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les institutions sociales à caractère international :

La banque mondiale

&

le PNUD

Préparé par :
ZEGHARI MOHAMED Encadré par :
ANTAR MOHAMMED Mme MAGDOUD Amina
plan
plan
Introduction générale
Chap1 : la banque mondiale : structure organisationnelle et institutionnelle
Section 1 : Présentation générale du groupe BM (mission et rôle)
Section 2 : Approche et stratégie de la Banque Mondiale quant au
développement humain
Section 3 : La vision de la BM sur le développement au Maroc
Chap2 : Présentation du PNUD
Section 1 : Approche et stratégie du PNUD par apport au développement
humain
Section 2 : Mission et Champs d'action dans la réalisation des ODD
Section 3 : Plan d’action au Maroc
Chapitre 3 : PNUD et BM face à la crise Covid-19
Section 1 : Recommandations de la BM pour lutter contre la Pandémie
Covid19
Section 2 : Recommandations Du PNUD pour lutter contre la Pandémie
Covid19
 
Conclusion générale
introduction
c
ombattre la pauvreté ne se limite pas à définir de
bonnes politiques économiques. Cela passe aussi par un
développement social qui donne aux populations les
moyens d’agir et de se faire entendre grâce à des
institutions et des sociétés plus inclusives, solidaires,
résilientes et responsables.

La Banque mondiale & le PNUD intègrent les principes


du développement social dans ses opérations d’aide &
de financement.
Dans le cadre de la mondialisation manifestée par la montée
des relations économiques, sociales, culturelles à l’échelle
mondial, il devient légitime de les organisées sans se référer à
une législation propre d’un seul Etat , mais plutôt suite à des
lois internationales.
Ce qui explique la naissance des institutions mondiales dans
différents domaines, tel que le FMI, Banque mondiale, OMC…
Une institution internationale est un organisme qui dispose du
statut  d‘institution, lui permettant d'exercer des activités au
niveau international.
Chap1 : la banque mondiale : structure organisationnelle et
institutionnelle

La Banque internationale pour la


reconstruction et le développement
(BIRD), mieux connue aujourd’hui
sous le nom de Banque mondiale, a
été créée en 1944, en même temps
que le Fonds monétaire
international, Ses statuts ont été
adoptés le 22 juillet 1944, mais
approuvés en juin 1945 par les 65%
requis des pays membres.
Section 1 : Présentation
générale du groupe BM

La Banque mondiale est semblable à une coopérative, dans


laquelle les actionnaires sont ses 189 pays membres. Ces
actionnaires sont représentés par un Conseil des Gouverneurs ,
qui est l'organe de décision suprême de la Banque mondiale. Les
gouverneurs sont en général les ministres des finances ou du
développement des pays membres. Ils se réunissent une fois par
an, à l'occasion des Assemblées annuelles des Conseils des
Gouverneurs du Groupe de la Banque mondiale et du Fonds
monétaire international (FMI).
Rôles & mission
A l'époque, et jusqu'en 2007, il est uniquement composé de l'entité
nommée « la BIRD », la Banque internationale pour la
reconstruction et le développement.
Son rôle initial : financer la reconstruction de l'Europe et du
Japon, qui sortaient exsangues de la Seconde Guerre mondiale. En
1947, la France avait par exemple perçu 250 millions de dollars de
financements.

Aujourd'hui, les missions de l'institution ont évolué vers le


soutien à la croissance économique des pays en développement
ou en difficulté. 
A la différence du FMI, la Banque mondiale soutient le
développement de pays solvables. Son action consiste à procurer
les fonds nécessaires à la lutte contre la pauvreté, et notamment à
la construction d'infrastructures, à l'allègement de la dette des
pays défavorisés, à l'amélioration de l'hygiène et de la santé, au
soutien de la desserte en eau potable, au lancement de
programmes de vaccination ou à la lutte contre la corruption.
Elle s'encre de façon croissante dans la lutte contre le changement
climatique, la protection de l'environnement et l'amélioration de
la condition des femmes et petites filles.
On peut les résumer ainsi cinq objectifs :
 
Aider à la reconstruction des économies dévastées par la guerre et faciliter
le passage d’une économie de guerre à une économie de paix.
 
