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I

EPIGRAPHE

« Avec l’avènement
de l’Informatique, un
autre type de société
est né »

Dominique MWEZE, Elément d’informatique générale, et logos, Kinshasa, 1986, P4


II
DEDICACE
. A Mon père BANZA J.P, pour m’avoir appris l’importance du travail bien
fait,
. A Ma très chère mère BIABOLA CATHERINE, pour m’avoir donnée la vie et
pour m’avoir initié au courage et à ma persévérance,
. A mes frères et sœurs pour la place privée qu’ils ont réservée dans leur
cœur et pour leur encouragement.
INTRODUCTION GENERALE
L’informatique est une science présentée dans
tous les domaines de la vie de notre société. A la fois appliquée et technique,
aujourd’hui l’informatique est partout, une vraie épidémie ! Que se soit
dans les magasins, les bors, les distributeurs, en passant par les stations
services, l’école, les bibliothètes, les aéroports, ou au travail, plus rien ne
fonctionne sans elle.
« L’informatique et internet à tous les étages »
Pourrait-on dire, et sinon il reste toujours le cyber café
Certains ne peuvent plus s’en passer, alors que
d’autres ne peuvent pas les voir, je veux parler de l’informatique. Bien que
certains soient encore mitigés (adouci, tempéré) voire réticent à son égard ,
il est indéniable(qu’on ne peut dénier ou incontestable) qu’il fait
maintenant partie intégrante ( qui contribue à l’intégralité d’un tout) de
notre vie privé et professionnel. Cette discipline participe à l’amélioration
des conditions de notre vie , depuis l’exploitation de l’espace jusqu’aux
taches domestiques, en passant par les processus de la gestion des stocks,
biomédicaux, la gestion des clients des fournisseur , etc…
Ainsi, tout homme avisé de ce monde
contemporain goute déjà aux biens faits de cette science qui fait l’orgueil de
notre planète dans le cadre de ce travail l’informatique aurai comme tache
la gestion des stocks à Ets Maison MPAMBU, Mwene- Ditu, dans la province
du Kasaï- Oriental, en RDC voila pourquoi nous avons intitulé notre travail 
« conception d’une base des données pour la gestion des stocks dans une
Ets commercial »
O1. PROBLEMATIQUE
La problématique est une expression de la préoccupation majeur qui
circonscrit de façon et détermine avec absolue charte les dimensions
essentielles de l’objet de l’étude que nous proposons de mener (1). Elle
présente compendieusement les problèmes à résoudre et représente une
description sommaire de l’objet de l’étude(2).
A la recherche des stratégies de la gestion des stocks dans une Entreprise
commercial, pour y arriver, nous nous sommes posé les questions
suivantes :
1. Est-il possible de mettre en place un système d’information qui
permettra d’avoir à l’heure les informations sur la situation du stock ?
2. Le système d’information et automatisé peut-il permettre une gestion
efficace et efficient du stock de manière à déterminer facilement les
mouvements et statistique des entrées sorties des marchandises dans
le magasin.
02. HYPOTHESES
L’hypothèse est une proposition de réponse à la question posée, elle est
généralement considérée comme transposition directe d’une
proposition théorique dans le monde empirique.(3)
Les hypothèques désignent l’information à tirer des documents
disponibles, les questions à poser au enquêter, les faits à conserver, les
données s’écoulent ou disparaissent dans les doigts du chercheur, ce
dernier se trouve désorienté en face d’une foule des faits qu’il soit ni
organiser ni choisir.
Vu les problèmes ci-haut posés, nous émettons les hypothèses suivantes
selon lesquelles : 
 La mise en place une synthèse d’information informatisé permettrait
à l’entreprise MAISON MPAMBU d’intégrer taches processus de
gestion des stocks :
 La conception d’une base de données permettrait de faire sortir en
temps record les états des stocks (liste des entrées, liste des sorties, la
fiche de stock pour chaque produit, la liste de tous les produits …),
cette application constituerait ainsi un moyen efficace et efficient
pour la gestion des stocks.
03. CHOIX ET INTERET DU SUJET
Ce travail intitulé «  Conception d’une base de donnée pour la gestion de
stock dans une entreprise commercial, cas de l’entreprise MAISON
MPAMBU » Ce travail va nous, permettre d’améliorer le système
d’information du service magasin d’intégrer taches et processus de
gestion de stock des marchandises. Ce travail va nous permettre de
concilier la théorie à la pratique en données.
Il va permettre aussi aux services du magasin de bénéficier d’un service
impeccable, rapide, fiable et moins fatiguant grâ ce à l’automatisation de
ce service.
04. METHODES ET TECHNIQUES UTILISEES
Pour atteindre l’objectif que nous sommes assignés et pour mener à bon
part notre dissertation de fin de cycle, l’utilisation de certaines méthodes
s’avère nécessaire.
Méthodes : la méthode est définie comme «  l’ensemble d’opération
intellectuelle par lesquelles une discipline cherche à atteindre les
objectifs poursuivis, les démontrer et les vérifier ». Pour réaliser ce
travail, nous avons utilisé la méthode MERISE(Méthode de recherche en
informatique pour le système des entreprises.
 Méthodes analytiques : nous a permis d’analyser les postes de
travail contenus dans l’existant qui a fait l’objet de notre
investigation.
 Méthodes MERISE : comme méthodes informatique, elle nous a
