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République Démocratique du Congo


Ministère de l’Enseignement Supérieur et Universitaire
INSTITUT SUPERIEUR DE COMMERCE
« I.S.C/KIN »
Section : Informatique de gestion
Option : Analyse et programmation

B.P. 16 596
Kinshasa /Gombe

DEVELOPPEMENT D’UNE APPLICATION


INFORMATIQUE POUR LA GESTION DE VENTE
DES FICHES DE PROPOSITION ET SUIVIT TFC
« cas de LA SECTION INFORMATIQUE /ISC-KIN»

Présenté par :

AMBWA ETOBE Melvado

Travail de fin de cycle présenté et défendu


en vue de l’obtention du titre de gradué en
Informatique de gestion.

Option: Analyse et programmation


Directeur : TSHIMANGA TSHUNZA Serge
Chef de travaux
2

[Année académique 2021-2022]


iii

EPIGRAPHE

« Ce n'est pas parce que les choses sont


difficiles que nous n'osons, c'est parce que
nous n'osons pas que les choses sont difficiles
»

« Lamartine»
iii

DEDICACE

C’est dans tout cœur qu’au moment où s’achève la rédaction


de ce travail de fin cycle, nous nous faisons un agréable devoir
d’exprimer notre remerciement à l’Eternel, le Dieu tout
puissant qui a fait jaillir son intelligence dans ma vie.

AMBWA ETOBE Melvado


iii

REMERCIEMENTS

Mais également cette joie, nous la partageons aussi avec tous ceux qui nous ont
formés, ainsi que les membres du corps académique de l’Institut Supérieur de Commerce de
Kinshasa « ISC/Kin » en sigle ;

Notre gratitude va particulièrement à l’endroit de notre directeur de travail et là


nous citons avec fierté, CT TSHIMANGA SERGE qui, s’est dépassé pour diriger ce présent
travail ;

A travers lui, nous remercions distinctement tous les enseignants de


l’ISC/Kinshasa, particulièrement ceux de la section informatique de gestion qui à travers
divers moment, ont contribués activement à notre formation et encadrement ;

Nous ne pouvons pas passer sous silence les efforts si louables, dans cet œuvre
scientifique de Monsieur DJOZI que l’Eternel lui soit reconnaissant ;

Mes remerciements vont droit à la famille xxxxxxxxxxx en générale, mais plus


particulièrement à xxxxxx, xxxxxxxxxxxxxxxx, xxxxxxxxxxxxxxxx

Nous remercions également le personnel de la section info pour la disponibilité


des informations lors de la récolte des données pendant la période difficile de confinement.

AMBWA ETOBE Melvado


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INTRODUCTION GENERALE

Les technologies modernes de l’informatisation et de communication sont en plein


épanouissement depuis l’invention d’une machine capable de traiter automatiquement les
informations appelée ordinateur.

L’ordinateur devient un outil plus performant qui facilite le traitement de l’information


et la communication au sein des entreprises, d’où sa valeur s’avère plus important dans des
entités qui ne sont pas encore à la une de cette nouvelle technologie.

Alors que dans le monde des affaires la concurrence devient de plus en plus grande
cette nouvelle technologie de l’information pourra aider les institutions qui l’utilisent à se
classer sur un bon point de départ et à avoir une position qui convient pour le monde
moderne, de résoudre
le problème lié à la sécurisation des informations qui devient une bête noire en matière de
gestion.

C’est pourquoi nous avons « DEVELOPPER UNE APPLICATION


INFORMATIQUE POUR LA GESTION DE VENTE DES FICHES DE PROPOSITION ET
DE SUIVIT DES TFC.

Cette application va permettre à la SECRETARIAT INFO de gérer la vente de fiche


de proposition et suivit de TFC, de faciliter la recherche des informations en cas de besoin et
de sauvegarder la base de donnée au moment voulu dans un disque externe.
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1. PROBLÉMATIQUE

La problématique c’est l’ensemble construit, autour d’une question principale,


des hypothèses de recherche et des lignes d’analyse qui permettront de traiter le sujet. Il s’agit
en premier lieu, de choisir une question principale au tour de laquelle se développera
l’ensemble du travail. (LWAMBENGA, 2018)

Partant de cette approche et des réalités vécues sur terrain, nous avons pu recenser un
bon nombre de problèmes notamment :
 Lenteur dans la le vente ;
 Mauvaise conservation des documents lors de l’archivage ;
 Exécution lente de tâches ;

Sur ce, nous avons établi un questionnaire qui trouvera ses réponses tout au long du
développement de ce travail.
 Qu’apportent les systèmes d’information a la secrétariat informatique ?
 Comment interviennent-ils dans la stratégie dudit secrétariat afin que ce dernier puisse
atteindre ses objectifs ?
 Est-il important d’informatiser la vente de fiche de suivit et des propositions de sujet a
secrétariat informatique ?

Tells est la question intelligible qui feront objet du centre de gravité de notre
travail.
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2. HYPOTHÈSE

Quant au Justin BERRET, l'hypothèse constitue une partie du raisonnement qui


permet de présenter la recherche développée tout au long de la problématique. Elle propose
une ou plusieurs pistes de réponses a la question de recherche. (Justin BERRET 2020-2021).

L'hypothèse est définie comme étant une proposition ou supposition, dont la véracité
n'est pas encore prouvée, formant le fondement du raisonnement ou le point de départ d'une
enquête plus poussée.

Le système d’information informatisé apporte la fiabilité, la sécurité et la rapidité lors


de la recherche d’information. Facilité le traitement d’information en aidant la fatigue de
l’homme.

Le système d’information intervient comme un élément principal dans la gestion des


informations relative aux vente de fiche des suivit et des proposition dudit service et il est très
important que la secrétariat soit informatisé pour remédier à la lenteur et à la sécurité des
informations à sécuriser.

3. CHOIX ET INTÉRÊT DU SUJET

Ayant opté pour le sujet dont l’intitulé est « développement d’une application
informatique pour la gestion des vente de fiche de proposition et suivit de tfc » et la
secrétariat s’est vu retenu comme champ d’investigation ; le choix de ce sujet de travail de fin
de cycle a été motivé par le souci d’apporter notre pierre à la construction de l’édifice à
savoir, l’intégration de la nouvelle technologie de l’information dans l’un des secteurs les plus
influents au développement d’un pays.
Sur ce, ledit choix présente un triple intérêt pour nous et pour le centre à savoir :
 La mise en pratique de connaissances acquises durant notre cursus ;
 Ce travail nous permettra d’approfondir nos connaissances dans les
domaines de développement des systèmes d’information et conception de
base de données.
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 La mise en place d’une application informatique en vue de remédier aux


différentes failles.

4. MÉTHODES ET TECHNIQUES UTILISÉES

4.1. Méthode utilisée

Mr KHABABA Ishak, la méthode est l'ensemble de ressources (matériels, logiciels,


données, procédures, humains.) structurés pour acquérir, traiter, mémoriser, transmettre et
rendre disponible l’information (sous forme de données, textes, sons, images, etc.) dans et
entre les organisations. (KHABABA Ishak, 2021)

Cependant, pour la réalisation du présent travail, nous avons utilisé la méthode Merise
qui veut dire Méthode d’Etude et de Réalisation du Système Entreprise. Grâce à la méthode
Merise, le concepteur a la possibilité de représenter le réel perçu. La méthode Merise suit une
démarche hiérarchique de par son cycle d’abstraction.
Et la méthode analytique qui est défini comme étant une analyse systémique de toutes
les informations ainsi que les données récoltées selon (LAUBET, 2000). Cette dernière nous a
permis d'analyser des nombreuses données qui ont été recueillies grâce aux entretiens que
nous avons eus avec un agent du secrétariat. 

4.2. Techniques utilisées

La technique est une réponse à un «  Comment ? » c’est en effet, un moyen


d’atteindre un but, mais celui-ci se situant au niveau des faits ou des étapes pratiques.
 Technique d’Interview : nous permet de dialoguer avec les responsables de
l’ISC Kinshasa en général et du secrétariat informatique sur la Gestion et le
Développement en particulier en vue d’une récolte des informations ayant trait
à notre sujet d’étude.
 Technique Documentaire : celle-ci nous a aidés à avoir des informations et a
avoir certains documents utilisés au secrétariat.
 Technique d’Observation : cette technique va nous permettre de récolter les
données sur base du niveau d’observation très haut, accompagné d’un œil
curieux et d’être attentif sur le fonctionnement de l’entreprise.
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5. DÉLIMITATION DU TRAVAIL

Tout travail que se veut scientifique doit être délimité dans le temps tout comme dans
l'espace, pour bien cerner le contour du sujet et faciliter notre démarche scientifique que nous
abordons.
Cependant, la délimitation spatiale de notre travail est l’ISC Kinshasa en général et la
SECRETARIAT en particulier ; et la délimitation chronologique va de 2021 à 2022.

6. CANEVAS DU TRAVAIL

Hormis la partie introductive et la conclusion, le présent travail est subdivisé en


Deux grandes parties qui comprennent respectivement deux, deux et trois chapitres.

Certes le canevas dudit travail se présente comme suit :


Première partie : ETUDE PREALABLE
Chapitre 1. Présentation de l’Institut Supérieur de Commerce de Kinshasa

Chapitre II. Analyse de l’existent


Deuxième partie : CONCEPTION ET REALISATION DU NOUVEAU SYSTEME
D’INFORMATION
Chapitre 1. Conception du système d’information organisé (SIO)
Chapitre 2. Conception du système d’information informatisé (SII)
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Première partie :

ETUDE PRÉALABLE
Lors d’une étude scientifique, un sujet ne peut pas être développé sans pour autant
passer par l’étude préalable qui présente l’entreprise sous étude
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Chapitre I. PRESENTATION DE L’INSTITUTSUPERIEUR DE COMMERCE


« ISC/KIN »

I. 1. Situation Géographique

L’Institut Supérieur de Commerce de Kinshasa dont le siège se trouve être dans la


commune de la Gombe à Kinshasa, sur l’avenue de la libération (ex. 24 novembre) en
République Démocratique du Congo (RDC). En diagonale du Commissariat Provincial de la
Police Nationale de Kinshasa et la société de génie civile du Congo ‘SOCOGES’ en sigle.
Il est séparé :
 Au nord par l’avenue Mandarinier ;
 Au sud par l’avenue de la Gombe ;
 A l’est par l’avenue du 17 mai ;
 A l’ouest par l’avenue de cocotiers.

