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INTRODUCTION
Aujourd’hui la technologie de l’information et de
communication se présente dans les sciences appliquées, dans les
entreprises, dans l’enseignement, dans le banques, dans les assurances
ou encore dans le commerces ; voire même à domicile, et son importance
ou plus à démontrer.

Grace à elle, nous pouvons :


 Stocker, manipuler aisément et rapidement une grande masse de
données ;
 Obtenir à partir de ces masses de données des informations
présentées sous forme synthétique (tableau, statistiques,
compte divers etc…) ;
A l’heure actuelle, la science nommée « informatique » et
« automatique » est devenue un atout important de l’homme dans plusieurs
domaines de la vie, à savoir : socio-économique, transport, gestion,
communication de la télécommunication.

1. Revue de la littérature

Dans ce point, il est question de démontrer notre rapport


par rapport aux sujets antérieurement traités dans le même domaine,
notre sujet de recherche a été déjà abordé par un ainé scientifique,
notamment par :

Muinya H, dans son travail intitulé conception d’un système


informatisé pour la gestion de prestation des agents de la DGDA
Par rapport à ces questions épineuses, l’auteur à présenter
une seule hypothèse pouvant résoudre les inquiétudes constituant la
problématique qui est l’informatisation du service qui gère la gestion
de prestation du personnel de la DGDA.

Par rapport à l’auteur lu, nous avons trouvé utile de faire


une gestion intégrée du système c’est-à-dire doté la DGDA d’une
application informatique qui prendra en charge la gestion de cotation
et d’avancement en grade du personnel et qui permettra de conserver sur
un rapport fiable et durable toute les données liées à cette gestion.
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Les calculs des dates au plus tôt et au plus tard, les marges libres et
totales, déterminant le chemin critique, puis présente le diagramme de
GANNT pour le calendrier d’exécution du projet. Notre base de données
est créée avec MySQL et le langage PHP est utilisé pour la partie
applicative.

2. Problématique

Ce travail se focalise sur le secteur d’activités de


Cotation des gens et d’avancement en grade des agents de la Direction
Générale de Douane et Accise. Sa demande Informatique pour une
meilleure gestion de toutes les informations y afférentes.

Au sein de la DGDA, nous avons constaté qu’il était


difficile de savoir la prestation des chaque agent. Au vu de tout ce
qui précèdes, nos angoisses dans ce travail se résument par question
suivante : que faire pour rendre performante la gestion de cotation
et d’avancement en grade de personnel de la DGDA ?

3. Hypothèse de l’étude

Pour mieux solutionner les angoisses soulevées dans la


problématique, il serait souhaitable de penser à l’informatisation de
la gestion de cotation des agents de la DGDA.

4. Objectif de l’étude

Nos recherches constituent un élément de plus dans la quête


des pistes de solutions en matière de cotation des agents de la DGDA.
En outre, ceux qui viendront après nous ne manquerons pas de consulter
pour s’en servir comme revue documentaire.
5. Choix et intérêt du sujet

Le choix de ce sujet se justifie par l’importance


d’informatisé les procédures administratives à la DGDA.
L’informatisation de la gestion de cotation permettra d’accélérer les
processus, de faciliter l’accès aux informations, d’assurer un
meilleur suivi des données des Agents.

6. Délimitation du travail

Pour la précision et la concision, notre travail est limité


dans le temps et dans l’espace. Cette étude est menée sur la
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Période allant de mars 2021 à mars 2013, {Direction Générale de Douane


et Accise.

7. Méthodes et techniques utilisées

Pour la gestion de cotation des agents, nous avons utilisé


la Merise qui a été capitale pour mettre en place le système futur de
cette étude et la méthode qualitative nous a permis de comprendre le
phénomène étudié pour proposer la solution idéale aux difficultés
rencontrées dans l’existant.

Parmi les techniques, nous avons utilisé l’interview pour


obtenir d’autres informations complémentaires de la part de nos
répondants. La documentation a aussi été à contribution pour éplucher
les informations historiques de la DGDA.

La méthode PERT a permis d’évaluer notre projet d’étude.

8. Subdivision du travail

A l’exception de l'introduction et de la conclusion, ce


travail est subdivisé en quatre chapitres. Le premier présente les
considérations générales, le deuxième porte sur la planification du
projet, le troisième décrit la connaissance de l’existant ou analyse
du contexte et la quatrième traite de la mise en œuvre et
interprétation des résultats.
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Chapitre premier : CONSIDERATIONS GENERALES ET THEORIQUES

Conformément aux dispositions arrêtées par les corps


académiques selon lesquelles tout travail scientifique, quel que soit
son domaine d’orientation de sujet abordé, devrait dorénavant,
comporter dans son premier chapitre les considérations générales qui
auront servi de source d’alimentation et de soubassement du travail,
nous nous sommes soumis à aussi à ses dispositions.

9. Mots clés

1.0.0.Conception

Une conception est le fait de concevoir un système en allant


du général au particulier, en passant par des « étapes d'affinage ».
La conception est la phase créative d'un projet d'ingénierie. Le but
premier de la conception est de permettre de créer un système ou un
processus répondant à un besoin en tenant compte des contraintes1.

1.0.1.Système informatisé

Un système informatisé c’est un ensemble de logiciels et


matériels qui remplissent ensemble certaines fonctionnalités2.
1.0.2.Gestion

La gestion est l’action ou la manière de gérer,


d’administrer, de diriger, d’organiser quelque chose. C’est la mise
en œuvre des ressources pour atteindre les objectifs fixés.3
1.0.3. Cotation

C’est l’action de coter quelque chose, de lui affecter une


note4.
1.0.4. Avancement

Fait de monter en grade, d’avancer dans une carrière5.

1 https://www.google.com/search=conception, consulté le 16/06/2023 { 20h18’.


2 www.google.com/système_informatisé, consulté le 16/06/2023 { 20h18’.
3 https://www.larousse.fr/dictionnaire/français/gestion, consulté le 05/08/2023 {
16h23’.
4 www.google.com/Cotation, consulté le 16/06/2023 { 20h18’.
5 www.google.com/Avancement, consulté le 16/06/2023{21h
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Grade

Chacun des degrés d’une hiérarchie quelconque : monter en


grade.
1.1. Concepts généraux
a. Base de données

Une base de données, BD, en anglais DB, data base est une
entité dans laquelle il est possible de stocker des données de façon
structurée et avec le moins de redondance possible. Ces données doivent
pouvoir être utilisées par des programmes, par des utilisateurs
différents. Ainsi, la notion de base de données est généralement
couplée à celle de réseau, afin de pouvoir mettre en commun ces
informations, d'où le nom de base. On parle généralement de système
d'information pour désigner toute la structure regroupant les moyens
mis en place pour pouvoir partager des données.5 On distingue plusieurs
types de bases de données, à savoir :
b. Base des données du type relationnel

Ce modèle a comme base la relation mathématique. Il a un


langage propre fondé sur la notion mathématique de la relation qui est
un ensemble de avec n données à l’avance. Ceci implique que les
informations sont citées sous forme de tables où l’accès est sélectif.
c. Base de données du type hiérarchique

La Base de données du type hiérarchique est une structure


où les données sont représentées sous forme d’un arbre renversé ou
arborescent. Son inconvénient majeur réside dans le fait qu’un fils
doit avoir un seul père, et pour avoir un fils, il faut nécessairement
passer par le père ; d’où l’accès est unique.
d. Base de données du type réseau
La base de données du type réseau correspond à peu près
au type hiérarchique, mais un modèle de données (informations) est
organisé sous forme de réseau. C’est un modèle où les différents nœuds
sont reliés les uns aux autres. Il est donc d’accès multiple.

1.1.0.3. Base de données objet


La notion de bases de données objet ou relationnel-objet
est plus récente ; elle est encore en phase de recherche et de
développement. Elle sera très probablement ajoutée au modèle
relationnel.

5 www.commentcamarche.com, consulté le 10/09/2023 { 23h45’.


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1.1.1. Système

Il existe plusieurs définitions du mot système, et c’est


par rapport à un domaine quelconque, mais toutes traduisent quasiment
la même chose. Parmi ces définitions, nous en avons retenu quelques-
unes, dont en : Anatomie où un système désigne un ensemble de parties
similaires qui participent à une activité commune (système cardiaque,
système digestif, système respiratoire, etc.) (Baptiste, J.L. 2012,
p. 5) et en Science, le système peut servir pour définir des unités,
par exemple le système métrique (Baptiste, J.L. 2012, p. 5).

1.1.0. Entreprise comme système

Si nous reprenons l’analogie anatomique, et si nous


comparons l’entreprise {un corps humain, nous pouvons réduire
l’entreprise {un cerveau qui pilote, un muscle qui opère et des nerfs
qui font transiter les informations. Ainsi, nous retrouvons trois
sous-systèmes dans une entreprise, à savoir : le système de Pilotage,
le système d’information et le système opérant.

a. Système de pilotage (SP)

Le SP est l’ensemble de processus par lesquels l’information


est convertie en action. On peut distinguer deux étapes principales
concernant le processus mis en œuvre pour prendre une décision :
l’étape d’identification par laquelle le décideur prend conscience du
problème à partir des informations dont il dispose et l’étape de
résolution du problème qui débouche sur le choix d’une solution.
1.1.2. Système opérant (SO)

Le SO est l’ensemble des moyens humains, matériels,


organisationnels qui exécutent les ordres du système de pilotage. Il
assure le fonctionnement du système global ; son activité est contrôlée
par le système de pilotage (Baptiste, J.L. 2012, p. 5).
1.1.3. Méthodes d’études en informatique

Une méthode d’étude en informatique est un ensemble des


règles qui conduisent {la conception et {la réalisation d’un système
d’information informatique. Parmi les méthodes utilisées, on distingue
: la méthode classique et la méthode Merise.
1.1.3.0. Méthode classique

Elle prend naissance avec l’avènement de la programmation


structuré dans les années 1960, sous terme usuel d’approche
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Structurée. C’est une méthode de conduite des projets informatiques


et comporte quatre techniques ou phases d’analyse classique qui sont
: Etude d’opportunité, Analyse organique, Analyse fonctionnelle et la
programmation (Mbikayi, J.M. 2013, p. 3).