Participer au développement économique des États membres,
y compris les moins avancés.
 
Promouvoir les investissements privés à l’étranger au moyen de garanties
ou de financements directs.
 
Promouvoir l’expansion harmonieuse sur une longue période des échanges
internationaux et l’équilibre des balances des paiements, en tant que facteurs
de développement, afin d’améliorer la productivité et la qualité de vie des
personnes.
 
Catalyser les financements extérieurs en combinant ses propres ressources
avec des fonds d’autres origines pour financer les projets les plus utiles et les
plus urgents, tout en tenant compte des conséquences économiques des
investissements internationaux.
Section 2 : Approche et stratégie de la Banque Mondiale
quant au développement humain

Le capital humain,
priorité n 1
Le capital humain correspond à l’ensemble des connaissances,
compétences et conditions de santé que les individus accumulent
tout au long de leur vie et qui leur permet de réaliser pleinement
leur potentiel en devenant des membres productifs de la société.
Le développement du capital humain joue un rôle déterminant
pour mettre fin à l’extrême pauvreté et renforcer l’inclusion
sociale. Pour cela, il faut investir dans la nutrition, les services de
santé, une éducation de qualité, l’acquisition de compétences et
l’accès aux emplois.
En quoi consiste l’initiative de la Banque
mondiale ?

 La Banque a répondu à ces préoccupations en annonçant en 2017


son « Projet pour le capital humain »(a). Cette initiative suit son
cours : un nouvel indice conçu pour mesurer le capital humain a
été inauguré en octobre 2018 à Bali (Indonésie), à l’occasion des
Assemblées annuelles. Les ministres de près de 30 pays-pilotes ont
fait part de leurs premières suggestions sur les moyens d’accélérer
les investissements dans ce domaine. Les personnels concernés ont
ensuite eu l’occasion peu fréquente d’une collaboration
transrégionale et trans-sectorielle directe. Une quarantaine de
pays participent désormais activement au projet.
Les trois piliers du Projet pour le capital humain
Avec cette initiative, il s’agit de renforcer le capital humain de tous
les pays du monde, ce qui nécessite d’agir à plusieurs niveaux.
L’indice du capital humain

L’indice du capital humain quantifie la contribution de la santé et de


l’éducation aux niveaux de productivité de la prochaine génération de
travailleurs. Il permet aux pays d’évaluer le manque à gagner résultant de
leurs déficits de capital humain, et dans quelle mesure ils pourraient
progresser plus vite et transformer ces pertes en autant de gains en agissant
maintenant.

Recherche et évaluations

L’évaluation rigoureuse des résultats obtenus sur le plan de l’éducation et de


la santé joue un rôle fondamental au niveau national comme au niveau
mondial. Dans les pays, cet effort de mesure permet aux pouvoirs publics de
mieux identifier les réussites et déterminer où il faut cibler les ressources. Il
favorise également leur prise de conscience à l’égard de l’importance des
investissements dans le capital humain, donnant ainsi l’impulsion nécessaire à
l’action. Au niveau mondial, ces évaluations détaillées mettent en lumière les
différences d’un pays à l’autre et créent une demande pour des
investissements centrés sur la population.
Accompagnement des pays

Le Projet pour le capital humain aidera les pays à s’attaquer aux principaux
obstacles qui entravent le développement du capital humain en recourant à une
approche gouvernementale globale. Il donne déjà lieu à une collaboration avec
plus de 40 États qui ont manifesté un vif intérêt à l’égard de l’initiative, et qui
seront rejoints, dans les prochains mois, par d’autres pays. Plusieurs
« Ambassadeurs du capital humain » (dirigeants, influenceurs, célébrités, etc.)
se sont en outre engagés à militer pour défendre l’importance des
investissements dans la prochaine génération. Le 11 octobre 2018, des centaines
de personnes ont assisté au Sommet sur le capital humain à Bali.
 
Section 2 : La vision de la BM sur le développement au Maroc

Un Rapport de suivi de la situation économique du Maroc est un rapport


semestriel du Département économique de la Banque mondiale. Il présente les
dernières tendances de la conjoncture et les effets des politiques économiques.