L’Institut Supérieur de Commerce de Kinshasa, ISC en sigle, est un


établissement étatique qui se trouve en plein centre-ville, dans le Quartier résidentiel Gombe à
Kinshasa, Capital de la République Démocratique du Congo.

I.2. Aperçu historique

L’historique de l’Institut Supérieur de Commerce de Kinshasa est très riche et


connaît deux périodes, dont notamment :
 La période avant réforme qui va de 1962-1971

L’Institut Supérieur de Commerce fut fondé en 1962, alors « École Supérieur de


Commerce » grâce à l’action bienveillante des missionnaires SCHEUT et l’effort personnel
du révérend père GASTON BOGARRT, par carence des cadres techniques étrangères après
l’accession du pays à l’Indépendance.

Dès sa création en 1962 jusqu'à 1964, l’établissement reste privé et non agrée, mais
l’arrête départemental du 14/12/1964 du ministère de l’éducation nationale et des affaires
culturelles l’octroyait un agrément provisoire.
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Ce n’est que plus tard, le 8 juillet 1966, que cette école fut agréée définitivement par
la lettre EDN/ES/RS 1249 du ministre de l’éducation nationale et des affaires culturelles.
L’actuel ISC n’avait à cette époque qu’une seule section ; la section commerciale et
financière.

En 1968, une deuxième section commerciale et consulaire fut créée, mais elle fut
supprimée plus tard. En 1969, fut agréé le cours du soir appelé « école de formation
commerciale » dont la durée était de quatre ans.

 Période après reforme, elle va de 1971-1981

En 1971 le pouvoir public procéda à une réforme profonde de l’enseignement


supérieur et Universitaire ainsi donc, en vertu de l’ordonnance n° 75-075 du Août portant
création de L’UNAZA, école supérieur de commerce devenait partie intégrante de
L’Université du ZAÏRE et devait être dirigée par un Directeur Général sans l’autorité du
rectorat.

En 1971 et 1974, deux autres sections s’ajoutèrent à la première respectivement le


secrétariat et l’informatique de Gestion. En 1976, l’école supérieure de commerce prend la
dénomination de l’Institut Supérieur de Commerce « I.S.C » en sigle. Suite à la réforme de
l’Enseignement Supérieur et Universitaire, l’Institut Supérieur de Commerce devint
autonome grâce à l’ordonnance présidentielle n° 81/158 du 7 octobre 1981, avec cette
disposition, il dépend du conseil d’administration des Instituts Supérieurs Techniques dès
qu’il reçoit les directions dans son évolution , ISC, connaitra une innovation avec
l’autorisation d’ouverture du deuxième cycle en science commerciale et financière et
concrétisée par les arrêtés ministériels n° ESU/CABMIN/0724/94 du 1994 et ESU/CABMIN/
0728/94 du 4/06/1994 portant organisation du cycle de Licence.

Ce deuxième cycle compte les options, maritime consulaire, revigorât repartisse


comptable et fiscale, pendant la même année, le Ministre de l’Enseignement Supérieur et
Universitaire approuve le programme d’étude du cycle, graduat en secrétariat de direction.
Cette approbation permet la transformation progressive au programme de niveau de
capacitaire à celui de graduat en secrétariat de direction.
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I.3. OBJECTIF ET MISSION

L’institut supérieur de commerce a pour mission :


 De former des cadres spécialisés dans le domaine des techniques commerciales, de
comptabilités et les informaticiens dans le domaine de sciences informatiques de
gestion;
 D’organiser la recherche sur l’adaptation des techniques commerciales et de
comptabilité aux exigences du développement du pays ;
 Former les cadres de direction dans le domaine de secrétariat ;
 D’adapter les anciens diplômes aux exigences nouvelles de la science et de la
technologie.

Ainsi, l’enseignement s’étend sur une période de quatre ans pour la section soir.
Trois ans pour la section jour et sur période de trois ans pour la licence (une année de
préparation au programme actualisé) ; après plusieurs études qui ont été faites dans le
domaine éducatif, on est arrivé à supprimer l’année de préparatoire du cycle de Licence.

I.4. FONCTIONNEMENT ET ORGANISATION

Comme toute structure, l’Institut Supérieur de Commerce de Kinshasa, a une


organisation interne relevant de ses compétences et prérogatives instituées dans la
l’ordonnance loi portant création et organisation de celui-ci. C’est ainsi pour le moment,
L’ISC fonctionne avec quatre sections qui sont :
 La section Sciences commerciales et financières ;
 Le secrétariat de direction ;
 L’informatique ;
 La Licence ;
 Et un troisième cycle sur le droit des affaires.
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Activités principales de l’Institut Supérieur de Commerce

La mission fondamentale de l’Institut Supérieur de Commerce est de former des


cadres universitaires dans les différentes filières qu’il organise en vue de doter à la république
des compétences dont elle a besoin pour soutenir son économie et ses structures.
a) Section graduat jour

La section graduat jour est généralement disponible d’accueillir les jeunes détenteurs
de diplôme d’état. Elle forme des techniciens en machine de gestion financière des
entreprises.

Et la formation acquise favorise l’intégration plus poussée dans les milieux


économiques à travers les stages et les visites guidées dans les entreprises. La durée des
études est de trois ans.

 Informatique

La formation dans cette filière est organisée par une fusion de deux techniques à
savoir :
La technique des sciences commerciales et la technique des sciences informatiques qui à la fin
de formation, produit des analyses programmeurs appelés à concevoir et à réaliser les
programmes et qui alimenteraient les matériels de traitement automatique de l’information.

b) Section graduat soir

Créée sur la demande des entreprises de la place pour la perfection et l’acquisition


d’une qualification adéquate de leurs agents, la section graduat soir était au départ une
vacation réservée aux gens qui exercent un emploi de plein temps, libre ou liés à un contrat de
travail. Suite au faible taux d’arrivée des inscrits, pour lequel a fragilisé le critère de
recrutement à la section soir qui était jadis réservée aux uniques travailleurs. La durée des
études de quatre ans est liée au volume de nombre d’heure.
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 Secrétariat de direction

La section secrétariat de direction forme les secrétaires (hommes et femmes »


destinés aux travaux de bureau, d’ordination. La durée d’études est de trois ans et c’est
l’unique filière qui n’a pas droit au cycle de Licence.

c) Section guidance

Dirigée par un chef de section, assisté par deux adjoints. La section guidance :
 Aide les étudiants qui présentant les différents problèmes d’adaptation dans le
milieu académique ;
 Organise de semaines pédagogiques en vue d’améliorer et d’adapter
l’enseignement en programme.

La section guidance est aussi en organe d’information et analyse statique.

d) Section licence

Opérationnelle depuis l’année académique 1997- 1998. La section Licence était


réservée seulement aux anciens diplômés de l’Institut Supérieur de Commerce ayant une
expérience d’au moins cinq ans dans la vie professionnelle. Actuellement, l’Institut a allégé
ses exigences en ouvrant celle-ci à tout détenteur de Diplôme de graduat dans les filières
ayant le cycle de Licence.

I.5. STRUCTURE FONCTIONNELLE

L’Institut Supérieur de Commerce dans son fonctionnement, renferme les


agences ci- après :
 le conseil de l’Institut Supérieur de Commerce ;
 le comité de gestion ;
 le directeur général ;
 le conseil de section ;
 le conseil de département.
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1. Conseil de l’Institut Supérieur de Commerce

Il est composé des membres ci- après :


 Le Directeur Général ;
 Le secrétaire général académique ;
 Le secrétaire général chargé de recherche ;
 Le secrétaire administratif ;
 L’administrateur du budget ;
 Les chefs de sections ;
 Un représentant du corps académique ;
 Un représentant du corps scientifique ;
 Un représentant du personnel administratif et technique ;
 Un représentant des étudiants.

Le conseil de l’Institut Supérieur de Commerce de Kinshasa examine tous les


problèmes importants qui ont trait à la vie de l’Institut, il fixe la politique générale de l’ISC
En conformité avec la voie tracée par les organes supérieurs : le conseil d’administration et le
ministère de l’éducation nationale, l’enseignement supérieur et universitaire et de la recherche
scientifique.

2. La comite de gestion

Ce comité comprend :
 Le Directeur Général ;
 Le secrétaire général académique ;
 Le secrétaire général chargé de recherche ;
 Le secrétaire général administratif ;
 L’administrateur du budget.

Ce comité assure la gestion courante de l’Institut sous la direction du Directeur


général et fait exécuter les décisions du département de l’enseignement supérieur et
universitaire.
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Il assure également la gestion quotidienne de l’institut sans la direction du chef


d’établissement ; exécute les instructions du ministère de tutelle, du conseil d’administration
de l’Institut Supérieur Techniques.
3. Le Directeur Général

Il est nommé par l’ordonnance présidentielle sur proposition du ministre de


l’enseignement supérieur, universitaire et la recherche scientifique, parmi les membres du
personnel académique ayant au moins de grade du professeur, pour un mandat de cinq ans une
fois renouvelable. il préside le conseil de l’Institut et du comite de gestion; il supervise et
coordonne l’ensemble des activités; veille au respect du statut et règlement de l’Institut
Supérieur de Commerce dans toutes les relations extérieures officielles avec les autorités tant
nationales qu’internationales et, en cas d’urgence prend des mesures nécessaires qui relèvent
de la compétence du conseil de l’ ISC, à charge de l’en informer à toute prochaine réunion,
enfin, il fait un rapport annuel au conseil d’administration sur le fonctionnement de
l’établissement.

4. Secrétaire général académique

Il remplace le DG en cas d’absence. Il fait des propositions sur le développement des


activités académiques et scientifiques de l’Institut. Son rôle est de gérer les étudiants et il
élabore le calendrier avec l’horaire des cours.

