EPIGRAPHE
« Avec l’avènement
de l’Informatique, un
autre type de société
est né »
B.D CLOUD
Fig.1. Cette figure montre l’accès à distance par les utilisateurs
dans le Cloud.
La figure montre que le concept ci-dessous contient la possibilité
d’accès à distance, en utilisant le Cloud par exemple, ce qui amène
à penser que la différence entre un système centralisée et un
système distribuée ne tient pas à la manière d’accéder ou d’utiliser
ou non du Cloud la différence est en nombre de processeurs, sites
ou SGBD. (15)
SECTION 2. Présentation théorique de la conception d’une base de données.
Lorsque l’on décide de créer une base de données il fait surtout veiller à
définir clairement ses caractéristiques. Les données du problème doivent
être énoncées avec précision et décidées en nommant selon les besoins à
traiter, la réalisation et l’installation de la base de données s’avère alors
beaucoup plus souple. En effet, une erreur de conception pourrait en gérer
d’autres bien plus graves lors de l’installation de la base allant parfois,
même jusqu’à la perte de certaines données.(16)
C’est pourquoi des méthodes de conception de base de donnés ont été
mises ou point afin d’éviter les erreurs : la méthode MERISE constitue ainsi
l’une des méthodes les plus employées en entreprise, mais d’autres comme
UMLIHOOD, OOA ou encore REMORA sont également très présentes dans
les milieux industriels. (17)
Dans l’élaboration d’un travail scientifique, il est important d’évoquer,
avant tout propos, le cadre conceptuel et théorique. Car chaque discipline
dispose d’une terminologie qui lui est propre et qui lui permet
d’appréhender son objet d’étude selon ses spécificités. Par ailleurs, la
signification des termes peut varier d’un auteur à un autre. C’est dans cette
optique que connexes tels qu’ils seront utilisés tout au long de ce travail.
1. THEORIE SUR L’ANALYSE
Analyser un domaine ou organisation c’est faire une étude ou la
description de ce domaine ou moyen d’une démarche qui comporte
des modèles.
Un modèle est une représentation simplifié d’une réalité un modèle
de données est une représentation abstraite des données d’un
système d’information. Cette représentation est généralement
exprimée à l’aide d’un langage graphique appelé formalisme ici,
comme nous utiliserons les modèles de MERISE.
Un modèle est une représentation abstraite et simplifiées. (i.e. qui
exclut certains détails, d’une entité (phénomène, processus, système,
etc…) du monde réel en vue de le décrire, de l’expliquer ou de le
prévoir. Modèle est synonyme de théorie, mais avec une connotation
pratique un modèle, c’est une théorie orientée vers l’action qu’elle
doit servir.
Concrètement un modèle permet de réduire la complexité d’un
phénomène en éliminant les détails qui n’influence pas son
comportement de manière significative. Il reflète ce que le concepteur
croit. Important pour la compréhension et la prédiction du
phénomène modélisé, les limites du phénomène modélisé dépendant
des objectifs du modèle.
La conception d’un système d’information n’est pas évidente car il
faut réfléchir à l’ensemble de l’organisation que l’on doit mettre en
place.
La phase sur lequel on va s’appuyer, la modulation à créer une
représentation virtuelle d’une réalité de telle façon à faire ressortir
les points aux quels on s’intéresse. Ce type de méthodes est appelé
analyse. Il existe plusieurs méthodes d’analyse, la méthode la plus
utilisée en France étant la méthode MERISE.
Le but de cette méthode est d’arriver à concevoir un système
d’information. La méthode MERISE est basée sur la séparation des
données et des traitements à effectuer en plusieurs modèles
conceptuels et physique. La séparation des données et des
traitements assure une longévité ou modèle. En effet, l’agencement
des données n’a pas à être souvent remanier, tandisque les
traitements le sont plus fréquemment.