1.1.3.1. Méthode Merise

Merise est une méthode de développement des projets


informatiques de gestion. Elle tire son nom du MERISIER qui est un
arbre porte-greffe. De façon analogue, Merise est le résultat de la
greffe de plusieurs méthodes. Une deuxième explication vient du fait
que le mot Merise se trouvait en haut à gauche d'un dictionnaire ouvert
à la lettre M (Divine, M., 2009, p. 12). Elle s'adresse à toutes les
applications sur micro, mini-ordinateur ou grands systèmes
informatiques. Par commodité, l'organisme à informatiser sur lequel
s'applique la méthode est appelé ici entreprise.
Merise est actuellement la méthode la plus répandue en
France. Historiquement, la première version officielle de Merise date
des travaux coordonnés par le Ministère de l’industrie en 1979 ; le
groupe de projet comprenait, outre une équipe de recherche dirigée par
Hubert TARDIEU, plusieurs sociétés de service. Depuis, plusieurs
versions ont été développées.
1.1.4. Système de Gestion de Base de Données

C’est un ensemble de logiciels qui manipulent le contenu


des bases de données. Il sert à effectuer les opérations ordinaires
telles que rechercher, ajouter ou supprimer des enregistrements
(Create, Read, Update, Delete abrégé CRUD), manipuler les index, créer
ou copier les bases de données.
1.1.5. Notion sur le réseau informatique

Le concept de réseau informatique désigne l’ensemble des


moyens matériels et logiciels mis en œuvre pour assurer les
communications entre ordinateurs, stations de travail et terminaux
informatiques (Fourt, D. 1998, p. 87).

L’objectif d’un réseau est le partage des ressources


matérielles (disques durs, imprimantes) et des ressources logicielles
(fichiers, applications).

1.1.5.0. Type

Suivant la distance séparant les ordinateurs, on


Distingue :
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a. Les CAN (Controller Area Network) : est un moyen de communication


série qui supporte des systèmes … qui n’indique pas la
destination du message mais la signification des données du
message (Montsongo, F., 2020, p. 35) ;

b. Les PAN (Personal Area Network) : désigne un type de réseau


informatique restreint en termes d’équipements, généralement mis
en œuvre dans un espace d’une dizaine de mètres. D’autre
appellations pour ce type de réseau sont : réseau domestique ou
réseau individuel ;

c. Les TAN (Transports Agglomération Niortaise) : il est le réseau


de transport en commun de l’agglomération nantaise. Horaires,
plans et informations sur les tramways ;

d. Les LAN (Local Area Network) : s’étendant sur une surface de


centaines de mètres. Ils correspondent à des réseaux intra-
entreprises (Intranet) ;

e. Les MAN (Metropolitan Area Network) : correspondent à une


interconnexion de quelques bâtiments se trouvant dans une ville
;

f. Les WAN (Wide Area Network) : destinés à transporter des données


{l’échelle d’un pays (Montsongo, F., 2020, p. 35).

1.1.5.1. Architecture

a. Architecture poste à poste

C’est un réseau sans serveur constitué de deux ou plusieurs


ordinateurs. Ici, tous les ordinateurs sont maîtres de leurs
ressources. Dans l’architecture poste {poste ou égal {égal (Peer to
Peer), toutes les stations de travail client peuvent également être
des serveurs.

b. Architecture Client-Serveur

L’architecture Client-Serveur s’appuie sur un poste central


(le serveur) qui gère le réseau et qui envoie des données aux machines
clientes.

c. Topologie

La topologie des réseaux, autrement appelée structure de


réseau, indique comment un réseau est conçu ou présenté (Pujolle, G.,
2012, p. 23). Ainsi, nous distinguons :

Topologie en bus : le bus est un segment central où circulent les


informations, s’étend sur toute la longueur du réseau et les nœuds
viennent s’y accrocher. Lorsqu’une station émet des données, ces dernières
circulent sur toute la longueur du bus et la station destinatrice peut
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les récupérer. Une seule station peut émettre à la fois. En bout de


bus, un "bouchon" permet de supprimer définitivement les informations
pour qu’une autre station puisse émettre (Pujolle, G., 2012, p. 23) ;

o Topologie en anneau : elle est principalement utilisée par les


réseaux Token Ring. Token Ring utilise la technique d’accès par
"jeton". Les informations circulent de stations en stations,
en suivant l’anneau. Un jeton circule autour de l’anneau. La
station qui a le jeton émet des données qui font le tour de
l’anneau. Lorsque les données reviennent, la station qui les a
envoyées les élimine du réseau et passe le jeton à son voisin,
et ainsi de suite (Pujolle, G., 2012, p. 23) ;

o Topologie en étoile : c’est la topologie la plus courante,


notamment avec les réseaux Ethernet RJ45. Toutes les stations
sont reliées à un unique composant central : le connecteur. Quand
une station émet vers le connecteur, celui-ci envoie les données
{tous les autres nœuds (hub) ou à celui qui en est le destinataire
(Switch) ;

o Topologie mixte : une telle topologie est malheureusement trop


simpliste dans le cas de réseaux importants. Si une topologie en
étoile est parfaite dans le cas d’un réseau limité
géographiquement, un réseau mondial ne peut utiliser une liaison
de ce type. La méthode utilisée est donc de relier des
réseaux en étoile (par bâtiments) via des liaisons en bus
(téléphonique) ;

o Topologie maillée : est reliée par des routeurs qui choisissent


la meilleure voie suivant plusieurs possibilités. Internet est
une topologie maillée, qui garantit le mieux la stabilité en cas
de panne d’un nœud mais est difficile {mettre en œuvre,
principalement au niveau du choix des routes {suivre pour
transférer l’information. Ceci nécessite l’utilisation de
routeurs intelligents (Pujolle, G., 2012, p. 23).

Le système informatique n’est rien d’autre que la partie


informatisée d’un système d’information automatisable (Keitani, N. &
All, 2000, p. 415).
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Le système d'information est la partie du réel constituée


d'informations organisées, d'événements ayant un effet sur ces
informations et d'acteurs qui agissent sur ces informations ou à partir
de ces informations, selon des processus visant une finalité de gestion
et utilisant les technologies de l'information. Il est composé de deux
parties essentielles :

g. Hardware : (partie visible ou matérielle) : tout ce qui est


visible c’est-à-dire l’ensemble de matériels ou la quincaillerie
(périphériques, imprimantes, disques…) ;

h. Software : (partie invisible ou intelligente) : tout ce qui est


invisible, qui regroupe le logiciel de base et le logiciel
d’application ou de gestion, c’est-à-dire les programmes écrits
par l’utilisateur dans la partie software (Mbikayi, J.M., 2013,
p. 3).
P a g e | 10

Chapitre deuxième : PLANIFICATION DU PROJET

Le projet est défini comme étant l’intention de faire, une


étude d’une chose avec dessins et devis ou un ensemble d’actions {une
organisation et aux décisions prises en vue d’atteindre des objectifs
bien déterminés (Mutamba, J. 2015, p. 27).

2.0.Technique d’ordonnancement des tâches

La réalisation d’un projet nécessite souvent une succession


de tâches auxquelles s’attachent certaines contraintes : de temps :
délais {respecter pour l’exécution des tâches, d’antériorité :
certaines tâches doivent s’exécuter avant d’autres et de production :
temps d’occupation du matériel ou des hommes qui l’utilisent…

Les techniques d’ordonnancement dans le cadre de la gestion


d’un projet ont pour objectif de répondre au mieux aux besoins exprimés
par un client, au meilleur coût et dans les meilleurs délais, en tenant
compte des différentes contraintes.

L’ordonnancement se déroule en trois étapes :

 La planification : qui vise à déterminer les différentes


opérations à réaliser, les dates correspondantes, et les moyens
matériels et humains à y affecter ;

 L’exécution : qui consiste {la mise en œuvre des différentes


opérations définies dans la phase de planification ;

 Le contrôle : qui consiste à effectuer une comparaison entre


planification et exécution, soit au niveau des coûts, soit au
niveau des dates de réalisation.

2.1.Méthode d’ordonnancement des tâches

Il existe plusieurs méthodes d’ordonnancement : le


diagramme de Gantt, la méthode MPM (Méthode des Potentiels Métra),
PERT probabilisé, PERT Cost, Lissage des charges et le PERT (Programm
Evaluation and Review Technic). Pour l’évaluation de notre étude, nous
nous sommes appuyée sur la dernière (PERT).

2.2.Principes de représentation en P.E.R.T


P a g e | 11

Avant la construction d’un graphe Pert, il est indispensable


de passer par les principes suivants :

 ressortir l’ensemble de tâches ou opérations { réaliser et leur


durée
P a g e | 12

 Analyser et définir précisément les liens d’interdépendance


entre les tâches du projet ;

 Identifier les tâches pouvant être réalisées simultanément ;

 Identifier les tâches dépendantes (qui ne peuvent commencer que


si les tâches précédentes sont entamées ou terminées ;

 Passer à la construction du graphe.

2.3.Contraintes dans un graphe P.E.R.T

La méthode PERT utilise un type de contrainte qui permet de


ne représenter que les contraintes de postériorité stricte (une tâche
ne peut commencer que lorsqu’elle est terminée).

a. Identification des tâches

Nous avons identifié une série de tâches permettant sa


réalisation complète, à savoir :

 Descente sur terrain pour la récolte des données (code : TA1) ;


 Récolte des données (code : TA2) ;
 Analyse des données (code : TA3) ;
 Conception et implémentation du nouveau système (code : TA4) ;
 Aménagement du local (code : TA5) ;
 Achat des matériels (code : TA6) ;
 Installation des matériels (code : TA7) ;
 Test du nouveau système (code : TA8) ;
 Correction du nouveau système (code : TA9) ;
 Formation des usagers (code : TA10) ;
 Déploiement du système (code : TA11) ;
 Maintenance (code : TA12).

b. Evaluation des ressources

Dans la méthode P.E.R.T, il y a trois méthodes d’évaluation


des ressources, {savoir : d’estimation unique, d’estimation triple et
d’attribution des points.

