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LE MODÈLE
RELATIONNEL
-
LA BASE DE
DONNÉES
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LA LISTE DES DONNÉES
La liste des données nécessaires au traitement des commandes a été établie sans retenir les données
calculées, car celles-ci peuvent être déterminées à tout moment à partir des données saisies.
Numcom Refprod
Datecom Designprod
Numcli PUprod
Nomcli Quantite
Adresseruecli
AdresseCPcli
Adressevillecli
Un nom différent est attribué à chacune des Les données doivent être détaillées pour permettre une
données pour éviter qu’un même nom identifie interrogation plus précise de la base.
plusieurs d’entre elles (polysèmes).
Exemple : Trois données pour détailler l’adresse :
Exemple : « Numcom » et « Numcli » « adresseruecli », « adresseCPcli » et « adressevillecli »
Deux noms différents ne peuvent représenter la Le nom choisi doit être phonétiquement
même donnée (synonymes). compréhensible pour permettre d’identifier facilement
la donnée. Il doit éviter de comporter des espaces et
Exemple : « designprod » et « libelleprod »
pour le nom des produits certains symboles tel que °.
Exemple : « numcom » pour n° de la commande
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LES TABLES
Exemples :
- données concernant les clients
- données concernant les produits
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STRUCTURE D’UNE TABLE
Une table se compose:
- de colonnes où sont indiquées les différents attributs
- de lignes où sont rangées les valeurs des différents attributs.
L’ensemble des valeurs d’une ligne est appelé un enregistrement.
Choix du type :
Il s’agit de préciser quel type de valeurs sera
stocké dans le champ.
Il existe trois grands types (numérique,
date, texte). Pour les champs de type texte,
il est possible d’intervenir sur la taille du
champ, de manière à optimiser la place
occupée sur le support de stockage.
Contrôle de la saisie :
Pour faciliter la saisie, un masque, une
valeur par défaut, peuvent être mis en place.
Contrainte de domaine :
Il est possible, pour un champ donné, de
limiter les valeurs autorisées à la saisie.
Celles-ci sont indiquées dans la case
« Valide si », un message d’erreur peut y
être associé.
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DÉPENDANCE FONCTIONNELLE ENTRE DEUX TABLES
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CONTRAINTES D’INTÉGRITÉ RÉFÉRENTIELLE
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LE MODÈLE PHYSIQUE
L’ensemble des tables et des liens créés par la présence d’attributs communs à plusieurs tables
(clés primaires et clés étrangères) forme le modèle physique.
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LE MODÈLE RELATIONNEL
Le modèle physique est issu d’une réflexion préalable structurée appelée modèle relationnel.
Le modèle relationnel est une présentation logique et rationnelle des données permettant de les rendre
exploitables par un logiciel de type SGBDR. Dans ce modèle, les tables sont appelées des relations et
obéissent aux règles de présentation suivantes :
Nom de la relation en majuscules suivi entre parenthèses des différents attributs qui la composent.
L’attribut clé primaire indiqué en premier est souligné.
Si la relation comprend un attribut clé étrangère, celui-ci sera placé à la fin et
précédé du signe #.
Dans le cas d’une clé primaire concaténée, l’ensemble des attributs formant la
clé est souligné.
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LES OPÉRATEURS RELATIONNELS : LA PROJECTION
Une requête est une interrogation de la base de données portant sur le contenu d’une ou plusieurs relations.
Elle met en jeu des opérateurs (projection, restriction, jointure).
Requête1 : On souhaite obtenir les noms des clients et ceux des villes où ils sont domiciliées.
Pour cela, nous allons utiliser l’opérateur de projection.
La projection consiste
en un découpage
vertical.
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LES OPÉRATEURS RELATIONNELS : LA RESTRICTION
Requête2 : On souhaite obtenir les noms des clients domiciliés à Paris. Nous conserverons le
nom de la ville dans l’affichage.
Pour cela, nous allons utiliser les opérateurs de projection et de restriction.
La restriction consiste
en un découpage
horizontal.
La projection consiste
en un découpage
vertical.
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LES OPÉRATEURS RELATIONNELS : LA JOINTURE
Requête3 : On souhaite obtenir les dates des commandes passées par les clients domiciliés à Paris
Pour cela, nous allons utiliser les opérateurs de projection, de restriction et de jointure.
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LE LANGAGE DE REQUÊTES SQL
Le requêteur graphique est un langage visuel propre à chaque logiciel, ses possibilités sont limitées lors de cas
complexes. Les logiciels SGBDR intègrent également un langage textuel de programmation de requêtes : le
SQL (Structured Query language) . Celui-ci est universel, normalisé et capable de traiter toutes les
difficultés.
Les requêtes en SQL ont généralement la structure suivante:
Les instructions WHERE et AND AND champ commun aux tables utilisées
sont liées. Elles permettent
d’introduire : ORDER BY champ à trier ASC ou DESC
- les critères de conditions
correspondant à l ’opérateur de
RESTRICTION.
- les champs communs aux tables L’instruction ORDER BY permet de
utilisées correspondant à l’opérateur demander un tri sur un champ (ASC
de JOINTURE. pour croissant et DESC pour
décroissant).
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LE RESPECT DE LA SYNTAXE SQL
Pour écrire une requêtes en SQL, sous Microsoft Access, le respect d’une syntaxe est nécessaire,
notamment en matière de ponctuation.
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LES DROITS SUR LA BASE DE DONNÉES