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Introduction générale
1. Problématique
Il est très avantageux que l’administration du Collège Saint Barthelemy utilise dans
l’accomplissement de ses tâches un outil informatique adéquat orienté-école. Mais
hélas, après notre passage à l’école, nous avons constaté les problèmes suivants :
Au regard de ce qui précède, nous nous sommes posés les questions de savoir :
2. Hypothèse
Le choix du sujet est porté sur la mise en place d’une application client-serveur pour
la gestion de scolarité (perçue comme un ensemble des services) d’une école.
4. Délimitation du travail
Notre étude est limitée dans l’espace et dans le temps. Dans le temps, l’étude a été
menée dans la période allant de 2019 à 2021.
Ce présent travail ne couvre pas la gestion globale (tous les services) de l’école vue la
taille du problème et le temps imparti à ce travail.
Néanmoins, étant donné que notre travail porte sur une solution basée sur la
technologie ERP, nous devons couvrir un périmètre de gestion important afin que
notre logiciel réponde aux exigences des applications ERP. Pour ce faire, nous allons
couvrir trois (3) services principaux ou activités au sein d’un établissement scolaire à
savoir : Gestion des élèves (inscription, registre de présence, classes, cours), gestion
des personnels (enregistrement, registre de présence, listing), et la gestion des
finances (frais scolaire, paie et emprunts des salariés). L’idée est d’appliquer les
principes de la technologie ERP dans notre logiciel.
5. Méthodes et techniques
5.1 . Méthodes
5.2 . Techniques
Les différentes techniques de récolte des données utilisées sont les suivantes :
6. Difficultés rencontrées
7. Subdivision du travail
a. Information naturelle
Il s’agit de l’information telle qu’elle est produite ou appréhendée par l’homme avec
ses moyens d’expression naturelle.
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Elle peut prendre des formes diverses parmi lesquelles nous trouvons :
b. Information structurée
L’information structurée permet de représenter de manière plus rigoureuse les
informations naturelles qui sont souvent difficilement appréhendables et
manipulables. Elle est généralement obtenue à la suite d’une extraction manuelle ou
automatique dans une information naturelle : on parle d’extraction de données.
L’intérêt d’extraire des données d’une information naturelle est double :
Le premier intérêt est la concision de l’information permettant de diminuer le
temps de communication, d’assurer une plus grande fiabilité et de diminuer
l’espace de stockage sur les supports.
Le deuxième intérêt réside dans la possibilité de faire subir aux données des
traitements algorithmiques : à partir d’un ensemble de données agrégées ; on
parle alors de traitement de données.
I.1.2 INFORMATIQUE
Etymologiquement l’informatique est une concaténation de deux mots INFOR (pour :
information) et MATIQUE (pour : automatique) inventé en 1962 par Philippe
Dreyfus et accepté par l’académie française en 1966 comme étant « une science du
traitement rationnel, notamment par machines automatiques, de l’information
considérée comme le support de connaissances humains et de communication dans
le domaines techniques, économiques et sociaux. »
Informatique
Figure I.1.
Information Automatique
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La discipline est née du fort besoin en table des balistiques de l’armée américaine
pendant la deuxième guerre mondiale. Ces tables nécessaires pour savoir où allaient
tomber les obus qu’on envoyait, demandaient des milliers d’heure de calcul, il était
donc nécessaire d’automatiser cela. L’informatique est donc né du calcul.
Ce n’est que dans les années 50 qu’elle commença à s’occuper de l’information en
générale, et pris son nom.
L’informatique est donc « une science de traitement rationnel et automatique des
informations. » Et il faut souligner que ce traitement automatique se fait à l’aide d’un
outil adéquat appelé « ordinateur ».
On appelle ici ordinateur tout système possédant un processeur (CPU ou UCT). Ce
dernier est l’élément de base voire même l’unité centrale des traitements
automatiques. Il se charge d’exécuter les instructions.