L’emploi de ces trois méthodes n’est pas permis pour faire


l’évaluation des ressources. Nous avons donc choisi la méthode
d’estimation unique, qui considère une valeur.
P a g e | 13

c. Contraintes d’élaboration du projet

TA1 Avant TA2


TA2 Avant TA3
TA3 Avant TA4
TA4 Avant TA5 et TA6
TA5 et TA6 Avant TA7
TA7 Avant TA8
TA8 Avant TA9
TA9 Avant TA10
TA10 Avant TA11
TA11 Avant TA12
P a g e | 14

d. Evaluation du temps et coût total du projet

Tableau 1 : Evaluation du temps et coût


total du projet

Tâches Durée en Coût


Code Tâches Qualification
antérieures Jour total ($)
Descente sur terrain pour la récolte des
TA1 - 1 20 Informaticien
Données
TA2 Récolte des données TA1 3 45 Informaticien
TA3 Analyse des données TA2 4 0 Informaticien
TA4 Conception et implémentation du nouveau système TA3 30 5000 Informaticien
TA5 Aménagement du local TA4 4 200 Informaticien
TA6 Achat des matériels TA4 3 2000 Informaticien
Informaticien
TA7 Installation des matériels TA5 et TA6 2 1000
Chef de direction info
TA8 Test du nouveau système TA7 15 0 Informaticien
TA9 Correction du nouveau système TA8 5 1500 Informaticien
TA10 Formation des usagers TA9 7 1000 Informaticien
TA11 Déploiement du système TA10 1 250 Informaticien
TA12 Maintenance TA11 14 500 Informaticien
P a g e | 16

e. Construction du graphe P.E.R.T

e1. Graphe P.E.R.T non-ordonné

TA5 6
TA1 TA2 TA3 TA4 TA7 TA8 TA9 TA10 TA11 TA12

1 2 3 4 5 8 9 10 11 12 13
TA6 T9
7

Figure 1 : Graphe P.E.R.T non-ordonné

e2. Matrice booléenne

Tableau 2 : Matrice booléenne


1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13

1 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0

2 0 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0

3 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0 0

4 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0 0 0

5 0 0 0 0 0 1 1 0 0 0 0 0 0

6 0 0 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0 0

7 0 0 0 0 0 0 0 1 0 0 0 0 0

8 0 0 0 0 0 0 0 0 1 0 0 0 0

0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 0 0 0

10 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 0 0

11 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1 0

12 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 1

13 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0 0

e3. Calcul des rangs

La matrice booléenne ci-dessus permet de ressortir les


rangs suivants :
P a g e | 16

Rn – 13 =
R0 n - 13 =
0
Soit n = 13

D’où, nous avons :

Rn = {R13} Rn – 7 =
Rn - 1 = {R12} {R6}
Rn - 2 = {R11} Rn – 8 =
Rn - 3 = {R10} {R5}
Rn - 4 = {R9} Rn – 9 =
Rn - 5 = {R8} {R4}
Rn - 6 = {R7} Rn – 10 =
{R3}
Rn – 11 =
{R2}
Rn – 12 =
{R1}
R13 - 13 = R0 = {1}
R13 - 12 = R1 = {2}
R13 - 11 = R2 = {3}
R13 - 10 = R3 = {4}
R13 - 9 = R4 = {5}
R13 - 8 = R5 = {6}
R13 - 7 = R6 = {7}
R13 - 6 = R7 = {8}
R13 - 5 = R8 = {9}
R13 - 4 = R9 = {10}
R13 - 3 = R10 = {11}
R13 - 2 = R11 = {12}
R13 - 1 = R12 = {13}
P a g e | 17

e4. Graphe P.E.R.T ordonné

4242
TA 6
5
0 0 TA1 1 1 TA2 4 4 TA3 8 8 TA4 38 4 44 TA8 59 TA 6464 TA10 7171 TA11 7272 TA12 8686
38 TA5’ 0 44 59 9
1 1 15 9 10 7 11 1 12 14 13
2 3 3 4 4 30 TA R5
5 6 8 5
3
4142
R R R R R R R R R1 R1 R1
0 1 4
7 7 8 9
2 3 0 1 2

R6

Figure 2 : Graphe
P.E.R.T ordonné
P a g e | 18

f. Recherche des dates au plus tôt et dates au plus tard

f1. Date au plus tôt (DTO)

En prenant comme l’hypothèse que toutes les tâches


précédentes ont été réalisées au plus tôt et que les liaisons entre
les tâches sont du type fin-début de délai nul.

Formule : DTO(x)= max DTO(y)+d(i)

DTO (1) = 0
DTO (2) = DTO(1) + d(TA1) = 0+2 = 2
DTO (3) = DTO(2) + d(TA2) = 2+3 = 5
DTO (4) = DTO(3) + d(TA3) = 5+6 = 11
DTO (5) = DTO(4) + d(TA4) = 11+14 = 25
DTO (6) = DTO(5) + d(TA5) = 25+2= 28
DTO (7) = Max = DTO(5) + d(TA7) = 24+4 = 28
= DTO(5) + d(TA8) = 28+3 = 31
DTO (8) = DTO(7) + d(TA7) = 31+6 =37
DTO (9) = DTO(8) + d(TA8) = 37+15 =62
DTO (10) = DTO(9) + d(TA9) = 62+2 = 64
DTO (11) = DTO(10) + d(TA10) = 64+10 = 74
DTO (12) = DTO(11) + d(TA11) = 74+3= 77
DTO (13) = DTO(12) + d(TA12) = 77+13= 90

f2. Date au plus tard (DTA)


Partant de l’hypothèse (révisable éventuellement par la
suite) que la date de fin de projet trouvée lors du calcul des dates
au plus tard est acceptée par le client ou la hiérarchie.

Formule : DTA(x)= max DTA(y)-d(i)

DTA (13) = DTO (13) = 90


DTA (12) = DTA (13)-d(TA12) = 90-14 = 76
DTA (11) = DTA (12)-d(TA11) = 76-3 = 73
DTA (10) = DTA (11)-d(TA10) = 73-12 = 61
DTA (9) = DTA (10)-d(TA9) = 61-3 = 58
DTA (8) = DTA (9)-d(TA8) = 58-18 = 40
DTA (7) = DTA (8)-d(TA7) = 40-2 = 38
DTA (6) = Min DTA (8)-d(TA7) = 38-1 = 37
DTA (8)-d(TA5’) = 37-4 = 33
DTA (5) = DTA (6) -d(T5) = 33-18 = 15
DTA (4) = DTA (5) -d(T4) = 15-1 = 14
DTA (3) = DTA (4) -d(T3) = 14-4 = 10
DTA (2) = DTA (3) -d(T2) = 10-9 = 1
DTA (1) = DTA (2) -d(T1) = 1-1 = 0
P a g e | 19

g. Marges libres et marges totales


g1. Marges libres

La marge libre ne peut être qu’inférieure ou égale à la


marge totale.

ML (i) = DTO(y)-DTA(x)-d(i)

ML (TA1) = DTO(2)-DTA(1)-d(T1)
= 1-0-1= 0
ML (TA2) = DTO(3)-DTA(2)-d(T2)
= 4-1-3= 0
ML (TA3) = DTO(4)-DTA(3)-d(T3)
= 7-4-3= 0
ML (TA4) = DTO(5)-DTA(4)-d(T4)
= 38-8-30= 0
ML (TA5) = DTO(6)-DTA(5)-d(T5)
= 42-38-4= 0
ML (TA6) = DTO(7)-DTA(6)-d(T6)
= 41-42-3= 0
ML (TA7) = DTO(8)-DTA(7)-d(T7)
= 42-40-1= 1
ML (TA8) = DTO(9)-DTA(8)-d(T8)
= 59-44-15= 0
ML (TA9) = DTO(10)-DTA(9)-d(T9)
= 64-59-5= 0
ML (TA10) = DTO(11)-DTA(10)-d(T10)
= 50-34-16= 0
ML (TA11) = DTO(12)-DTA(11)-d(T11)
= 62-51-11= 0
ML (TA12) = DTO(13)-DTA(12)-d(T12)
= 90-68-22= 0

g2. Marges totales


Elle indique le retard maximum que pourrait prendre la
tâche sans retarder la fin de projet.
MT (i) = DTO(y)-DTO(x)-d(i)

MT (TA1) = DTO(2)-DTO(1)-d(TA1)
= 1-0-1= 0
MT (TA2) = DTO(3)-DTO(2)-d(TA2)
= 4-1-3= 0
MT (TA3) = DTO(4)-DTO(3)-d(TA3)
= 8-4-4= 0
MT (TA4) = DTO(5)-DTO(4)-d(TA4)
= 38-8-30= 0
P a g e | 20