aidés à conduire notre projet et à réaliser notre application
concernant la gestion des stocks dans une entreprise.
TECHNIQUES
PINOR et GRA WITZ M. définissent les techniques comme des outils mis à la
disposition de la recherche et organiser par la méthode dans ce but. Ce sont
aussi des moyens utilisés pour la collection des données. (5)
Notre travail, nous avons fait recours aux techniques suivantes :
 L’observation direct : cette technique nous a permis de faire une
observation attentive sur le déroulement des activités ainsi que de
tous les services qui sont rendus dans l’entreprise MAISON MPAMBU
(6)
 L’interview libre : cette technique nous est utile car elle nous permet
de recueillie des données auprès de responsable de service concernés
afin de comprendre l’organisation du S.I.(7)
 Technique de documentation : cette technique nous a permis
d’exploiter les ouvrages, des travaux de fin de cycle, des cours et
l’internet, pour enrichie ce travail.
ETAT DE LA QUESTION
A notre connaissance, nous ne sommes pas premiers à aborder la
problématique liée à la gestion de stocks. Par nos investigations, nous nous
sommes rendu compte que bien avant nous, autres chercheurs avait
travaillé dans ce domaine. Son travail intitulait : « CONCEPTION D’UN
SYSTEME D’INFORMATION POUR LA GESTION DE STOCKS » Ed. 2011 par
PALAKU HERITIER NGUKA, Inst. Supérieur de Commerce de Goma Graduat
en études de gestion option informatique de gestion ».
Nous nous sommes inscrits dans cette ligne pour formuler notre sujet de la
manière suivante : « CONCEPTION D’UNE BASE DES DONNES POUR LA
GESTION DES STOCKS DANS UNE ENTREPRISE COMMERCIALE. CAS DE LA
MAISON MPAMBU » Notre travail s’inscrit cependant dans un cadre
différent avec des acteurs différents.
05. DELIMITATION (DU TRAVAIL) SUJET
Notre recherche sur la gestion des au sein de l’entreprise MAISON MPAMBU
s’étale sur la période qui va de l’année 2014-2015 dans les services des
magasins.
06. SUBDIVISION DU TRAVAIL
Outre l’introduction générale, notre travail est divisé en quatre
chapitres, subdivisés en sections.
Au premier chapitre nous avons parlé est expliqué quelques concepts
théoriques de bases.
Le deuxième chapitre est intitulé « Etude de l’existant.
Le troisième chapitre est intitulé « Conception du nouveau système
Le quatrième chapitre est intitulé « Réalisation de l’application
informatique.
CHAPITRE I GENERALITES
Section 1 : DEFINITION DES CONCEPTS FONDAMENTAUX ET CONNEXES
I. 1. Conception
C’est un processus de définition de la future application
informatique.
I. 1.2 Conception informatique
Est de présenter un point de vue sur la conception logicielle
élargie au niveau d’un projet complet(9)
I. 1.3 Conception d’un logiciel
Met en œuvre un ensemble d’activités à partir d’une demande
d’informatisation d’un processus (demande qui peut aller de la
question orale jusqu’au cahier des charges complet) permettant la
logiciel (et de programme informatique jusqu’à sa livraisons au
demandeur. (10)
I. 1.4 Une base de données
Une base est un outil permettant de stocker et de retrouver
l’intégralité de données brutes ou d’information en rapport avec
un thème ou une activité, celle –ci peuvent être de natures
différent et plus ou moins reliées entre elle. Dans la très grande
majorité de cas, ces informatisations très structurées, la base de
données et la base de données est localisée dans un même lieu et
sur un même support. Ce dernier est généralement informatisé, la
base de données est au centre des dispositifs informatique de
collecte, mise en forme de stockage et utilisation d’informations.
Une base de données est un (conteneur stockant des données
telles que des chiffres, des dates ou des mots, pouvant être
retraités par des moyens informatique pour produire une
information exemple des chiffres et des noms ensemble et trier
pour former un annuaire. Les retraitements sont typiquement une
combinaison d’opération de recherches, de choix, de tri, de
regroupement, et de concaténation. Le recours au base de données
par lequel un procédé classique de stockage de données, par lequel
une application place des dans les fichiers manipulées par
l’application. Il facilite le partage des informations permet le
contrô le automatique de la cohérence et de la redondance des
informations la limitation de l’accès aux informations à partir des
renseignements bruts.
Une base de données nécessite généralement plus d’espace disque,
le large éventail de fonctions offerts par les SGBD rend les
manipulations plus complexe, et les pannes ont un impact plus
large et sont plus difficiles rattraper
I. 1.5 Gestion
La gestion de quelques chose de concret est fait d’en prendre sois
de l’administre avec compétence, pour extension, la gestion de
quelque chose d’abstraite est l’ensemble des pratides pratiques
formalités qui permettent de la bien faire.
L’informatique de gestion est l’ensemble des connaissances, des
technologies et des outils en rapport avec la gestion de données,
C’est -à -dire la collecte, la vérification et l’organisation de grandes
quantités d’informatiques.
L’informatique de gestion a de nombreuses applications pratiques
dans les entreprises : liste de clients, de fournisseurs, de produit,
comptabilité.
I. 1.6. Stocks
Pour une entreprise, les stocks représentent les biens achetés,
transformés ou à vendre à un moment donnée.

