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représentation de
l’information
Structure Machine 1
• Introduction
• Le codage binaire
• Ses dérivés, qui sont les systèmes à base 8 et 16 sont aussi des codes
pondérés.
Le codage binaire pur
01101001
+
01000010
Le code excédant de 3
• Chaque mot s’obtient en ajoutant 0011 (3) au mot binaire correspondant.
• Soit( 0011), pour avoir (0000+0011)BCD EX3=(0011) BCD EX3 =(0000) BCD
1 0 1 1
Le code binaire réfléchi (ou code DE GRAY)
Incrémentation:
Si le nombre des « 1 » est paire, on inverse le dernier chiffre
sinon on inverse le chiffre situé à gauche du 1 le plus à droite
Exemple:
4 🡪 5 13 🡪 14 10 🡪 11
110 🡪 111 1011 🡪 1001 1111 🡪 1110
Représentation des nombres entiers
• Il existe deux types d’entiers :
– les entiers non signés ( positifs )
– et les entiers signés ( positifs ou négatifs )
(43)10 = (101011)2=(00101011)BS
|-51|=(51)10 = (0110011)2=(10110011)BS
|-128|=(128)10 = (10000000)2🡺 Overflow, nécessite 9 bits
Représentation signe / valeur absolue
• Sur 3 bits on obtient : Les valeurs sont comprises entre
Signe VA Valeur -3 et +3
0 00 +0
0 01 +1
0 10 +2
0 11 +3
1 00 -0 Sur n bits , l’intervalle des valeurs qu’on
1 01 -1 peut représenter
1 10 -2 en système en valeur absolue:
1 11 -3 (n -1) (n -1)
-(2 -1) ≤ N ≤ +(2 -1 )
Représentation signe / valeur absolue
Avantages et inconvénients:
• Représentation assez simple .
• Le zéro possède deux représentations +0 et -0 ce qui conduit à des
difficultés au niveau des opérations arithmétiques.
• Pour les opérations arithmétiques il nous faut deux circuits : l’un pour
l’addition et le deuxième pour la soustraction .
L’idéal est d’utiliser un seul circuit pour faire les deux opérations, puisque :
X-Y= X+(-Y)
Représentation en complément à un
• On appel complément à un d’un nombre N un autre nombre N’ tel que :
n
N+N’=2 -1
n : est le nombre de bits de la représentation du nombre N
Exemple:
Soit N=1010 sur 4 bits donc son complément à un de N :
4
N’= (2 - 1) - N
• Valeur = - CA1(101010)
= - (010101)2= - ( 21)10
Représentation en complément à 2
• Soit X un nombre sur n bits alors :
n n
X + 2 = X modulo 2
Le résultat sur n bits la même valeur que X :
n
X+2 =X
Exemple: soit X = 1001 sur 4 bits
4
2 = 10000
Si on prend le résultat sur 4
bits on trouve la même valeur
de X= 1001
Représentation en complément à 2
• Si on prend deux nombres entiers X et Y sur n bits , on remarque que
la soustraction peut être ramener à une addition :
n n
X – Y = (X + 2 ) – Y = X + (2 – 1) – Yn + 1 n
n
On a Y + CA1(Y)= 2 – 1 donc CA1(Y) = (2 – 1) – Y
On obtient :
X– Y = X + CA1(Y) + 1
Représentation en complément à 2
• La valeur CA1(Y)+1 s’appelle le complément à deux de Y :
CA1(Y)+1 = CA2(Y)
Et enfin on va obtenir :
X - Y = X+ CA2(Y) 🡪 transformer la soustraction en une addition.
Représentation en complément à 2
• Sur 3 bits: Sur 3 bits on remarque que les valeurs sont
Valeur en
CA2
Valeur en
binaire
Valeur en
décimal
comprises entre -4 et +3
000 000 +0
001 001 +1
010 010 +2
011 011 +3
100 -100 -4
Sur n bits , l’intervalle des valeurs qu’on peut
101 -011 -3 représenter en système en CA2:
110 -010 -2 (n -1) (n -1)
-(2 ) ≤ N ≤ +(2 -1 )
111 -001 -1
Représentation en complément à 2
• Dans cette méthode, les entiers négatifs sont représentés en ajoutant
la valeur 1 à leur représentation en complément à 1.
• Exemple 02:
Quelle est la valeur décimale représentée par la valeur 101010 en
complément à deux sur 6 bits ?
Représentation des nombres réels
• Problème : comment indiquer à la machine la position de la virgule ?
1 10000100 01010011000000000000000
Représentation en virgule flottante
• Exemple 2: La valeur décimale représentée en virgule flottante par le
code (C26D0000)IEEE754 sera donc calculée comme suit :
1 10000100 11011010000000000000000
ED=(10000100)2=(132)10 🡺 E=ED-D=132-127=(5)10.
- -
E 5
N= 1, M×2 = 1, 1101101×2 =(-111011,01)2
(-111011, 01)2 = (-59, 25)10
Représentation des données
alphanumériques
• Les données alphanumérique sont des données non numériques
incluant des lettres alphabétiques majuscules et minuscules , des
symboles de ponctuation (& @ , . ; # ", etc.), et des chiffres.
• Les deux codes les plus courants dans la représentation des données
alphanumériques sont le code ASCII et le code UNICODE
Code Extended Binary Coded Decimal
Interchange Code (EBCDIC)
8
• Cela permet d ’avoir 2 combinaisons qui constituent:
Code EBCDIC
Code American Standard Code for Information
Interchange (ASCII)
• Ses résultats sont obtenu par une table dite « Table ASCII
»
• Il est compatible avec le code ASCII. Les 256 premiers caractères Unicode
sont les mêmes que ceux de la table ASCII (basique et étendu).
Le code UNICODE
• La table suivante montre les plages Unicode de quelques alphabets.
(E288864BC382)16 =111000101000100010000110010010111100001110000010
• Le code binaire commence par 1110 donc 3 octets : on compte 24
bits : 111000101000100010000110 après on enlève les bits fixes :
(10001000000110)2 =(2206)16 On ajoute U+2206 = ∆
• La suite des bits qui reste commence par 0 donc 1 octet : on compte 8 bits
01001011 = (1001011)2 =(4B)16 = U+004B = K
• La suite des bits qui reste commence par 110 donc 2 octet : on compte 16 bits :
1100001110000010 après on enlève les bits fixes : (11000010) 2=(C2)16
On ajoute U+00C2 = Â
Donc le texte est :∆KÂ