schéma pour tenter d'y voir
plus clair :

Figure 1.12 : communication entre client-server-bdd

Interactions entre le client, le serveur et la base de données La base de données est aussi
stockée sur un serveur (généralement un serveur différent).

1.4. Site statique

Ces sites ont le mécanisme de fonctionnement le plus simple : les URL correspondent à un
fichier renvoyé par le serveur web. Le contenu des pages d'un site statique ne dépend donc pas
de variables telles que la date ou de bases de données. Pour changer le contenu d'une page, il est
nécessaire de changer le contenu du fichier. En outre, les visiteurs peuvent seulement voir le
contenu du site mais ne pas y participer. Pour les réaliser, seuls les langages dits d'interface
utilisateur (frontend) sont nécessaires, c'est-à-dire HTML, CSS et JavaScript (en théorie, il est
toutefois possible d'utiliser uniquement le HTML).

 Le HTML permet d’écrire le contenu de page ;


 Le CSS permet de mettre en page le contenu (emplacement des éléments), et mettre en
forme le texte (police d'écriture, couleur, taille). Depuis CSS3, il est également possible
de créer des modifications plus évoluées (animation, ombres, etc.) ;
 JavaScript permet d'ajouter du dynamisme, mais uniquement du côté du navigateur (par
exemple des animations graphiques).
1.5. Site dynamique

Ces sites offrent un contenu qui peut évoluer dans le temps. Des programmes tournent
du côté des serveurs, à l'arrière-plan, (backend) pour générer les pages du site. Ces programmes
peuvent se servir de bases de données ou autres sources de données pour composer les pages qui
seront affichées dans le navigateur. Ce dynamisme apporte des fonctionnalités que ne peuvent
pas offrir les sites dits statiques. Par exemple les visiteurs peuvent y participer (commentaires
22

sur un blog, changement du contenu des pages d'un wiki...). Ils ont donc pratiquement
supplanté les sites statiques au début des années 2000. Pour les réaliser, on a également besoin
de HTML, de CSS et de JavaScript, mais les programmes qui tournent du côté serveur utilisent
d'autres langages qui peuvent créer dynamiquement les pages, en analysant les requêtes des
visiteurs pour ensuite fabriquer une réponse adaptée. Il existe plusieurs langages pour créer ces
pages : PHP, Java, C#, Ruby, voire d'autres comme C++, Python et Visual Basic via l'interface
CGI. Leur temps de chargement est généralement plus long que pour les pages statiques,
toutefois il est possible d'obtenir des valeurs proches en stockant les pages dynamiques déjà
appelées dans une mémoire cache, qui les réaffichera plus vite.

Les sites responsives et mobile10

Nous avons beaucoup parlé jusqu'ici de sites web que l'on affiche sur un ordinateur.
Or, aujourd'hui, les mobiles (Smartphones, tablettes) sont très courants. Comment faire pour
communiquer avec eux ?

Vous avez 2 solutions. Vous pouvez faire :

- Un site web responsive : vous créez votre site web dès le départ en pensant aux
Smartphones. Vous faites en sorte que le design s'adapte automatiquement aux appareils
de petite taille (on dit qu'il est responsive). C'est la solution la plus simple en général.
- Une application native : vous créez une application mobile (pour iOS, Android, etc.).
C'est bien plus lourd car il faut utiliser d'autres langages, mais l'expérience sera bien
meilleure si vous avez un service complexe. Que devez-vous faire ? A mon avis, si vous
avez un site web, il est aujourd'hui

Indispensable dans tous les cas de faire un site web responsive. L'application native est
utile uniquement si vous avez un projet spécifique aux Smartphones, qui soit suffisamment
complexe (un jeu par exemple). En revanche, s'il s'agit juste de consulter des pages avec des
informations simples, il n'est peut-être pas nécessaire de développer une application mobile.

Conclusion
En résumé, retenons que les sites web travaillent dans un environnement client-
serveur, Le Web n'est qu'une partie d'Internet. Internet a été créé bien avant le Web pour
permettre d'échanger des informations entre ordinateurs. Le Cloud est un terme assez vaste
(pour ne pas dire vague), plutôt utilisé pour du marketing. Il signifie essentiellement "un service
fourni à travers le Web". Le W3C est l'organisme qui guide aujourd'hui l'évolution du Web.

10
www.commençamarche.com/site_web ; le 11/06/2023 ; à 14h50’
23

CHAPITRE 2 ETUDE PREALABLE

Introduction
Comme son nom l’indique, Etude préalable (Analyse préalable) se définie comme un
moyen consistant à identifier le flux d’informations et les stations traversées par ce flux en
relevant les documents, les supports, le traitement et changement d’Etat ou les transformations
subies par le système. Signalons aussi que l’étude préalable est considérée comme analyse des
besoins ayant pour finalités : construire et évaluer les différentes solutions envisagées dans le
contexte de l’entreprise pour répondre au besoin exprimer par l’utilisateur. Dans cette partie
nous essayerons de présenter la Polyclinique Saint Georges/Kga et tout ce qu’il y a comme
activités. Les paragraphes suivant nous donnerons beaucoup plus de l’éclaircissement.