Le stock est l’ensemble des matières (directes ou indirecte)et des


produits (finis du en cours de fabrication)qui appartiennent à une
entreprise industrielle ou commerciale à une date donnée et qui
sont entreposés dans l’attente de leur utilisation ou de leur vente.
(11)
I. 1.7. Entreprise
L’entreprise est la plus petite combinaison d’unités légales qui
constitue une unité organisationnelle de production des biens et
des services jouissant d’une certaine autonome de décision,
notamment pour l’affectation de ses ressources courantes. (12)
I. 2. DEFINITION DES CONCEPTS CONNEXE
I. 2.1 SGBD
Un système de gestion de base de données
(SGBD)est un ensemble de programma qui permet la gestion
et l’accès à une base de donnés , un SGBD héberge
généralement plusieurs bases de donnés qui sont destinées à
des logiciels autres thématiques différentes(13)
Un SGBD permet d’inscrire, de retrouve, de modifier de trier, de
transformer ou d’imprimer les informations de la base de donnés. Il permet
d’effectuer des compte rendus des informations enregistrée et comporte
des mécanismes pour assurer la cohérence des informations, éviter des
pertes d’informations selon le modèle, le SGBD peut comporter une simple
interface graphique jusqu’à des langages de programmation sophistiqués.
Les SGBD sont les logiciels intermédiaires entre les utilisateur et les bases
de données.
Un système de gestion de base de données
(SGBD) est un logiciel système destiné à stocker et à partager des
informations dans une base des données, en garantissant la qualité, la
pérennité et la confidentialité des opérations , tout , les systèmes de gestion
de base de données sont des logiciels universels indépendantes de l’usage
qui est fait des bases de données(14)
I. 2.2 PROGRAMME INFORMATIQUE
Un programme informatique est un succession
d’instruction exécutif par l’ordinateur, toute fois l’ordinateur ne
sait manipuler que du binaire. C’est-à -dire une succession de 0 et
1. Il est donc nécessaire d’utiliser un langage de programmation
pour écrire de façon lisible, c’est-à -dire avec des instructions
compréhensible par l’humain car proche de son langage, les
instructions à exécuter par l’ordinateur.
Ainsi ces programme sont traduits en langage machine(en binaire) par un
compilation. La façon programmation que l’on a choisi car il en existe
économisent. De plus le compilateur devra correspondre au langage choisi à
chaque langage de programmation son compilateur. (Exemption faite du
langage interprété)
1. 2.3 B.D CONTROLISEE
Une base de données centralisée est gérée par
un seul SGBD. Ses divers traitements sont confiés à une seule et meme
unité de traitement.

