Conventions de rédaction

Pour mémoire de fin d’étude de BTS Urbanisme

1. Présentation générale et contenu des mémoires de fin d’études :

• Les mémoires de fin d’études viennent sanctionner les cinq (5) semestres

de formation dans la spécialité d’urbanisme. Ils doivent traiter d’un sujet

relatif à la spécialité ; préalablement validé par la commission élue à

cette fin et doit comporter entre soixante-dix à cent (70-100) pages de

contenu (annexes non comprises) réparties globalement comme suit :

• Les pages liminaires : (remerciement, dédicace, abréviation et symboles….etc.)
• Introduction : contenu sommaire qui présente le thème et l’orientation primaire de
la recherche en cours.
• Problématique : précise d’avantage le contenu déjà cité pour aboutir sur une série
de questionnements te de pertinences auquels répond le travail soutenu
• Démarche de travail : La description doit être suffisamment précise et fiable pour
que la lectrice ou le lecteur puisse reproduire notre démarche à partir de cette
seule description. De plus, cette description doit permettre de cerner les forces et
les limites de ces procédures de collecte et d’analyse.
• Chapitre 1 : présentation du lieu de stage.(<10 pages)
• Chapitre 2 : volet théorique de la recherche : Le deuxième chapitre
introduit la lectrice ou le lecteur aux concepts, modèles, théories,
hypothèses et explications déjà proposés par d’autres chercheurs. Il s’agit
d’avancer les notions qui seront utilisées pour orienter notre démarche de
recherche présentation du cadre théorique.(<30 pages)
• Chapitre 3 : présentation de la recherche pratique : il s’agit d’une
projection de la méthodologie choisie sur un échantillon ou un exemple au
vue de répondre aux questions générales posées précédemment en
problématique. On doit aller à l’essentiel. Il vise à mettre en évidence ce
qui, dans l’ensemble de nos observations et résultats, est significatif eu
égard à notre question de recherche.
• Conclusion : La conclusion présente une synthèse de la recherche
et se termine sur un rappel des limites de notre travail et sur les
nouvelles pistes de recherche qu’il ouvre.
Le travail de recherche est jugé dans son ensemble. Sur qualité de
la recherche théorique ; la véracité et la pertinence des résultats.
Mais surtout ; sur la cohérence de l’ensemble. Les résultats
présentés doivent être obtenus avec la méthodologie choisie ; et
celle-ci doit correspondre à la problématique validée
précédemment par la commission élue à cet effet.
2. Cartographie et présentation des
données :

• le mémoire de fin d’étude doit être construit et ne peut être un

cumul de données.
• Tout empreint de sites internet ou d’autres sources (mémoires de fin
d’études ; livres etc.) doit faire l’objet d’un renvoi en note.
• Toute tentative de plagiat est passible d’ajournement.
• La cartographie doit présenter toutes les conditions techniques de
validité universellement admises (légende, échelle, format du
papier…etc.) et doit impérativement être traitée en logiciel de
dessin (ne seront admis les traitements manuels de la cartographie).
• Toute représentation de donnée, cartographie, tableau, ou graphe
doit être numérotée et consignée en annexe avec titre de la figure
ainsi que sa page (voir plus bas).
• Le stagiaire apportera un soin particulier à la correction de la
langue et des expressions techniques relatives à sa spécialité.
• Le mémoire, ainsi que ses annexes seront enregistrés sous format
pdf (modifiable) et gravée sur CD-Rom en session fermé (pour
contraindre un éventuel ajout sur e même disque).
3. Mise en forme et rédaction :

• Les mémoires en français seront rédigés suivant les normes ci-dessous :

• Les marges doivent être : moyenne (2,54 haut et bas ; 19,91 droite et
gauche).
• police en ‘’calibri’’ ou ‘’arial’’
• pour le corps de texte : taille 13.
• Pour les titres des chapitres : page intercalaire avec titre du chapitre en
gars taille >36
• Pour les titres de section : caractère gras + taille 16
• Pour les sous-titres : caractère gras + taille 14
• Interligne : 1,5
• Espacement avant et après nouveaux paragraphes : 6 pts.
• Numérotation des pages : en bas à droite.
 Notions de base pour le
choix de méthodologie
Les différentes approches et les traitements de donnée y afférent
L’approche qualitative

• Chercher à mieux comprendre signifie chercher à donner un sens à

une situation encore relativement confuse ou chercher à donner
un nouveau sens à une situation mal comprise.
• Donner un sens, cela se fait par une mise en relation d’un
ensemble d’éléments d’une manière suffisamment organisée pour
orienter nos actions ou celles de quelqu’un d’autre
En résumé

• Vise la compréhension.
• Est une méthode de traitement inductive.
• Traite avec des données difficilement quantifiables : mots,
images, sons, etc. Permet l’approfondissement et l’élaboration
d’hypothèses et de modèles théoriques.
• Procure de l’information sur le particulier.
L’approche quantitative

• Quant à vouloir vérifier, cela signifie chercher à assurer la validité

et la généralité d’une affirmation donnée que l’on appellera dans
ce contexte une hypothèse.
• Le but, ici, est de pouvoir affirmer avec plus ou moins de
certitude que telle ou telle chose est vraie ou fausse.
• On associe d’ordinaire cette approche à un processus déductif
dans la mesure où les hypothèses que l’on cherche à vérifier sont «
déduites » d’études et de théories préalables.
En résumé

• Vise la vérification.
• Traite avec des données quantifiées.
• Se base sur un traitement statistique.
• Permet la généralisation :
o Procure des renseignements précis concernant un grand
nombre de personnes (l’universel).
• Est centrée sur l’identification et le traitement des différences.
L’approche mixte

• Combine les méthodes de collecte et d’analyse de données

propres aux approches quantitative et qualitative.
• Porte sur des phénomènes, des situations ou des problèmes peu
connus.
• Vise notamment la description et l’établissement des faits.
• Permet d’approfondir l’interprétation.
• Utilise tous les éléments aidant à mieux saisir le problème ou la
situation.