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LEDOUX Justin
TRAVAIL D’ETUDE ET
RECHERCHE
Réalité Virtuelle/ 3D
Résumé
A l'aide d'outils de CAO comme Autocad, Civil3D, 3DSMax ou Sketch up, réaliser une
maquette 3D des locaux de l'E.I.V.P.
Mots clés
Abstract
Using tools of CAD like Autocad, Civil3D, 3DSMax or Sketch up, to produce a model 3D of
the buildings of the E.I.V.P.
This virtual model will have to allow a visitor or a Net surfer to discover and to be directed in
the school.
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
REMERCIEMENTS
Nous souhaitons remercier les personnes suivantes qui nous ont aidés à réaliser ce projet :
M CHACHOUA qui nous a fourni les plans de l’école, ce qui nous a évité un immense travail
de mesure
M MALBRAND qui nous a suivis tout au long de la réalisation de ce projet et qui nous a
fourni les divers logiciels utilisés
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
Sommaire général
Annexe…………………………..………………………………….31
Bibliographie………………………………………………………33
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
A- S’approprier le sujet
C- Modélisation de l’EIVP
E- Finalisation du projet
F- Préparation de la soutenance
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
A-3 X X
A-4 X X
A-5 X X
B B-1 X
B-2 X
B-3 X
C C-1 X
C-2 X
C-3 X
C-4 X
C-5 X
D D-1 X
D-2 X
D-3 X
D-4 X
E E-1 X
E-2 X
F X X
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
Diagramme GANTT
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
Sommaire
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Ce type de panoramas est le plus répandus. En effet, ils sont relativement simples à mettre en
œuvre et présentent des lieux ou objets réels.
Afin de réaliser ce type de panorama, il faut réaliser des photos du lieu que l’on désire visiter.
Les photos doivent permettre de montrer l’ensemble du lieu.
Une fois les photos obtenues, avec une résolution la plus grande possible afin de permettre un
niveau de détail le plus important, il faut utiliser un logiciel capable d’assembler les photos
prises pour permettre de « tourner » autour du point fixe d’où l’on a pris les photos. En réalité,
les photos prises doivent l’avoir été en étant décalé d’un angle constant, afin de permettre de
faire le « tour » de la pièce. Le logiciel forme alors une sphère au centre du laquelle se situe le
« visiteur », sur les parois interne de la sphère sont placées les photos réalisées.
A gauche la sphère vue de l’intérieur avec l’observateur, à droite la sphère vu de l’extérieur Source : personnelle,
réalisé avec 3Ds Max)
Du fait de la courbure engendrée par la sphère, les photos sont déformées, et le logiciel doit
donc redresser la photo pour que cela forme une image réaliste.
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A gauche, une image brute vue de l’intérieur de la sphère, à droite, la même image redressée par le logiciel
(Source : Internet)
Une fois la « sphère » constituée et les images redressées, il faut encore permettre la visite
virtuelle. Pour cela, les logiciels permettent de lier différents points de vue situés à différents
endroits, permettant ainsi au visiteur de « choisir » les pièces qu’il désire voir.
Schéma d’une visite virtuelle (Source : Personnelle, réalisé avec 3ds Max)
Images présentant le résultat final obtenu pour une visite virtuelle (Source : Internet)
Ce type de visite est actuellement utilisé par les sites de patrimoine (visite de musée, visite
d’église) ou par les sites hôteliers, heureux de présenter leurs chambres sur internet.
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
Après avoir étudié le principe de cette méthode de visite virtuelle, intéressons nous aux
avantages et aux inconvénients de cette méthode.
Avantages :
Inconvénients :
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Ce type de visite est encore peu utilisé car plus difficile à mettre en œuvre.
Du fait de son caractère tridimensionnel, la première étape de ce type de visite est de réalisé
l’espace visitable avec un logiciel de modélisation 3D. Ensuite, il suffit d’utiliser un logiciel
adapté capable d’exporter l’objet 3D en un fichier utilisable par le plus grand nombre.
Plutôt que de s’attarder sur la modélisation tridimensionnelle, que nous étudierons plus
amplement dans le corps du rapport, nous allons faire une énumération des différentes
utilisations de ce type de visite.
Aujourd’hui, ce type de visite virtuelle est encore très peu utilisé, surement du fait de la
nécessité d’utiliser un plug-in. Cependant, on peut le retrouver dans différents usages :
La première vocation de la visite 3D semble être la visite de grands espaces. En effet, quand
on souhaite présenter un campus ou une opération de grande ampleur, il est plus facile de
réaliser une modélisation 3D que « jouer » avec des photos montages. A noter que ce type de
visite est souvent réalisé dans la norme Flash, car nécessite un niveau de détail faible.
