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17 travail très sérieux , bonnes réponses sauf celle de la phrase soulignée qui

est un peu confuse

GANGNERON-PARSAL Audrey 1ère ESa


MORCILLO Chloé

Td3 correction

TRAVAIL PREPARATOIRE:

1) Pour 56% des adolescents leur principal crainte est la guerre.


Le mode de calcul est le suivant:
Effectif des adolescents dont leur principale crainte est la guerre * 100
Effectif des adolescents

2) les sept premières craintes des adolescents touche directement a la vie comme la
guerre, le sida, qui conduisent souvent à la mort mais aussi à la souffrance moral
comme le racisme. Les sept dernières crainte sont plutôt secondaire comme l’ennui.
Ainsi ces craintes vont en crescendo (de gravité) en commençant par l’immigration et
pour finir à la guerre.
Elles traduisent la peur de la mort et la valeur d’écologie ( « problèmes de
l‘environnement »
Ces craintes rassemble les jeunes, elles leurs sont communes et assurent
l’homogénéité du groupe.

3) régulièrement de nouvelles tendances apparaissent et même si elles sont différentes


les unes des autres la culture jeune est la seul a toute les rassembler.
C’est à cause de cela que la culture jeune s’est transformé en un « immense fourre-
tout » où on y trouve une grande diversité de tendances, souvent à priori opposées,
mais qui n’empêche pas les gens ayant cette culture d’en associés certains avec
d’autres puis d’à nouveau changer, c’est donc pour cela que la culture jeune est
« modulable à souhait ».un peu confus

4)dans le document 2 on peut parler de sous - culture jeune puisque les jeunes on un
système de valeurs, normes et modèles de comportement qui leur permettent de se
différencier de la culture de la société s’en pour autant s’y opposer (donc ce n‘est pas
une contre culture).
Par conséquent ils empruntent a la culture de la société certains de ses modèles
culturels et ils les « mélangent » ce qui parfois crée de nouvelles normes et valeurs.
De plus, des tendances opposé qui nous apparaissent a priori impossible d’être associés
le sont grâce a cette sous culture : prenons Jérôme « qui prépare son diplôme
supérieur de commerce tout en tout en cherchant à monter parallèlement son label de
rap et sa propre maison de production » ainsi il nous prouve que les études supérieur
(à priori plutôt d’un milieu aisé) ne sont pas incompatible avec le rap (à priori plutôt
d’un milieu populaire) une tendance qui pour de nombreuse personne est pratiqué par
des
"lascars" ( les jeunes de banlieues). De plus, les musiciens avec qui il travaille sont
influencé par les émissions télé telle que la « star académie » et intégrer dans leur
morceaux de rap des extraits des chansons de Jacques Brel. Ce phénomène se
reproduis à « l’infini » : chaque individus est influencé par des « tendances » ou d’autre
personnes qui elles même ont été influencés ainsi de suite.

5)Les hommes et femmes de 15 à 24 ans gèrent a peu prés de la même façon leur
argent pour certaines activités comme les jeux vidéo, le transport, le sport ( 3% pour
les hommes et 4% pour les femmes).
Cependant ils y a certains domaine où « l’écart se creuse » comme pour le cinéma, les
livres / bd et les sorties dans les bar, restaurant . . . ( 32% pour les hommes et 13 %
pour les femmes).
Donc, les hommes consacrent une grande partie de leurs argent aux sorties, ainsi ils
entretiennent leur vie social et leurs envies de divertissement, laissant de côté certains
comme la lecture (2%).
Les femmes elles gèrent leur argent de manière plus équilibré afin de faire place à
diverses activités. Peut être que cette différence traduit une plus grande maturité chez
la femme et une meilleur ouverture d’esprit.

6) D’après P. Bourdieu tous les jeunes n’auraient pas une adolescence. Cela dépend de
la classe social des jeunes: par exemple un jeune bourgeois joue sur deux tableaux
celui de l’adulte mais aussi de l’adolescence (qui n’a pas envie de quitter), tandis qu’un
jeune issue de la classe ouvrière « passent directement de l'enfance à l'âge adulte »
car il passe directement du statut « enfant » à celui d’un « adulte (qui travaille) ou
cherche un emploie) » donc pour ces jeunes il n’y a pas de place à cette période
pourtant très apprécié chez les bourgeois.

QUESTION DE SYNTHESE:

Dans une première partie, vous constaterez qu’il existe depuis les années 60
en France, une sous culture, voire une contre-culture de la jeunesse qui
résulte de son homogénéité, basée sur l’âge, et qui contribue à la construction
d’une identité spécifique comme le démontre B.Lahire.
Dans la seconde partie, vous relativiserez cette homogénéité et cette sous
culture en montrant l’hétérogénéité du groupe due à une reproduction sociale
comme l’a fait P.Bourdieu, et qui perdure encore aujourd’hui.

Introduction:

Les jeunes sont influencé par diverses tendances, ainsi tous n’agissent pas de la même
manière dans des « situations données », comme ont a pu le voir dans le document 4
où les jeunes ne gèrent pas de la même façon leur argent, suivant la culture jeune: un
ensemble d’éléments interdépendant constituant un tout organisé, inculqué jeunes de
la société et visant a répondre aux problèmes dont chaque société est confronté.
Cependant, son homogénéité, provoque une sous culture (jeune): un système de
valeurs, normes et modèles de comportement propre aux jeunes lui permettant de se
différencier et d’intégrer ses membres en développent une conscience collective sans
pur autant s’opposer à la culture de la société.
Donc, quelles sont les caractéristiques de la culture jeune?
Depuis les années 60, existent-il une sous culture, (voire une contre-culture) de la
jeunesse en France?
aujourd’hui, existe il une l’hétérogénéité du groupe qui perdure?

I L’existence d’une sous culture, voire d’une contre-culture de la jeunesse en


France: depuis les années 60

1) la sous culture ou contre culture?


Les élevés doivent démontrer qu’il sagittaux sous culture en s’aidant du document 2 et
la question 4 .
2) homogénéité de la sous culture jeune basé sur l’âge:

A) homogénéité
Document 3et question 2.
B) âge
Document 4 et question 5.

3) diverses pratiques culturelles:


B.HAHIRE, document 2.

II cependant il existe une l’hétérogénéité du groupe qui perdure encore


aujourd’hui:

1) hétérogénéité:
Document 4: les femmes et les hommes ne gérent pas de la même facons leur argent.

2) reproduction social:
Document 1: les différences entre les ouvriers et les bourgeois.

3) aujourd’hui:
Actualités et/ou faits vu en cour .

Conclusion:

Nous avons vu qu’il existe une culture de la jeunesse, depuis les années 60 jusqu'à nos jours. Cette
sous-culture ou même contre culture viendrait de l’homogénéité créée par le rassemblement des
jeunes autour de normes, valeurs et donc d’une culture qui leur est commune. Cette culture donne
des points de repère, aux jeunes, et ainsi participe à la construction d’une identité spécifique. Nous
avons démontré ceci dans la 1ère partie grâce à la méthode de Bernard Lahire.
Dans une seconde partie, nous avons démontré que cette homogénéité n’est pas complète.
Cette différence dans le groupe est du à une reproduction sociale, comme l’a démontré
Pierre Bourdieu.

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