MT (TA5) = DTO(6)-DTO(5)-d(TA5)
= 42-38-4= 0
MT (TA6) = DTO(7)-DTO(6)-d(TA6)
= 41-42-3= -4
MT (TA7) = DTO(8)-DTO(7)-d(TA7)
= 44-42-2= 0
MT (TA8) = DTO(9)-DTO(8)-d(TA8)
= 58-38-10= 0
MT (TA9) = DTO(10)-DTO(9)-d(TA9)
= 64-59-5= 0
MT (TA10) = DTO(11)-DTO(10)-d(TA10)
= 71-64-7= 0
MT (TA11) = DTO(12)-DTO(11)-d(TA11)
= 72-71-1= 0
MT (TA12) = DTO(13)-DTO(12)-d(TA12)
= 90-71-19= 0

h. Tableau des marges libres et totales

Tableau 3 : Tableau des marges libres et


totales

Tâches Marges libres Marges totales Observation


TA1 0 0 Chemin critique
TA2 0 0 Chemin critique
TA3 0 0 Chemin critique
TA4 0 0 Chemin critique
TA5 0 0 Chemin critique
TA6 4 -4 Chemin non critique
TA7 1 0 Chemin non critique
TA8 0 0 Chemin critique
TA9 0 0 Chemin critique
TA10 0 0 Chemin critique
TA11 0 0 Chemin critique
TA12 0 0 Chemin critique

i. Choix du chemin critique

Si l’on veut réduire la durée totale, c’est sur les tâches


du chemin critique qu’il faudra agir en priorité.
Nous avons identifié les chemins suivants :
 TA1, TA2, TA3, TA4, TA5, TA7, TA8, TA9, TA10, TA11 et TA12 ;
 TA1, TA2, TA3, TA4, TA6, TA7, TA8, TA9, TA10, TA11 et TA12.
Nous avons commencé d’abord par les calculs des dates aux
plus tôt et tard, nous avons retenu comme chemin critique le premier
qui a la durée de 86 jours.
P a g e | 21

2.4. Durée totale du projet

DTP = ∑ des durées des tâches

DTP = d(TA1)+d(TA2)+d(TA3)+d(TA4)+d(TA5)+d(TA7)+d(TA8)+d(TA9)
+d(TA10)+d(TA11)+d(TA1
2) DTP =
2+8+4+29+4+2+10+5+7+1+14+4
= 90 jours

2.5. Coût total du projet

CTP = ∑ des coûts de chaque tâche

CTP = c(TA1)+c(TA2)+c(TA3)+c(TA4)+c(TA5)+c(TA6)+c(TA7)+c(TA8)+c(TA9)
+c(TA10)+c(TA11)+c(TA12)

CTP = 17+41+2+520+20+2.000+500+1.000 +400+1.500+250+5.000


= 11.255 $
P a g e | 22

Chapitre troisième : CONNAISSANCE DE L’EXISTANT OU ANALYSE


DE CONTEXTE

Ce chapitre consiste à prendre connaissance de l’existant


qui sera suivi de la modélisation à travers l’étude détaillée et
l’étude technique.

Section 1 : Etude préalable

L'étude préalable ne porte que sur les processus majeurs.


La description des données et des traitements y est succincte.

311. Historique du système d’information

L’historique de la douane en RDC date de l’après conférence


internationale de Berlin de 1885 sur le partage de l’Afrique. A partir
de cette date, notre pays devient la propriété privée du Roi des belges
Léopold II sous la dénomination d’Etat Indépendant du Congo, EIC en
sigle. Les droits de douane perçus en EIC à cette période jusqu’à 1908
étaient de revenus personnels du Roi sus-indiqué.

En 1913, c’est fut la création de l’Office de Douane


Colonial, ODC en sigle. Ce service avait son siège à envers la
Belgique. C’est la première administration des douanes créée sur notre
territoire.

En 1924, le parlement belge vote la loi affectant les


recettes collectées par l’ODC pour le développement de la colonie (au
lieu d’être utilisées en Belgique).

Les années 1942, seront marquées par l’imposition aux


importateurs de l’obtention d’une licence d’importation pour toutes
les marchandises dont le montant équivaut ou dépasse 1000 DTS (Droits
de Tirage Spéciaux) : 2.500 dollars à nos jours.

En 1949, le décret du 29 janvier 1949 relatif aux régimes


douaniers fut promulgué. Ce décret désigne le service de douane sous
l’appellation « Administration des douanes ». Ensuite, ce fut
l’ordonnance du janvier 1950 portant mesure d’exécution du décret de
1949.

Au lendemain de l’indépendance, l’office de douane colonial


créé en 1913, fut supprimé et remplacé par la « Brigande Financière
», comme une direction au sein du ministère des finances, ayant en
charge, se substitue aux impôts douaniers. Deux ans plus tard, la
brigade douanière, la brigade financière toujours un service dépendant
directement du ministère des finances.
C’est en date du 15 Mai 1979 que naitra l’Office des
Douanes et Accises, OFIDA en sigle par ordonnance présidentielle N°79-
P a g e | 23

114 du 15 Mai 1979 portant création d’un établissement public à


caractère administratif, économique et financier dénommé Office des
douanes et Accises, OFIDA en sigle.

Le 07 juillet 2008, le parlement vote la loi portant


transformation des entreprises, publiques en sociétés commerciales,
établissements publics et services publics. Par mesures d’application
provisoire de la loi du 07/07/2008, le Premier Ministre promulgue le
décret du 24 Avril 2009 qui classe l’OFIDA parmi les entreprises
publiques transformées en service publics, ce qui sera chose faite par
le décret du premier ministre N°09 /43 des 03 décennies 2009 portant
création et organisation de la Direction Générale des Douanes et
Accises, DGDA en sigle. Depuis lors, cette administration est devenue
un service public au sein du ministère des finances, dotée de
l’autonomie financière et administrative.

3.1.2. Situation géographique

La Direction Générale des Douanes et Accises est située


dans l’Immeuble Sankuru, place Royal, dans la Commune de la Gombe.

3.1.3. Objectif

La DGDA poursuit plusieurs objectifs dont en voici quelques-


uns :

 Perfectionner le recouvrement et le versement au compte du trésor


public, dans leur totalité et dans le meilleur délai, tous les
impôts et taxes perçus à caractère et accise ;
 Imaginer de nouvelles procédures de perception des impôts et taxes
à caractère douanière et d’accise ;
 Minimiser les pertes et fraudes dans le domaine douanier ;
 Élargir le champ de perception et contrôle, en demeurant dans les
prérogatives de la DGDA ;
 Moderniser le travail au sein de la douane congolaise ;
 Avoir une douane de proximité ;
 La perception des droits et taxes à caractère douanier et fiscal
dus à l’importation, à l’exportation et au séjour des marchandises
en transit ;
 La perception des droits d’accises et de consommation ;
 La classification des marchandises ;
 La détermination de l’origine des marchandises ;
 La protection de l’espace économique national ;
 L’application des législations connexes aux frontières ;
 La protection de la société par la lutte contre le trafic illicite
des marchandises dangereuses et déchets toxiques et des produits
qui appauvrissent la couche d’ozone ;
 La lutte contre le terrorisme et la criminalité transfrontalière
organisée ;
P a g e | 24

 L’établissement et la publication des statistiques du commerce


extérieur sur base des données récoltées lors du dédouanement des
marchandises
Direction de Reformes et modernisation

Direction de la Règlementation et
facilitation

Direction de la brigade et lutte contre


la fraude

Direction du tarif et règles d’origine

Source : Bureau de coordination


Direction des autres produits d’accises

Direction des huiles minérales

Direction des recettes du trésor


.3.14. Organigramme général du système d’information

Direction des ressources humaines


Directeur général

Direction des fiances internes


Directeur Général Adjoint

Direction des équipements et logistique

Figure 1 : Organigramme général de la DGDA


Directes statistiques documents et Etudes
ECON

Direction des affaires juridiques et


contentes

Direction des systèmes et technologies


d’Inform
Direction de l’audit interne
Bureau de coordination

Direction de valeur
P a g e | 25
P a g e | 26

3.1.5. Rôle des intervenants

a. Directeur Général

Le Directeur Général contrôle l’exécution des instructions


reçus de la part du Ministère des Finances par le biais du ministre
ayant les finances dans ses attributions, sauvegarde la discipline au
sein de la régie et décide de toutes les matières relevant de sa
compétence.

b. Directeur Général Adjoint

Le Directeur Général Adjoint assiste le Directeur Général


dans l’exercice de ses fonctions, décide dans toutes les matières de
sa compétence et assure l’intérim en cas d’absence ou d’empêchement
du titulaire. Nous en avons deux, l’un chargé de gestions
administratives et financières et l’autre chargé des gestions
techniques.

c. Bureau de la coordination

Le bureau de la coordination s’occupe de l’assistance au


Directeur Général et aux deux Directeurs Généraux Adjoints, de la
liaison entre les autorités et les services, de la gestion et du
dispatching du courrier administratif, du traitement des dossiers
soumis par le Directeur Général, du suivi de l’exécution des décisions
et des actes du Directeur Général, du traitement, le cas échéant, des
dossiers urgents destinés aux services extérieurs, de la
représentation de la douane dans certaines réunions en vertu d’un
mandant exprès, de la tenue du classement général des actes et
correspondances signés par le Directeur Général et de la transmission
du courrier vers les services extérieurs, de la gestion de l’agenda
du Directeur Général et de celui du Directeur Général Adjoint et de
la coordination et du suivi des activités des représentations de la
douane à l’extérieur.

d. Direction de règlementation et facilitation

La direction règlementation et facilitation s’occupe de la


gestion des régimes fiscaux particuliers et des exonérations
(principes et directives), de la participation aux travaux de
différents comités interministériels chargés d’examiner les dossiers
de demande d’allègements fiscaux, de la mise en œuvre des activités
du forum national « Douane-secteur privé », du suivi des négociations
internationales relatives à la facilitation des échanges et de la mise
en œuvre des accords internationaux, notamment les accords de
partenariat économique (APE), de la participation aux travaux
d’organismes nationaux et internationaux en rapport avec la
règlementation douanière et la facilitation.
P a g e | 27

e. Direction de la lutte contre la fraude

La direction de la lutte contre la fraude s’occupe de la


conception et de la gestion du dispositif général de collecte et de
traitement du renseignement en matière de fraude, de l’étude des
principaux trafics d’importation et d’exportation, de la constitution
d’une base de données générale en matière de lutte contre la fraude
et la criminalité transnationales organisées, et de la tenue d’un
fichier contentieux national (contrevenants et infractions), de la
conception et de la mise en œuvre du système d’analyse et de gestion
des risques, de l’exploitation des rapports des services internes et
externes en matière de fraude, de la liaison avec le Bureau Régional
de Liaison de l’Organisation Mondiale des Douanes dans le cadre de la
lutte contre la fraude, de l’élaboration et de la mise en œuvre de la
politique nationale de lutte contre la fraude et la criminalité
transnationale organisée (mesures réglementaires, notamment les
manuels de procédures en matière de contrôles), de la participation
aux réunions nationales et internationales sur la lutte contre la
fraude et la criminalité transnationale organisée, de l’utilisation
et de l’exploitation du fichier valeur national à des fins de contrôle
et de lutte contre la fraude, de la planification et du suivi des
contrôles en matière de lutte contre la fraude et de la mise en œuvre
de la politique nationale de lutte contre les violences des droits de
propriétés instinctuelles.