B.D CLOUD
Fig.1. Cette figure montre l’accès à distance par les utilisateurs
dans le Cloud.
La figure montre que le concept ci-dessous contient la possibilité
d’accès à distance, en utilisant le Cloud par exemple, ce qui amène
à penser que la différence entre un système centralisée et un
système distribuée ne tient pas à la manière d’accéder ou d’utiliser
ou non du Cloud la différence est en nombre de processeurs, sites
ou SGBD. (15)
SECTION 2. Présentation théorique de la conception d’une base de données.
Lorsque l’on décide de créer une base de données il fait surtout veiller à
définir clairement ses caractéristiques. Les données du problème doivent
être énoncées avec précision et décidées en nommant selon les besoins à
traiter, la réalisation et l’installation de la base de données s’avère alors
beaucoup plus souple. En effet, une erreur de conception pourrait en gérer
d’autres bien plus graves lors de l’installation de la base allant parfois,
même jusqu’à la perte de certaines données.(16)
C’est pourquoi des méthodes de conception de base de donnés ont été
mises ou point afin d’éviter les erreurs : la méthode MERISE constitue ainsi
l’une des méthodes les plus employées en entreprise, mais d’autres comme
UMLIHOOD, OOA ou encore REMORA sont également très présentes dans
les milieux industriels. (17)
Dans l’élaboration d’un travail scientifique, il est important d’évoquer,
avant tout propos, le cadre conceptuel et théorique. Car chaque discipline
dispose d’une terminologie qui lui est propre et qui lui permet
d’appréhender son objet d’étude selon ses spécificités. Par ailleurs, la
signification des termes peut varier d’un auteur à un autre. C’est dans cette
optique que connexes tels qu’ils seront utilisés tout au long de ce travail.
1. THEORIE SUR L’ANALYSE
Analyser un domaine ou organisation c’est faire une étude ou la
description de ce domaine ou moyen d’une démarche qui comporte
des modèles.
Un modèle est une représentation simplifié d’une réalité un modèle
de données est une représentation abstraite des données d’un
système d’information. Cette représentation est généralement
exprimée à l’aide d’un langage graphique appelé formalisme ici,
comme nous utiliserons les modèles de MERISE.
Un modèle est une représentation abstraite et simplifiées. (i.e. qui
exclut certains détails, d’une entité (phénomène, processus, système,
etc…) du monde réel en vue de le décrire, de l’expliquer ou de le
prévoir. Modèle est synonyme de théorie, mais avec une connotation
pratique un modèle, c’est une théorie orientée vers l’action qu’elle
doit servir.
Concrètement un modèle permet de réduire la complexité d’un
phénomène en éliminant les détails qui n’influence pas son
comportement de manière significative. Il reflète ce que le concepteur
croit. Important pour la compréhension et la prédiction du
phénomène modélisé, les limites du phénomène modélisé dépendant
des objectifs du modèle.
La conception d’un système d’information n’est pas évidente car il
faut réfléchir à l’ensemble de l’organisation que l’on doit mettre en
place.
La phase sur lequel on va s’appuyer, la modulation à créer une
représentation virtuelle d’une réalité de telle façon à faire ressortir
les points aux quels on s’intéresse. Ce type de méthodes est appelé
analyse. Il existe plusieurs méthodes d’analyse, la méthode la plus
utilisée en France étant la méthode MERISE.
Le but de cette méthode est d’arriver à concevoir un système
d’information. La méthode MERISE est basée sur la séparation des
données et des traitements à effectuer en plusieurs modèles
conceptuels et physique. La séparation des données et des
traitements assure une longévité ou modèle. En effet, l’agencement
des données n’a pas à être souvent remanier, tandisque les
traitements le sont plus fréquemment.
Pour analyser un système d’information avec MERISE, Il faut
respecter une approche par niveau : pour la conception d’un SI, il est
nécessaire de considérer quatre niveaux d’étude :
 Le niveau conceptuel
 Le niveau organisationnel
 Le niveau logique
 Le niveau physique
Le niveau conceptuel
Le niveau conceptuel consiste à concevoir le S I en faisant abstraction de
toutes les contraintes technique ou organisationnelles et cela tant ou niveau
des données que des traitements.
Le niveau conceptuel répond à la question quoi ? (Quoi faire, avec quelles
données) le formalisme MIRISE employer sera :
 Le modèle conceptuel des données(MCD)
 Le modèle conceptuel des traitements (MCT)
Le niveau organisationnel a comme mission d’intégrer dans l’analyse les
critères liés à l’organisation étudiée. Le niveau organisationnel fera préciser
les nations de temporalité de chronologie des opérations, d’unité de lieu,
définira les postes de travail, l’accès aux bases de données…
Les questions posées , ou niveau des
traitements, sont :
- Qui ?
- Ou ?
- Quand ?
Le niveau logique
Le niveau logique est indépendant du matériel informatique, des langages
de programmations ou de gestion des données. C’est la réponse à la
question avec quoi ?
- Formalisme sera :
- Le modèle logique des données(MLD)
- Le modèle logique des traitements (MLT)
Le niveau physique
Le niveau physique permet de définir l’organisation réelle (physique des
données. Il apporte les solutions techniques, par exemple sur les méthodes
de stockage et d’accès à l’information. C’est la réponse ou comment ?(19)
Le formalisme employé sera
- Le modèle physique des données (MPD)
Le modèle opérationnel et physique des traitements(MOPT)
2. Les concepts informatiques
Informatique : le terme informatique est la
contraction de deux mots information et automatique, il fut en vente
par l’ingénieur Français PHILIPPE DREYEUS en 1962 et publié par
l’académie Française en 1965.(20)
L’informatique est une science de traitement raisonnable de
l’information grâ ce à une synthèse des machines(21)
Ordinateur : le terme ordinateur désigne une
machine de traitement automatique de l’information.
Le mot ordinateur proposé en 1954 par Jacques PERRET professeur était à
l’origine d’un objectif qui signifie « qui arrange, qui met de l’ordre » en