Selon le dictionnaire le Robert : « L’informatique est une science et ensemble des
techniques de la collecte, du tri, de la mise en mémoire, de la transmission et de
l'utilisation des informations traitées automatiquement à l'aide de programmes
(logiciels) mis en œuvre sur ordinateurs ». Nous allons donc décortiquer chaque
concept succinctement :
L’informatique est une science dans la mesure où elle constitue un ensemble
ordonné de connaissances relatives à certaines catégories de faits ou des
phénomènes.
Elle regroupe des méthodes systématiques permettant de collecter des
informations.
Ces informations seront par la suite triées : c.-à-d. : structurées, ordonnées et
soumises aux traitements à l’aide des programmes adéquats.
Ensuite vient la phase de mémorisation qui consiste à stocker ces
informations triées, structurées ou traitées sur des supports standards.
A des fins d’utilisations diverses, cette information doit être diffusée ou
transmise via des canaux de communication.
A l’heure où nous sommes, l’informatique a presque mis tout le monde d’accord, car
elle trouve des applications dans plus de 90% de domaines de la vie courante. C’est
pourquoi on peut parler de l’informatique appliquée à la médecine, à l’économie, à la
communication, à l’industrie etc. Elle modifie les structures et les motivations des
entreprises en créant une large palette d’activités. Elle fait gagner du temps et résous
des problèmes complexes.
Il y a donc lieu d’espérer que l’utilisation de l’outil informatique, bien assimilé et très
bien maitrisé, apporte une meilleure gestion, un meilleur fonctionnement et une
meilleure rentabilité de l’entreprise.
Entrée Sortie
Système
Figure I.2.
Critère
Les entrées proviennent du monde extérieur et stimule le système, qui étant régit par
des règles de gestion et des traitements divers, va devoir produire des résultats
appelés « Etats de sortie ». Les traitements effectués au sein d’un système
d’information sont regroupés en processus, qui à leur tour forment des opérations.
b. Système probabiliste : c’est un système dont on peut définir les états d’entrées,
les états de sorties et la probabilité des passages d’un état d’entrée quelconque à un
état de sortie.
c. Système indéterminé : celui dont on n’est pas à mesure de prévoir les sorties
correspondant à une valeur quelconque des entrées.
Système opérant : C’est l’ensemble des exécutants, des ouvriers qui travaillent
dans la transformation des matières premières de l’entreprise en produits finis.
Ils doivent travailler en conformité avec les directives et règles dictées par le
sous-système de pilotage.
l’organisation vers des objectifs qui lui sont fixés et de vérifier que ces objectifs ont
bien été atteints.
Figure I.3
Le sous-système de pilotage définit donc les règles de gestion d’une entreprise, élabore
certains états du système d’information, fixe certaines contraintes pour adapter le
milieu du travail à tous les incidents potentiels et dérapages, et définissent des
politiques marketing ou modèles économiques pour commercialiser un produit.
En pratique, ces règles de gestion peuvent donc être par exemple :
- La condition d’exécution d’un processus (ensemble d’opérations)
- Le délai maximal pour finaliser une opération
- Le nombre limite de transaction qu’un client peut effectuer. Etc.
C’est le système dans lequel les produits finis sont fabriqués à partir des certaines
matières pour le cas des entreprises industrielles d’où la rémunération des ouvriers
est appelée « main d’œuvre directe ». Pour les autres catégories d’entreprises telles que
les entreprises de services, on parlera de charge salariale.
S/S de pilotage
S/S opérant
Figure I.4.
L’enjeu de toute entreprise qu’elle soit industrielle ou de service consiste donc à mettre
en place un système destiné à collecter, mémoriser, traiter et distribuer l’information
(avec un temps de réponse suffisamment bref). Le système ainsi mis en place est le
système d’information et va assurer le lien entre le système opérant et le système de
pilotage
Définition
Comme nous venons de le définir précédemment, nous pouvons dire que :
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- machines et procédures qui ont pour but d’engendrer des flux ordonnés
d’informations pertinentes provenant de différentes sources et destinées à servir
de base aux décisions.