Paysage de l’emploi au Maroc

Le présent rapport met en lumière les principaux enjeux et défis du marché


du travail marocain. Il est le résultat de la première phase d’un programme
d’études sur l’emploi mis en œuvre conjointement avec les autorités du Maroc.
Il s’agit d’un diagnostic de l’emploi qui analyse les données provenant
principalement des enquêtes sur la main-d’œuvre et utilise de nouvelles
méthodes analytiques pour cerner les principales tendances du marché du
travail. Les principaux défis recensés serviront de point de départ pour une
analyse plus approfondie et la formulation de stratégies dans la prochaine phase
du programme.
Le rapport identifie quatre priorités :

1) accélérer la transformation structurelle pour créer des emplois plus


nombreux et de meilleure qualité dans les secteurs à plus haute productivité ;

2) promouvoir la formalisation et améliorer la qualité des emplois ;

3) accroître la participation des femmes au marché du travail (PFMT) et


faciliter l’accès des femmes à des emplois de meilleure qualité ; 

4) soutenir les jeunes dans leur passage des études au marché du travail et
abaisser le taux élevé de chômage chez les jeunes.
Conclusion

La Banque mondiale est, avant toute autre chose, une banque


c’est-à-dire une institution financière.
Dans des situations de sortie de crise, son but est de favoriser
l’effort de reconstruction et non de venir en aide aux populations
civiles souffrant du conflit.
 De ce fait, elle n’intervient pas sur ces terrains selon la logique
des humanitaires, mais selon sa propre logique d’avantages
comparatifs. En d’autres termes, la Banque mondiale mène des
activités pour lesquelles elle estime avoir l’expertise et les
compétences requises. Il s’agit donc principalement d’activités
financières ou de coordination de l’aide internationale.
Chap2 : Présentation du
PNUD
Présent dans quelque 170 pays et territoires, le PNUD est l’un des
principaux organismes multilatéraux de développement
contribuant à éradiquer la pauvreté et réduire les inégalités et
l’exclusion. Il aide les pays à élaborer des politiques, à développer
des compétences en leadership et en matière de partenariat, à
renforcer leurs capacités institutionnelles et bâtir une meilleure
résilience pour réaliser un développement durable.
Section 1 : Approche et stratégie du PNUD par apport au
développement humain

Malgré les progrès sans précédent accomplis au cours des 25


dernières années en matière de développement humain, il reste
de nombreux défis à relever, notamment dans les pays en
développement, à l’instar de La moitié de la population mondiale
n’a pas accès aux services sanitaires essentiels, et le nombre de
pauvres augmente chaque année à cause des dépenses de santé.
Le plan stratégique du PNUD (2018-2021) a été conçu pour tenir
compte de la grande diversité des pays que nous servons, en
envisageant des solutions pour les 3 contextes de développement
suivants :
Éliminer la pauvreté sous toutes ses formes
Accélérer les transformations structurelles
Renforcer la résilience aux crises
 
Dans toutes ses activités, il encourage la protection des droits de
l'homme et favorisons la participation active des femmes.
Dans un monde où les ressources sont limitées, le PNUD, avec
ses partenaires, appuye l’utilisation la plus efficace possible des
ressources de l’ONU et internationales consacrées à l’aide au
développement.
Le PNUD administre également le Fonds d'équipement des
Nations Unies (UNCDF) qui aide les pays en développement à
développer leurs économies en complétant les sources existantes
d'aide au développement par des subventions et des prêts, ainsi
que le programme des Volontaires des Nations Unies (VNU),
qui déploie plus de 6 000 volontaires venant de 160 pays,
agissant pour la paix et le développement dans le monde entier.