anglais on parle de computer, traduire par calculateur ou machine à
calculer comme le mot anglais semblée ainsi limité de l’ordre de l’outil de
traitement en français, on a adopter le mot ORDINATEUR.(22)
Information : Dans les langage courant selon les
dictionnaire micro Robert, une information est un renseignement nouvelle
données par un journal, par la radio ou la télévision.(23)
Ou encore une source de connaissance sur un sujet données, susceptible
d’être représenter afin d’être conservées, traitée, communiqué.(24)
Données : C’est une représentation d’une
information sous une forme conventionnelle destinée à faciliter son
traitement(25)
Baque de données : est un ensemble de
données propres d’un domaine d’application que des producteurs
réunissent pour ensuite en commercialiser l’usage vers le public
extérieur.(26)
Cardinalité : C’est le nombre d’élément qui
constitue un ensemble.(27)
La cardinalité c’est le nombre des fais minimum et le nombre de fois
maximum que l’entité participe à la relation. En d’autres termes la
cardinalité permet de caractériser le lien entre une entité et la
relation de laquelle elle dépend. Elle comporte une borne minimales
et une borne maximales.
TYPES DE CARDINALITES
- 0-1 : Aucun ou une fois ( ou plus d’une fois)
- 1-1 : Une et une seul fois
- 1-n : Une ou plusieurs fois
- 0-1 : Aucun ou plusieurs fois
- N-n : Plusieurs fois
Système : C’est un ensemble d’éléments de
concepts reliés, organisés en une structure.
Système informatique : l’ensemble structuré
des composants logiciels, matériels et des données, permettant
d’automatiser tout à partir du système d’information.
Système d’information : est un ensemble
organiser de sources qui permettent de collecter, stocké, traiter et
distribuer de l’information.
SI : C’est l’ensemble formé de la collection de données, la représentation de
réalité de l’organisation.
Le système d’information est le véhicule des entités de l’organisation sa
structure est constituée de l’ensemble des ressources(les personnels, le
matériels, les logiciels, les procédures) organisées pour collecter, stocker,
traiter et communiquer les informations. Le système d’information
coordonne, grâ ce à la structuration des échanges, les activités de
l’organisation et lui permet ainsi d’atteindre ses objectifs.(27)
Système d’information informatisé
(automatisé)
Offre un traitement de données automatisé par des programmes
informatiques, l’essentiel de l’automatisme, consiste à établir un couplage
transparent pour les utilisateurs entre les traitements informatique d’une
part et les données d’autres parts.
Système d’information d’une entreprise
C’est ensemble des moyens humains et technique nécessaire ou stockage ,
ou traitement de l’information.
Entité : Objet informatique ayant une existence
propre et un rô le particulier dans une organisation ou une structure.
Chaque entité possède une information supplémentaire qui lui est rattachée
une propriété.
Identifiant : Propriété permettant des
distinguer sans ambiguïté l’occurrence d’une entité. Il est unique et doit
être souligné.
Association : relation existant entre deux ou
plusieurs entités dans un but, dans un intérêt commun on l’exprime par un
verbe à l’infinitif ou par une proposition une association peut être :
 Binaire : association entre deux entités
 Ternaire : association entre trois entité
 N’aire : association entre plusieurs entités
Evènement : Un fait qui déclenche une
opération ou une action dans une organisation.
Synchronisation : condition d’exécution d’une
opération. Elle se présente sous forme de condition booléennes
d’événement(ou, et)
Clé primaire : primaire types de calons ne
permettant d’identifier une entité et aussi la ligne la représente dans une
table. Elle est toujours soulignée.
Clé étrangère : deuxième type de colonne de
l’identifiant d’une autre table. Elle joue le rô le de référence à une ligne de
cette table.
Dictionnaire de données : Document qui
reprend toutes les données recensées à partir des documents du secteur et
étudié et d’autres informations abstraites. Il comprend le n° du poste de
travail, la rubrique, le libellé, la taille.
C/F : Contrainte d’intégrité fonctionnelle. Elle
permet d’optimiser le modèle conceptuel des données, et l’accès a telle ou
telle information du type « père- fils »
- Type « père »(1) n ou n, n)
- Type « fils » (1,1ou n,n)
CHAPITRE II. ETUDE DE L’EXISTANT
Section I. PRESENTATION DE L’ENTREPRISE
I. 1. HISTORIQUE
L’entreprise MAISON MPAMBU à été crée suite à la demande de la
population et à l’intérêt du gouvernement de la RDC, le visionneur de
l’entreprise à songé de mettre à la disposition des ses clients une entreprise
commerciale.
Le visionneur de cette entreprise à voulu mettre encore plusieurs
entreprises qui porte toujours les mêmes noms partout en RDC, dans deux
magasins sue la même avenu.
Le visionneur fut un diamantifère et il à embrasser les affaires commerciale
dans les années 1990 dans la ville de Mwene-Ditu.
I. 2.3 SITUATION GEOGRAPHIQUE ET DENOMINATION
L’entreprise commerciale MAISON MPAMBU se trouve dans la république
démocratique du Congo, dans la province de lomami précisément dans la
ville de Mwene-Ditu, commune de Bondoyi, QuartierMANDAM, juste ou
croisement de l’avenu Aérodrome Numéro 1 et 6 parce qu’elle à deux
magasin sue le même avenu.
Cette entreprise est limitée :
- Au nord par des dépô ts de Quin
- Au sud par l’hydrocarbure SOCIPEC
- A l’est par la banque central du Congo(BCC)
- A l’ouest par l’entreprise Dieu m’a donné
I. 3. OBJECTIF DE L’ENTREPRISE
Vendre pour l’intérêt de la population (client) pour faire avancer la
ville.
II. 4. STATUT JURIDIQUE
L’Entreprise MAISON MPAMBU fonctionne sous la reconnaissance
légal suivant :
 Numéro d’identification nationale : K.30631E
 Numéro du registre de commerce (NRC) : R.C.CN/14-A-020
Etant données l’Entreprise MAISON MPAMBU est une entreprise privée à
responsabilité limité.
I. 5. REALISATION DE L’ENTREPRISE
Le visionnaire de l’entreprise, vais être généraliste dans les
affaires commerciale.
I. 6. ORGANIGRAMME GENERAL DE L’ENTREPRISE
P.D.G