Pour analyser un système d’information avec MERISE, Il faut
respecter une approche par niveau : pour la conception d’un SI, il est
nécessaire de considérer quatre niveaux d’étude :
Le niveau conceptuel
Le niveau organisationnel
Le niveau logique
Le niveau physique
Le niveau conceptuel
Le niveau conceptuel consiste à concevoir le S I en faisant abstraction de
toutes les contraintes technique ou organisationnelles et cela tant ou niveau
des données que des traitements.
Le niveau conceptuel répond à la question quoi ? (Quoi faire, avec quelles
données) le formalisme MIRISE employer sera :
Le modèle conceptuel des données(MCD)
Le modèle conceptuel des traitements (MCT)
Le niveau organisationnel a comme mission d’intégrer dans l’analyse les
critères liés à l’organisation étudiée. Le niveau organisationnel fera préciser
les nations de temporalité de chronologie des opérations, d’unité de lieu,
définira les postes de travail, l’accès aux bases de données…
Les questions posées , ou niveau des
traitements, sont :
- Qui ?
- Ou ?
- Quand ?
Le niveau logique
Le niveau logique est indépendant du matériel informatique, des langages
de programmations ou de gestion des données. C’est la réponse à la
question avec quoi ?
- Formalisme sera :
- Le modèle logique des données(MLD)
- Le modèle logique des traitements (MLT)
Le niveau physique
Le niveau physique permet de définir l’organisation réelle (physique des
données. Il apporte les solutions techniques, par exemple sur les méthodes
de stockage et d’accès à l’information. C’est la réponse ou comment ?(19)
Le formalisme employé sera
- Le modèle physique des données (MPD)
Le modèle opérationnel et physique des traitements(MOPT)
2. Les concepts informatiques
Informatique : le terme informatique est la
contraction de deux mots information et automatique, il fut en vente
par l’ingénieur Français PHILIPPE DREYEUS en 1962 et publié par
l’académie Française en 1965.(20)
L’informatique est une science de traitement raisonnable de
l’information grâ ce à une synthèse des machines(21)
Ordinateur : le terme ordinateur désigne une
machine de traitement automatique de l’information.
Le mot ordinateur proposé en 1954 par Jacques PERRET professeur était à
l’origine d’un objectif qui signifie « qui arrange, qui met de l’ordre » en
anglais on parle de computer, traduire par calculateur ou machine à
calculer comme le mot anglais semblée ainsi limité de l’ordre de l’outil de
traitement en français, on a adopter le mot ORDINATEUR.(22)
Information : Dans les langage courant selon les
dictionnaire micro Robert, une information est un renseignement nouvelle
données par un journal, par la radio ou la télévision.(23)
Ou encore une source de connaissance sur un sujet données, susceptible
d’être représenter afin d’être conservées, traitée, communiqué.(24)
Données : C’est une représentation d’une
information sous une forme conventionnelle destinée à faciliter son
traitement(25)
Baque de données : est un ensemble de
données propres d’un domaine d’application que des producteurs
réunissent pour ensuite en commercialiser l’usage vers le public
extérieur.(26)
Cardinalité : C’est le nombre d’élément qui
constitue un ensemble.(27)
La cardinalité c’est le nombre des fais minimum et le nombre de fois
maximum que l’entité participe à la relation. En d’autres termes la
cardinalité permet de caractériser le lien entre une entité et la
relation de laquelle elle dépend. Elle comporte une borne minimales
et une borne maximales.
TYPES DE CARDINALITES
- 0-1 : Aucun ou une fois ( ou plus d’une fois)
- 1-1 : Une et une seul fois
- 1-n : Une ou plusieurs fois
- 0-1 : Aucun ou plusieurs fois
- N-n : Plusieurs fois
Système : C’est un ensemble d’éléments de
concepts reliés, organisés en une structure.
Système informatique : l’ensemble structuré
des composants logiciels, matériels et des données, permettant
d’automatiser tout à partir du système d’information.
Système d’information : est un ensemble
organiser de sources qui permettent de collecter, stocké, traiter et
distribuer de l’information.
SI : C’est l’ensemble formé de la collection de données, la représentation de
réalité de l’organisation.
