Informatique de Base: ENCG de Kenitra Semestre Autonome S1 PR S.Moqqaddem AU: 2022/2023

INFORMATIQUE DE BASE
ENCG de Kenitra
Semestre Autonome
S1
Pr S.MOQQADDEM
AU: 2022/2023
EXERCICE 1 (TD1)
C
EXERCICE 2 (Chapitre 1):
1. Créez dans votre disque local D l’arborescence ci-dessous (Vous êtes en C:\>).
D:
Dossier1 Dossier2 Fichier1.txt
Dossier3 Dossier4 Fichier2.txt
.
NB: Il faut justifier par commande ( des commandes) le passage d’une question à une autre.
2. Donner la commande permettant de copier le fichier Fichier1.txt dans le répertoire Dossier1.
3. Donner les commandes permettant d’afficher le contenu du dossier Dossier2 et du fichier Fichier2.txt.
4. Donner les commandes permettant de supprimer le dossier Dossier2 et Fichier1.txt.
UNIVERSITE IBN TOFAIL ENCGK
Chapitre II : Codage et représentation de l’information

II.1. Introduction au système binaire:
II.1.6. Codage des nombres relatifs
 Activité :
a. Convertir les nombres décimaux suivants en code complément à 2 :
 -35 (sur 8 bits)
 -72 (sur 8 bits)
 -123 (sur 10 bits)
b. Convertir en écriture décimale les nombres binaires (code complément
à 2) suivants :
 1110 0011
 0111 1000
Pr S.MOQQADDEM AU: 2022/2023


II.1.5. Les opérations arithmétiques
 EXERCICE 4:
Effectuer les opérations arithmétiques suivantes
directement en hexadécimal, puis vérifier le résultat en
binaire :
 B7AD(16) + 51E0(16) ;
 8BA2(16) + 6A7(16) ;
 8BA2(16) - 6A7(16) ;

Plan du cours:
Chapitre I Introduction à l’informatique
Chapitre II Notions de codage d’information
Chapitre III Réseaux et Internet
Chapitre IV Algorithme et Programmation

 Le système binaire
 Connaître les différents systèmes de numération
 Apprendre le transcodage
 Découvrir les opérations arithmétique en binaire, octal,….
 Découvrir le principe de codage/décodage numérique des caractères.

II.1.7. Codage des caractères
 Une grosse part des informations manipulées par les systèmes
numériques concerne le langage parlé ou écrit matérialisé sous formes de
textes, eux-mêmes constitués de caractères typographiques.
 Comment coder ces caractères et permettre ainsi l’échange

d’informations entre machines et/ou utilisateurs, quelle que soit la langue
utilisée ?
 ASCII
 ASCII étendu,
 Unicode, …

II.1.7. Codage des caractères: la norme ASCII
 ASCII (American Standard Code for Information Interchange) ou code

américain normalisé pour l’échange d’informations, inventé par Bob
BERNER en 1961,
 C’est la norme de codage de caractères en informatique la plus connue, la
plus ancienne et la plus largement compatible,
 Il définit la représentation des caractères par des appareils informatique
comme les ordinateurs,
 Pour ce faire, les différents caractères sont convertis en valeurs binaire,
décimales et hexadécimales que l’ordinateur peut traiter.


II.1.7. Codage des caractères: la norme ASCII
 C’est un code sur 7 bits (valeurs 0 à 127), il permet de définir :

 des caractères imprimables universels : lettres minuscules et
majuscules, chiffres, symboles,…
26 lettres majuscules A - Z ,
26 lettres minuscule a - z ,
10 chiffres 0 à 9 .
 des codes de contrôle non imprimables : indicateur de saut de
ligne, de fin de texte, …
33 caractères de ponctuation:
sp , ! ” # $ % & ’ () * + , - . /< = >?@ [ ] ^_` { | } ~
33 caractères de contrôle : null, etx, bel, bs, ht, lf, vt, ff, cr, …, del