2.1. PRESENTATION DE LA POLYCLINIQUE SAINT GEORGES


2.1.1. HISTORIQUE
L’Hôpital Général de Référence Saint Georges est une Institution Sanitaire
Sociale sans But Lucratif propriété de l’Archidiocèse de Kananga situé dans la zone de santé de
Katoka.

Son histoire remonte de 1958 avec la création du Bureau médical de la santé


« BMS » en sigle qui fonctionnait à la procure Saint Clément de l’archidiocèse de Kananga.

Au début du mois de juillet 2006 intervint le démarrage et déplacement de


cette institution de la procure à Katoka sous le nom du CENTRE MEDICAL
DIOCESAIN « CMS » en sigle.

Dans le souci de doter l’archidiocèse de Kananga d’une structure sanitaire


moderne, plus humaniste et pouvant servir de référence aux structures Catholiques en
particulier et celles de la province en général, Monseigneur l’Archevêque émérite Godefroid
MUKENG’ A KALOND et Monseigneur Marcel MADILA BASANGUKE, Archevêque
métropolitain qui procédèrent à l’ouverture officielle de l’institution le 15/07/2006 et
changèrent le nom du CMS en Clinique Saint Georges. Elle fonctionna au début avec le
personnel qui était au BMS.

Cette clinique fut placée sous la Coordination du bureau diocésain des œuvres
médicales de l’Archidiocèse de Kananga.

En fin, c’est en octobre 2013 qu’elle obtiendra le statut de l’Hôpital Général de


Référence de la Zone de Santé de Katoka et de ce fait son appellation deviendra alors HOPITAL
GENERAL DE REFERENCE SAINT GEORGES.
24

2.1.2 SITUATION GEORAPHIQUE


L’Hôpital Général de Référence Saint Georges est situé au numéro 8, de l’avenue de
la Révolution, quartier Kapanda, commune de Katoka dans la zone de santé de Katoka, ville de
Kananga. Il est borné :

 Au Nord : par la cathédrale catholique Notre-Dame ;


 Au Sud : par l’Institut Technique Industriel de Katoka (ITIKA) et l’école
professionnel (EPRO)
 A l’Est : par le marché Tshinseleka ;
 A l’Ouest : par le Collège Saint Pie X et Centre Médical Jukayi.

2.1.3. SITUATION SANITAIRE


L’Hôpital Général de Référence Saint Georges regorge à son sein les quatre
principaux services de base ou traditionnels à savoir :

 La médecine interne ;
 La pédiatrie ;
 La chirurgie ;
 La gynéco obstétrique.
On y trouve certains services d’appui au diagnostic tels que l’imagerie médicale
(radiographie, écographie, l’ECG) et le laboratoire. Les autres services sont le conseil et
dépistage volontaire/centre de traitement antirétroviral (CDV/CTA), la santé des adolescents,
le centre de santé de dépistage et de traitement de la tuberculose(CSDT).
On y trouve aussi certaines unités de soins en l’occurrence la prise en charge de cas
de violence sexuelle, la prise en charge de cas d’exposition au sang ou aux humeurs biologiques,
d’exposition sexuelles…et les services administratifs. Cet hôpital est fréquenté par plusieurs
patients dont les pathologies les plus rencontrées sont :
- Paludisme
- IRA
- Fièvre typhoïde
- VIH/SIDA
- Anémie
- HTA
- Diabète
- Syndrome gastrique
- Syndrome appendiculaire
- Traumatisme
- AVC
- Et d’autres maladies tropicales etc.
Les interventions chirurgicales et obstétricales les plus fréquentes sont :
25

 Césarienne
 Appendicectomie
 Cystectomie
 Cure herniaire (sériographie)
 Laparotomie explorative.
 Etc.

L’Hôpital fonctionne 24/24 en assurant les soins de qualité (préventifs, curatifs et


promotionnels) à la population. Les médicaments essentiels traceurs ou génériques, les intrants
et matériels de soins y sont disponibles grâce à l’appui des différents partenaires.

2.1.4 SITUATION SOCIO-ECONOMIQUE


L’Hôpital Général de Référence Saint Georges est une structure sanitaire
appartenant à l’archidiocèse de Kananga. Sa devise est : « accueillir, compatir, guérir, c’est
évangéliser ».

Il se présente comme étant une association sans but lucratif. Et son personnel est
rémunéré grâce à l’appui des différents partenaires, de l’Etat Congolais et surtout de
l’autofinancement dont les revenus sont issus des contributions des malades aux frais de soins
médicaux.

Certains de membres de son personnel sont mécanisés et payés par l’Etat congolais.
Et d’autres ne vivent que de leur prime locale. Les soins médicaux des agents et de leurs femmes
et enfants légitimes sont pris en charge à 50% par la structure.

2.1.5 SITUATION ADMINISTRATIVE


L’Hôpital Général de référence Saint Georges est une institution sanitaire de l’église
catholique de l’archidiocèse de Kananga. Comme telle il suit les instructions et options de
l’église catholique dans le domaine de santé tout en respectant le programme national et autres
instructions du ministère de la santé publique.

