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PDF of Liaison Dangereuse 1St Edition Marie Anjoy Full Chapter Ebook
PDF of Liaison Dangereuse 1St Edition Marie Anjoy Full Chapter Ebook
Anjoy
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Liaison dangereuse
Marie Anjoy
© Marie Anjoy, 2023.
Tous droits réservés
Edité par Marie Anjoy
13110 Port de Bouc
Colin
Putain de merde ! Je n’arrive pas à y croire ! Voilà Lili de retour
dans ma vie, toujours effrontément sexy, même dans cette affreuse
tenue ! Re-merde ! Et je vais la côtoyer régulièrement, étant affectée
à mon service ! Elle n’est pas seulement aussi attirante que par le
passé, elle est aussi autant insolente dans ces répliques ! Elle sait
me toucher, mettre en exergue ce qu’elle voit de bon en moi,
aborder mes faiblesses, mon jeu de rôle. Elle a cerné ma
personnalité, osé me renvoyer dans les cordes alors que je la
menaçais. Et je n’ai pas mis de gants ! Pour autant, je n’ai pas
vraiment eu le choix. Si cela venait à se savoir, qui sait ce qui
pourrait advenir ! Je ne peux pas le permettre. Et je ne l’ai pas
fichue hors de ma vie pour rien !
Malgré mon odieuse attitude, elle ne s’est pas démontée pour
autant. Elle m’a montré qu’elle avait gagné en assurance durant ces
trois ans d’expérience dans le métier et, peut-être, que mon sale
comportement lui a apporté cette maturité qui lui manquait. Quoique
non, elle faisait déjà preuve de beaucoup de discernement et de
feeling. Elle avait perçu mes faiblesses au premier regard. Je lui
avais laissé voir mes fêlures lors d’une des crises de désespoir
auxquelles je ne sais toujours pas faire face et, durant lesquelles, je
pars totalement en vrille. Comme ce jour-là.
Je n’avais pu accepter la perte d’un patient, trop jeune pour
mourir par un beau matin de printemps. Pourtant, dès le premier
bilan, nous savions son pronostic vital engagé. Très engagé. Nos
chances de le sauver se trouvaient être infinitésimales. Malgré tout,
j’y avais mis toute mon âme et mes talents de chirurgien pour
finalement… échouer. Bien que conscient que la partie était jouée
d’avance, et tout le monde dans la salle n’avait cessé de me le
répéter, je me reprochais de n’avoir pu le maintenir en vie. J’avais
pété un câble, comme toujours dans ces cas-là. Encore aujourd’hui,
bien que je maîtrise mieux mes émotions, l’idée qu’un gosse puisse
mourir, suite à un accident de la route, reste intolérable et
douloureux. Chaque perte me renvoie à Ilana.
Alors que l’équipe accusait le décès, je hurlais ma douleur en
saccageant le vestiaire. Le seul moyen que je connaisse pour
extérioriser ma souffrance. Des larmes, je n’en verse plus depuis
qu’Héloïse m’en a dénié le droit. Depuis ce jour maudit. Seule Lisa,
la cadre, tentait de me raisonner, comme à chaque fois que je vrille.
La seule dont j’accepte la présence face à une pression trop forte. La
seule sur qui je peux compter pour me soutenir en toute
circonstance. La seule autorisée à m’engueuler — qui ne s’en prive
pas — et la seule avec laquelle je peux laisser ma colère se déverser.
Personne d’autre ne s’aventure à assister à ma fureur destructrice,
tout le monde m’évite jusqu’à ce que je me calme. Mais elle a bravé
l’interdit — à sa décharge, elle l’ignorait — en pénétrant dans le
vestiaire. Son regard m’a percuté. J’ignorais alors qu’elle allait mettre
ma vie et la sienne sens dessus dessous, m’obligeant à agir
odieusement, par la suite.
Pour de bonnes raisons.
Je pensais le problème réglé, et voilà qu’il se présente à nouveau.
— Tiens, j’ai croisé Lili Mansouri dans les couloirs. Tu ne m’as pas
dit qu’elle bossait ici et, dans ton service en plus, se plaint Lisa, alors
que je bois un café avec elle en attendant l’arrivée de mon patient.
— Lili Mansouri ? demandé-je en fronçant les sourcils comme si je
cherchais au fond de ma mémoire de qui elle peut bien parler.