Dans certaines organisations, on peut trouver des formes plus intégrées du système
d’information ; cette intégration peut se faire soit au niveau du système opérant ou
soit au niveau du système de pilotage. D’où nous avons :
Le système d’information intégré au système opérant qui ne décrit plus le
fonctionne ment du système opérant mais il est intégré à ce fonctionnement.
Les décisions de pilotage sont directement traduites en des décisions
d’exécution de règles incluses dans une gamme opératoire ;
Le système d’information intégré au système de pilotage, il doit permettre
d’engager les décisions prises lors de diverses situations afin de rendre le
pilotage plus intelligent. Ces systèmes interactifs d’aide à la décision (S.I.A.D)
ont une architecture proche de celle des systèmes experts et font donc
largement appel pour leur conception aux techniques de l’intelligence
artificielle.
Dans les lignes qui suivent nous allons expliquer de manière détaillée quelques termes
clés intervenants dans les différentes définitions d’un système d’information.
Moyens humains
Il s’agit des différentes personnes qui manipulent, émettent ou transmettent de
l’information utile au système de pilotage ou organisationnelle. A part quelques
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Méthodes
On peut trouver :
Des algorithmes ou des programmes sous forme de fiches ou de logiciels
d’ordinateurs ;
Des méthodes mathématiques, statistiques, probabilités, analyse de données,
…
Des modèles dérivés de la recherche opérationnelle : graphes PERT, gestion de
stock, files d’attente, …
Des modèles comptables (comptabilité générale ou analytique) ;
Des modèles économiques ;
Des simulations diverses.
Tableau 2
E. Système informatisé
Un système informatisé est un système pouvant effectuer des opérations ci-après avec
une information reçue :
- Saisie : il permet la saisie de l’information brute.
- Traitement : réalise des opérations de traitement avec cette information pour
la transformer à une matière première pour l’outil informatique c’est-à-dire
« donnée » capable.
- Restitution du résultat
- Stockage de l’information
- Diffusion : L’information traitée et stockée peut ainsi être partagée à travers le
système d’information à tous les niveaux de la hiérarchie.
Service
Service de vente
d’approvisionnement
Service de Service
production d’administration
Figure 7. Système intégré.
Figure I.5
b. L’architecture de traitement
On peut distinguer :
Le traitement centralisé : C’est le cas où les informations d’une organisation
sont traitées un seul et unique site, alors que les opérations telles que saisie ou
consultation se font sur plusieurs sites.
Il s’agit d’une puissance centralisée de traitement et possède comme avantages
notamment : une large palette de conception, d’administration ; maintenance
facile.
I.2.1 Historique
Avant les années 70, la plupart des systèmes qui permettaient de gérer de grands
volumes de données d’une façon plus ou moins cohérente étaient basés sur de simples
fichiers séquentiels d’où apparurent les Systèmes de gestion des fichiers.
Déjà vers la fin des années 760, les premiers systèmes qui étaient capables de cacher
la représentation interne des données à l’utilisateur apparaissaient sur le marché.
Ces systèmes qui offraient à l’utilisateur une certaine structure logique pour stocker
les données, étaient déjà équipés de certains mécanismes de base pour assurer la
cohérence de données via des règles qui pouvaient être définies par l’utilisateur. Le
système vérifiait ces règles lors de chaque modification de données. Ces systèmes
étaient essentiellement basés sur les deux modèles suivant :
I.2.2 Le fichier
Un fichier est un support de stockage des informations plus ou moins structuré, doté
d’un nom et pouvant être manipulé par un programme adéquat.
La plupart de données que traite l’ordinateur ne lui sont pas fournies directement à
partir du clavier, mais proviennent d’un support de stockage. Par ailleurs, les
résultats de traitement ne sont pas seulement affichés à l’écran ou imprimé sur
papier, mais le plus souvent conservés sur de support de stockage de sorte que ces
données ou résultats peuvent servir de données d’entrée pour le traitement ultérieur.
Pour que l’ordinateur puisse accéder facilement aux données stockées sur un support,
il importe qu’elles y soient enregistrées de manière logique et univoque. En effet, les
formes de stockages les plus élémentaires sont des fichiers.
