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Grandes, petites, toutes pâles, désespérées et ahuries,

Entassées dans les lits d’Auschwitz, Oh quel destin,

Chaque instant de douleur, étouffant leurs cris,

Leurs larmes tissent sur leur visage une détresse sans fin.

Dans ce combat épique, elles se tiennent quand-même fières,

Ce sont elles, les héroïnes de l’ombre et du froid,

Leur courage démesuré dans un monde amer,

Elles se révoltent contre l’infamie, où le mal est roi.

Dans les baraquements, où le désespoir s'étend,

Elles cherchent un peu de chaleur, un soupçon de tendresse,

Dans l'ombre oppressante, leur résilience s'entend.

Les casiers étroits deviennent leur triste demeure,

Où elles s'agrippent à l'espoir comme dernier recours,

Dans ce chaos, leur courage luit, immortelle lueur.


Gran-des, pe-tites, toutes pâ-les de rue, dé-ses-pé-rées et ahur-ies,
En-tas-sées, co-in-cées dans les lits d’Ausch-witz, at-ten-dant leur des-
tin,
Chaque ins-tant est une é-ter-ni-té de dou-leur, é-touf-fant leurs cris,
Leurs lar-mes, leur dou-leur, tis-sent sur leur vi-sage une dé-tresse sans
fin.

Dans ce com-bat é-pique contre les té-nè-bres, elles se tie-nent fières,


Ce sont elles, les héroï-nes de l’ombre et du froid,
Leur cou-ra-ge dé-mesu-ré flam-boie dans un monde amer,
Leur force se ré-vol-te con-tre l’in-fa-mie hu-mai-ne, où le mal est roi.

Dans les ba-ra-que-ments, où le dé-ses-poir s'é-tend,


Elles cher-chent un peu de cha-leur, un sou-pçon de ten-dres-se,
Dans l'om-bre op-pres-san-te, leur ré-si-li-ence s'en-tend.

Les ca-siers é-troits de-vien-nent leur tris-te de-meu-re,


Où elles s'agrip-pent à l'es-poir comme der-nier re-cours,
Dans ce cha-os, leur cou-ra-ge luit, im-mor-telle lu-eur.

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