5. Secrétaire général chargé de recherche


Il fait des propositions sur le développement des activités scientifiques de l’Institut.
Son rôle est de gérer les étudiants dans le cadre scientifique.

6. Secrétaire général administratif

Il conseille l’administration après avis du conseil de section et de département, des


écoles, des instituts, le nombre d’heures de cours que compte la répartition des matières par
année d’étude et tous les documents administratifs de l’Institut, il a un mandat de 4 ans
renouvelables.
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7. Administrateur du budget

Il doit être parmi les personnes titulaires d’un diplôme de licence et justifiant d’une
expérience d’au moins 3 ans dans l’administration de finances publiques ou de
l’enseignement supérieur et universitaires, et ce pour un mandat de 4 ans renouvelables. Son
rôle et de gérer des ressources financières qui permettent à l’Institut de faire face à d’autres
problèmes financiers.

7. Les chefs de section

Ils sont désignés parmi les membres du corps académique ou professoral


proposé par le conseil de section pour un mandat de 2 ans renouvelable. Leur rôle est de gérer
les professeurs œuvrant dans leurs sections respectives et également les étudiants sous leurs
charges.

8. La direction générale

Il coordonne et supervise toutes les activités de l’établissement et seconde dans


l’exécution de ses fonctions par :
 Un assistant ;
 Un secrétaire ;
 Un chargé des relations publiques ;
 Un service de sécurité et d’audit interne.

9. Le conseil de section

Ce conseil se constitue de corps enseignement ainsi que des étudiants. Il gère


les chefs des sections qui exercent leurs fonctions selon les dispositions du règlement
organique
Le chef de section est secondé dans ses fonctions par :
1. Chef de section adjoint chargé de l’enseignement ;
2. Chef de section adjoint chargé de recherche ;
3. Secrétaire académique auprès de la section.
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I.7. Organigramme de l’Institut Supérieur de Commerce

Chef de cabinet
Conseil de l’Institut
Chargé de coopération
Comité de gestion

Chargé des activités


Directeur Général

Secrétaire administratif

Chargé des rel. Publiques

Div. Garde et Sécurité

Informatique

Bureau du planification
statistique et Dvpt.

Secrétaire Gen. Acad. Secrétaire Gen. Admin. Adm. Du Budget

Les sections Dir. du personnel Dir. des finances et Budget

Dir. des affaires Dir. des œuvres


académiques estudiantines Dir. Budget et contrôle

Dir. des services Dir. des affaires sociales Dir. de l’auto- financement
académiques

Dir. de l’enseignement et Dir. d’entretien et Dir. de patrimoine et


recherche maintenance intendance

Dir. de recherche Int. et


Dvpt.

Bibliothèque
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Source : ISC Kinshasa 2022/SECTION INFO

Chapitre II. ANALYSE DE L’EXISTANT

Dans ce chapitre nous allons analyser l’existant en vue de déceler les points
forts et les points faible du système afin de proposer une solution qui pourrait amener une
amélioration dudit système.

II.1. Définition et but


Cette analyse permet l’évaluation de tout ce qui se trouve dans un système en
place d’une gestion donnée, c’est-à-dire les postes de travail, les documents, les Moyens et les
procédures de traitement des informations en vue de prendre la décision si oui ou non peut-il
introduire l’outil informatique dans une entreprise ou une organisation.
A travers cette étude, nous allons comprendre le fonctionnement du système
existant sur la gestion de vente de fiche de proposition et de suivit de tfc au secrétariat
informatique afin de recueillir les données qui vont servir à l’élaboration de la critique en vue
de la recherche des solutions.

2.2. ORGANIGRAMME DU SERVICE CONCERNE

2.2.1. Etude de poste de travail


L’étude des postes de Travail est une étape de l’analyse de l’existant ayant
pour objectif d’identifier les acteurs internes et externes de la gestion en étude.

2.2.1.1. Recensement des postes de travail


Les postes de travail influençant la vente de fiche de proposition et de suivit de
tfc au secrétariat sont les suivants :
 Etudiant ;
 Caisse centrale ;
65

2.2.1.2. Tableau Descriptif des postes

Caisse centrale
Domaine : Gestion du secrétariat informatique Etablit par  :
MELVADO
Processus : vente de fiche de proposition et suivit TFC date  :
13/05/2022
Nom poste : Caisse
Documents reçus
Code_doc Libellé Rôle Vol/freq Provenance
argent argent Pour l’achat de - Etudiant
fiche
Documents établis
Code_doc Libellé Rôle Vol/freq Destination
FICHE Fiche de Pour le 3 Caisse
proposition et recherche et
suivit suivi de
correction TFC
Documents classés
Code_doc Libellé Rôle Vol/freq Provenance
ARGENT Argent Achat de fiche 3 Etudiant

Etudiants
Domaine : Gestion du secrétariat informatique Etablit par  :
MELVADO
Processus : Achat de fiche de proposition et suivit TFC date  :
13/05/2022
Nom poste : Etudiants
Documents reçus
Code_doc Libellé Rôle Vol/freq Provenance
Fiche Fiches de Pour le - Caisse
proposition recherche et
suivi de
correction TFC
Documents établis
Code_doc Libellé Rôle Vol/freq Destination
FICHE - - - -
Documents classés
Code_doc Libellé Rôle Vol/freq Provenance
- - - - -
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2.2.2. Etude des documents utilisés

L’étude des documents ou des fichiers manuels permet de décrire tous les documents
utilisés à la gestion de vente des fiches de proposition et de suivit de tfc a la secrétariat
informatique de l’ISC/KIN. Par document, nous sous-entendons tout élément d’information
repérable dont la production ou l’utilisation est régulier et liée à un nombre significatif
d’acteurs quel que soit le support.

2.2.2.1. Recensement des documents


Après étude du système en place, nous avons pu recenser les documents ci-
dessous :
 Fiche de proposition ;
 Fiche de suivit ;
 Fiche de recherche scientifique.
65

2.2.2.2. Présentation des documents

1. Fiche de proposition de sujet


a) Rôle : pour propose le sujet a validé auprès du directeur choisie.
b) Modèle
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c) Tableau descriptif
N° Rubrique Mnémonique Nature Taille

01 Numéro de fiche Num_fic N 10

02 Nom de l’étudiant Nom_etud AN 50

03 Classe Clas_etud AN 10

04 Vacation Vac_etud AN 50

05 Sujets propose Suj_etud AN 50

06 Directeur proposes Dir_pro AN 50

07 Signature etudiant Sign_resp Objet 50

07 Date Dat_depot DATE 10


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2. Fiche de suivit
a) Rôle : Celle-ci permet au directeur de mettre des annotations de là où il a corrigé.
b) Modèle
65

Tableau descriptif
N° Rubrique Mnémonique Nature Taille

01 Numéro de fiche Num_fic N 10

02 Nom de l’étudiant Nom_etud AN 50

03 Classe Clas_etud AN 10

04 Vacation Vac_etud AN 50

05 Intitulé du sujet Int_suj AN 50

06 Date dépôt Dat_dep AN 50

07 Travail effectué Tra_eff AN 50

08 Remarque du directeur Rem_dir AN 80


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3. Fiche de recherche scientifique


a) Rôle : donne l’accès a l’étudiant de bien faire le recherche dans la société.
b) Modèle
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c) Tableau descriptif
N° Rubrique Mnémonique Nature Taille

Numéro référence Num_ref N 50

01 Titre de l’article Titr_art AN 50

02 Date Dat date 10

03 Nom de l’étudiant Nom_etud AN 50

2.2.3. Etude de moyens de traitement des informations

Cette étude constitue l’étape essentielle d’étude des moyens utilisés pour le
traitement des informations. Au cours de cette analyse nous tenons compte de trois ressources
de traitement de l’information qui sont :
 Les ressources humaines ;
 Les ressources matérielles ; et
 Les ressources financières

2.2.3.1. Ressources humaines

Par moyens humains, nous faisons allusion au personnel qui concourt à la réalisation
des attributions qui leur sont confiés dans le domaine de la vente des fiches de suivit et
consort
.
La gestion de vente de fiches de suivit et autre au secrétariat informatique de
l’Institut Supérieur de Commerce de Kinshasa « ISC/KIN » est assurée par les agents décrits
dans le tableau ci-dessous :

N° Poste Nombre Niveau d’étude Ancienneté

01 Caissière de la section 1 licenciée 6 ans


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2.2.4.2. Ressources matérielles


Fiche d’analyse de Ressources Matérielles

N° Désignation Marque Nombre Etat Année d’acq.


01 Ordinateurs HP 2 Bon
02 Imprimantes HP LaserJet 2 Bon

2.2.4.3. Ressources financières

Le secrétariat, sur le plan financier, dépend directement du financement que les


étudient achète des relève de cote et des fiche de suivit et recherche.

2.3. DESCRIPTION DE LA STRUCTURE FONCTIONNELLE

2.3.1. Schéma de circulation des informations

L’operateur de saisie imprime les fiches et le remet auprès de la caissière pour le


faire signer chez le chef de section. Apres la signature, il le remet pour la vente.
L’étudiant se présente à la caisse munie du frais de fiches pour payer, la caissière
reçoit le frais d’achat, il garde l’argent à la caisse et enregistre le montant dans le cahier de
registre est ensuite remet la fiche a l’étudiant en mettent le numéro dans les fiches.