f. Direction du tarif et des règles d’origine

La direction du tarif et des règles d’origine s’occupe de


l’élaboration des propositions en matière de politique tarifaire et
fiscale, et préparation des projets des textes y relatifs, de la
gestion de la nomenclature du système harmonisé de désignation et de
codification des marchandises, de la participation aux réunions de la
commission tarifaire et à d’autres rencontres nationales portant sur
des mesures à l’importation et à l’exploitation, de la tenue du
secrétariat de la commission tarifaire, de la mise application des
textes légaux et réglementaires relatifs aux tarifs des droits et
taxes à l’importation et à l’exportation. de la mise à jour des tarifs
des droits et taxes à l’importation et à l’exportation, de l’examen
des dossiers de demande de renseignements tarifaires contraignants ou
non contraignants, de la diffusion des mises à jour de la nomenclature
et des notes explicatives, ainsi que des avis de classement, de la
participation aux réunions de l’OMD et des autres organisations
internationales en matière de nomenclature et de tarification, de
l’examen des questions relatives à l’origine des marchandises et de
la participation aux réunions de l’OMD et autres organisations
internationales en matière des règles d’origine.

g. Direction de la valeur
P a g e | 28

La direction de la valeur s’occupe de l’élaboration des


projets de textes légaux et réglementaires relatifs à l’évaluation en
douane, de la mise application des textes légaux et réglementaires
relatifs à l’évaluation en douane, de la publication des instruments
et décisions visant à assurer une évaluation en douane appropriée et
uniforme, ainsi que des directives de politique générale et de
procédure en matière d’évaluation, de la récolte des informations
sensibles en matière d’évaluation en douane et diffusion desdites
informations, des études des pratiques commerciales et des tendances
sur les marchés internationaux pour les produits importés et exportés
en matière de valeur, de l’assistance aux directions provinciales en
matière d’évaluation en douane, de traitement de certains cas
d’évaluation en douane complexes qui requièrent une expertise et/ou
des recherches particulières, de la participation aux réunions
internationales en matière d’évaluation en douane, de l’élaboration
des valeurs de base à l’exportation, de l’alimentation du fichier
valeur nationale et de l’élaboration des valeurs de base applicables
à l’exportation.

h. Direction des huiles minérales

La direction des huiles minérales s’occupe de l’élaboration


des projets de textes légaux et réglementaires en matière des huiles
minérales, de la mise en application des législations connexes en
matière des huiles minérales, du suivi des activités des sociétés
pétrolières de production et du suivi du mouvement des huiles
minérales, de la participation aux travaux des différents comités
interministériels chargés d’examiner les dossiers de demande
d’allégements fiscaux sur les huiles minérales, de l’élaboration et
de la mise à jour des manuels des procédures de contrôle en matière
des huiles minérales, de la participation aux travaux d’élaboration
de la politique et stratégies budgétaires de la douane et de
l’élaboration des procédures applicables au dédouanement des huiles
minérales à l’importation et à l’exportation.

i. Direction des autres produits d’accises

La direction des autres produits d’accises s’occupe de la


mise en application de textes légaux et réglementaires relatifs aux
produits d’accises autres que les huiles minérales, de l’élaboration
des projets de textes légaux et réglementaires relatifs aux produits
d’accises autres que les huiles minérales, de la collecte, du
traitement et de la diffusion des données nécessaires à la
détermination des bases d’imposition aux droits de consommation et
d’accises, de l’examen des dossiers de remboursement, de restitution
ou de remise des droits de consommation et d’accises sur les produits
fabriqués localement, de l’exploitation des structures des prix de
produits d’accises fabriqués localement, de la participation aux
travaux des différents comités interministériels chargés d’examiner
P a g e | 29

les dossiers de demande d’allègements fiscaux en ce qui concerne les


droits d’accises sur les produits fabriqués localement.

j. Direction des recettes du trésor

La direction des recettes du trésor s’occupe de


l’élaboration des projets de textes légaux et réglementaires relatifs
à la perception et à la comptabilisation des recettes douanières et
des accises, de la tenue de la comptabilité des recettes douanières
et des accises, du suivi des encaissements auprès de la Banque
Centrale, de la vérification au second niveau des pièces comptables
des bureaux de douane, de la reddition des comptes en ce qui concerne
les recettes douanières et des accises, du suivi des facilités de
paiement et de l’élaboration des statistiques mensuelles des recettes
douanières et des accises.

k. Direction des ressources humaines

La direction des ressources humaines s’occupe de la gestion


des rapports avec les Ministères et les partenaires sociaux, de la
gestion du centre de formation, de l’organisation de différents
concours (recrutement, passation de grades, etc.), de la recherche et
de la gestion des bourses d’étude et des financements au plan national
et international, de la gestion musée de la douane, de l’accueil de
tutelle technique de section « Douanes et accises de l’Ecole Nationale
de Finances », de la définition, de l’élaboration et de l’exécution
de la politique de formation, de la gestion du personnel, de la
préparation des agents aux différents concours, de la collaboration
avec des centres de formation nationaux ou étrangers, de
l’organisation des visites à caractère pédagogique, de la
participation des réunions nationales et internationales en matière
des ressources humaines, de la conception de gestion de la base de
données en matière des ressources humaines, de l’élaboration et de la
mise en œuvre des méthodes d’organisation et de fonctionnement des
services afin de recommander les mesures nécessaires à l’amélioration
des performances de la douane, de la vulgarisation et du suivi de la
mise en œuvre du code de bonne conduite et de la coordination des
centres médicaux de la douane et suivi de l’exécution des conventions
avec les institutions hospitalières.

l. Direction des affaires juridiques et contentieuses

La direction des affaires juridiques et contentieuses


s’occupe de l’élaboration des instructions en matières contentieuses,
de la gestion des commissionnaires en douane, de la tenue du
secrétariat du comité d’agrément des commissionnaires en douane, de
la gestion et du traitement des procès-verbaux d’infractions non
clôturées en provinces et de ceux établis par les autres directions,
de la centralisation des données sur des dossiers contentieux clôturés
P a g e | 30

en province, de l’exécution du rôle de conseiller juridique de la


douane, de l’assistance aux autres services de la douane pour
l’application des textes législatifs et réglementaires au sein de la
douane et du suivi de l’exécution des décisions contentieuse par toutes
voies de droit (recouvrement des droits et amendes).

3.1.6. Etude des traitements

a. Narration

Le chef de bureau établit un bulletin qui décrit


brièvement la fonction exercée par l’agents l’année écoulée et sa
manière de servir puis lui côte. Le chef de bureau remet à l’agent
la copie du bulletin avec sa cotation ; et l’autre est archivée dans
son bureau.

Dans un délai de 15 jours, si l’agent conteste la cotation


lui attribuée par le chef de bureau, il introduit par le biais du
chef de division, dans les huit jours de la réception du recours et
du bulletin de cotation, le chef de division les transmet au sous-
directeur pour l’attribution des appréciations. Nul ne peut
s’opposer à la transmission d’un recours introduit par l’agent sous
peine de sanction disciplinaire ; la décision d’attribution
définitive de la cotation n’est susceptible d’aucun recours. Si
l’agent a raison par rapport à son recours, le sous-directeur fait
des annotations puis demande au chef de bureau de revoir la cote.
Ensuite, la cotation sera remise à l’agent.

La promotion en grade ne peut avoir pour but que de pourvoir


la vacance d’emploi budgétairement prévu dans les limites des cadres
organiques. Ainsi , les candidats à la promotion doivent remplir les
conditions suivantes : avoir accompli trois ans d’ancienneté au moins
dans le grade immédiatement inferieur au grade de promotion, avoir
obtenu au moins l’appréciation très bon lors des trois dernières
cotations, avoir participé avec succès et s’être classé en ordre utile
à un concours organisé pour le passage d’une catégorie à l’exception
de la première catégorie dont les conditions énumérées ci-dessus
requis pour le passage d’un grade à un autre.

b. Diagramme de contexte

Domaine d’étude

F1 Consultation des travaux


Visiteur F2
parlementaires
Figure 2 : Diagramme de contexte
P a g e | 31

c. Diagramme des flux


Domaine d’étude
F2

Visiteur Réceptionniste
F1 : CI

F3

F4 : LE
Secrétaire
F5

F6 : TR
Directeur
P a g e | 32

d. Description des flux

Tableau 1 : Description des flux

Flux1 Flux2 Flux3


Acteur émetteur Visiteur Réceptionniste Visiteur
Acteur récepteur Réceptionniste Visiteur Secrétaire
Distance ±2m ±2m ±2m
Document CI - LE

Flux4 Flux5 Flux6


Secrétaire Visiteur Visiteur
Visiteur Secrétaire Directeur
±2m ±2m ±2m
- - TR

e. Matrice des flux

Tableau 2 : Matrice des flux

Emetteur
Visiteur Réceptionniste Secrétaire Directeur
Récepteur
Visiteur F2 F4
Réceptionniste F1 : CI
F3 : LE
Secrétaire
F5
Directeur F6
P a g e | 33

3.1.7. Description des interfaces

a.

o Rôle :
o Modèle : en annexe.
o Description

Tableau 3 : Description de

Code Désignation Nature Taille

Total 246

3.1.8. Critique de l’existant

a. Aspects positifs
Durant notre passage au sein à la DGDA nous avons
constaté que le service concerné arrive à bien faire son travail,
c’est-à-dire que l’agent, le chef de bureau ainsi que le chef de
division exécute leur travail sans problème

b. Aspects négatifs.
Nous avons constaté ce qui suit :
 Lenteur dans le traitement des informations ;
 La plupart de documents qui sont liés à cette gestion
sont en désordre ;
Traitement manuel des informations.
3.1.9. Proposition des solutions nouvelles

a. Solution manuelle réorganisée

Elle consiste à améliorer les procédures existantes


tout en maintenant l’homme au centre d’activités.
Le classement des documents en ordre pour bien
faciliter la recherche.

b. Solution informatique

La solution informatique aura comme influence a la DGDA


d’avoir un système informatisé de cotation et d’avancement en grade
du personnel de la DGDA.
Cette solution va permettre la conservation des données
sur de supports magnétiques ;
La rapidité de traitement des données ;
La possibilité de traiter une masse importante d’information.
P a g e | 34

c. Choix d’une solution

Nous suggérons au directeur Général de pouvoir opter pour


la solution informatique vu ses avantages.