 Chaque caractère a
un « code » unique
Entier entre 0 et 127
 Exemples :
• E  69 (10)
 64+5
• x  120 (10)
 112+8
• e  101 (10)
 96+5
• m  109 (10)
 96+13
• p  112 (10)
 112+0
• l  108 (10)
 96+12
Table (code)ASCII sur 7 bits
Activité:
Décrypter la chaîne ASCII ci-
dessous représentée sous la forme
d’une suite d’octets :
0011 0001 0101 0011 0100 1001

1SI
Retrouver la chaîne ASCII sous la

forme décimale du texte suivant:
J’aime la SI.
74 39 97 105 109 101 32 108 97
32 83 73 46

II.1.7. Codage des caractères(ASCII étendu)
Le code ASCII dite « étendue ou élargie ».
Dans ce codage chaque caractère est représenté sur 8 bits .
 Avec 8 bits on peut avoir 2 8 = 256 combinaisons.
 Elle contient aussi les valeurs décimales de 128 au 255, ce qui correspond au
10000000 au 11111111 binaire.
 Chaque combinaison représente un caractère
– Exemple :
• Le code 65 (01000001) (2) correspond au caractère A
• Le code 97 (01100001) (2) correspond au caractère a
• Le code 58 (00111010)(2) correspond au caractère :
L’ASCII étendue inclue les caractères spéciaux.

II.1.7. Codage des caractères(ASCII étendu)
ASCII étendu(ou élargie )
– Exemples :
 ‘A’ = 65(10)= 0100 0001(2)
 ‘B’ = 66(10)= 0100 0010(2)
 ...
 ‘a’ = 97(10)= 0110 0101(2)
 ‘‘= 32(10)= 0010 0000(2)
 ‘0’ = 48(10)= 0011 0000(2)
 ‘1’ = 49(10)= 0011 0001(2)
 ‘2’ = 50(10)= 0011 0010(2)
 …
 ‘9’ = 57(10)= 0011 1001(2)

II.1.7. Codage des caractères (Unicode)
Pour coder de manière universelle l’ensemble des symboles utilisés quelque soit
la langue (anglaise, française, chinoise,…) il faut attribuer à tout caractère ou
symbole de n’importe quel système d’écriture de langue un nom et un identifiant
numérique, et ce de manière unifiée, quelle que soit la plate-forme informatique
ou le logiciel. C’est ce que propose la norme UNICODE.
 UNICODE16 bits  65 536 caractères
 Ce code contient en plus de tous les caractères européens, 42 000 caractères
asiatiques.
 Le code ASCII est contenu dans les 128 premiers caractères d’UNICODE.

La 2éme partite du chapitre II : Algèbre de Boole

 Définition des variables et fonctions logiques
 Les opérateurs de base et les portes logiques
 Les lois fondamentales de l’algèbre de Boole


II. 2. ALGÈBRE DE BOOLE:
II.2.1. INTRODUCTION
 Les machines numériques sont constituées d’un ensemble de circuits
électroniques.
 Chaque circuit fournit une fonction logique bien déterminée ( addition,
comparaison ,….).
La fonction F(A,B) peut être : la somme de A
A F(A,B) et B , ou le résultat de la comparaison de A et
Circuit
B ou une autre fonction.
B
 Pour concevoir et réaliser ce circuit on doit avoir un modèle mathématique de la
fonction réalisée par ce circuit .
 Ce modèle doit prendre en considération le système binaire.
 Le modèle mathématique utilisé est celui de Boole.

 George Boole est un mathématicien anglais ( 1815-1864).
 Il a fait des travaux dont lesquels les fonctions ( expressions ) sont
constitués par des variables qui peuvent prendre les valeurs ‘OUI’ ou
‘NON’.
 Ces travaux ont été utilisés pour faire l’étude des systèmes qui possèdent
deux états s’exclus mutuellement :
 Le système peut être uniquement dans deux états E1 et E2 tel que E1 est
l’opposé de E2.
 Le système ne peut pas être dans l’état E1 et E2 en même temps
 Ces travaux sont bien adaptés au Système binaire ( 0 et 1 ).