Il a fallu attendre le milieu des années 70 pour voir apparaître les premiers systèmes
qui étaient basés sur le modèle relationnel, les "Systèmes de Gestion de Bases de
Données Relationnelles (SGBDR)".
I.2.4.1 Généralités
a. Définition
Une base de données informatisée est un ensemble structuré de données enregistrées
sur des supports accessibles par l’ordinateur, représentant des informations du
monde réel et pouvant être interrogées et mises à jour par une communauté
d’utilisateurs simultanément et cela en un temps opportun.
Nota : Il y a lieu de préciser que la base de donnée informatisée est un « ensemble
structuré de données » et non un « ensemble de données structurées ». En effet, la
structure se trouve au niveau du support de stockage (Base de données) d’où les
données doivent se conformer avec ladite structure. Donc les données ne viennent pas
avec leur propre structure mais plutôt elles s’adaptent à la structure définie par la
base de données.
Les bases de données informatisées ont pris une place importante en informatique et
particulièrement dans le domaine de la gestion
par un langage spécifique de manipulation des données (LMD) mais aussi par des
langages de programmation classique.
b. Critères
L’exhaustivité : c’est le fait qu’on doit retrouver dans la base de données tous
les renseignements possibles ayant trait aux applications en question.
La non-redondance : ça implique la présence d’un renseignement donné une
fois et une seule dans la base de données.
La structure : elle est l’adaptation du mode de stockage des renseignements
aux traitements qui les exploiteront et les mettront à jour, ainsi qu’au cout de
stockage dans l’ordinateur.
Dans cette structure, la dépendance entre les données est formalisée selon des règles
simples :
Modèle linéaire : chaque entité a une seule entité « père » et au plus une seule
entité « fils »
Modèle arborescent : chaque entité à une seule entité « père » mais peut avoir
plusieurs entités « fils ». Chaque classe d’entités du monde réel correspond à
un nœud de l’arbre et les chemins entre les nœuds représentent les liens
existants entre les objets.
La dépendance logique entre les données est matérialisée par la mise en place de liens
physiques appelés pointeurs qui sont définis à la création de la base de données et
déterminent rigoureusement le cheminement possible pour passer d’une information
à une autre.
b. Modèle réseau
Ce modèle, inventé par C.W. Bachmann se conforme aux normes fixées par le groupe
CODASYL (Conférence On Data System Langage) en 1971 et est en mesure de lever
des nombreuses difficultés au modèle hiérarchique en proposant une solution pour :
Elle est une extension du modèle hiérarchique dont la structure des données peut
être visualisée sous la forme d’un graphe. Pour retrouver une donnée dans une telle
modélisation, il faut connaitre le chemin d’accès (les liens) ce qui rend les programmes
dépendants de la structure de données.
c. Modèle relationnel
Une base de données relationnelle est une base de données structurée suivant les
principes de l’algèbre relationnelle.
Suite à ses recherches au centre d’IBM à San JOSE, le mathématicien Edgar Frank
CODD propose en 1970 une théorie rigoureuse pour l’élaboration d’un modèle de
données constitué
Avantage :
Inconvénients :
d. Modèle objet
Appelé aussi modèle relationnel-objet, la notion relative à ce modèle de base de
données est plus récente et encore en phase de recherche et de développement. Les
données sont stockées sous forme d’objets c’est-à-dire de structures appelées classes
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présentant des données membres et les champs sont considérés comme des instances
de ces classes.
e. Modèle déductif
L’idée de ce modèle est de coupler une base de données à un ensemble de règles
logiques permettant d’en déduire de l’information.
La gestion et l’accès à une base de données étant assuré par SGBD, ce dernier doit
permettre l’ajout, la modification et la recherche de données dans la base de données.