Le système d’information est le véhicule des entités de l’organisation sa
structure est constituée de l’ensemble des ressources(les personnels, le
matériels, les logiciels, les procédures) organisées pour collecter, stocker,
traiter et communiquer les informations. Le système d’information
coordonne, grâ ce à la structuration des échanges, les activités de
l’organisation et lui permet ainsi d’atteindre ses objectifs.(27)
Système d’information informatisé
(automatisé)
Offre un traitement de données automatisé par des programmes
informatiques, l’essentiel de l’automatisme, consiste à établir un couplage
transparent pour les utilisateurs entre les traitements informatique d’une
part et les données d’autres parts.
Système d’information d’une entreprise
C’est ensemble des moyens humains et technique nécessaire ou stockage ,
ou traitement de l’information.
Entité : Objet informatique ayant une existence
propre et un rô le particulier dans une organisation ou une structure.
Chaque entité possède une information supplémentaire qui lui est rattachée
une propriété.
Identifiant : Propriété permettant des
distinguer sans ambiguïté l’occurrence d’une entité. Il est unique et doit
être souligné.
Association : relation existant entre deux ou
plusieurs entités dans un but, dans un intérêt commun on l’exprime par un
verbe à l’infinitif ou par une proposition une association peut être :
Binaire : association entre deux entités
Ternaire : association entre trois entité
N’aire : association entre plusieurs entités
Evènement : Un fait qui déclenche une
opération ou une action dans une organisation.
Synchronisation : condition d’exécution d’une
opération. Elle se présente sous forme de condition booléennes
d’événement(ou, et)
Clé primaire : primaire types de calons ne
permettant d’identifier une entité et aussi la ligne la représente dans une
table. Elle est toujours soulignée.
Clé étrangère : deuxième type de colonne de
l’identifiant d’une autre table. Elle joue le rô le de référence à une ligne de
cette table.
Dictionnaire de données : Document qui
reprend toutes les données recensées à partir des documents du secteur et
étudié et d’autres informations abstraites. Il comprend le n° du poste de
travail, la rubrique, le libellé, la taille.
C/F : Contrainte d’intégrité fonctionnelle. Elle
permet d’optimiser le modèle conceptuel des données, et l’accès a telle ou
telle information du type « père- fils »
- Type « père »(1) n ou n, n)
- Type « fils » (1,1ou n,n)
CHAPITRE II. ETUDE DE L’EXISTANT
Section I. PRESENTATION DE L’ENTREPRISE
I. 1. HISTORIQUE
L’entreprise MAISON MPAMBU à été crée suite à la demande de la
population et à l’intérêt du gouvernement de la RDC, le visionneur de
l’entreprise à songé de mettre à la disposition des ses clients une entreprise
commerciale.
Le visionneur de cette entreprise à voulu mettre encore plusieurs
entreprises qui porte toujours les mêmes noms partout en RDC, dans deux
magasins sue la même avenu.
Le visionneur fut un diamantifère et il à embrasser les affaires commerciale
dans les années 1990 dans la ville de Mwene-Ditu.
I. 2.3 SITUATION GEOGRAPHIQUE ET DENOMINATION
L’entreprise commerciale MAISON MPAMBU se trouve dans la république
démocratique du Congo, dans la province de lomami précisément dans la
ville de Mwene-Ditu, commune de Bondoyi, QuartierMANDAM, juste ou
croisement de l’avenu Aérodrome Numéro 1 et 6 parce qu’elle à deux
magasin sue le même avenu.
Cette entreprise est limitée :
- Au nord par des dépô ts de Quin
- Au sud par l’hydrocarbure SOCIPEC
- A l’est par la banque central du Congo(BCC)
- A l’ouest par l’entreprise Dieu m’a donné
I. 3. OBJECTIF DE L’ENTREPRISE
Vendre pour l’intérêt de la population (client) pour faire avancer la
ville.
II. 4. STATUT JURIDIQUE
L’Entreprise MAISON MPAMBU fonctionne sous la reconnaissance
légal suivant :
Numéro d’identification nationale : K.30631E
Numéro du registre de commerce (NRC) : R.C.CN/14-A-020
Etant données l’Entreprise MAISON MPAMBU est une entreprise privée à
responsabilité limité.