Section 2 : Etude détaillée

L’étude détaillée consiste à la conception détaillée des


modèles de données et la détermination des spécifications
fonctionnelles détaillées (Lolanyele, A. 2022, p. 36). A l’issue de
cette étude, il sera possible de définir le cahier des charges de
l’utilisation qui constitue la base de l’engagement que prend le
concepteur vis-à-vis des utilisateurs, de spécifier le
fonctionnement détaillé du futur système du point de vue de
l’utilisateur.

3.2.1. Règles de gestion

Nous avons relevé les règles suivantes pour cette étude :

R1 : Un agent possède un ou plusieurs grades


Un grade est possédé par un ou plusieurs agents
R2 : Un agent est affecté dans un ou plusieurs bureaux
Dans un bureau, sont affectés un ou plusieurs agents
R3 : Un agent fait une ou plusieurs prestations
Une prestation est faite par un et un seul agent
R4 : Un agent introduit aucun ou plusieurs recours pour une ou
plusieurs cotations
Un recours est introduit par un ou plusieurs agents pour une
ou plusieurs cotations
R5 : Un agent exerce une et une seule fonction
Une fonction est exercée par un ou plusieurs agents
R6 : Une prestation concerne une et une seule cotation
Une cotation est concernée par une ou plusieurs prestations
R7 : Un recours entraîne aucune ou une seule sanction
Une sanction est entraînée par un ou plusieurs recours

3.2.2. Description des objets

a. Agent
Tableau 4 : Description de l’objet Agent

Code Désignation Nature Taille


matricAgent Matricule agent AN 5
nomAgent Nom agent AN 20
postAgent Post nom agent AN 20
prenAgent Prénom agent AN 20
sexeAgent Sexe agent AN 1
datnaisAgent Date naissance agent AN 10
P a g e | 35

lieunaisAgent Lieu naissance agent AN 20


datengAgent Date naissance agent AN 10
numtelAgent N° téléphone agent AN 10
adresAgent Adresse agent AN 35
Volume : 151

b. Bureau
Tableau 5 : Description de l’objet Bureau

Code Désignation Nature Taille


codeBureau Code bureau AN 5
nomBureau Nom bureau AN 50
direction Direction AN 50
Volume : 105

c. Cotation
Tableau 6 : Description de l’objet Cotation

Code Désignation Nature Taille


numCotat N° cotation AN 5
cotedonnee Cote donnée N 2
datecotat Date cotation AN 10
aprreciation Appréciation AN 50
Volume : 67

d. Fonction
Tableau 7 : Description de l’objet Fonction

Code Désignation Nature Taille


codeFonct Code fonction AN 5
libelFonct Libellé fonction AN 50
Volume : 55

e. Grade
Tableau 8 : Description de l’objet Grade

Code Désignation Nature Taille


codeGrade Code grade AN 5
libelGrade Libellé grade AN 50
Volume : 55

e. Prestation
Tableau 9 : Description de l’objet Prestation

Code Désignation Nature Taille


numPrestat N° prestation AN 5
datePrestat Date prestation AN 10
P a g e | 36

heurearriv Heure arrivée N 4


heuredepart Heure départ N 4
tachesexecut Tâches exécutées AN 100
Volume : 123

f. Recours
Tableau 10 : Description de l’objet Recours

Code Désignation Nature Taille


numRecours N° recours AN 5
motifRecours Motif recours AN 50
dateRecours Date recours AN 10
Volume : 65

g. Sanction
Tableau 11 : Description de l’objet Sanction

Code Désignation Nature Taille


numSanction N° sanction AN 5
nomSaction Nom sanction AN 50
Volume : 55
P a g e | 37

3.2.3. Construction du Modèle Conceptuel de Données (MCD)

Pour l’élaboration de notre Modèle Conceptuel de Données,


nous avons fait recours à la modélisation directe.

Prestation 1,1
Concerner
numPrestat
datePrestat 1,n
heurearriv
Cotation
heuredepart
tachesexecut numCotat
Bureau
1,1 cotedonnee
codeBureau datecotat
nomBureau Faire aprreciation
direction
1,n 1,n
1,n 0,n
1,n Agent Introduire
Affecter
matricAgent Observation
Date début nomAgent
Date fin 1,n
postAgent
1,n prenAgent Recours
Posséder sexeAgent
datnaisAgent numRecours
Date début motifRecours
lieunaisAgent
Date fin dateRecours
datengAgent
Observation
numtelAgent
0,1
1,n adresAgent
1,1 Entraîner
Grade
1,n
codeGrade Exercer
libelGrade Sanction
1,n

Fonction numSanction
nomSaction
codeFonct
libelFonct

Figure 3 : Modèle Conceptuel de Données


P a g e | 38

3.2.4. Modèle Conceptuel de Traitement (MCT)

Etablissement Cotation
bulletin agent

ET

1 Réception
Réception copie bulletin
avec cotation
Toujours

Bulletin avec cotation

Délais de 15 jours

ET

2 Remise bulletin

Non
Contestation
contestation

Promotion
agent
Bulletin avec
cotation
Introduction
recours dans
les 8 jours de
réception
ET

3 Attribution des
appréciations
Attributions des
appréciations
Toujours

Appréciations
attribuées (A)
P a g e | 39

A Si raison par
rapport au
recours

ET

4 Annotation

Toujours

Annotation faite

5 Révision cote

Toujours

Cote agent

Figure 4 : Modèle Conceptuel de Traitement


P a g e | 40

3.2.5. Modèle Organisationnel de Traitement (MOT)

Tableau 12 : Modèle Organisationnel de Traitement

Durée Déroulement Nature Poste

Etablissement Cotation
bulletin agent

ET

Semi-automatique

Chef de bureau
Journalière

1 Réception
Réception copie bulletin
avec cotation
Toujours

Bulletin avec cotation

Délais de 15 jours

Semi-automatique
ET

Chef de bureau
Journalière

2 Remise bulletin

Non
Contestation
contestation

Promotion
agent
Bulletin avec
cotation
Introduction
recours dans
les 8 jours de
réception
ET
Semi-automatique

Chef de division

3 Attribution des
Journalière

appréciations
Attributions des
appréciations
Toujours
A
P a g e | 41

Durée Déroulement Nature Poste

(A)
Appréciations
attribuées
Si raison par
rapport au
recours

Chef de division
Semi-automatique
ET
Journalière

4 Annotation

Toujours

Annotation faite

Semi-automatique

Sous-directeur
Journalière

5 Révision cote

Toujours

Cote agent
P a g e | 42

Section 3 : Etude technique

L’étude technique se focalise sur les parties à


automatiser. On commencera par la conception technique détaillée
pour établir une description logique des données et des traitements,
puis terminer par une description physique des données (Mandeka, C.
2022, p. 42).

3.3.1. Passage du MCD au MLD

La règle de passage du MCD au MLD se fait de la manière


suivante :

Règle 1 : Les entités

Chaque entité devient une table. Chaque attribut de


l'entité devient un attribut de cette table. La clé primaire de
l’entité devient clé primaire de la table (Liaudet, B., 2017, p.
34).

Règle 2 : Les associations hiérarchiques

Dans le cas d’une association hiérarchique, la clé


primaire de l’entité supérieure devient attribut clé étrangère dans
la table issue de l’entité inférieure. Dans le cas d'une association
hiérarchique réflexive, ce nouvel attribut doit être renommé et
ajouté dans le dictionnaire des attributs. Dans le cas d’un
identifiant relatif, la clé primaire de l’entité supérieure devient
attribut clé étrangère et primaire dans la table issue de l’entité
inférieure.

Règle 3 : les associations non-hiérarchiques

Une association non hiérarchique devient une table. Les


clés primaires des entités associées deviennent clés étrangères dans
cette table. Les attributs de l’association deviennent attributs de
la table. La détermination de la clé primaire de cette table n’est
pas automatique : certains attributs de l’association peuvent
participer à la clé primaire et certaines clés primaires des entités
associées peuvent ne pas participer à l’association (Liaudet, B.,
2017, p. 34).

Règle 4 : les associations semi-hiérarchiques

Dans le cas des associations semi-hiérarchiques : si


elles portent des attributs, elles seront nécessairement traitées
comme des associations non-hiérarchiques. Si elles ne portent pas
d’attributs, on peut les traiter comme des associations
P a g e | 43

hiérarchiques. Dans ce cas, l’attribut clé étrangère n’est pas


obligatoire (Liaudet, B., 2017, p. 34).
P a g e | 44

3.3.2. Présentation du Modèle Logique de Données (MLD)

Prestation

numPrestat
datePrestat Cotation
Bureau heurearriv
heuredepart numCotat
codeBureau tachesexecut cotedonnee
nomBureau #numCotat datecotat
direction #matricAgent aprreciation

Affecter Agent Introduire

#codeBureau matricAgent #numCotat


#matricAgent nomAgent #matricAgent
Date début postAgent #numRecours
Date fin prenAgent Observation
sexeAgent
Posséder datnaisAgent
lieunaisAgent
#codeGrade datengAgent Recours
#matricAgent numtelAgent
numRecours
Date début adresAgent
motifRecours
Date fin #codeFonct dateRecours
Observation #numSanction

Fonction
Grade Sanction
codeFonct
codeGrade libelFonct
numSanction
libelGrade nomSaction

Figure 5 : Modèle Logique de Données


P a g e | 45

3.3.3. Normalisation du Modèle Logique de Données

Pour être parfaites, les relations doivent respecter


certaines règles. Cet ensemble de règles se nomme : les formes
normales. Cette théorie a été élaborée par E.F. Codd en 1970. Son
objectif est d’éviter les anomalies dans les bases de données
relationnelles : problèmes de mise à jour, suppression des
redondances d’informations et simplification de certaines
contraintes d’intégrité.

