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Mahassen khemiri
Introduction
Les organisations manipulent un volume important d’informations et
doivent penser à une manière efficace de sauvegarder, rechercher et
mettre à jour ces informations.
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Introduction
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Définition de l’information
1er niveau : la Donnée
• Chaîne de caractère associé à des objets, des personnes ou des
événements
• Représentée par un attribut et une valeur
• La donnée peut être brute ou calculée
• C’est la matière première de l’information
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2ème niveau : l’Information
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3ème niveau : la Connaissance
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Définition du système
Un système peut être défini comme un tout organisé de composants
en interaction en vue de réaliser un objectif commun.
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Exemples de systèmes :
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Définition du SI
des organisations »
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Définition des BDD: Une base de données est un ensemble de données
modélisant les objets d’une partie du monde réel et servant de support
à une application informatique (Gardarin, 2003).
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Définition d’un SGBD (Système de Gestion de Bases de Données) peut
2003).
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Rôle et propriétés du SGBD
Un système de gestion de bases de données (SGBD) est un logiciel qui permet de
manipuler des bases de données :
• construction
• maintenance
• interrogation
• sécurité
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Différents modèles de Bases de Données
(suite)
• Le modèle Relationnel (Codd, fin des années 60). Les données sont
représentées dans des tables, sous forme de n-uplets.
Modèle le plus utilisé : celui que nous considèrerons dans la suite.
A donné lieu au langage SQL, extension de l’algèbre relationnelle,
standardisation en 1987. Près de 80% des utilisations en entreprise.
• Le modèle Orienté Objet, les données sont des objets.
• Le modèle Multidimensionnel. Les données sont représentées sous la
forme d’un cube.
• Le modèle Semi-structuré (fichiers XML). Les données sont
représentées sous la forme d’arbre.
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Quelques exemples de SGBDR
• Oracle
• Microsoft : Access (inclus dans Office), SQL Server
• IBM : DB2
• Les libres : PostgreSQL, MySQL, . . .
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Niveaux de description du SGBD
• Niveau externe (confidentialité), n schémas
externes associés ou vues à n types d’utilisateurs
• Niveau conceptuel (intégrité-cohérence) :
schéma logique, issu d’un processus de modélisation
• Niveau interne (gestion des accès) :
schéma physique
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Architecture client-serveur
• Un serveur pour le SGBD : gérant les bases de données
communes
• De multiples clients pour accéder aux BDs : gérant les interfaces serveur-
utilisateurs/applications, permettant la distribution des applications.
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Niveau Conceptuel
On ne doit pas se préoccuper de l'aspect physique de l'implantation des
structures des données.
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Un attribut est une caractéristique associée à une entité-type ou à une
association-type.
Exemple:
Couleur-Voiture : Blanche
attribut de l’entité-type voiture valeur ou occurrence de l’attribut
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Association: relation ou lien sémantique entre plusieurs entités.
exemple: une personne possède une voiture
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Cardinalité: précise le nombre de fois minimal et maximal
d'interventions d'une entité dans une association
cardinalité minimale (0 ou 1) < cardinalité maximale (1 ou n)
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Deux entités peuvent avoir des liens sémantiquement distincts .
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Les données sont omniprésentes autour de nous ... Documents
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données
du client
données
de la
commande
données
d'un produit
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données
du client
données
de la
commande
données
d'un prodit
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Principe
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un employé peut emprunter des livres ou en réserver ; l’employé a un nom et une adresse ; il
possède un numéro unique et travaille dans un service de l’entreprise, identifié par son nom et dont
on connaît la localisation ; un ouvrage porte un numéro ISBN unique et possède un titre, un prix et
une date d’achat ;
le service possède un nom
SERVICE
le service a une localisation
Nom
Localisation
le service est
id: Nom identifié par son nom
0-N
un employé travaille
dans un service
travaille
un employé peut
emprunter des ouvrages
1-1
un ouvrage porte un
EMPLOYE 0-N emprunte 0-1 OUVRAGE numéro ISBN
Numéro ISBN
Nom Titre un ouvrage possède
Adresse Date achat un titre
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Décomposition de l'énoncé - Cardinalité
A verbe B
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CLIENT CONTRAT VEHICULE ACCIDENT
dessin des types
quelques instances
=
populations
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CLIENT CONTRAT VEHICULE ACCIDENT
NumClient NumCtr NumVéh NumAcc
Nom Type Marque DateAcc
Adresse DateSign Modèle Montant quelques attributs
Année
Cylindrée
NumClient = C400
Nom = FERARD
Adresse = 65, r. du Tertre VEHICULE
NumVéh: char (16)
Marque: char (30)
NumClient = B332 quelques Modèle: char (30)
Nom = MONTI
Adresse = 112, r. Neuve valeurs Année: num (4)
Cylindrée: num (6)
NumClient = F010
Nom = TOUSSAINT
Adresse = 5, r. Godefroid
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CLIENT
CLIENT
NumClient
Nom
Adresse
appartient signe
VEHICULE CONTRAT
NumVéh NumCtr
Marque Type
couvre
VEHICULE
Modèle DateSign
Année
Cylindrée
ACCIDENT
NumAcc CONTRAT
implique
DateAcc
Montant[0-1] ACCIDENT
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CLIENT
NumClient
0-N Nom 0-N
appartient Adresse signe
1-1 1-1
VEHICULE CONTRAT
NumVéh NumCtr
Marque Type
1-1 couvre 0-1
Modèle DateSign
Année
Cylindrée
ACCIDENT
implique NumAcc
0-N 0-N
DateAcc
Montant[0-1]
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CLIENT VOL PROJET
NumClient Ligne CodeProjet
Nom Date Titre
Adresse NumAppareil Budget
id: NumClient id: Ligne id: CodeProjet
Date id': Titre
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Non-redondance des propositions
DEPARTEMENT
0-N
appartient =?