Impression écran du site de la Haute Borne, qui nous montre ici le projet de cité scientifique à Lille (Source :
http://www.parc-haute-borne.fr)
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Le domaine qui actuellement génère le plus de visite virtuelle en 3D, c’est l’immobilier. En
effet, on voit apparaitre de plus en plus de sites immobiliers qui présentent leurs prochains
projets sous forme de visite virtuelle en 3D. Ce type de visite nécessite en général
l’installation d’un plug-in VRML sur navigateur internet, afin de permettre la visite virtuelle à
l’utilisateur.
A gauche une modélisation 3D d’une maison, à droite une image provenant de la visite virtuelle de la même
maison (Source : http://www.easyprom.fr)
c) Les objets 3D
Enfin, le dernier domaine utilisant la modélisation 3D, c’est la démonstration d’objet en 3D.
Certes, il ne s’agit pas à proprement d’une visite virtuelle dans un bâtiment, et donc sort
quelque peu du cadre de notre sujet, mais il nous a semblé important de le mentionner car il
peut être utilisé conjointement avec une visite virtuelle afin de détailler l’intérieure d’un
bâtiment.
Aujourd’hui ce type de solution est surtout utilisé dans les catalogues en ligne, mais avec
l’arrivée tout récente du PDF 3D, on peut aisément imaginer découvrir très bientôt des visites
virtuelles de bâtiment réalisées dans ce nouveau format.
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
En haut, une vue globale d’une pièce, en bas, la même pièce sous un autre angle, aves de meubles rajoutés
(Source : http://www.pdf3d.com)
Le principal avantage de cette méthode est bien entendu sa capacité à présenter des objets
inexistants.
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Sommaire :
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La première étape de notre projet a été de récupérer les plans de l’école. En effet, il nous a
semblé plus facile de récupérer des plans déjà fait plutôt que de les réaliser nous même, ce qui
aurait été moins précis et aurait représenté une perte de temps considérable. Cependant, bien
que la récupération des plans fut très simple (un simple e-mail à M CHACHOUA nous a
permis de les obtenir), leur utilisation a été beaucoup plus compliqué.
Dans un premier temps, ils nous ont été fourni sous le format Adobe Illustrator (logiciel que
nous ne savons pas spécialement utilisé), mais la commande Exporter nous a permis de
travailler sur ces plans dans le logiciel plus maîtrisé : AutoCAD.
Malheureusement, bien que nous ayons les plans et le logiciel adéquat pour travailler, notre
projet n’était pas encore sur le point de démarrer. En effet, les plans que nous avons récupéré
étaient totalement déformés. Aussi bien suivant l’échelle verticale que suivant l’échelle
horizontale. De plus, la déformation n’étant pas la même suivant les deux axes, mais aussi
suivant les différents niveaux, il nous a donc fallu passer énormément de temps pour remettre
à l’échelle l’ensemble des plans et pouvoir enfin commencer à chercher un moyen de
répondre au sujet qui nous était proposé.
Exemple de déformation des plans de l’EIVP : ici les portes sont déformées dans les deux directions (source :
EIVP, 1er étage)
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Pour cela, nous avons utilisé la commande X-Ref d’AutoCAD, qui nous a permis d’importer
les plans déformés et de modifier leurs échelles avec des valeurs différentes. En effet, les
autres commandes d’ouvertures ou d’importation d’AutoCAD ne distinguent pas l’échelle
verticale de l’échelle horizontale. Il a donc été nécessaire d’effectuer des mesures sur les
dessins déformés, le plus précisément possible, et de choisir des valeurs arbitraires afin de
« redresser » les plans. Les valeurs que nous avons choisi de fixer ont été celles des portes :
nous avons fixé leur largeur à 90cm, en supposant bien entendu que les normes incendies
avaient été respectées durant la conception initiale du bâtiment.
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La seconde étape de notre projet, avant de commencer à développer une solution, a été la
modélisation de l’EIVP en 3D. En effet, le sujet spécifiait clairement que nous devions
réaliser une maquette virtuelle de l’école, ce qui impliquait donc d’avoir déjà une base de
travail en trois dimensions. Pour cela, nous avons travaillé sur chacun des 6 niveaux que nous
possédions de l’école, afin de les modéliser en trois dimensions. C’est une fois cette étape en
route que nous avons donc commencé à réfléchir à la manière dont nous allions répondre au
sujet.