I. 5. REALISATION DE L’ENTREPRISE
Le visionnaire de l’entreprise, vais être généraliste dans les
affaires commerciale.
I. 6. ORGANIGRAMME GENERAL DE L’ENTREPRISE
P.D.G
INSPECTEUR
ADMINISTRATIF D’EXPLOITATION
CHARGER DE
TRANSITE
CHEF DE DEPOT
VENDEUR
CHARGER DE
LIVRAISON
1, n 1, 1
Arriver Se trouver
1, n
BON RECEPTION
MARCHANDISES 1, n
Num BR
Code march
Date livraison
num march
Quantité march
Quantité 1, n 1, n
Prix Unitaire
Prix total
Récupérer
Etablir2
1, n
1, 1
1, 1 1, 1 1, 1
Avoir besoin
GERANT
1, 1 1, 1 Bon d’expédition
Code ger
VENDEUR Etablir 1 1, n Num BE
num gér
Code Vend Date de livr
Pstn gér
num Vend Qté march
Sex gér
1, 1
Adrs Vend
Adrs gér 1, 1
Sexe vend Etablir3
Vérifier
1, 1 1, n
Etablir 4
1, n
1, n
Bon commande
Bon de sortie
Num BC
Num BS
Date livraison
Date livr
Quant march
Qté march
LE MODELE CONCEPTUELLE DES DONNEES
Règles de passage du modèle conceptuelle brut au modèle conceptuelle des
données valide.
Pour passer de modèles conceptuelle des donnés au modèle conceptuelle
des données validé, les règles suivantes sont à observer :
Toutes cardinalité de types, 1,1-1, n donne lieu à une contrainte
d’intégrité fonctionnelle(CIF)
Toutes cardinalité de types 0, 1-0, n engendre une table
intermédiaire dont les caractéristiques sont les suivantes :
a. Le nom de la variation et le nom de la relation
b. Les attributs spécifiques de la relation forment les autres colonnes
de la table.
c. La clé (identifiant) et formé par l’un des identifiants des entités
qui participent à la relation.
NB : Il faut noter que dans les deux premiers cas, les cardinalités sont
maintenues mis la relation disparait, donnant lieu à une contrainte
d’intégrité fonctionnelle (CIF).(3)
LE MODELE CONCEPTUEL DE TRAITEMENT(MCT)
Le modèle conceptuel est un schéma qui va décrire le contenu (quelle
opération quel résultat ? et la dynamique) (le déroulement dans le temps
des activités d’un domaine concerné d’une manière indépendante de choix
d’opération et des moyens utilisées).
Ce modèle conceptuel de traitement à comme objectif de mettre en lumière
le traitement sur les données indépendamment de toute contrainte liée à
l’organisation(6)
Le formalisme événement opération- résultats nous permet de modéliser-
conceptuellement le traitement dans notre système opérationnel.
EVENEMENTS OPERATIONS RESULTATS
Arrivée marchandises Récupération Bon expédition
en gare
Arrivée marchandises Réception par les Bon Réception
au magasin gérants
Commande Recherche au dépô t Bon de commande
marchandises
Envoi des Réception Bon de sortie
marchandises au marchandises +
magasin Vérification
Arrivée marchandises Vérification Bon de réception
au magasin
CONSTRUCTION DU MODELE CONCEPTUEL DES DONNEES
DEPOT
MAGASIN DEPOT
ARRIVER
Code mag
#code march
NORMALISATION
La normalisation est la dernier vérification du
modèle elle permet d’optimiser la base de données dans la pratique,
normaliser une base de données, c’est appliquer les règles groupés sous la
dénomination de la forme « forme normale »(F.N)
Il existe cinq formes de normalisation mais trois sont les plus utilisées :
Première forme (F.N1) les attributs portés par les tables doivent être
atomiques il ne peut exister champ répétitif.
Deuxième forme (FN2) Tous les attributs de la table doivent devoir
une dépendance fonctionnelle élémentaire vis-à -vis de la clé primaire.