Les agents en service à l’hôpital Saint Georges doivent s’imprégner des principes
doctrinaux de l’église catholique qui président à sa pastorale sanitaire. Ils doivent se nourrir à la
même doctrine afin de savoir tirer la même corde pour un meilleur service que l’église
catholique à Kananga veut offrir à la population.

La sélection des agents tient compte non seulement de la compétence scientifique


mais également de la connaissance de la doctrine catholique et sa pratique dans le secteur de la
santé.

Des sessions de formation seront régulièrement organisées en cette matière par des
responsables hiérarchiques de l’hôpital. Les services commencent toujours par la prière dirigée
par l’aumônier de l’Hôpital.
26

L’accueil des malades est une priorité à l’Hôpital Général de Référence Saint
Georges, car le malade est un visiteur impuissant, petit dépendant. Et le seigneur Jésus-Christ
nous demande de l’accueillir comme si c’était lui-même.

L’Hôpital Général de Référence Saint Georges est dirigé par un médecin Directeur
de l’hôpital sous la supervision de la Caritas Développement Kananga à travers son Bureau
Diocésain des œuvres médicales « BDOM » sous le haut patronage de Monseigneur
l’Archevêque de Kananga. Entant qu’hôpital général de référence de la zone de santé de Katoka,
il est aussi sous la supervisons de ladite zone de santé à travers son BCZ. Les agents de l’hôpital
Saint Georges sont recrutés par les moyens suivants :

 Test d’embauche ou de recrutement


 Affectation
 Recommandation par des autorités compétentes

Les agents de l’Hôpital Saint Georges sont soit sous contrat, soit sous protocole de
prestation des services et d’autre sont mécanisés et payés par l’Etat congolais.

2.1.6. CAPACITE D’ACCUEIL


L’Hôpital Général de Référence Saint Georges, offre une capacité d’accueil de 81
lits montés. Cette capacité d’accueil va augmenter avec l’intégration de certains services
spécialisés, élargissement du plateau technique et la construction d’autres bâtiments.

2.1.7. MISSION DE L’HOPITAL


Est de prolonger la main du Christ en accordant soulagement aux malades par des
soins de qualité dans les conditions d’accessibilité favorable.
27

2.1.4. ORGANIGRAMME FONCTIONNEL

MEDECIN DIRECTEUR

STAFF

ADMINISTRATION DIRECTION DE
ET GESTION NURSING

COMPTABILITE

HOSPITALISATION SERVICES SERVICES AMBULANTS


TECHNIQUES
PHARMACIE
RECEPTION
HYGIENNE

GYNECOOGIE
GARDIEN

CONSULTATION
LABORATOIRE
CUISINE
CAISSE

DISPENSAIRE
CHURIRGI
PEDIATRIE
MEDECIN

MEDICALE

CDV/CTA
IMAGERIE

PEC SVS
SALLE

SANTE

CSDT
28

2.2. ETUDE DE L’EXISTANT11


L’analyse préalable étant une étude qui nous permet de mettre en évidence le
disfonctionnement du système existant et mettre en place si possible un système informatique
pour une bonne gestion, cette analyse nous a permis après avoir appliqué plusieurs techniques de
conclure que le système en place présente quelques difficultés c’est ainsi qu’une décision a été
prise, celle de mettre en place un site web dynamique pour la gestion de ce système.

2.2.1. Narration
Pour être traiter chez la polyclinique saint Georges, le malade doit quitter sa résidence et
se diriger vers la polyclinique, ainsi arrivé le malade se présente à la réception pour acheter une
fiche de consultation sur laquelle on doit enregistrer son identité et certaines formalités, la fiche
passe dans le service de triage pour le classement selon le cas. En plus, après avoir passé la fiche
au cabinet de médecin, le médecin doit examiner le malade les plaintes écrites sur la fiche de
malade, puis il prend note de l’état de malade pour lui soumettre soit à un traitement spécial,
soit juste à un suivi après l’examen de Labo ; ainsi les résultats lui revient afin de prescrire les
médicaments au malade selon le cas spécial (hospitalisation ou ambulatoire). A ce moment-là le
malade se présente à la pharmacie pour payer les médicaments selon l’ordonnance et à la caisse
pour verser l’argent. Telle est la gestion de malade au sein de la polyclinique Saint Georges.

11
TSHIELA A., Méthodes d’Analyse Informatique, G2 Informatique UKA., 2011-2012, inedit.
29

2.1.5.2. Etude de poste de Travail


APPLICATION : pré consultation médicale, ANALYSTE : KALALA KANKU
DOMAINE : Programmation Web DATE : le 25 Août 2023

FICHE D’ANALYSE DES POSTES DE


TRAVAIL
N° NOM POSTE CODE TRAVAUX EFFECTUES MOYENS DE VOLUME OBSERVATIONS
TRAITEMENT
01 Malade Mal - - - -

02 Réception Réc - Identification de malade ; Manuel


- Orientation.
03 Triage Tri - Classement de dossiers Manuel ± 15 dossiers

selon le cas d’arriver par jour

04 Cabinet Médecin Cab - Consultation ; Manuel ± 5 malades


par jour
- Prescription ;
- Ordonnance.
05 Laboratoire Labo - Examiner Microscope ;
06 Caisse Cais - Perception d’argent Calculatrice
- Elaboration des factures et - -
reçus
30