Le Rapport mondial sur le développement humain, élaboré


chaque année à la demande du PNUD, stimule le débat sur les
grandes questions du développement depuis 1990.
Section 2 : Mission et Champs d'action dans la réalisation des
ODD

Les Objectifs de développement durable (ODD), également nommés


Objectifs mondiaux, sont un appel mondial à agir pour éradiquer la
pauvreté, protéger la Planète et faire en sorte que tous les êtres humains
vivent dans la paix et la prospérité.
Les 17 ODD sont intégrés - reconnaissant que les interventions dans un
domaine affecteront les résultats dans d'autres et que le développement doit
équilibrer les aspects sociaux, économiques et environnementaux.

Pour ne laisser personne de côté, les pays se sont engagés à accélérer les
progrès pour ceux qui sont le plus en retard. C’est pourquoi les ODD sont
conçus pour amener le monde à plusieurs « zéros » qui changent les vies,
notamment la pauvreté, la faim, le sida et la discrimination à l’égard des
femmes et des filles.
Nous devons travailler ensemble à atteindre ces objectifs ambitieux. La
créativité, le savoir-faire, la technologie et les ressources financières de
toute la société seront nécessaires pour atteindre les Objectifs dans tous les
contextes.
QUEL EST LE RÔLE DU PNUD ?

En tant qu'agence principale des Nations Unies pour le


développement, le PNUD est bien placé pour contribuer à la
réalisation des ODD dans le cadre de ses activités dans quelque
170 pays et territoires.
Il aide les pays à atteindre les ODD par le biais de solutions
intégrées. Les défis complexes auxquels nous sommes confrontés
aujourd’hui - de la lutte contre les inégalités à la prévention des
conflits - ne peuvent être résolus de manière isolée. Cela signifie
aussi trouver des solutions qui répondent aux réalités quotidiennes
des populations.
Antécédent de travail dans la réalisation des Objectifs nous
apportent une expérience précieuse et une expertise reconnue en
matière de politiques nous permettant d’atteindre tous les objectifs
fixés dans les objectifs de développement durable d’ici 2030. Mais
nous ne pouvons le faire seuls.
La réalisation des objectifs de développement durable nécessite le
partenariat des gouvernements, du secteur privé, de la société civile
et des citoyens, afin de garantir la création d'une planète meilleure
pour les générations futures.
Section 3 : plan d’action au Maroc

Le rapport du PNUD sur le développement


humain

L’IDH a été rendu public afin d’orienter le débat sur les


progrès du développement en s’écartant du PIB pour se
rapprocher d’un indicateur qui « compte » véritablement pour
la vie humaine.
L’IDH est un indicateur synthétique servant à mesurer les
progrès réalisés à long terme dans trois dimensions
fondamentales du développement humain : une vie longue et en
bonne santé, l’accès aux connaissances et un niveau de vie
décent.
La valeur de l’IDH du Maroc pour 2019 s’établit à 0.686 – ce
qui place le pays dans la catégorie « développement humain
moyen » et au 121e rang parmi 189 pays et territoires. Entre
1990 et 2019, l’IDH du Maroc a progressé, passant de 0.457 à
0.686 (soit une hausse de 50.1 %). Le tableau A illustre les
progrès réalisés par le Maroc pour chacun des indicateurs de
l’IDH. Entre 1990 et 2019,
l’espérance de vie à la naissance au Maroc a augmenté de 11.9
années, la durée moyenne de scolarisation a augmenté de 3.4
années et la durée attendue de scolarisation a augmenté de 7.2
années. Le RNB par habitant du Maroc a progressé de près de
98.6 % entre 1990 et 2019. La figure 1 ci-après indique la
contribution de chaque composante à l’IDH du Maroc depuis
1990.
Les progrès réalisés en matière de
développement humain, tels qu’ils sont
mesurés par l’IDH, sont utiles pour comparer
deux pays ou plus. Par exemple, pendant la
période allant de 1990 à 2019, le Maroc, le
Yémen et l’Égypte ont enregistré des degrés
différents de progression de leur IDH

_voir le figuré suivant_


Chapitre 3 :
PNUD & BM
face à la crise
covid-19
Le COVID-19 est ‘la’ crise
globale de notre époque et le
plus grand défi auquel nous
ayons été confrontés depuis la
Seconde Guerre mondiale.
Mais la pandémie est bien plus
qu'une crise sanitaire, c’est
aussi une crise socioéconomique
sans précédent Mettant sous
pression chacun des pays
qu'elle touche, elle a des
impacts sociaux, économiques
et politiques dévastateurs qui
laisseront de profondes
cicatrices qui tarderont à
s’effacer.
Section 1 : recommandation de la BM pour lutter contre la pandémie
covid-19

