Académique Documents
Professionnel Documents
Culture Documents
PROGRAMME
I. SUITES NUMERIQUES
COURS ET EXERCICES DE MATHEMATIQUES II. CALCUL DES PROBABILITES
III. FONCTIONS EXPONENTIELLES
TERMINALE A IV. VARIABLES ALEATOIRES
V. FONCTIONS LOGARITHMES
VI. ETUDE DE FONCTIONS NUMERIQUES
VII. STATISTIQUE
1 1 1 11
V1 = V0 + 5 ⟹ V1 = × 1 + 5 = + 5 ⟹ V1 =
2 2 2 2
Wn+1 − Wn = −2(2n + 1) ⟹ Wn+1 − Wn ≤ 0, ∀nϵℕ
1
V2 = V1 + 5 ⟹ V2 = ×
1 11
+5=
11
+ 5 ⟹ V2 =
31 D’où la suite (Wn ), n ∈ ℕ est décroissante.
2 2 2 4 4
1
V3 = V2 + 5 ⟹ V3 = ×
1 31
+5=
31
+ 5 ⟹ V3 =
71 4. Suite arithmétique
2 2 4 8 8
𝑛+1 6. Soit Sn = U1 + U2 + U3 + ⋯ + Un et
𝑆𝑛 =
(𝑈0 + 𝑈𝑛 )
2
a. Sens de variation d’une suite arithmétique S′n = V1 + V2 + V3 + ⋯ + Vn
de raison r a) Exprimer Sn en fonction de n.
Soit (Un)𝒏 ∈ ℕ une suite arithmétique de raison b) En déduire l’expression de S’n en function
r. de n.
− Si r < 0, la suite (Un) est dite strictement
décroissante. Correction
− Si r > 0, la suite (Un) est dite strictement 1. Les 5 premiers termes de (Un) :
croissante. {
U0 = 2
− Si r = 0, la suite (Un) est constante. Un+1 = Un − 3
• U1 = U0 − 3 = 2 − 3 = −1 ⟹ U1 = −1
Exercice d’application • U2 = U1 − 3 = −1 − 3 = −4 ⟹ U2 = −4
Soit la suite (Un) définie par la formule de
• U3 = U2 − 3 = −4 − 3 = −7 ⟹ U3 = −7
récurrence :
𝑈0 = 2 • U4 = U3 − 3 = −7 − 3 = −10 ⟹ U4 = −10
{
𝑈𝑛+1 = 𝑈𝑛 − 3 2. (Un) arithmétique
1. Calculer les cinq premiers termes de la suite. Un+1 − Un = (Un − 3) − Un
2. Démontrer que la suite (Un) est une suite = Un − 3 − Un
arithmétique tout en précisant la raison et le = −3
premier terme.
Donc ∀nϵℕ, Un+1 − Un = −3
3. Montrer que la suite (Un) est strictement
décroissante. D’où (Un) es tune suite arithmétique de
4. Exprimer Un en fonction de n. raison r = -3 et de premier terme U0 = 2.
5. Soit Vn=Un + 2. Exprimer Vn en fonction de n. 3. (Un) strictement décroissante
1.
on a ∀nϵℕ, Un+1 − Un = r = −3 < 0 𝑛(−3𝑛 + 5)
𝐷′ 𝑜ù 𝑆′𝑛 =
D’où (Un) est strictement décroissante. 2
4. Expression de Un en fonction de n 6. Suites géométriques :
𝑂𝑛 𝑠𝑎𝑖𝑡 𝑞𝑢𝑒 𝑈𝑛 = 𝑈𝑎 + (𝑛 − 𝑎)𝑟 a. Définition
Pour a = 0 et r = -3 on a : Une suite géométrique est une suite de nombre
𝑈𝑛 = 𝑈0 + (𝑛 − 0) × (−3) où chacun des termes sauf le premier est le
= 2 − 3𝑛 produit du précédent et d’un nombre fixe appelé
′
𝐷 𝑜ù 𝑈𝑛 = −3𝑛 + 2 raison notée q. On a :
5. Expression de Vn en fonction de n 𝐔𝐧+𝟏
∀𝐧𝛜ℕ, = 𝐪 𝐨𝐮 𝐔𝐧+𝟏 = 𝐪𝐔𝐧 .
Vn=Un + 2 ⟹ 𝑉𝑛 = −3𝑛 + 2 + 2 𝐔𝐧
k(k+1)
8. Raisonnement par récurrence Donc ∀k ≥ 1, on a ∶ 1 + 2 + 3 + ⋯ + k =
2
Pour démontrer qu’une proposition (Pn) est Pour k+1 on a :
vraie quelque soit n, il suffit de : 1 + 2 + 3 + ⋯ + k + (k + 1)
1) vérifier que la proposition est vraie pour = (1 + 2 + 3 + ⋯ + k) + (k + 1)
une petite valeur n0 du rang n. k(k+1)
= + (k + 1)
2
2) supposer que la proposition est vraie pour
k(k+1) 2(k+1)
un rang k ≥ n0 et vérifier ensuite qu’elle = +
2 2
k(k+1)+2(k+1)
est vraie aussi au rang k + 1 =
2
3) Conclure. (k+1)(k+2)
=
Exemple : Démontrer par récurrence que : 2
(k+1)[(k+1)+1]
n(n + 1) = Vraie
2
∀n ≥ 1, on a ∶ 1 + 2 + 3 + ⋯ + n =
2 3) Conclusion :
1) vérifier que la proposition est vraie pour n(n+1)
D’où ∀n ≥ 1, on a ∶ 1 + 2 + 3 + ⋯ + n =
une petite valeur n0 du rang n. 2