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LE FAUX COUPABLE

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Lucie : Alors, comment s'est pass


ton voyage ?
Thierry : Incroyable !
Lucie : Raconte !
Thierry : Je suis parti vendredi soir.
D'abord, les trains taient en grve,
donc tu imagines la circulation sur
l'autoroute ! Il y avait quinze
kilomtres de voitures arrtes, un
enfer. ..
Lucie : Tu n'as pas pu prendre une
autre route ?
Thierry : Si, bien sr, j'ai essay !
J'ai quitt l'autoroute, mais quand je
suis arriv Villefranche, la route
tait bloque. Les gendarmes
arrtaient toutes les voitures,
contrlaient
tous
les
papiers.
Apparemment,
ils
cherchaient
quelqu'un. J'ai attendu plus d'une

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Lucie : Et aprs ?
Thierry : Aprs, les gendarmes ont
ouvert ma voiture, ils ont regard
partout. .. Ils avaient l'air nerveux,
ils parlaient tout le temps avec des
collgues
au
tlphone,
on
entendait
des conversations ... Et soudain, ils
m'ont demand de les suivre !
Lucie : Quoi ? !
Thierry : J'ai d entrer dans leur
fourgon, ils m'ont interrog pendant
une heure !
Tu imagines, Lucie ? Une heure !
Lucie : Je savais bien que tu tais
un grand criminel ...
Thierry : Merd, tu es trs gentille ...
Bref, un gendarme crivait tout ce
que
je
disais,
les
autres
continuaient arrter des voitures,

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Lucie : Et comment a a fini ?


Thierry : Eh bien, soudain j'ai
entendu des cris, des gens qui
parlaient fort. Les gendarmes
m'ont dit: a va, vous pouvez
partir! Quand je suis sorti du
fourgon, j'ai vu un autre type qui
tait
arrt,
entre
deux
gendarmes
...
Lucie,
c'tait
incroyable !
Cet
homme
me
ressemblait
normment! Comme un frre
jumeau ! Il tait mme habill
comme moi! C'tait comme dans
un filin ! J'avais l'air tellement
stupfait qu'un gendarme a
commenc rire . ..

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Normalement, je partais au lyce 8 heures.


Une fois, exceptionnellement, je suis parti
7 heures.
Avant, mes grands-parents n'avaient pas le
tlphone. En 1962, ils ont eu le tlphone.
Il regardait tranquillement la tlvision
quand, tout coup, quelqu'un a sonn la
porte.
Je faisais mes courses au supermarch
quand j'ai rencontr Benoit.

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