 Exemple de systèmes à deux états
• Un interrupteur est ouvert ou non ouvert ( fermé )
• Une lampe est allumée ou non allumée ( éteinte )
• Une porte est ouverte ou non ouverte ( fermée )
 Remarque :
On peut utiliser les conventions suivantes :
OUI  VRAI ( true )
NON  FAUX ( false)
OUI  1 ( Niveau Haut )
NON  0 ( Niveau Bas )


II.2.2. DÉFINITIONS ET CONVENTIONS
 Niveau logique : Lorsqu’on fait l’étude d’un système logique il faut bien
préciser le niveau du travail.
Niveau Logique positive Logique négative
H ( Hight ) haut 1 0
L ( Low ) bas 0 1
Exemple :
 Logique positive :
lampe allumée : 1 ; lampe éteinte : 0
 Logique négative
lampe allumée : 0 ; lampe éteinte : 1

II.2.3. VARIABLE LOGIQUE ( booléenne )
 On appelle valeur logique ou valeur booléenne ou encore valeur
binaire toute valeur notée par deux symboles.
 On choisit souvent les couples de valeurs suivants : {0,1}, {vrai, faux},
{true, false}. On utilisera essentiellement {0,1} par la suite.
 Une variable logique ( booléenne ) est une variable qui peut prendre des
valeurs booléennes.
 Généralement Une variable logique est exprimée par un seul caractère
alphabétique en majuscule ( A , B, S , …)
Exemples :
 Une lampe allumée L=1 ; éteinte L=0
 Premier interrupteur ouvert : I1 =1 ; fermé : I1 =0
 2éme interrupteur ouvert : I2=1 ; fermé : I2=0

II.2.4. FONCTION LOGIQUE
 C’est une fonction qui relie N variables logiques avec un ensemble

d’opérateurs logiques de base.
 Dans l’Algèbre de Boole il existe trois opérateurs de base : NON , ET ,
OU.
 La valeur d’une fonction logique est égale à 1 ou 0 selon les valeurs des
variables logiques.
 Si une fonction logique possède n variables logiques  2n combinaisons
 la fonction possède 2n valeurs.
 Les 2n combinaisons sont représentées dans une table qui s’appelle table
de vérité ( TV ).

II.2.5. OPÉRATEURS LOGIQUES DE BASE
 NON ( négation)
NON : est un opérateur unaire ( une seule variable) qui à pour rôle
d’inverser la valeur d’une variable.
F(A)= Non A= A ( lire : A barre )
A A
0 1
1 0


 ET ( AND )
 Le ET est un opérateur binaire ( deux variables)
 Réaliser le Produit logique entre deux variables booléennes.
 Le ET est défini par : F(A,B)= A . B
A B A.B
0 0 0
0 1 0
1 0 0
1 1 1

 OU ( OR )
 Le OU est un opérateur binaire ( deux variables)
 Réaliser la somme logique entre deux variables logiques.
 Le OU est défini par F(A,B)= A + B (A ne pas confondre avec la
somme arithmétique ) A B A+B
0 0 0
0 1 1
1 0 1
1 1 1


 REMARQUES
 Dans la définition des opérateurs ET , OU , nous avons juste donner la
définition de base avec deux variables logiques.
 L’opérateur ET peut réaliser le produit logique de plusieurs variables

logique ( ex : A . B . C . D ).
 L’opérateur OU peut aussi réaliser la somme logique de plusieurs

variables logiques ( ex : A + B + C +D).
 Dans une expression logique on peut aussi utiliser les parenthèses.