- Livraison des bons de sortie ± 50 fiches par


- Etablissement des rapports jour
journaliers -
07 Pharmacie Phar - Acheter le médicament Manuel ± 10 par jour
08 Hospitalisation Hosp -

2.1.5.3. ANALYSE DE FLUX


a. Tableau de flux

APPLICATION : pré-consultation médicale ANALYSTE : Kalala Freddy


DOMAINE : Programmation Web DATE : le 15 Août 2023

TABLEAU DES FLUX DES DOCUMENTS


NOM DOCUMENT CODE INFORMATIONS VEHICULEES POSTE ORIGINE POSTE DESTINA-TION
Carte d’identité CI - Numéro d’identification Malade Réception
- Photo
- Nom
- Post nom
- Prénom
- Date de Naissance
- Lieu de naissance
- Sexe
- Etat civil
Registre de réception Reg-rec - Nom malade Réception Réception
- Post nom
- Prénom
31

- Date de naissance
- Etat civil
- Sexe
- Date du jour
- Numéro malade
Registre des recettes Reg 2 - Nom caissier Caisse Caisse
- Date du jour
- Numéro versement
- Nom malade
- Montant consultation
- Montant laboratoire
- Montant médicaments
- Montant p.chirurgie
- Montant CPN/CPS
- Montant total ligne
- Montant total colonne
- Signature caissier
Fiche de consultation FCC - Date du jour Réception Malade
curative - Nom du malade
- Post nom
- Date de naissance
- Etat civil
- Occupation
- Adresse
- Poids
- Sexe
- Taille
32

- Température
- Nom du conjoint
- Observations (diagnostics)
Fiche d’hospitalisation FHC - Nom malade Réception Caisse
- Post nom
- Date de naissance
- Age
- Sexe
- Adresse
Reçu Rec. - Date Caisse Malade
- Adresse
- Désignation
- Nom
- Motif de paiement
- Montant payé en lettre
- Montant payé en chiffre
- Signature cassier
Billet de sortie BS - Nom Caisse malade
- Post nom
- Prénom
- Age
- Sexe
- Adresse
- Motif de sortie
- Recommandation
Ordonnance médicale Ord-méd - date du jour Caisse Malade
- nom malade
33

- Numéro lit
- Nom service
- Médicaments
Fiche de suivi de FSV - Date du jour Caisse caisse
versement - Traitement/actes/receveur
- Montant du
- Montant versé
- Solde du
Fiche d’hospitalisation FH - Nom du malade Réception malade
- Post nom
- Prénom
- Date naissance
- Age, Sexe
- Taille
- Examens cliniques
- Antécédents médicaux

Fiche maternité FM - Nom Réception Malade


- Post nom
- Prénom
- Age
- Sexe
- Poids
- Date entrée
- Date sortie
- Antécédents médicaux
Bon des examens BExam - Nom malade Services de traitement Caisse
34

- Post nom
- Prénom
- Date du jour
- Examens labo
Rapport journalier des RJV - Nom caissier Caisse Administration
ventes - Date du jour
-Signature
-Nom malade
-Numéro facture
-Numéro versement
-Montant fiche
Montant Nursing
Montant accouchement
Montant CPN /CPS
Montant total ligne
Montant total colonne
35

b. ETUDE DE DOCUMENTS

Cette étude nous permet de décrire et analyser les différents documents rencontrés dans
la polyclinique Saint Georges.

Liste des documents

Code Désignation

D1 FICHE DE MALADE

D2 Protocole préopératoire

D3 Compte rendu opératoire

D4 Feuille de surveillance

D5 Registre

ETUDE DES RESSOURCE MATERIELLE


La polyclinique par ses moyens et financement, utilise les équipements informatiques
suivants :

N° LIBELLE CAPACITE MARQUE NOMBRE ANCIENNETE

01 Ordinateur 500Go HP 1 3ans

02 Imprimante - CANON 2 1ans

03 Machine à - - 3 2ans
calculer

04 Papier 100pages Ebook 5 1ans


registre

ETUDE DES RESSOURCES HUMAINES


NOM SERVICE NIVEAU ANCIENNETE FONCTION

Beya Mvita MD Dr 4ans médec

Monique malu IT A1 10 ans Infirmière


titulaire

KABEDI Rose Biologiste L1 10 ans Laborantin

François Méd. A1 12 ans Chirurgien


36

MILOLO

KAMA Pharmacie AD 11ans pharmacien

ETUDE DES RESSOURCES LOGICIELLES


En ce qui est de ressources logicielles la polyclinique Saint Georges utilise le système
d’exploitation Win10 comprenant le Firefox Mozilla, Google chrome, opéra mini, et d’autres
logiciels d’applications.

c. ANALYSE DES FLUX D’INFORMATION

RECEPTION
01 CAISSE
02
08
07
MALADE TRIAGE
PHARMACIE
03

CABINET MEDECIN 06

06 05
04
LABORATOIRE
09 HOSPITALISATION

09

d. DICTIONNAIRE DE DONNEES

N° CODE DESCRIPTION
01 Mal Malade
02 Tri Triage
03 Cab Cabinet
04 Réc Réception
05 Phar Pharmacie
06 Cais Caisse
07 Hospi Hospitalisation
37