Modélisation 3D de l’EIVP, les couleurs correspondent aux différents calques utilisés dans le fichier
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Le sujet du TER nous demande de présenter une maquette virtuelle de l’EIVP, cependant, il
nous est apparu que modéliser l’école en 3D et y placer des textures plus ou moins réalistes
répondait plus ou moins au travail demandé, mais surtout n’apportait pas le coté « réalité
virtuelle » qui fait partie de l’innovation proposée par le sujet. Ainsi, nous avons donc opté
pour un « mix » entre une représentation « minutieuse » de certaines pièces de l’école, dans
lesquelles nous proposerons des panoramas 3D et une représentation « grossière » de l’école
(incluant tout de même la modélisation 3D de l’école basée sur les plans mais incorporant des
textures moins travaillées que pour les panoramas).
Le choix d’utiliser des panoramas nous était suggéré par l’énoncé, mais nous avons opté pour
des panoramas virtuels plutôt que des panoramas photos donc le principe a été décrit en
première partie. Ainsi, pour réaliser les panoramas, nous avons utilisé le logiciel de rendus
réalistes Artlantis, en version 2. Son utilisation a nécessité un certain temps d’apprentissage,
qui s’est effectué en parallèle de la modélisation de l’EIVP.
Afin d’être utilisé sous Artlantis, le fichier comportant la modélisation de l’école doit être
converti en fichier 3DS. Cela peut-être réalisé en important le fichier AutoCAD dans 3DS
Max, puis l’exporté en fichier 3DS. Cependant, ce passage d’un logiciel à un autre entraine
une perte de données (notamment au niveau des échelles et des calques utilisés), nous avons
donc utilisé un plug-in à rajouter dans AutoCAD : 3DSout. Ce plug-in rajoute alors à
AutoCAD la possibilité d’exporter des objets au format 3DS (cette possibilité était présente
dans les anciennes versions d’AutoCAD, mais a disparu depuis les versions 2006).
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On arrive alors sur les options d’importation, permettant notamment de modifier l’échelle et
les unités du fichier.
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Une fois le modèle 3D importé, il faut choisir la position d’où nous allons réaliser le
panorama. Pour cela, Artlantis nous propose une navigation sous mode 2D avec la vue « de la
caméra » en 3D. Ce menu permet donc, via des choix de vue (dessus, face, droite, gauche et
dessous) de permettre un placement très précis du panorama.
On n’a alors plus qu’à placer les textures et les objets dans la salle où l’on réalise le
panorama.
Même impression écran avec les textures, les objets placés et les lumières
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d) Réalisation du panorama
Le panorama est alors calculé par le logiciel, et on obtient un fichier lisible avec QuickTime
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
La première idée qui a dirigé cette solution a été de réaliser des panoramas liés, ce qui permet
à l’utilisateur de « choisir » où il désire se rendre dans le bâtiment, bien que les points de
réalisation des panoramas aient été choisis par le concepteur. Ce procédé a le mérite de
permettre une certaine liberté d’action à l’utilisateur, ce qui permet donc de qualifier ce type
de panoramas comme un outil de réalité virtuelle. Malheureusement pour nous, les dernières
versions du logiciel Artlantis ne possèdent plus cette fonctionnalité de liaison des panoramas.
Dès lors, cette solution n’a pas pu être approfondie, bien que nous ayons pu récupérer la
version 4.5 du logiciel afin de montrer ce qu’il était possible de réaliser avec des panoramas.
Afin de garantir une certaine liberté d’utilisation, nous avons continué dans l’optique de
réaliser des panoramas, avec toujours à l’idée que l’utilisateur final pourrait choisir de
« visiter » virtuellement les salles qui l’intéressent. N’ayant pas à notre disposition des
logiciels permettant la liaison de panoramas (l’ensemble du projet a été réalisé sur des
logiciels qui possèdent des versions de démonstration à durée limitée dans le temps et que
nous savions maîtriser), nous sommes donc aller dans l’idée de réaliser des panoramas de
certaines salles, mais avec la possibilité de se diriger dans l’école via un plan en trois
dimensions, avec des points clés indiquant la présence de panoramas. Cette idée nous a été
suggérée par le site du cimetière du Père Lachaise, qui propose des panoramas (photos dans
ce cas là) avec le plan du cimetière situé à coté :
Capture d’écran du site de la visite virtuelle du cimetière du Père Lachaise (Source : www.pere-lachaise.com)
Le but de notre travail étant de permettre au plus grand nombre de pouvoir « visiter » l’EIVP,
il nous a fallu trouver un moyen de mettre en œuvre notre solution dans un format utilisable
par tous, c'est-à-dire exportée dans un format logiciel que l’on peut obtenir gratuitement.