 Pour évaluer une expression logique ( fonction logique) :

 on commence par évaluer les sous expressions entre les parenthèses.
 puis le complément ( NON ) ,
 en suite le produit logique ( ET )
 enfin la somme logique ( OU)
Exemple 1(Exercice ):
F(A, B, C)  ( A . B) . ( C  B)  A.B.C
 Calculer F(0,1,1).
 Trouver la table de vérité de la fonction F

Solution: F(A, B, C)  ( A . B) . ( C  B)  A.B.C

si on veut calculer F(0,1,1) alors :
F(0,1,1)  (0.1)(1  1)  0.1.1
F(0,1,1)  (0 ) (1 )  0.0.1
F(0,1,1)  1.1  0.0.1
F(0,1,1)  1  0
F(0,1,1)  1

Solution: F(A, B, C)  ( A . B) . ( C  B)  A.B.C
 Pour trouver la table de vérité , il faut trouver la valeur de la fonction F pour chaque
combinaisons des trois variables A, B , C. A B C F
 On a 3 variables  2 3 = 8 combinaisons 0 0 0 0
F(A, B, C)  ( A . B) . ( C  B)  A.B.C
0 0 1 1
F(0,0,0)  ( 0. 0) .(0  0)  0 . 0 .0  0
F(0,0,1)  ( 0. 0) .(1  0)  0 . 0 .1  1
0 1 0 1
F(0,1,0)  ( 0. 1) .(0  1)  0 . 1 .0  1 0 1 1 1
F(0,1,1)  ( 0. 1) .(1  1)  0 . 1 .1  1 1 0 0 0
F(1,0,0)  ( 1. 0) .(0  0)  1 . 0 .0  0
1 0 1 1
F(1,0,1)  ( 1. 0) .(1  0)  1 . 0 .1  1
1 1 0 0
F(1,1,0)  ( 1. 1) .(0  1)  1 . 1 .0  0
F(1,1,1)  ( 1. 1) .(1  1)  1 . 1 .1  0 1 1 1 0


Exemple 2: Soit la fonction logique F
A B C F
F ( A, B, C )  A.B.C  A.B.C  A.B.C  A.B.C
0 0 0 0
F (0,0,0)  0.0.0  0.0.0  0.0.0  0.0.0  0
0 0 1 1
F (0,0,1)  0.0.1  0.0.1  0.0.1  0.0.1  1
0 1 0 0
F (0,1,0)  0.1.0  0.1.0  0.1.0  0.1.0  0
0 1 1 1
F (0,1,1)  0.1.1  0.1.1  0.1.1  0.1.1  1
1 0 0 0
F (1,0,0)  1.0.0  1.0.0  1.0.0  1.0.0  0
1 0 1 1
F (1,0,1)  1.0.1  1.0.1 1.0.1  1.0.1  1
1 1 0 0
F (1,1,0)  1.1.0  1.1.0  1.1.0  1.1.0  0
1 1 1 1
F (1,1,1)  1.1.1  1.1.1  1.1.1 1.1.1  1

II.2.6. LOIS FONDAMENTALES DE L’ALGÈBRE DE BOOLE
 L’opérateur NON : A  A; A  A  1; A.A  0
 L’opérateur ET (A.B).C  A.(B.C)  A.B.C Associativité

A.B  B.A Commutativité
A.A  A Idempotence
A.1  A Elément neutre
A.0  0 Elément absorbant
 L’opérateur OU (A  B)  C  A  (B  C)  A  B  C Associativité
AB  BA Commutativité
AA  A Idempotence
A0  A Elément neutre
A 1  1 Elément absorbant


 L’opérateur NON : A  A; A  A  1; A.A  0
 L’opérateur ET (A.B).C  A.(B.C)  A.B.C Associativité

A.B  B.A Commutativité
A.A  A Idempotence
A.1  A Elément neutre
A.0  0 Elément absorbant
 L’opérateur OU (A  B)  C  A  (B  C)  A  B  C Associativité
AB  BA Commutativité
NB: l'idempotence signifie
qu'une opération a le même AA  A Idempotence
effet qu'on l'applique une ou A0  A Elément neutre
plusieurs fois. A 1  1 Elément absorbant


• Distributivité
A . ( B  C )  ( A . B )  ( A . C ) Distributi vité du ET sur le OU
A  ( B . C )  (A  B).(A  C) Distributi vité du OU sur le ET
• Autres relations utiles
A  ( A.B)  A
A. ( A  B)  A
(A  B) . (A  B)  A
A  A.B A  B


II.2.7. THÉORÈME DE DE-MORGANE
 La somme logique complimentée de deux variables est égale au
produit des compléments des deux variables.
AB  A . B
 Le produit logique complimenté de deux variables est égale au somme
logique des compléments des deux variables.
A.B  A  B
Généralisation Du Théorème DE-MORGANE À N Variables
A.B.C......  A  B  C  ..........
A  B  C  ...........  A.B.C......