Pour parfaire une base de données relationnelle, il est


nécessaire de connaître les trois premières formes normales et la
forme normale dite BoyceCodd ; les autres ne sont que des extensions
peu usitées.

1. 1FN : Première forme normale

Une relation est en première forme normale si : tous les


attributs ne contiennent qu’une seule valeur atomique (non
divisible) et les attributs ne contiennent pas de valeurs
répétitives.

2. 2FN : Deuxième forme normale

Une relation est en deuxième forme normale si : elle est


en première forme normale et que tous les attributs non clés ne
dépendent pas d’une partie de la clé primaire. Autrement dit, toute
propriété de la relation doit dépendre intégralement de toute la
clé.

3. 3FN : Troisième forme normale

Une relation est en troisième forme normale si : elle est


en deuxième forme normale et que toutes les dépendances
fonctionnelles par rapport à la clé sont directes (s’il n’y a pas
de dépendances fonctionnelles transitives entre les attributs non
clés). Autrement dit, tous les attributs n’appartenant pas à la clé
ne dépendent pas d’un attribut non clé (Baptiste, J.L., 2010, pp.
59-64).
P a g e | 46

334. Description du Modèle Logique de Données Normalisé (MLDN)

Adresse
Date idAdresse
idDat numparcelle
date avenue
quartier
commune
Direction

codeDirect
designDirect Prestation

numPrestat
heurearriv Cotation
Bureau heuredepart
tachesexecut numCotat
codeBureau #numCotat cotedonnee
nomBureau #matricAgent aprreciation
#codeDirect #idDatPrestat #idDatcotat

Affecter Agent Introduire

#codeBureau matricAgent #numCotat


#matricAgent nomAgent #matricAgent
#idDatdébut postAgent #numRecours
#idDatfin prenAgent Observation
sexeAgent
Posséder lieunaisAgent
numtelAgent
#codeGrade #idAdresse Recours
#matricAgent #codeFonct
numRecours
#idDatdébut #idDatnaisAgent
motifRecours
#idDatfin #idDatengAgent
#idDatRecours
Observation #numSanction

Fonction
Grade
codeFonct Sanction
codeGrade libelFonct
numSanction
libelGrade
nomSaction

Figure 6 : Modèle Logique des Données Normalisé


P a g e | 47

335. Images des documents du nouveau système

a. Fiche de cotation d’un agent

DGDA

Fiche de cotation d’un agent

Matricule agent : Sexe :


Nom : Lieu naissance :
Post nom : Date naissance :
Prénom : N° téléphone :

N° cotation Cote donnée Appréciation Date cotation

Figure 7 : Modèle de fiche de cotation d’un agent

b. Fiche de prestation d’un agent

DGDA

Fiche de cotation d’un agent n° …………

Matricule agent :
Nom :
Post nom :
Prénom :
Sexe :
Heure arrivée :
Heure départ :
Tâches exécutées :
Nom bureau :

Figure 8 : Modèle de fiche de prestation d’un agent


P a g e | 48

c. Liste des recours introduits par un agent

DGDA Date : xx/xx/xxxx


Page : 99

Liste des recours introduits par un agent

Matricule agent :
Nom agent :
Post nom agent :
Prénom agent :
Sexe agent :

N° recours Motif recours Date recours Cote donnée Observation

Total recours introduits/agent :


Total général :

Figure 9 : Modèle de liste des travaux par type


P a g e | 49

d. Relevé mensuel de prestation des agents

DGDA Date : xx/xx/xxxx


Page : 99

Relevé mensuel de prestation des agents

Date prestation :

N° prestation Heure arrivée Heure départ Tâches exécutées Nom agent Post nom Libellé fonction
Libellé grade

Total prestations des agents/date :

Figure 10 : Modèle du relevé mensuel de prestation des agents


P a g e | 50

e. Liste des agents par fonction

DGDA Date : xx/xx/xxxx


Page : 99

Liste des agents par fonction

Code fonction :
Libellé fonction :

Matricule agent Nom agent Post nom agent Prénom agent Sexe agent Lieu naissance Date naissance N°
téléphone

Total agents/fonction :
Total général :

Figure 11 : Modèle de liste des agents par fonction


P a g e | 51

f. Liste des agents par grade

DGDA Date : xx/xx/xxxx


Page : 99

Liste des agents par grade

Code grade :
Libellé grade :

Matricule agent Nom agent Post nom agent Prénom agent Sexe agent Lieu naissance N° téléphone Date
naissance

Total agents/grade :
Total général :

Figure 12 : Modèle de liste des agents par grade


P a g e | 52

Chapitre quatrième : INTERPRETATION DES RESULTATS ET MISE


EN ŒUVRE

Section 1 : Etape physique

4.1.1. Proposition du matériel (Hardware) et des programmes (Software)

a. Hardware

Nous proposons les ordinateurs ayant les caractéristiques


suivantes :

a.1 Serveur

 Clavier : Azerty
 Disque dur : 2 Tb
 Mémoire Ram : 32 Gb
 Processeur : Intel(R) Xeon (R) E3-1220

a.2 Client

 Clavier : Azerty
 Disques dur : 500 Gb
 Mémoire RAM : 4 Gb
 Processeur : Intel (R) Celeron

b. Software

Les programmes suivants sont proposés :

b.1 Serveur

 Windows 2015 Server


 Microsoft Office 2016
 Microsoft SQL Server 2015
 Visual Studio 2015
 Antivirus Norton 2024

b.2 Poste de travail

 Windows 10
 Microsoft Office 2016
 SQL Server 2015
 Visual Studio 2015
 Antivirus Norton 2024
P a g e | 53

4.1.2. Echantillon des écrans de saisie

Capture 1 : formulaire d’authentification

Capture 2 : formulaire de menu principal


P a g e | 54

Capture 3 : formulaire de cotation


P a g e | 55

4.1.3. Règles de passage du MLDN au MPD

Le MPD s'intéresse à l'optimisation de la gestion des données


en fonction de l'outil choisi pour cette gestion et surtout en fonction
des traitements qui utilisent ces données (Vue des procédures
fonctionnelles). Des choix parfois contradictoires vis à vis du MCD sont
à faire car il s'agit d'être pragmatique : définir la place nécessaire
à chaque table, définir l'implantation physique de la base de données
sur les disques, les serveurs disponibles et optimiser les temps d'accès
à l'information : accepter les redondances d'informations qui permettent
de diminuer sensiblement le nombre de tables concernées par une requête,
utilisation de clés numériques et création d'index pour les critères de
recherche.

4.1.4. Modèle Physique de Données (MPD)

Capture 4 : structure de la table Adresse

Capture 5 : structure de la table Bureau

Capture 6 : structure de la table


P a g e | 56

Capture 7 : structure de la table Agent

Capture 8 : structure de la table Prestation

Capture 9 : structure de la table Cotation

Capture 10 : structure de la table Date


P a g e | 57

Capture 11 : structure de la table Direction

Capture 12 : structure de la table Grade

Capture 13 : structure de la table

Capture 14 : structure de la table prestation


P a g e | 58

Capture 15 : structure de la table Recours

Capture 16 : structure de la table sanction

Capture 17 : structure de la table utilisateur

Section 2 : Fonctionnement de la base de données en réseau

4.2.0. Choix des outils logiques

Tableau 13 : Description des outils logiques

N° Outils Choix
1 Type LAN (Local Area Network)
2 Topologie physique En étoile
3 Topologie logique Ethernet
4 Architecture Client/serveur
5 Système d’exploitation Client Windows 10
6 Système d’exploitation Serveur Windows 2015 Server
7 Protocole TCP/IP
8 Anti-virus Norton 2024

4.2.1. Choix des outils physiques


Tableau 14 : Description des outils physiques

Matériels Performance

Processeur Disque dur Mémoire RAM
Intel(R) Xeon
1 Ordinateur serveur 2 Tb 32 Gb
(R) E3-1220
Intel (R)
2 Ordinateur client 500 Gb 4 Gb
Celeron
P a g e | 59

3 Composants (Switch) Marque : DLink 8 Ports


4 Connecteur RJ45
5 Support de transmission Câble réseau UTP Cat5
6 Imprimante locale LaserJet Pro M12A/N&B

4.2.2. Répartition des matériels


Tableau 15 : Répartition des matériels

N° Services ou utilisateurs Ordinateurs Imprimante


1 Directeur 1 1 (locale)
2 Secrétaire 1 1 (locale)
3 Réceptionniste 5 2 (réseau)

4.2.3. Paramétrage
Tableau 16 : Paramétrage de l’étude

N° Noms postes Adresse IP


1 Directeur 192.168.0.8
2 Secrétaire 192.168.0.2
192.168.0.3
192.168.0.4
3 Réceptionniste 192.168.0.5
192.168.0.6
192.168.0.7
4.2.4. Etat des besoins

Tableau 17 : Etat des besoins

N° Matériel Quantité nécessaire


1 Ordinateur serveur 1
2 Ordinateur client 7
3 Câble 80m
4 Connecteur RJ45 20
5 Switch (16 ports) 1
6 Imprimante locale 2
7 Imprimante réseau 2
P a g e | 60