2.1.4. SHEMA DE CIRCULATION DES INFORMATIONS


MALADE RECEPTION TRIAGE CABINET MED LABO CAISSE PHARMACIE HOSPITALISATION

F.C F.C Ord


F.C F.C
Ord

01 02 03 04 06

05 06

FC FC

Ord
Ord
38

2.2. CRITIQUE DE L’EXISTANT


Lors de notre descente sur terrain nous avons constaté que la polyclinique Saint
Georges utilise toujours le Système Manuel et pour entrer en contact avec les services traitant
de la polyclinique c’est au-moins si tu te présentes à la polyclinique même sans avoir un cas
purement grave. Le malade est sensé effectuer une très longue distance pour être consulter
même pour de simple cas de pré consultation ce qui peut parfois être difficile pour la période
pluvieuse. Ceci ne permet pas à tous les malades ayant de besoin d’être pré consulter d’y arrive
compte tenu de la distance.

2.3. PROPOSITION DES SOLUTIONS


Partant de tout ce que la polyclinique Saint Georges traverse comme difficultés dans
l’accomplissement des tâches médicales, nous avons jugé bon de proposer une piste de solution
qui leurs permettra de maximiser les bénéfices de traitement médical et être visible parmi tant
d’autres polycliniques du monde entier. Et cette solution permettra aux malades vivant de loin,
d’être pré consulté par un médecin traitant d’un service spécialisé et de voir nos produits.

2.4. ANALYSE DE BESOIN


Par l’analyse de besoin nous attendons une méthode qui consiste à identifier les besoins
majeur exprimés par les utilisateurs en rapport avec le système à mettre en place. Les besoins
du système logiciel sont donc souvent classifiés en :

 Besoins fonctionnels ;
 Besoins non fonctionnels ;
 Besoins du domaine.

2.5. LES BESOINS FONCTIONNELS


Les besoins fonctionnels pour un système décrivent la fonctionnalité ou les services que
le système est appelé à fournir. Ces services dépendent du type de logiciel en cours de
développement et des utilisateurs du logiciel. Exprimés comme besoins de l’utilisateur, ils sont
toujours décrits de manière général, mais les besoins fonctionnels du système décrivent en détail
la fonction du système, ses services médicales, ses publicités ses exception, etc.

Dans notre cas, l’application à mettre en place doit courir principalement les besoins
fonctionnels ci-dessous :

 Permettre au patient de consulter les services de son choix pour la polyclinique


sans avoir effectué des longues distances ;
 Permettre au patient de dialoguer en ligne avec le médecin traitent spécialiste au
travers un message ;
 Assurer une publicité de nos produits pharmaceutiques ;
 La gestion de logs (mise à jour des logs d’un serveur) ;
39

 La gestion de droits d’accès


 Permettre au patient d’émettre son point de vue sur la qualité de service rendu.

2.6. LES BESOINS NON FONCTIONNELS


On décrit ses besoins comme étant des contraintes sur les services ou fonctions offerts
par le système. Ils incluent les contraintes du temps, les contraintes sur le processus de
développement, les standards, etc.

Ces sont les exigences qui ne concernent pas spécifiquement le comportement du


système, mais plutôt identifier des contraintes internes et externes du système. Les principaux
besoins non fonctionnels de notre application ce résument dans les point suivants :

 Le code doit être clair pour permettre des futures évolutions ou améliorations,
 L’ergonomie : l’application doit offrir une interface conviviale et facile à utiliser ;
 La sécurité : l’application doit respecter la confidentialité, l’intégrité, la
disponibilité, et non répudiation ;
 Garantir l’intégrité, isolation et la cohérence des données à chaque mise à jour et à
chaque insertion.

2.7. Résultat attendus


Notre souhait en mettant en place ce nouveau système est qu’il fonctionne
convenablement, et que toutes les fonctionnalités soient maintenables, et soient dans la mesure
du possible capable d’améliorer les performances du système ainsi que le mode de gestion
existant.

Conclusion
Il était question dans ce chapitre de faire l’analyse préalable et des besoins du système
existant. Au cours de ce chapitre, nous avons présenté la situation organisationnelle de notre
cadre de recherche notamment l’organigramme générale du système de gestion de l’université
et restreint des services de la polyclinique Saint Georges concerné par notre application. Nous
avons également fait l’analyse des besoins fonctionnels et non fonctionnels, les résultats attendus
de l’application et avons enfin proposé quelques solutions vu l’état dans lequel se trouve la
polyclinique. Après avoir étudié le système existant, nous devrions passer à la modélisation du
nouveau système, c’est ainsi que dans le chapitre qui suit, nous allons modéliser le nouveau
système en présentant les différents diagrammes et modelés.
40

CHAPITRE 3 MODELISATION ET REALISATION DU SITE WEB


Toute résolution du problème informatique demande une ou plusieurs phases de
réflexion, en fonction de l’ampleur et du type de problème à résoudre. C’est le pourquoi des
différentes méthodes d’analyse ; certaines disparaissent, laissent la place aux autres plus adaptées
et évoluées dans le temps et dans l’espace en fonction des différentes technologies.