Codification des postes


POSTE CODIFICATION
OPERATEUR DE SAISIE 100
CAISSE 200
CHEF DDE SECTION 300
ETUDIANT 400
65

OPERATEUR DE SAISIE 100 CAISSE 200 CHEF DE SECTION 300 ETUDIANT 400

101 Imprime les fiches et le remet 401 L’étudiant se présente à la


chez la caissière caisse munie de frais pour l’achat
201 La caissière à son tour le fait 301 Le chef reçoit les fiches, après du fiche
introduit auprès du chef de section pour avoir signé il les retourne chez la
FICH la signature caissière $

FICH FICH*

202 La caissière reçoit les fiches signées 402 L’étudiant reçoit les fiches
et le classe pour la vente auprès des signé et numéroté
étudiants en mettant le numéro
FICH*
FICH*

203 La caissière reçoive le frais d’achat


et garde l’argent à la caisse et livre les
fiches à l’étudiant

$ FICH*
65

7.2. Légendes et abréviations utilisées


7.2.1. Légendes
: Document manuel en un seul exemplaire

: Document manuel en plusieurs exemplaires

: Classement

: Destination

: Provenance

: Archivage

7.2.2. Abréviations
 FICH : Fiches des propositions, suivit et recherche
 FICH* : Fiches des propositions, suivit et recherche signé
 $   : Argent
65

7.3. Tableau descriptif du schéma de circulation des informations


Poste Tâches Description

100 101 Imprime les fiches et le remet chez la caissière

La caissière à son tour le fait introduit auprès du chef de section pour la


201
signature

La caissière reçoit les fiches signées et le classe pour la vente auprès des
200 202
étudiants en mettant le numéro

La caissière reçoive le frais d’achat et garde l’argent à la caisse et livre les


203
fiches à l’étudiant

Le chef reçoit les fiches, après avoir signé il les retourne chez la caissière
301
300

400 401 L’étudiant se présente à la caisse munie de frais pour l’achat du fiche

402 L’étudiant reçoit les fiches signé et numéroté


65

7.4. CRITIQUE ET DIANOSTIQUE DE L’EXISTANT

Le diagnostic de l’existant constitue le point de départ de l’étude parce qu’elle permet


de mettre en évidence les principaux problèmes liés à la gestion de vente des fiches.

7.4.1. Les points faibles du système actuel

Après étude, nous avons descellé les points faibles ci-après :


 Lenteur dans la vente ;
 Mauvaise conservation des informations ;
 Exécution lente de tâches ;
 Recherche difficile de certaines informations relatives à la vente des fiches.

7.4.2. Le point fort du système actuel

D’une manière générale, le déroulement des activités liées à la vente des fiches
s’effectue en dépit de ses imperfections.

7.5. RECHERCHE DES SOLUTIONS


7.5.1. Réorganisation du système actuel
Cette solution consiste à réorganiser le système en place pour atteindre les objectifs
visés sans qu’il ait nécessité de recourir au traitement automatique.
Nous proposons dans cette solution :
o La redistribution des tâches pour rendre le système rapide et la prise de
décision

a. Avantages
La solution manuelle est :
 Beaucoup plus pratique
 Son coût est moins élevé

b. Inconvénients
 Traitement des données est lent ;
65

 Manque de sécurité des informations à traiter ;


 Fréquence importante des erreurs ;
 Perte des fichiers manuels ;
 La redondance des données ;
 Accès difficiles aux données cherchés.

7.5.2. Informatisation du système d’information

La présente solution consiste à mettre en place un logiciel répondant aux différents


besoins liés à la gestion de vente des fiches de suivit, recherche et proposition de sujet.
a. Avantages
 Traitement rapide des informations ;
 Fiabilité des résultats ;
 Bonne conservation des informations ;
 Souplesse dans l’exécution des tâches ;
 Unicité des données ;
 Mise à jour automatique des informations.

b. Inconvénients

♦ Coût élevé pour l’acquisition des matériels informatiques ;


♦ Entretien coûteux ;

7.6. CHOIX DE LA MEILLEURE SOLUTION

Après avoir analysé les différentes solutions qui se présentent devant nous, le scénario
d’informatisation a présenté beaucoup d’avantages que d’inconvénients.
Nous optons pour la solution informatique qui nécessite la mise en place d’un logiciel digne
de ce nom en vue d’effectuer de façon automatique les tâches liées à la gestion de vente des
fiches.
65

Deuxième partie :

MISE EN PLACE DU NOUVEAU


SYSTEME D'INFORMATION
65

CHAPITRE 1 : MODELISATION DU SYSTEME D’INFORMATION ORGANISE


(S.I.O.)
Introduction

Dans ce chapitre nous allons présenter l’organisation des informations qui


seront traité dans le niveau logique pour la création de la base de données. L’étape conceptuel
et organisationnelle que nous allons voir dans ce même chapitre vont présenter les données et
les traitements.

Section 1 : ETAPE CONCEPTUEL

1.1. Définition et but

Ce niveau de préoccupation correspond aux finalités de l’entreprise. Le


concepteur doit résoudre des problèmes de présentation et de traduction de la sémantique du
réel par de collection de données. Il s’agit de décrire le « Quoi ? » en faisant abstraction des
contraintes d’organisation et technique.

L’étape conceptuelle a trois modèles pour la communication, les données d’une


part et les traitements d’autre part, notamment :
 Pour la communication : modèle conceptuel de communication (MCC)
 Pour les données : modèle conceptuel de données (MCD) et ;
 Pour les traitements : modèle conceptuel de traitements (MCT).

1.2. Modélisation conceptuel de communication


1.2.1. Définition et but

Le Modèle Conceptuel de Communication (diagramme conceptuel de flux,


digramme de contexte) montre tous les flux du système en ne considérant qu’un acteur interne
: l’entreprise.
Le flux d’écrit un échange entre deux acteurs. Il est émis par un acteur à destination d’un
autre acteur. Le modèle conceptuel de communication n’existe pas dans les premières
65

versions de MERISE, a été introduit en rapport avec les Use Case d'UML, sans doute.
(http://www.christian-roze.fr/for/formerise.pdf, consulté le 02/05/2022 à 09h20).
1.2.2. Construction du modèle conceptuel de communication (MCC)

CAISSE

(2)
(4) (5)
(3)

ETUDIANT CHEF DE SECTION

(1)

OPERATEUR DE
SAISIE

 (1) Imprimer les fiche et le remet à la caisse


 (2) Introduit le fiche auprès du chef pour la signature
 (3) Après la signature il remet cela a la caisse
 (4) L’étudiant ce présente à la caisse pour l’achat
 (5) Réception des fiches acheter
65

1.3. Modélisation conceptuelle des traitements


1.3.1. Définition et but

Le modèle conceptuel des traitements est un graphique qui définit les


opérations à effectue dans une application selon leur ordre des extensions mais sans tenir
compte de l’outil informatique. Elle a pour but de représenter fonctionnellement les activités
exercées par le domaine.
La présentation conceptuelle suit le formalisme. Pour construire le Modèle
Conceptuel des Traitements, dans le cas de travail, nous allons exploiter les formalismes
connus sous le nom Orque signifie « événement, opération et résultat ».

1.3.2. Construction du Modèle Conceptuel des Traitements


1.3.2.1. Définition de quelques concepts du modèle conceptuel des traitements
EV EV Evénement
T T
Syn Synchronisme

Opération Opération

Condition d’émission

RS RS Résultat
T T

a) Evénement (E) : C’est le compte rendu du système d’information dû faite que quelque
chose s’était produit dans l’univers extérieur ou dans le système d’information lui – même.
L’élément qui déclenche une opération ; une nouvelle arrivée de l’information peut – être
externe ou interne. Externe lorsqu’il provient de l’univers extérieur, en provoquant une
nouvelle réaction du système d’information ; soit constitué d’un résultat pour l’univers
extérieure.

b) Processus : C’est une suite d’opérations concourant à une finalité, déclenchée par des
éléments dans un domaine considéré pour sa gestion de données.
65

c) Domaine : Un domaine est un ensemble de valeurs caractérisé par un nom. Il peut défini en
extension, en donnant la liste des valeurs composantes, ou en intention, en définissant une
propriété caractéristique des valeurs du domaine (GARDARIN, 1999).
Opération : Une opération c’est une production de flux d’information. Elle est définie
comme suite : « immatériellement » sans contrainte organisationnelle. Elle décrit aussi bien la
gestion manuelle que la gestion automatisée.

e) Règle d’émission : Une règle d’émission se définie comme étant la condition dans laquelle
des événements résultats seront produits par une opération.

f) Synchronisation (S) : Une condition de synchronisation est représentée par une condition
booléenne liant les éléments déclencheurs, grâce aux opérateurs logiques « et » « où » ; et
« non ».
C’est le choix judicieux à l’aide de connexions logiques des événements qui doivent faire
partir de processus réalisé : la synchronisation est ré présentée par une figure en forme d’un
entonnoir à l’intérieur duquel il y a une formule booléenne ou règle booléenne. La
synchronisation intervient au cas où il y a conjonction d’événements.

1.3.2.2. Identification et description du processus

Le tableau ci-dessous décrit le processus de traitement de données pour la


gestion de vente des fiches de proposition et suivit des TFC :
Evénements Synchronisatio Opérations Règle Résultats
n d’émission

- Etudiant Et Paiement frais OK - Reçu d’achat


de fiches
- Frais KO - Paiement non
effectué

- Reçu d’achat Et Validation des OK - Fiche non


fiches valide
- Fiche KO
proposition - Fiche validé
et choix
Fiche validé --- Livraison Toujours - Rapport des
fiches fiches vendu

- Rapport de
65

caisse

- Liste des
étudiant

1.3.2.3. Présentation du modèle conceptuel des traitements

Etudiant Frais

ET

Paiement frais de fiches


Perception frais
Vérification frais
Etablissement reçu d’achat
VRAIFAUX

Reçu Fiche Paiement


d’achat proposition non
et choix effectué
ET

Validation des fiches


Enregistrement reçu
Enregistrement fiche

VRAIFAUX

Fiche non Fiche validé


valide

Livraison fiches
Préparation des fiches pour le remettre à la
personne concerné
Toujours

Rapport des Rapport de caisse


fiches vendu
65

1.4. Modélisation conceptuel de données


1.4.1. 1. Définition et but

Le dictionnaire de données et les règles de gestion et d’organisation obtenus au


niveau de l’Etude Préalable nous aident à rechercher les informations qui feront partie de la
base de données.

L’Etape Conceptuelle de données consiste donc à répondre à la question


QUOI? C’est-adire quelles données ou informations mettre dans la base de données.

Cette étape qui n’est pas informatique, mais de définition sémantique du


système de gestion, se base sur une analyse du monde réel à partir de laquelle, une
conceptualisation viendra résoudre le problème de la représentation de la base de données en
répondant à la question QUOI ? Sans se préoccuper des ressources matérielles ou des logiciels
à utiliser.