Ce logiciel doit pouvoir être utilisé simplement par un personnel non spécialisé ; d’où
la nécessité d’une interface des commandes entre les utilisateurs et le système lui-
même.
a. Objectifs
Les SGBD ont pour objectifs principaux :
1. Etape d’analyse :
L’analyse est l’étape fondamentale dans le processus de conception et est aussi la plus
délicate ; elle nous permettra de mettre sur pied un cahier de charge dans lequel est
prédit le résultat attendu et de comprendre ce que c’est le besoin de l’utilisateur,
les objectifs étant fixé par le responsable du projet ou de l’application et peuvent être
à long, moyen ou à court terme. Il existe de nombreuses méthodes d’analyse dont
MERISE est la plus utilisée en France.
2. Etape conceptuel :
3. Etape logique :
1. Le découpage
Appelé aussi modèle entité-association, il a pour but d’écrire de façon formelle les
données qui seront utilisées par le système d’information. Il s’agit donc d’une
représentation des données, facilement compréhensible et permettant de décrire le
système d’information à l’aide d’entités.
Nom de l’entité
Propriété 1
Propriété 2
.
.
Figure I.7 .
Propriété N
Propriété ou Attribut :
Une propriété ou Attribut est une
information élémentaire associée à un objet (entité). Chaque entité (objet) comporte
une ou plusieurs propriétés.
P a g e | 29
L’identifiant :
Un identifiant est une propriété ou un ensemble des
propriétés permettant de distinguer d’une manière unique (sans ambigüité)
l’occurrence d’une entité. Il est souvent placé comme première propriété et
éventuellement en le soulignant ou parfois le faire précéder d’une dièse (#).
L’association ou Relation
Une association ou relation est un lien
unissant des objets. Les associations ou relations sont définies par des règles de
gestion et d’organisation souvent exprimées par des verbes à l’infinitif ou par des
propositions ; Elle est formalisée par un cercle ovale avec le nom de l’association à
l’intérieur ainsi que les propriétés de l’association si possible.
Figure II.1
Désavantages :
Et a comme inconvénients :
- Problème de IHM (Interface Homme Machine)
Figure II.2
Figure II.3
Figure II.4
Les architectures 3-tiers sont complexes et demandent des compétences très pointues
en particulier du fait de manque de standards. Malgré ses avantages techniques
évidents. Ce type d’architecture fut donc souvent jugé trop coûteux à mettre en place.
Alors que les solutions pour la mise en place d’architecture 3-tiers existaient depuis
longtemps, leur généralisation explosa avec l’arrivée d’un phénomène mondiale qui a
révolutionné l’informatique « le World Wide Web »
La véritable révolution du W3 réside dans son caractère universel fruit de l’utilisation
des standards reconnus : HTML pour la description des pages disponibles sur le web,
HTTP pour la communication entre navigateur web, TCP/IP le protocole réseau
largement utilisé, enfin CGI l’interface qui permet de déclencher à distance de
traitements sur les serveurs web. L’avantage s’obtient au niveau de la sécurité, de
flexibilité, et de performance.
On peut alors définir les concepts suivant :
A. Client léger
C’est une application où le traitement des requêtes du client est entièrement effectué
par le serveur, le client se contente de recevoir et mettre en forme des données pour
afficher les réponses calculées et envoyées par le serveur.
Avantages :
- Peu de puissance de calcul est nécessaire au niveau du client.
- La mise à jour de l’application s’effectue uniquement sur le serveur.
- Le travail de développement est concentré sur le serveur.
Ces genres d’applications concerne majoritairement l’environnement web où le poste
client est un simple navigateur dépourvu de puissance de calcul se contentant de
mettre en forme les données renvoyées par le serveur web.
P a g e | 37
B. Client lourd
C’est une application où les traitements sont principalement effectués sur la machine
locale dite cliente. Le serveur se contente principalement de répondre aux demandes
de données du client.
Avantages :
- Le client lourd peut parfois fonctionner même en cas de déconnexion du serveur
- Une partie du traitement est réalisée par le client, ce qui soulage les ressources
du serveur.
C. Client riche
Un client riche est une application où le traitement des requêtes du client est effectué
majoritairement par le serveur, le client recevant les réponses « semi-finies » et les
finissant.
