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Ma belle rose, ma tendre rose qui sore du printemps

Que j’aime à présent, qui m’aime tout le temps


Jadis, j’ai senti ta présence, inconnu et nue
Mon âme troublée, dans la nuit, qui mue

Elle dansait, murmurait, ivre d’amours


Ces belles pétales roses dans la rosée du soir
Et ce jardin céleste au parfum divin
Cette fleur, qui me plaisait, en tout, point se meurt

Toi belle blonde, je suis meurtri, ton souffle faible


Ton pourpre rose, vif, vivant, et le diable
Heureux, rouge, sépare les amants, et les cœurs

Tu m’as aimée, et moi je t’ai adoré comme une déesse


La vie, nous quitte, sépare les amours, la solitude
Présente, envahit les âmes déchirées, le vent chante

Les arbres dansent, la nature divine orchestre mugi


Du bruit se retire, les nuées gonfle, le ciel noir
Gronde, apaise sa colère, sa colère contre ses êtres

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