Vous êtes sur la page 1sur 5

Chapitre I :

Présentation de
l’environnement

Qu’est-ce qu’une base de données ?


On peut définir une BD simplement comme un stockage permanant de données dans un ou
plusieurs fichiers, une BD contient non seulement des données mais aussi leur description. Un
système de gestion de base de données (SGBD) est un logiciel qui contrôle ces données et qui inclut
la gestion des éléments suivants :

 Uniformité des données.


 Gestion de l’utilisateur et de la sécurité.
 Fiabilité.
 Intégrité des données.

Les Objets de la base de données :

Tables Index Vues


Materializées

Table Tables
Partitionnée organisées Clusters
en indexes
Schéma

Vues Sequences Synonymes

Packages Procedures
Le passage précédent a traité des éléments relatifs à la structure de la base logique et physique de
la base de données tout en ignorant les questions d’implémentation.

Une base de données Oracle est un ensemble de données permettant de stocker des données dans
un format relationnel ou d’autres structures telles que des types de données.

L’ensemble des objets qui appartiennent à un compte utilisateur est désigné par le terme schéma,
une BD peut supporter plusieurs utilisateurs, chacun d’eux possède un schéma, qui se réfèrent à des
structures de données physique stockées dans des Tablespaces.

Une fois que la base de données est conçue, on peut créer le ou les schémas pour supporter les
applications, voici les éléments qui constituent un schéma :

 Les tables.
 Les tables temporaires.
 Les procédures.
 Les fonctions.
 Les déclencheurs.
 Les tables organisées en index : sont des tables qui ordonnent les données en fonction de
la clé primaire. Tandis qu’un index stocke seulement les colonnes indexées. La table
organisé en index stock toutes les données des colonnes dans un index.
 Les tables partitionnées : c’est une table qui a été découpée en plusieurs sous-ensembles
appelés partitions qui peuvent être gérés et consultés séparément.
 Les clusters : sont plusieurs tables stockées physiquement ensemble, pour limité les
opérations de lectures-écritures afin d’améliorer les performances.
 La vue : c’est une table virtuelle qui n’a pas d’existence propre aucune donnée ne lui est
associe seule sa description est stockée, sous forme d’un requête.
 Les vues d’objets : sont des vues qui supportent des définitions de types de données
abstraits.
 Les vues matérialisées : sont des objets utilisés pour stocker des données dupliquer ou
fournir une copie locale des données distantes à vos utilisateurs.
 Les index : c’est une structure de base de données utilisée par le server pour localiser
rapidement une ligne dans une table.
 Les séquences : ce sont utilisées pour simplifier les taches de programmation, une
séquence est une liste séquentielle de numéros uniques stockés avec leurs définitions, qui
peuvent être employés en boucle ou bien de façon incrémentielle.
 Les packages : sont employés pour regrouper de façon logique des procédures et des
fonctions, ils sont très utilisé dans les taches d’administration
 Les synonymes : sont des objets qui cachent la complexité de la base de données, ils
peuvent servir comme pointeur vers des objets tables, vues, procédures, fonctions …., ils
peuvent pointer vers des objets de BD local ou distante
Le tablespace (espace de disque logique)
Le tablespace est un concept fondamental du stockage des données dans une base Oracle, une
table ou un indexe appartient obligatoirement a un tablespace. A chaque tablespace sont associés un
ou plusieurs fichiers. Tout objet (table, index…) est placé dans un tablespace, sans précision de fichier
de destination, le tablespace effectuant ce lien.

Lorsqu’un tablespace est créé, des fichiers de données sont également créés pour contenir ses
données. Ces fichiers allouent immédiatement l’espace spécifie durant leur création.

Une base de données peut supporter plusieurs utilisateurs, chacun d’eux possédant un schéma,
ensemble d’objets logiques de base de données appartenant à chaque utilisateur (incluant des tables
et de index) qui se réfèrent à des structure de données physique stockée dans des tablespaces.
………..

Présentation de SQL
Les SGBD propose un langage de requête dénommé SQL pour la création, l’interrogation et
l’administration des données de la base, présenter pour la premier fois en 1973 par une équipe
d’IBM, ce langage a rapidement été adopté comme standard potentiel, et pris en charge par les
organismes de normalisation ANSI et ISO.

Les instructions SQL peut être regroupées en trois catégories principales :

 Le langage de manipulation de données : les instructions de base de LMD sont :


 Insert, Delete, Update, Select, Comit, RollBack…..ext.
 Le langage de définition des données : les instructions de base de LDD sont :
 Create table, alter table, create proc, alter proc, create index, drop table, truncate…
 Le langage de contrôle de données : les instructions de base de LCD sont :
 Grant, revoque…etc.

Présentation de langage PL/SQL


Le PL/SQL (Procedural Language/SQL) est une extension de langage SQL, il vous permet à la fois
d’insert, de supprimer et de mettre à jour des données Oracle et d’utiliser également des techniques
de programmation propre aux langages procéduraux tel que les boucles et les branchements.

Ainsi PL/SQL combine la puissance de manipulation de SQL avec la puissance de traitement d’un
langage procédural.

Avantage de PL/SQL:

 Intégration parfaite du SQL.


 Support de la programmation orienté objets.
 Très bonnes performances.
 Portabilité.
 Facilité de programmation.
Processus de connexion
Les utilisateurs qui veut se connecter à une base de données oracle à travers le réseau doit utiliser
un identificateur, un mot de passe et une chaîne de connexion à la base de données :

La connexion est établit en cinq étapes :

Les sessions réseau sont établîtes via un processus d’écoute LISTENER, qui est un processus séparé
résidant dans le serveur de base de données. Le module d’écoute reçoit les demandes de connexion
clients entrantes et gère leur acheminement vers le serveur.

L’étape 1 : consiste en l’envoi de la chaine de connexion à travers le réseau au processus LISTENER

Une chaine de connexion comporte :

1. Le nom d’utilisateur.
2. Le mot de passe.
3. Le descripteur de connexion

Syntaxe de connexion :

SQL> connect stagiaire/pwd@(DESCRPTION =


(ADDRESS=
(PROTOCOL = TCP)
(HOST = serv.monentreprise.com)
(PORT = 1521))
(CONNECT_DATA=
(SERVICE_NAME = dba))

L’étape 2 : le module d’écoute Listener prendre en charge la demande de client en la transmettant


au serveur. Chaque fois qu’un client demande une session réseau au serveur, un module d’écoute
reçoit la demande si les informations du client correspondent à celles du module d’écoute, ce dernier
autorise une connexion au serveur.

Le module d’écoute Listener peut refuser la connexion soit parce que processus client demande une
connexion a une base de données qui n’est pas desservie, soit parce que les informations
d’authentification fournie ne sont pas valide, ou par ce que Oracle n’est pas ouverte.

L’étape 3 : le processus serveur dédie redemande au client le renvoi de la chaine de connexion.

La demande s’accompagne de l’adresse à laquelle le processus utilisateur doit envoyer la chaine de


connexion, ainsi le dialogue s’établit entre le processus utilisateur et le processus serveur.

L’étape 4 : le processus serveur valide ou rejette la demande de connexion.

L’étape 5 : le processus serveur notifie soit la connexion soit l’abondant de la session.


Configuration :

Le fichier de configuration de client nome tnsname.oca se trouve dans le répertoire :

%ORACLE_HOME%\network\admin pour l’environnement windows.

Atelier 1 et 2.

Vous aimerez peut-être aussi