C’est un client léger plus évolué permettant de mettre en œuvre des fonctionnalités
comparables à celles d’un client lourd.
« Le client riche est donc un compromis entre le client léger et le client lourd ».
Ces applications sont vulgarisées grâce aux technologies web (Ajax par exemple) qui
permettent de mettre en œuvre un traitement distribué entre le client et le serveur.
Figure II.5
L’inconvénient de ce type de réseau est que si le câble de liaison est coupé ou devient
en panne, toutes les machines ne seront plus en communication.
COUCHE Fournit les transformations syntaxiques des données pour leur tra
COUCHE PRESENTATION (compression, cryptage…)
HAUTE
Dans ce modèle, la couche basse constitue déjà le réseau, et les autres ne sont là que pour
exploiter ce réseau.
E. Le médium de transport
Le médium de transport correspond aux éléments matériels et immatériels capables
de transporter des éléments binaires, comme les câbles et les ondes radio. Dans le
P a g e | 43
premier cas, ce sont des fils métalliques ou des fibres optiques qui transportent
l’information et dans le second les ondes hertziennes.
Les deux types de support sont plus complémentaires que concurrents. L’hertzien
permet la mobilité mais au prix de débits plus faibles. De son côté, le câble propose
des débits de plus en plus importants. Même si les débits des équipements mobiles
augmentent, l’écart reste stable avec ceux des câbles. On arrive aujourd’hui à des
dizaines de gigabits par seconde sur la fibre optique contre des centaines de mégabits
par seconde pour l’hertzien.
II.2.2 Caractéristiques
Un Système basé sur la technologie ERP se caractérise par :
1. Gestion effective de plusieurs domaines de l’entreprise par des modules intégrés
ou des progiciels susceptibles d’assurer une collaboration des processus.
II.2.3 Avantages
Globalement, l’ERP confère deux types d’avantages : une vision d’ensemble de
l’activité de l’entreprise (un dirigeant peut avoir accès à des statistiques et analyses
lui permettant d’être aidé dans ses prises de décision) et la standardisation du
fonctionnement interne.
Les avantages spécifiques liés à la mise en œuvre d’un ERP sont :
1. L’optimisation des processus de gestion.
Figure II.6
l’ERP peut vous contraindre soit à gérer en parallèle plusieurs versions de ces
produits, soit à vous plier entièrement au choix fait par l’éditeur.
Revoir les règles de gestion spécifiques pour les adapter au progiciel. Cette
démarche implique une analyse préalable des processus et une réflexion à
mener par la maîtrise de l’ouvrage puis une bonne conduite de changement
lors de la mise en place du progiciel. En effet, les employés doivent être
préparés à voir la nature de leur travail évoluer, à adopter les nouvelles règles
de gestion et à abandonner les anciens logiciels qu’ils utilisaient.
TYPE DE ERP ERP STANDARD ERP SPECIFIQUE
Tableau 4
Désavantages :
Dépendance éditeur
Flexibilité, adaptation
Coûts
Mise en œuvre.
On peut citer quelques-uns des éditeurs des solutions ERP : ORACLE, MICROSOFT,
SSA, INTENTIA, SAP, SAGE / ADONIX etc.
B. ERP Open Source
Ils sont relayés par des partenaires (SSI, cabinets de conseil) pour le support.
L’implémentation d’un progiciel Open Source revient moins cher, puisqu’il n’y a pas
de coût de licence.
En revanche, il faut inclure dans le calcul du coût d’acquisition total les frais de
maintenance, de l’assistance technique et de la formation.
Avantages :
Agilités, flexibilité
Spécificité
Coûts
Indépendance
Mise en œuvre
Inconvénients
Assistance, support
Puissance
Pérennité
du marché. Ainsi le choix d’un ERP ne se fait plus comme c’était le cas auparavant,
exclusivement sur les critères fonctionnels. On privilégiera plutôt les qualités de
l’éditeur : sa stabilité, sa surface financière et son parc installé ; et l’intégrateur : sa
méthodologie, sa compréhension du métier et sa capacité à mener à bien le projet
d’intégration dans le respect des délais et de budgets.