Chaque méthode a ses qualités et ses faiblesses, il est donc parfois utile et nécessaire en
fonction d’étapes d’analyse au projet, d’appliquer des différentes méthodes, chacune adaptée au
type de projet (industriel et gestion) et aux outils (SGBD) c’est ainsi que la méthode MERISE
(Méthode d’Etude et de Réalisation pour le Système d’Entreprise) nous vient en aide à cette
étape.

3.1 ETAPE CONCEPTUELLE


3.1.1 CONCEPTS DE BASE
 Entité : c’est une représentation d’un objet concret ou abstrait, ayant une existence
propre.
 Propriété : c’est un élément de description d’un objet.
 Relation ou Association : c’est un lien entre un ou plusieurs entités :

Médecin Consulter
Malade

Malade Prendre Médicament

 Cardinalité : c’est le nombre de fois que les éléments d’une entité participent par la
relation avec les éléments d’une autre entité.
 Identifiant : c’est un enregistrement unique par entité.
3.1.2 MODEL CONCEPTUEL DES DONNEES (MCD)

Le modèle conceptuel de données a pour but d’écrire d’une façon formelle les données
qui sont utilisées par le système d’information. Il s’agit donc d’une représentation des données,
facilement compréhensible, permettant de décrire le système d’information à l’aide d’entités.
41

3.1.3 MODEL LOGIQUE DES DONNEES (MLD)

Le modèle logique de données consiste à décrire la structure de données utilisées sans


faire référence à un langage de programmation. Il s’agit donc de préciser le type de données
utilisées lors des traitements. C’est un modèle qui a pour but d’organiser les données en
fonction du système de gestion de base de données utilisé.
42

3.1.4 MODEL PHYSIQUE DES DONNEES (MPD)

Le model physique de données est une représentation graphique d’une base de


données, généralement obtenu en transformant un MCD en MLD puis en MPD. Cette étape
consiste à implémenter le model dans le SGBD, c’est-à-dire le traduire dans un langage de
définition de données.

MALADE CHAMP FORMATS TAILLE


Clé Primaire Id_MALADE Alphanumérique 7
NOM Texte 15
PODTNOM Texte 15
PRENOM Texte 15
SEXE Texte 1
AGE Numérique 6
DATE NAISS Date/Time -
RECEPTION CHAMP FORMATS TAILLE
Clé Primaire Id_RECEPTION Alphanumérique 7
NOM Texte 15
PODTNOM Texte 15
PRENOM Texte 15
SEXE Texte 1
AGE Numérique 6
DATE NAISS Date/Time -
TRIAGE CHAMP FORMATS TAILLE
Clé Primaire Id_TRIAGE Alphanumérique 7
NOM Texte 15
PODTNOM Texte 15
AGE Numerique 15
H_ARRIVE Numérique 1
MOTIF Texte 6
DATE NAISS Date/Time -
CAISSE CHAMP FORMATS TAILLE
Clé Etrangère Id_CAISSE Alphanumérique 7
NOM Texte 15
MONTANT Monnaie 10
DATE Date/time -
CABINET CHAMP FORMATS TAILLE
Clé primaire Id_Cabmed Alphanumérique 7
Nom Texte 15
Postnom Texte 15
Grade Texte 10
Sexe Texte 1
Date Date/time -
LABORATOIRE CHAMP FORMATS TAILLE
Clé primaire Id_LABO Alphanumérique 7
NOM Texte 15
43

POSTNOM Texte 15
SEXE Texte 1
DATE Date/time -
CONSULTER CHAMP FORMATS TAILLE
Clé Primaire Id_Consulter Alphanumérique 7
Heure et date Date/time

3.2 PRESENTATION DES OUTILS ET LANGAGES UTILISES


3.2.1. APERCU SUR LE LANGAGE PHP

PHP(HypertextPreprossor), plus connu sous le sigle Php(acronyme récurcif), est un


langage de programmation web libre principalement utilisé pour produire des pages web
dynamiques. Il est aujourd’hui considéré comme la base de la création des sites dits dynamiques.
Ce langage est à l’origine de script conçu spécifiquement pour agir sur le web. Ses scripts sont
ajoutés dans les codes html. Comme tout autre langage de programmation, Php se dévoile dans
la boucle des langages sensibles à la casse et compte à cet effet bon nombre de règles et
d’instructions qu’il faut suivre pour son usage, notamment : les variables, les boucles, les
tableaux, les balises, les structures…

3.2.2. MySQL

MySQL12 est un système de gestion de base de données relationnelle. Il est distribué


sous une double License GPL (Global Public License) et propriétaire. Il fait partie des logiciels
de gestion de base de données les plus utilisées au monde, tant par le grand public (application
web principalement) que par des professionnels, en concurrence avec oracle, informix, et
Microsoft SqL Server. Son nom vient du prénom de la fille du Co-créateur Michael Widenius,
MySQL fait allusion au structured Query langage, le langage de requête utilisé. Signalons qu’une
base de données MySQL est la base de données Open Source la plus populaire au monde. Elle
permet entre autre de développer à moindre coût des applications de base de données fiables,
hautement performantes et évoluées.