— Arrête ton char, beau gosse. Ce n’est pas au vieux singe qu’on
apprend à faire la grimace. Et tu ne vas pas me faire croire que tu
ne connais pas les noms de tes infirmières !
— Ça va, t’es pas si vieille ni trop décatie pour ton âge.
— Passe-moi la pommade pour essayer de détourner la
conversation. Je te connais, minot.
— Pourquoi je ferais ça ?
— Parce que le sujet te dérange ?
En effet, mais je ne vais pas le lui avouer. Lisa, celle qui joue
auprès de moi, un rôle approchant de celui de mère, ne me lâchera
pas, et lui ayant caché ma relation passée, je ne vois pas comment
je pourrais l’aborder trois ans plus tard. Je me lève sans répondre et
elle m’intercepte avant que je ne quitte son bureau en s’accrochant
à ma blouse.
— Ça va aller ? Tu es sûr ?
— Évidemment ! assuré-je. Pourquoi ça n’irait pas ?
— Lili.
— Eh bien quoi, Lili ?!
— Colin ! Arrête de faire comme si tu ignorais de pourquoi nous
en parlons.
— Et pourtant…
Ma pseudo-maman me foudroie du regard. Je comprends que je
ne la dupe pas et que si je veux qu’elle me fiche la paix, je dois lui
donner un peu de grain à moudre.
— Elle a fait un stage ici, c’est ça ? Que tu te souviennes d’elle
avec toutes les étudiantes que tu vois passer, ça me tue.
— Certaines ne s’oublient pas et j’ai une excellente mémoire. Elle
était douée pour le bloc et aurait fait une super IBODE[4]. Je l’avais
suggéré sur sa feuille de stage. Et comment oublier le rentre dedans
que tu lui as fait ? C’était limite du harcèlement. Cela aurait pu très
mal se terminer. Elle t’a bien résisté, la petite, ceux qui ont parié sur
ta réussite ont perdu. Je crois pourtant…
Je ne le démentirai pas. J’attends la suite du « pourtant » qui ne
vient pas, puis déclare soudain, comme si la mémoire me revenait :
— Ah, oui ! Je me souviens d’une nana aux yeux verts
magnifiques que laissait voir son masque et de son joli petit cul, bien
moulé dans ses jeans.
Voilà, voilà, une belle réponse de connard !
— C’est tout ce que tu as à en dire ? insiste Lisa, son regard rivé
dans le mien.
— Bah, tu me connais, j’ai une mémoire de poisson rouge pour ce
qui est des femmes qui passent dans mon lit, ironisé-je en haussant
les épaules. Et donc, la nouvelle recrue de mon service et
l’étudiante…
Je note à la mine sérieuse et la lueur qui brille dans les yeux de
mon interlocutrice que mes réponses ne la satisfont pas. Elle sait
que je lui raconte des bobards. Elle possède un sixième sens pour
repérer les mensonges. Pourtant, elle se résout à lâcher l’affaire.
« Mamounette » — petit nom affectueux que je lui donne — m’a
ramassé à la petite cuillère après ma séparation avec Lili, sans en
connaître les motifs. Car, bien qu’elle soit la seule qui connaisse une
partie de ma vie, elle ignore tout de ma liaison avec la stagiaire, la
plus longue de toute mon existence, en dehors de celle avec mon
amour de jeunesse : Ilana. La seule relation ayant duré le temps
d’une grossesse et aurait pu aboutir sur une renaissance. Une
relation, basée sur des sentiments, qui m’a démoli, tout autant que
la première. Comme elle n’était pas informée, j’avais, pour la
rassurer, inventé des justificatifs bidons pour expliquer mon état
dépressif du moment. Dépression transitoire chassée en heures de
travail et dans les bras d’une multitude de femmes, après un petit
séjour dans la maison de Florian sur l’île de beauté. J’avais renoué
avec mes vieilles habitudes, une nana chaque soir, pour effacer
l’image de Lili, son regard, ses sourires, son corps à damner un
saint , pour oublier l’affection qu’elle me portait, celle d’une femme
qui m’aimait malgré mes casseroles, mais surtout pour l’ignominie de
mon attitude ; ce que j’avais dû faire pour l’éloigner définitivement
de moi, pour qu’elle me haïsse pour mieux la protéger. Celui qui
couche avec les filles sans s’engager en rien, devait reprendre le rôle
que je lui avais alloué, ne plus jamais déroger aux règles établies.