1.4.2. Construction du modèle conceptuel de données


1.4.2.1. Règles de gestion

Les règles de gestion sont définies comme la traduction conceptuelle des


objectifs choisis et des contraintes acceptées par l’entreprise (COLLONGES, HUGUES, &
LAROCHE, 1987).
C’est grâce à elles que le concepteur aura à recenser les objets et les relations qui feront partie
de la base de données à implanter.

Les règles d’organisation permettent de connaitre l’organisation mise en place


par l’entreprise pour son bon fonctionnement, afin d’atteindre les objectifs qu’elle s’est fixes.
 Un étudiant achète un ou plusieurs fiches
 Un opérateur de saisie imprime un ou plusieurs fiches
 Un étudiant paye un ou plusieurs frais
 Une caisse reçoit une ou plusieurs frais
65

 Un chef de section signe un ou plusieurs fiches


 Le frais Concerne un ou plusieurs fiches

1.4.2.2. Dictionnaire de données

Un dictionnaire de données est un répertoire qui reprend tous les documents que le
système gère obtenu à l’aide de document recensé.

Un dictionnaire de données peut être Brut ou Valide ; le premier est celui qui compte
des redondances, ne pas rangé selon l’ordre alphabétique et le second est celui qui répond
exactement aux différentes exigences d’un dictionnaire de données.

N° Rubrique Code rubrique Nature Taille


Matricule étudiant Matri_etud
AN 10
Nom étudiant Nom_etud
1 AN 15
Adresse étudiant Adress_etud
2 AN 15
Classe étudiant Classe_etud
3 AN 15
Sexe étudiant Sexe_etud
4 AN 8
Numéro fiche Num_fic
5 AN 5
Nom étudiant Nom_etud
6 AN 10
Classe étudiant Clas_etud
7 AN 8
Intitule sujet Int_suj
8 AN 8
Date dépôt travail Dat_dep
9 Date Date
Signature étudiant Sign_etud
10 AN 10
Matricule operateur saisie Matri_ops
11 AN 50
Nom operateur saisie Nom_ops
12 AN 10
Adresse operateur saisie Adress_ops
13 AN 15
Sexe operateur saisie Sex_ops
14 AN 15
Téléphone operateur saisie Tel_ops
15 AN 15
Code frais Code_frais
16 AN 10
Libelle frais Lib_frais
17 AN 15
Code caisse Code_caisse
18 AN 15
Libelle caisse Lib_caisse
19 AN 15
Matricule chef section Matri_chef
20 AN 10
Nom chef section Nom_chef
21 AN 8
Adresse chef section Adress_chef
22 AN 15
Téléphone chef section Tel_chef
23 AN 15
Sexe chef section Sex_chef
AN 15
65

1.4.2.3. Recensement et description des objets

Il est question ici de présenter les objets et relation entre les objets recensés lors
d’analyse existant (étude des documents).

a. Objet
Notre projet informatique basé sur la gestion de vente des fiches de proposition
et suivit des TFC nous amène au recensement des objets ci :
 Etudiant
 Fiche
 Operateur de saisie
 Frais
 Caisse
 Chef de section
b. Tableau descriptif
N° Nom objet Propriété Identifiant Nature Taille
Matri_etud # AN 10
Nom_etud AN 15
1 Etudiant Adress_etud AN 15
Classe_etud AN 15
Sexe_etud AN 8
Num_fic # 5
AN
Nom_etud 10
AN
Clas_etud 15
AN
2 Fiche Int_suj 10
Date
Dat_dep 10
AN
Sign_resp
AN
Dat_depot 10
Matri_ops # AN
Nom_ops 8
Operateur de AN
3 Adress_ops 8
saisie Sex_ops AN
4
Tel_ops AN
Code_frais # AN 10
4 Frais Lib_frais AN 50
Code_caisse # AN 10
5 Caisse Lib_caisse AN 15
Matri_chef # AN 10
Nom_chef
AN 15
6 Chef de section Adress_chef
AN 15
Tel_chef
Sex_chef
AN 15
65

1.4.2.4. Recensement et description de relations

Compte tenu des objets recensés ci-haut pour notre application, on a produit les
relations suivantes :

a. Relations
 Acheter
 Imprimer
 Payer
 Signature
 Recevoir
 Concerner

b. Tableau descriptif des relations


N° Relation Propriétés Dimension Objets associés
1 Acheter --- Binaire Etudiant-Fiche
2 Imprimer --- Binaire Fiche-Operateur saisie
3 Payer --- Binaire Etudiant-Frais
4 Signature --- Binaire Chef de section-Fiche
5 Recevoir --- Binaire Caisse-Frais
6 Concerner --- Binaire Frais-Fiche

1.4.2.5. Définition des contraintes


N° Relation Objet source Objet cible CIF
1 Acheter Etudian Fiche Non
2 Imprimer Oprerateur saisie Fiche Non
3 payer Etudiant Frais Oui
4 Signature Chef de section Fiche Oui
5 Recevoir Caisse Frais Non
6 Concerner Frais Fiche Oui
65

1.4.2.6. Présentation du modèle conceptuel de données « MCD »

ETUDIANT FICHE OPERATEUR


SAISIE
#Matri_etud #Num_fic
Nom_etud 1,n 1,n Nom_etud 1,n 1,n #Matri_ops
Adress_etud Acheter Imprimer Nom_ops
Clas_etud
Classe_etud Adress_ops
Int_suj
Sexe_etud Sex_ops
Dat_dep Tel_ops
Sign_resp
Dat_depot
1,n
1,1

1,1
Concerner

Payer Signature

1,1 1,n 1,n

FRAIS CAISSE CHEF


SECTION
#Code_frais 1,1 1,n #Code_caisse #Matri_chef
Lib_frais Recevoir Lib_caisse Nom_chef
Adress_chef
Tel_chef
Sex_chef
65

Section II : ETAPE ORGANISATIONNELLE

Dans ce chapitre nous allons procéder à l’organisation des informations qui


seront utilisées dans le système d’information informatisé (’étape logique) de Merise.

II.1. Modélisation Organisationnelle des Traitements


II.1.1. Définition et but

Le modèle organisationnel des traitements s'attache à décrire les propriétés des


traitements non traitées par le modèle conceptuel des données, c'est-à-dire : le temps, les
ressources et le lieu (Site web : http://www.commentcamarche.net/contents/662-merise-modele-
organisationnel-des-traitements).

Le modèle organisationnel des traitements consiste donc à représenter le


modèle conceptuel des traitements dans un tableau dont les colonnes sont la durée, le lieu, les
responsables et ressources nécessaires à une action.

II.1.2. Organisation à mettre en place

Les concepts de base utilisée dans cette partie sont :


 REGLE D’ORGANISATION
 POSTE DE TRAVAIL
 TACHE
 PROCEDURE
 EVENEMENT
 SYNCHRONISATION

 REGLE D’ORGANISATION

Expression de l’organisation mise en place en termes de poste de travail, de


nature du traitement et de chronologie.
65

Ex : Le gérant sera tenu de vérifier chaque semaine les commandes non encore livrées.

 POSTE DE TRAVAIL

Centre d’activité élémentaire comprenant tout ce qui est nécessaire à


l’exécution des traitements.
Il se caractérise par :
a) La fonction qu’il remplit
b) Des ressources : Hommes (Personnel), Programmes (Logiciel), Machines (Matériels),
Hommes + Machines, Outils, Supports.

Les ressources (humaines, matérielles) composant un poste-type peuvent ne


pas être simultanément et systématiquement mobilisées par toutes les tâches confiées à ce
poste-type.
 EVENEMENT

Cette notion reste inchangée par rapport au niveau conceptuel du M.C.T


On retrouve dans le M.O.T tous les évènements décrits dans le M.C.T ; mais des évènements
liés à des attentes organisationnelles sont apparues.
Il s’agit d’attentes de disponibilité des ressources et de contraintes de temps.
Ex : - Disquette « reçu d’achat » transmise,
- Période d’inventaire
- Délai
Les évènements conceptuels peuvent être affinés et décomposés en évènements plus fins.
.
 SYNCHRONISATION

Cette notion reste inchangée par rapport au niveau conceptuel du M.C.T. En


pratique, on constate un affaiblissement du concept de synchronisation.
La raison en est que l’attente entre procédure est une attente de nature purement
organisationnelle et non une attente liée à la survenance d’évènements externes.
D’autre part, les problèmes de ‘Rendez-vous’ du niveau conceptuel doivent disparaître, car
toute solution d’organisation se doit de régler ces problèmes.
65

Au niveau organisationnel, seules, restent les synchronisations destinées à


représenter des questions de délai.
 PROCEDURE
Succession de tâches exécutées consécutivement au sein d’un même poste pour
une même opération.

II.1.3. Passage du MCT au MOT

Ce passage se fait en ajoutant au MCT trois colonnes suivantes :


- La première colonne est la réponse à a question « Quant, Qui et Où » qui au moment
du déroulement du traitement de donnée.
- Ajouter pour chaque traitement :
• Le délai de réponse : qui peut être soit : temps immédiat (I), soit temps différé
(D) ;
• Le mode fonctionnement : unitaire (U), soit en lot (L) ou batch.
- Transformer le vocabulaire : les opérations deviennent de taches et les processus des
procédures fonctionnelles. Plusieurs taches exécutées dans un même poste de travail
deviennent une phase.
65

II.1.4. Présentation du MOT


65

II.2. Modélisation Organisationnelle de données


II.2.1. Définition et but
DEROUL ENCHAINEMENT TACHES/PHASES NATURE POSTE DE
EMENT TRAVAL

8h

T-M Caisse

15h00

8h Chef de
T-A section

15h00

8h

T-A Caisse

15h00

Le MOD est un modèle qui utilise le même formalisme (E/A) que le MCD
mais le MOD ne retient du MCD que les informations informatisables. Nous en parlerons en
65

trois points : d'abord, nous parlerons du c hoix des informations informatisables, ensuite de la
quantification de es informations (BDD) enfin de la sécurité de ces informations.