INSPECTEUR

DIRECTEUR DIRECTEUR DIRECTEUR

ADMINISTRATIF D’EXPLOITATION

CHARGER DE
TRANSITE

CHEF DE DEPOT

VENDEUR

CHARGER DE
LIVRAISON

SECTION 2. ANALYSE DE L’EXISTANT


1. DESCRIPTION TEXTUELLE DU PROCESSUS DE GESTION
PERSONNELLE
La maison MPAMBU est une société personnelle à
responsabilité limité. Elle est chargée de la vente des
marchandises aux clients venant de tous les coins de a ville de
Mwene-Ditu.
On y trouve le gérant du dépô t et le vendeur chargé de rendre
des services aux acheteurs ou aux clients.
Le client de transit facilite l’achat des marchandises devra être
mis au dépô t.
Le directeur d’exploitation, quant à lui est chargé de transmettre le rapport
au directeur générale se trouvant dans la ville de Mbuji-Mayi. Le directeur
Administratif s’occupe de l’administration de toutes les succursales de la
maison MPAMBU et préserve le rapport au directeur d’exploitation. Et
celui-ci est chargé de transmettre tous les rapports ou directeur, général
qui coordonne toutes les activités concernant la direction maison MPAMBU.
2. ANALYSE DES DOCUMENTS UTISES
Les informations de notre domaine dans les archives de l’entreprise
MAISON MPAMBU sont reprises dans les documents suivants.
- Bon de livraison : c’est un document émis par le gérant du dépô t et
servant à montrer que les marchandises ont été livrées.
- Bon de commande : document établit par le vendeur et signifiant que
les marchandises ont été commandées pour le magasin auprès du
gérant.
- Bon de réception : c’est un document émis par le vendeur prouvant
que les marchandises commandées a été réceptionnée.
- Bon de sortie : c’est un document que le gérant établis et qui prouve
la sortie des marchandises du dépô t.
3. CRITIQUE ET PROPOSITION DE SOLUTION
a. Points forts du système
Nous avons constaté, au cours de la récolte des donnés,
que la maison MPAMBU a un personnel fortement
hiérarchisé. La division du travail y est observée, ce qui
fait que le travail, dans cette entreprise, produit des
résultats escomptés.
En outre, la ponctualité est respectée de même avec le
respect mutuel. Nous y avons aussi remarqué un amour
poussé pour un travail bien fait et le service y est rapide
et soigné.
b. Faiblesses du système
Malgré les points positifs ci-haut relevés nous avons
constaté que le traitement des informations est
totalement manuel. Les calculettes utilisés et les papiers
duplicateurs ne permettent pas vraiment l’archivage des
documents. Aucun ordinateur n’a été vu dans la maison
MPAMBU succursale de Mwene-Ditu. Le personnel y
affecté pour la vente et la garde des dépô ts n’a pas de titre
académique requis pour l’exercice des activités.
c. Proposition de solution
De ce qui précède, nous pensons et proposons que la
maison MPAMBU soit dotée des ordinateurs pour le
traitement rapide, efficace et fiable des informations. Cela
permettrait aussi l’archivage des données, de façon
permanente.
De plus, comme la maison possède des succursales nous
proposons que chaque poste de travail soit relié aux
autres, en réseau pour le partage des informations.
En enfin, que les personnes qui doivent y travaillaient
chacun un diplô me en section commercial et
administrative.
CHAPITRE III. CONCEPTION DU NOUVEAU SYSTEME
Section I ETUDE CONCEPTUELLE
1. 1. LE MODELE CONCEPTUELLE DES DONNES (MCD)
En informatique, un existant peut être modélisé
conceptuellement à l’aide des entités qui représentent les
objets ayant une existence visible et propre, et des
associations entre ces objets ;
Ces objets désignent les personnes et les différents services au sein de
l’existant « entre les objets conceptuels sont définies des relations aux
associations qui sont la traduction des réglé de gestion »(28)
Dans cette section consacrée au modèle conceptuel des
données (MCD), nous suivons les étapes qui suivent : la présentation du
Merise, la narration, le dictionnaire des données, le recensement des
entités, la définition de propriétés, la détermination des cardinalité la
détermination des identifications et la construction du modèle conceptuel
des données brut et valide.
A. PRESENTATION DE MERISE
Merise (merise de recherche en informatique pour les
systèmes d’entreprise) est une méthode informatique
mise au point en France, dans les années 1980, sous la
direction du centre technique informatique du ministère
de l’industrie. Elle vise la réalisation des projets
informatiques. La conception d’un système information
s’y fait par niveau, en séparant les données et les
traitements qui assurent la longévité et la vigueur de
Merise.(29)
B. NARRATION
L’Entreprise maison MPAMBU est une société personnelle
a responsabilités limitée. Elle est chargée de la vente des
marchandises aux clients.
Quand les marchandises arrivent en gare, le gérant les
récupère et établis le bon d’expédition. Des que les
marchandises arrivent au magasin le gérant établis le bon
de réception. Si le vendeur a besoin des articles qui ne
sont pas dans le magasin, mais qui se trouvent au dépô t ,
il établis un bon de commande . Et si il veut envoyer les
marchandises au magasin il établit le bon de sorti. Des
que les marchandises arrivent au magasin. Le vendeur
établit le bon de réception.
C. DICTIONNAIRE DES DONNEES
D. LE RECENSEMENT DES ENTITES
Partant de la narration, voici les entités que nous avons recensé :
- Marchandises
- Gérant
- Bon d’expédition
- Magasin
- Bon de réception
- Vendeur
- Dépô t
- Bon de commande
- Bon de sortie
DETERMINATION DES ASSOCIATIONS ET DES CARDINALITES
La détermination des associations et des cardinalités se fait à l’aide du
tableau entités-associations.
ENTITES ASSOCIATIONS CARDINALITES
Marchandises gérant Récupérer 1, n
1,1
Gérant bon Etablir 1,1
d’expédition(BE) 1, n
Marchandises magasin Arriver au 1,1
1, n
Gérant bon de Etablir 1, n
réception(Bc) 1,1
Vendeur marchandises Avoir besoin de 1, n
1,1
Marchandises dépô t Se trouver 1, 1
1, n
Vendeur bon de Etablir 1, 1
commande(BC) 1, n
Vendeur bon de Etablir 1, 1
sortie(BS) 1, n
Vendeur de réception Etablir 1, 1
(BR) 1, n