Trois.
Pas une de plus.
Pas une de moins.
Règle n°1 : Ne plus jamais se donner l’opportunité de s’attacher.
Règle n°2 : Accepter de passer pour un sale connard.
Règle n°3 : Assurer et assumer la réputation du connard.
Voilà les préceptes que je m’étais imposé de suivre des années
plus tôt. Et il n’était pas question que je faillisse à ce contrat établi
avec moi-même. Hors de question d’accepter un quelconque
dérapage. Et il n’y en avait jamais eu.
Jusqu’à… elle.
Et après elle, je ne m’accordai plus la chance ni l’opportunité
d’aimer ni me laisser aimer.
Parce qu’Aimer, c’est prendre le risque de souffrir. De faire
souffrir. Je ne voulais plus que cela arrive.
Personne ne devait être en danger par ma faute.
Personne ne le sera jamais. Lili, plus que tout autre.
Je contiens un soupir qui intriguerait Lisa et repousse le souvenir
d’événements qui auraient pu se terminer tragiquement. Alors que
j’envisageais de vivre au grand jour avec Lili, j’avais été rappelé à
l’ordre : je n’avais pas le droit au bonheur.
Sa présence ravive les souvenirs heureux de cette période, une
irrésistible envie d’elle et les sentiments que j’ai éprouvés. Des
sentiments que je ne peux laisser réapparaître.
Sa présence me trouble, c’est tout. Je n’en suis plus amoureux !
C’est juste une attirance physique ! tenté-je de convaincre mon
Jiminy Cricket qui me balance une flopée de stupidités.
— J’y vais. À plus tard.
— Tu sais où me trouver… si tu as besoin de parler.
— De quoi ? D’une nana qui n’a été probablement qu’une passade
dans ma vie, comme d’autres, et dont je me souviens à peine ?
insisté-je lourdement.
Lisa exhale un soupir d’agacement et lève les yeux au ciel.
— Bon, allez dégage, petit con.
Lili
Je ne peux m’empêcher de répliquer. Je contiens, toutefois, mon
envie de l’insulter copieusement, tout comme celle de me jeter sur
sa bouche insolente. Un bon moyen de lui fermer le clapet. Mais pas
mon objectif premier.
Je sais pertinemment que je ne peux satisfaire une simple pulsion
sexuelle et espérer que nous soyons capables de nous contenter de
ce genre de relation. Et même en rester là après une seule session
de sexe. Lui, peut-être. Mais certainement pas moi. Je ne peux
réfuter ses arguments. Pour preuve, je n’y suis pas parvenue la
dernière fois et, bien que je refoule les émotions qui me
submergent, je ne pourrai jamais les contenir éternellement. Cette
folle idée reste donc inenvisageable. J’ai bien trop à perdre. Je dois
me tenir loin de lui. Ne rien montrer. N’échanger avec lui que
professionnellement.
Nous y parvenons plutôt bien, jusqu’à présent. Colin reste froid et
distant, ne m’adresse la parole que si nécessaire, ne me regarde
pas, ne flirte pas avec moi. Ce qui intrigue l’équipe, tant elle est
habituée à le voir faire avec les nouvelles arrivées, avec subtilité à ce
que mes collègues en disent, même si ses intentions sont
manifestes. Je ne peux répondre à celles qui m’interrogent que
d’un : « Je ne dois pas être son style », assorti d’un hochement
d’épaules, auxquels elles répondent : que Colin Vignaud n’a pas de
genre défini. Je le sais bien et je ne peux pas satisfaire leur curiosité
sur ce désintérêt pour ma personne. « Bah, peu importe ses raisons,
ça m’arrange, le toubib ne m’intéresse pas et cela m’évite de
l’envoyer bouler . » ne trouvé-je rien d’autre à répondre.
Menteuse !
OK, c’est un mensonge, car mes pensées, bien trop centrées sur
lui, de jour comme de nuit, ne me laissent aucun répit. Un petit ami
et l’éloignement l’en avait chassé, manifestement temporairement.
Et me voilà à crever d’envie de me couler dans ses bras, bien que je
sois consciente que cela malmènerait ma santé mentale. Mais le
corps a ses raisons que la raison ignore !