4.2.5. Schéma fonctionnel du réseau

Directeur Secrétaire

192.168.0.1 192.168.0.8 192.168.0.2

Réceptionniste

192.168.0.10 192.168.0.9
192.168.0.3 192.168.0.4 192.168.0.5 192.168.0.6 192.168.0.7

Figure 13 : Schéma fonctionnel du réseau


P a g e | 61

Section 3 : Réalisation

4.3.0. Chaine d’exploitation de la base de données

Mot de passe

Page d’accueil

Menu Principal

 Mise à jour
 Affichage
 Recherche

Quitter

Recherche
Mise à jour
 D’un agent par nom
 Adresse
 Des recours introduits par date
 Affecter
 Des recours introduits par agent
 Agent
 Bureau  Des prestations faites par agent
par date
 Cotation
 Date
Retour au MP
 Direction
 Fonction
Affichage
 Grade
 Introduire  Liste des agents par grade
 Posséder  Fiche de cotation d’un agent
 Prestation  Liste des agents par fonction
 Recours  Fiche de prestation d’un agent
 Sanction  Liste des recours introduits par un agent
 Relevé mensuel de prestation des agents
Retour au MP
Retour au MP

Figure 14 : Chaine d’exploitation de la base de données

4.3.1. Choix du langage à programmer

Pour créer le programme de cette étude, nous avons choisi le


langage de programmation JAVA parce qu’il est adapté dans importe quel
système d’exploitation.
P a g e | 62

4.4. ADMISTRATION DE LA BASE DE DONNEES

Pour assurer la sécurité de notre base de données on doit :


Changer le mot de passe par défaut, refuser les connexions
distantes, supprimer les comptes inutiles, supprimer les bases de données
d’exemple, restreindre les privilèges des utilisateurs, chiffrer les
données stockées. On peut aussi restaurer notre base de données pour plus
de sécurité en le mettant dans un support de stockages externe pour la
protection de nos données.
P a g e | 63

CONCLUSION

L’objectif de ce projet de recherche était de concevoir


un système informatisé pour la gestion de cotation et d’avancement
en grade du personnel de la Direction Générale de Douane et Accise.
La problématique rencontrée résidait dans la complexité du processus
de cotation, avancement en grade.

L’hypothèse formulée était que l’on puisse mettre en place


une application informatisée qui doit améliorer l’efficacité, la
transparence et la fiabilité de cotation des agents.

Le résultat obtenu après la conception d’un système


informatisé démontré son efficacité et sa valeur ajoutée dans le
processus de cotation des agents.

En ce qui concerne le langage de programmation utilisée,


nous avons opté Java, afin de garantir la compatibilité et
l’interopérabilité de l’application sur différents navigateurs et
plateformes.

En réponse à la problématique initiale, nous pouvons


affirmer que l’application conçue pour la gestion de cotation et
d’avancement en grade simplification des procédures, de traçabilité
et d’intégrité des cotes données.

De ce qui suit, nous affirmons avoir atteint notre objectif


où il était fonction de concevoir un système informatisé de gestion
de cotation et d’avancement en grade du personnel de la DGDA.
Pour finir nous restons ouverts à toutes les remarques et
suggestions afin d’améliorer cet œuvre scientifique.
P a g e | 64

BIBLIOGRAPHIE

1. Ouvrages

BAPTISTE, J.L., Merise, guide pratique, Paris, édition ENI, 2012.

CLOUSE, M., Algèbre relationnelle : Guide pratique de conception d’une


base de données relationnelle normalisée, Paris,édition ENI,
2019.

DIGALLO, F., Méthodologie de système d’information merise cours de


cycle probatoire, Paris, édition CNAM Angoulême, 2001.

DIVINÉ, M., Parlez-vous Merise ? Paris, Les Éditions du phénomène,


2009.

KEITANI, N. & All, De Merise à UML, Paris, édition Eyrolles, 2000.

MBIKAYI, J.M., Algorithme en informatique de gestion, Kinshasa,


Edition Criss, 2013.

MBIKAYI, J.M., Modéliser un Système d’Information avec l’approche


systémique : Merise, Deuxième génération, Kinshasa, Edition
Criss, 2013.

PUJOLLE, G., Les réseaux, Paris, édition Eyrolles, 2012.


P a g e | 65

2. Notes des cours

MONTSONGO, F., Informatique fondamentale, 2019-2020, ISIPA-Kin,


inédit.

MUTAMBA, J., Introduction à la conception des projets informatiques,


EIFI, 2014-2015, inédit.

3. Webographie

https://fr.formes_normales, consulté le 14/07/2023 {23h10’.

https://fr.Initiation_aux_systèmes_d’information, consulté le
14/07/2023 {17h14’.

https://www.google.com/search=conception, consulté le 16/06/2023 à


20h18’.

https://www.larousse.fr/dictionnaire/français/gestion, consulté le
05/08/2023 { 16h23’.

www.commentcamarche.com, consulté le 10/09/2023 { 23h45’.


P a g e | 66

Table des matières


INTRODUCTION .........................................................................................................- 1 -
1. Revue de la littérature ...........................................................................- 1 -
2. Problématique ............................................................................................... 1
3. Hypothèse de l’étude .................................................................................... 1
4. Objectif de l’étude ..................................................................................... 1
5. Choix et intérêt du sujet ........................................................................... 1
6. Délimitation du travail ............................................................................... 1
7. Méthodes et techniques utilisées ............................................................... 2
8. Subdivision du travail ................................................................................ 2
Chapitre premier : CONSIDERATIONS GENERALES ......................................................... 3
9. Mots clés ...................................................................................................... 3
101. Système informatisé .................................................................................. 3
102. Gestion ...................................................................................................... 3
103. Cotation ..................................................................................................... 3
104. Avancement ................................................................................................. 3
105. Grade ..........................................................................................................4
Chacun des degrés d’une hiérarchie quelconque : monter en grade. ...................4
11. Concepts généraux ...........................................................................................4
1103. Base de données objet .................................................................................4
111. Système ...................................................................................................... 5
1110. Entreprise comme système ............................................................................ 5
a. Système de pilotage (SP) ................................................................................. 5
112. Système opérant (SO) ................................................................................. 5
113. Méthodes d’études en informatique ........................................................... 5
1130. Méthode classique ........................................................................................ 5
1131. Méthode Merise .............................................................................................6
114. Système de Gestion de Base de Données ....................................................6
115. Notion sur le réseau informatique ...........................................................6
Chapitre deuxième : PLANIFICATION DU PROJET ....................................................... 10
20. Technique d’ordonnancement des tâches ..................................................... 10
21. Méthode d’ordonnancement des tâches ........................................................ 10
22. Principes de représentation en P.E.R.T ................................................... 10
23. Contraintes dans un graphe P.E.R.T .......................................................... 12
d. Evaluation du temps et coût total du projet ........................................... 15
e. Construction du graphe P.E.R.T ................................................................. 16
f. Recherche des dates au plus tôt et dates au plus tard .......................... 18
P a g e | 67

g. Marges libres et marges totales ............................................................... 19


h. Tableau des marges libres et totales .......................................................20
i. Choix du chemin critique ...........................................................................20
24. Durée totale du projet .............................................................................. 21
25. Coût total du projet .................................................................................. 21
Chapitre troisième : CONNAISSANCE DE L’EXISTANT OU ANALYSE .............................. 22
DE CONTEXTE ............................................................................................................. 22
Section 1 : Etude préalable .................................................................................. 22
311. Historique du système d’information ......................................................... 22
312. Situation géographique ............................................................................... 23
313. Objectif....................................................................................................... 23
314. Organigramme général du système d’information ........................................ 25
315. Rôle des intervenants ................................................................................. 26
316. Etude des traitements .................................................................................30
317. Description des interfaces ........................................................................ 33
318. Critique de l’existant ............................................................................... 33
319. Proposition des solutions nouvelles ......................................................... 33
Section 2 : Etude détaillée .................................................................................. 34
321. Règles de gestion ....................................................................................... 34
322. Description des objets ............................................................................... 34
323. Construction du Modèle Conceptuel de Données (MCD) ................................ 37
324. Modèle Conceptuel de Traitement (MCT) ...................................................... 38
325. Modèle Organisationnel de Traitement (MOT) ............................................ 40
Section 3 : Etude technique .................................................................................. 42
331. Passage du MCD au MLD ................................................................................. 42
332. Présentation du Modèle Logique de Données (MLD) .....................................44
333. Normalisation du Modèle Logique de Données ............................................. 45
334. Description du Modèle Logique de Données Normalisé (MLDN) ....................46
335. Images des documents du nouveau système .................................................. 47
Chapitre quatrième : INTERPRETATION DES RESULTATS ET MISE ................................ 52
EN ŒUVRE .................................................................................................................. 52
Section 1 : Etape physique .................................................................................... 52
411. Proposition du matériel (Hardware) et des programmes (Software) .......... 52
412. Echantillon des écrans de saisie .............................................................. 53
413. Règles de passage du MLDN au MPD .............................................................. 55
414. Modèle Physique de Données (MPD) .............................................................. 55
Section 2 : Fonctionnement de la base de données en réseau .............................. 58
P a g e | 68

420. Choix des outils logiques .......................................................................... 58


421. Choix des outils physiques ........................................................................ 58
422. Répartition des matériels .......................................................................... 59
423. Paramétrage.................................................................................................. 59
424. Etat des besoins ......................................................................................... 59
425. Schéma fonctionnel du réseau .................................................................... 60
Section 3 : Réalisation ......................................................................................... 61
430. Chaine d’exploitation de la base de données ............................................ 61
431. Choix du langage à programmer ................................................................... 61
CONCLUSION ............................................................................................................... 63
ANNEXES ....................................................................................................................69
BIBLIOGRAPHIE.......................................................................................................64
1. Ouvrages ......................................................................................................64
2. Notes des cours .......................................................................................... 65
3. Webographie ................................................................................................. 65
P a g e | 69

ANNEXES
P a g e | 70

Annexe A : Facture proforma

Annexe B : Pièce d’identité


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P a g e | 72

Annexe C : Cahier de registre


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