FORMALISATION DU MCD Brut


DEPOT
ds
MAGASIN num Dép
Code mag Code Dép
num mag Adrs Dép
Adrs mag

1, n 1, 1

Arriver Se trouver

1, n
BON RECEPTION
MARCHANDISES 1, n
Num BR
Code march
Date livraison
num march
Quantité march
Quantité 1, n 1, n
Prix Unitaire

Prix total
Récupérer
Etablir2
1, n
1, 1
1, 1 1, 1 1, 1
Avoir besoin
GERANT
1, 1 1, 1 Bon d’expédition
Code ger
VENDEUR Etablir 1 1, n Num BE
num gér
Code Vend Date de livr
Pstn gér
num Vend Qté march
Sex gér
1, 1
Adrs Vend
Adrs gér 1, 1
Sexe vend Etablir3
Vérifier
1, 1 1, n
Etablir 4
1, n

1, n
Bon commande
Bon de sortie
Num BC
Num BS
Date livraison
Date livr
Quant march
Qté march
LE MODELE CONCEPTUELLE DES DONNEES
Règles de passage du modèle conceptuelle brut au modèle conceptuelle des
données valide.
Pour passer de modèles conceptuelle des donnés au modèle conceptuelle
des données validé, les règles suivantes sont à observer :
 Toutes cardinalité de types, 1,1-1, n donne lieu à une contrainte
d’intégrité fonctionnelle(CIF)
 Toutes cardinalité de types 0, 1-0, n engendre une table
intermédiaire dont les caractéristiques sont les suivantes :
a. Le nom de la variation et le nom de la relation
b. Les attributs spécifiques de la relation forment les autres colonnes
de la table.
c. La clé (identifiant) et formé par l’un des identifiants des entités
qui participent à la relation.
NB : Il faut noter que dans les deux premiers cas, les cardinalités sont
maintenues mis la relation disparait, donnant lieu à une contrainte
d’intégrité fonctionnelle (CIF).(3)
LE MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT(MCT)
Le modèle conceptuel est un schéma qui va décrire le contenu (quelle
opération quel résultat ? et la dynamique) (le déroulement dans le temps
des activités d’un domaine concerné d’une manière indépendante de choix
d’opération et des moyens utilisées).
Ce modèle conceptuel de traitement à comme objectif de mettre en lumière
le traitement sur les données indépendamment de toute contrainte liée à
l’organisation(6)
Le formalisme événement opération- résultats nous permet de modéliser-
conceptuellement le traitement dans notre système opérationnel.
EVENEMENTS OPERATIONS RESULTATS
Arrivée marchandises Récupération Bon expédition
en gare
Arrivée marchandises Réception par les Bon Réception
au magasin gérants
Commande Recherche au dépô t Bon de commande
marchandises
Envoi des Réception Bon de sortie
marchandises au marchandises +
magasin Vérification
Arrivée marchandises Vérification Bon de réception
au magasin
CONSTRUCTION DU MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES

DEPOT
MAGASIN DEPOT

Code mag Num dép

ARRIVER

Code mag

#code march
NORMALISATION
La normalisation est la dernier vérification du
modèle elle permet d’optimiser la base de données dans la pratique,
normaliser une base de données, c’est appliquer les règles groupés sous la
dénomination de la forme « forme normale »(F.N)
Il existe cinq formes de normalisation mais trois sont les plus utilisées :
 Première forme (F.N1) les attributs portés par les tables doivent être
atomiques il ne peut exister champ répétitif.
 Deuxième forme (FN2) Tous les attributs de la table doivent devoir
une dépendance fonctionnelle élémentaire vis-à -vis de la clé primaire.
 La troisième forme (FN3) toutes les deux premières conditions étant
satisfaites en d’autres termes ils ne doivent pas dépendre
fonctionnement de la clé transitive via un autre attribut.
SECTION 2. ETAPE LOGIQUE
SECTION II : A : MODELE LOGIQUE DES DONNEES (MLD)
Le modèle logique des données se présente comme la deuxième étape de
la modélisation et constitue par la même le deuxième degré dans le cycle
d’abstraction d’un système de gestion de base de données(SGBD)(4)
Sont but est de préparer l’implémentation du modèle logique relationnel,
le MLD se construit logiquement partir des informations validées aux
stades précédents (MCD)
Le passage du modèle conceptuel de données ou modèle logique de
données se fait en observant certaines règles.
B. CONSTRUCTION DU MODELE LOGIQUE DES DONNEES
RELATIONNEL(MLDR)
I. Magasin( code mag(4), lieu mag(10)Adr Mag (40)
Section3 ETAPE ORGANISATIONNELLE
Le modèle organisationnel des traitements(MOT)
Le modèle organisationnel de traitement complète le
modèle conceptuel des traitements en en prenant en compte l’organisation
choisie par l’entreprise ce modèle poursuit les préoccupations suivantes :
 Quel poste assure quel traitement ?
 Le traitement est-il manuel ou automatisé  ?
 Quelles sont les contraintes dues l’organisation ?
Autrement il prend considération l’acteur, le temps, le traitement et le type
de traitement et le type de traitement.
A la page suivante, nous présentons la formation du modèle organisationnel
des traitements.
SECTION 4. ETAPE PHYSIQUE
LE MONDE PHYSIQUE DES DONNEES
Le modèle physique de données ou MPD consiste à
transformer le MPD en une suite relation cette étape finalise le processus de
traitement de données son but est la description de la structure de chaque
table MLD fonction du système de base des données.
Voici la structure de modèle physique des données.
TABLE CHAMP TYPE TAILLE
 La table consiste au stockage des informations
 Les champs concernent la description de rubrique ou des attributions
 La case du type renvoi de données (numérique alphanumérique et
caractère (texte)
 La case taille : indique le nombre des caractères qui comprend des
attributs.
Les différents types des données utilisées par SGBD sont les suivants.
a. Le type texte : alphabétique ou alpha-numérique
b. Le type numérique : pour les données numérique
c. Le type booléen : c’est le type logique oui ou non
d. Le type image : consiste à inverser des images ou des dessins dans
une base de données.
CHAPITRE IV. REALISATION DE L’APPLICATION INFORMATIQUE
Ce chapitre se veut comme (l’architecture) l’aboutissement
des étapes précédents, c’est-à -dire la constitution du système d’information
automatisé grâ ce à un SGBD à choisir.
Il existe actuellement en pratique cinq grands modèles de système de
gestion de base de données.
a. Modèle hiérarchique
Dans cette structure, données sont organisées selon une
arborescence descendance (père-fils) ; chaque nœud de l’arbre
correspond à une colonne d’entités du monde réel ; et le chemin entre
les nœuds les liens existant entre les objets.

MALADES

Date de naissance

Nom Poste-Nom Adresse

Rue N° Ville Jours Mois Année


s

b. Modèle réseau
Comme le modèle hiérarchique, celui-ci utilise les pointeurs vers les
enregistrements. Il a cependant comme pont départ une structure des
graphes qui représente un ensemble de segments relies entre eux, sa
structure n’est pas fortement arborescente.

MALADES

Date de naissance

Nom Poste-Nom Adresse

Rue N° Ville Jours Mois Année


s
C. Modèle relationnel
Ce modèle se base sur les liens de types mathématiques le
modèle relationnel, a été crée par CODD en 1970.
Les données y sont décrites, chaque ligne décrite sous formes des tables
ayant des colonnes et lignes, chaque ligne constitue un tuple
(comparable à un enregistrement c’est l’ensemble de ces tuples qui
forme un tableau ou un fichier.
NOM PRENOM DATE N. ADRESSE ENFANT
TSHILUMBA MARTIN 1993 BLAISE
MPIANA HILAIRE 1999 DANY
BANZA ELISEE 2007 NANCY
MIANDA MERVEILLE 2003 CAROLE
NGALULA VANESSA 1994 BENEDITTE

c.
d. MODELE DE DUCTION
Ce modèle récente les données sous formes d’objets, c.-à -d. des
dispositions appelles « classe »représentation des données membres et
s’adaptant aux bases de données.
Cette base de données sera dotées des caractéristiques définies dans
l’architecture à 3 niveau prévu par le standard ANSI/ SPARC,
l’indépendance physique , l’indépendance logique , la manipulabilité, la
vérification de l’intégrité, le partage des données et leurs sécurité.
Voici son architecture répandant aux normes ANSI/SPARL qui est aussi
celle de toute base de données.

APPLICATION TERMINUS

SGBD EXTERNE

SGBD INTERNE

GESTION DES FICHERS


 Le niveau de gestion de fichiers permet le stockage des
informations sur un support physique ;
 Le SGBD interne gère l’ordonnancement des informations.
 Le SGBD externe représente l’interface avec l’utilisateur.
IV.1. V. CHOIX DU SGBD
Notre système d’information ou base de données
sera géré par le système de gestion de base de données appelé MS- Accèss
de la suite bureautique de Microsoft.
IV.2. PRESENTATION DE MS ACCESS
Le MS Access est un logiciel construit par Microsoft
il set un système de gestion de base de données relationnel qui présente ,
une interface graphique servant à la saisie des informations. Il sert à la
configuration des formulaire des sous formulaires des états imprimables,
des pages html, des macros, des modules VBA etc…
Les données d’Accèss peuvent etre employées par le programme des
lengages tels que le VBA

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