B. La taille de l’entreprise
La taille de l’entreprise est un critère important, non pas lors de l’étude de la
possibilité de mettre en œuvre, ou pas, un ERP (les offres concernant aujourd’hui les
PME/PMI, les moyennes comme les grandes entreprises) mais plutôt lors des choix
des stratégies de mise en œuvre de l’ERP, les périmètres et budgets du projet en
fonction des objectifs de l’entreprise.
C. Le coût de l’ERP
IL existe une règle d’or pour cerner l’investissement raisonnable pour une PME, il
s’agit de la règle du 1-3 % du chiffre d’affaires.
Ce pourcentage inclus le coût d’achat du logiciel et de l’infrastructure nécessaire. Il
inclut d’autres dépenses afférentes dont voici les principales :
Les solutions ERP entraînent non seulement des changements techniques profonds,
mais aussi des modifications fondamentales dans le mode de fonctionnement de
l’entreprise. Les employés devront adapter de nouvelles tâches et responsabilités. Ils
devront apprendre à maîtriser de nouveaux processus et comprendre comment
l’information qu’ils produisent dans le système peut impacter d’autres secteurs de
l’entreprise. L’apprentissage et la formation est conditionnent fortement la réussite
d’un projet ERP.
P a g e | 52
III.1.1 Historique
Le collège Saint Barthelemy a vu le jour en septembre 2001 à l’initiative des prêtres
de la société des missions africaines « SMA » en sigle. En accord avec la hiérarchie de
l’église, les prêtres de la société de missions africaines ont obtenu l’autorisation du
secrétaire général à l’enseignement primaire secondaire et professionnel EPSP en
sigle, sous le numéro « EDEN/SG/80/EPSP/2247/2001 afin de fonctionner l’école.
Cette dernière a évolué progressivement jusqu’à avoir le cycle complet en 2007,
notamment en chimie-biologie et en commerciale informatique.
En 2003, l’école est mécanisée sous l’arrêté d’agrément n°
MINEPSP/CABMIN/01296/2005 du novembre 2005 grâce aux efforts et dynamismes
des prêtres de la société de mission africaines qui se sont succédé à la tête de la
paroisse : Le père Roger NICOL, Jules TEMUJI, Martin Ugo NWASU, Jules ADATOR,
Hyacinthe KOUASSI.
Il s’agit de signaler que le premier chef en 2001, il n’aura dirigé que quelques
mois. En Janvier 2012, il sera rappelé par les supérieures à d’autres fonctions et sera
remplacé par monsieur MUMPOTO Jacques.
A la rentrée 2002-2003 ; il a plu au supérieur de la congrégation de placer
à la tête de l’école Monsieur Odon Charles NASUKA MULONZI comme chef
d’établissement jusqu’à ce jour.
Actuellement, en sept éditions le collège compte 293 lauréats sur 327 ayant
participé à l’examen d’état. Pour 2014, 63 candidats ont présenté les évaluations sur
le plan national dont 35 en biochimie et 28 en commerciale informatique. La section
littéraire a commencé à l’année scolaire 2011-2012 en progression dont la 6ième
présentera l’examen d’Etat pour la première fois en 2014-2015.
P a g e | 55
III.1.4.2 La préfecture
Le préfet des études est le chef d’établissement. Il assure la gestion administrative et
pédagogique de l’établissement. Il est le représentant de l’état dans la gestion de la
chose publique.
SMA
Préfet des
études
Intendant Secrétaire
Professeurs
Tableau 5
III.3.1 Narration
17. Toutes les charges salariales (personnels) sont payées à l’Intendance (Primes).
Sous-
coordinat
ion
Préfectur 5 17
e
Intendan 7 8
ce
Secrétari 4 17 9
at
Direction 2 ; 17 3 1 ; 10 ; 14
16
Professeu 11 17 12 13
r
Elèves 6 15
Ouvriers 17
Tableau 6
P a g e | 61
5 Sous-
Préfecture coordination
4
7
Secrétariat
11
Professeur
9 17 8
12
17
2 15
Intendance
Direction
17
17
10 1
13
?