II.2.8. AUTRES OPÉRATEURS LOGIQUES
 OU exclusif ( XOR)
F ( A, B )  A  B
A  B  A.B  A.B
 NAND ( NON ET )
F(A, B)  A . B
__ __
F ( A, B )  A  B
 NOR ( NON OU )
F(A, B)  A  B
__ __
F ( A, B )  A . B


II.2.9. PORTES LOGIQUES
 Une porte logique est un circuit électronique élémentaire qui permet de

réaliser la fonction d’un opérateur logique de base .
A A
Inverseur
A A
A.B A+B
B Porte ET B Porte OU


AB
AB
A
A B
B Porte XOR
Remarque :
 Les portes ET, OU, NAND, NOR peuvent avoir plus que deux entrées
 Il n’existe pas de OU exclusif à plus de deux entrées

 Schéma d’un circuit logique ( Logigramme)
 C’est la traduction de la fonction logique en un schéma électronique.
 Le principe consiste à remplacer chaque opérateur logique par la porte
logique qui lui correspond. A
B F
 Exemple 1
F ( A, B, C )  A.B  B.C
C
 Tracer le logigramme de F


 Schéma d’un circuit logique ( Logigramme)
 Exemple 2: F(A, B, C, D)  (A  B ) . ( B  C  D ) .A
A
B
 Tracer le logigramme de F F


Donner l’expression de F ?
A
B
F


Remarque:
L'algèbre de Boole permet de réduire les équations logiques pour

éviter de prendre trop de place dans les mémoires d'automates
programmables ou pour simplifier l'écriture des conditions logiques
dans les programmes informatiques.


II. 2.10. EXERCICES
Exercice 1: Simplifiez les fonctions suivantes:
F1 = A.(A+B)
F2 =
F3 =
F4 =
F5 =
F6 =
F7 =
F8 =
F9 =

II. 2.10. EXERCICES
Exercice 2: Complémenter puis simplifiez les fonctions suivantes
T =
F =
G=
H=


II. 2.10. EXERCICES
Exercice 3:
 Donner le logigramme des fonctions suivantes :
F(A, B)  A.B  A.B

F(A, B, C)  (A  B).(A  C).(B  C)
F(A, B, C)  (A . B) . ( C  B)  A.B.C

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Chapitre II Notions de codage d’information

Chapitre III Réseaux et Internet

Chapitre IV Algorithme et Programmation

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Chapitre II Notions de codage d’information

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 Comment coder ces caractères et permettre ainsi l’échange

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 ASCII (American Standard Code for Information Interchange) ou code

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 C’est un code sur 7 bits (valeurs 0 à 127), il permet de définir :

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0011 0001 0101 0011 0100 1001

Retrouver la chaîne ASCII sous la

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La 2éme partite du chapitre II : Algèbre de Boole

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 C’est une fonction qui relie N variables logiques avec un ensemble

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 L’opérateur ET peut réaliser le produit logique de plusieurs variables

 L’opérateur OU peut aussi réaliser la somme logique de plusieurs

 Dans une expression logique on peut aussi utiliser les parenthèses.

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 Pour évaluer une expression logique ( fonction logique) :

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Solution: F(A, B, C)  ( A . B) . ( C  B)  A.B.C

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 L’opérateur ET (A.B).C  A.(B.C)  A.B.C Associativité

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 L’opérateur ET (A.B).C  A.(B.C)  A.B.C Associativité

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