1-1
SERVICE
un département
a des employés
0-N
affecté
1-1
EMPLOYE
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Non-redondance des propositions
COMMANDE PRODUIT
NumCom NumPro
DETAIL
de 1-1 1-1
ref
Qcom
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Non-redondance des propositions
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Concepts avancés: 1. Modélisation du temps
Pour garder l'historique d'une relation, l'attribut date est représentée
comme entité et est ajoutée à l'association.
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Concepts avancés: 1. Modélisation du temps
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Concepts avancés: 1. Modélisation du temps
• Comment représenter une période?
• Période= DF-DD
• Exemple: Une convention cadre s’exécute sur plusieurs périodes.
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Concepts avancés: 2. Relation réflexive
une association est dite réflexive si elle matérialise une relation entre
une entité et elle-même. Les rôles doivent être mentionnés clairement.
Hiérarchique
Réseau
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Concepts avancés: 3. Identifiant relatif
Une entité faible est une entité possédant un identifiant insuffisant de
par lui-même pour identifier de manière unique chacune de ses
occurences. Son identifiant est fortement lié à l'identifiant de l'entité
auquelle il est associé.
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Concepts avancés: 4. Agrégation
Agréger c'est réunir de manière à constituer un tout.
Exemple : dans un entreprise dont les représentants vendent des produits
dans différentes régions, une des règles de gestion est qu’un produit pour
une région donnée, ne peut être vendu que par un seul représentant.
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Concepts avancés: 4. Agrégation
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Concepts avancés: 5. Généralisation/Spécialisation
Sous-Entité:
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Concepts avancés: 5. Généralisation/Spécialisation
Sous-Association:
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Chapitre 2: Le Modèle Relationnel
Modèle relationnel défini par E.F Codd dans les années 70.
une base relationnelle est composée de tables. Dans une table, une
ligne correspond à un enregistrement (tuple ou n-uplet) et une colonne
à un champ (attribut) de cet enregistrement appartenant à un Domaine.
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Clé Etrangère
Clé étrangère: attribut(s) devant apparaître comme clé primaire dans
une autre table (relation).
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Passage de l'E/A vers le Modèle Relationnel
• Règle 2: relation père-fils (1-N)
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Passage de l'E/A vers le Modèle Relationnel
• Règle 3: relation plusieurs à plusieurs (M-N)
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Passage de l'E/A vers le Modèle Relationnel
• Règle 4: Entité Faible
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Passage de l'E/A vers le Modèle Relationnel
• Règle 5: Généralisation / Spécialisation, 3 manières de passer au
Modèle Relationnel
Premier cas:
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Passage de l'E/A vers le Modèle Relationnel
• Règle 5: Généralisation / Spécialisation, 3 manières de passer au
Modèle Relationnel
Deuxième cas:
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Passage de l'E/A vers le Modèle Relationnel
• Règle 5: Généralisation / Spécialisation, 3 manières de passer au
Modèle Relationnel
Troisième cas:
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Passage de l'E/A vers le Modèle Relationnel
• Règle 6: Cas particulier une entité avec un seul attribut
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Passage de l'E/A vers le Modèle Relationnel
• Règle 7: Cas particulier de la cardinalité: 0,1…1,1
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Passage de l'E/A vers le Modèle Relationnel
• Règle 8: Association Réflexive
PIECE(référence, libellé)
COMPOSITION(#référence_composé, #référence_composant, nombre)
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Exercice: établir le modèle E/A puis le modèle relationnel correspondant
au cas suivant:
Dans le cadre de la planification des leçons de conduite d’une auto-école,
on a recensé les informations suivantes :
- Code moniteur - Nom et prénom du moniteur
- N° immatriculation du véhicule - Marque du véhicule
- Type véhicule - Code élève
- Nom et prénom élève - Date inscription
- Durée leçon - Date et heure leçon
RGs: Une leçon de conduite est planifiée pour une durée donnée. Elle
concerne un élève, un moniteur et un véhicule pour une date et heure
prévues.
On apprend aussi qu’un élève est toujours pris en charge par un et un
seul moniteur.
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