16 16 6
Ouvrier
Elève
Figure III.2
P a g e | 62
Pour que les informations soient bien traitées, des moyens suivants sont utilisés :
Tableau 7
* Incapacité
d’avoir des
informations à
temps réel et
actualisées.
Tableau 8
P a g e | 64
Tableau 9
A. Reçu
Figure III.3
P a g e | 65
Figure III.4
Figure III.5
D. Registre d’appel
Classe …………… Date ………………..
N°
NOM POSTNOM PRENOM SEXE Mention
Présent /
Absent /
Malade ou
(P, A, M)
Figure III.6
P a g e | 66
Selon nos analyses, la solution idéale pouvant résoudre les problèmes susmentionnés
que rencontre l’école est celle de mettre en place un système d’information
informatisé. Il consistera à automatiser certaines procédures en vue d’optimiser la
gestion des activités scolaires du collège saint Barthelemy.
Notre proposition s’inscrit dans la vision du collège saint Barthelemy dans la mesure
où l’objectif social poursuivi par cette école (cet objectif est mentionné au point III.1.2)
peut être atteint avec l’accompagnement numérique que notre solution propose.
P a g e | 68
C. Au niveau de la finance
- Frais scolaires
- Emprunts des salariés
- Bulletins de paie et reçus de frais
- Bilan et statistique
Les postes de travail ciblés sont généralement ceux ayant une relation étroite avec
l’administration à savoir
Le secrétariat : s’occupera des flux d’informations relatifs aux élèves et aux
personnels
IV.2 Conception
La méthode choisie pour concevoir notre logiciel est « MERISE » (déjà effleuré au 1ier
chapitre). MERISE nous permet de concevoir le système d’information et au même
moment il constitue une démarche méthodologique pour développer ce système
d’information (telle est sa double vocation).
PRENOM_ELEVE
SEXE_ELEVE
DATE_NAISSANCE
LIEU_NAISSANCE
POST_NOM_TITEUR
PRENOM_TITEUR
NATIONALITE
ADRESSE
TELEPHONE
SEXE
P a g e | 70
DATE_NAISSANCE
ADRESSE
TELEPHONE
FONTION
ETUDES
NUMERO_MATRICULE
SALAIRE_MENSUEL
NOM_ADMIN
POST_NOM_ADMIN
PRENOM_ADMIN
MOT_DE_PASSE
SECTION
OPTION
LOCAL
PRESENT ?
POINTE ?
HEURE
DATE
Tableau 10
Figure IV.1
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1. Table élève
Figure IV.3
2. Table employé
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Figure IV.4
3. Table Inscription
Figure IV.5
4. Table Classe
Figure IV.6
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Figure IV.7
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Figure IV.8
IV.3 Implémentation
IV.3.1. Technologies et Outils matériels utilisés
A. Technologies
A.1. Environnement Serveur
Apache : utilisé comme serveur d’application
A. Login
Figure IV.9
Figure IV.10
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Figure IV.11
Figure IV.12
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<?php
require("database.php");
include("kartable_debut.php");
include("kartable_functions.php");
include("Kartable_update_exel_db_student.php");
$action = (isset($_GET['action']))?htmlspecialchars($_GET['action']):'';
?>
<?php
class admin
{
private $_db; //instance de PDO
private $a_noms;
private $a_psw;
private $a_id;
//Variables de session
$_SESSION['id_admin'] = $data['id_admin'];
$id_admin = $data['id_admin'];
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}
else {
$reposnse = "Une erreur inconnue s'est produite.";
$code_erreur = '2';
$resultat = $reponse.':'.$code_erreur;
echo $resultat;
}
}
<?php
class eleve extends tuteur
{
private $_db; //instance de PDO
if($id_admin == 0)
{
echo 'Veillez vous identifier comme administrateur !';
}
else{ $date = time();
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CONCLUSION GENERALE
Bibliographie
A. Ouvrages
B. Notes de cours
D. Webographie
9. Www.wikipédia.com