II.2.2. Construction du modèle Organisation de Données


II.2.2.1. Définition des concepts de base du Modèle Organisationnel de Données

- Quantification du volume de données au niveau organisationnel

La quantification du MOD se conduit principalement au niveau du MOD


global, elle permettra entre autres de mieux évaluer les possibilités de répartition
organisationnelle des données et en conséquence de dériver les MOD locaux.
a) Taille des Propriétés : Le concepteur doit exprimer la taille des propriétés, en
termes de nombre de caractères.
b) Nombre d'occurrences des individus et relations : Il s'agit d'évaluer le nombre
maximum d'occurrences des individus et des relations que l'on voudra avoir dans
la future base pour constituer la mémoire immédiate du système d'information.

 Dérivation du MOD locaux à partir du MOD global (DOMINIQUE & BERNARD,


2000)

Ce découpage permet de mettre en exergue des opérations communes, à


partager entre les unités ou les postes, dans le cas d'un système d'information destiné à
plusieurs sites organisationnels.

 Prise en compte de la sécurisation des données

L'accessibilité des données d'un MOD local s'exprime par les actions
élémentaires que peuvent effectuer sur ce sous-ensemble de données les traitements réalisés
dans le site organisationnel.
65

Ces différents types d'accès, en lecture(L), en modification (M), en création (C), et en


suppression (S) sont précisés sur le MOD local généralement sur un tableau récapitulant les
restrictions de disponibilités, les partages et les actions autorisées.

 Sécurité des données

La sécurité des données définit des restrictions d'accès aux données


mémorisées pour certaines catégories d'utilisateurs. Ces restrictions peuvent concerner un
type d'action limité (L, M, C, S) soit aux entités, relations ou propriétés du MOD global ou
local, doit à une sous-population des occurrences d'entités ou des relations. La sécurité d'accès
aux données comprend la limitation d'actions à certaines personnes (seul le responsable de la
comptabilité peut modifier une écriture comptable) et intègre aussi les aspects de
confidentialité (accès à certaines informations du dossier de personnes dites « sensibles »).

La sécurité d'accès s'exprime, selon les cas, au niveau du MOD global ou des
MOD locaux, et passe par la définition de catégories ou profils d'utilisateurs. Pour chaque
profil, on précise les éventuelles restrictions d'accès envisagées. En pratique, on présente ces
restrictions sous la forme de tableaux faisant référence aux schémas MOD.

II.2.2.2. Passage du MCD au MOD

Le passage du modèle conceptuel de données au modèle organisationnel de


données global résulte sur les points ci-après :
 Suppression du MCD de tous les objets et/ou relations résultant du choix de
mémorisation informatique ;
 Ne retenir que les informations capables d'être stockées dans l'ordinateur ;
 La création des autres éléments en remplacement si nécessaire de ceux supprimés.

II.2.2.3. Présentation du MOD Global

Le modèle organisationnel des données global retient du MCD que les objets
qui seront enregistrés dans la machine (Base de données), c’est pourquoi nous aurons à
enlever les objets qui ne seront pas enregistré dans la machine.
65

Pour notre cas, le modèle conceptuel de données est égal au modèle organisation de données
global. Cela veut dire tout simplement que nous n’avons pas des éléments à enlever.

II.2.2.4. Présentation du MOD Locaux

Le MODs locaux est un découpage qui permet de mettre en exergue des


opérations communes, à partager entre les unités ou les postes, dans le cas d'un système
d'information destiné à plusieurs sites organisationnels.

Ainsi, les autorisations ci-après peuvent être octroyées aux différents


utilisateurs et ce, selon le degré de privilège : C : Création, L : Lecture, M : Modification, S :
Suppression.

Un utilisateur peut avoir accès à la base de données et non à toutes les tables de
la base de données. Concernant notre application, nous avons un environnement mono poste
qui donne la possibilité à un seul utilisateur d’utiliser l’application relative à la gestion de
vente des fiches de proposition et suivit des TFC.

Profil utilisateur 1 : Chef de section Responsable : Chef de section


Entité-relation

Propriété Accès Restriction


65

Etudiant L Pas de restriction car l’environnement est mono


poste
Acheter L

Fiche CLMS

Imprimer CLMS Pas de restriction car l’environnement est mono


CLMS poste
Operateur de saisie

Payer CLMS Pas de restriction car l’environnement est mono


poste
Frais CLMS

Concerner CLMS Pas de restriction car l’environnement est mono


poste
Recevoir CLMS

Caisse CLMS

Signature CLMS

Chef de section CLMS

Conclusion du chapitre

Ce chapitre nous a permis de mettre en place ou organiser les informations qui


seront utilisées au niveau logique de merise, toutes informations moins utiles sont éliminées
dans ce niveau mais pour nous, nous avons gardé toutes les informations du MCD au MOD
Global, car toutes ces informations sont utiles pour la gestion de vente des fiches de
proposition et suivit des TFC.
65

Chapitre 2. CONCEPTION DU SYSTEME D’INFORMATION INFORMATISE (SII)

Introduction

Dans ce chapitre qui est la conception du système d’information informatisé,


nous allons nous atteler à une question qui se pose comment nous allons procéder à la
conception de logiciel de base de la gestion de vente des fiches de proposition et suivit
des TFC? ce chapitre va nous donner le squelette de l’application qui va manipuler la base de
données des informations relative à la gestion de vente des fiches de proposition et suivit
des TFC.

2.1. ETAPE LOGIQUE


2.1.1. Définition et but

C’est une étape purement technique de la conception. Elle est présentée par les
contraintes matériels et logiciels.

Pour nous, cette étape consiste à organiser de façon interne le nouveau


système. Ainsi, le concepteur doit avoir des connaissances sur le plan informatique, car, il
s’agit de l’état de l’art qui nécessite en avant une compétence purement informatique.

2.1.2. Modélisation logique de traitement


Ce niveau est d'une importance capitale pour la construction du MLT. Ce
dernier concerne la description des unités logiques de traitement. Une unité logique de
traitement ne contient que des tâches informatisables.

L'obtention d'une unité logique de traitement est la décomposition des tâches


ou phases du MOT, et chaque unité logique de traitement est un ensemble d'instructions
programmables. Donc, les unités logiques de traitement sont des tâches informatisables du
MOT du type réel ou temps différé.
65

2.1.2.1. Construction du modèle logique des traitements


2.1.2.1.1. Définition des concepts de base de MLT

- Unité logique de traitement est une tâche organisée et exécutée d'une manière
automatique ;
- Machine logique est un ensemble des ressources informatiques constituant les
matériels et logiciels capables d'exécuter des traitements informatiques de
manière autonome ;
- Procédure logique est un enchaînement logique de plusieurs unités logiques de
traitement ;
- Logique fonctionnelle représente l'organisation générale de l'ensemble de
traitements à effectuer et constitue « la colonne vertébrale » de l'unité logique de
traitement.

Généralement il existe trois approches pour concevoir le MLT, notamment :


 La décomposition des taches du MOT ;
 La recherche de réutilisation d’ULT ;
 La conception d’ULT autour des données.

2.1.2.1.2. Passage du MOT au MLT

Le passage du MOT au MLT n'est pas automatique, il faut de l'imagination, de


réflexion et de maîtrise de l'algorithme. La méthode merise n'y prévoit pas de règles de
passage. Aussi l'évolution technologique que connaît l'informatique en matière de logiciels ne
permet pas à Merise de standardiser des procédures partant de la conception à la réalisation
des applications informatiques comme le voudrait l'UML. Ce dernier est un langage dont le
but est d'unifier les procédures de conception d'applications orientées objets à la réalisation ; il
est mis au point par l'OMG (Objet Management Group). (VOSS, 1988)
65

2.1.2.1.3. Présentation MLT

Début PL
Démarrage

INFO
Vente des fiches de proposition et
suivit des TFC

CONNEXION

Utilisateur MELVADO

Mot de passe ********

OK ANNULER

Fin PL

NON
Si

OUI

OU

MENU PRINCIPAL
Choisir une option à exécuter

Fichier Edition Quitter

A B
65

C A

OU

MENU FICHIER

Achat fiches pro


et sui Consultation Traitement FERMER

F
D E C

OU

Fiche proposition et suivit TFC


ME01
Afficher ME01 :

- Saisir toutes les informations concernant l’étudiant Prop et


suivit

ENREGISTRER MODIFIER SUPPRIMER RECHERCHER FERMER

F
65

G D

OU

Etudiant

Afficher ME02 : ME02


Saisir toutes les informations

Etudiant

ENREGISTRERMODIFIERSUPPRIMERRECHERCHERFERMER

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2.1.3. Modélisation logique de données


2.1.3.1. Définition et but

Le modèle logique de données est un graphique qui décrit les différentes tables
à l’exploitation de la base de données avec un lien logique.

2.1.3.2. Construction du modèle logique de données


2.1.3.2.1. Définition des concepts de base de MLD

Le modèle logique de données (MLD) est composé uniquement de ce que l'on


appelle des relations. Ces relations sont à la fois issues des entités du MCD mais aussi
d'associations, dans certains cas. Ces relations nous permettront par la suite de créer nos tables
au niveau physique.

Une relation est composée d'attributs. Ces attributs sont des données
élémentaires issues des propriétés des différentes entités mais aussi des identifiants et des
données portées par certaines associations.

Le formalisme relationnel utilise les concepts techniques-ci-après :


 Table : est un objet fondamental de la base de données qui permet de
stocker les informations ;
 Attribut : est une unité, source élémentaire d’information d’une table ;
 Clé : est un attribut spécial qui permet de distinguer chaque enregistrement
dans une table
 Une clé est dite :
 Primaire : lorsqu’elle peut distinguer chaque enregistrement d’une
façon logique, et se place à la 1ère position ;
 Secondaire : lorsqu’elle se place à la 2ème position ;
 Etrangère : sous ensemble des colonnes de la table R1 et qui se
présente comme une colonne clé dans la table R2.
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2.1.3.2.2. Passage du MOD au MLD

Le passage du MOD au MLD brut est automatique.