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a) Solution n°1
La première solution envisageable « grand public » est une exportation du fichier dans un
format lisible par 83,29% de personnes (source : pourcentage d’utilisation d’Internet Explorer
http://www.generation-nt.com), soit un fichier au format VRML. Ce type de fichier nécessite
certes le téléchargement d’un plug-in supplémentaire à Internet Explorer, mais permet à
l’utilisateur d’avoir une vue globale du bâtiment tout en pouvant naviguer à l’intérieur. Grace
à ce type de format, on peut aussi incorporer des hyperliens (voir définition en Annexe),
permettant alors à l’utilisateur de visualiser les panoramas en cliquant sur un objet-cible.
Cependant, la navigation dans un fichier VRML est très compliqué, et cela quelque soit le
plug-in utilisé. De plus, la nécessité de télécharger un logiciel supplémentaire pour Internet
Explorer peut « effrayer » certains utilisateurs, notamment avec les nombreux problèmes de
spywares (voir définition en Annexe) qui existent. Nous avons donc abandonné cette idée, qui
pourrait par contre être réactualisé dans le cadre une utilisation accrue du format VRML.
b) Solution n°2
La seconde solution envisagée est une option directement incluse dans AutoCAD et
visualisable par un grand nombre d’utilisateur. Cette option est l’option export to DWF
(définition en Annexe). Afin de permettre de répondre à notre problème, nous avons décidé de
créer des hyperliens dans le fichier source, exportés ensuite dans un fichier DWF. Pour créer
les hyperliens, nous avons utilisé la fonction propre à AutoCAD :
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
Nous obtenons alors un objet avec une icône montrant la présence d’un hyperlien :
Impression écran de l’objet créé avec visualisation de la présence d’un hyperlien sous AutoCAD
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
Cette solution est très intéressante puisque l’on peut agir sur les calques et les objets dans le
fichier DWF : on peut cacher les calques que l’on désire ou les mettre en transparence,
afficher ou non les textures. On peut même choisir seulement certains objets à afficher, ce qui
peut permettre par exemple de ne visualiser que certains niveaux de l’école :
Impression écran du fichier DWF : en haut à gauche, le fichier texturé complet ; en haut à droite, on a mis en
transparence les façades ; en bas à gauche, les façades ont été cachées ; en bas à droite, on ne visualise que le
rez-de-chaussée bas.
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c) Solution n°3
Cette dernière solution est celle que nous allons présenter en version finale. Il s’agit donc de
celle que nous avons pu réellement réaliser. Pour la mettre en œuvre, nous avons utilisé la
version 3D d’Adobe Acrobat. Cette évolution du logiciel de visualisation de fichier PDF
permet de créer un nouveau type de fichier PDF permettant de visualiser un fichier 3D. En
fait, le logiciel convertit le moteur 3D du logiciel source (ici AutoCAD) afin de le rendre
lisible en PDF.
Les fichiers au format PDF 3D possèdent toutes les options des fichiers DWF : possibilité de
cacher et de mettre en transparence les éléments désirés. De plus, on peut choisir un mode
d’affichage : transparent, conceptuel ou réaliste :
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
Impression écran du fichier PDF 3D : en haut à gauche, le fichier sans texture ; en haut à droite, on a mis en
transparence les façades ; en bas à gauche, les façades ont été cachées ; en bas à droite, on ne visualise que le
rez-de-chaussée bas.
Cependant, l’importation dans Acrobat 3D ne tient pas compte hyperliens créés dans
AutoCAD, il a donc fallu trouver un moyen de contourner ce problème grâce aux différentes
options contenues dans le logiciel. Pour cela nous avons deux possibilités complémentaires :
Cette fonction native dans Acrobat 3D permet d’ajouter des fichiers de types différents dans
le PDF 3D (par exemple des photos, des films ou des textes) qui apparaissent alors dans une
fenêtre à part.
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
A gauche le menu d’importation des pièces jointes dans le PDF 3D, à droite la fenêtre « Fichiers Joint » du PDF
3D présentant l’ensemble des fichiers joints disponibles.
Ainsi, nous pouvons implanter dans le PDF 3D les panoramas 3D des différentes pièces. Et
pour permettre à l’utilisateur de « comprendre » que la pièce qu’il visualise, nous avons placé
des objets 3D représentant les panoramas.