Tu perds la tête, ma fille. La bonne phrase est : « Le cœur a ses
raisons que la raison ignore[8] ».
Disons que je l’accommode à ma sauce, pour qu’elle colle avec
mon état d’esprit. Me voilà toujours dominée par mes pulsions. La
seule différence entre hier et aujourd’hui, c’est que Colin n’en profite
pas.
Présent
Des coups brefs à la porte m’éjectent de mes souvenirs.
— Lili ? Ça va ? s’enquiert Victorine.
— Très bien. Pourquoi ?
— Eh bien, je t’ai vue partir en trombe et entendu le docteur
Vignaud exiger de Mélanie qu’elle te remplace parce que tu ne te
sentais pas bien. D’ailleurs, si tu vas mieux, tu veux bien y
retourner ? Tu sais comment il est avec elle.
Depuis ma prise de poste, j’ai pu constater que Colin aime
torturer la pauvre fille, tout juste diplômée, qui panique dès qu’il
l’observe et de ce fait accumule les bourdes. Je me fiche qu’il soit un
connard dans sa vie privée, mais professionnellement… jamais, je ne
l’accepterai et je ne me gênerai pas pour lui exposer mon point de
vue. Son attitude provoque sans cesse des tensions, raison pour
laquelle, bien souvent les incidents se produisent. Nous ne sommes
pas des machines, les humeurs peuvent troubler nos
comportements.
— OK. J’arrive.
… À point nommé pour assister à une avalanche de reproches sur
ma collègue.
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705 — 1
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i Ahumaiaapakanaloa Ahuimaiaapakanaloa 1
i Halekala Haleakala 1
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i Apu Apua 1
ii, ii,
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ii
ii Pharoah Pharaoh 2
ii Maniniholokuaau’s Maniniholokuaua’s 2
iii,
; . 1
xvii
iii man-’o-war man-o’-war 2
iii Kuili Kaulu 3
iii Hanakapiaia Hanakapiai 1
iii Hana-na-lani-haahaa Hana-ua-lani-haahaa 1
iv Koko Coco 2
iv Kaniloloa Kanilolou 1
iv mamoth mammoth 1
iv Makao Makoa 2
v Kaikaa Kaikea 1
v Kinimakua Kaikimakua 2
v Kiwalo Kiwalao 1
v Kapapaapuli Kapapaapuhi 1
v Kahui Kahuoi 1
v Huakaikapoliopele Hiiakaikapoliopele 2
v sandlewood sandalwood 2
v Omao Kamau Omaokamau 2
v Indigeneous Indigenous 1
vi Kaelehuluhu Kaelehuluhulu 2
vi Kauluakahui Kauluakahai 1
vi Kahakaawae Kahakaauwae 1
vi Kalapuna Kalapana 1
vi Kahule Kahaule 1
vi Kaalameo Kaalaneo 1
vii Kanapakaa Kuapakaa 2
vii Kanapau Kainapau 1
vii Kanemilokai Kanemilohai 1
ix Kaweloikaikoo Kaweloikiakoo 2
ix Peopele Paopele 1
ix Kepuniwai Kepaniwai 1
x Aiohikapua Aiohikupua 1
x Koihelameki Koihelaumeki 1
xi Kumahaohuohu Kumakaohuohu 1
xi Kauluau Kauaula 3
xi Hanaka Haunaka 1
xii Lonomoku Lonomuku 1
xii bonebreaking bone-breaking 1
xii Waikikikai Waikiki-kai 1
xii sandwicemsis sandwicensis 1
xii Paahala Puahala 1
xii Maniniholokuaau Maniniholokuaua 2
xii Kapakailiula’s Kepakailiula’s 1
xiii [Not in source] , 562 5
xiii Nululu Nunulu 1
xiv Omaumaukiae Omaumaukioe 1
xiv Piimawaa Piimaiwaa 1
xv estern eastern 1
xv Red mouthed Red-mouthed 1
xv Maniniholokuaaua Maniniholokuaua 1
xvi Pumaiwaa Piimaiwaa 2
xvi Pimaiwaa Piimaiwaa 1
xvi [Not in source] ( 1
xvi Laeniki Laenihi 1
*** END OF THE PROJECT GUTENBERG EBOOK FORNANDER
COLLECTION OF HAWAIIAN ANTIQUITIES AND FOLK-LORE,
VOLUME 2 (OF 3) ***
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