Face à la pandémie de Covid-19 (coronavirus), le Groupe


de la Banque mondiale mobilise une aide initiale de 12
milliards de dollars. Cette première enveloppe de
financement vise à apporter un appui rapide aux pays
confrontés aux conséquences sanitaires et économiques
de la pandémie. Il s’agit d’aider les pays membres de
l’institution à prendre des mesures efficaces pour faire
face et, si possible, atténuer les conséquences tragiques
du Covid-19.
Les recommandations
 
Amélioration des capacités de dépistage et mobilisation des
moyens de renfort par le déploiement en première ligne d’agents
de santé qualifiés et bien équipés ;
Renforcement des plateformes et institutions nationales
intersectorielles ;
Appui à l’anticipation, au niveau national et infranational, des
éléments nécessaires à la prévention et à la préparation ;
Suivi et évaluation des mesures de prévention et de préparation
aux crises sanitaires ;
Mise en place de systèmes pour la veille sanitaire en temps réel et
communautaire et la mobilisation de multiples parties prenantes.
Les financements de la Banque mondiale en faveur de la
vaccination anti-COVID atteignent 2 milliards de dollars

Le montant de ses financements pour l’achat et la distribution des


vaccins contre la COVID-19 a atteint la barre des 2 milliards de
dollars, au profit de 17 pays en développement,
 
« L’accès aux vaccins est essentiel pour infléchir le cours de la
pandémie et aider les pays à amorcer une reprise résiliente, a
déclaré le président du Groupe de la Banque mondiale, David
Malpass.
 
Le programme de financements de la Banque mondiale pour la
vaccination est conçu pour être flexible et s'adapter aux besoins des
pays.
Section 2 : recommandation du PNUD pour lutter
contre la pandémie covid-19

Chaque pays doit agir immédiatement pour se


préparer, répondre et se relever. Le Secrétaire général
des Nations Unies, António Guterres, a lancé un plan
global de réponse humanitaire de 2 milliards de
dollars pour les pays les plus vulnérables.
 
 Le PNUD aide les pays à réagir d'urgence et
efficacement au COVID-19 dans le cadre de sa
mission d'éradiquer la pauvreté, de réduire les
inégalités et de renforcer la résilience aux crises et aux
chocs.
La prochaine phase de la réponse du PNUD à la crise de
la COVID-19 vise à aider les décideurs à voir plus loin
que le relèvement, à l’horizon 2030, afin qu’ils puissent
faire des choix et gérer la complexité et l’incertitude
dans quatre domaines principaux : la gouvernance, la
protection sociale, l’économie verte et la disruption
numérique. Elle englobe notre rôle de chef de file
technique dans la réponse socioéconomique de l’ONU.
Il faudra l’engagement de toute la société pour limiter
la propagation du COVID-19 et amortir l'impact
potentiellement dévastateur qu'il peut avoir sur les
personnes et les économies vulnérables.
On doit rétablir la confiance et la coopération, au sein
des nations et entre elles, et entre les peuples et leurs
gouvernements.
L’appui du PNUD contribuera également à garantir
que les réponses de chaque pays soient structurées,
équitables et inclusives, pour que personne ne soit
laissé de côté et que les pays puissent continuer de
progresser dans la réalisation des Objectifs de
développement durable.
Conclusion générale

La Banque mondiale & le PNUD, une gigantesque


administration présentent sur tous les continents et
impliqués dans de nombreuses actions a priori très
différentes (financement d'infrastructures lourdes,
lutte contre le sida, aide aux pays sinistrés par un
cyclone, appui à la scolarisation dans les
campagnes…). Bien que la plupart des commentateurs
s'accordent à reconnaître l'utilité intrinsèque de telles
actions, nombreux sont ceux qui pointent du doigt le
manque d'efficience de l'institution et ses revirements
successifs.

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