La troisième forme (FN3) toutes les deux premières conditions étant
satisfaites en d’autres termes ils ne doivent pas dépendre
fonctionnement de la clé transitive via un autre attribut.
SECTION 2. ETAPE LOGIQUE
SECTION II : A : MODELE LOGIQUE DES DONNEES (MLD)
Le modèle logique des données se présente comme la deuxième étape de
la modélisation et constitue par la même le deuxième degré dans le cycle
d’abstraction d’un système de gestion de base de données(SGBD)(4)
Sont but est de préparer l’implémentation du modèle logique relationnel,
le MLD se construit logiquement partir des informations validées aux
stades précédents (MCD)
Le passage du modèle conceptuel de données ou modèle logique de
données se fait en observant certaines règles.
B. CONSTRUCTION DU MODELE LOGIQUE DES DONNEES
RELATIONNEL(MLDR)
I. Magasin( code mag(4), lieu mag(10)Adr Mag (40)
Section3 ETAPE ORGANISATIONNELLE
Le modèle organisationnel des traitements(MOT)
Le modèle organisationnel de traitement complète le
modèle conceptuel des traitements en en prenant en compte l’organisation
choisie par l’entreprise ce modèle poursuit les préoccupations suivantes :
Quel poste assure quel traitement ?
Le traitement est-il manuel ou automatisé ?
Quelles sont les contraintes dues l’organisation ?
Autrement il prend considération l’acteur, le temps, le traitement et le type
de traitement et le type de traitement.
A la page suivante, nous présentons la formation du modèle organisationnel
des traitements.
SECTION 4. ETAPE PHYSIQUE
LE MONDE PHYSIQUE DES DONNEES
Le modèle physique de données ou MPD consiste à
transformer le MPD en une suite relation cette étape finalise le processus de
traitement de données son but est la description de la structure de chaque
table MLD fonction du système de base des données.
Voici la structure de modèle physique des données.
TABLE CHAMP TYPE TAILLE
La table consiste au stockage des informations
Les champs concernent la description de rubrique ou des attributions
La case du type renvoi de données (numérique alphanumérique et
caractère (texte)
La case taille : indique le nombre des caractères qui comprend des
attributs.
Les différents types des données utilisées par SGBD sont les suivants.
a. Le type texte : alphabétique ou alpha-numérique
b. Le type numérique : pour les données numérique
c. Le type booléen : c’est le type logique oui ou non
d. Le type image : consiste à inverser des images ou des dessins dans
une base de données.
CHAPITRE IV. REALISATION DE L’APPLICATION INFORMATIQUE
Ce chapitre se veut comme (l’architecture) l’aboutissement
des étapes précédents, c’est-à -dire la constitution du système d’information
automatisé grâ ce à un SGBD à choisir.
Il existe actuellement en pratique cinq grands modèles de système de
gestion de base de données.
a. Modèle hiérarchique
Dans cette structure, données sont organisées selon une
arborescence descendance (père-fils) ; chaque nœud de l’arbre
correspond à une colonne d’entités du monde réel ; et le chemin entre
les nœuds les liens existant entre les objets.
MALADES
Date de naissance
b. Modèle réseau
Comme le modèle hiérarchique, celui-ci utilise les pointeurs vers les
enregistrements. Il a cependant comme pont départ une structure des
graphes qui représente un ensemble de segments relies entre eux, sa
structure n’est pas fortement arborescente.
MALADES
Date de naissance
c.
d. MODELE DE DUCTION
Ce modèle récente les données sous formes d’objets, c.-à -d. des
dispositions appelles « classe »représentation des données membres et
s’adaptant aux bases de données.
Cette base de données sera dotées des caractéristiques définies dans
l’architecture à 3 niveau prévu par le standard ANSI/ SPARC,
l’indépendance physique , l’indépendance logique , la manipulabilité, la
vérification de l’intégrité, le partage des données et leurs sécurité.
Voici son architecture répandant aux normes ANSI/SPARL qui est aussi
celle de toute base de données.
APPLICATION TERMINUS
SGBD EXTERNE
SGBD INTERNE