Si l'on choisit de travailler avec un SGBD de type relationnel, on obtient un
MLD relationnel brut.
On l'appelle « Brut » car même après avoir appliqué sur le Modèle Organisationnel Données
« MOD » une série des règles lors du passage du MOD au MLD, la redondance demeure.
C'est pourquoi, il faut le faire suivre, encore, d'une dernière opération : NORMALISAT1ON.
(http://www.memoireonline.com/02/13/6951/m_Conception-et-realisation-d-un-systeme-
pour-la-gestion-de-patient8.html )
65

2.1.3.2.3. Présentation du MLD Brut

ETUDIANT
FICHE
#Matri_etud
#Num_fic
Nom_etud
Adress_etud Nom_etud
Classe_etud Clas_etud
Sexe_etud Int_suj
Dat_dep
Sign_resp
Dat_depot
Matri_etud#
Matri_ops#
Matri_chef#

FRAIS OPER SAIS


#Code_frais #Matri_ops
Lib_frais Nom_ops
Matri_etud# Adress_ops
Code_caisse# Sex_ops
Tel_ops

CHEF SEC
CAISSE #Matri_chef
#Code_caisse Nom_chef
Lib_caisse Adress_chef
Tel_chef
Sex_chef
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2.1.3.2.4. Normalisation de la base de données

La normalisation est une opération qui permet d’éliminer les redondances dans
la base de données. Pour ce faire, le concepteur fait recours aux différentes formes normales.
En effet, cela permet à l’administrateur de la base de données d’analyser les informations
relatives en termes de clés primaires échangées entre les tables à partir du passage de modèle
conceptuel de données au modèle logique de données.

Théoriquement, il existe cinq règles de normalisation ou cinq formes normales.


Mais en pratique, le MLD est valide ou normalisé à la troisième forme déjà normale.

LES FORMES NORMALES

Le MLD valide est obtenu après la validation du MLD Brut. Les relations
doivent respecter certaines règles, cet ensemble de règles se nomme « Formes Normales ».
Cette théorie a été élaborée par E.F.Codd en 1970. Son objectif est d’éviter les anomalies dans
la base de données relationnelle :
 Première forme normale : Une table doit avoir au moins une clé et ses attributs
doivent être élémentaires. Les attributs ne contiennent pas de valeur répétitive ;
 Deuxième forme normale : Une table est en deuxième forme normale, lorsqu’étant
déjà en 1ère forme normale, et que ses attributs non clés sont en dépendance
fonctionnelle de la clé primaire ;

 Troisième forme normale : Une table est en troisième forme normale, lorsqu’ étant
déjà en 2ème forme normale, et que ses attributs non clé ne sont pas en dépendance
transitive de la clé primaire. C'est-à-dire ils doivent être en dépendance directe de la
clé.

NB : La base de données est dite normale, lorsqu’elle est à la 3ième forme normale
65

2.1.3.2.5. Présentation du modèle logique de données relationnel (MLDR)

ETUDIANT
FICHE
#Matri_etud
#Num_fic
Nom_etud
Adress_etud Nom_etud
Classe_etud Clas_etud
Sexe_etud Int_suj
Dat_dep
Sign_resp
Dat_depot
Matri_etud#
Matri_ops#
Matri_chef#
NIVEAU ETUDE

FRAIS #Matri_etud OPER SAIS


#Code_frais Nom_etud #Matri_ops
Lib_frais Sexe_etud Nom_ops
Matri_etud# Prom_etud Adress_ops
Code_caisse# Matri_etud# Sex_ops
Tel_ops

CHEF SEC
CAISSE #Matri_chef
#Code_caisse Nom_chef
Lib_caisse Adress_chef
Tel_chef
Sex_chef
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2.2. ETAPE PHYSIQUE

2.2.1. Définition et but

Cette étape, est la dernière qui nous permet de donner le dernier modèle réalisé
pour les traitements et données avant la programmation. Ainsi, il prendra en compte les
ressources physiques (matériels, support et SGBD).

2.2.2. Modélisation physique de traitement


2.2.2.1. Définition et but

Le Modèle physique de traitement « MPT » est l’ensemble des programmes


informatisés du système d’information. (NANCI, 2000)
En d’autres mots, le modèle physique de traitement représente la solution technique de
construction du logiciel.

Etant donné que la méthode MERISE n’a pas prévu de modèle type à ce
niveau, nous allons seulement donner l’enchainement des unités Logiques des traitements
sous une forme arborescente. Chaque unité logique de traitement devient alors un programme
qui va exploiter la base de données ainsi créée.

2.2.2.2. Construction du modèle physique des traitements


2.2.2.2.1. Définition des concepts de base de modèle physique des
traitements

Le modèle physique des traitements utilise les mêmes concepts que le modèle
logique de traitement
 Module
 Programme
 Moniteur
 Unité de traitement
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2.2.2.2.2. Passage du MLT au MPT

Le Modèle Physique des Traitements (MPT) n’est rien d’autre qu’une


représentation graphique de la structure de notre programme.
Le passage s’effectue en respectant les principes ci-après :
 Les taches du modèle logique de traitement deviendront des modules dans le Modèle
Physique des Traitements.
 Les modules se décomposeront à des programmes pour répondre aux préoccupations
ou aux besoins des utilisateurs.

2.2.2.2.3. Présentation du modèle physique des traitements

ECRAN D’ACCUEIL

BOITE DE CONNEXION

MENU PRINCIPAL

FICHIER EDITION QUITTER

AJOUT MODIFICATION SUPPRESION Liste des


étudiants qui
ont achetés les
fiches

BDD MPD
65

2.2.3. Modélisation physique de données


2.2.3.1. Définition et but

Le modèle physique de données, est un modèle qui permet la représentation du


schéma physique de la base de données dans le système de gestion de base de données
relationnel choisi ou à utiliser au niveau du logiciel.

2.2.3.2. Construction du modèle physique des données


2.2.3.2.1. Passage du MLDR au MPD

Au cours de ce passage,
 Les tables deviennent des fichiers ;
 Les attributs deviennent des champs ;
 Les clés primaires des tables deviennent des clés d’accès des fichiers ;
 Les indications des tables serviront des noms des fichiers. Ainsi, ledit passage aboutit
à la création de la structure de la base de données.

2.2.3.2.2. Définition des concepts de base de MPD

Le modèle physique de données utilise les concepts techniques appropriés :


 Fichier : c’est un ensemble d’information qu’on perçoit sur un groupe homogène
d’individus ou objet ayant la même structure.
 Champs : est une unité élémentaire d’information d’un fichier
 Clé d’accès : est un champ spécifique d’un fichier permettent de distinguer les
enregistrements d’une façon unique.
 Enregistrement : c’est un ensemble de valeur qui se rapport à une entité d’un fichier.
65

2.2.3.2.3. Présentation du modèle physique de données

Table: Etudiant
Nom Type Taille
Mat_etud Texte 5
Nom_etud Texte 15
Adres_etud Texte 35
Class_etud Texte 5
Sexe_etud Texte 2
Table: Fiche
Nom Type Taille
Num_fic Texte 10
Nom_etud Texte 15
Class_etud Texte 15
Int_suj Texte 50
Dat_achat Date Date
Sign_resp Texte 10
Dat_dep Texte 50
Table: Operateur saisie
Nom Type Taille
Matr_ops Texte 19
Nom_ops Texte 15
Adress_ops Texte 35
Sexe_ops Texte 2
Tel_ops Texte 15

Table: Chef section


Nom Type Taille
Matri_chef Texte 10
Nom_chef Date 15
Adress_chef Texte 15
Tel_chef Numeric 15
Sex_chef Texte 2
65

Table: Frais
Nom Type Taille
Code_frais Texte 5
Lib_frais Texte 15

Table: Caisse
Nom Type Taille
Code_caisse Texte 5
Lib_caisse Texte 15

Table: Niveau d’étude


Nom Type Taille
Mat_etud Texte 5
Nom_etud Texte 15
Sexe_etud Texte 35
Prom_etud Texte 5
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Section3. REALISATION DU SYSTEME D’INFORMATION INFORMATISE

Section 1 : Implémentation de la base de données


Implémenter une base de données, c’est le créer. Nous avons opté comme dit
précédemment d’implémenter notre base de données en utilisant le SGBDR Microsoft Access
2010.
La procédure de la création de la base de données de présente comme suit :
 Après avoir lancé MS Office Access, cliquer sur « Base de données vide », spécifier
l’emplacement de la base de données, saisir le nom de ladite base de données et enfin
cliquer sur OK

Saisir le nom de la base de données Spécifier l’emplacement de la BDD


 Après avoir cliqué sur créer, il faudrait créer les différentes tables. Pour créer la table,
il suffit de faire un click-droit sur Table1, puis mode création, saisir le nom de la table
et enfin définir pour chacune des tables les champs qui s’y rapportent en spécifiant le
nom, le type et la taille pour chacun des champs.
65

Section 2  : Présentation et réalisation de l’application


2.1. Présentation de l’application
Boite de connexion
65

Menu principal

Saisie et Mise à jour des informations

2.2.. Ecriture des codes

Procédure liée au bouton OK( sauvegarder)


Private Sub BtnSauvegarder_Click(ByVal sender As System.Object, ByVal e As
System.EventArgs) Handles Button1.Click
cn = New ADODB.Connection
cn.Open("MELVADO")
tb = New ADODB.Recordset
tb.Open("select * from VENTE DE FICHE POUR TFC where Isbn_oeuv='" &
TextBox1.Text & "'", cn, ADODB.CursorTypeEnum.adOpenKeyset,
ADODB.LockTypeEnum.adLockOptimistic)
If tb.EOF Then
65

tb.AddNew()
tb.Fields("Isbn_oeuv").Value = TextBox1.Text
tb.Fields("Intitule_oeuv").Value = ListBox1.Text
tb.Fields("ref_lec").Value = Combo1.Text
tb.Fields("Ref_pub").Value = Combo2.Text
tb.UpdateBatch()
Call Initialisation()
Else
MsgBox("Cet étudiant existe déjà!", MsgBoxStyle.Critical, "")
Call Initialisation()
End If
End Sub