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
Nous avons vu tout au long de ce présent rapport, différentes méthodes existantes pour
réaliser des maquettes en trois dimensions. Pour notre part, et d’après le problème que nous
devions résoudre, nous avons choisi de réaliser notre maquette sous AutoCAD à partir des
plans existant et de fournir un fichier exécutable par tous (soit en Autodesk DWF soit en
Adobe PDF, tout deux téléchargeable GRATUITEMENT auprès de leurs éditeurs respectifs)
comportant les panoramas virtuels des pièces que nous avons considérées comme importantes
dans l’EIVP. De ce point de vue là, nous avons totalement répondu au sujet qui nous était
posé. Cependant, il faut savoir que notre fichier 3D n’est pas du tout réaliste, en effet, bien
que basé sur les plans de l’EIVP, nous avons décidé de ne pas placer les « vraies » textures,
mais plutôt d’en mettre des génériques (disponibles nativement dans les logiciels de CAO). Il
est important de noter que nous réalisons ici une maquette, donc absolument pas fidèle à la
réalité. Ainsi, les panoramas que nous avons réalisés ont été créés virtuellement en 3d et non à
l’aide de photo, ce qui aurait « trahit » le principe de réalisation personnelle.
Enfin, et cela afin de totalement finaliser le projet, nous avons profité de la réalisation du
modèle 3D de l’EIVP pour créer un fichier exportable sur le logiciel de plus en plus utilisé
aujourd’hui : Google Earth. Nous justifions cette action par le fait que notre TER a été réalisé
dans le but de montrer l’EIVP aux futurs élèves, ou aux personnes qui sont intéressés par
l’école. Ainsi, nous savons tous que le nouveau réflexe est de se rendre sur Google Earth pour
visualiser l’emplacement d’un lieu. De ce fait, il nous est apparu que puisque nous disposions
d’un fichier 3D complet et au format 3DS (importable dans Google Sketch Up), nous
pouvions « boucler la boucle ». En effet, si notre projet est destiné au public, celui-ci sera
content de trouver le bâtiment sur un logiciel populaire comme Google Earth. De ce fait, avec
la possibilité de lier des objets externes au logiciel aux modèles qui le constitue (des
utilisateurs lient des photos personnelles à des bâtiments modélisés sur Google Earth), nous
avons donc penser faire de même en proposant de lier nos fichiers définitifs comportant les
panoramas au bâtiment de l’EIVP géolocalisé sur Google Earth. Cependant, il est à noté que
pour le moment, le bâtiment n’est pas encore exporté sur le serveur mondial du logiciel, mais
seulement situé du les disques durs de nos ordinateurs. En effet, ce n’est pas à nous qu’il
revient de prendre une telle décision, mais il est important de noté que nous avons « préparé le
terrain » dans le cas où la direction de l’école souhaiterait utiliser notre travail.
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
Au cours de la réalisation de notre TER, nous avons remarqué à quel point l’ensemble des
logiciels utilisés étaient plus ou moins reliés. En effet, de plus en plus d’éditeurs de logiciels
de conception (graphique ou virtuelle) semblent permettre l’ouverture de fichiers à la norme
3DS. Ainsi, nous avons pu observer que des logiciels tels que Adobe Illustrator ou Photoshop
permettaient désormais l’exécution de fichier 3DS, avec la possibilité de « naviguer » dans le
modèle 3D. Dès lors, il nous a paru important de mentionner cette « convergence » vers un
type de fichier qui pourrait devenir très prochainement la norme en matière d’objet 3D. De
plus, le format 3DS est un format qui est devenu universel dans le cas d’échange de données
3D et utilisable dans le logiciel gratuit de Google : Sketch Up, qui permet l’exportation de
modèle sur le logiciel Google Earth. Cette apparente convergence de nombreux logiciels vers
une norme commune laisse envisager que très bientôt, la modélisation 3D pourrait se
démocratiser, notamment avec la présence de logiciels gratuits. De ce fait, il est possible que
désormais la conception graphique et virtuelle ne soit plus limitée aux seuls professionnels.
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
PDF 3D : Nouvelle norme apparue fin 2007, il permet d’inclure dans un fichier pdf des
éléments 3D (tels que des fichiers AutoCAD ou 3dsMax).
Hyperliens : Un hyperlien ou lien hypertexte ou simplement lien, est une référence dans
un fichier permettant de passer automatiquement d'un document consulté à un
document lié.
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
DWF : Il s’agit d’un format de fichier 3D qui commence à devenir une norme en
matière d’échange de fichier 3D. En effet ce type de fichier est lisible par un lecteur
gratuit (Autodesk DWF Viewer) qui permet donc de visionner des objets 3d sans
avoir forcement un logiciel de conception 3D.
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Travail d’Etude et Recherche : Réalité Virtuelle/ 3D
Bibliographie :
Documentation :
AutoCAD 2008
3ds Max 2008
Artlantis 2
Adobe Acrobat 3D
Adobe Illustrator
Google Sketch up
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