3.2.3. WampServer

WampServer est une plate-forme de développement web sous Windows pour les
applications web dynamiques à l’aide du serveur Apache, du langage de scripts php et d’une base
de données MySQL.

Il possède également phpMyAdmin pour gérer plus facilement les bases de données. La
gestion de base des données se fait en mode graphique ou par le biais d’une console dans le
serveur Mysql. Il supporte l’ajout et la suppression des tables ainsi que les tris et les recherches.

12
Christian SOUTOU, Apprendre le SQL vec MySQL, ed Eryrolles, paris p.45
44

Certains paramètres peuvent être modifiés selon le souhait du webmaster. Il peut par
exemple choisir un thème parmi ceux proposés par WampServer. La taille du texte peut
également être personnalisée ainsi que le zoom.

3.3. QUELQUES PARTIES DE L’APPLICATIONS

3.3.1 Login ou formulaire de connexion

Qui permet à l’utilisateur de se connecter au site de l’hôpital pour bien avoir les
services de l’hôpital.

3.3.2. Menu Général du site

Qui permet aux utilisateurs patients de se connecter sous mode patient


45

3.3.3 Formulaire d’identification du patient


46

3.3 Liste de formulaire des patients enregistrés

Cette liste contient les patients qui doivent suivre le traitement à l’hôpital Saint Georges

3.3.4 Chambres disponible pour les patients qui doivent être traité en permanence

Ici nous allons trouver tous les informations concernant les chambres disponibles et non
disponible. Les chambres disponibles sont en couleur verte et les chambres non disponibles ont
un signe de point d’exclamation.
47

BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGE
1. Peck susan et Ermant Stephen, construire son propre site web, éd ^pec, paris 1997.p10
2. RENE J. CHEVANCE, Bases de données réparties et fédérées. Conservatoire National des
Arts et Métiers, Mars 2001
3. Georges GARDARIN, Base de données, les systèmes et leurs langages, éd Eryrolles, paris
1986. P.102
4. GARDARIN O. ET GEORGES, Client - Serveur, Edition Eyrolles, Paris, 1996. p.10
5. LEFEBVRE A., Client-serveur, guide de suivi, Edition Armand Colin, Paris 1994. P.150

II. COURS
1. TSHIELA A., Méthodes d’Analyse Informatique, G2 Informatique UKA., 2011-2012, inedit.
2. Christian SOUTOU, Apprendre le SQL vec MySQL, ed Eryrolles, paris p.45
III. SITE
1. www.commentçamarche.com/architecture_client_server ; le 10/06/ 2023 ; à 17h22’
2. www.Openclassroom.com/technologie web consulté le 10/06/ 2023 ; à 21h15’
3. www.Openclassroom/web.com ; le 15/06/2023 ; à 21h45’
4. www.commentçamarche.com/termes_du_web ; le 15/06/2023 ; à 21h56’
5. www.commençamarche.com/site_web ; le 11/06/2023 ; à 14h50’
48

Table des matières


EPIGRAPHE…………………………………………………………………………………………………………………………………………I
DEDICACE…………………………………………………………………………………………………………………………………………..II
REMERCIEMENT………………………………………………………………………………………………………………………………..III
LISTE DES ABREVIATIONS…………………………………………………………………………………………………………………..IV
LISTE DE FIGURE…………………………………………………………………………………………………………………………………V
LISTE DE TABLEAUX……………………………………………………………………………………………………………………………VI
INTRODUCTION GENERALE ..................................................................................................................... 1
PRESENTATION DU SUJET........................................................................................................................ 1
PROBLEMATIQUE .................................................................................................................................... 2
HYPOTHESE.............................................................................................................................................. 2
MÉTHODES ET TECHNIQUES UTILISÉES ................................................................................................... 2
CHOIX ET INTERET DU SUJET ................................................................................................................... 3
DELIMITATION DU SUJET......................................................................................................................... 3
SUBDIVISION DU TRAVAIL ....................................................................................................................... 3
CHAPITRE 1 : GENERALITES SUR LES ARCHITECTURES CLIENT/SERVEUR ET LES TECHNOLOGIES WEB . 4
1.1. ARCHITECTURES CLIENT-SERVEUR....................................................................................... 4
1.1.1. Types d’architecture .............................................................................................................. 5
1.1.1.1. Architecture paire à paire ..................................................................................................... 5
1.1.1.2. Architecture à deux niveaux ................................................................................................ 6
1.1.1.3. Architecture à trois niveaux ................................................................................................. 6
1.1.1.4. Architecture à N niveaux ...................................................................................................... 6
1.1.2. Types de client ....................................................................................................................... 6
1.1.2.1. Client léger ............................................................................................................................. 6
1.1.2.2. Client lourd ............................................................................................................................ 6
1.1.2.3. Client riche ............................................................................................................................. 6
1.2. LES TECHNOLOGIES WEB ......................................................................................................... 7
1.2.1. Comment est né le Web ? ....................................................................................................... 7
1.2.2. Qu’est-ce que le Web ?........................................................................................................... 7
1.2.3. Le Web services et Cloud ....................................................................................................... 8
1.2.3.1. Les services fournis sur Internet ........................................................................................... 8
1.2.3.2. Le Cloud .................................................................................................................................. 8
1.2.4. Terminologie .......................................................................................................................... 9
1.2.4.1. Termes rattachés au Web ....................................................................................................... 9
1.2.5. Description du fonctionnement ......................................................................................... 12
49