Procédure liée à la Modification


Private Sub BtnModifier_Click(ByVal sender As System.Object, ByVal e As
System.EventArgs) Handles Button1.Click
cn = New ADODB.Connection
cn.Open("MELVADO")
tb = New ADODB.Recordset
tb.Open("select * from VENTE DE FICHE POUR TFC where Isbn_oeuv='" &
TextBox1.Text & "'", cn, ADODB.CursorTypeEnum.adOpenKeyset,
ADODB.LockTypeEnum.adLockOptimistic)
If Not tb.EOF Then
tb.Fields("Isbn_oeuv").Value = TextBox1.Text
tb.Fields("Intitule_oeuv").Value = ListBox1.Text
tb.Fields("ref_lec").Value = Combo1.Text
tb.Fields("Ref_pub").Value = Combo2.Text
tb.UpdateBatch()
Call Initialisation()
End If
End Sub
65

Procédure liée à la Suppression


Private Sub Button3_Click(ByVal sender As System.Object, ByVal e As System.EventArgs)
Handles Button3.Click
cn = New ADODB.Connection
cn.Open("MELVADO")
tb = New ADODB.Recordset
tb.Open("select * from VENTE DE FICHE POUR TFC where Isbn_oeuv='" &
TextBox1.Text & "'", cn, ADODB.CursorTypeEnum.adOpenKeyset,
ADODB.LockTypeEnum.adLockOptimistic)
If Not tb.EOF Then
tb.Delete()
Call Initialisation()
End If
End Sub
65

CONCLUSION GENERALE

L’étude que nous avons menée avait pour objectif la gestion de vente des
fiches de proposition de sujet et suivit des TFC a la section informatique de L’ISC. La
conception dudit système est rendue possible grâce à la méthode merise qui de par sa
démarche en niveaux nous a permis de procéder à une étude préalable, suivie de la conception
du nouveau système d’information et de son développement.

Le cheminement que nous avons suivi pour réaliser ce travail a consisté dans
un premier temps à tracer le cadre de l’application notamment en indiquant la problématique
et en y apportant une réponse provisoire à confirmer dans le développement du sujet. Par la
suite nous avons procédé à l’étude préalable qui a porté sur l’organisation et le
fonctionnement du service du personnel de ladite service. L’ensemble d’informations
recueillies a permis de formuler des propositions de solutions à la problématique posée et de
faire le choix de la solution idéale à savoir celle de l’informatisation du système d’information
relative à la gestion de ventes des fiches de proposition et suivit TFC. La proposition des
solutions a bouclé cette partie.

Enfin, nous avons procédé à la conception d’un nouveau système


d’information en utilisant la méthode Merise dont les caractéristiques de l’application se
résument à la base de données obtenue en partant des objets et relations. Avec les différentes
règles de passage, tables et fichiers ont été créés en recourant au SGBDR Access 2013. Le
langage de programmation Visual Basic 2010 pour les applications nous a permis de
concrétiser cette application, pour lequel les essais nous ont donnés satisfactions.
65

BIBLIOGRAPHIE
I. OUVRAGES
1. DOMINIQUE NANCY et B. ESPINASSE, Ingénierie des systèmes d’information,
Merise 2ème tirage, Paris, 2000
2. GALAERT, Conception de base de données du schéma conceptuel au schéma physique,
éd. Des organisations, Paris, 2000
3. MVIBUDULU K & KONKFIE I., Technique des bases de données 2è éd., Ed.
CRIDGED, Kinshasa, Janvier 2012
4. TOMLIN R., La mise en place de l’informatique dans l’entreprise, Ed.
Organisation, Paris, 1972

II. WEBOGRAPHIE
5. http//www.traderfinance.fr
6. http//www.wikipedia.com
7. http//www.commentçamarche.com
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Table des matières


EPIGRAPHE...........................................................................................................................................i
DEDICACE............................................................................................................................................ii
REMERCIEMENTS.............................................................................................................................iii
INTRODUCTION GENERALE............................................................................................................1
1. PROBLÉMATIQUE....................................................................................................................2
2. HYPOTHÈSE...............................................................................................................................3
3. CHOIX ET INTÉRÊT DU SUJET.............................................................................................3
4. MÉTHODES ET TECHNIQUES UTILISÉES..........................................................................4
5. DÉLIMITATION DU TRAVAIL...............................................................................................5
6. CANEVAS DU TRAVAIL...........................................................................................................5
Chapitre II. Analyse de l’existent...........................................................................................................5
Chapitre I. PRESENTATION DE L’INSTITUTSUPERIEUR DE COMMERCE « ISC/KIN »............7
I. 1. Situation Géographique..................................................................................................................7
I.2. Aperçu historique.............................................................................................................................7
I.3. OBJECTIF ET MISSION................................................................................................................9
I.4. FONCTIONNEMENT ET ORGANISATION................................................................................9
I.5. STRUCTURE FONCTIONNELLE...............................................................................................11
I.7. Organigramme de l’Institut Supérieur de Commerce.....................................................................15
Chapitre II. ANALYSE DE L’EXISTANT..........................................................................................16
II.1. Définition et but............................................................................................................................16
2.2. ORGANIGRAMME DU SERVICE CONCERNE.......................................................................16
2.2.1. Etude de poste de travail.............................................................................................................16
2.2.1.1. Recensement des postes de travail...........................................................................................16
2.2.1.2. Tableau Descriptif des postes.................................................................................................17
2.2.2. Etude des documents utilisés......................................................................................................18
2.2.2.1. Recensement des documents...................................................................................................18
2.2.2.2. Présentation des documents.....................................................................................................19
2.2.3. Etude de moyens de traitement des informations.......................................................................24
2.2.3.1. Ressources humaines..............................................................................................................24
2.2.4.2. Ressources matérielles.............................................................................................................25
2.2.4.3. Ressources financières.............................................................................................................25
2.3. DESCRIPTION DE LA STRUCTURE FONCTIONNELLE.......................................................25
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2.3.1. Schéma de circulation des informations.....................................................................................25


7.2. Légendes et abréviations utilisées..................................................................................................27
7.3. Tableau descriptif du schéma de circulation des informations......................................................28
7.4. CRITIQUE ET DIANOSTIQUE DE L’EXISTANT.....................................................................29
7.5. RECHERCHE DES SOLUTIONS........................................................................................29
7.6. CHOIX DE LA MEILLEURE SOLUTION.........................................................................30
CHAPITRE 1 : MODELISATION DU SYSTEME D’INFORMATION ORGANISE (S.I.O.)...........32
Introduction..........................................................................................................................................32
Section 1 : ETAPE CONCEPTUEL.....................................................................................................32
1.1. Définition et but......................................................................................................................32
1.2. Modélisation conceptuel de communication.....................................................................32
1.2.1. Définition et but..........................................................................................................32
1.2.2. Construction du modèle conceptuel de communication (MCC)..............................33
1.3. Modélisation conceptuelle des traitements.......................................................................34
1.3.1. Définition et but................................................................................................................34
1.3.2. Construction du Modèle Conceptuel des Traitements.............................................................34
1.3.2.2. Identification et description du processus....................................................................35
1.3.2.3. Présentation du modèle conceptuel des traitements....................................................36
1.4. Modélisation conceptuel de données.................................................................................37
1.4.1. 1. Définition et but......................................................................................................37
1.4.2. Construction du modèle conceptuel de données.......................................................37
1.4.2.1. Règles de gestion.....................................................................................................37
1.4.2.2. Dictionnaire de données.........................................................................................38
1.4.2.3. Recensement et description des objets........................................................................39
1.4.2.4. Recensement et description de relations.....................................................................40
1.4.2.5. Définition des contraintes..............................................................................................40
1.4.2.6. Présentation du modèle conceptuel de données « MCD »...........................................41
Section II : ETAPE ORGANISATIONNELLE................................................................................42
II.1. Modélisation Organisationnelle des Traitements.............................................................42
II.1.1. Définition et but...............................................................................................................42
II.1.2. Organisation à mettre en place.......................................................................................42
II.1.3. Passage du MCT au MOT..............................................................................................44
II.1.4. Présentation du MOT......................................................................................................44
II.2. Modélisation Organisationnelle de données.....................................................................45
65

II.2.1. Définition et but...............................................................................................................45


II.2.2. Construction du modèle Organisation de Données.......................................................46
II.2.2.2. Passage du MCD au MOD...........................................................................................47
II.2.2.3. Présentation du MOD Global......................................................................................48
II.2.2.4. Présentation du MOD Locaux.....................................................................................48
Conclusion du chapitre.................................................................................................................49
2.1. ETAPE LOGIQUE.............................................................................................................50
2.1.1. Définition et but..........................................................................................................50
2.1.2. Modélisation logique de traitement...........................................................................50
2.1.2.1. Construction du modèle logique des traitements..................................................51
2.1.2.1.2. Passage du MOT au MLT......................................................................................51
2.1.2.1.3. Présentation MLT...................................................................................................52
2.1.3. Modélisation logique de données...............................................................................56
2.1.3.2. Construction du modèle logique de données.........................................................56
2.1.3.2.2. Passage du MOD au MLD......................................................................................57
2.1.3.2.3. Présentation du MLD Brut....................................................................................58
2.1.3.2.4. Normalisation de la base de données.....................................................................59
LES FORMES NORMALES.....................................................................................................59
2.1.3.2.5. Présentation du modèle logique de données relationnel (MLDR).......................60
2.2. ETAPE PHYSIQUE...........................................................................................................61
2.2.1. Définition et but..........................................................................................................61
2.2.2. Modélisation physique de traitement........................................................................61
2.2.2.2. Construction du modèle physique des traitements...............................................61
2.2.2.2.2. Passage du MLT au MPT.......................................................................................62
2.2.2.2.3. Présentation du modèle physique des traitements................................................62
2.2.3. Modélisation physique de données............................................................................63
2.2.3.2. Construction du modèle physique des données....................................................63
2.2.3.2.2. Définition des concepts de base de MPD...............................................................63
2.2.3.2.3. Présentation du modèle physique de données.......................................................64
Section 1 : Implémentation de la base de données...........................................................................66
Section 2 : Présentation et réalisation de l’application...................................................................67
2.2.. Ecriture des codes....................................................................................................................68
CONCLUSION GENERALE..............................................................................................................71
BIBLIOGRAPHIE...............................................................................................................................72
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