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ALGORITHMES DE TRIS
Dans toute la suite, on travaille avec des tableaux non vides de réels distincts, de longueur
n > 1.
Le but est de le trier par ordre croissant .
5. Application :
On rappelle que la médiane d'une liste ordonnée L est :
l'élément centré si n = len(L) est impair.
la moyenne des 2 éléments centrés si n = len(L) est pair.
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À l'aide de l'algorithme de tri, coder une fonction mediane de paramètre une liste L de scalaires, et
qui retourne la médiane de ces valeurs.
La tester sur les listes décroissantes d'entiers de 100 à 0, puis de 100 à 0.
6. Complexité dans le pire des cas
a) Rappeler pour quel type de listes l'algorithme de tri par insertion se trouve dans le pire des cas.
b) Modier l'algorithme tri de sorte qu'il retourne , en plus de L, le nombre d'appels de la fonction
IR.
c) Créer une fonction complexite_pire(n) qui retourne le nombre d'itérations pour trier par
insertion la liste [n − 1, . . . , 1, 0].
d) Représenter la fonction complexite_pire(n) en fonction de n.
e) Conjecturer alors l'ordre de complexité dans le pire des cas. Vérier avec la preuve vue en cours.
chaine_vitesse_entiere ; chaine_couple_ottant\n
Extraire les données de ce chier, puis les trier suivant les vitesses croissantes, puis représenter le couple
en fonction de la vitesse.
On utilisera une fonction de tri rapide agissant sur une liste de couples.
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2. Tester cet algorithme sur un exemple (on poura rajouter des "print" intermédiaires, pour mieux voir
les étapes de tri ).
3. Quelle est la complexité dans le meilleur des cas de cet algorithme ?
Remarque : on montre que la complexité temporelle moyenne du tri gnome reste quadratique... Encore
aucun gain, donc.
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