1.2.5.1. IP et noms d’hôtes ................................................................................................................ 12


1.2.5.2. Les noms d’hôtes et DNS ...................................................................................................... 12
1.2.5.3. Les serveurs........................................................................................................................... 13
1.2.5.3.1. Serveurs et Datacenters ................................................................................................... 13
1.2.5.4. Communication entre serveurs et clients........................................................................... 13
1.2.5.5. Les protocoles....................................................................................................................... 14
1.2.5.5.1. Protocoles bas niveau ...................................................................................................... 14
1.2.5.5.2. Protocoles haut niveau .................................................................................................... 14
1.2.5.5.3. Un Exemple de protocole : une requête http ................................................................ 15
1.2.5.6. Les langages client................................................................................................................ 15
1.2.5.7. Les langages serveur............................................................................................................. 16
1.2.5.7.1. Quelques langages serveur .............................................................................................. 17
1.2.5.7.2. Les Framework ................................................................................................................. 17
1.2.5.7.3. Comment un langage serveur génère une page ............................................................. 18
1.2.5.7.4. A quoi ressemble un langage serveur ............................................................................. 18
1.3. BASE DE DONNEES .................................................................................................................. 19
1.3.1. Qu’est-ce qu’une Base de Données ?................................................................................... 19
1.3.2. Utilité d’une Base de données ............................................................................................. 20
1.3.3. La gestion de base de données ............................................................................................ 20
1.4. Site statique .............................................................................................................................. 21
1.5. Site dynamique ......................................................................................................................... 21
Conclusion ............................................................................................................................................. 22
CHAPITRE 2 ETUDE PREALABLE ............................................................................................................. 23
Introduction........................................................................................................................................... 23
2.1. PRESENTATION DE LA POLYCLINIQUE SAINT GEORGES ................................................................. 23
2.1.1. HISTORIQUE................................................................................................................................. 23
2.1.2 SITUATION GEORAPHIQUE ........................................................................................................... 24
2.1.3. SITUATION SANITAIRE ................................................................................................................ 24
2.1.4 SITUATION SOCIO-ECONOMIQUE ................................................................................................ 25
2.1.5 SITUATION ADMINISTRATIVE ....................................................................................................... 25
2.1.6. CAPACITE D’ACCUEIL ................................................................................................................... 26
2.1.7. MISSION DE L’HOPITAL................................................................................................................ 26
2.1.4. ORGANIGRAMME FONCTIONNEL................................................................................................ 27
50

2.2. ETUDE DE L’EXISTANT .................................................................................................................... 28


2.2.1. Narration ..................................................................................................................................... 28
2.1.5.2. Etude de poste de Travail ......................................................................................................... 29
2.1.5.3. ANALYSE DE FLUX ..................................................................................................................... 30
a. Tableau de flux ............................................................................................................................. 30
b. ETUDE DE DOCUMENTS ............................................................................................................. 35
ETUDE DES RESSOURCE MATERIELLE .................................................................................................... 35
ETUDE DES RESSOURCES HUMAINES .................................................................................................... 35
ETUDE DES RESSOURCES LOGICIELLES .................................................................................................. 36
c. ANALYSE DES FLUX D’INFORMATION ..................................................................................... 36
d. DICTIONNAIRE DE DONNEES .................................................................................................... 36
2.1.4. SHEMA DE CIRCULATION DES INFORMATIONS ........................................................................... 37
2.2. CRITIQUE DE L’EXISTANT ................................................................................................................ 38
2.3. PROPOSITION DES SOLUTIONS....................................................................................................... 38
2.4. ANALYSE DE BESOIN ....................................................................................................................... 38
2.5. LES BESOINS FONCTIONNELS ......................................................................................................... 38
2.6. LES BESOINS NON FONCTIONNELS................................................................................................. 39
2.7. Résultat attendus ........................................................................................................................... 39
Conclusion ............................................................................................................................................. 39
CHAPITRE 3 MODELISATION ET REALISATION DU SITE WEB ................................................................ 40
3.1 ETAPE CONCEPTUELLE..................................................................................................................... 40
3.1.1 CONCEPTS DE BASE ...................................................................................................................... 40
3.1.2 MODEL CONCEPTUEL DES DONNEES (MCD)....................................................................... 40
3.1.3 MODEL LOGIQUE DES DONNEES (MLD) .............................................................................. 41
3.1.4 MODEL PHYSIQUE DES DONNEES (MPD) ............................................................................ 42
3.2 PRESENTATION DES OUTILS ET LANGAGES UTILISES ........................................................ 43
3.2.1. APERCU SUR LE LANGAGE PHP ........................................................................................ 43
3.2.2. MySQL................................................................................................................................... 43
3.2.3. WampServer ......................................................................................................................... 43
3.3. QUELQUES PARTIES DE L’APPLICATIONS ........................................................................... 44
BIBLIOGRAPHIE ...................................................................................................................................... 47
51

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